Damien 61 - Désiré
Récit érotique écrit par Katy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Damien 61 - Désiré
Pendant les trois semaines qui suivirent, je suis resté très sage.
Ma peau ne portait plus aucune marque des coups de fouet et mon cul avait repris des formes normales.
Le vendredi vers 19 heures la sonnette retentit, c'était un ami antillais prénommé Désiré.
J'ai ouvert la porte il m'a fait la bise et me dit "Qu'est-ce
qui se passe, ça fait une éternité qu’on ne t’a pas vu ?
- Rien de grave j'ai attrapé un petit coup de froid et je
suis resté à la maison.
- Ah bon alors voilà je me suis dis `je vais aller voir ce
qu'il fait celui là`.
- Merci c'est gentil. Tu restes manger.
- Pourquoi pas. Tu as à boire ?
- Bien sur.
- Alors je reste.
- D'accord mais c'est toi qui fais à manger.
- Pas de problème si tu as du poulet je vais faire un petit
colombo ça te va ?
- Très bien".
Après avoir bu quelques verres nous avons dîné et après avoir mangé nous avons regardé la télévision, vers minuit nous sommes partis nous coucher.
Le lendemain matin je me suis levé vers 9 heures, Désiré dormait toujours, j'ai pris une bonne douche et j'ai préparé mon petit déjeuner.
Vers 11 heures Désiré s'est réveillé, il a bu un café puis est allé se laver.
A un moment alors que j'allais vers ma chambre pour ouvrir les volets j'ai failli heurter Désiré qui sortait de la salle de bains nu comme un ver.
J'avais toujours vu Désiré habillé et ce que j'ai vu m'a électrisé.
D'une forêt de poils noirs émergeait un sexe noir qui bien que flaccide était énorme et au-dessous pendaient deux grosses boules duveteuses, je dis à Désiré "Eh bien tu as un drôle de
paquet toi !
- Ah oui ?
- Tu peux le dire c'est un sacré morceau, je me demande
quelle taille il doit faire quand il est bandé.
- Tu voudrais le voir ?
- J'aimerais bien.
- Mais pourquoi ?
- Devine.
- Ecoute on peut aller chercher des filles et comme ça tu
verras.
- Oui on peut mais….
- Mais quoi ?
- Je ne sais pas si on a besoin de filles.
- Que veux-tu dire ?
- Oh rien.
- Mais si, attends ne me dis pas que tu es pédé ?
- Ca te gêne ?
- Non tu sais moi je m’en fous un trou c'est un trou.
- Donc tu vois bien qu'on n'a pas besoin de filles.
- C'est vrai que comme ça tu as raison.
- Alors ?
- Mais tu es vraiment pédé ?
- Eh oui ! Et j'ai vraiment envie de baiser avec toi.
- Je n’en reviens pas, ça fait quand même une paie qu’on se
connait et jamais tu n’as fait paraître quoi que ce soit.
- Tu sais même si on vit dans un monde relativement libéré,
ce n’est pas des choses qu’on crie sur les toits.
- Mais ça fait longtemps ?
- Quelques années et j’ai eu un certain nombre d’amants.
- Attention, moi je baise mais je ne me fais pas baiser.
- Mais qui te parle de te baiser ?
- Ecoute j'ai déjà baisé des types, il faut toujours les
branler, les sucer et certains veulent même baiser après
s'être faits baisé.
- Alors là tu n'as pas de raison de t'inquiéter car moi je ne
bande même pas, et….
- Je t'ai déjà vu avec des filles et tu me dis que tu ne
bandes pas !
- Avec les femmes je bande mais pas avec les mecs.
- C’est dingue, mon pote Damien qui est une salope.
- Et crois-moi, une sacrée salope, j’en ai déjà pris des
kilomètres de bite.
- AH, AH, AH !!
- Tu sais avec moi, c’est comme si tu es avec une fille, la
seule différence c’est que je n’ai pas de chatte mais les
seules choses dont il faut s'occuper c'est de ma bouche et
de mon cul et puis si tu es gentil tu peux me caresser
comme si j'étais une femme et ça j’adore.
- Mais bien sur que je suis gentil.
- Je n’en doute pas.
- Ecoute j’ai une idée, on va aller à la campagne, j’ai une
petite maison au bord d’un lac, on va passer un week-end de
de rêve à baiser. Qu'en penses-tu ?
- C'est super, allez viens préparons les bagages.
- Hé! Attends je suis à poil moi, commence à préparer je vais
m'habiller et je viens t'aider".
Un quart d'heure après les paniers étaient prêts, j'ai sorti ma voiture du garage et nous avons pris la route de la campagne.
J'avoue que j'avais une petite appréhension étant ce qui s'était passé avec Hamid.
Mais Désiré était mon pote et je ne l’avais jamais vu méchant et la discussion que nous venions d’avoir me portait à lui faire confiance.
Une demi-heure nous sommes arrivés, la petite maison était en fait un mobil home mais je m’en foutais, l’essentiel était de passer un bon moment dans les bras de celui sur qui j’avais jeté mon dévolu.
J'ai garé la voiture dans le petit jardinet et après avoir ouvert la porte nous avons vidé le coffre.
Désiré a allumé le réfrigérateur et ouvert les fenêtres puis il m'a dit "J’ai fait exprès d'acheter celui-là car il est
loin des autres, je viens souvent ici avec des filles comme
ça on peut faire ce qu'on veut sans être dérangé et sans
déranger les gens.
- C'est vrai.
- Oui c'est calme.
- Bien qu'est ce qu'on fait ?
- Comment qu'est ce qu'on fait je crois qu'on est venu ici
pour une chose.
- Oui.
- Tu veux toujours ?
- Oh oui j'ai envie de faire bander ta bite, de la sucer et
de me la prendre entre les fesses.
- Juste entre les fesses ?
- Mais non je veux que tu enfonces ta bite dans mon trou du
cul.
- Ah bon j'ai eu peur.
- AH AH AH !!
- Bien mais avant il faut mettre tout en fonctionnement.
- C'est à dire ?
- Pour être tranquille il faut d'abord ouvrir l'eau car on va
en avoir besoin pour la cuisine, on en aura aussi besoin
quand il faudra que je me lave la bite après t'avoir enculé
et avant de te demander de me sucer, il faut aussi attendre
que le frigo soit bien pour mettre les bouteilles et les
glaçons, il ne faut pas être pressé nous avons tout le
temps.
- Bien sur.
- Tu sais avec l'heure qu'il est il vaut mieux qu'on pense à
manger comme ça pendant que la bouffe cuit on peut prendre
l'apéro.
- Oui mais pas trop d'apéro, je n'ai pas envie que tu sois
saoul et que tu t'endormes au lieu de me baiser.
- Non je ne boirai pas beaucoup et je te baiserai bien.
- Alors d'accord.
- Bon viens on va éplucher quelques légumes et on va faire
des brochettes".
J'avoue que ce qu'avait dit Désiré au sujet de se laver le sexe avant de me le donner à sucer me soulageait, j'espérais que nous allions passer une journée et une nuit sublime.
Après avoir mitonné le repas Désiré m'a dit "Bon maintenant on
va prendre un bon verre, mais au fait j'y pense nous sommes
à la campagne alors pourquoi restons-nous habillés.
- Tu as raison.
- En plus comme nous sommes loin de tout le monde et que
quand même nous sommes là pour finir par baiser mettons-
nous nus.
- Pourquoi pas.
- Ça nous fera gagner du temps et en plus toi tu as vu ma
bite mais moi je n'ai pas vu ton petit cul, ce n'est pas
juste.
- Oui mais pour l'instant je n'ai vu qu'une bite endormie.
- C'est vrai mais tu verras tout à l'heure, tu vas voir une
bite que jamais tu as vu.
- J'espère qu'elle est bien longue et grosse.
- Elle est très longue et très grosse et elle baise bien.
- C'est tout ce que je demande".
Nous avons ôté nos vêtements et une fois nus Désiré m'a demandé de lui montrer mon cul, je me suis tourné et il m'a dit "Tu as vraiment un magnifique petit cul, tes fesses rebondies sont superbes, je crois que je vais passer un très
bon moment quand je vais rentrer dans ton antre secrète".
Je me suis rendu compte que cette vision avait fait son effet car le phallus s'était quelque peu redressé.
Je lui ai fait une légère petite caresse de la main et mon ami m'a dit "Tout à l'heure tu vas pouvoir jouer avec lui, pour
l'instant prenons l'apéro".
Après avoir bu trois apéritifs le manger était cuit et il était temps de dresser la table.
Pendant que je mettais les couverts Désiré en a profité pour glisser un de ses doigts dans la raie de mes fesses.
Ce contact m'a fait frissonner et j'ai remué des hanches, mon homme a souri et m'a dit "Je vois que tu dois bien aimer qu'on
te baise.
- Oh oui surtout si on me baise bien.
- Ne t'en fais pas je vais bien te baiser.
- Je l'espère.
- Mais oui, allez viens mangeons et après en avant la
bagarre".
Nous avons mangé tout en discutant de choses et d'autres, quand le repas a été terminé Désiré me dit "Maintenant on va
aller se laver les mains et au lit".
A peine étions-nous entrés dans la chambre que Désiré passa ses mains autour de ma taille et commença à m'embrasser dans le cou.
Je me collai à lui et commençai à sentir le phallus durcir contre mon postérieur.
Mon amant me fit tourner sur moi-même, il me mit une main sous mon menton et me força à lever la tête puis écrasa mes lèvres des siennes.
Nos dents s'entre choquèrent, j'ouvris la bouche, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un ardent baiser.
Je posai mes mains sur les épaules de mon homme et les yeux clos je me laissai emporter par une vague de désir.
Quand Désiré abandonna ma bouche j'avais la respiration saccadée et le rouge aux joues.
Je baissai les yeux et ce que je vis m'émerveilla.
Le pénis de mon mec était complètement érigé, c'était magnifique jamais, même dans mes baises black, je n'avais vu un membre aussi gros et long.
A l'extrémité de la monstrueuse hampe d'ébène il y avait un gland vermillon très large, j'avoue que si cette vision m'enthousiasmait il y avait quand même en moi un fort sentiment de peur vu les gigantesques dimensions.
Désiré s'aperçut de mon trouble et me dit "Je sais que j'ai
une très grosse bite mais elle rentrera quand même dans ton
cul, mais n'aie pas peur je ferai le plus doucement
possible pour qu'au début tu ais le moins mal possible,
après ton cul s'ouvrira et tu ne sentiras plus rien, mais
d'abord je voudrais que tu me suces, je veux voir si ta
bouche est aussi bonne sur ma bite qu'elle l'a été quand je
t'ai embrassé.
- Je suis sur que ton engin va bien me défoncer la rondelle
et je suis aussi sur que je vais payer cher au début, ce
n’est pas une bite c’est un anaconda.
- AH, AH, AH !".
Mon homme s'assit au bord du lit, il écarta les jambes et je vins m'agenouiller entre elles.
D'une main je me mis à caresser les testicules de mon amant tandis que prenant de l'autre main le phallus érigé à sa base je commençai à porter quelques coups de langue sur le gland turgescent.
Le traitement porta tout de suite ses fruits, le fabuleux membre s'allongea encore et Désiré soupira d'aise tout en fermant les yeux.
Pendant quelques instants je titillai le bout durci de cette hampe qui me faisait tant envie, je glissais la pointe de ma langue dans le méat pour recueillir les gouttes de foutre translucide qui perlaient.
Jugeant que les prémisses avaient assez duré mon homme posa ses mains sur ma nuque et me força à engloutir son pénis tuméfié.
Cette verge était tellement grosse que j'eus du mal à la prendre en bouche néanmoins, étant un spécialiste de la gorge profonde, je parvins à avaler quand même l'objet de ma dévotion.
Tout en le mordillant légèrement et en l'entourant de ma langue j'entamai une lente fellation sur le priape dressé.
Longtemps je suçai amoureusement la verge tout en caressant les bourses gorgées de sève.
Soudain mon mec, prenant mon visage entre ses mains, se mit à me faire monter et descendre sur sa virilité au rythme où il voulait être sucé.
Chaque fois que mes lèvres coulissaient sur le superbe sucre d'orge que je suçais Désiré murmurait "Ah oui c'est bon tu
suces bien".
Au bout de quelques instants de ce traitement Désiré bloqua ma tête entre ses mains et se mit à aller et venir entre mes lèvres en de lents coups de reins.
Il était en train de me piner la bouche, sa bite butait au fond de ma gorge chaque fois qu'il l'enfonçait à fond.
Je ne sais combien de temps mon amant continua à me fourrer la bouche.
Soudain je sentis le phallus tressauter sur ma langue, mon homme stoppa ses ruades et me laissa recommencer ma pipe à mon rythme.
Pendant une demi-heure je pompai voluptueusement ce splendide membre quand soudain je sentis le sexe tressauter sur ma langue.
Il me sembla que le gland doublait de volume et mon amant, plaquant ma figure conte son pubis, éjacula en râlant.
Un épais flot de sperme crémeux frappa mes amygdales et je l'avalai avec délice tout en cajolant de ma langue le phallus qui continuait à se déverser dans ma gorge.
La semence avait un petit goût salé qui ne me déplaisait pas.
Quand le calme fut revenu mon homme me libéra, je me levai et il me dit "Tu sais que tu suces superbement.
- Merci.
- Non c'est moi qui te remercie, on m'a rarement sucé aussi
bien.
- Tu sais quand on suce une superbe bite comme la tienne, il
faut s'appliquer.
- Peut-être mais franchement tu suces vraiment bien, je
n’aurais jamais cru que tu puisses prendre toute ma queue
dans ta bouche, c’est la première fois que ça m’arrive.
- Je suis content que ça t'ait plu mais tu sais je suis un
expert de la gorge profonds.
- Ça je m’en suis aperçu, oui ça m’ beaucoup plu, allez viens
maintenant je vais m'occuper de toi.
- Oh oui car j'ai vraiment envie que tu me baises, je suis
complètement en feu.
- Un peu de patience avant de te baiser il faut que je te
prépare bien le cul.
- Mais fais vite j'ai envie.
- Tu vas voir avec ce que je vais te faire tu auras encore
plus envie et puis n'importe comment si je ne te prépare
pas tu ne pourras pas prendre ma bite et je n'ai pas du
tout envie de te déchirer car si ton cul est aussi bon que
ta bouche je veux te baiser jusqu'à ce que j'ai les
couilles vides.
- Tu as raison mais tu verras mon cul est encore meilleur que
ma bouche et j’ai très envie de sentir ta pine me défoncer.
- Alors c'est une bonne raison de plus pour ne pas t'abîmer
le cul".
Le phallus de mon amant, un instant à demi flaccide, avait repris ses fabuleuses dimensions et au bout de son gland vermillon perlait une goutte de sperme translucide.
Mon mec me fit allonger sur le dos au milieu du lit puis il s'étendit sur moi tête bêche pour qu'on fasse un soixante neuf.
Je n'eus qu'à ouvrir la bouche pour enfourner à nouveau le priape turgescent et commencer à le sucer tout en le mordillant et en l'entourant de ma langue.
Mon homme empauma mes fesses brûlantes, il les écarta et, enfouissant son visage entre elles, vint darder mon œillet de sa langue inquisitrice.
J'étais déjà dans un tel état d'excitation que malgré le membre que je suçais je ne pus m'empêcher de gémir.
Sous les caresses expertes de Désiré je sentis mon anus s'ouvrir.
Le désir avait maintenant complètement pris possession de moi, je levai les jambes et les écartai pour m'offrir plus encore aux doux sévices que mon amant m'infligeait.
Mon mec, les mains crispées sur mes miches brûlantes qu'il écartait au maximum, me titillait le fion de sa langue pointue.
Longtemps mon homme pratiqua sur moi ces attouchements buccaux, j'avais la raie pleine de salive et je sentais mon anneau palpiter.
