Damien 86 – Après l’opération (2)

- Par l'auteur HDS Katy -
Récit érotique écrit par Katy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Damien 86 – Après l’opération (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-12-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Damien 86 – Après l’opération (2)
Pendant les jours qui suivirent et ce jusqu’à 2 mois après l’opération je continuais mes dilatations.
Je passais au dilatateur N°3.
Chaque semaine je prenais ma vulve en photo et je l’envoyais au professeur afin qu’il puisse contrôler l’évolution de la guérison.
Pendant ce temps là, le sexe entre Pierre et moi restait basé sur la fellation ou la branlette.
Un mois après mon retour, j’eus une légère démangeaison à la jonction de la vulve et du mont de Vénus.
Je pris une photo en très gros plan de la zone et l’envoie au professeur.
Cette irritation étant malgré tout gênante.
Dans les deux heures qui suivirent mon mail, le professeur me répondit.
Ce qu’il me fit faire est très simple, pour résoudre ce problème, il suffit de déposer de la mousse de savon préparée entre les mains en tapotant la zone pour l’assainir des bactéries certainement présentes.
En temps normal il est conseillé de ne faire aucun geste direct sur la vulve pour ne pas risquer d’endommager les tissus encore fragiles.
Cependant dans ce cas c’est nécessaire.
Au bout de deux jours, l’irritation disparut définitivement.
En entamant le 3ème mois, je dois diminuer la dose des médicaments qui m’empêche d’avoir des désirs.
J’avoue que la suppression progressive du traitement commence à me faire ressentir ses effets.
Quand je fais mes dilatations, je sens le plaisir monter en moi.
C’est un plaisir complètement différent de celui que je ressens pendant une sodomie mais tout aussi délicieux.
J’envoyais très régulièrement des photos au Professeur.
Cela lui permettait pendant les 3 premiers mois de faire le point sur la progression de la guérison.
A partir du 4ème mois, cela permet au médecin de suivre la modification progressive de la forme globale de mon vagin qui évolue vers une forme totalement naturelle.
Cette évolution était aussi constatée par ma gynécologue et par la laborantine qui me faisait les prélèvements vaginaux de contrôle.
Très régulièrement je discutais par mail interposé avec le professeur
Cela faisait maintenant 4 mois que l’opération avait eu lieu et je me sentais de plus en plus excitée.
Un jour alors que je me sentais en chaleur, j’ouvris mon ordinateur et écrivis au professeur lui expliquant ce que je ressentais.
Quelques heures plus tard, je lus sa réponse.
Il me demandait de nouvelles photos, ce que je fis aussitôt et lui envoyai.
Le soir même, je reçus un mail de sa part avec un courrier attaché qui était adressé à ma gynécologue.
Je l’appelai, elle était encore à son cabinet et je lui expliquai mon cas.
Elle me répondit de passer immédiatement la voir.
Je pris mon dossier, photos ainsi que la lettre du professeur, et partit pour une consultation.
Quand j’arrivai, j’étais la seule patiente et elle me fit entrer.
Elle examina les photos et lut le courrier du professeur puis me dit "Alors ma petite Line que se passe-t’il ?
- Et bien voilà docteur, depuis que j’ai commencé à diminuer les médicaments, je me sens de plus en plus excitée. J’ai toujours été une chaude et ça commence à devenir intenable.
- Je comprends mais il est encore trop tôt pour vous servir de votre vagin.
- Je m’en doute mais si les fellations et les branlettes conviennent à mon amant, moi ça ne me va plus du tout, au contraire plus je le suce ou je le branle et plus ça m’excite, j’ai vraiment envie de sentir un homme en moi, je ressens un besoin impérieux d’être pénétrée.
- Je vois, mais votre vagin n’est pas encore prêt à encaisser les coups d’une verge.
- Je le sais docteur et en plus je ne veux pas donner mon vagin comme ça à Pierre, je veux être vierge, je veux qu’il me déflore et pour cela il faut, une fois totalement cicatrisée, me construire un hymen, mais….
- Si bien sur il y a une solution et maintenant c’est possible, la solution est de pratiquer la sodomie, si votre vagin n’est pas encore capable d’endurer les chocs du possession, il n’y a aucun problème maintenant vu votre cicatrisation de pratiquer la sodomie.
- Ah ! Docteur, vous me redonnez goût à la vie.
- Attention, j’ai dit sodomie, pas autre chose, pas de pénétration vaginale.
