Coup de chaud sur la plage Ep2

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Coup de chaud sur la plage Ep2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Coup de chaud sur la plage Ep2
Coup de chaud sur la plage Ep2



Il était beau, de petite taille mais il était beau, vraiment beau. Sa peau noire prenait bien la lumière, elle était douce dépourvue de poil. Il était resté torse nue, et ne portait qu'un short. Je l'avais vu faire et je savais qu'il ne portait rien sous son short large. C'est ce qui expliquait cette forme non définie qui semblait se balancer sous l'étoffe.

Il fallait l'avoir vu sur la plage pour comprendre ( si vous l'avez loupé je vous conseille l'épisode précédent ) il avait une très grosse bite et comme elle était très longue ( aussi ) le balancement se manifestait un peu plus bas que chez les autres personnes, chez des gens normaux par exemple.

En ce qui me concerne, rien ne dépassait, rien ne traînait, tout était bien rangé, à sa place. Mes couilles pendouillaient lourdement sous la cage, sur l'effet du soleil mais ma bite était et restait parfaitement bien confinée dans sa prison portable.

Elle protestait toujours et forçait contre les barreau de cette cellule, je n'y prêtait plus attention. Tout comme lui, j'avais une grosse molle mais ça ne faisait pas du tout pareil. Il se décontractait et se contrôlait, moi je me crispais et ne contrôlais plus rien.

Je m'imaginais au moment ou je me prendrais cette queue dans le cul, ça me faisait tout drôle rien que d'y penser mais on pouvait déjà supposer que ça ne me ferait pas rigoler à ce moment. En fait j'avais un peu la trouille.

On arrivait au parking, on s'installait dans ma voiture.

– Tu habites loin ? Me demandait-il.
– À Gros Bourg La Lande … Non c'est pas loin …
– De toutes façons je ne connais pas la région, je ne sais pas ou c'est. Mais tu me ramènes, sûr ?
– Promis je te ramène.

On arrivait chez moi un petit quart d'heure plus tard, j'avais bien dit que je n'habitais pas bien loin. J'habitais une petite maison entourée de verdure, il y avait une cour avec un peut partout autour des arbres qui me garantissaient une tranquillité totale.

Il me lançait un large sourire et laissait tomber son short. Il se retrouvait entièrement nu devant moi, je le regardais. Je devrais dire le le contemplait tant il était beau.

– Ton truc, tu ne le retire pas !

Je faisais non de la tête. Il semblait apprécier la réponse et rapidement je voyais sa queue grossis, se balancer lourdement puis grossir encore et se relever lentement. Elle était impressionnante, elle se redressait, arrivait à l'horizontal, continuait à se redresser. Je laissais tomber mon short moi aussi et me retrouvais nu devant lui.

C'était bien moins spectaculaire, ma cage, maintenant bien pleine arrivait à peine à se redresser mais on voyait à quel point elle était bien remplie. Me couilles formaient une grosse boule qui se contractait sous cette toute petite cage. Cette cage minuscule, désormais bien trop petite. La peau de ma bite faisait comme des bourrelets de peau qui dépassaient par les trous d'aération.

Ce n'était pas douloureux mais il semblait aimer ce qu'il voyait.

Il s'approchait et me caressait les couilles, il les prenait dans le creux de sa main et me les tripotait avec plus ou moins de douceur. Il s'amusait.

Je prenais sa queue dans la main, ma main était trop petite mais je la lui caressait, je passais ma main sur ses couilles qui pendaient presque aussi lourdement que sa queue quand il ne bandait pas. Je sentais son poids, c'était pas ordinaire, hors norme. Je sentais sa douceur au toucher, elle était ferme, légèrement molle en surface. Il me laissait faire.

Ensuite je me suis mis à genoux devant lui avec la langue je léchais son gland, je sentais ses réactions. Sa bite par moment se contractait, par moment devenait un peu plus dure ou un peu moins. Je suivais ses réactions, je m'en régalait. C'était un plaisir que de caresser et masser cette énorme masse qui réagissait à mes caresses.

Je sais pas pour vous mais moi, j'adore tripoter une grosse bite, ça m'excite au plus haut niveau. Je me régalais, ma queue protestait de plus en plus, le cock-ring me faisait un peu mal sous les testicules mais je préférais ne pas en tenir compte. Je me contentais de tirer doucement sur la peau et ça passait.

