Damien 82 – Dans l’attente de la transformation

- Par l'auteur HDS Katy -
Récit érotique écrit par Katy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Damien 82 – Dans l’attente de la transformation Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-10-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Damien 82 – Dans l’attente de la transformation
Quand nous sortîmes de la salle de bains, nous étions tout propres.
Nous aillâmes dans la cuisine et tout en buvant je dis à Pierre "J'ai pensé à quelque chose.
- Oui ?
- Si tu n'es pas violent j'aimerais que tu me fouettes un peu, ça pourrait mettre un peu de piment à nos baises.
- Qu'appelles tu pas violent ?
- Je n'ai pas envie que tu me déchires la peau mais quelques coups de fouet sur les fesses, j'aimerais bien, avoir un peu mal sans conséquences doit être sympa et doit donner un max de plaisir.
- Si tu veux….
- je ne te demande pas de te comporter comme un sadique, ce n'est pas ce que je veux.
- J'ai compris, j'ai un fouet qui fait très mal mais qui ne laisse aucune marque sur le corps, quelques rougeurs mais sans plus.
- Comme ça, ça marche.
- Qu’est-ce qui marche ?
- Ben pour le fouettage.
- Tu es sur ?
- Oui, et après tu me baiseras et ensuite j'aimerais bien aussi que tu me travailles le cul avec quelques godes et on pourrait finir par une dernière baise. O.K ?
- On peut dire que tu as la santé toi.
- Oh oui en ce moment je suis une vrai nympho, j’ai envie d’essayer plein de trucs.
- Ah AH AH !! Je vois que ton séjour en Thaïlande t’a marqué.
- Tu ne peux pas imaginer, les hormones plus le manque de toi et j’ai le cul complètement en chaleur.
- Bon mais pour le fouet on va faire une petite mise en scène.
- Quoi ?
- Tu vas t'habiller en soubrette. D'accord ?
- Pourquoi pas ?
- Bien allez allons-y".
Je suivis Pierre dans la chambre, il me donna un paquet où se trouvait, une micro robe noire avec un petit tablier blanc et une culotte de dentelle.
Je me vêtis et Pierre me montra le fouet qu'il allait utiliser sur moi en me disant "Voilà il fait mal mais n'est pas dangereux
- C'est parfait. Que dois-je faire ?
- Sors de la pièce, frappe et entre les yeux baissés".
Je m'exécutai et quand j'entrai mon homme l'air dur m'apostropha "Alors vous voilà enfin Aline, qu'est-ce que j'apprends, vous n'avez pas voulu vous laisser faire par mon fils, pourtant quand je vous ai engagée je vous avais prévenue, vous êtes là pour faire le ménage mais aussi pour autre chose, qu'avez vous à répondre ?
- Ecoutez monsieur, je ne vous ai jamais rien refusé à vous, je ne croyais pas qu'il fallait faire la même chose pour votre fils.
- Mais si ma fille, et en plus vous l'avez insulté, vous lui avez qu'il avait une trop petite queue pour vous. Hein ?
- C'était pour le décourager, et en plus c'est vrai qu'elle est plus petite que la votre.
- Je vois mademoiselle ne veut que des grosses queues, mais ce n'est pas ça votre rôle, on ne vous demande rien, si ce n'est que d'écarter les cuisses.
- Oui monsieur.
- J'aime mieux ça, et maintenant que ferez-vous ?
- Je me laisserais faire monsieur.
- Bien mais vous conviendrez que vous méritez un châtiment.
- Oui monsieur.
- Très bien alors venez, penchez sur ce fauteuil. Allez exécution je vais vous apprendre moi à vous refuser à mon fils ou à tout autre homme qui peut-être dans cette maison, allez venez, vous allez goûter au fouet".
J'obéis, Pierre fit glisser la culotte et dit "Que voilà de belles fesses, elles seront bien rouges tout à l'heure"
Il récupéra le fouet, puis avança vers moi et leva le bras.
Le cuir s'abattit sur moi, marbrant ma fesse droite, je poussai un cri "aaaaaaiiiiiiieeeeeeee !!!!!!".
Mon cri eut pour effet d'exciter Pierre, son sexe se dressa tout de suite.
Mon amant se mit à me fouetter fesse gauche puis fesse droite me faisant brailler chaque fois que le cuir claquait contre mon postérieur.
J’avais les fesses violacées.
Peu à peu, la douleur s'estompa et une sensation inconnue se propagea dans mon ventre, je ressentais du plaisir à me faire fouetter, je me cambrais sous les coups offrant mon fessier à mon tourmenteur.
