Damien 83 – Dans l’attente de la transformation (1)

- Par l'auteur HDS Katy -
Récit érotique écrit par Katy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Damien 83 – Dans l’attente de la transformation (1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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(8.0 / 10)

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Damien 83 – Dans l’attente de la transformation (1)
Le lendemain matin je me levai vers 10 heures, je me levai et allai devant la glace de l'armoire examiner mon anus, il était encore très gonflé et un peu ouvert, ce qui n'était pas étonnant vu ce que Pierre m'avait mis cette nuit.
Je pris une longue douche pour rendre à mon corps une propreté toute suédoise.
Quand je sortis de la salle de bains, je me vêtis d’une simple blouse et me mis à la recherche de mon amant.
Il était debout dans le jardin habillé d’une gandoura, quand il me vit un grand sourire illumina son visage et il me dit "Bonjour ma chérie, tu as bien dormi ?
- Oui, je suis bien reposée.
- Par trop de douleurs ?
- Un peu mal au cul mais ce n’est pas étonnant avec ce que tu m’as mis.
- C’est vrai que je t’ai bien bourrée.
- Ça tu peux le dire, j’ai le trou de balles encore ouvert.
- Tu n’as eu que ce que tu as voulu.
- C’est vrai et je dois te dire que j’ai pris un pied super, tu m’as fait jouir comme une folle. J’ai aussi beaucoup aimé les coups de fouet, il faudra qu’on recommence de temps en temps.
- Tes désirs sont des ordres mon cœur. Et la fessée ?
- Ça aussi génial, ça augmente le désir, c’est génial.
- Tu n’as pas de marques ?
- Très peu mais par rapport à la raclée que tu m’as filé, ce n’est rien du tout.
- Donc tout va bien.
- Oui.
- Excuse-moi mais hier, on était dans une telle frénésie de plaisir, que j’ai oublié de te dire que tu étais encore plus belle qu’avant ton opération, tu as vraiment un vrai visage de femme, tu es magnifique.
- Merci.
- Non c’est moi qui te remercie d’être aussi belle. Je t’aime.
- Tu es gentil".
Je me passai devant Pierre et lui caressai le sexe à travers sa gandoura, il répondit en flattant ma croupe de sa main.
"Mais dis-moi petite cochonne, tu m’as l’air encore bien chaude.
- C’est vrai, tu sais j’aimerai prendre ma dose de lait d’homme ce matin.
- Salope !
- Eh oui toujours salope pour toi".
Pierre s'assit sur un fauteuil de jardin et me dit "Déshabilles-toi, je veux voir ton joli petit cul de femelle en chaleur".
Je me tournai et ôtai ma blouse tout en ondulant lascivement et en tendant ma croupe généreuse vers mon ami.
Totalement nu, je me tournai vers Pierre, il avait une respiration saccadée et son membre tendait sa gandoura, il me sourit et me dit "Tu as vraiment un cul magnifique mon ange".
Je lui enlevai son vêtement et son merveilleux phallus m'apparut pointant vers le plafond, j'écartai les genoux de mon amant et m'agenouillai entre eux.
Je pris le pénis gorgé de sang entre mes mains et entrepris de le branler doucement.
Sous l'effet de cette caresse Pierre creusa les reins s'offrant plus encore, je baissai la tête et me mis à lécher ses testicules poilus du bout de la langue tout en tirant la peau plissée avec mes dents, mon mec poussa un petit gémissement et posa ses mains sur ma nuque.
Je remontai le long de la colonne de chair turgescente enroulant ma langue autour d'elle et en la mordillant, il me semblait que le pénis avait encore grandi.
Je titillai un peu le frein et embouchai l'objet de ma dévotion, j'eus quelque mal à le prendre en bouche et quand le bout durci buta contre ma gorge, j'eus un petit haut le cœur, puis lentement je me mis à sucer cette hampe virile qui palpitait sur ma langue tout en massant les bourses remplies de désir.
