Damien 84 – L’opération
Récit érotique écrit par Katy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Damien 84 – L’opération
Le jour tant attendu arriva, ce matin j’embarquai pour Bangkok.
J’arrivai à l’aéroport 4 jours avant l’intervention. Là je suis prise en charge par le chauffeur du centre chirurgical qui va me conduire au Dusit. J’ai mes habitudes dans cet hôtel, y ayant déjà fait plusieurs séjours. Le personnel est toujours aussi aimable et le service de qualité exceptionnelle.
Après m’être installé dans ma chambre, je prends connaissance du régime que je vais devoir suivre. C’est un régime très strict qui se compose exclusivement de fruits, café, thé, lait, yaourts et de soupes totalement liquides.
Le lendemain après une bonne nuit de sommeil, j’ai rendez-vous pré-opératoire avec le professeur.
Ce rendez-vous consiste en l’explication de l’opération qui va être faite, avec un contrôle de la matière utilisable pour l’opération, peau du scrotum, peau de la verge….
Le professeur ne me donne pas de détail concernant la profondeur de mon vagin mais il m’explique qu’il fera en sorte que cette profondeur soit maximale, ce qui dépend bien entendu de la matière dont il va disposer.
En tout état de cause, il me dit qu’il fera ce qu’il faut pour arriver au meilleur résultat possible.
Après cette visite, je passe la journée à flâner dans Bangkok. Le soir je me couche tôt avec une certaine appréhension, cette fois-ci c’est parti pour le point de non-retour.
Le lendemain au réveil, je prends un 1er laxatif. Ce laxatif étant une véritable cochonnerie à boire, il faut le consommer avec une boisson au goût accentué et masquant au niveau odeur. A midi j’ai une surprise, mon régime alimentaire devient du tout liquide, exit fruits et yaourts.
La veille du grand jour, je prends un 2ème laxatif, toujours le même stratagème pour l’avaler.
A 12h, heure marquée sur le document que j’ai reçu à mon arrivée, j’arrête toute forme de nourriture. Je passe ma journée dans la chambre d’hôtel, j’avoue que je suis partagée entre deux sentiments, l’un la joie d’être bientôt débarrassée de ce service trois pièces qui ne me sert à rien et l’autre la peur panique de ce qui va arriver.
On a beau s’être préparée au mieux psychologiquement, il n’empêche qu’on angoisse un maximum.
Vers 17h, j’appelle Pierre, il est 11h à Paris. J’éclate en sanglots quand j’entends la voix de mon amant. Il essaie de me rassurer du mieux qu’il peut et petit à petit je retrouve mon calme. Nous restons plus d’une heure au téléphone et quand je raccroche je me sens un peu mieux et plus confiante.
Cette nuit-là je dors très mal, je cauchemarde, je m’imagine me réveillant après l’opération, c’est un vrai désastre, j’ai maintenant deux pénis et le professeur me dit que c’est normal et qu’il est très fier de ce qu’il a réussi.
Le matin je me réveille avec la tête dans le cul, je prends un dernier verre d’eau avant de passer à une diète totale quelques heures avant l’opération. La limousine vient me chercher à l’hôtel et j’arrive à la clinique deux bonnes heures avant l’opération. Les infirmières sont comme d’habitude d’une gentillesse et d’une douceur incroyables. Elles s’occupent de me préparer à l’opération. Quand elles ont terminé je me retrouve simplement vêtue d’une blouse hospitalière et d’un bonnet pour masquer mes cheveux. Je rentre au bloc à 14h30, où je suis endormie. L’opération va durer 5h30 en tout.
Au réveil, je suis suivie de très près pendant 36 heures. C’est un suivi totalement individuel afin de me remettre sur pieds. Je suis allongée sur le dos, les jambes écartées. Pendant tout ce temps j’ai des jambières qui forcent la circulation du sang dans les jambes afin d’éviter une toute formation de caillot. Passé ce délai je suis descendue dans une chambre classique. Chaque pièce dispose d’une climatisation individuelle. La chambre est en surpression afin d’éviter la transmission de maladies nosocomiales.