- J’ai bien compris et comme je vous l’ai dit il y a quelques instants, il n’en est pas question tant que je n’ai pas d’hymen, je rêve de donner ce plaisir à mon amant de dépuceler.
- Bien bon alors il n’y a plus de problème.
- Docteur, pouvez-vous me faire une lettre à ce sujet car sinon jamais Pierre ne va me croire.
- Ah ! Ah ! Ah ! Bien sur".
Je sortis du cabinet médical en tenant mon sac à main tout serré contre moi, il contenait le précieux sésame.
Arrivée à la maison, je pris un bain pour rendre à mon corps une propreté toute suédoise, je m’épilai sur tout le corps puis me vêtis d’un string en dentelle noire avec le soutien-gorge assorti, je me parfumai de N°5 de Chanel, je mis un chemisier blanc et une mini-jupe noire puis je chaussai des escarpins noirs et attendis le retour de Pierre.
Quand mon homme rentra je lui sautai au coup et collai ma bouche contre la sienne, mon amant m’enlaça et sa main courut sur mon dos, j'ouvris la bouche, je fermai les yeux, nos dents s'entrechoquèrent, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné.
Pendant qu'il me butinait la bouche, les mains de mon mec courraient sur mon dos et mes cuisses tandis que je lui caressais l’entrejambe, quand il m'abandonna, j'avais le souffle court et les joues en feu et des ondes de désir commençaient à monter en moi.
Je souris à Pierre et lui dis "Mon chéri, il faut que tu lises quelque chose
- C’est quoi ?
- Ça".
Je lui tendis la lettre de la gynécologue, mon amant pris le document et se mit à lire.
Quand il eut terminé, il me sourit et me dit "C’est vrai, on peut baiser ?
- Enfin oui mais comme avant, pas question encore de toucher à ma chatte mais mon cul est disponible si bien sur ça te dit.
- Mais ma chérie, tu sais que j’ai toujours adoré ton joli petit cul.
- Oui je le sais, alors tu me baises oui ou non parce que moi je suis une véritable chienne en chaleur ?
- Mais bien sur que je veux te baiser, il y a tellement longtemps.
- Oh que oui, j’en suis toute chose, j’ai l’impression que tu es mon premier homme.
- Non ça ce sera pour ta chatte.
- Oui surtout que je serai vierge quand tu me prendras.
- J’ai hâte de te prendre comme ça.
- Moi aussi je suis impatiente que tu me prennes par devant.
- Allez viens, allons dans la chambre que je puisse jouir de ton magnifique petit cul bien ferme.
- Tu vas peut-être jouir de mon cul mais moi ce que je veux c’est que tu me fasses jouir avec ta grosse queue.
- Viens ma chérie.
- Oui mon amour"
Nous entrâmes dans la chambre, mon homme m’étreint, il me mit une main sous mon menton et me força à lever la tête puis écrasa mes lèvres des siennes.
Nos dents s'entre choquèrent, j'ouvris la bouche, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un ardent baiser.
Je posai mes mains sur les épaules de mon homme et les yeux clos je me laissai emporter par une vague de désir.
Quand mon mâle abandonna ma bouche j'avais la respiration saccadée et le rouge aux joues.
Mon mec se détacha de moi, il mit un disque et me dit "Ce serait sympa si tu nous faisais un strip-tease et si après tu me déshabillais.
- Pas de problème mon chéri".
Sur le rythme langoureux d'une musique orientale j'entrepris de me dévêtir en tournant le dos à mes deux amants, tout en ondoyant j'ôtai mon chemisier, je me déchaussai et enlevai mes chaussettes, je fis descendre ma mini-jupe puis lentement je fis glisser mon string le long de mes cuisses fuselées.
Quand je fus nu, je me tournai vers Pierre les yeux mi-clos et la langue un peu sortie puis d'une démarche chaloupée je m'avançai.
Je défis les boutons de la chemisette de mon amant et lui ôtai tout en lui embrassant le torse et en lui léchant les tétons.
Je délaçai les chaussures de mon homme et le déchaussai puis enlevai ses chaussettes.
je m’agenouillai devant mon mec, je pris la fermeture éclair de son pantalon entre mes dents et l'ouvris, le pantalon tomba sur ses chevilles.
Mon mâle n'était plus que vêtu que de ses sous-vêtements qui étaient gonflés sur le devant ce qui signifiait que ma petite mise en scène ne l’avait pas laissé indifférents.
M'approchant de Pierre je soufflai sur le devant de son slip, ce geste eut pour effet de faire se tendre encore plus l'étoffe.
