Damien 78 - La première opération - histoire érotique

Le lendemain après avoir pris une douche rendant à mon corps une propreté toute suédoise, je pris le chemin de la clinique pour mes examens préopératoires.
Cela commence par la prise de tension, prise de sang avec 5 éprouvettes, électrocardiogramme, analyse d'urine.
Je verse au dossier mon résultat de tests HIV / HCV et anticorps hépatite B.
Je remplis le questionnaire sur mes antécédents médicaux.
Il y a une question importante rédigée comme suit "Si vous
vous retrouvez dans un coma dépassé, que faisons-nous,
maintien de l'assistance ou pas ?"
Je répondis naturellement que dans ce cas il faudrait prélever tous les organes utiles pour des greffes puis débrancher.
Après l’assistante du professeur vint me voir, elle me décrit la technique opératoire en m'informant de tous les risques induits par cette chirurgie, elle noircit le tableau et si j'étais trouillarde je serais déjà dehors, mais je sus faire la différence entre risque potentiel et risque maîtrisé.
Une fois les explications fournies, je signai le document qui certifiait que j'avais été informée.
Les examens continuèrent, échographie de la vessie et des reins, examen de mes veines, c’était important pour placer les perfusions et examen de la zone à opérer.
Une fois tout ceci fini, l'anesthésiste vint me voir et on commença par un examen de mes dents puis un examen pulmonaire.
L'anesthésiste m'informa des risques liés à l'intubation, les cordes vocales pouvant être abîmées, des dents pouvant être cassées, il peut aussi avoir des problèmes articulaires liés à la position pendant une longue durée.
Je signai le tout et je retournai à l’admission où on me délivra un papier d’entrée pour dans deux mois, jour où je saurais si je suis admissible ou non pour les interventions.
Les deux mois passèrent très lentement, je vis mon corps changer sous le traitement hormonal.
Ma pilosité diminua, je commençai à n’avoir presque plus de barbe, le peu de poils que j’avais sur le torse tomba et ma voix devint un peu plus aigue.
Je vis aussi mes fesses se transformer quelque peu, ce qui me rassura c’est qu’elles gardèrent leur fermeté.
Ma poitrine commença à pousser, ça me fit tout drôle et Pierre en était tout baba, il n’arrêtait pas de caresser mes petits seins, les aréoles s’agrandissaient et mes tétons s’allongeaient.
Pendant ce temps, je ne sais pas si c’était du au traitement mais je fus pris d’une véritable frénésie sexuelle, je devins une authentique nymphomane.
Dès que Pierre rentrait du travail, je lui sautais dessus il me fallait du sexe encore du sexe et toujours du sexe.
Deux jours avant mes premières interventions, nous prîmes l’avion pour Bangkok.
Nous arrivâmes à Bangkok et fûmes pris en charge par le chauffeur du centre chirurgical qui nous conduisit au Dusit Princess Srinakarin Hotel.
C’est un hôtel 4 étoiles avec un service de qualité exceptionnelle.
Dès lors, tous les déplacements ayant trait à l’opération seront assurés par ce chauffeur, en berline luxueuse.
Le jour de la première intervention, prévue à 10 heures du matin, je restai à jeun comme précisé par le professeur.
Après avoir fait le trajet dans la limousine, Pierre et moi arrivâmes à la clinique où je fus pris en charge par le personnel qui fit preuve d’une gentillesse extrême.
A 9h30 je rentrai au bloc où je fus endormi.
Ce fut la première étape, le remodelage du front et des arcades.
Quand je me réveillai, Pierre était à mes côtés.
J’avais le visage complètement bandé et je sentais des petits tiraillements.
Le professeur vint me voir quelque temps plus tard, il me demanda "Alors comment ça va ? Pas trop douloureux ?
- J’ai quelques tiraillements mais c’est tout à fait
supportable.
- C’est normal mais avec la perfusion dans quelques minutes
vous ne sentirez plus rien du tout. Vous voulez connaître
la suite ?
- Bien sur docteur.
- Vous allez rester 3 jours à la clinique le temps de
vérifier si tout va bien. Puis vous irez suivre votre
convalescence pendant une semaine à l’hôtel. Vous viendrez
tous les jours ici afin que l’on refasse les pansements et
que je vérifie l’avancée de votre guérison. Après vous
pourrez rentrer chez vous en attendant la prochaine
intervention.
- D’accord. Comment sera mon visage ?
- Réussi en tout cas, mais ne vous inquiétez pas, quand vous
sortirez d’ici, vous n’aurez plus d’enflure et quand vous
repartirez chez vous toute trace aura disparu, pour le que
les cicatrices deviennent invisible il faudra environ un
moi mais c’est très léger.
- Merci docteur.
- Reposez-vous et je vous dis à demain.
- A demain".
Au bout de trois jours on me donna un miroir pour que je puisse voir les résultats
Effectivement mon front était bombé et arrondi, il finissait bien sur une arcade sourcilière peu marquée.
Cela avait adouci mes traits et me donnait un visage féminin, je fus très satisfait du résultat et je le dis au personnel médical.
Une heure avant mon départ pour la clinique, j’eus un entretien avec le professeur.
Il me demanda "Alors Line ? Vous permettez que je vous appelle
Line ?
- Bien sur puisque que c’est le prénom que j’ai choisi
- Alors comment trouvez-vous mon travail ?
- C’est parfait, mon visage est devenu féminin, je vous
remercie.
- Si vous êtes content alors…
- Docteur, je préfèrerai que vous employiez le féminin avec
moi.
- Mais cela ne me pose aucun problème.
- Merci.
- Bon vous allez rentrer à l’hôtel et ne vous inquiétez pas
pour les bandages, ils sont habitués, tous nos patients
logent chez eux.
- Parfait.
- Je pense que vous avez votre planning de soins.
- Oui tous les matins à 10 heures.
- Bien il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une agréable
convalescence et je vous reverrai à la fin de votre séjour.
- D’accord Docteur et encore merci.
- Mais de rien voyons".
Pendant la semaine qui suivie, chaque matin j’allai à la clinique pour mes soins et le reste du temps nous restions Pierre et moi au bord de la piscine.
Le dernier jour on me débarrassa de mes bandages, mes cicatrices étaient presque invisibles.
Je vis le professeur qui me demanda si j’étais satisfait de son travail, ce à quoi je répondis oui.
Le lendemain Pierre et moi repartîmes pour la France.