Soudain mon mec remplaça sa langue par son pouce qu’il fit tourner sur mon sphincter, cette pression sur l’entrée de ma grotte intime me fit tressaillir et je sentis mon anneau se déployer encore plus.
Après plusieurs minutes de ce traitement, j’étais en feu et j’ondulais du popotin.
Désiré m'enfonça un doigt dans le cul et il se mit à faire aller et venir lentement.
L'intromission de ce mini phallus me fit frissonner, je tendis ma croupe pour m'offrir plus encore et me suis mis à pomper vigoureusement le phallus que j'avais entre les lèvres.
Un deuxième puis un troisième doigt vinrent rejoindre le premier, je sentais mon anus s'agrandir et une douce langueur m'envahir.
Je ne sais combien de temps Désiré me travailla le cul de cette façon, ce qu'il me faisait était si bon que j'avais de plus en plus de mal à me concentrer sur ma fellation.
Soudain mon amant arrêta ses caresses, il sortit son phallus de ma bouche, se leva et me dit "Retournes-toi et allonges toi
sur le ventre en travers du lit".
Je pris la position demandée, Désiré passa derrière moi, il écarta mes jambes et s'agenouilla entre elles.
Ses mains se posèrent sur mes lobes charnus brûlants et il commença à me masser le postérieur.
Sous ces attouchements je fermai les yeux et laissai le plaisir s'insinuer lentement dans mon corps enfiévré.
La bouche avide de mon amant se posa dans le creux de mes reins et se mit à me butiner.
Au bout de quelques instants mon homme se leva, sa langue râpeuse se posa dans mon cou et descendit lentement le long de ma colonne vertébrale jusqu'à la naissance du sillon de mes fesses.
Je me pâmais littéralement sous ces caresses expertes.
Je ne sais combien de temps mon mec m'effeuilla de la sorte, de ma gorge s'échappaient de langoureux râles de bien-être.
Je sentais mon anneau palpiter, je ne tenais plus je voulais que mon amant me pénètre.
Soudain il empauma mes miches et les écarta, sa langue pointue vint de nouveau darder mon œillet plissé.
Ce contact m'électrisa et un "aaaaaaaaaaaaahh" profond pulsa de ma bouche.
Après m'avoir longuement bouffé le cul Désiré m'enfonça lentement trois de ses doigts dans le fondement tout en les faisant tourner en moi, je sentais mon anus s'ouvrir un peu plus chaque fois.
Sur mon corps excité à l'extrême le moindre contact sur ma peau me faisait frémir et la bouche grande ouverte je râlais sans discontinuer, j'étais cambré au maximum m'offrant totalement.
Ce que me faisait Désiré était si bon que j'avais l'impression que je m'envolais, les vas et viens de ses doigt au plus profond de moi me faisait décoller.
Soudain un quatrième doigt vint rejoindre les autres et un langoureux râle s'échappa de ma poitrine.
Désiré me travailla encore longtemps le cul de la sorte, je bramais maintenant sans discontinuer.
A travers les brumes du plaisir dans lesquelles j'étais j'entendis la voix de Désiré qui murmurait "Ca c'est un beau
cul il s'ouvre bien, je vais bien le baiser".
Jugeant à mon attitude que j'étais prêt mon amant me dit "Je
vais te baiser maintenant, mets-toi à genoux les fesses en
l'air comme ça ton arrière-train sera bien ouvert, et
surtout n'aies pas peur ça va te faire un tout petit peu
mal quand ma tête va rentrer mais je vais faire doucement
et toute ma bite rentrera dans ton cul".
Je me mis en position et Désiré s'agenouilla derrière moi.
Il glissa son énorme gland dans la raie de mon cul et le posta contre mon antre affamée.
Bien que je sois très excité et bien ouvert par les préliminaires, j'eus un mouvement de panique quand je sentis la formidable taille de ce qui s'apprêtait à entrer en moi et j'essayai de me dérober.
Mon amant posa ses mains sur mes hanches et me maintenant commença à peser sur mon orifice.
Dès que le bout durci écarta mes chairs une douleur aiguë me parcourut et je poussai un cri de souffrance.
Mon homme s'écarta un peu de moi tout en laissant la prodigieuse tête de sa virilité en contact avec mon orifice.
Au bout de quelques instants il recommença à presser sur ma pastille torturée.
Chaque fois que Désiré ressentais une gêne il s'arrêtait pour laisser la douleur s'estomper.
Chaque fois que de nouveau il pesait je sentais l'incroyable gland entrer un peu plus en moi, j'étais si surexcité que malgré le mal que je ressentais je voulais que mon amant me défonce et je lui dis "Vas-y défonce-moi je veux sentir ta
grosse bite dans mon petit cul.
- Pas encore je ne veux pas te briser le cul, d'ailleurs il
ne reste plus grand chose ton trou de balle est bien ouvert
il a presque la taille pour accepter ma bite.
- Je m'en fous que tu me fasses mal, je veux que tu
m'enfiles.
- Tu peux dire ce que tu veux c'est moi qui commande, c'est
moi qui te pointe.
- Alors dépêche-toi je ne tiens plus.
- Bientôt tu auras tout dans ton cul".
Lentement centimètre par centimètre Désiré enfonça son monstrueux gland dans mon anus.
Finalement j’avais payé moins cher que je ne l’aurais cru, mais tout cela parce que Désiré avait été d’une douceur extrême.
Une fois qu'il fut passé il le ressortit lentement puis l'introduit de nouveau pour m'assouplir l'anneau, à chaque passage je poussais de petits geignements.
Peu à peu ma corolle se décontracta et le mal fit place à une sensation de bien-être, c'est à ce moment que mon homme me pénétra jusqu'à la garde avec une lenteur calculée.
Quand je sentis les poils follets de son pubis contre mes fesses bouillonnantes je sus qu'il était en moi entièrement.
Désiré resta quelque temps immobile me laissant m'habituer à la colossale présence qui m'obstruait le fondement.
Jamais je ne m'étais senti rempli comme ça, mon trou du cul était si écartelé que je croyais que mes miches allaient se séparer.
Mon homme me dit "Tu vois que j'avais raison tu as tout pris
dans ton petit trou du cul.
- Oui c'est vrai mais j'ai l'impression que mon cul va
exploser tellement tu es gros.
- Je sais mais ne t'en fais pas bientôt ton trou va se
détendre et après ma bite va pouvoir bouger dans ton petit
puits d’amour sans problème.
- Je le sais bien mais tu sais j'ai envie de sentir ta queue
me fouiller le cul.
- Encore un peu de patience et je vais te donner ton compte".
Pendant notre discussion mon anus se décontracta un peu et lentement Désiré se mit à aller et venir en moi m'arrachant à chaque passage des petits cris de douleur qui peu à peu se muèrent en profonds gémissements.
Mon mec me possédait de toute la longueur de son gigantesque sexe le sortant presque entièrement de moi pour le replonger au fond de mes entrailles la seconde suivante.
Sous les lents mais non moins virils vas et viens mon sphincter céda complètement et la fantastique bite put coulisser en moi sans gène aucune.
J'avais fermé les yeux et savourais le plaisir qui montait en moi par vagues successives.
Au bout de quelques minutes de ce traitement je ronronnais sous les coups de pine que je recevais m'ouvrant un peu plus la pastille chaque fois que le monstrueux sexe plongeait au tréfonds de mon cul en feu.
Désiré me possédait avec une régularité de métronome, son ventre plat claquait contre mes fesses portées au rouge et je ne fus pas long à râler langoureusement sous les assauts répétés de mon amant.
Chaque fois que le phallus d'ébène se fichait à fond entre mes miches je me sentais sombrer plus encore dans l'univers cotonneux du bonheur.
Je planais littéralement sous les coups de queue qui m'éclataient le cul, j'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mon rectum ravagé.
Sous les coups de boutoir redoublés j'avais rejeté la tête en arrière et je me cambrais pour m'offrir encore plus à la magnifique pine qui m'explosait le trou de balles.
Je sentais en moi couver un brasier ardent, j'avais atteint la plénitude rectale et je hurlais sans discontinuer, le plaisir que je ressentais était tel que je croyais devenir fou.
L'énorme priape turgescent allait et venait en moi toujours aussi lentement.
C'était fabuleux jamais je n'avais éprouvé une telle jouissance, je ne vivais plus que pour et par le membre qui me forait les reins me fendant un peu plus la raie à chaque passage.
Chaque fois que Désiré me plantait sa hampe au fond du trou je poussais de petits hurlements de plaisir, pour moi seul comptait le pénis démesuré qui me creusait le fion.
Mon mec avait posé ses mains sur mes épaules et me pinait le cul de toute la longueur de son incroyable sexe, chaque fois qu'il s'enfonçait en moi il disait "Que ton petit cul est bon,
tiens encaisse".
Je ne sais combien de temps mon homme m'a baisé de la sorte, j'avais la rondelle complètement éclatée et cambré au maximum je roulais des hanches en cadence.
Des boules de feu prenaient naissance dans mon bas-ventre pour venir exploser vers mon visage, j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à hurler toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.
Un orgasme destructeur me balaya, une boule se forma dans mon estomac et explosa sur mon visage.
Je tendis mon cul vers la verge qui me défonçait pour accentuer la pénétration.
Mes ongles griffèrent les draps, un hurlement strident de plaisir pulsa de ma gorge et je chutai lourdement sur la couche perdant connaissance.
Quand je revins à moi Désiré, toujours fiché entre mes fesses, était allongé sur moi immobile, je sentais en moi le fabuleux phallus palpitait.
Mon amant me dit "Vraiment toi tu es une belle salope, je n'ai
jamais vu ça même les gonzesses ne sont pas comme toi.
- Merci mais j'ai cru que j'allais devenir fou tellement je
jouissais.
- Je sais j'ai entendu mais ne t'en fais pas c'est pas fini,
moi je n'ai pas encore tiré mon coup.
- Je le sais je sens bien ta bite bien dure dans mon cul.
- Oui et crois-moi je vais encore bien t'enculer avant de
juter.
- Je l'espère car j'ai très envie de prendre encore beaucoup
de plaisir.
- Je sais que tu veux de la bite et je vais t'en donner mais
maintenant je veux qu'on change de position.
- Si tu veux.
- Bien maintenant je vais te baiser comme une femme".
Sans que nos corps ne se désunissent mon homme me fit tourner sur son membre et je me retrouvai sur le dos, j'écartai mes cuisses et les levai.
D'un petit coup de reins mon mec se planta au fond de mon cul en fusion et prenant appui sur les avant-bras et lovant sa tête dans le creux de mon épaule reprit ses lents mouvements de va et viens.
Je nouai mes jambes dans son dos et les yeux clos me laissai emporter de nouveau vers l'univers cotonneux du plaisir.
Au bout de quelques instants de ce traitement, le désir légèrement retombé suite à l'orgasme qui je venais d'avoir reprit possession de mon être enfiévré.
Désiré me besognait avec une régularité de métronome, son énorme pénis érigé sortait presque entièrement de mon antre béante pour replonger jusqu'à la garde la seconde suivante.
Les coups de boutoir répétés de mon homme me faisait basculer dans le bonheur, la bouche grande ouverte je ronronnais sous les coups de bite que je recevais.
Dans la pièce, en dehors de mes râles, on entendait les bruits de succion que faisait mon sphincter éclaté chaque fois qu'il enfournait le gigantesque priape d'ébène.
Mon mec me possédait un peu plus rudement, ses coups de reins étaient plus saccadés, chaque fois qu'il s'enfonçait au tréfonds de mon tunnel brûlant ses testicules frappaient mes miches en feu.
J'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mon intimité embrasée.
Mes ronronnements s'étaient mués en cris de volupté et je roulais des hanches en cadence me cambrant pour m'offrir totalement à la pine roide qui me forait les reins me dilatant un peu plus le fondement chaque fois qu'elle me fourrait.
Ce que me faisait mon amant était si bon que je voulais qu'il continue indéfiniment, j'avais noué mes bras sur ses épaules et je me tordais comme un damné sous celui qui me montait.
Désiré me sodomisait en de virils coups de reins qui m'emmenaient au septième ciel.
Je ne vivais plus que pour et par la queue qui m'empalait, j'avais perdu le sens des réalités et je hurlais sans discontinuer.
Détachant mes jambes de son dos, mon homme les leva et les replia vers mon torse de telle sorte à ce que ma fente ressorte au maximum et se mit à me pilonner l'anus à une vitesse folle.
Les assauts que je recevais étaient si violents que j'avançais sur le matelas chaque fois que la hampe turgescente s'enfonçait dans ma grotte enflammée.
Je ne sais combien de temps Désiré me baisa de la sorte, ses poussées étaient si brutales que je me disais que s'il continuait comme ça il allait me déchirer mais c'était si bon que je voulais qu'il continue, je n'étais plus qu'un cul, je voulais que mon mec entre tout entier en moi.
J'avais atteint la plénitude rectale pour moi seul comptait le merveilleux sexe qui me défonçait le trou, j'avais planté mes ongles dans la chair musclée des épaule de mon homme et je bramais sous ses coups de pine virils.
Je n'étais plus que jouissance, je savais que seule cette bite qui me bourrait si bien pouvait éteindre l'incendie qui me consumait.
Jamais on ne m'avait enculé de la sorte, j'avais atteint le point de non-retour et tout entier à mon plaisir je me mis à délirer hurlant toutes les phases du bien-être par lesquelles je passais.
Un spasme foudroyant me transperça, mes jambes battirent l'air, je labourai les épaules de mon amant de mes ongles.
Mon corps s'arqua sous celui qui me montait, je tendis mon postérieur vers la monstrueuse verge qui me ramonait.
Un hurlement strident pulsa de ma gorge et je retombai lourdement sur le lit sombrant dans l'inconscience.
Quand je rouvris les yeux je me rendis compte que je n'étais plus sur le lit.
J'étais à plat ventre sur la table de la salle à manger, un coussin sous le ventre et les jambes pendantes.
Désiré me sodomisait en de violents coups de reins, c'est là que je réalisai qu'il n'avait pas encore joui.
Le désir un instant éteint après le fade que je venais de prendre se ralluma en moi.
Mon amant les mains crispées sur mes fesses en feu qu'il écartait au maximum se ruait dans mon tunnel avec une vitesse folle.
Bien que j'eus le fion complètement explosé je sentais l'incroyable phallus me limer jusqu'à plus jouir et je me remis à râler.
Je ne sais combien de temps Désiré m'encula de cette manière, j'avais perdu le sens des réalités et je hurlais sans discontinuer sous les virils assauts que mon homme m'assénait.
Soudain se plaquant contre mon arrière-train démoli Désiré éjacula en feulant.
Un formidable flot de sperme crémeux fusa contre mes parois surchauffées me déclenchant un orgasme stupéfiant.
Je griffai la table de mes ongles, je tendis mon cul vers la pine qui continuait de se déverser au fond de moi pour accentuer la pénétration.
Un hurlement perçant jaillit de ma poitrine et je retombai lourdement sur la table.
Je sentis le priape de mon homme sortir de mon antre et je restai immobile les yeux clos savourant les dernières contractions du bonheur autour de ma corolle ravagée.
Quand je repris conscience des réalités, je descendis de la table.
Désiré était assis sur une chaise en train de fumer, son sexe flaccide maculé de sécrétions intimes et anales reposait sur sa cuisse comme un gros ver noir, il me dit "Quel cul, mais
quel cul tu as, jamais je n'ai vu un cul pareil même chez
les filles, tu es très bonne à baiser.
- Merci mais tu sais je suis peut-être bonne à baiser mais il
faut dire que toi tu as une sacré bite, tu m'as fait monter
au septième ciel, pourtant tu sais j’en ai pris des
kilomètres de bite dans le cul mais personne m’a fait jouir
comme tu viens de le faire. Je me suis tapé de tout, des
européens, des arabes, des asiatiques, des blacks. J’ai
fait des partouzes, des tournantes, jamais un mec ne m’a
donné autant de plaisir.