J’excitais mon homme en prenant des poses totalement obscènes "aaaaaaahhhhhh oouuuiiii enncccoooorrrrreeeeee aaaaaaaaaaaaaaaah frraaapppppppppeeeeee-mooiii aaaaaaahhhhhh plluuussss ahhhh foorrrtttt ahhhhh çaahhh faaiiitttt maalll maaiiissss j'aaiiimmmmeeeee çaahhh ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ooouuuuiiiii.
Pierre posa le fouet, il me mit sur le dos et se jeta sur moi.
Sa bite érigée s'enfonça au plus profond de mon cul et il se mit à me posséder violemment, je nouai mes jambes dans son dos et fermant les yeux, je savourai le bien que me faisait cette pine me forant les reins.
Au bout de quelques instants de ce traitement, je me mis à délirer "ahhhhhhhhhh oouuuiiii aaaaaaaaaaaahhhhhhnhh nnooonnnn c'eessstttt boonnn oooouuuuuiiiiii ah plluuussss foorrrtttt ahh dééfffoooonnnnncccccceeeeeee mooiii ah lee cuulll oooooouiiiiiiii plluuussss ah viittteeee ahh taapppeeee ooh ooouuiiiiiiiiii ah ttaaappppeeeee ahh vaasss-yyyyy aaaaahhhhhh mmooonnnn ccuuullll aaaaahhhhhhh ooooouuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiii ah jee joouuuiiiisssss aaaaahhhhhhh jjeee jjooouuuuiiiiissssss viieeennnnsssss oh ouuuiiiiiiiiiiiiii vviiieeeennnnnssssss aah aaaaahhhhhhh".
C'est à cet instant que plongeant au tréfonds de mes entrailles Pierre éjacula en feulant, ses jets de semence m'inondant le fondement me déclenchèrent un orgasme tumultueux, j'hurlai de jouissance, mon corps s'arqua sous mon amant et je retombai lourdement flottant dans l'univers cotonneux du plaisir.
Quand je repris le sens des réalités Pierre assis dans le fauteuil me regardait en fumant, je lui dis "Quelle rouste tu m'as mise.
- Je le sais mais je jouais un rôle, il ne fallait pas t’inquiéter.
- Il fait atrocement mal ce fouet, mais c'est vrai je n'ai que peu de marques, par contre après ça a été bon et quand tu m'as baisé, quel pied.
- J'ai vu et entendu.
- C'est fou sentir ta bite coulisser en moi après la trempe ça a été fabuleux, j'ai jouis comme jamais.
- Donc ça t'a plu?
- Oui mais je ne ferais pas ça toujours, mais de temps en temps c'est bon.
- Bien que faisons-nous maintenant ?
- Et si tu me travaillais le cul avec quelques godes, ceux qui sont dans la boite dans l’armoire ?
- D'accord, couches-toi sur le ventre et mets le coussin sous ton ventre".
Il ouvrit l'armoire de la chambre et en sortit la boite en question qu'il ouvrit.
Il y avait quatre godes, le plus petit était déjà plus gros que la bite de Pierre, il me prit par les cheveux et me dit "Alors salope, ah on veut sucer des grosses bites et se les prendre dans le cul, en voilà qui ne se fatiguent pas, tiens suce celui-là".
Il me présenta le plus petit et me l'enfonça dans le bouche, j'eus un haut-le-cœur quand l'extrémité de l'olibos arriva au fond de ma gorge, sans en tenir compte, Pierre commença à le faire aller et venir entre mes lèvres.
A force de sucer, le priape de plastique devint luisant de salive, Pierre s'en aperçut et m'enfila le suivant.
Quand arriva le dernier, j'avais les lèvres enflées tant j'avais sucé.
J'eus beaucoup de mal à le prendre en bouche tellement il était gros, mais Pierre sans aucune pitié me le fit avaler, quand il me libéra, la première chose que je fis fut de me lever pour aller boire un verre d'eau.
Une fois que je me fus désaltérer, Pierre me rattrapa par le bras et me dit "Allez salope, ici à quatre pattes, ton cul va jouir allez dépêches-toi".
Tandis que je prenais la position, il me mit une grande claque sur les fesses, le cri que je poussai le fit rire.
Mon mec commença à me donner une fessée fort, mon cul ne tarda pas à devenir brûlant sous les taloches que je recevais sur mon postérieur.