Prenant le cache-sexe par l'élastique de la taille je libérai le fabuleux sexe déjà tendu, je déposai un léger baiser sur le bout du membre de mon amant et portai une légère caresse sur les testicules velus gorgés de sève.
Du bout de la langue je récoltai une goutte de sperme translucide qui perlait du méat puis je me relevai.
Mon homme me sourit, il me prit par les cheveux et écrasa ses lèvres sur les miennes, j'ouvris la bouche, nos dents s'entre choquèrent, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser enflammé.
Quand mon mec se détacha de moi, j'avais le souffle court et le rouge aux joues.
D'une petite claque sur les miches mon mâle me poussa vers le fauteuil et me dit "Tu es magnifique, ton cul est splendide, comme il me tarde de le défoncer.
- Moi aussi il me tarde que tu me défonces le fion, je suis un vrai volcan.
- Mets-toi à quatre pattes sur le lit que je commence à m’occuper de ce superbe petit cul tout pour moi.
- Tes désirs sont des ordres amour".
Je pris la position demandée et Pierre me dit "Ça me fait tout drôle ma petite chérie, je ne suis pas habitué à te voir comme ça.
- Que veux-tu dire ?
- Et bien c’est la première fois que quand tu te mets à quatre pattes devant moi, je ne vois pas tes couilles et ta petite bite.
- Ah oui ! Et ça te manque ?
- Pas du tout mais c’est la première fois que je te vois comme ça et c’est quand même là que je comprends ce que tu as fait.
- Ça ne te plait pas ?
- Oh que si ça ma plait ma petite chérie de voir une fente au lieu de ton service trois pièces, je me languis de pénétrer cette fente.
- Un peu de patience encore.
- Oh mais je vais attendre et maintenant j’ai de nouveau ton petit cul et je ne peux pas dire qu’il m’ait un jour déçu.
- Alors dépêche-toi de le contenter car mon petit cul comme tu dis a très envie que tu t’occupes de lui et que tu le fasses jouir.
- Tu as raison, profitons de ce moment".
Mon amant posa ses paumes sur mes lobes charnus, ce simple contact me fit frémir.
Mon homme me massa doucement les fesses, je sentais au fur et à mesure le désir affluer en moi.
Ma croupe commençait à chauffer sous les caresses et j’eus la surprise d’une autre manifestation du bien-être qui prenait possession de mon corps en feu.
En effet ma chatte commençait à s’humidifier et une sensation inconnue mais combien merveilleuse s’insinuait en moi, je poussais un râle de plaisir.
Mon mec écarta mes miches bouillantes et enfouit son visage entre elles.
Quand sa langue râpeuse entra en contact avec mon œillet il me sembla qu'une décharge électrique me transperça et je poussais un lourd gémissement.
Mon homme commença à me bouffer le cul, il promenait sa langue tout le long de ma raie s'arrêtant contre mon antre pour la suçoter.
Sous les attouchements lingués que mon mâle pratiquait sur mon intimité, je sentis mon postérieur s'enflammer, et un profond désir s'empara de moi.
J’étais tout en sueur et je sentais mon cul qui se dilatait de plus en plus.
Pierre, tout en gardant une main sur ma fesse droite se mit à poser son pouce sur ma rondelle.
Cette caresse m’embrasa encore plus.
Mon amant prit son magnifique verge et me frappa les fesses avec, je remuais mes hanches et creusait les reins pour m’offrir totalement.
Mon homme mit son énorme pénis tuméfié dans la raie de mon cul et la promena tout le long s’arrêtant à chaque passage sur mon trou de balle brûlant.
Je tournais mon visage vers mon mec et lui dis "Encule moi vas- y !! Je t’en supplie.
- Pas tout de suite ma petite salope".
Mon mâle se détacha de moi et me dit "Ne bouge pas je reviens".
J’entendis la porte du frigidaire s’ouvrir et se refermer et Pierre revint dans la chambre.
Tournant la tête je vis qu’il avait dans la main une bombe de chantilly, je lui demandai "Mais que vas-tu faire ?
- Pour fêter ce jour, je vais asperger ton joli petit cul avec de la chantilly et je vais te manger le fion".
Mon amant pulvérisa de la chantilly tout le long du sillon de mon derrière tout en insistant sur mon anus.
Le froid de la mousse me fit faire un bond encore plus avant dans le plaisir.
Mon homme se mit à laper la crème avec sa langue râpeuse, ce que je ressentais était incroyable, je me mis à trembler de tout mon être tout en roulant des hanches et en tendant mon prose vers mon mec.