- Merci mais j’ai bien vu que tu avais pris ton pied et mes
épaules aussi.
- Je t'ai griffé ?
- Non tu m'as simplement lacéré la peau.
- Excuse-moi.
- C'est rien ça veut dire que tu as pris du plaisir.
- Oh oui j'ai cru devenir folle tellement tu m'as bien baisé.
- Alors je suis content.
- Mais tu sais que tu m'as complètement cassé le cul.
- Oui mais tu ne voulais pas ?
- Oh si et j'espère que tu ne vas pas t'arrêter là.
- Bien sur que non je vais encore te mettre ma bite dans le
cul aujourd'hui et cette nuit.
- Super parce que si toi tu dis que tu n'as jamais vu un cul
comme le mien, moi je n'ai jamais une pine comme la tienne.
- Merci.
- Non c'est moi qui te remercie de m'avoir baisé aussi bien.
- Je sais que j'ai une belle bite mais quand on est devant un
cul comme le tien il faut bien le baiser.
- Ca veut dire qu'on est content tous les deux et c'est bien.
- Oui veux-tu une cigarette ?
- Oui mais excuse-moi si je ne m'assois pas je ne veux pas
tacher les chaises, je sens ta jute qui coule de mon cul
parce que là aussi bravo tu m'as vraiment inondé le trou.
- Moi quand je jute il y en a toujours beaucoup.
- Je m'en suis aperçu et c'est bien car j'aime recevoir
beaucoup de sperme aussi bien dans le cul que dans la
bouche.
- Ne t'en fais pas je vais t'en donner.
- Je l'espère.
- Bien je vais aller me laver la bite et après on ira nager
un peu, ça fera du bien à ton cul il va se refermer un peu
car crois-moi il est grand ouvert et après on recommencera.
- D'accord mais moi aussi je vais me laver car je ne vais pas
sortir avec de la jute qui coule sur mes cuisses, pour ce
qui est de mon cul je sens bien qu'il est ouvert.
- Ca te fait mal ?
- Non et je te remercie de m’avoir ouvert le trou lentement
sans m'esquinter ce qui fait que je ne ressens aucune
douleur, tu baises très bien tu as attendu que mon cul sois
bien dilaté avant de m'enculer fort.
- Bien sur c'est comme ça qu'il faut faire sinon il n'y a pas
de bonne baise.
- Tu as raison.
- Bien fume tranquillement je vais me laver".
Après avoir pris une bonne douche nous partîmes nous baigner, nous restâmes environ deux heures sur le bord du lac et vers 5 heures nous reprîmes le chemin du cabanon.
Une fois entrés Désiré me dit "Je crois que ça nous a fait du
bien de nager.
- Oui.
- Je me sens en pleine forme. Et toi ?
- Mois aussi.
- Comme ça on va pouvoir bien baiser.
- Tu as raison.
- Eh bien pour donner de l'appétit j'aimerais que tu me
fasses une pipe. d'accord ?
- Bien sur, sucer ta bite sera pour moi un grand plaisir.
- Merci mais j'aimerais que tu me suces dehors, j'aime bien
ça.
- Si tu veux mais es-tu sur que personne ne viendra ?
- Sur je te l'ai dit tout à l'heure, j’amène souvent des
filles ici et on baise aussi bien dedans que dehors.
- Mais alors pourquoi ne ferions-nous pas la même chose.
- Quoi ?
- Tout à l'heure tu pourrais me baiser dehors, j'aime bien
avoir le cul à l'air.
- D'accord pourquoi pas, il y a tout ce qui faut pour baiser
il y a des matelas, des chaises, des tables et même un
robinet pour se laver.
- Super donc allez c'est bon baisons dehors.
- D'accord on va pouvoir rester nus jusqu'à qu'on dorme.
- Oui.
- Bon allez viens, j'ai envie de sentir tes lèvres sur mon
sexe".
Désiré ôta son short et je pus voir que son pénis n'était pas encore en érection, à mon tour je baissai mon maillot, ce geste provoqua une réaction chez mon amant, sa queue se redressa quelque peu et il me dit "Tu vois ma bite a vu ton
cul et elle relève déjà la tête.
- AH, AH, AH !!".
Une fois sur la terrasse mon homme resta debout les mains sur les hanches.
Je compris qu'il voulait que je le suce dans cette position.
Je m'agenouillai face à lui et de la main gauche je commençai à caresser ses testicules duveteux.
Ce léger contact eut pour effet de faire se dresser la hampe noire.
Tout en continuant à effleurer les bourses gorgées de sève je saisis le phallus à la base et je commençai à le branler doucement.
Il ne fallut que quelques secondes pour que la virilité de mon mec retrouve ses phénoménales dimensions.
Désiré ferma les yeux et rejeta la tête en arrière et sa respiration avait accéléré.
Pendant quelques instants je continuai à traire la pine érigée tout en caressant les burnes jusqu'à ce que mon mâle pose ses mains sur ma tête.
J'approchai mon visage de l'énorme bite et je commençai à la lécher sur toute sa longueur.
Elle avait un goût salé du à la baignade, le doux contact de ma langue sur cette chair turgescente fit encore plus se dresser et grossir la verge.
Après l'avoir bien aguiché de la sorte je me penchai sur le membre et du bout de la langue j'entrepris de suçoter le gland tout en titillant le méat et recueillant les gouttes de liqueur translucide qui perlaient.
Je m'abandonnai quelques instants à ce baiser lingué avec le bout durci quand je sentis sur mon crâne les mains de mon amant appuyer plus fortement.
J'ouvris tout grand la bouche et j'enfournai l'objet de ma dévotion.
J'entourai la tige de ma langue tout en la mordillant puis je me mis à monter dessus lentement.
Pendant une demi-heure je pratiquai une lente fellation, Désiré se cambrait au maximum pour s'offrir totalement à ma bouche gourmande.
J'avais posé mes mains sur ses cuisses et amoureusement je pompais ce superbe phallus d'ébène.
Ce sexe était tellement grand que j'avais un peu mal aux mâchoires et que deux filets de salive coulaient le long des commissures de mes lèvres.
Chaque fois que j'embouchais la biroute raide de mon mâle il murmurait "Oh oui c'est bon comme tu suces"..
Soudain je sentis sur ma langue le priape palpiter, il m'a semblé que le gland doublait de volume.
Mon amant plaqua mon visage contre son pubis et explosa en feulant.
Un flot de semence gicla contre mes amygdales et je le bus avec délectation tout en cajolant le membre de mes lèvres jusqu'à ce que le calme soit revenu.
Quand mon homme me relâche, je m'écartai de la bite à demi flaccide et me relevai, mon mec me dit "Tu suces vraiment
bien, ta bouche est presque aussi bonne que ton cul, tu es
vraiment une superbe pute.
- Merci.
- Non c'est moi qui te remercie de m'avoir fait jouir aussi
bien.
- Tout à l'heure ce sera à toi de me faire jouir, mais tu
sais j'aime sucer ta bite et ton sperme a très bon goût.
- Merci bon maintenant on va préparer le manger et prendre un
petit verre et après je vais te donner ton compte.
- D'accord, alors dépêchons-nous car j'ai très envie de
sentir ta bite m'éclater de nouveau la rondelle.
- T'en fais pas car après manger il y aura toute la nuit et
crois-moi je vais te donner ton compte.
- Je l'espère.
- Tu vas voir je vais te baiser comme un taureau.
- Tu as intérêt car je commence à avoir le cul en feu moi.
- Ne te casse pas la tête je vais l'éteindre ce feu cette
nuit".
Après avoir mis le dîner à cuire, je servis l'apéritif sur la terrasse, pendant que nous buvions Désiré me dit "Mais dis-moi
comment ça se fait que tu sois devenu pédé, je t'ai
pourtant vu avec des gonzesses, je sais même que tu as
baisé la mère Laurent.
- Tu as raison je l'ai baisé et pas mal d'autres.
- J'ai même entendu dire que tu avais baisé Zohra.
- C'est vrai mais il ne faut pas le dire, elle est mariée.
- Bien sur mais tu ne m'as toujours pas répondu.
- Ecoute c'est simple, à la fin d’un cours de sport mon prof
de gym m’a caressé dans les vestiaires, j’y ai pris du
plaisir, il m’a demandé de lui sucer la bite puis après il
m’a dépucelé du cul. J’ai adoré et depuis ce jour je ne
baise qu’avec des mecs et je prends un plaisir fou.
En plus je me suis aperçu qu'en plus je ne bandais pas
quand je baisais avec un mec, j'ai donc pris ma décision
c'est à dire de continuer à me faire baiser par des hommes.
- Mais tu ne veux plus baiser avec des femmes.
- Non je suis un vrai pédé et seulement ça.
- Ca alors je ne comprends pas, regarde moi je te baise
aujourd'hui mais si demain je rencontre une fille je la
baise.
- Bien sur mais toi mais regarde ce que nous venons de faire.
- Je ne comprends pas ?
- On vient de baiser mais toi tu es resté l’homme, le mâle,
tu m’as possédé, moi j’ai fait la femme, la femelle, je me
suis donnée à toi. Tu sais cette décision je ne l’ai pas
prise comme ça, je me suis tapé un grand nombre de mecs et
je me suis rendu à l’évidence, je préfère de loin être
baisé que de baiser
- Je vois.
- Eh oui.
- Bien avant de reprendre un verre si on s'occupait un peu de
ton petit trou du cul. Hein ?
- Ah oui.
- Bien voilà ce qu'on va faire, tu va venir t'asseoir sur mes
cuisses face à moi et je vais te baiser assis, d'ailleurs
regarde il le faut car ma pine est toute droite.
- Hum !! En avant tout de suite".
Je déplaçai la table puis m'assis face à mon amant, le phallus érigé vint aussitôt se placer entre mes fesses.
Désiré posa sa main sur ma nuque et approcha sa figure de la mienne.
Il écrasa mes lèvres, nos dents s'entre choquèrent, j'ouvris la bouche, nos langue se nouèrent et nous échangeâmes un baiser enflammé qui me laissa pantelant.
Délaissant ma bouche mon homme me lécha le visage puis me bécota le cou.
Pendant ce temps je sentais le priape raide palpiter dans la raie de mon postérieur.
Mon mec reprit ma bouche et glissant une main entre nos deux corps il positionna son gland à l'orée de mon antre affamée, pour montrer mon envie je me tortillai.
Tenant fermement sa verge Désiré donna un petit coup de reins.
Bien que mon sphincter soit un petit peu refermé il était encore amolli et le bout durci pénétra en moi.
Quand la fabuleuse tête de la bite turgescente me déflora je ressentis une petite mais non moins vive douleur et bien qu'ayant la bouche toujours prise je poussai un cri.
Tout en me butinant les lèvres mon amant resta immobile laissant mon orifice s'habituer à la présence qui le distendait.
Peu à peu mon anneau céda et mon homme me pénétra jusqu'à la garde me faisant gémir.
Mon mec abandonna ma bouche et me dit "Tu vois, ça y est je
suis entièrement en toi.
- Oui mais tu as quand même un sacré calibre, j'ai encore un
peu mal.
- Restons un peu de temps sans bouger et ton cul va s'ouvrir.
- Tu sais que je sens bien ta bite palpiter en moi, je
t'assure de tous les mecs qui m'ont baisé jamais je ne me
suis senti rempli autant.
- Et tu aimes être bien rempli ?
- Oui même si au début ça fait un peu mal après c'est
tellement bon.
- Tu vas voir tu vas encore bien jouir.
- J'en suis sur allez vas-y défonce-moi.
- Encore un peu de patience, je sens ton trou se décontracter
autour de mon zob.
- Ca fait rien si j'ai mal mais vas-y casse-moi le cul.
- Bon tu l'auras voulu".
Me prenant par la taille Désiré commença à me faire monter et descendre lentement sur sa monstrueuse colonne de chair dressée m'arrachant à chaque passage de petits couinements.
Peu à peu mon anus céda et la magnifique pine pu coulisser en moi sans aucune difficulté.
Posant mes bras autour du cou de mon amant je fermai les yeux et la tête rejetée en arrière je me laissai emporter dans un tourbillon de bien-être.
Je ne sais combien de temps mon homme me fit aller et venir sur son merveilleux vit.
Mes miches étaient bouillantes, je sentais le désir monter en moi par vagues successives et je me mis à onduler.
Le plaisir que me donnait ce sexe fiché entre mes deux lobes charnus était exceptionnel et je me mis à pousser de lourds râles de bonheur.
Mon trou complètement dilaté produisait des bruit de succion chaque fois que mon mec m'empalait jusqu'à la garde.
Le corps en feu je me cambrais pour m'offrir plus encore à la hampe qui me creusait les reins.
Désiré avait arrêté de me faire bouger sur son sexe et donnait de violents coups de boutoir.
Sous les assauts répétés je me sentais sombrer, j'avais atteint la plénitude rectale.
Pour moi seul comptait le phallus démesuré qui cassait la pastille.
J'étais comme un pantin désarticulé entre les mains de mon homme, chaque fois que le pénis turgescent se plantait au fond de mon rectum en fusion je poussais des cris de plaisir.
Désiré me besognait avec des "HANS" de bûcheron, le puissant membre s'enfonçait au tréfonds de mes entrailles pour ressortir presque entièrement la seconde suivante.
Je planais littéralement sous ses poussées viriles qui me transportaient au paroxysme de la jouissance, je ne vivais plus que pour et par le somptueux phallus qui me ramonait le prose jusqu'à plus jouir.
Mon mec avait posé ses mains sur mes épaules pour m'immobiliser et me pilonnait le cul en de brutaux coups de bite m'ouvrant un peu plus le tunnel à chaque fois.
Soudain Désiré se leva et alla s'appuyer contre un pilier.
Je nouai mes jambes dans son dos et la tête posée dans le creux de son épaule je savourais le plaisir qui me submergeait.
Chaque fois que la bite roide s'enfonçait dans ma fente jusqu'à la garde j'avais l'impression que mon ventre explosait.
Mon homme me pilonnait avec une telle violence que je me disais que s’il continuait comme ça il allait me déchirer le cul mais c'était si bon que je voulais qu'il continue à me baiser indéfiniment de la sorte.
Sous les coups de boutoir redoublés je hurlais sans discontinuer, j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer.
C'est à cet instant que se plantant au plus profond de mon postérieur en fusion, Désiré éjacula en râlant.
Ses épais jets de liqueur crémeuse fusant contre mes parois surchauffées me déclenchèrent un spasme foudroyant.
Une vague de volupté déferla sur moi, je tendis ma croupe vers la pine qui continuait de se vider en moi et de ma gorge pulsa un hurlement de bonheur.
Sous l'impact du plaisir que nous venions de ressentir nous tombâmes à même le sol.
Je sentis le membre de mon amant sortir de ma grotte béante et je restai allongé sur le dos, yeux clos et cuisses écartées savourant le merveilleux moment qui venait de se passer.
Quand je revins à la réalité je vis mon homme assis en train de fumer.
Son pénis à demi-flaccide était luisant de sécrétions intimes et maculé de traînées sombres.
Je lui sourit et Désiré me dit "Ca a été une bonne baise.
- Oh oui tu m'as encore fait grimper aux rideaux.
- Je le sais j'ai bien vu que tu prenais beaucoup de plaisir
mais tu sais moi aussi, ton cul est vraiment super.
- Merci là je crois que tu m'as vraiment éclaté le cul.
- Oui je crois.
- Oh là là qu'est-ce que tu m'as mis, à un moment j'ai cru
que tu allais me déchirer.
- Mais non une fois que ton cul est ouvert il n'y a plus de
risque.
- Oui mais j'ai mal aux fesses.
- Déjà !!
- Je n'ai pas dit que j'avais mal au trou du cul mais aux
fesses, à force que ton ventre et tes cuisses claquent
dessus, j'ai l'impression d'avoir pris une fessée.