Trois jours après l’intervention, les jambières me sont retirées. Je dois malgré tout continuer à dormir sur le dos avec les jambes écartées pour ne pas stresser les tissus.
Quatre jours après l’opération, le pansement post-opératoire emplissant intégralement le néo-vagin est retiré. Le dilatateur numéro 1 qui sera mon premier dilatateur est employé afin de déterminer la profondeur obtenue par l’intervention chirurgicale. La profondeur annoncée de mon nouveau vagin est de 18 cm.
Les infirmières me fournissent une pochette contenant le set de dilatateurs, l’anneau pour m’asseoir dans les premiers temps, un miroir pour suivre les dilatations, un lot d’alèses, des tubes de lubrifiant et des protections périodiques pour protéger les culottes.
Ayant été prévoyante, j’ai décidé, plutôt que des culottes, de porter des boxers pendant deux mois.
En effet étant plus larges et surtout moins serrée que les culottes, les boxers sont moins oppressifs pour ma vulve en pleine cicatrisation. Cependant la sonde urinaire est toujours en place, donc les dilatations ne sont pas encore au programme.
Je vois le professeur qui m’ausculte et déclare que je peux marcher. De ce fait je suis raccompagnée à l’hôtel dans ma chambre. Je vais occuper cette chambre pendant les treize prochains jours. Pendant les jours qui suivent, je reste confinée dans la chambre, prescription du professeur. Tous les matins, deux infirmières ayant participé à l’opération donc connaissant parfaitement ma nouvelle anatomie, s’occupent de faire les soins quotidiens post-opératoires. Ces soins vont durer jusqu’à mon retour en France. En cas de besoin il suffit que je les appelle pour qu’elles viennent une fois de plus dans la journée.
Au bout de 6 jours on m’enlève la sonde urinaire. C’est une des deux infirmières qui pratique la première dilatation. Cette première durera 10 minutes avec le dilatateur numéro 1 qui est comme tous les autres en latex. Le diamètre de l’engin est de 23 mm. L’infirmière en profite pour m’apprendre le geste à réaliser pour effectuer une dilatation ainsi que les préparatifs nécessaires.
Ces gestes doivent être parfaitement exécutés pour que la dilatation se passe dans les conditions optimales. La sonde ayant été retirée je suis obligée de boire plusieurs litres d’eau pour me garantir de toute infection urinaire. Cela arrive souvent suite à un port prolongé de la sonde.
C’est une nouvelle pour moi, je vais, pour la première fois, uriner comme une femme. Boire autant me fait uriner très souvent, cela permet d’apprendre à mon urètre de fonctionner avec sa nouvelle configuration. Je suis obligée de rester enfermée dans ma chambre et j’avoue que cela me tape un peu sur le système mais c’est comme ça et je l’accepte, comme dit l’adage : Il faut souffrir pour être belle.
Je ne peux marcher que pour détendre mes jambes et bien sûr pour aller à la salle de bains ou aux toilettes. Ce qui est surprenant, c’est que je ne ressens aucune douleur, c’est certainement lié aux antalgiques que je prends 4 fois par jour. Une chose est quelque peu surprenante, c’est de sentir un vide entre les jambes. Après avoir vécu des années avec un appareil sexuel masculin, il faut s’habituer.
Chaque jour je fais mes dilatations avec l’écarteur N°1, c’est fait selon le plan du professeur. A partir du 10ème jour, je change et passe au N°2. Les dilatations sont au nombre de 3 par jour, je sais n’importe comment que j’en ai pour au moins 6 mois, je ne suis pas prête à me faire ramoner la chatte.
Pendant tout ce temps, je n’ai pas de pulsions sexuelles, une des infirmières me dit que c’est normal, je suis traitée pour ça car dans mon état je ne pourrais même pas baiser par derrière, cela pourra compromettre la guérison si les tissus étaient distendus ou malmenés par une possession virile.
Comme elle me dit en souriant : "au début il faudra vous contenter de la fellation".