Jugeant que la fessée avait rempli sa tâche, Pierre sans prévenir, m'enfonça sans ménagement le 1er gode entre les fesses jusqu'à la garde puis le fit aller et venir vivement.
La brûlure causée par l'intromission fut telle que je hurlai de douleur, j'avais le trou du cul écartelé et j'avais l'impression que mes miches allaient se détacher.
Peu à peu, la souffrance se calma faisant place à une douce langueur et je me mis à ronronner tout en roulant des hanches en cadence.
Pierre retira le gode et prit le suivant qu'il m'enfonça dans le cul sans aucune précaution, cet olibos devait faire le double du sexe de mon amant, le mal fut encore plus vif que le première fois, mon fondement était complètement éclaté et me brûlait ardemment, petit à petit, mon anus s'ouvrant et s'habituant au calibre qui me ramonait, je me mis à râler de plaisir.
C'est alors que Pierre me décula et essaya de me mettre le troisième, mon cul bien que largement ouvert n'arrivait pas à accepter un tel calibre, le gland buta contre ma grotte, mais Pierre d'un grand coup le fit entrer tout entier dans mon cul "Aaaaaaaiiiiiiiiieeeeeeeee mmmmmmooooooonnnnnnnn aiiiiieeeeee ccccccuuuuuuullllllll !!!!!!!!!!!!!!" hurlai-je m'affalant sur le sol le cul en l'air, je croyais qu'il m'avait ouvert le rectum en deux, mon ventre me brûlait tellement ce qui allait et venait en moi était gigantesque.
Plusieurs minutes passèrent pendant lesquelles je restai sans réaction face à l'activité du phallus artificiel qui me martyrisait l'arrière-train, puis malgré moi le plaisir refit surface dans mon être ravagé "Aaaaaahhh aaahhhhhhhhhhhh ouuiii c'essttt boonnn ooooohhh noonnn".
Une fois encore, Pierre comprit que le jeu était fini, il prit le dernier priape et entreprit de me l'enfiler.
Mon amant eut beau forcer, mon rectum refusa de le prendre, alors mon homme appuya son torse sur le membre artificiel et petit à petit obligea mon trou à l'accepter, je hurlai quand le gland de plastique entra dans mon cul saccagé.
Tout mon ventre me brûlait, on aurait dit qu'on me mettait des fers rouges dans les entrailles.
J'avais atteint la frontière où le mal et le plaisir se confondent, les élancements se transformèrent en vagues de chaleur qui envahirent mon corps, malgré moi je me mis à ronronner tout en allant à l'encontre de la monstrueuse verge de latex qui me défonçait.
Mes hanches se mirent d'elles même à rouler, Pierre avait beau me bourrer le cul de plus en plus violemment, c'est le plaisir qui m'inondait maintenant.
Au bout de quelques instants, je râlai sous les coups de boutoir répétés de cet énorme engin qui m'alésait le sphincter
Soudain un orgasme tumultueux explosa au plus profond de moi, je m'empalais littéralement sur le gode et hurlai de jouissance puis je tombai lourdement sur le sol aux portes de l'inconscience.
Quand je revins à la réalité, Pierre me regardai, j'avais le cul qui me brûlait atrocement car il manquait la chose essentielle, le sperme pour éteindre cet incendie, je me mis sur le dos, écartai les cuisses et dis à mon homme "Il me faut ton lait, j'en ai besoin, j'ai le cul en feu. Prends-moi fort".
Pierre se jeta sur moi et me pénétra d'un grand coup de reins qui me fit gémir, je nouais mes jambes dans son dos et rejetant la tête en arrière, je fermai les yeux pour m'abandonner totalement au plaisir, Pierre avait lové sa tête dans le creux de mon épaule et me possédait lentement de toute la longueur de son membre érigé.
Mes sens étaient tellement exacerbés que je me sentis plonger dans la jouissance, les coups de boutoir répétés de mon amant m'avaient amené au point de non-retour, je me tordais sous lui comme un damné, offrant totalement mon cul à cette bite qui me dilatait le fondement.
Mon plaisir était tel que je plantais mes ongles dans ses épaules musclées, je râlai de bien-être.
Pierre me besognait toujours aussi lentement me faisant basculer dans un monde ou seul comptait le priape qui me forait les reins, je le suppliais de gicler mais sourd à mes cris, il continuait de me limer à son rythme.