- Ah bon je n'avais pas compris.
- Ne t'inquiète pas j'ai encore très envie que tu me baises.
- Et moi aussi, je veux encore ton petit cul.
- Par contre je boirais bien quelque chose et je fumerais
bien une cigarette.
- Je vais te donner une cigarette mais avant de boire je vais
aller me laver la bite.
- Et moi le cul mais dis-moi ce n'est pas une bite que tu as
c'est une vraie lance d'incendie, regarde mon cul n'arrive
pas à garder ta jute, il y en a tellement que ça coule
entre mes fesses et sur mes cuisses.
- Je sais je jute toujours beaucoup. ça ne te plaît pas ?
- Si au contraire surtout quand je te suce c'est super d'en
avoir autant dans la bouche, remarque j'aime bien aussi
quand tu tires dans mon cul à chaque fois j'ai l'impression
qu'on m'inonde le trou.
- Alors c'est bien, tiens voilà ta cigarette.
- Merci pendant que tu te laves, je vais fumer et après
j'irai me nettoyer le cul.
- D'accord et ensuite on boira l'apéro après on mangera, on
ira nager un peu pour se décontracter et faire du bien à
ton petit trou du cul et enfin on reviendra baiser toute
cette nuit.
- Super, allez va te laver la zigounette.
- Oui comme ça elle sera bien propre pour ta bouche tout à
l'heure.
- Oui car je t'avoue que je n'ai pas envie de sucer une bite
dans cet état même si c'est la tienne.
- Je comprends et c'est pour ça que tout à l'heure on va
commencer la nuit par une sucette car je n'ai pas envie
d'aller me laver après chaque enculade.
- Tu as raison cette nuit moi aussi je ne veux pas que tu
partes chaque fois te laver le chibre, mais tu sais cette
nuit ce ne sera pas pareil.
- Que veux-tu dire ?
- Si dans la nuit tu veux que je te suce je ne te demanderais
pas d'aller te laver, je te sucerais la bite même si elle
est sale.
- C'est vrai ?
- Oui maintenant ça me gène car on va manger et tout mais
cette nuit je te pomperai quand même d'ailleurs qu'est-ce
qu'il y a sur ta bite, de la jute et ta jute je la bois le
reste c'est de la merde et cette merde c'est la mienne
alors si tu veux que je te pompe je le ferais.
- C'est gentil mais moi je ne souhaite pas car si j'ai envie
de t'embrasser je préfère ne pas sentir d'odeur comme ça.
- Comme tu voudras.
- Non tu me feras une bonne pipe avant de commencer la nuit
et après on s'occupera uniquement de ton cul.
- Pas de problème j'aime bien sucer mais je préfère me faire
enculer, c'est là où je prends du plaisir.
- Bien à tout à l'heure".
Quand Désiré revint tout propre je me levai, une fois dans la salle de bains la première chose que je fis fut de me mettre devant une glace pour regarder mon anus.
Il était enflé et bien ouvert, ma raie et l'arrière de mes cuisses étaient remplis de sperme en train de sécher quand à mes fesses elles étaient rouges
Satisfait de ce que je venais de voir je rentrai sous la douche où je rendis à mon corps une propreté toute suédoise.
Quand je reparus sur la terrasse Désiré avait remis la table en place et nous avait servi un verre, je pris un coussin et je m'assis avec précaution sur une chaise, mon amant s'en aperçut et me demanda "Qu'est-ce qu'il y a ?
- Rien mais avec ce que tu m'as mis mon trou du cul est un
peu sensible.
- Tu as mal ?
- Non ça va et puis n'importe comment avec le temps il va se
refermer et puis un peu de baignade lui fera du bien, pour
ce qui est de cette nuit ne t'inquiète pas c'est sensible
quand je suis comme maintenant c'est à dire quand je
m'assois, quand on baisera ce ne sera pas pareil.
- Très bien mais si quelque chose ne va pas il faut le dire.
- Tout va bien et j'ai très envie que tu me baises bien et
fort toute la nuit et si demain je ne peux pas marcher
tellement j'ai mal au cul ça voudra dire que j'ai joui
comme un malade toute la nuit, n'importe comment mon cul se
refermera.
- Tu as raison, enfin pour le moment buvons et dans environ
une heure on va manger.
- Et après vite au lac pour vite revenir baiser.
- AH AH AH !!
- Tu rigoles mais moi non j'ai envie de sentir ta bite me
défoncer la pastille.
- T'inquiète pas je vais bien m'occuper de ton petit derrière
et bien te péter ta petite rondelle.
- C'est tout ce que je demande.
- C'est ce que tu vas avoir.
- C'est bien".
Après avoir bu quelques verres nous avons mis la table et avons commencé à dîner.
Le repas fut vite expédié, nous avons débarrassé puis je suis rentré pour me vêtir, Désiré me demanda "Que fais-tu ?
- Je mets mon maillot.
- Ce n'est pas la peine, à cette heure-ci il n'y a plus
personne au lac allons-y nus.
- Tu es sur.
- Bien sur tous les gens sont chez eux.
- Bon si tu le dis".
Effectivement la berge était déserte, nous avons nagé pendant environ une demi-heure.
Le contact de l'eau m'a fait du bien, à un moment j'ai passé mon doigt sur mon anus, il avait diminué et s'était refermé.
Il était environ 11 heures quand nous sommes remontés au cabanon, arrivés sur la terrasse Désiré m'a demandé "Où
préfères-tu passer la nuit, ici ou à l'intérieur ?
- Je m'en fous du moment que tu me baises bien.
- Bon voilà ce que nous allons faire, on va commencer ici
puis terminer dans la chambre car vers 3 heures du matin il
fera froid et nous serons mieux dans le lit.
- Comme tu veux, pour moi ce qui compte….
- Je sais c'est que je te démonte bien le cul.
- Eh oui.
- Alors commence déjà par me faire une bonne pipe.
- Avec joie.
- Non avec la bouche.
- AH AH AH !! idiot".
Mon amant s'assit sur une banquette, son sexe était déjà dressé.
Je m'agenouillai entre ses jambes écartées et de la main gauche je me mis à caresser ses couilles gorgées de sève tandis que de l'autre main je saisis le phallus à la base et me mis à le branler lentement.
Ces attouchements firent leur effet, le priape d'ébène grandit et grossit encore pour atteindre ses phénoménales dimensions.
Du bout de la langue je me mis à lécher le méat au bout duquel perlait une larme de foutre translucide.
Cette caresse fit frissonner mon homme qui ferma les yeux et rejeta la tête en arrière tout en se cambrant pour s'offrir encore plus.
Pendant quelques instants je titillai le gland tout en léchant le membre turgescent sur toute sa longueur, chaque fois que ma langue se posait sur le bout durci mon mec râlait.
Jugeant que les préliminaires avaient assez duré j'ouvris tout grand la bouche et j'engloutis l'objet de ma dévotion.
Puis l'entourant de ma langue et en le mordillant doucement je me mis à pratiquer sur cette merveilleuse queue une lente fellation.
Pendant plusieurs minutes je suçai passionnément la fabuleuse verge.
Chaque fois que je l'embouchais totalement Désiré râlait en disant "Oh oui c'est bon, tu suces bien, continue".
Soudain je sentis sur la langue la hampe tressauter, mon amant plaqua mon visage contre son pubis.
Le gland démesuré me sembla doubler de volume et un flot de sperme crémeux, que je bus avec délectation, gicla dans ma bouche.
Je continuai à câliner de la langue le sexe qui se vidait dans ma gorge jusqu'à ce que le calme soit revenu.
Mon homme me libéra et je m'écartai, la biroute était toujours en érection et je lui demandai "Ca t'a plu ?
- Oh oui tu suces superbement, j'aime bien sentir tes lèvres
sur ma queue.
- Et moi j'aime bien sentir ta queue sur mes lèvres et tu
m'as encore bien donné à boire.
- AH AH AH !! et maintenant c'est à ton petit cul que je vais
donner à boire.
- Je l'espère mais avant de lui donner à boire, j'espère que
tu vas bien le baiser.
- Parce que jusqu'à maintenant je ne l'ai pas bien baisé ?
- Si et j'espère que ça va continuer.
- Bien sur tu verras demain tu ne pourras pas marcher
autrement que les jambes écartées.
- C'est tout ce que je demande".
Désiré s'allongea sur le dos sur un matelas et me dit "Allez
viens ma petite poulette, viens t'asseoir sur moi que je te
rentre ma bite dans ton petit trou".
Je me mis à genoux à cheval sur mon amant et je descendis jusqu'à ce que je sente la tête du phallus buter contre la raie de mon cul.
Tout en regardant mon amant dans les yeux je glissai une main derrière moi, je saisis le pénis érigé et je le positionnai contre mon œillet affamé.
Fermant les yeux je m'empalai lentement sur la longue colonne de chair turgescente laissant échapper un voluptueux gémissement au fur et à mesure que le pieu de chair investissait mon intimité embrasée.
Quand je sentis contre mes fesses brûlantes les poils follets des testicules de mon homme je sus que le gigantesque priape était à fond en moi.
Comme toujours avec Désiré je ressentais la sensation d'être abondamment rempli et mon anneau distendu me faisait un peu souffrir.
Je restai quelque temps immobile laissant mon anus s'habituer à la formidable présence qui m'obstruait le fondement.
Ma pastille céda et un doux sentiment de bien-être s'insinua en moi.
C'est à ce moment que mon mec posant ses mains autour de ma taille se mit à me faire monter et descendre sur sa bite tuméfiée m'arrachant à chaque passage de petits cris de douleur.
Peu à peu mon trou se relâcha complètement et l'imposante pine put coulisser librement entre mes miches bouillonnantes.
Je rejetai la tête en arrière et savourai la montée du désir dans mon corps en chaleur.
Chaque fois que mon amant me plantait à fond sur son membre raide il donnait un coup de reins, cette brusque bourrade qui m'ouvrait un peu plus le cul me faisait gémir et je me cambrais pour me donner plus encore.
Longtemps Désiré me prit de la sorte, je ronronnais sous cette lente mais non moins virile possession.
J'avais le sphincter complètement dilaté et je sentais dans le creux de mon ventre naître un désir immense
J'étais tel un pantin désarticulé entre les bras de mon doux tourmenteur, seul comptait pour moi le phallus roide qui me forait les reins me cassant un peu plus à chaque fois la rondelle.
Soudain mon homme me fit basculer tout contre lui tout en continuant à donner de violents coups de bite, puis d'une roulade il me fit passer sous lui sans que nos corps ne se désunissent.
Je nouai mes jambes dans le dos de mon mec et mes bras autour de son cou, la tête rejetée en arrière et les yeux clos je me laissai emporter dans le plaisir que me procurait la houle régulière des reins de mon mâle.
Désiré avait lové sa tête dans le creux de mon épaule et prenant appui sur les avant-bras me pilonnait l'arrière-train à une vitesse folle de toute la longueur de son monstrueux membre.
Chaque fois que l'énorme verge turgescente plongeait au tréfonds de mes entrailles je faisais un bond sur le matelas tellement mon amant me possédait violemment.
Je me dis que si il continuait comme ça il allait me déchirer le fion mais c'était si bon que je voulais qu'il continue indéfiniment.
Mes râles de bonheur se muèrent en hurlements, je planais littéralement sous les brusques assauts que je subissais, j'avais le cul entièrement éclaté et je roulais des hanches en cadence.
Je ne sais combien de temps Désiré me baisa de la sorte, je ne vivais plus que pour et par la bite qui me creusait les reins m'alésant un peu plus le rectum chaque fois qu'elle se fichait au fond de mon intimité bouillonnante.
En dehors de mes cris on entendait les bruits de succion que faisait mon anneau chaque fois qu'il avalait la puissante pine qui me ramonait le prose jusqu'à plus jouir.
Le ventre musclé de mon homme claquait contre mes fesses relevées à me faire mal et je me tordais comme un damné sous celui qui me montait
J'avais atteint la plénitude rectale, je n'étais plus qu'un cul où je voulais que mon amant entre tout entier.
Tout l'intérieur me brûlait, je savais que seule cette merveilleuse queue pouvait éteindre l'incendie qui couvait en moi, j'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mon fondement meurtri.
Longtemps mon mec me besogna de cette manière, j'étais complètement cambré, le cul tendu vers cette magnifique verge d'ébène pour m'offrir plus encore.
Chaque assaut me faisait basculer un peu plus dans l'univers cotonneux du plaisir physique.
Chaque fois que la pine roide m'emmanchait jusqu'à la garde je sombrais un peu plus.
Je n'étais plus que jouissance et je me mis à délirer.
Désiré s'enfonçant au fond de ma grotte en fusion éjacula en feulant.
Ses épais jets de sperme crémeux fusant contre mes parois surchauffées me déclenchèrent un orgasme dévastateur qui déferla sur moi.
Je labourai les épaules de mon amant de mes ongles, mes jambes battirent l'air et mon corps s'arqua sous celui qui me chevauchait.
Je tendis mon cul vers le superbe membre qui continuait à couler dans mon tunnel, un hurlement de jouissance pulsa de ma gorge et je retombai lourdement sur le matelas.
Je sentis le phallus de mon homme sortir de ma fente béante et il se leva.
Je restai allongé les yeux clos et cuisses écartées savourant les dernières contractions du bonheur autour de ma corolle ravagée.
Quand je repris conscience des réalités Désiré était assis sur un fauteuil et me regardait en fumant et buvant un verre.
Son gros priape à demi flaccide et maculé de sécrétions séminales et anales pendait entre ses cuisses, mon mec me sourit puis il me dit "Putain quel coup j'ai tiré.
- Je le sais mon cul dégouline de foutre, j'en ai plein la
raie et plein les fesses.
- AH AH AH !! mais tu m'as encore arraché la peau.
- C'est de ta faute tu me fais tellement jouir.
- Je sais et si ça te plaît alors je suis content.
- Je te jure jamais on ne m'a baisé aussi bien.
- C'est normal je suis le meilleur.
- Tu peux le dire, j'ai le cul complètement éclaté et j'ai
encore très envie que tu me sautes.
- Mais je vais encore bien te baiser, ma bite n'est pas
encore fatiguée.
- Je l'espère car je veux encore la sentir me ramoner le
trou.
- T'inquiète pas je vais te donner encore beaucoup de bite.
- C'est tout ce que je te demande.
- Bien veux-tu boire quelque chose ?
- Oui un petit whisky et une cigarette.
- Tiens".
Après avoir bu et fumé Désiré me fit mettre à quatre pattes et s'agenouillant derrière moi me pénétra d'un viril coup de reins.
Mon amant me posséda encore 2 fois sur la terrasse me faisant jouir superbement à chaque fois.
Dans la nuit nous rentrâmes à l'intérieur où mon amant me prit encore 2 fois sans jamais sortir sa bite de mon anus et chaque fois qu'il me tira je jouis comme un fou.
Vers 5 heures du matin quand mon mec sortit enfin de ma pastille complètement défoncée, j'étais rempli de semence des pieds à la tête et j'avais le trou de balle douloureux.
Rompus de fatigue nous nous sommes endormis jusqu'à 2 heures de l'après-midi.
Quand nous nous sommes réveillés il flottait dans la pièce une forte odeur de merde et foutre mélangée, mes fesses et mes cuisses étaient pleines de tâches de liqueur séminale séchées.
Après s'être lavés et avoir aéré, nous avons remis de l'ordre dans le mobil home et nous sommes repartis, j'avais encore le fion tellement ouvert et qui me faisait mal que c'est Désiré qui a conduit.
Il m'a déposé chez moi et après avoir entré la voiture au garage m'a dit au revoir.
J'ai pris un bain de siège de plus de 2 heures puis je suis allé dans le salon où je me suis allongé à plat ventre cuisses écartées.