Au bout du 10ème jour, je peux enfin, par accord du professeur, descendre prendre l’ensemble de mes repas dans le restaurant de l’hôtel. J’accueille ça comme une libération même si je n’ai que ce droit mais que c’est bon de voir d’autres têtes que celles de mes infirmières et de plus cela m’oblige à prendre soin de moi, de ma maquiller et de m’habiller.
Par contre la prescription est formelle, être allongée un maximum de temps pour faciliter la cicatrisation. Les soins quotidiens se poursuivent avec photos régulières pour faire un suivi de la cicatrisation et un nettoyage très précis de la vulve nouvellement constituée. La plupart du temps, une des deux infirmières reste avec moi pendant parfois une demi-heure pendant la dilatation du matin afin de voir que tout se passe bien sur l’ensemble de celle-ci. Nous en profitons pour discuter.
C’est très important pour moi d’avoir cette composante très humaine dans le suivi.
Les soins quotidiens continuent. Enfin 13 jours après l'intervention, j'ai le feu vert de la faculté pour sortir dehors. J'ai le droit d'aller au bord de la piscine à partir de 17h, une fois la grosse chaleur passée. Ceci me permet de marcher un petit peu plus. Cette piscine me tente, j'ai très envie de piquer une tête mais ceci m'est absolument interdit. Je n'ai pas le droit pendant les 3 premiers mois suivant l'opération de ma baigner. Comme me l'a dit une des deux infirmières, vous n'êtes pas ici en vacances. Donc je ne fais que me tremper les mollets dans l'eau et c'est déjà une sorte de délice.
14 jours après l'opération le professeur m'autorise à aller marcher dans le parc qui jouxte l'hôtel mais comme il me l'a dit en souriant :
- Marcher un peu oui mais surtout pas d'excès. Me suis-je bien fait comprendre ?
- Oui professeur.
17 jours après l’intervention, je suis conduite au centre chirurgical. Le professeur me fait une visite de contrôle avant mon retour vers la France. La visite est surtout pour s’assurer que la cicatrisation se passe normalement. Le verdict est simple, soit il n’y a aucun souci et le départ est acté, soit il y a quelque chose et c’est ré-hospitalisation et peut-être une nouvelle opération. J’avoue que je n’en mène pas large quand je rentre dans la salle d’examen. Je m’installe sur un lit d’accouchement, les cuisses bien écartées. Après une demi-heure d’examens tant visuels que tactiles, le professeur prend la parole et me dit :
- Tout va pour le mieux, vous allez pouvoir rentrer chez vous.
- Merci docteur.
- Il n’y a pas de quoi, mais rappelez-vous vous devez faire vos exercices de dilatation de manière stricte.
- Oui docteur.
- Aussi pas de précipitation en ce qui concerne le sexe, même de la manière où vous le faisiez avant.
- Les infirmières m’ont prévenue, l’une d’elles m’a même dit que pour l’instant seule la fellation était envisageable.
- Et elle a eu raison, vous pourriez détruire tout le travail et là non seulement ce serait très douloureux mais il n’est en aucun cas sûr que je puisse vous reconstruire un vagin digne de ce nom.
- Je serai prudente docteur, je n’ai pas du tout envie de tout casser maintenant.
- Bien.
- En tout cas merci pour tout docteur.
- Mais de rien je n’ai fait que mon travail et n’oubliez pas que nous sommes appelés à nous revoir pour que comme vous l’avez demandé je vous fabrique un hymen.
- Oui docteur et j’y tiens je veux que Pierre me prenne vraiment vierge.
- AH ! Ah ! AH !
- Vous pouvez rire, c’est important pour moi.
- Mais je comprends, bon vous pouvez vous rhabiller et je vous souhaite bon retour.
- Merci docteur et à bientôt.
Le lendemain, je suis amenée par le chauffeur du centre à l’aéroport de Bangkok.
Le personnel de la compagnie aérienne me prend en charge et m’amène en fauteuil roulant jusqu’à l’avion. Comme prévu dans le prix total de l’opération, je bénéficie des trois places centrales de l’avion. Bénéficier de ça me permet de m’allonger durant la totalité du voyage hormis les périodes de repas.