Au bout de quelques instants de ce traitement, je me mis à délirer "ahhhhhhhhhhhhhhh c'eessstttt boonnn ahhhhhhhhhhoouuuiiii ahhhhhh plluuussss foorrrtttt ahhhhhhhhhhhhhhhhhh enncccoooorrrrreeeeee ahh ahhhhhhhhhh plluuussss viittteeee tuu mee tuueeessss ahhhhhhh ooouuuuiiiii ohhh oooouuuuuiiiiii aahhhhh moonnn cuulll ttaaahhhh oohhhhh qquuueeeeuuuuueeee
Pierre se retira et je lui demandai dans un soupir "Pourquoi ?
- Peut-être en as-tu assez.
- Mais pas du tout, j'ai encore très envie que tu me ramones le cul avec ta superbe queue, je veux que tu m'en mettes plein le trou.
- Dans ce cas tu vas être servi, mets-toi à genoux, les fesses tendues et fais reposer ta tête sur le sol".
Je me mis en position et Pierre s'agenouilla derrière moi, guidant son membre face à mon tunnel béant, il me pénétra d'un violent coup de reins qui me fit gémir, et me prenant aux hanches me fit coulisser sur son énorme pine dressée.
Au bout de quelques instants, je sentis le plaisir reprendre possession de mon être, et fermant les yeux, je me laissai aller, tout à mon bonheur de sentir la merveilleuse bite me fouiller les entrailles. Le phallus sortait entièrement de moi très lentement et replongeait vivement au fond de mon cul en feu, je commençai à gémir sous les coups de boutoir répétés.
Je ne savais plus depuis combien de temps il était en moi, mais je voulais qu'il y demeure éternellement, tant ça me faisait du bien.
Electrisé par le plaisir que me donnait cette hampe de chair qui me pilonnait l'anus, je me mis à exciter mon amant "ohh c'est bon ahhh ouuiii tahh queue est bonne, vas-y plus aahh fort, défonce-moi la chatte ohh ouuiii".
Mon mec continuai à me posséder avec une régularité de métronome, les bruits de succion que faisait son pénis en moi, lubrifié par les bonnes giclées de foutre précédentes, me portaient au paroxysme de la jouissance, je râlai tout en me cambrant pour m'offrir encore plus à ce pal qui me forait, j'avais totalement perdu le sens des réalités, seul pour moi comptait cette queue qui me bourrait comme jamais on me l'avait fait, je me sentis partir et je me mis à hurler le plaisir que cette verge dure me donnait "aahhh c'eessstttt boonnn ahhhhhhhh aaaaaaaaaaaaaaahhhhh oouuuiiii ahh enncoorrrrreeeeee aah plussss foorrrtttt ooohh ooouuuuiiiii ttaaappppeeeee ppllluuuuss ahh ffooorrrrttttt aaaaaahhh ççaaahhhh ffaaaiiiittttt mmaaallll mmaaaiiiisssss aah jj'aaaiiiimeee ççaaahhhh ccooommmeeee uunnneeee ooohh ahhh ggrrroooossssssssssseeeeeee ssaaalllloooooppppppeeeeeee qquuueeee jjeee ahhhhhhhhhhhhhh ssuuuiiiisssss aa ooouiiiiiii jjeee ssuuuiiiisssss aaah ttaaahhhh ppuuutttteeeee aahhh jjuuutttteeeee oooohh ddaaannnnsssss mmooonnnn ttrrroooouuuuu aahhhhh jjeee jjooouuuuiiiiissssss.
Quand Pierre déchargea en moi en feulant, m'inondant se sa semence abondante, un intense orgasme déferla sur moi, j'hurlai de jouissance et tombai dans une semi-inconscience, flottant dans l'univers cotonneux du plaisir sexuel.
Quand je repris conscience des réalités j'ouvris les yeux et vis que j'étais seul dans la pièce, j'entendis des bruits de bouteilles provenant de la cuisine.
Je me levai doucement, pour marcher je devais garder les cuisses bien écartées tant j'étais ouvert, je portais une main à mon anus, jamais je ne l'avais senti aussi ouvert.
Je me baissais et le regardais dans une des glaces de la chambre, la vision que j'eus me fit frémir mon œillet était complètement éclaté.
C'est à ce moment que Pierre entra dans la pièce et il me dit "Alors contente, son petit cul a été bien travaillé.
- C'est le moins qu'on puisse dire, tu m'as démoli le trou.
- C'est bien ce que tu voulais ?
- Oui, en dehors de ça, ça a été génial, j'ai joui comme undamné, aussi bien avec les godes que sous les coups de bites que tu m'as filé.
- C'est vrai que je t'ai bien piné.