Au début il se contentait de me laisser faire et de me regarder mais ça ne durait pas. Rapidement il intervenait, il appuyait sur ma tête. Il me caressait le corps et il s'amusait aussi avec mes couilles. Ça l'amusait ça, depuis le début ça l'amusait. Il me malaxait les couilles, les écrasait, pas trop sinon j'aurais râlé mais juste ce qu'il faut, juste assez pour me faire couiner.

Puis il me prenait dans ses bras, c'était une étreinte folle, il était fort, petit mais fort. Il était musclé, petit mais musclé. Il avait la peau douce et c'est avec tout son corps qu'il caressait le mien. Ses baisers étaient chauds et passionnés.

On échangeait des baisers sur tout le corps, pas seulement sur les lèvre, nos caresses sur tout le corps, tous les corps. Il m'en donnait autant que je lui en donnais. Ce contact était merveilleux, sa beau noire et tellement douce était comme une gourmandise pour moi. Elle prenait et renvoyait si bien la lumière. J'étais aux anges.

Ses mains douces et agiles se promenaient sur tout mon corps, sur mes couilles bien sûr, comme je vous le disais il aimait bien s'amuser avec mes couilles, il aimait bien les tripoter. Puis ses mains glissaient vers mon cul, il lubrifiait avec sa salive et y glissait un doigt.

J'attrapais un tube de gel lubrifiant, là tout changeait. Ça glissait mieux, bien mieux et là aussi il se lâchait. Un doigt entrait avec une grande facilité puis un autre suivait et rapidement il s'amusait à me dilater le cul avec deux ou trois, quatre doigts peut être même.

Il était fort et me retournait sur moi même sans difficultés, c'est vrai que je ne résistais pas, il était fort et se retournait sur moi. Son corps caressait le mien, sa peau caressait la mienne. Sans trop en avoir l'air il prenait position.

Je me retrouvais sur le dos, les cuisses bien écartées, lui était allongé sur moi ses jambes entre les miennes. Il me donnait un baiser puis me saisissait les chevilles, il me repliait les jambes contre mon torse.

Comme je vous le disais il était très costaud, mais comme je vous le disais aussi, je ne résistais pas. Il s'appuyait sur mes chevilles et se relevait complètement sur moi, sa queue bien en face de mon cul.

Là je ne vous dis pas mais … j'ai paniqué … enfin si je vous l'ai dit !

Il m'avait lubrifié mon cul bien à fond, il avait fait de même avec sa bite. Elle était là qui appuyait contre mon anus. J'en menais pas large. Elle était énorme. Je savais que ça pouvais passer, j'ai un gode de la même taille. Mais avec le gode, c'est moi qui contrôle, là je ne contrôlais plus rien. Serait-il violent ? A quel point ? Il avait les moyens de me faire mal, de me blesser, allais-je survivre ? Un court instant, un très court instant la question me traversait l'esprit puis je sentais une pression douce contre mon cul.

Je respirais bien à fond, me détendait le plus possible, je ne serrais pas les fesses, surtout pas. Il appuyait son gland contre mon cul. D'abord la pression était douce, peu après elle devenait plus forte, plus décidée. Il poussait plus fort et un peu plus fort à chaque seconde.

Je prenais une grande inspiration et je me détendais. Là je sentais mon cul se détendre, quelque chose tentait de pénétrer. La seconde suivante je sentais mon cul se dilater, là ça devenait effrayant. Quelque chose de gros s'y glissait.

Je respirait de plus en plus fort, je paniquais dans ma tête, je sentais mon anus se distendre. Ça ne faisait pas mal, ça faisait peur. Je me faisais comme ne image virtuelle dans ma tête. Je voyais mon cul ouvert comme jamais et à l'intérieur un trucs que je ne définissais plus, un truc énorme qui glissait lentement.

– On en est ou ? Demandais-je.
– A la moitié ! Répondait-il.

Là je paniquais encore un petit peu. Il avait dit la moitié et déjà j'avais l'impression que je pourrais exploser de l'intérieur. Il marquait une pause et continuait à pousser. Sa queue glissait de nouveau, je sentais mon anus distendu à son maximum, je paniquais, un instant j'ai eu peur de déchirer. Puis je me suis souvenu que déjà je m'était enfilé des godes plus gros.

Je sentais sa queue glisser contre mon anus distendu, et dans m on ventre une énorme masse, un volume à la fois doux et ferme me remplissait.