J’arrivai à l’aéroport 4 jours avant l’intervention. Là je suis prise en charge par le chauffeur du centre chirurgical qui va me conduire au Dusit. J’ai mes habitudes dans cet hôtel, y ayant déjà fait plusieurs séjours. Le personnel est toujours aussi aimable et le service de qualité exceptionnelle.
Après m’être installé dans ma chambre, je prends connaissance du régime que je vais devoir suivre. C’est un régime très strict qui se compose exclusivement de fruits, café, thé, lait, yaourts et de soupes totalement liquides.
Le lendemain après une bonne nuit de sommeil, j’ai rendez-vous pré-opératoire avec le professeur.
Ce rendez-vous consiste en l’explication de l’opération qui va être faite, avec un contrôle de la matière utilisable pour l’opération, peau du scrotum, peau de la verge….
Le professeur ne me donne pas de détail concernant la profondeur de mon vagin mais il m’explique qu’il fera en sorte que cette profondeur soit maximale, ce qui dépend bien entendu de la matière dont il va disposer.
En tout état de cause, il me dit qu’il fera ce qu’il faut pour arriver au meilleur résultat possible.
Après cette visite, je passe la journée à flâner dans Bangkok. Le soir je me couche tôt avec une certaine appréhension, cette fois-ci c’est parti pour le point de non-retour.
Le lendemain au réveil, je prends un 1er laxatif. Ce laxatif étant une véritable cochonnerie à boire, il faut le consommer avec une boisson au goût accentué et masquant au niveau odeur. A midi j’ai une surprise, mon régime alimentaire devient du tout liquide, exit fruits et yaourts.
La veille du grand jour, je prends un 2ème laxatif, toujours le même stratagème pour l’avaler.
A 12h, heure marquée sur le document que j’ai reçu à mon arrivée, j’arrête toute forme de nourriture. Je passe ma journée dans la chambre d’hôtel, j’avoue que je suis partagée entre deux sentiments, l’un la joie d’être bientôt débarrassée de ce service trois pièces qui ne me sert à rien et l’autre la peur panique de ce qui va arriver.
On a beau s’être préparée au mieux psychologiquement, il n’empêche qu’on angoisse un maximum.
Vers 17h, j’appelle Pierre, il est 11h à Paris. J’éclate en sanglots quand j’entends la voix de mon amant. Il essaie de me rassurer du mieux qu’il peut et petit à petit je retrouve mon calme. Nous restons plus d’une heure au téléphone et quand je raccroche je me sens un peu mieux et plus confiante.
Cette nuit-là je dors très mal, je cauchemarde, je m’imagine me réveillant après l’opération, c’est un vrai désastre, j’ai maintenant deux pénis et le professeur me dit que c’est normal et qu’il est très fier de ce qu’il a réussi.
Le matin je me réveille avec la tête dans le cul, je prends un dernier verre d’eau avant de passer à une diète totale quelques heures avant l’opération. La limousine vient me chercher à l’hôtel et j’arrive à la clinique deux bonnes heures avant l’opération. Les infirmières sont comme d’habitude d’une gentillesse et d’une douceur incroyables. Elles s’occupent de me préparer à l’opération. Quand elles ont terminé je me retrouve simplement vêtue d’une blouse hospitalière et d’un bonnet pour masquer mes cheveux. Je rentre au bloc à 14h30, où je suis endormie. L’opération va durer 5h30 en tout.
Au réveil, je suis suivie de très près pendant 36 heures. C’est un suivi totalement individuel afin de me remettre sur pieds. Je suis allongée sur le dos, les jambes écartées. Pendant tout ce temps j’ai des jambières qui forcent la circulation du sang dans les jambes afin d’éviter une toute formation de caillot. Passé ce délai je suis descendue dans une chambre classique. Chaque pièce dispose d’une climatisation individuelle. La chambre est en surpression afin d’éviter la transmission de maladies nosocomiales.