Quand mon mâle eut enlevé la chantilly, j’étais en transe, il me fallait une pénétration, je voulais son fabuleux phallus dans mon cul enfiévré.
Dans le brouillard où je me trouvais, je me mis à supplier Pierre de me prendre de me faire jouir.
Enfin je sentis quelque d’énorme, dur et chaud contre mon trou en ébullition, je sus immédiatement que c’était le gland turgescent de mon amant.
J’étais tellement excité que d'un coup puissant, je jetai mon cul en arrière pour engloutir son gigantesque membre en totalité.
Quand le bout durci écarta mes chairs, une brulure me transperça et je poussai un hurlement de louve blessée.
Mon homme se retira et me demanda "Que se passe-t’il ?".
J’avais les yeux remplis de larme par la douleur que je ressentais mais je compris aussitôt.
"Ce n’est rien, il y a tellement de temps que je ne me suis pas faite enculée que mon anus est complètement refermé, c’est comme la première fois où je me suis fait dépucelée.
- Tu veux qu’on arrête.
- Non ! J’ai pris ta bite des dizaines de fois, je sais que mon trou est capable de la prendre, simplement c’est de ma faute j’aurais du y penser et ne pas essayer de m’empaler comme une idiote.
- Mais….
- Il n’y a pas de mais, baise-moi, baise ta femelle, ne t’inquiète pas, mon anneau va se détendre, je vais déguster mais je sais qu’une fois mon antre dilatée, je vais prendre mon pied. Allez vas-y défonce-moi le cul fais du bien.
- Je vais y aller doucement.
- Non ! Je t’ai dit de me défoncer, fais comme avant enfile- moi jusqu’aux couilles".
Mon mec positionna son volumineux gland contre l’entrée de mes reins et s’enfonça en moi jusqu’à la garde.
J'entendis le claquement fort de ses couilles contre mon prose, je me sentis presque défaillir et je poussai un hurlement strident de souffrance.
J’avais l’impression qu’on m’avait enfoncé un fer porté au rouge tant la douleur était intense, c’est comme si on m’avait ouvert le cul en deux et j’éclatais en sanglots.
Mon mâle resta immobile laissant mon sphincter torturé s’habituer à l’énorme présence qui m’obstruait le fondement.
Petit à petit je sentis ma corolle céder et le mal commença à diminuer.
Entre deux hoquets je tournai la tête et je dis à Pierre "Vas-y ça y est, ça commence à aller mieux, bouge lentement que mon cul se dilate.
- Tu es sur ?
- Oui, fais quelques vas et viens doucement.
- D’accord".
Mon amant commença à aller et venir lentement dans mon rectum bouillant m'arrachant à chaque mouvement des petits cris de douleur qui peu à peu se muèrent en gémissements.
Mon homme se mit à me posséder de toute la longueur de son pénis turgescent, le sortant presque entièrement de mon fondement pour le replonger au fond de mon cul la seconde suivante.
Au bout de quelques temps de ce traitement mon anus céda complètement et le superbe Priape put coulisser en moi sans gêne aucune.
Sentir cette pine roide coulisser en moi me faisait basculer dans l’univers inconnu, je ressentais des bouffées de chaleur embraser mon bas-ventre.
Sa queue était énorme, je la sentais entrer et sortir de tout son long, m’élargir le trou comme jamais !
Mon homme avait posé ses mains sur mon postérieur et écartait mes deux lobes charnus pour augmenter sa pénétration, je me sentais perdre totalement pied, je ne vivais plus que pour et par la magnifique pine qui me bourrait.
Perdant toute retenue je me mis à hurler toutes les phases de la félicité par lesquelles je passai.
Mon mec commença à me besogner de plus en plus vite, c’était violent et rapide, j’adorais !
Il m’a alors défoncé pendant de longues minutes en me traitant de salope, de pute….
J’étais au paradis.
Il poussait des râles de plaisir et me défonçait autant qu’il le pouvait.
Puis il se retira complètement et rentra à nouveau à fond.
J’étais en plein extase, je jouissais du cul et des filets de mouille tombaient coulant de ma vulve tombaient sur le matelas.
Mon mâle se mit à se déchainer sur mon cul.
J’avais l’impression d’être campé sur un gros gode, les sensations que me procurait la lourde pine roide étaient immenses.
Passant une main entre nous, je caressais les couilles de Pierre en même temps qu’il me démontait le cul, ce qui l’a excité davantage.