Pendant quelques instants je continuai à sucer le priape dressé doucement, puis le prenant à deux mains je me mis à lécher vigoureusement le gland vermillon comme un sucre d'orge.
Cet attouchement eut pour effet d'accélérer plus encore la respiration de mon homme, puis il appuya sur ma tête et me força à engloutir son magnifique pal et rythma le tempo auquel il voulait que je le suce.
Je ne sais combien de temps dura cette fellation, j'avais les lèvres enflées et un peu mal aux mâchoires à force de garder la bouche grande ouverte vu les dimensions impressionnante de cette pine.
Pierre soulevant légèrement les reins venait à ma rencontre pour s'enfoncer le plus entre mes lèvres, soudain je sentis sur ma langue les signes annonciateurs du plaisir, la bite se mit à tressauter et mon amant plaquant mon visage contre son pubis éjacula en feulant, il m'envoya une formidable giclée de foutre crémeux eu fond de la gorge que j'avalai avec délice.
Longtemps je continuai à cajoler le membre, qui avait coulé dans ma bouche sans pour autant perdre de sa vigueur, jusqu'à ce que le calme fut revenu puis je me détachai de mon mec, celui-ci me regarda en souriant et me dit "Tu es la reine des suceuses.
- Merci chéri, moi j’ai eu un petit déjeuner bien crémeux.
- Tu as aimé ?
- Tu sais bien que j’adore le sperme et en particulier ton sperme, par contre maintenant je m’en prendrais bien un bon coup dans le cul pour bien démarrer la journée.
- Cochonne !
- Eh oui et même encore plus, très salope.
- Tu veux baiser où ?
- Ici sur la pelouse, ce sera très bien.
- OK, tu vas voir, je vais te démonter le cul.
- Mais j’y compte bien, touche tu vas voir c'est brûlant, j'ai le feu et il n'y a que ta lance qui peut éteindre ce feu.
- C'est vrai que tu es chaude salope.
- Pas chaude bouillante".
Me prenant par la main, Pierre m’amena dans le jardin.
Mon amant me positionna debout contre un arbre et commença à me faire des bisous dans le cou tout en parcourant mon corps de ses mains agiles.
Sous ces attouchements je sentis l’excitation gagner tout mon corps.
Mon homme m’allongea sur l’herbe et se mit en 69 sur moi.
Je pris sa bite en bouche et il commença s’occuper de mon petit trou.
Il approcha sa langue et se mit à me saliver dans la raie, ce qui me fit frémir de plaisir.
"Tu as l’air d’aimer ma petite salope.
- Tais-toi et continue c’est trop bon".
Les baisers que sa bouche gourmande échangeaient avec mon puits d’amour en feu, me faisait râler.
Au bout de quelques instants, la langue râpeuse abandonna mon intimité et je sentis un doigt me caresser la rondelle.
Mon mec caressait l’entrée de mon cul et fit entrer son doigt.
Je poussai un "Ahhhh…".
Pierre commença son va et vient et je continuais à le sucer vigoureusement.
Au bout de quelque temps de ce traitement, Pierre se leva de sur moi.
Il me fit redresser et m’appuya sur tronc d’un arbre.
Je mis mes bras autour du tronc et écartai les jambes.
Mon amant s’agenouilla derrière moi, il posa ses mains sur ma croupe brûlante et éloigna mes lobes charnus.
Après avoir embrassé mes miches, il commença à me bouffer le cul d’une langue souple et envahissante.
Je fermai les yeux et poussai un râle langoureux.
Pendant plusieurs minutes mon mec me lécha le sphincter tout en faisant entrer le bout de sa langue à l’intérieur.
Ces attouchements me firent monter d’un cran dans le désir et je tendis mon fessier vers cette bouche qui me faisait tant de bien.
Jugeant que j’étais suffisamment préparé mon homme me pénétra de deux de ses doigts et commença à me branler le cul.
