Cruelle domination
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 207 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.6 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.6
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-01-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Cruelle domination
Cruelle domination Dialogues Interdits, ou les conversations subversives et légères de deux personnages abordant tous les sujets sexuels, même les plus tabous. Une série d’histoires complètes, dont les épisodes peuvent se lire dans n’importe quel ordre.
Un nouvel épisode chaque samedi matin à 9 H et chaque mercredi soir à 20 H.
–––––––
— Alors ça y est ? Tu l’as enfin eu, ta première fois en étant total dominée ?
— C’est drôle… c’est arrivé alors qu’on en n’avait pas du tout parlé, ni rien mis en scène. Il a commencé à me tenir fermement et à se la jouer autoritaire et je me suis laissée faire, c’est tout. Attention, hein ! Pas de truc saignant, sado maso ou laissant des traces. Tout juste quelques courbatures et cheveux ébouriffés.
— Aucun arraché ?
— Plus ou moins par la force des choses, pas des poignées non plus. Faudra qu’il pense à bien passer l’aspirateur encore et encore, si sa femme découvre un seul petit poil de crâne…— Oh, tu as les cheveux courts. On peut à peine les empoigner, à condition de ne pas avoir de trop grosses mains. Ils brillent au soleil, un par un ils sont presque transparents.
— Aux yeux d’une femme attentive, tout ce qui est invisible devient opaque.
— Sinon, ça t’a plu ?
— Pas si mal. Sans accessoires, pile ce que je voulais.
— À genoux devant lui bras ballants avec ses mains dirigeant ta tête ?
— Oui, pas le moindre geste de mon propre chef. Juste, il m’avait fait poser mes mains sur ses cuisses.
— Banal.
— J’ai quand même été triste pour lui.
— Pourquoi ?
— Didier ne sait pas comment on fait pour bien sucer. En me dirigeant, il a réalisé un fantasme, mais il a fait en sorte d’être super mal sucé. Au moins personne ne pourra m’accuser.
— Tu aurais dû faire ça avec un bi.
— Les bi ont effectivement ce genre d’avantages, je pense. J’ai dû me retenir pour ne pas lui dire. Je voulais pas le froisser ! À chaque instant j’avais envie de lui expliquer comment faire.
— Seulement, avec les mains sur les cuisses et la bouche pleine…— Bah oui, impossible. Même en parlant la langue des signes.
— Il s’est pas ressaisi ?
— Je crois qu’il était tellement enchanté de faire ça qu’il s’est pas rendu compte à quel point sa queue était mal pompée. Pourtant, elle, sa queue, était pas contente. Il a pris un temps fou à bander dur, alors que d’habitude c’est au quart de tour.
— Son pénis a plus de goût que lui ! Il sait reconnaître qui le manipule, et il te préfère.
Un nouvel épisode chaque samedi matin à 9 H et chaque mercredi soir à 20 H.
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— Alors ça y est ? Tu l’as enfin eu, ta première fois en étant total dominée ?
— C’est drôle… c’est arrivé alors qu’on en n’avait pas du tout parlé, ni rien mis en scène. Il a commencé à me tenir fermement et à se la jouer autoritaire et je me suis laissée faire, c’est tout. Attention, hein ! Pas de truc saignant, sado maso ou laissant des traces. Tout juste quelques courbatures et cheveux ébouriffés.
— Aucun arraché ?
— Plus ou moins par la force des choses, pas des poignées non plus. Faudra qu’il pense à bien passer l’aspirateur encore et encore, si sa femme découvre un seul petit poil de crâne…— Oh, tu as les cheveux courts. On peut à peine les empoigner, à condition de ne pas avoir de trop grosses mains. Ils brillent au soleil, un par un ils sont presque transparents.
— Aux yeux d’une femme attentive, tout ce qui est invisible devient opaque.
— Sinon, ça t’a plu ?
— Pas si mal. Sans accessoires, pile ce que je voulais.
— À genoux devant lui bras ballants avec ses mains dirigeant ta tête ?
— Oui, pas le moindre geste de mon propre chef. Juste, il m’avait fait poser mes mains sur ses cuisses.
— Banal.
— J’ai quand même été triste pour lui.
— Pourquoi ?
— Didier ne sait pas comment on fait pour bien sucer. En me dirigeant, il a réalisé un fantasme, mais il a fait en sorte d’être super mal sucé. Au moins personne ne pourra m’accuser.
— Tu aurais dû faire ça avec un bi.
— Les bi ont effectivement ce genre d’avantages, je pense. J’ai dû me retenir pour ne pas lui dire. Je voulais pas le froisser ! À chaque instant j’avais envie de lui expliquer comment faire.
— Seulement, avec les mains sur les cuisses et la bouche pleine…— Bah oui, impossible. Même en parlant la langue des signes.
— Il s’est pas ressaisi ?
— Je crois qu’il était tellement enchanté de faire ça qu’il s’est pas rendu compte à quel point sa queue était mal pompée. Pourtant, elle, sa queue, était pas contente. Il a pris un temps fou à bander dur, alors que d’habitude c’est au quart de tour.
— Son pénis a plus de goût que lui ! Il sait reconnaître qui le manipule, et il te préfère.
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