- Bien ? Merveilleusement tu veux dire.
- Je ne me suis pas privé c'est vrai, je t'ai bien défoncé.
- Sur, mais tu sais pour les godes, qu'est-ce que j'ai eu mal au début, il faut dire qu'ils sont monstrueux.
- Oui, d'ailleurs je peux te le dire, tu es la première qui arrive à se les prendre dans le cul, ce n'était jamais arrivé.
- Sans blague ?
- Véridique, les deux fois où je m'en suis servi, il n'y a que les deux premiers qui sont rentrés dans le cul du mec qui était là.
- Eh bien….
- Eh oui, toi ton cul, même si il n'est pas très beau à voir maintenant, a tout pris et en plus ce qui est génial c'est que tu as réussi à jouir avec les quatre.
- C'est vrai que le dernier ça a été plus que dur mais une fois entré et mon cul habitué au calibre, je suis monté au septième ciel.
- Bien si maintenant on dînait ?
- O.K, mais avant je voudrais me laver et surtout prendre un bain de siège pour rendre à mon trou une taille et une forme acceptable.
- AH AH AH !!, d'accord mais laisse-moi d'abord prendre ma douche et après tu auras tout le temps pendant que je préparerais le dîner.
- O.K.
- Bien j'y vais.
- Dis-moi.
- Oui ?
- Après dîner, si tu le peux encore, j'aimerais que tu me baises bien avant de dormir.
- AH AH AH !! Mais c’est vrai, tu es devenue une vraie nympho. Bien sur, je vais te faire l'amour gentiment comme un vieux couple ma petite salope adorée.
- Merci mon chou".
Quand je vins me mettre à table, mon cul avait une forme presque normale, il était encore un peu ouvert mais plus du tout douloureux et je m'étais rhabillé, après avoir pris l'apéritif nous dînâmes Pierre et moi tout en plaisantant.
Après manger nous fîmes la vaisselle Pierre me dit "Allez viens allons au lit".
Un fois parvenu dans la chambre, je me déshabillai, quand je fus nu, je tournai vers Pierre, il ôta ses vêtements et je vis sa queue dressée.
J'avançai la main vers elle, quand mes doigts touchèrent le gland, le sexe se dressa un peu plus et mon amant soupira d'aise, je le fis asseoir sur le lit et m'agenouillant entre ses jambes, je déposai un léger baiser sur son bout durci.
Après avoir embrassé et cajolé le phallus, j'ouvris la bouche et avalai la hampe érigée puis je me mis à faire monter et descendre mes lèvres dessus tous en la mordillant et la caressant de ma langue.
Au bout de quelques instants de ce traitement, la respiration de mon homme avait accéléré, il creusait les reins chaque fois que j'embouchai son membre jusqu'à la garde pour s'offrir totalement.
Soudain il posa ses mains sur mes épaules et me força à arrêter ma fellation, il me dit "Allonge-toi sur le dos".
J'obéis, il se coucha sur moi tête-bêche, son priape se positionna contre mes lèvres, je l'engloutis tandis que sa bouche avide prit possession de ma raie et de mon anus.
Sous ses coups de langue experts, mon trou s'ouvrit, je poussai un gémissement langoureux et creusai les reins. Je me mis à pomper plus vigoureusement tout en lui caressant les couilles, pendant ce temps là, sous ses attouchements buccaux le désir montait en moi sous forme de vagues de chaleur naissant dans le creux de mes reins et remontant vers mon visage. Soudain je sentis sur ma langue la bite tressauter, je me mis à la sucer encore plus vite et Pierre se cambrant éjacula en feulant, ses jets de sperme crémeux giclèrent au fond de ma gorge et je le bus avec délice tout en continuant à cajoler le sexe qui palpitait sur ma langue, puis mon mec se retira et s'étendit à mes côtés.
Tout en glissant une main entre mes jambes pour continuer à masser mon sphincter, il me dit "Tu suces vraiment bien, mais je ne vais pas me répéter.
- Ne te répète pas mais il faut que tu t'occupes surtout de mon cul.
- Je vais m'en occuper de ton petit cul.
- Tu as intérêt sinon je te viole.
- Tu n'auras pas besoin de le faire".
Pierre se tourna vers moi et m'enlaça, sa bouche écrasa la mienne, nos dents s'entrechoquèrent, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser enflammé.