Je paniquais de nouveau. Il était vraiment bien monté, ce n'était pas seule agréable, c'était également affolant. J'étais en pleine panique quand son ventre s'écrasait contre mes fesses. Pourtant je prenais mon pied. C'était bon, terriblement bon !

Il maintenait la position en poussant contre mes fesses mais sans bouger. Il me laissait le temps de m'y habituer et rapidement c'était un plaisir que montait en mois, un plaisir fou. J'ai eu comme des convulsion, mon cul repoussait sa queue, il râlait de plaisir.

Pour moi, mon cul convulsait et le repoussait, pour lui c'était un massage ferme et très agréable. Il se retirait alors, doucement pour commencer, pour moi, c'était le pied. Il glissait en mois avec légèreté maintenant. J'étais bien détendu. Puis il revenait, là je hurlais mais c'était du plaisir. Ce n'était plus rien que du plaisir.

Je savais bien que ça allait passer, c'est vrai, comme je vous le disais, j'étais entraîné.

Il revenait à la charge, il allait toujours très lentement et le plaisir montait encore. Je refermais mes jambes dans son dos, comme pour le retenir. Il se penchait alors sur moi et me serrait dans ses bras. On s'embrassait, on se caressait, et sa queue entrait et ressortait de mes entrailles. Elle bougeait doucement mais je la sentais bien. C'était intense.

Tout doucement il accélérait, ses mouvements devenaient plus rapides, de nouveau je paniquais. Il ne me faisait pas mal mais ce que je ressentais en moi était tellement gros que je paniquais. Jusque ou pourrait-il aller avant que je craque. Combien de coups pourrais-je encore encaisser avant que ça ne tourne mal ?

Il me limait avec régularité maintenant. Je gémissait de plaisir. Puis je finissais par gueuler, par hurler et c'était toujours de plaisir. Il me tripotait les couilles (ça faisait un moment ) … Il me tripotait les couilles avec fermeté et il y avait un peu de douleur dans mes hurlements maintenant.

Il accélérait et il semblait perdre le contrôle, il finissait par jouir, dans mon cul, les coups devenaient violents. Il jouissait il éjaculait. Je le sentais trembler, frémir. C'était une partie du plaisir pour moi, sentir contre moi le corps d'un homme qui jouit.

Il continuait à me tripoter les couilles et à s'amuser avec ma cage.

– Tu ne jouis pas ? Me demadait-il.
– Siiii, ccc'est l'pied.
– Tu reste sec, parfaitement sec.
– Nnnn'on mais … Aaaah !

À ce moment il bandait mou, sa présence dans mon corps était douce, il prenait encore beaucoup de place mais là, c'était agréable. Par moment mon cul se contractait, comme pour l'expulser. Il semblait apprécier. Il continuait encore quelques câlins puis se retirait.

C'est à ce moment que j'ai juté, un flot incroyable de sperme coulait de ma cage, un autre flot aussi important coulait de mon anus, et là j'ai joui de nouveau. C'était le pied, c'était un pied terrible.

Il était penché au dessus de moi, il appréciait ce qu'il voyait. Je respirait fort, mon cœur battait vite et ma queue ne me dérangeait plus du tout pourtant elle était encore grosse et prenait toute la place dans sa cage. Malgré cela elle se faisait oublier.

On et passé sous la douche, on s'est cajolé, câliné puis on a mangé. On est resté à poil pendant toute la soirée. Je l'ai bien sûr ramené chez lui mais seulement le lendemain matin.

Je me sentais terriblement bien, j'avais toujours cette impression d'avoir quelque chose de gros et de doux dans le cul, c'était terriblement bon. Avec ses cousins ils devaient rester deux semaines dans la région. On s'est revu souvent, et c'était pas la dernière fois que je devais me prendre sa queue dans le cul.

Par la suite, je ne paniquais pas je prenais beaucoup de plaisir.

Il m'a laissé un souvenir inoubliable et depuis j'aime tout particulièrement les hommes avec une peau foncée, ou très foncée. De temps en temps je pense encore à lui …


Fin


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Belle histoire, lut en bandant. Un peu longue, avec des phrases répétitives, et orthographe chiante ! On pardonne pour une grosse bite !



Texte coquin : Coup de chaud sur la plage Ep2
Histoire sexe : Une rose rouge
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