Agrippé à mon arbre j’étais en plein extase.
Je me mis à gémir sous les mouvements que Pierre me faisait subir.
Longtemps Pierre alterna ses mouvements et me lécha amoureusement l'anus avec une gourmandise intense.
Je me sentais partir complètement.
Tout mon corps vibrait sous les caresses manuelles et buccales que je recevais.
Je me mis à supplier mon amant "Encule-moi ! Prends-moi bien à fond ! Baise bien ta salope".
Abandonnant mon cul en ébullition, mon homme me dit "Qu’est-ce que j’aime ton cul ma petite pute, qu’est-ce qu’il est bon.
C’est vrai que tu veux que je te baise ?
- Oh oui, je veux sentir ta grosse bite me défoncer, je suis en feu, j’ai besoin de ta queue.
- Ah tu veux ma queue, alors demande le mieux.
- Je t’en supplies baise-moi, je suis ta salope, je suis ta pute, ton vide-couilles, je veux que tu me casses me cul avec ta grosse pine, je veux que tu m’inondes de ton sperme après m’avoir démonté le fion. Baise-moi, baise ta femme, baise ta femelle.
- J’aime bien te sentir me supplier salope, je vais te donner ce que tu demandes, tu vas en prendre plein ton joli petit cul de gonzesse.
- Fais-moi jouir mon chéri, prends-moi, je te veux en moi".
Mon mec se releva et je sentis sa bite frotter entre mes fesses.
Pierre se plaqua contre moi et et me dit à l’oreille qu’il allait entrer.
Il posa son gland sur ma rondelle bien dilatée et appuya doucement.
Je gémis sentant mon anus s’écarter.
Mon amant il resta 2 bonnes minutes, il poussa ensuite tout son gland et s’immobilisa ensuite.
Il me demanda "Ça va ma petite cochonne ?
- Ahhh ouiii".
Mon homme enfonça cm apres cm sa queue jusqu’à ce que je sente les poils follets de son pubis contre mon derrière bouillonnant puis il commença un lent va et vient.
"Vas y bourre moi.
- Je ne vais pas me faire prier !".
Il me donna des coups de reins plus puissants.
Mon mec me mordit l’oreille comme pour me dominer mais j’aimais çà être sa cochonne, sa chose.
Pendant 20 minutes Pierre me plaqua contre l’arbre le cul tendu, puis il ressortit lentement.
Je sentais son gland énorme écarter mon anneau éclaté et il me le remit au fond sauvagement.
Je poussai un lourd gémissement et mon amant se mit à me baiser plus fort et sortit d’un coup sec.
Mon homme me retourna et me coucha sur l’herbe.
Il mit mes jambes sur mes épaules et repointa sa queue toute raide puis s’enfonça dans mon intimité d’un coup sec.
Ses grosses couilles cognaient contre mes fesses.
J’avais fermé les yeux et me tordait comme une damnée sous mes coups de boutoir que mon mec m’assénaient.
Mon étalon avait trouvé sa vitesse de croisière.
Je me sentais chienne, je posai mes mains sur ses fesses et mes ongles plantés dans cette chair ferme, je lui déchirais la peau.
J’approchais ma tête vers celle de Pierre et lui offris ma bouche.
Nous échangeâmes un baiser enflammé.
Se détachant de moi mon amant sourit et me dit "Tu es vraiment une bonne pouliche, tu es faite pour être baisée".
Je voyais aux grimaces de son visage que mon homme prenait son pied.
Mon mec continua à m’enculer en de puissant coups de reins qui m’amenèrent au septième ciel.
