Morgan après le footing.
Récit érotique écrit par Provence [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-11-2025 dans la catégorie En solitaire
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Couleur du fond :
Morgan après le footing.
Morgan après le footing.
Je suis Morgan, blonde, de petite corpulence, les cheveux longs, les seins en poire, les fesses rebondies et les jambes musclées par le footing. J’ai 21 ans, étudiante et j’habite encore chez mes parents.
Le matin de chaque week-end, j’aime aller courir dès le lever du soleil. En semaine, activités estudiantes obliges, je me lève pour me préparer et aller en Fac.
Ce matin, samedi, je rentre de quelques kilomètres passés dans le parc très proche de la maison dont j’ai fait plusieurs fois le tour.
Je suis bien dans mon corps. Je prends une douche pour éliminer la sueur.
De retour dans ma chambre, je retire ma serviette et me regarde un instant dans mon miroir derrière la porte. Je ne suis pas une star mais je plais bien aux garçons. Je ne veux pas me lier pour le moment, aussi, je suis célibataire. Quand j’ai des envies, j’aime bien me satisfaire toute seule … et là, j’ai envie.
De mon tiroir, je sorts mon sextoy. Il est rose, long, courbé au bout et vibrant. Je m’allonge sur le lit. Je descends vers le bas du lit pour avoir les deux pieds contre les deux montants et être complètement ouverte.
Je commence par des caresses de mes seins. Je mouille de sextoy avec la langue pour l’amener vers l’un et l’autre de mes tétons bruns. Je le suce encore et descend vers mon ventre. Je commence par me caresser de la main. J’insiste sur le clito. Je monte la vibration d’un cran et commence à me caresser la fente. Je le fais monter et descendre. Je suis bien.
Après quelques minutes de préparation, je lance un doigt. Il ressort trempé. Je le suce. Il est couvert de mouille. Le sextoy rentre doucement. Je le sors, le rentre le sors puis l’enfonce complètement.
Je le maintiens d’une main en reprenant mes caresses sur mes seins. Je fantasme sur un gars bien précis. Un gars bien baraqué qui m’a un peu dragué mais a renoncé. Je l’imagine entre mes jambes, aller et venir dans mon intimité.
Je l’imagine me dire des petits mots coquin dans l’oreille. Je suis super bien, toute seule avec mon sextoy.
C’est bon, je monte la vibration au maximum et je le fais bouger plus vite. Je prends mon pied, très fort. C’était bon.
La porte de ma chambre s’ouvre et mon père entre
- Ma chérie, en passant devant ta chambre, je t’ai entendu crier, tu as un pr…
Il ne fini pas sa phrase. Je suis toujours entièrement nue, les jambes ouvertes, les pieds calés sur les montants du lit et le sextoy à peine sorti.
- Heu … c’est quoi, ça, Morgan ?
- Ben tu vois papa, c’est un truc qui remplace un homme !
Je le retire, me recouvre et mon père sors de la chambre stupéfait de ce qu’il a découvert ce matin. Mais pourquoi, j’ai pas vérifié d’avoir bien fermé la porte à clé ?
Plus tard, je vais chez une amie et quand je rentre chez moi, le soir, je trouve mon père bourré, buvant ce que je suppose un un énième pastis avec mon sextoy sur la table.
- Mais papa, qu’est ce que tu fais avec mon jouet intime ?
- Ben tu vois, ma fille, si c’est le truc qui remplace un homme, je trinque avec mon gendre !
Je suis Morgan, blonde, de petite corpulence, les cheveux longs, les seins en poire, les fesses rebondies et les jambes musclées par le footing. J’ai 21 ans, étudiante et j’habite encore chez mes parents.
Le matin de chaque week-end, j’aime aller courir dès le lever du soleil. En semaine, activités estudiantes obliges, je me lève pour me préparer et aller en Fac.
Ce matin, samedi, je rentre de quelques kilomètres passés dans le parc très proche de la maison dont j’ai fait plusieurs fois le tour.
Je suis bien dans mon corps. Je prends une douche pour éliminer la sueur.
De retour dans ma chambre, je retire ma serviette et me regarde un instant dans mon miroir derrière la porte. Je ne suis pas une star mais je plais bien aux garçons. Je ne veux pas me lier pour le moment, aussi, je suis célibataire. Quand j’ai des envies, j’aime bien me satisfaire toute seule … et là, j’ai envie.
De mon tiroir, je sorts mon sextoy. Il est rose, long, courbé au bout et vibrant. Je m’allonge sur le lit. Je descends vers le bas du lit pour avoir les deux pieds contre les deux montants et être complètement ouverte.
Je commence par des caresses de mes seins. Je mouille de sextoy avec la langue pour l’amener vers l’un et l’autre de mes tétons bruns. Je le suce encore et descend vers mon ventre. Je commence par me caresser de la main. J’insiste sur le clito. Je monte la vibration d’un cran et commence à me caresser la fente. Je le fais monter et descendre. Je suis bien.
Après quelques minutes de préparation, je lance un doigt. Il ressort trempé. Je le suce. Il est couvert de mouille. Le sextoy rentre doucement. Je le sors, le rentre le sors puis l’enfonce complètement.
Je le maintiens d’une main en reprenant mes caresses sur mes seins. Je fantasme sur un gars bien précis. Un gars bien baraqué qui m’a un peu dragué mais a renoncé. Je l’imagine entre mes jambes, aller et venir dans mon intimité.
Je l’imagine me dire des petits mots coquin dans l’oreille. Je suis super bien, toute seule avec mon sextoy.
C’est bon, je monte la vibration au maximum et je le fais bouger plus vite. Je prends mon pied, très fort. C’était bon.
La porte de ma chambre s’ouvre et mon père entre
- Ma chérie, en passant devant ta chambre, je t’ai entendu crier, tu as un pr…
Il ne fini pas sa phrase. Je suis toujours entièrement nue, les jambes ouvertes, les pieds calés sur les montants du lit et le sextoy à peine sorti.
- Heu … c’est quoi, ça, Morgan ?
- Ben tu vois papa, c’est un truc qui remplace un homme !
Je le retire, me recouvre et mon père sors de la chambre stupéfait de ce qu’il a découvert ce matin. Mais pourquoi, j’ai pas vérifié d’avoir bien fermé la porte à clé ?
Plus tard, je vais chez une amie et quand je rentre chez moi, le soir, je trouve mon père bourré, buvant ce que je suppose un un énième pastis avec mon sextoy sur la table.
- Mais papa, qu’est ce que tu fais avec mon jouet intime ?
- Ben tu vois, ma fille, si c’est le truc qui remplace un homme, je trinque avec mon gendre !
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