De vrais amis 2 - histoire érotique

Pendant le petit déjeuner, Mathilde ne cesse de regarder Marc, souvent les deux échangent des sourires. Justine dit en souriant :

-J'ai dormi comme un loir, n'est-ce pas mon chéri, c'est un peu grâce à toi !

Georges avec humour dit :

-Il t'a bercée !

Justine en faisant un large sourire répond :

-Oh non, il m'a baisé toute la nuit, rien de tel comme remède pour dormir après !

Mathilde, regarde Marc, qui lui fait un gros clin d'œil, et dit en riant :

-Mathilde, si tu ne trouves pas le sommeil, j'ai ce qu'il faut pour t'aider à dormir !

Les yeux de Mathilde s'écarquillent, son regard luit, elle ravale sa salive et répond :

-C'est généreux de ta part, mais pour l'instant tout va bien !

Georges réagit :

-Oh la, la, cette nuit, tu aurais eu besoin d'un remède, agitée comme tu l'étais !

Mathilde baisse la tête, Marc en profite pour lui saisir la main, il la caresse en la complimentant sur la souplesse de sa peau. À chaque caresse, Mathilde frissonne, Georges remarque l'émoi de sa femme, il pose sa main sur sa cuisse et la caresse doucement.
Lentement la main passe sous la nuisette. Mathilde par réflex serre les cuisses en se cabrant légèrement. Marc commence à lui embrasser la main, en la regardant intensément.
Mathilde ne sait plus à quel saint se vouer, sa main tremble. Quant à la main de Georges, elle réussit à de glisser entre ses jambes. Les doigts tant bien que mal passent plusieurs fois sur sa chatte, qui étrangement est déjà mouillée. Mathilde veut fuir, elle saisit brusquement la main de son mari et la stoppe dans sa progression. Perturbée, elle se lève d'un coup et se rend à la cuisine.


Georges la suit, sa femme est appuyée contre l'évier, elle respire bruyamment. Georges se colle à elle, il l'enlace et la serre fortement. Il lui donne plein de petits baisers sur la nuque et le cou. Mathilde soupir, elle dit :

-Georges mon chéri, qu'est-ce qui m'arrive, je me sens fébrile, je suis mal !

Le mari amoureux lui répond :

-Ce sont tes sens qui te tenaillent les entrailles, avoue, que tu penses à Marc ma chérie !

Mathilde, très franche, répond :

-Depuis notre conversation d'hier soir, eh bien en pensant à lui, je me sens toute chose, ma chatte mouille !

Georges passe ses mains sous la nuisette et lui caresse le ventre et la chatte. Il répond :

-C'est l'appel des sens ma chérie, tu aimerais qu'il te prenne comme une chienne, ne résiste pas, donne-toi à lui, tu sens comme cela m'excite !

En effet, Georges a une grosse érection, il sort son manche de son short et en retroussant la nuisette, il frotte sa queue contre les fesses charnues de sa femme, qui ne le repousse pas. Le coquin la fait glisser dans la raie, en taquinant avec son gland la pastille brune. Mathilde se penche plus en avant et d'un geste habile saisit le pieu de son mari, qu'elle dirige promptement vers son brasier. Une petite pression suffit pour qu'il enfonce jusqu'aux couilles sa verge dans le ventre de sa femme, qui rapidement commence à agiter sa croupe en gémissement. Georges ne reconnait plus sa femme, il se dit qu'il ne doit pas manquer cette rare occasion.


Il lui travaille le ventre avec de très, très lents coups de boutoir, en la faisant geindre. Mathilde semble sur un nuage, mais un violent coup de reins la fait revenir sur terre. Elle s'accroche à l'évier en gémissant, une jouissance monstrueuse la fait cabrer. Georges continue de la pilonner, c'est un miracle que sa femme ne rechigne pas à l'acte. Il finit par lui remplir le ventre avec son sperme épais. Après quelques instants de récupérations, un peu essoufflés, ils réapparaissent. En passant devant Justine, celle-ci remarque une grosse tache qui se forme sur la nuisette au niveau de la vulve de Mathilde.


Justine en riant dit :

-Oh les deux viennent de se faire un petit plaisir, les traces blanchâtres sur la nuisette le prouvent !


Mathilde rougit comme une pivoine et s'assoit rapidement en serrant les cuisses. Effectivement, sa chatte rejette le surplus de semence que son mari lui a si généreusement offert. Marc souriant regarde Mathilde et lui dit :

-Oh là, tu dois avoir pris un sacré pied, car tu es encore fébrile, je me trompe !

C'est Georges qui répond :

-Aujourd'hui, ma chérie et vrai un volcan, mais il y a une raison pour cela !

Mathilde se pince les lèvres, elle rougit comme une pivoine. Georges ne peut tenir sa langue, il dit :

-Eh bien les amis, c'est un peu à cause de Marc, car depuis que nous avions eu une conversation hier soir, elle ne pense qu'à lui, dis-lui ma chérie que je ne mens pas !

Mathilde ne répond pas, elle se fait penaude, tête baisée. Justine la regarde et en souriant dit :

-Oh, oh, ma meilleure amie phantasme sur mon mari, eh bien, je veux bien lui prêter, si je peux emprunter le sien en échange !

Marc sursaute à la proposition de sa femme, il se dit qu'elle n'est pas sérieuse. Georges n'en croit pas ses oreilles, il jubile intérieurement. Justine s'approche de son amie, elle pose ses mains sur ses épaules et commence à les masser. Mathilde ferme les yeux, elle pousse de petits soupirs de satisfactions. Justine fait glisser la nuisette hors des épaules de Mathilde, et reprend sur les épaules ainsi dénudées le massage. Les doigts pressent les muscles plusieurs fois, Justine agit comme une masseuse professionnelle, en roulant avec ses pouces les muscles, elle fait gémir doucement son amie. Mais lentement les mains quittent les épaules et s'avancent sous la nuisette vers les seins. Le souffle de Mathilde s'accélère.

Les deux hommes, yeux grands ouverts, font office de voyeurs. Marc se demande, s'il ne rêve pas, pour lui, c'est une aubaine.