J'ai passé le restant de l'après-midi et la soirée dans cette position en lisant et en écoutant de la musique.
Ma peau ne portait plus aucune marque des coups de fouet et mon cul avait repris des formes normales.
Le vendredi vers 19 heures la sonnette retentit, c'était un ami antillais prénommé Désiré.
J'ai ouvert la porte il m'a fait la bise et me dit "Qu'est-ce
qui se passe, ça fait une éternité qu’on ne t’a pas vu ?
- Rien de grave j'ai attrapé un petit coup de froid et je
suis resté à la maison.
- Ah bon alors voilà je me suis dis `je vais aller voir ce
qu'il fait celui là`.
- Merci c'est gentil. Tu restes manger.
- Pourquoi pas. Tu as à boire ?
- Bien sur.
- Alors je reste.
- D'accord mais c'est toi qui fais à manger.
- Pas de problème si tu as du poulet je vais faire un petit
colombo ça te va ?
- Très bien".
Après avoir bu quelques verres nous avons dîné et après avoir mangé nous avons regardé la télévision, vers minuit nous sommes partis nous coucher.
Le lendemain matin je me suis levé vers 9 heures, Désiré dormait toujours, j'ai pris une bonne douche et j'ai préparé mon petit déjeuner.
Vers 11 heures Désiré s'est réveillé, il a bu un café puis est allé se laver.
A un moment alors que j'allais vers ma chambre pour ouvrir les volets j'ai failli heurter Désiré qui sortait de la salle de bains nu comme un ver.
J'avais toujours vu Désiré habillé et ce que j'ai vu m'a électrisé.
D'une forêt de poils noirs émergeait un sexe noir qui bien que flaccide était énorme et au-dessous pendaient deux grosses boules duveteuses, je dis à Désiré "Eh bien tu as un drôle de
paquet toi !
- Ah oui ?
- Tu peux le dire c'est un sacré morceau, je me demande
quelle taille il doit faire quand il est bandé.
- Tu voudrais le voir ?
- J'aimerais bien.
- Mais pourquoi ?
- Devine.
- Ecoute on peut aller chercher des filles et comme ça tu
verras.
- Oui on peut mais….
- Mais quoi ?
- Je ne sais pas si on a besoin de filles.
- Que veux-tu dire ?
- Oh rien.
- Mais si, attends ne me dis pas que tu es pédé ?
- Ca te gêne ?
- Non tu sais moi je m’en fous un trou c'est un trou.
- Donc tu vois bien qu'on n'a pas besoin de filles.
- C'est vrai que comme ça tu as raison.
- Alors ?
- Mais tu es vraiment pédé ?
- Eh oui ! Et j'ai vraiment envie de baiser avec toi.
- Je n’en reviens pas, ça fait quand même une paie qu’on se
connait et jamais tu n’as fait paraître quoi que ce soit.
- Tu sais même si on vit dans un monde relativement libéré,
ce n’est pas des choses qu’on crie sur les toits.
- Mais ça fait longtemps ?
- Quelques années et j’ai eu un certain nombre d’amants.
- Attention, moi je baise mais je ne me fais pas baiser.
- Mais qui te parle de te baiser ?
- Ecoute j'ai déjà baisé des types, il faut toujours les
branler, les sucer et certains veulent même baiser après
s'être faits baisé.
- Alors là tu n'as pas de raison de t'inquiéter car moi je ne
bande même pas, et….
- Je t'ai déjà vu avec des filles et tu me dis que tu ne
bandes pas !
- Avec les femmes je bande mais pas avec les mecs.
- C’est dingue, mon pote Damien qui est une salope.
- Et crois-moi, une sacrée salope, j’en ai déjà pris des
kilomètres de bite.
- AH, AH, AH !!
- Tu sais avec moi, c’est comme si tu es avec une fille, la
seule différence c’est que je n’ai pas de chatte mais les
seules choses dont il faut s'occuper c'est de ma bouche et
de mon cul et puis si tu es gentil tu peux me caresser
comme si j'étais une femme et ça j’adore.
- Mais bien sur que je suis gentil.
- Je n’en doute pas.
- Ecoute j’ai une idée, on va aller à la campagne, j’ai une
petite maison au bord d’un lac, on va passer un week-end de
de rêve à baiser. Qu'en penses-tu ?
- C'est super, allez viens préparons les bagages.
- Hé! Attends je suis à poil moi, commence à préparer je vais
m'habiller et je viens t'aider".
Un quart d'heure après les paniers étaient prêts, j'ai sorti ma voiture du garage et nous avons pris la route de la campagne.
J'avoue que j'avais une petite appréhension étant ce qui s'était passé avec Hamid.
Mais Désiré était mon pote et je ne l’avais jamais vu méchant et la discussion que nous venions d’avoir me portait à lui faire confiance.
Une demi-heure nous sommes arrivés, la petite maison était en fait un mobil home mais je m’en foutais, l’essentiel était de passer un bon moment dans les bras de celui sur qui j’avais jeté mon dévolu.
J'ai garé la voiture dans le petit jardinet et après avoir ouvert la porte nous avons vidé le coffre.
Désiré a allumé le réfrigérateur et ouvert les fenêtres puis il m'a dit "J’ai fait exprès d'acheter celui-là car il est
loin des autres, je viens souvent ici avec des filles comme
ça on peut faire ce qu'on veut sans être dérangé et sans
déranger les gens.
- C'est vrai.
- Oui c'est calme.
- Bien qu'est ce qu'on fait ?
- Comment qu'est ce qu'on fait je crois qu'on est venu ici
pour une chose.
- Oui.
- Tu veux toujours ?
- Oh oui j'ai envie de faire bander ta bite, de la sucer et
de me la prendre entre les fesses.
- Juste entre les fesses ?
- Mais non je veux que tu enfonces ta bite dans mon trou du
cul.
- Ah bon j'ai eu peur.
- AH AH AH !!
- Bien mais avant il faut mettre tout en fonctionnement.
- C'est à dire ?
- Pour être tranquille il faut d'abord ouvrir l'eau car on va
en avoir besoin pour la cuisine, on en aura aussi besoin
quand il faudra que je me lave la bite après t'avoir enculé
et avant de te demander de me sucer, il faut aussi attendre
que le frigo soit bien pour mettre les bouteilles et les
glaçons, il ne faut pas être pressé nous avons tout le
temps.
- Bien sur.
- Tu sais avec l'heure qu'il est il vaut mieux qu'on pense à
manger comme ça pendant que la bouffe cuit on peut prendre
l'apéro.
- Oui mais pas trop d'apéro, je n'ai pas envie que tu sois
saoul et que tu t'endormes au lieu de me baiser.
- Non je ne boirai pas beaucoup et je te baiserai bien.
- Alors d'accord.
- Bon viens on va éplucher quelques légumes et on va faire
des brochettes".
J'avoue que ce qu'avait dit Désiré au sujet de se laver le sexe avant de me le donner à sucer me soulageait, j'espérais que nous allions passer une journée et une nuit sublime.
Après avoir mitonné le repas Désiré m'a dit "Bon maintenant on
va prendre un bon verre, mais au fait j'y pense nous sommes
à la campagne alors pourquoi restons-nous habillés.
- Tu as raison.
- En plus comme nous sommes loin de tout le monde et que
quand même nous sommes là pour finir par baiser mettons-
nous nus.
- Pourquoi pas.
- Ça nous fera gagner du temps et en plus toi tu as vu ma
bite mais moi je n'ai pas vu ton petit cul, ce n'est pas
juste.
- Oui mais pour l'instant je n'ai vu qu'une bite endormie.
- C'est vrai mais tu verras tout à l'heure, tu vas voir une
bite que jamais tu as vu.
- J'espère qu'elle est bien longue et grosse.
- Elle est très longue et très grosse et elle baise bien.
- C'est tout ce que je demande".
Nous avons ôté nos vêtements et une fois nus Désiré m'a demandé de lui montrer mon cul, je me suis tourné et il m'a dit "Tu as vraiment un magnifique petit cul, tes fesses rebondies sont superbes, je crois que je vais passer un très
bon moment quand je vais rentrer dans ton antre secrète".
Je me suis rendu compte que cette vision avait fait son effet car le phallus s'était quelque peu redressé.
Je lui ai fait une légère petite caresse de la main et mon ami m'a dit "Tout à l'heure tu vas pouvoir jouer avec lui, pour
l'instant prenons l'apéro".
Après avoir bu trois apéritifs le manger était cuit et il était temps de dresser la table.
Pendant que je mettais les couverts Désiré en a profité pour glisser un de ses doigts dans la raie de mes fesses.
Ce contact m'a fait frissonner et j'ai remué des hanches, mon homme a souri et m'a dit "Je vois que tu dois bien aimer qu'on
te baise.
- Oh oui surtout si on me baise bien.
- Ne t'en fais pas je vais bien te baiser.
- Je l'espère.
- Mais oui, allez viens mangeons et après en avant la
bagarre".
Nous avons mangé tout en discutant de choses et d'autres, quand le repas a été terminé Désiré me dit "Maintenant on va
aller se laver les mains et au lit".
A peine étions-nous entrés dans la chambre que Désiré passa ses mains autour de ma taille et commença à m'embrasser dans le cou.
Je me collai à lui et commençai à sentir le phallus durcir contre mon postérieur.
Mon amant me fit tourner sur moi-même, il me mit une main sous mon menton et me força à lever la tête puis écrasa mes lèvres des siennes.
Nos dents s'entre choquèrent, j'ouvris la bouche, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un ardent baiser.
Je posai mes mains sur les épaules de mon homme et les yeux clos je me laissai emporter par une vague de désir.
Quand Désiré abandonna ma bouche j'avais la respiration saccadée et le rouge aux joues.
Je baissai les yeux et ce que je vis m'émerveilla.
Le pénis de mon mec était complètement érigé, c'était magnifique jamais, même dans mes baises black, je n'avais vu un membre aussi gros et long.
A l'extrémité de la monstrueuse hampe d'ébène il y avait un gland vermillon très large, j'avoue que si cette vision m'enthousiasmait il y avait quand même en moi un fort sentiment de peur vu les gigantesques dimensions.
Désiré s'aperçut de mon trouble et me dit "Je sais que j'ai
une très grosse bite mais elle rentrera quand même dans ton
cul, mais n'aie pas peur je ferai le plus doucement
possible pour qu'au début tu ais le moins mal possible,
après ton cul s'ouvrira et tu ne sentiras plus rien, mais
d'abord je voudrais que tu me suces, je veux voir si ta
bouche est aussi bonne sur ma bite qu'elle l'a été quand je
t'ai embrassé.
- Je suis sur que ton engin va bien me défoncer la rondelle
et je suis aussi sur que je vais payer cher au début, ce
n’est pas une bite c’est un anaconda.
- AH, AH, AH !".
Mon homme s'assit au bord du lit, il écarta les jambes et je vins m'agenouiller entre elles.
D'une main je me mis à caresser les testicules de mon amant tandis que prenant de l'autre main le phallus érigé à sa base je commençai à porter quelques coups de langue sur le gland turgescent.
Le traitement porta tout de suite ses fruits, le fabuleux membre s'allongea encore et Désiré soupira d'aise tout en fermant les yeux.
Pendant quelques instants je titillai le bout durci de cette hampe qui me faisait tant envie, je glissais la pointe de ma langue dans le méat pour recueillir les gouttes de foutre translucide qui perlaient.
Jugeant que les prémisses avaient assez duré mon homme posa ses mains sur ma nuque et me força à engloutir son pénis tuméfié.
Cette verge était tellement grosse que j'eus du mal à la prendre en bouche néanmoins, étant un spécialiste de la gorge profonde, je parvins à avaler quand même l'objet de ma dévotion.
Tout en le mordillant légèrement et en l'entourant de ma langue j'entamai une lente fellation sur le priape dressé.
Longtemps je suçai amoureusement la verge tout en caressant les bourses gorgées de sève.
Soudain mon mec, prenant mon visage entre ses mains, se mit à me faire monter et descendre sur sa virilité au rythme où il voulait être sucé.
Chaque fois que mes lèvres coulissaient sur le superbe sucre d'orge que je suçais Désiré murmurait "Ah oui c'est bon tu
suces bien".
Au bout de quelques instants de ce traitement Désiré bloqua ma tête entre ses mains et se mit à aller et venir entre mes lèvres en de lents coups de reins.
Il était en train de me piner la bouche, sa bite butait au fond de ma gorge chaque fois qu'il l'enfonçait à fond.
Je ne sais combien de temps mon amant continua à me fourrer la bouche.
Soudain je sentis le phallus tressauter sur ma langue, mon homme stoppa ses ruades et me laissa recommencer ma pipe à mon rythme.
Pendant une demi-heure je pompai voluptueusement ce splendide membre quand soudain je sentis le sexe tressauter sur ma langue.
Il me sembla que le gland doublait de volume et mon amant, plaquant ma figure conte son pubis, éjacula en râlant.
Un épais flot de sperme crémeux frappa mes amygdales et je l'avalai avec délice tout en cajolant de ma langue le phallus qui continuait à se déverser dans ma gorge.
La semence avait un petit goût salé qui ne me déplaisait pas.
Quand le calme fut revenu mon homme me libéra, je me levai et il me dit "Tu sais que tu suces superbement.
- Merci.
- Non c'est moi qui te remercie, on m'a rarement sucé aussi
bien.
- Tu sais quand on suce une superbe bite comme la tienne, il
faut s'appliquer.
- Peut-être mais franchement tu suces vraiment bien, je
n’aurais jamais cru que tu puisses prendre toute ma queue
dans ta bouche, c’est la première fois que ça m’arrive.
- Je suis content que ça t'ait plu mais tu sais je suis un
expert de la gorge profonds.
- Ça je m’en suis aperçu, oui ça m’ beaucoup plu, allez viens
maintenant je vais m'occuper de toi.
- Oh oui car j'ai vraiment envie que tu me baises, je suis
complètement en feu.
- Un peu de patience avant de te baiser il faut que je te
prépare bien le cul.
- Mais fais vite j'ai envie.
- Tu vas voir avec ce que je vais te faire tu auras encore
plus envie et puis n'importe comment si je ne te prépare
pas tu ne pourras pas prendre ma bite et je n'ai pas du
tout envie de te déchirer car si ton cul est aussi bon que
ta bouche je veux te baiser jusqu'à ce que j'ai les
couilles vides.
- Tu as raison mais tu verras mon cul est encore meilleur que
ma bouche et j’ai très envie de sentir ta pine me défoncer.
- Alors c'est une bonne raison de plus pour ne pas t'abîmer
le cul".
Le phallus de mon amant, un instant à demi flaccide, avait repris ses fabuleuses dimensions et au bout de son gland vermillon perlait une goutte de sperme translucide.
Mon mec me fit allonger sur le dos au milieu du lit puis il s'étendit sur moi tête bêche pour qu'on fasse un soixante neuf.
Je n'eus qu'à ouvrir la bouche pour enfourner à nouveau le priape turgescent et commencer à le sucer tout en le mordillant et en l'entourant de ma langue.
Mon homme empauma mes fesses brûlantes, il les écarta et, enfouissant son visage entre elles, vint darder mon œillet de sa langue inquisitrice.
J'étais déjà dans un tel état d'excitation que malgré le membre que je suçais je ne pus m'empêcher de gémir.
Sous les caresses expertes de Désiré je sentis mon anus s'ouvrir.
Le désir avait maintenant complètement pris possession de moi, je levai les jambes et les écartai pour m'offrir plus encore aux doux sévices que mon amant m'infligeait.
Mon mec, les mains crispées sur mes miches brûlantes qu'il écartait au maximum, me titillait le fion de sa langue pointue.
Longtemps mon homme pratiqua sur moi ces attouchements buccaux, j'avais la raie pleine de salive et je sentais mon anneau palpiter.