Trois jours après l’intervention, les jambières me sont retirées. Je dois malgré tout continuer à dormir sur le dos avec les jambes écartées pour ne pas stresser les tissus.
Quatre jours après l’opération, le pansement post-opératoire emplissant intégralement le néo-vagin est retiré. Le dilatateur numéro 1 qui sera mon premier dilatateur est employé afin de déterminer la profondeur obtenue par l’intervention chirurgicale. La profondeur annoncée de mon nouveau vagin est de 18 cm.
Les infirmières me fournissent une pochette contenant le set de dilatateurs, l’anneau pour m’asseoir dans les premiers temps, un miroir pour suivre les dilatations, un lot d’alèses, des tubes de lubrifiant et des protections périodiques pour protéger les culottes.
Ayant été prévoyante, j’ai décidé, plutôt que des culottes, de porter des boxers pendant deux mois.
En effet étant plus larges et surtout moins serrée que les culottes, les boxers sont moins oppressifs pour ma vulve en pleine cicatrisation. Cependant la sonde urinaire est toujours en place, donc les dilatations ne sont pas encore au programme.
Je vois le professeur qui m’ausculte et déclare que je peux marcher. De ce fait je suis raccompagnée à l’hôtel dans ma chambre. Je vais occuper cette chambre pendant les treize prochains jours. Pendant les jours qui suivent, je reste confinée dans la chambre, prescription du professeur. Tous les matins, deux infirmières ayant participé à l’opération donc connaissant parfaitement ma nouvelle anatomie, s’occupent de faire les soins quotidiens post-opératoires. Ces soins vont durer jusqu’à mon retour en France. En cas de besoin il suffit que je les appelle pour qu’elles viennent une fois de plus dans la journée.
Au bout de 6 jours on m’enlève la sonde urinaire. C’est une des deux infirmières qui pratique la première dilatation. Cette première durera 10 minutes avec le dilatateur numéro 1 qui est comme tous les autres en latex. Le diamètre de l’engin est de 23 mm. L’infirmière en profite pour m’apprendre le geste à réaliser pour effectuer une dilatation ainsi que les préparatifs nécessaires.
Ces gestes doivent être parfaitement exécutés pour que la dilatation se passe dans les conditions optimales. La sonde ayant été retirée je suis obligée de boire plusieurs litres d’eau pour me garantir de toute infection urinaire. Cela arrive souvent suite à un port prolongé de la sonde.
C’est une nouvelle pour moi, je vais, pour la première fois, uriner comme une femme. Boire autant me fait uriner très souvent, cela permet d’apprendre à mon urètre de fonctionner avec sa nouvelle configuration. Je suis obligée de rester enfermée dans ma chambre et j’avoue que cela me tape un peu sur le système mais c’est comme ça et je l’accepte, comme dit l’adage : Il faut souffrir pour être belle.
Je ne peux marcher que pour détendre mes jambes et bien sûr pour aller à la salle de bains ou aux toilettes. Ce qui est surprenant, c’est que je ne ressens aucune douleur, c’est certainement lié aux antalgiques que je prends 4 fois par jour. Une chose est quelque peu surprenante, c’est de sentir un vide entre les jambes. Après avoir vécu des années avec un appareil sexuel masculin, il faut s’habituer.
Chaque jour je fais mes dilatations avec l’écarteur N°1, c’est fait selon le plan du professeur. A partir du 10ème jour, je change et passe au N°2. Les dilatations sont au nombre de 3 par jour, je sais n’importe comment que j’en ai pour au moins 6 mois, je ne suis pas prête à me faire ramoner la chatte.
Pendant tout ce temps, je n’ai pas de pulsions sexuelles, une des infirmières me dit que c’est normal, je suis traitée pour ça car dans mon état je ne pourrais même pas baiser par derrière, cela pourra compromettre la guérison si les tissus étaient distendus ou malmenés par une possession virile.
Comme elle me dit en souriant : "au début il faudra vous contenter de la fellation".