Cela faisait au moins 20 bonnes minutes que je me faisais ramoner la chatte par mon amant.
J’avais la tête qui tournait.
Mon amant me baisait comme un sauvage, en me tenant le cou.
Tête posé au sol en position de soumis, j’écartais les fesses à l’aide de mes deux mains pour exciter mon homme.
Mon mec mon trou complètement déchiré par son énorme queue.
Cette position l’excitait à fond, il me baisait comme un fou.
J'avais fermé les yeux savourant l'incroyable bien-être qui m'envahissait par tous les pores de ma peau excitée à l'extrême.
Sous les coups de boutoir répétés de mon mâle je sentis la volupté prendre possession de mon être, chaque fois que la pine roide s'enfonçait aux tréfonds de mes entrailles je me sentais perdre pied un peu plus et je poussai de lourds râles de joie tout en lui criant "Remplis-moi, remplis-moi. Je veux ton sperme dans mon puit d’amour".
C'est à cet instant que Pierre s'enfonçant au plus profond de moi laissa s’échapper tout son foutre dans mon petit cul, la quantité de foutre était impressionnante.
Ses abondants jets de sperme crémeux fusant contre mes parois surchauffées me provoquèrent un spasme foudroyant.
Je tombai à plat ventre sur la couche, entrainant dans ma chute celui qui me montait.
Je tendais mon cul vers cette superbe bite qui continuait à se déverser en moi.
Un hurlement strident pulsa de ma gorge et je retombai lourdement sur le théâtre de nos ébats flottant dans l'univers cotonneux de la jouissance.
Je sentis mon amant se lever de sur moi et je restai les yeux clos, cuisses écartées savourant les dernières contractions du bonheur sur ma corolle ravagée.
Quand je rouvris les yeux mon amant, allongé à mes côtés, me caressait les fesses.
Il me dit "Quelle baise, quel cul mais quel cul tu as, j’avais oublié comment c’était bon de baiser avec toi, tu es la reine des baiseuses ma chérie.
- Merci, oh oui que ça a été bon, trop bon même, j’ai pris un pied d’enfer.
- Je l’ai vu, mais au début je t’avoue que j’ai eu peur.
- C’est de ma faute, j’aurais du penser qu’après plusieurs mois d’abstinence, mon trou de balles avait repris sa forme originelle et que le muscle de mon sphincter était redevenu comme aux premiers jours. Oui ça a été dur parce que en plus tu as un sacré calibre mais que je l’aime ce calibre, une belle bite bien longue, bien grosse et endurante qui m’inonde le trou du cul. Mais ça en valait la peins non ? Et puis comme ça c’est comme si tu m’avais dépucelé du cul, j’ai crié comme une vierge.
- C’est vrai.
- Tu sais j’en ai de la chance, j’ai vécu deux dépucelages du cul et dans quelques temps, je vais me faire dépuceler de la chatte, c’est génial. En plus ce sera toi qui auras pris mes deux pucelages.
- C’est vrai. Et là tu n’as pas trop mal au cul ?
- Un peu mais c’est normal, ma pastille anneau n’a plus l’entrainement, ce qui n’empêche pas que j’ai encore très envie que tu me baises.
- Mais je vais encore te baiser ce soir. Par contre au début qu’est ce que tu étais serrée.
- Oui et ça t’a plu que je sois serrée ?
- Oui c’est super de sentir ma bite bien pressée dans ton fourreau.
- Et moi que ça a été bon de sentir ta magnifique queue coulisser en moi et m’élargir le cul petit à petit, un vrai délice.
- Donc tout est bien, mais putain qu’est-ce que ça a été bon.
- Pour moi aussi mon amour et dis-toi bien que quand j’aurais une chatte fonctionnelle, on pourra espacer les enculades même si je veux toujours que tu m’encules, donc le fait d’espacer les sodomies fera que tu me feras crier chaque fois que tu m’enfilera par le cul et que tu te sentiras bien serré.
- Tu es géniale ma chérie.
- Bon allez, viens prendre une douche, on va dîner et après je veux que tu fasses hurler de plaisir ta salope préférée.
- Avec plaisir ma petite femme adorée".
Après un passage à la salle de bains où nous nous débarrassâmes de nos toxines, nous partîmes dîner.
Après le repas, nous retournâmes dans notre chambre où Pierre me prit plusieurs fois cette nuit me faisant jouir somptueusement.
Nous endormîmes au petit matin, repus, j’avais le cul complètement dilaté, j’étais remplie de sperme de la tête aux pieds mais j’étais comblée.

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