Soudain mon mec remplaça sa langue par son pouce qu’il fit tourner sur mon sphincter, cette pression sur l’entrée de ma grotte intime me fit tressaillir et je sentis mon anneau se déployer encore plus.
Après plusieurs minutes de ce traitement, j’étais en feu et j’ondulais du popotin.
Désiré m'enfonça un doigt dans le cul et il se mit à faire aller et venir lentement.
L'intromission de ce mini phallus me fit frissonner, je tendis ma croupe pour m'offrir plus encore et me suis mis à pomper vigoureusement le phallus que j'avais entre les lèvres.
Un deuxième puis un troisième doigt vinrent rejoindre le premier, je sentais mon anus s'agrandir et une douce langueur m'envahir.
Je ne sais combien de temps Désiré me travailla le cul de cette façon, ce qu'il me faisait était si bon que j'avais de plus en plus de mal à me concentrer sur ma fellation.
Soudain mon amant arrêta ses caresses, il sortit son phallus de ma bouche, se leva et me dit "Retournes-toi et allonges toi
sur le ventre en travers du lit".
Je pris la position demandée, Désiré passa derrière moi, il écarta mes jambes et s'agenouilla entre elles.
Ses mains se posèrent sur mes lobes charnus brûlants et il commença à me masser le postérieur.
Sous ces attouchements je fermai les yeux et laissai le plaisir s'insinuer lentement dans mon corps enfiévré.
La bouche avide de mon amant se posa dans le creux de mes reins et se mit à me butiner.
Au bout de quelques instants mon homme se leva, sa langue râpeuse se posa dans mon cou et descendit lentement le long de ma colonne vertébrale jusqu'à la naissance du sillon de mes fesses.
Je me pâmais littéralement sous ces caresses expertes.
Je ne sais combien de temps mon mec m'effeuilla de la sorte, de ma gorge s'échappaient de langoureux râles de bien-être.
Je sentais mon anneau palpiter, je ne tenais plus je voulais que mon amant me pénètre.
Soudain il empauma mes miches et les écarta, sa langue pointue vint de nouveau darder mon œillet plissé.
Ce contact m'électrisa et un "aaaaaaaaaaaaahh" profond pulsa de ma bouche.
Après m'avoir longuement bouffé le cul Désiré m'enfonça lentement trois de ses doigts dans le fondement tout en les faisant tourner en moi, je sentais mon anus s'ouvrir un peu plus chaque fois.
Sur mon corps excité à l'extrême le moindre contact sur ma peau me faisait frémir et la bouche grande ouverte je râlais sans discontinuer, j'étais cambré au maximum m'offrant totalement.
Ce que me faisait Désiré était si bon que j'avais l'impression que je m'envolais, les vas et viens de ses doigt au plus profond de moi me faisait décoller.
Soudain un quatrième doigt vint rejoindre les autres et un langoureux râle s'échappa de ma poitrine.
Désiré me travailla encore longtemps le cul de la sorte, je bramais maintenant sans discontinuer.
A travers les brumes du plaisir dans lesquelles j'étais j'entendis la voix de Désiré qui murmurait "Ca c'est un beau
cul il s'ouvre bien, je vais bien le baiser".
Jugeant à mon attitude que j'étais prêt mon amant me dit "Je
vais te baiser maintenant, mets-toi à genoux les fesses en
l'air comme ça ton arrière-train sera bien ouvert, et
surtout n'aies pas peur ça va te faire un tout petit peu
mal quand ma tête va rentrer mais je vais faire doucement
et toute ma bite rentrera dans ton cul".
Je me mis en position et Désiré s'agenouilla derrière moi.
Il glissa son énorme gland dans la raie de mon cul et le posta contre mon antre affamée.
Bien que je sois très excité et bien ouvert par les préliminaires, j'eus un mouvement de panique quand je sentis la formidable taille de ce qui s'apprêtait à entrer en moi et j'essayai de me dérober.
Mon amant posa ses mains sur mes hanches et me maintenant commença à peser sur mon orifice.
Dès que le bout durci écarta mes chairs une douleur aiguë me parcourut et je poussai un cri de souffrance.
Mon homme s'écarta un peu de moi tout en laissant la prodigieuse tête de sa virilité en contact avec mon orifice.
Au bout de quelques instants il recommença à presser sur ma pastille torturée.
Chaque fois que Désiré ressentais une gêne il s'arrêtait pour laisser la douleur s'estomper.
Chaque fois que de nouveau il pesait je sentais l'incroyable gland entrer un peu plus en moi, j'étais si surexcité que malgré le mal que je ressentais je voulais que mon amant me défonce et je lui dis "Vas-y défonce-moi je veux sentir ta
grosse bite dans mon petit cul.
- Pas encore je ne veux pas te briser le cul, d'ailleurs il
ne reste plus grand chose ton trou de balle est bien ouvert
il a presque la taille pour accepter ma bite.
- Je m'en fous que tu me fasses mal, je veux que tu
m'enfiles.
- Tu peux dire ce que tu veux c'est moi qui commande, c'est
moi qui te pointe.
- Alors dépêche-toi je ne tiens plus.
- Bientôt tu auras tout dans ton cul".
Lentement centimètre par centimètre Désiré enfonça son monstrueux gland dans mon anus.
Finalement j’avais payé moins cher que je ne l’aurais cru, mais tout cela parce que Désiré avait été d’une douceur extrême.
Une fois qu'il fut passé il le ressortit lentement puis l'introduit de nouveau pour m'assouplir l'anneau, à chaque passage je poussais de petits geignements.
Peu à peu ma corolle se décontracta et le mal fit place à une sensation de bien-être, c'est à ce moment que mon homme me pénétra jusqu'à la garde avec une lenteur calculée.
Quand je sentis les poils follets de son pubis contre mes fesses bouillonnantes je sus qu'il était en moi entièrement.
Désiré resta quelque temps immobile me laissant m'habituer à la colossale présence qui m'obstruait le fondement.
Jamais je ne m'étais senti rempli comme ça, mon trou du cul était si écartelé que je croyais que mes miches allaient se séparer.
Mon homme me dit "Tu vois que j'avais raison tu as tout pris
dans ton petit trou du cul.
- Oui c'est vrai mais j'ai l'impression que mon cul va
exploser tellement tu es gros.
- Je sais mais ne t'en fais pas bientôt ton trou va se
détendre et après ma bite va pouvoir bouger dans ton petit
puits d’amour sans problème.
- Je le sais bien mais tu sais j'ai envie de sentir ta queue
me fouiller le cul.
- Encore un peu de patience et je vais te donner ton compte".
Pendant notre discussion mon anus se décontracta un peu et lentement Désiré se mit à aller et venir en moi m'arrachant à chaque passage des petits cris de douleur qui peu à peu se muèrent en profonds gémissements.
Mon mec me possédait de toute la longueur de son gigantesque sexe le sortant presque entièrement de moi pour le replonger au fond de mes entrailles la seconde suivante.
Sous les lents mais non moins virils vas et viens mon sphincter céda complètement et la fantastique bite put coulisser en moi sans gène aucune.
J'avais fermé les yeux et savourais le plaisir qui montait en moi par vagues successives.
Au bout de quelques minutes de ce traitement je ronronnais sous les coups de pine que je recevais m'ouvrant un peu plus la pastille chaque fois que le monstrueux sexe plongeait au tréfonds de mon cul en feu.
Désiré me possédait avec une régularité de métronome, son ventre plat claquait contre mes fesses portées au rouge et je ne fus pas long à râler langoureusement sous les assauts répétés de mon amant.
Chaque fois que le phallus d'ébène se fichait à fond entre mes miches je me sentais sombrer plus encore dans l'univers cotonneux du bonheur.
Je planais littéralement sous les coups de queue qui m'éclataient le cul, j'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mon rectum ravagé.
Sous les coups de boutoir redoublés j'avais rejeté la tête en arrière et je me cambrais pour m'offrir encore plus à la magnifique pine qui m'explosait le trou de balles.
Je sentais en moi couver un brasier ardent, j'avais atteint la plénitude rectale et je hurlais sans discontinuer, le plaisir que je ressentais était tel que je croyais devenir fou.
L'énorme priape turgescent allait et venait en moi toujours aussi lentement.
C'était fabuleux jamais je n'avais éprouvé une telle jouissance, je ne vivais plus que pour et par le membre qui me forait les reins me fendant un peu plus la raie à chaque passage.
Chaque fois que Désiré me plantait sa hampe au fond du trou je poussais de petits hurlements de plaisir, pour moi seul comptait le pénis démesuré qui me creusait le fion.
Mon mec avait posé ses mains sur mes épaules et me pinait le cul de toute la longueur de son incroyable sexe, chaque fois qu'il s'enfonçait en moi il disait "Que ton petit cul est bon,
tiens encaisse".
Je ne sais combien de temps mon homme m'a baisé de la sorte, j'avais la rondelle complètement éclatée et cambré au maximum je roulais des hanches en cadence.
Des boules de feu prenaient naissance dans mon bas-ventre pour venir exploser vers mon visage, j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à hurler toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.
Un orgasme destructeur me balaya, une boule se forma dans mon estomac et explosa sur mon visage.
Je tendis mon cul vers la verge qui me défonçait pour accentuer la pénétration.
Mes ongles griffèrent les draps, un hurlement strident de plaisir pulsa de ma gorge et je chutai lourdement sur la couche perdant connaissance.
Quand je revins à moi Désiré, toujours fiché entre mes fesses, était allongé sur moi immobile, je sentais en moi le fabuleux phallus palpitait.
Mon amant me dit "Vraiment toi tu es une belle salope, je n'ai
jamais vu ça même les gonzesses ne sont pas comme toi.
- Merci mais j'ai cru que j'allais devenir fou tellement je
jouissais.
- Je sais j'ai entendu mais ne t'en fais pas c'est pas fini,
moi je n'ai pas encore tiré mon coup.
- Je le sais je sens bien ta bite bien dure dans mon cul.
- Oui et crois-moi je vais encore bien t'enculer avant de
juter.
- Je l'espère car j'ai très envie de prendre encore beaucoup
de plaisir.
- Je sais que tu veux de la bite et je vais t'en donner mais
maintenant je veux qu'on change de position.
- Si tu veux.
- Bien maintenant je vais te baiser comme une femme".
Sans que nos corps ne se désunissent mon homme me fit tourner sur son membre et je me retrouvai sur le dos, j'écartai mes cuisses et les levai.
D'un petit coup de reins mon mec se planta au fond de mon cul en fusion et prenant appui sur les avant-bras et lovant sa tête dans le creux de mon épaule reprit ses lents mouvements de va et viens.
Je nouai mes jambes dans son dos et les yeux clos me laissai emporter de nouveau vers l'univers cotonneux du plaisir.
Au bout de quelques instants de ce traitement, le désir légèrement retombé suite à l'orgasme qui je venais d'avoir reprit possession de mon être enfiévré.
Désiré me besognait avec une régularité de métronome, son énorme pénis érigé sortait presque entièrement de mon antre béante pour replonger jusqu'à la garde la seconde suivante.
Les coups de boutoir répétés de mon homme me faisait basculer dans le bonheur, la bouche grande ouverte je ronronnais sous les coups de bite que je recevais.
Dans la pièce, en dehors de mes râles, on entendait les bruits de succion que faisait mon sphincter éclaté chaque fois qu'il enfournait le gigantesque priape d'ébène.
Mon mec me possédait un peu plus rudement, ses coups de reins étaient plus saccadés, chaque fois qu'il s'enfonçait au tréfonds de mon tunnel brûlant ses testicules frappaient mes miches en feu.
J'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mon intimité embrasée.
Mes ronronnements s'étaient mués en cris de volupté et je roulais des hanches en cadence me cambrant pour m'offrir totalement à la pine roide qui me forait les reins me dilatant un peu plus le fondement chaque fois qu'elle me fourrait.
Ce que me faisait mon amant était si bon que je voulais qu'il continue indéfiniment, j'avais noué mes bras sur ses épaules et je me tordais comme un damné sous celui qui me montait.
Désiré me sodomisait en de virils coups de reins qui m'emmenaient au septième ciel.
Je ne vivais plus que pour et par la queue qui m'empalait, j'avais perdu le sens des réalités et je hurlais sans discontinuer.
Détachant mes jambes de son dos, mon homme les leva et les replia vers mon torse de telle sorte à ce que ma fente ressorte au maximum et se mit à me pilonner l'anus à une vitesse folle.
Les assauts que je recevais étaient si violents que j'avançais sur le matelas chaque fois que la hampe turgescente s'enfonçait dans ma grotte enflammée.
Je ne sais combien de temps Désiré me baisa de la sorte, ses poussées étaient si brutales que je me disais que s'il continuait comme ça il allait me déchirer mais c'était si bon que je voulais qu'il continue, je n'étais plus qu'un cul, je voulais que mon mec entre tout entier en moi.
J'avais atteint la plénitude rectale pour moi seul comptait le merveilleux sexe qui me défonçait le trou, j'avais planté mes ongles dans la chair musclée des épaule de mon homme et je bramais sous ses coups de pine virils.
Je n'étais plus que jouissance, je savais que seule cette bite qui me bourrait si bien pouvait éteindre l'incendie qui me consumait.
Jamais on ne m'avait enculé de la sorte, j'avais atteint le point de non-retour et tout entier à mon plaisir je me mis à délirer hurlant toutes les phases du bien-être par lesquelles je passais.
Un spasme foudroyant me transperça, mes jambes battirent l'air, je labourai les épaules de mon amant de mes ongles.
Mon corps s'arqua sous celui qui me montait, je tendis mon postérieur vers la monstrueuse verge qui me ramonait.
Un hurlement strident pulsa de ma gorge et je retombai lourdement sur le lit sombrant dans l'inconscience.
Quand je rouvris les yeux je me rendis compte que je n'étais plus sur le lit.
J'étais à plat ventre sur la table de la salle à manger, un coussin sous le ventre et les jambes pendantes.
Désiré me sodomisait en de violents coups de reins, c'est là que je réalisai qu'il n'avait pas encore joui.
Le désir un instant éteint après le fade que je venais de prendre se ralluma en moi.
Mon amant les mains crispées sur mes fesses en feu qu'il écartait au maximum se ruait dans mon tunnel avec une vitesse folle.
Bien que j'eus le fion complètement explosé je sentais l'incroyable phallus me limer jusqu'à plus jouir et je me remis à râler.
Je ne sais combien de temps Désiré m'encula de cette manière, j'avais perdu le sens des réalités et je hurlais sans discontinuer sous les virils assauts que mon homme m'assénait.
Soudain se plaquant contre mon arrière-train démoli Désiré éjacula en feulant.
Un formidable flot de sperme crémeux fusa contre mes parois surchauffées me déclenchant un orgasme stupéfiant.
Je griffai la table de mes ongles, je tendis mon cul vers la pine qui continuait de se déverser au fond de moi pour accentuer la pénétration.
Un hurlement perçant jaillit de ma poitrine et je retombai lourdement sur la table.
Je sentis le priape de mon homme sortir de mon antre et je restai immobile les yeux clos savourant les dernières contractions du bonheur autour de ma corolle ravagée.
Quand je repris conscience des réalités, je descendis de la table.
Désiré était assis sur une chaise en train de fumer, son sexe flaccide maculé de sécrétions intimes et anales reposait sur sa cuisse comme un gros ver noir, il me dit "Quel cul, mais
quel cul tu as, jamais je n'ai vu un cul pareil même chez
les filles, tu es très bonne à baiser.
- Merci mais tu sais je suis peut-être bonne à baiser mais il
faut dire que toi tu as une sacré bite, tu m'as fait monter
au septième ciel, pourtant tu sais j’en ai pris des
kilomètres de bite dans le cul mais personne m’a fait jouir
comme tu viens de le faire. Je me suis tapé de tout, des
européens, des arabes, des asiatiques, des blacks. J’ai
fait des partouzes, des tournantes, jamais un mec ne m’a
donné autant de plaisir.