J’avais atteint le point de non-retour et perdant tout sens des réalités je me mis à délirer "aah
ahhhhhhhhhhhhh ouuiii ooh noon c'eessstttt boonnn ouuuiiii enncccoooorrrrreee plluuussss foorrrtttt ooooohhh plluuussss viittteeee taapppeeee aaaaah taaappppe ahpllluuuusss ffooorrrrttttt ççaaahhhh ffaaaiiiittttt mmaaallll mmaaaiiiisssss jj'aaaiiiimmeeeeee ççaaahhhh ttuuu mee aaaahhhhhh ttuuueeeesssss ah ta bbiiitttte ahhh oohh oouuiiiiii aah ddéééffffoonncccee-mmoooiiii aaaaahhhhhhhh bbaaaiiees-moiiii aaaaaahh comme une ggrrroooosssseee saaopppee qquuueeee je ssuuuiiiisssss ah oouuuiii je suiiiisss ta ppuuutttteee ooohhhh je jooouuuuiiiiissssss
Une jouissance foudroyante me submergea, mon corps s'arqua, je hurlai mon plaisir et je retombai lourdement sur la l’herbe flottant dans l’univers cotonneux du plaisir.
Quand je rouvris les yeux, mon homme me possédait toujours à une vitesse folle, m'assenant des coups de boutoirs violents.
Pierre sortir de moi et me dit "Mets-toi à quatre pattes salope".
Je m’exécutai, mon amant prit place derrière moi, et appuya son énorme gland turgescent à l'entrée me mon anus.
N'en pouvant plus, je saisis sa bite à pleine main et la fis lentement rentrer dans mes entrailles tuméfiées, puis je fermai les yeux et d'un coup puissant, je jetai mon cul en arrière pour engloutir son gigantesque membre en totalité.
J'entendis le claquement fort de ses couilles contre mon prose, je me sentis presque défaillir.
Mon esprit voyait des étoiles sous le bien-être extrême que me causait cette intromission.
C'était l'extase, je savourais chaque centimètre de sa queue venir me remplir le cul.
Je gémissais bruyamment "Vas-y mon chéri, fais-moi l’amour, casse-moi le cul, baise ta petite femme".
J’étais comme une femelle en rut encourageant son mâle dominant.
J’avais le visage dans l’herbe humide savourant le plaisir qui se glissait dans mon être embrasé.
Je perdais le contrôle, mon homme se mit à me défoncer la corolle comme un forcené, sa main sur mon épaule, les doigts de l’autre dans ma bouche.
C’était une baise bestiale.
J’étais sa pute en chaleur.
Mon étalon se mit à califourchon derrière moi, ses jambes enserraient les miennes, et ses mouvements devinrent encore plus grands, je sentais ses couilles frapper puissamment contre mes fesses, je n'étais plus qu'un pantin désarticulé qui suivait ses mouvements.
Je me faisais ramoner le fion par la fabuleuse bite super large de mon mec qui maintenant sortait de mon cul et y re-rentrait sans ménagement.
J’avais le corps complètement consumé par le plaisir, je tremblais comme une feuille sous les puissants coups de bite de Pierre.
Mon trou du cul était complètement explosé et je sentais monter en moi les prémisses d’un somptueux orgasme.
Mon amant tout en me claquant le derche me dit "Alors ma petite salope, c’est bon ? Ton cul est en train de prendre cher. Tu en veux encore ?".
Dans le brouillard où je me trouvais, planant complètement sous les rudes assauts je m’entendis répondre "Ouuiii ouuiii
c’eessstttt boonnn, baaiiisssseeeee-mooiii ahhhhhh enncccoooorrrrreeeeee ahhhhhhhhhhh.
- Ton petit cul est vraiment fait pour ça! Tiens prends-ça".
Mon homme posa ses mains sur mes hanches pour me maintenir puissamment et commença à me posséder en de violents coups de reins qui me faisaient avancer sur l’herbe chaque fois qu’il plantait sa pine au fond de mon cul dévasté.
Tout mon être était parcouru de frissons, j’avais la bouche grande ouverte et je hurlais mon bonheur sans discontinuer.