Quand il m'abandonna, j'avais le souffle court et mes joues étaient rouges, je sentais contre ma cuisse le phallus en érection, Pierre me retourna, je me retrouvai allongé à plat ventre il se coucha sur moi, son membre s'insinua entre mes fesses brûlantes et se posta contre mon oeillet, il poussa lentement et le gland vermillon déflora mes chairs, je poussai un petit cri quand le bout durci pénétra en moi, mon amant s'arrêta et me demanda "Ne me dis pas que je te fais mal ?
- Non, continue enfonce toi, quand on me pénètre longtemps après une enculade et là ça fait bien plus de 2 heures que je n'ai pas été pris, étant donné que moi j'ai un cul vraiment élastique et bien il est presque déjà refermé, donc quand avec ta grosse pine tu m'écartes le fion ça me fait un peu mal et je crie, mais ce n'est rien j'ai envie de ta queue au fond du cul alors continue pénètre-moi bien profond".
Pierre me prit avec une lenteur calculée par petits coups de reins, j'eus l'impression que l'intromission dura une éternité et quand je sentis les poils follets de son pubis je sus qu'il m'avait entièrement enfessé.
Mon homme resta un moment immobile, je sentais au tréfonds de moi-même la pine palpiter, puis prenant appui sur les coudes, il se mit à me besogner lentement me faisant gémir chaque fois que le pénis s'enfonçait en moi jusqu'à la garde.
Sous les lents coups de boutoir de mon mec mes gémissements se transformèrent en râles de bonheur, je me sentais partir encore plus à chaque va et vient de pénis qui me forait les reins.
Je ne savais plus depuis combien de temps il était en moi mais je voulais qu'il y reste le plus longtemps possible tant le plaisir qu'il me donnait était grand. Dans mon trou maintenant bien dilaté, le phallus coulissait sans aucune gène, la bouche grande ouverte je râlais sans discontinuer tout en soulevant ma croupe de la couche pour venir à la rencontre du membre qui me ramonait le prose, tout mon corps était secoué de frissons de désir, je griffai les draps tant le bien-être que me procurait ce priape roide était intense, je voulais qu'il me tringle plus vite, qu'il me défonce le cul et je le suppliais de la faire, mais sourd à mes cris Pierre continuait à me posséder avec une régularité de métronome.
Peu à peu je me sentais décoller, je planais littéralement sous les lents mais non moins virils coups de bite que mon amant m'assenait, j'avais atteint le point de non-retour, je sombrais dans l'univers cotonneux de la jouissance où seul comptait pour moi la pine qui me limait de toute sa longueur, m'ouvrant encore plus le cul chaque fois qu'elle plongeait au plus profond de moi.
Mes fesses étaient bouillantes et j'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mon rectum, ne pouvant plus me retenir, je me mis à délirer.
Un orgasme foudroyant me balaya, je hurlai mon plaisir à plein poumon tendant ma croupe vers le pénis qui me forait pour accentuer la pénétration et je retombai lourdement sur la couche sombrant dans l'inconscience.
Quand je revins à moi, je me rendis compte que mon homme n'avait pas pris son plaisir, il continuait à me bourrer en de larges coups de boutoir, son ventre claquait contre mon derrière en fusion, chaque fois qu'il m'enfilait je faisais un bond en avant tant il me besognai avec vigueur, si il continuait comme ça, il allait me déchirer complètement le cul mais c'était si bon que je voulais qu'il me casse le fion, mon corps n'était plus que jouissance, un brasier énorme brûlait en moi et seul cette queue pouvait l'éteindre, je voulais son lait qu'il m'inonde le cul.
Pierre me possédait avec des "HAN" de bûcheron, sous ses coups répétés, je me tordais comme un damné sous lui me cambrant au maximum et écartant les jambes à me faire mal pour me donner plus encore, je ne vivais que pour et par le pénis qui me fourrait me donnant un intense plaisir et je me remis à délirer.
C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de mon fondement, Pierre déchargea en râlant, ses jets de foutre m'inondant le tunnel me provoquèrent un orgasme dévastateur, mon corps se tendit comme un arc sous mon amant, je griffai les draps et un hurlement strident pulsa de ma gorge, puis je retombai lourdement sur le lit, baignant dans le plaisir, je sentis la verge sortir de mon cul et mon homme se lever de sur moi.
Après avoir fumé une cigarette et bu un verre, nous refîmes une fois l'amour où il me fit encore admirablement jouir puis nous nous endormîmes enlacés.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Super recits encore vivement ta transformation totale j'ai hatte de lire la phase finale ....



Texte coquin : Damien 82 – Dans l’attente de la transformation
Histoire sexe : Une rose rouge
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