- Merci mais j’ai bien vu que tu avais pris ton pied et mes
épaules aussi.
- Je t'ai griffé ?
- Non tu m'as simplement lacéré la peau.
- Excuse-moi.
- C'est rien ça veut dire que tu as pris du plaisir.
- Oh oui j'ai cru devenir folle tellement tu m'as bien baisé.
- Alors je suis content.
- Mais tu sais que tu m'as complètement cassé le cul.
- Oui mais tu ne voulais pas ?
- Oh si et j'espère que tu ne vas pas t'arrêter là.
- Bien sur que non je vais encore te mettre ma bite dans le
cul aujourd'hui et cette nuit.
- Super parce que si toi tu dis que tu n'as jamais vu un cul
comme le mien, moi je n'ai jamais une pine comme la tienne.
- Merci.
- Non c'est moi qui te remercie de m'avoir baisé aussi bien.
- Je sais que j'ai une belle bite mais quand on est devant un
cul comme le tien il faut bien le baiser.
- Ca veut dire qu'on est content tous les deux et c'est bien.
- Oui veux-tu une cigarette ?
- Oui mais excuse-moi si je ne m'assois pas je ne veux pas
tacher les chaises, je sens ta jute qui coule de mon cul
parce que là aussi bravo tu m'as vraiment inondé le trou.
- Moi quand je jute il y en a toujours beaucoup.
- Je m'en suis aperçu et c'est bien car j'aime recevoir
beaucoup de sperme aussi bien dans le cul que dans la
bouche.
- Ne t'en fais pas je vais t'en donner.
- Je l'espère.
- Bien je vais aller me laver la bite et après on ira nager
un peu, ça fera du bien à ton cul il va se refermer un peu
car crois-moi il est grand ouvert et après on recommencera.
- D'accord mais moi aussi je vais me laver car je ne vais pas
sortir avec de la jute qui coule sur mes cuisses, pour ce
qui est de mon cul je sens bien qu'il est ouvert.
- Ca te fait mal ?
- Non et je te remercie de m’avoir ouvert le trou lentement
sans m'esquinter ce qui fait que je ne ressens aucune
douleur, tu baises très bien tu as attendu que mon cul sois
bien dilaté avant de m'enculer fort.
- Bien sur c'est comme ça qu'il faut faire sinon il n'y a pas
de bonne baise.
- Tu as raison.
- Bien fume tranquillement je vais me laver".
Après avoir pris une bonne douche nous partîmes nous baigner, nous restâmes environ deux heures sur le bord du lac et vers 5 heures nous reprîmes le chemin du cabanon.
Une fois entrés Désiré me dit "Je crois que ça nous a fait du
bien de nager.
- Oui.
- Je me sens en pleine forme. Et toi ?
- Mois aussi.
- Comme ça on va pouvoir bien baiser.
- Tu as raison.
- Eh bien pour donner de l'appétit j'aimerais que tu me
fasses une pipe. d'accord ?
- Bien sur, sucer ta bite sera pour moi un grand plaisir.
- Merci mais j'aimerais que tu me suces dehors, j'aime bien
ça.
- Si tu veux mais es-tu sur que personne ne viendra ?
- Sur je te l'ai dit tout à l'heure, j’amène souvent des
filles ici et on baise aussi bien dedans que dehors.
- Mais alors pourquoi ne ferions-nous pas la même chose.
- Quoi ?
- Tout à l'heure tu pourrais me baiser dehors, j'aime bien
avoir le cul à l'air.
- D'accord pourquoi pas, il y a tout ce qui faut pour baiser
il y a des matelas, des chaises, des tables et même un
robinet pour se laver.
- Super donc allez c'est bon baisons dehors.
- D'accord on va pouvoir rester nus jusqu'à qu'on dorme.
- Oui.
- Bon allez viens, j'ai envie de sentir tes lèvres sur mon
sexe".
Désiré ôta son short et je pus voir que son pénis n'était pas encore en érection, à mon tour je baissai mon maillot, ce geste provoqua une réaction chez mon amant, sa queue se redressa quelque peu et il me dit "Tu vois ma bite a vu ton
cul et elle relève déjà la tête.
- AH, AH, AH !!".
Une fois sur la terrasse mon homme resta debout les mains sur les hanches.
Je compris qu'il voulait que je le suce dans cette position.
Je m'agenouillai face à lui et de la main gauche je commençai à caresser ses testicules duveteux.
Ce léger contact eut pour effet de faire se dresser la hampe noire.
Tout en continuant à effleurer les bourses gorgées de sève je saisis le phallus à la base et je commençai à le branler doucement.
Il ne fallut que quelques secondes pour que la virilité de mon mec retrouve ses phénoménales dimensions.
Désiré ferma les yeux et rejeta la tête en arrière et sa respiration avait accéléré.
Pendant quelques instants je continuai à traire la pine érigée tout en caressant les burnes jusqu'à ce que mon mâle pose ses mains sur ma tête.
J'approchai mon visage de l'énorme bite et je commençai à la lécher sur toute sa longueur.
Elle avait un goût salé du à la baignade, le doux contact de ma langue sur cette chair turgescente fit encore plus se dresser et grossir la verge.
Après l'avoir bien aguiché de la sorte je me penchai sur le membre et du bout de la langue j'entrepris de suçoter le gland tout en titillant le méat et recueillant les gouttes de liqueur translucide qui perlaient.
Je m'abandonnai quelques instants à ce baiser lingué avec le bout durci quand je sentis sur mon crâne les mains de mon amant appuyer plus fortement.
J'ouvris tout grand la bouche et j'enfournai l'objet de ma dévotion.
J'entourai la tige de ma langue tout en la mordillant puis je me mis à monter dessus lentement.
Pendant une demi-heure je pratiquai une lente fellation, Désiré se cambrait au maximum pour s'offrir totalement à ma bouche gourmande.
J'avais posé mes mains sur ses cuisses et amoureusement je pompais ce superbe phallus d'ébène.
Ce sexe était tellement grand que j'avais un peu mal aux mâchoires et que deux filets de salive coulaient le long des commissures de mes lèvres.
Chaque fois que j'embouchais la biroute raide de mon mâle il murmurait "Oh oui c'est bon comme tu suces"..
Soudain je sentis sur ma langue le priape palpiter, il m'a semblé que le gland doublait de volume.
Mon amant plaqua mon visage contre son pubis et explosa en feulant.
Un flot de semence gicla contre mes amygdales et je le bus avec délectation tout en cajolant le membre de mes lèvres jusqu'à ce que le calme soit revenu.
Quand mon homme me relâche, je m'écartai de la bite à demi flaccide et me relevai, mon mec me dit "Tu suces vraiment
bien, ta bouche est presque aussi bonne que ton cul, tu es
vraiment une superbe pute.
- Merci.
- Non c'est moi qui te remercie de m'avoir fait jouir aussi
bien.
- Tout à l'heure ce sera à toi de me faire jouir, mais tu
sais j'aime sucer ta bite et ton sperme a très bon goût.
- Merci bon maintenant on va préparer le manger et prendre un
petit verre et après je vais te donner ton compte.
- D'accord, alors dépêchons-nous car j'ai très envie de
sentir ta bite m'éclater de nouveau la rondelle.
- T'en fais pas car après manger il y aura toute la nuit et
crois-moi je vais te donner ton compte.
- Je l'espère.
- Tu vas voir je vais te baiser comme un taureau.
- Tu as intérêt car je commence à avoir le cul en feu moi.
- Ne te casse pas la tête je vais l'éteindre ce feu cette
nuit".
Après avoir mis le dîner à cuire, je servis l'apéritif sur la terrasse, pendant que nous buvions Désiré me dit "Mais dis-moi
comment ça se fait que tu sois devenu pédé, je t'ai
pourtant vu avec des gonzesses, je sais même que tu as
baisé la mère Laurent.
- Tu as raison je l'ai baisé et pas mal d'autres.
- J'ai même entendu dire que tu avais baisé Zohra.
- C'est vrai mais il ne faut pas le dire, elle est mariée.
- Bien sur mais tu ne m'as toujours pas répondu.
- Ecoute c'est simple, à la fin d’un cours de sport mon prof
de gym m’a caressé dans les vestiaires, j’y ai pris du
plaisir, il m’a demandé de lui sucer la bite puis après il
m’a dépucelé du cul. J’ai adoré et depuis ce jour je ne
baise qu’avec des mecs et je prends un plaisir fou.
En plus je me suis aperçu qu'en plus je ne bandais pas
quand je baisais avec un mec, j'ai donc pris ma décision
c'est à dire de continuer à me faire baiser par des hommes.
- Mais tu ne veux plus baiser avec des femmes.
- Non je suis un vrai pédé et seulement ça.
- Ca alors je ne comprends pas, regarde moi je te baise
aujourd'hui mais si demain je rencontre une fille je la
baise.
- Bien sur mais toi mais regarde ce que nous venons de faire.
- Je ne comprends pas ?
- On vient de baiser mais toi tu es resté l’homme, le mâle,
tu m’as possédé, moi j’ai fait la femme, la femelle, je me
suis donnée à toi. Tu sais cette décision je ne l’ai pas
prise comme ça, je me suis tapé un grand nombre de mecs et
je me suis rendu à l’évidence, je préfère de loin être
baisé que de baiser
- Je vois.
- Eh oui.
- Bien avant de reprendre un verre si on s'occupait un peu de
ton petit trou du cul. Hein ?
- Ah oui.
- Bien voilà ce qu'on va faire, tu va venir t'asseoir sur mes
cuisses face à moi et je vais te baiser assis, d'ailleurs
regarde il le faut car ma pine est toute droite.
- Hum !! En avant tout de suite".
Je déplaçai la table puis m'assis face à mon amant, le phallus érigé vint aussitôt se placer entre mes fesses.
Désiré posa sa main sur ma nuque et approcha sa figure de la mienne.
Il écrasa mes lèvres, nos dents s'entre choquèrent, j'ouvris la bouche, nos langue se nouèrent et nous échangeâmes un baiser enflammé qui me laissa pantelant.
Délaissant ma bouche mon homme me lécha le visage puis me bécota le cou.
Pendant ce temps je sentais le priape raide palpiter dans la raie de mon postérieur.
Mon mec reprit ma bouche et glissant une main entre nos deux corps il positionna son gland à l'orée de mon antre affamée, pour montrer mon envie je me tortillai.
Tenant fermement sa verge Désiré donna un petit coup de reins.
Bien que mon sphincter soit un petit peu refermé il était encore amolli et le bout durci pénétra en moi.
Quand la fabuleuse tête de la bite turgescente me déflora je ressentis une petite mais non moins vive douleur et bien qu'ayant la bouche toujours prise je poussai un cri.
Tout en me butinant les lèvres mon amant resta immobile laissant mon orifice s'habituer à la présence qui le distendait.
Peu à peu mon anneau céda et mon homme me pénétra jusqu'à la garde me faisant gémir.
Mon mec abandonna ma bouche et me dit "Tu vois, ça y est je
suis entièrement en toi.
- Oui mais tu as quand même un sacré calibre, j'ai encore un
peu mal.
- Restons un peu de temps sans bouger et ton cul va s'ouvrir.
- Tu sais que je sens bien ta bite palpiter en moi, je
t'assure de tous les mecs qui m'ont baisé jamais je ne me
suis senti rempli autant.
- Et tu aimes être bien rempli ?
- Oui même si au début ça fait un peu mal après c'est
tellement bon.
- Tu vas voir tu vas encore bien jouir.
- J'en suis sur allez vas-y défonce-moi.
- Encore un peu de patience, je sens ton trou se décontracter
autour de mon zob.
- Ca fait rien si j'ai mal mais vas-y casse-moi le cul.
- Bon tu l'auras voulu".
Me prenant par la taille Désiré commença à me faire monter et descendre lentement sur sa monstrueuse colonne de chair dressée m'arrachant à chaque passage de petits couinements.
Peu à peu mon anus céda et la magnifique pine pu coulisser en moi sans aucune difficulté.
Posant mes bras autour du cou de mon amant je fermai les yeux et la tête rejetée en arrière je me laissai emporter dans un tourbillon de bien-être.
Je ne sais combien de temps mon homme me fit aller et venir sur son merveilleux vit.
Mes miches étaient bouillantes, je sentais le désir monter en moi par vagues successives et je me mis à onduler.
Le plaisir que me donnait ce sexe fiché entre mes deux lobes charnus était exceptionnel et je me mis à pousser de lourds râles de bonheur.
Mon trou complètement dilaté produisait des bruit de succion chaque fois que mon mec m'empalait jusqu'à la garde.
Le corps en feu je me cambrais pour m'offrir plus encore à la hampe qui me creusait les reins.
Désiré avait arrêté de me faire bouger sur son sexe et donnait de violents coups de boutoir.
Sous les assauts répétés je me sentais sombrer, j'avais atteint la plénitude rectale.
Pour moi seul comptait le phallus démesuré qui cassait la pastille.
J'étais comme un pantin désarticulé entre les mains de mon homme, chaque fois que le pénis turgescent se plantait au fond de mon rectum en fusion je poussais des cris de plaisir.
Désiré me besognait avec des "HANS" de bûcheron, le puissant membre s'enfonçait au tréfonds de mes entrailles pour ressortir presque entièrement la seconde suivante.
Je planais littéralement sous ses poussées viriles qui me transportaient au paroxysme de la jouissance, je ne vivais plus que pour et par le somptueux phallus qui me ramonait le prose jusqu'à plus jouir.
Mon mec avait posé ses mains sur mes épaules pour m'immobiliser et me pilonnait le cul en de brutaux coups de bite m'ouvrant un peu plus le tunnel à chaque fois.
Soudain Désiré se leva et alla s'appuyer contre un pilier.
Je nouai mes jambes dans son dos et la tête posée dans le creux de son épaule je savourais le plaisir qui me submergeait.
Chaque fois que la bite roide s'enfonçait dans ma fente jusqu'à la garde j'avais l'impression que mon ventre explosait.
Mon homme me pilonnait avec une telle violence que je me disais que s’il continuait comme ça il allait me déchirer le cul mais c'était si bon que je voulais qu'il continue à me baiser indéfiniment de la sorte.
Sous les coups de boutoir redoublés je hurlais sans discontinuer, j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer.
C'est à cet instant que se plantant au plus profond de mon postérieur en fusion, Désiré éjacula en râlant.
Ses épais jets de liqueur crémeuse fusant contre mes parois surchauffées me déclenchèrent un spasme foudroyant.
Une vague de volupté déferla sur moi, je tendis ma croupe vers la pine qui continuait de se vider en moi et de ma gorge pulsa un hurlement de bonheur.
Sous l'impact du plaisir que nous venions de ressentir nous tombâmes à même le sol.
Je sentis le membre de mon amant sortir de ma grotte béante et je restai allongé sur le dos, yeux clos et cuisses écartées savourant le merveilleux moment qui venait de se passer.
Quand je revins à la réalité je vis mon homme assis en train de fumer.
Son pénis à demi-flaccide était luisant de sécrétions intimes et maculé de traînées sombres.
Je lui sourit et Désiré me dit "Ca a été une bonne baise.
- Oh oui tu m'as encore fait grimper aux rideaux.
- Je le sais j'ai bien vu que tu prenais beaucoup de plaisir
mais tu sais moi aussi, ton cul est vraiment super.
- Merci là je crois que tu m'as vraiment éclaté le cul.
- Oui je crois.
- Oh là là qu'est-ce que tu m'as mis, à un moment j'ai cru
que tu allais me déchirer.
- Mais non une fois que ton cul est ouvert il n'y a plus de
risque.
- Oui mais j'ai mal aux fesses.
- Déjà !!
- Je n'ai pas dit que j'avais mal au trou du cul mais aux
fesses, à force que ton ventre et tes cuisses claquent
dessus, j'ai l'impression d'avoir pris une fessée.