Mon mec sortait presque entièrement son énorme pine de moi pour la replonger jusqu’à la garde au tréfonds de mes entrailles en fusion.
Perdant toute retenue, je me mis à délirer hurlant toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais " hhhh c'eessstttt boonnn ahhhhhhhh aaaaaaaaaaaahhhhh oouuuiiii ahhhhhhhh enooorreeee aaaahhhhhhh plluuussss foorrrtttt ooooohhhh ooouuuuiiiii ahhhhhhhhh plluuussss ahhhhh viittteeee aaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhh oooouuuuuiiiiii aaaahh taapppeeee aaaaahhhhhhhh ttaaappppeeeee ppllluuuusssss ahhhhhhhhhh ffooorrrrttttt ççaaahhhh ffaaaiiiittttt mmaaallll aaaaaa mmaaaiiiisssss aaaaa jj'aaaiiiimmmmmeeeeee ççaaahhhh ooo
C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de mon cul Pierre déchargea en feulant, m'inondant de sa semence abondante, ses épais jets de sperme crémeux, fusant contre mon rectum en fusion, me déclenchèrent un orgasme tumultueux, mon corps se tendit comme un arc sous mon amant, un hurlement de plaisir pulsa de lèvres, mes jambes battirent l'air puis je retombai lourdement à plat-ventre sur la pelouse, dans une semi-inconscience, flottant dans l'univers cotonneux du plaisir sexuel, savourant l'intense moment de bonheur que je venais de vivre.
Quand je rouvris les yeux, Pierre étendu près de moi me caressait les fesses, je lui souris et il me dit "Mais quelle salope tu es ! Quelle bonne baiseuse ! Un coup de rève.
- Tu as aimé ?
- Ça tu peux le dire ! Comme d’habitude j’ai pris un pied d’enfer à te baiser, ton cul est fantastique.
- Ta bite aussi est magnifique, se faire ramoner par un tel engin c’est divin, tu es un super baiseur.
- Peut-être mais c'est grâce à ton cul de salope.
- Ta queue est tellement bonne, c’était génial.
- Mais tout ça m’a creusé l’appétit, un bon petit dej ferait du bien.
- Tu as raison, mais moi ce n’est pas seulement l’appétit que tu m’as creusé.
- AH ! Ah ! Ah ! C’est vrai que je t’ai bien défoncé.
- Tu peux le dire, tu m’as complètement éclaté la chatte. En parlant de chatte tu verras quand j’en aurais une vraie.
- Je languis d’avance.
- Et moi donc je rêve du jour où tu pourras me prendre par devant.
- Tu me laisseras quand même de temps en temps te prendre le cul ?
- Ah ça oui, je rêve d’être, pour toi, une vraie femme mais je ne veux pas renoncer à me faire sodomiser, je prends un pied d’enfer quand tu m’encules bien fort comme tout à l’heure.
- Allez allons prendre une douche et manger.
- Oui il le faut d’autant que tu m’as complètement inondé le fion, je fuis, j’en ai partout.
- Cochonne".
Avec un grand éclat de rire nous nous levâmes et partîmes sous la douche.
Après avoir rendu à nos corps une propreté toute suédoise, nous prîmes un bon breakfast.
Nous passâmes le reste de la journée nus, à nous caresser, quand je ne fus plus qu’une pauvre chose pantelante, Pierre me fit l’amour longuement et délicatement me faisant jouir somptueusement.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
pfff bcp trop long et peu interessant faudrait vraiment que ca s arrete et laisser la place a une histoire vraiment reveuse et bandante

Histoire Erotique
Toujours aussi bien écrit, mais on tourne autour d’une grande répétition : les termes sont les mêmes, rien de bien innovant…Je continue à lire juste pour l’histoire, et saute généralement la partie « sexe » du récit, dommage...



Texte coquin : Damien 83 – Dans l’attente de la transformation (1)
Histoire sexe : Une rose rouge
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