Au bout du 10ème jour, je peux enfin, par accord du professeur, descendre prendre l’ensemble de mes repas dans le restaurant de l’hôtel. J’accueille ça comme une libération même si je n’ai que ce droit mais que c’est bon de voir d’autres têtes que celles de mes infirmières et de plus cela m’oblige à prendre soin de moi, de ma maquiller et de m’habiller.
Par contre la prescription est formelle, être allongée un maximum de temps pour faciliter la cicatrisation. Les soins quotidiens se poursuivent avec photos régulières pour faire un suivi de la cicatrisation et un nettoyage très précis de la vulve nouvellement constituée. La plupart du temps, une des deux infirmières reste avec moi pendant parfois une demi-heure pendant la dilatation du matin afin de voir que tout se passe bien sur l’ensemble de celle-ci. Nous en profitons pour discuter.
C’est très important pour moi d’avoir cette composante très humaine dans le suivi.
Les soins quotidiens continuent. Enfin 13 jours après l'intervention, j'ai le feu vert de la faculté pour sortir dehors. J'ai le droit d'aller au bord de la piscine à partir de 17h, une fois la grosse chaleur passée. Ceci me permet de marcher un petit peu plus. Cette piscine me tente, j'ai très envie de piquer une tête mais ceci m'est absolument interdit. Je n'ai pas le droit pendant les 3 premiers mois suivant l'opération de ma baigner. Comme me l'a dit une des deux infirmières, vous n'êtes pas ici en vacances. Donc je ne fais que me tremper les mollets dans l'eau et c'est déjà une sorte de délice.
14 jours après l'opération le professeur m'autorise à aller marcher dans le parc qui jouxte l'hôtel mais comme il me l'a dit en souriant :
- Marcher un peu oui mais surtout pas d'excès. Me suis-je bien fait comprendre ?
- Oui professeur.
17 jours après l’intervention, je suis conduite au centre chirurgical. Le professeur me fait une visite de contrôle avant mon retour vers la France. La visite est surtout pour s’assurer que la cicatrisation se passe normalement. Le verdict est simple, soit il n’y a aucun souci et le départ est acté, soit il y a quelque chose et c’est ré-hospitalisation et peut-être une nouvelle opération. J’avoue que je n’en mène pas large quand je rentre dans la salle d’examen. Je m’installe sur un lit d’accouchement, les cuisses bien écartées. Après une demi-heure d’examens tant visuels que tactiles, le professeur prend la parole et me dit :
- Tout va pour le mieux, vous allez pouvoir rentrer chez vous.
- Merci docteur.
- Il n’y a pas de quoi, mais rappelez-vous vous devez faire vos exercices de dilatation de manière stricte.
- Oui docteur.
- Aussi pas de précipitation en ce qui concerne le sexe, même de la manière où vous le faisiez avant.
- Les infirmières m’ont prévenue, l’une d’elles m’a même dit que pour l’instant seule la fellation était envisageable.
- Et elle a eu raison, vous pourriez détruire tout le travail et là non seulement ce serait très douloureux mais il n’est en aucun cas sûr que je puisse vous reconstruire un vagin digne de ce nom.
- Je serai prudente docteur, je n’ai pas du tout envie de tout casser maintenant.
- Bien.
- En tout cas merci pour tout docteur.
- Mais de rien je n’ai fait que mon travail et n’oubliez pas que nous sommes appelés à nous revoir pour que comme vous l’avez demandé je vous fabrique un hymen.
- Oui docteur et j’y tiens je veux que Pierre me prenne vraiment vierge.
- AH ! Ah ! AH !
- Vous pouvez rire, c’est important pour moi.
- Mais je comprends, bon vous pouvez vous rhabiller et je vous souhaite bon retour.
- Merci docteur et à bientôt.
Le lendemain, je suis amenée par le chauffeur du centre à l’aéroport de Bangkok.
Le personnel de la compagnie aérienne me prend en charge et m’amène en fauteuil roulant jusqu’à l’avion. Comme prévu dans le prix total de l’opération, je bénéficie des trois places centrales de l’avion. Bénéficier de ça me permet de m’allonger durant la totalité du voyage hormis les périodes de repas.
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