- Ah bon je n'avais pas compris.
- Ne t'inquiète pas j'ai encore très envie que tu me baises.
- Et moi aussi, je veux encore ton petit cul.
- Par contre je boirais bien quelque chose et je fumerais
bien une cigarette.
- Je vais te donner une cigarette mais avant de boire je vais
aller me laver la bite.
- Et moi le cul mais dis-moi ce n'est pas une bite que tu as
c'est une vraie lance d'incendie, regarde mon cul n'arrive
pas à garder ta jute, il y en a tellement que ça coule
entre mes fesses et sur mes cuisses.
- Je sais je jute toujours beaucoup. ça ne te plaît pas ?
- Si au contraire surtout quand je te suce c'est super d'en
avoir autant dans la bouche, remarque j'aime bien aussi
quand tu tires dans mon cul à chaque fois j'ai l'impression
qu'on m'inonde le trou.
- Alors c'est bien, tiens voilà ta cigarette.
- Merci pendant que tu te laves, je vais fumer et après
j'irai me nettoyer le cul.
- D'accord et ensuite on boira l'apéro après on mangera, on
ira nager un peu pour se décontracter et faire du bien à
ton petit trou du cul et enfin on reviendra baiser toute
cette nuit.
- Super, allez va te laver la zigounette.
- Oui comme ça elle sera bien propre pour ta bouche tout à
l'heure.
- Oui car je t'avoue que je n'ai pas envie de sucer une bite
dans cet état même si c'est la tienne.
- Je comprends et c'est pour ça que tout à l'heure on va
commencer la nuit par une sucette car je n'ai pas envie
d'aller me laver après chaque enculade.
- Tu as raison cette nuit moi aussi je ne veux pas que tu
partes chaque fois te laver le chibre, mais tu sais cette
nuit ce ne sera pas pareil.
- Que veux-tu dire ?
- Si dans la nuit tu veux que je te suce je ne te demanderais
pas d'aller te laver, je te sucerais la bite même si elle
est sale.
- C'est vrai ?
- Oui maintenant ça me gène car on va manger et tout mais
cette nuit je te pomperai quand même d'ailleurs qu'est-ce
qu'il y a sur ta bite, de la jute et ta jute je la bois le
reste c'est de la merde et cette merde c'est la mienne
alors si tu veux que je te pompe je le ferais.
- C'est gentil mais moi je ne souhaite pas car si j'ai envie
de t'embrasser je préfère ne pas sentir d'odeur comme ça.
- Comme tu voudras.
- Non tu me feras une bonne pipe avant de commencer la nuit
et après on s'occupera uniquement de ton cul.
- Pas de problème j'aime bien sucer mais je préfère me faire
enculer, c'est là où je prends du plaisir.
- Bien à tout à l'heure".
Quand Désiré revint tout propre je me levai, une fois dans la salle de bains la première chose que je fis fut de me mettre devant une glace pour regarder mon anus.
Il était enflé et bien ouvert, ma raie et l'arrière de mes cuisses étaient remplis de sperme en train de sécher quand à mes fesses elles étaient rouges
Satisfait de ce que je venais de voir je rentrai sous la douche où je rendis à mon corps une propreté toute suédoise.
Quand je reparus sur la terrasse Désiré avait remis la table en place et nous avait servi un verre, je pris un coussin et je m'assis avec précaution sur une chaise, mon amant s'en aperçut et me demanda "Qu'est-ce qu'il y a ?
- Rien mais avec ce que tu m'as mis mon trou du cul est un
peu sensible.
- Tu as mal ?
- Non ça va et puis n'importe comment avec le temps il va se
refermer et puis un peu de baignade lui fera du bien, pour
ce qui est de cette nuit ne t'inquiète pas c'est sensible
quand je suis comme maintenant c'est à dire quand je
m'assois, quand on baisera ce ne sera pas pareil.
- Très bien mais si quelque chose ne va pas il faut le dire.
- Tout va bien et j'ai très envie que tu me baises bien et
fort toute la nuit et si demain je ne peux pas marcher
tellement j'ai mal au cul ça voudra dire que j'ai joui
comme un malade toute la nuit, n'importe comment mon cul se
refermera.
- Tu as raison, enfin pour le moment buvons et dans environ
une heure on va manger.
- Et après vite au lac pour vite revenir baiser.
- AH AH AH !!
- Tu rigoles mais moi non j'ai envie de sentir ta bite me
défoncer la pastille.
- T'inquiète pas je vais bien m'occuper de ton petit derrière
et bien te péter ta petite rondelle.
- C'est tout ce que je demande.
- C'est ce que tu vas avoir.
- C'est bien".
Après avoir bu quelques verres nous avons mis la table et avons commencé à dîner.
Le repas fut vite expédié, nous avons débarrassé puis je suis rentré pour me vêtir, Désiré me demanda "Que fais-tu ?
- Je mets mon maillot.
- Ce n'est pas la peine, à cette heure-ci il n'y a plus
personne au lac allons-y nus.
- Tu es sur.
- Bien sur tous les gens sont chez eux.
- Bon si tu le dis".
Effectivement la berge était déserte, nous avons nagé pendant environ une demi-heure.
Le contact de l'eau m'a fait du bien, à un moment j'ai passé mon doigt sur mon anus, il avait diminué et s'était refermé.
Il était environ 11 heures quand nous sommes remontés au cabanon, arrivés sur la terrasse Désiré m'a demandé "Où
préfères-tu passer la nuit, ici ou à l'intérieur ?
- Je m'en fous du moment que tu me baises bien.
- Bon voilà ce que nous allons faire, on va commencer ici
puis terminer dans la chambre car vers 3 heures du matin il
fera froid et nous serons mieux dans le lit.
- Comme tu veux, pour moi ce qui compte….
- Je sais c'est que je te démonte bien le cul.
- Eh oui.
- Alors commence déjà par me faire une bonne pipe.
- Avec joie.
- Non avec la bouche.
- AH AH AH !! idiot".
Mon amant s'assit sur une banquette, son sexe était déjà dressé.
Je m'agenouillai entre ses jambes écartées et de la main gauche je me mis à caresser ses couilles gorgées de sève tandis que de l'autre main je saisis le phallus à la base et me mis à le branler lentement.
Ces attouchements firent leur effet, le priape d'ébène grandit et grossit encore pour atteindre ses phénoménales dimensions.
Du bout de la langue je me mis à lécher le méat au bout duquel perlait une larme de foutre translucide.
Cette caresse fit frissonner mon homme qui ferma les yeux et rejeta la tête en arrière tout en se cambrant pour s'offrir encore plus.
Pendant quelques instants je titillai le gland tout en léchant le membre turgescent sur toute sa longueur, chaque fois que ma langue se posait sur le bout durci mon mec râlait.
Jugeant que les préliminaires avaient assez duré j'ouvris tout grand la bouche et j'engloutis l'objet de ma dévotion.
Puis l'entourant de ma langue et en le mordillant doucement je me mis à pratiquer sur cette merveilleuse queue une lente fellation.
Pendant plusieurs minutes je suçai passionnément la fabuleuse verge.
Chaque fois que je l'embouchais totalement Désiré râlait en disant "Oh oui c'est bon, tu suces bien, continue".
Soudain je sentis sur la langue la hampe tressauter, mon amant plaqua mon visage contre son pubis.
Le gland démesuré me sembla doubler de volume et un flot de sperme crémeux, que je bus avec délectation, gicla dans ma bouche.
Je continuai à câliner de la langue le sexe qui se vidait dans ma gorge jusqu'à ce que le calme soit revenu.
Mon homme me libéra et je m'écartai, la biroute était toujours en érection et je lui demandai "Ca t'a plu ?
- Oh oui tu suces superbement, j'aime bien sentir tes lèvres
sur ma queue.
- Et moi j'aime bien sentir ta queue sur mes lèvres et tu
m'as encore bien donné à boire.
- AH AH AH !! et maintenant c'est à ton petit cul que je vais
donner à boire.
- Je l'espère mais avant de lui donner à boire, j'espère que
tu vas bien le baiser.
- Parce que jusqu'à maintenant je ne l'ai pas bien baisé ?
- Si et j'espère que ça va continuer.
- Bien sur tu verras demain tu ne pourras pas marcher
autrement que les jambes écartées.
- C'est tout ce que je demande".
Désiré s'allongea sur le dos sur un matelas et me dit "Allez
viens ma petite poulette, viens t'asseoir sur moi que je te
rentre ma bite dans ton petit trou".
Je me mis à genoux à cheval sur mon amant et je descendis jusqu'à ce que je sente la tête du phallus buter contre la raie de mon cul.
Tout en regardant mon amant dans les yeux je glissai une main derrière moi, je saisis le pénis érigé et je le positionnai contre mon œillet affamé.
Fermant les yeux je m'empalai lentement sur la longue colonne de chair turgescente laissant échapper un voluptueux gémissement au fur et à mesure que le pieu de chair investissait mon intimité embrasée.
Quand je sentis contre mes fesses brûlantes les poils follets des testicules de mon homme je sus que le gigantesque priape était à fond en moi.
Comme toujours avec Désiré je ressentais la sensation d'être abondamment rempli et mon anneau distendu me faisait un peu souffrir.
Je restai quelque temps immobile laissant mon anus s'habituer à la formidable présence qui m'obstruait le fondement.
Ma pastille céda et un doux sentiment de bien-être s'insinua en moi.
C'est à ce moment que mon mec posant ses mains autour de ma taille se mit à me faire monter et descendre sur sa bite tuméfiée m'arrachant à chaque passage de petits cris de douleur.
Peu à peu mon trou se relâcha complètement et l'imposante pine put coulisser librement entre mes miches bouillonnantes.
Je rejetai la tête en arrière et savourai la montée du désir dans mon corps en chaleur.
Chaque fois que mon amant me plantait à fond sur son membre raide il donnait un coup de reins, cette brusque bourrade qui m'ouvrait un peu plus le cul me faisait gémir et je me cambrais pour me donner plus encore.
Longtemps Désiré me prit de la sorte, je ronronnais sous cette lente mais non moins virile possession.
J'avais le sphincter complètement dilaté et je sentais dans le creux de mon ventre naître un désir immense
J'étais tel un pantin désarticulé entre les bras de mon doux tourmenteur, seul comptait pour moi le phallus roide qui me forait les reins me cassant un peu plus à chaque fois la rondelle.
Soudain mon homme me fit basculer tout contre lui tout en continuant à donner de violents coups de bite, puis d'une roulade il me fit passer sous lui sans que nos corps ne se désunissent.
Je nouai mes jambes dans le dos de mon mec et mes bras autour de son cou, la tête rejetée en arrière et les yeux clos je me laissai emporter dans le plaisir que me procurait la houle régulière des reins de mon mâle.
Désiré avait lové sa tête dans le creux de mon épaule et prenant appui sur les avant-bras me pilonnait l'arrière-train à une vitesse folle de toute la longueur de son monstrueux membre.
Chaque fois que l'énorme verge turgescente plongeait au tréfonds de mes entrailles je faisais un bond sur le matelas tellement mon amant me possédait violemment.
Je me dis que si il continuait comme ça il allait me déchirer le fion mais c'était si bon que je voulais qu'il continue indéfiniment.
Mes râles de bonheur se muèrent en hurlements, je planais littéralement sous les brusques assauts que je subissais, j'avais le cul entièrement éclaté et je roulais des hanches en cadence.
Je ne sais combien de temps Désiré me baisa de la sorte, je ne vivais plus que pour et par la bite qui me creusait les reins m'alésant un peu plus le rectum chaque fois qu'elle se fichait au fond de mon intimité bouillonnante.
En dehors de mes cris on entendait les bruits de succion que faisait mon anneau chaque fois qu'il avalait la puissante pine qui me ramonait le prose jusqu'à plus jouir.
Le ventre musclé de mon homme claquait contre mes fesses relevées à me faire mal et je me tordais comme un damné sous celui qui me montait
J'avais atteint la plénitude rectale, je n'étais plus qu'un cul où je voulais que mon amant entre tout entier.
Tout l'intérieur me brûlait, je savais que seule cette merveilleuse queue pouvait éteindre l'incendie qui couvait en moi, j'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mon fondement meurtri.
Longtemps mon mec me besogna de cette manière, j'étais complètement cambré, le cul tendu vers cette magnifique verge d'ébène pour m'offrir plus encore.
Chaque assaut me faisait basculer un peu plus dans l'univers cotonneux du plaisir physique.
Chaque fois que la pine roide m'emmanchait jusqu'à la garde je sombrais un peu plus.
Je n'étais plus que jouissance et je me mis à délirer.
Désiré s'enfonçant au fond de ma grotte en fusion éjacula en feulant.
Ses épais jets de sperme crémeux fusant contre mes parois surchauffées me déclenchèrent un orgasme dévastateur qui déferla sur moi.
Je labourai les épaules de mon amant de mes ongles, mes jambes battirent l'air et mon corps s'arqua sous celui qui me chevauchait.
Je tendis mon cul vers le superbe membre qui continuait à couler dans mon tunnel, un hurlement de jouissance pulsa de ma gorge et je retombai lourdement sur le matelas.
Je sentis le phallus de mon homme sortir de ma fente béante et il se leva.
Je restai allongé les yeux clos et cuisses écartées savourant les dernières contractions du bonheur autour de ma corolle ravagée.
Quand je repris conscience des réalités Désiré était assis sur un fauteuil et me regardait en fumant et buvant un verre.
Son gros priape à demi flaccide et maculé de sécrétions séminales et anales pendait entre ses cuisses, mon mec me sourit puis il me dit "Putain quel coup j'ai tiré.
- Je le sais mon cul dégouline de foutre, j'en ai plein la
raie et plein les fesses.
- AH AH AH !! mais tu m'as encore arraché la peau.
- C'est de ta faute tu me fais tellement jouir.
- Je sais et si ça te plaît alors je suis content.
- Je te jure jamais on ne m'a baisé aussi bien.
- C'est normal je suis le meilleur.
- Tu peux le dire, j'ai le cul complètement éclaté et j'ai
encore très envie que tu me sautes.
- Mais je vais encore bien te baiser, ma bite n'est pas
encore fatiguée.
- Je l'espère car je veux encore la sentir me ramoner le
trou.
- T'inquiète pas je vais te donner encore beaucoup de bite.
- C'est tout ce que je te demande.
- Bien veux-tu boire quelque chose ?
- Oui un petit whisky et une cigarette.
- Tiens".
Après avoir bu et fumé Désiré me fit mettre à quatre pattes et s'agenouillant derrière moi me pénétra d'un viril coup de reins.
Mon amant me posséda encore 2 fois sur la terrasse me faisant jouir superbement à chaque fois.
Dans la nuit nous rentrâmes à l'intérieur où mon amant me prit encore 2 fois sans jamais sortir sa bite de mon anus et chaque fois qu'il me tira je jouis comme un fou.
Vers 5 heures du matin quand mon mec sortit enfin de ma pastille complètement défoncée, j'étais rempli de semence des pieds à la tête et j'avais le trou de balle douloureux.
Rompus de fatigue nous nous sommes endormis jusqu'à 2 heures de l'après-midi.
Quand nous nous sommes réveillés il flottait dans la pièce une forte odeur de merde et foutre mélangée, mes fesses et mes cuisses étaient pleines de tâches de liqueur séminale séchées.
Après s'être lavés et avoir aéré, nous avons remis de l'ordre dans le mobil home et nous sommes repartis, j'avais encore le fion tellement ouvert et qui me faisait mal que c'est Désiré qui a conduit.
Il m'a déposé chez moi et après avoir entré la voiture au garage m'a dit au revoir.
J'ai pris un bain de siège de plus de 2 heures puis je suis allé dans le salon où je me suis allongé à plat ventre cuisses écartées.
J'ai passé le restant de l'après-midi et la soirée dans cette position en lisant et en écoutant de la musique.
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