De vrais amis 5 - histoire érotique

Lentement, Justine retire ses doigts de l'anus qui ne cesse d'avoir de multiples contractions incontrôlables. Elle plaque sa bouche sur le muscle frétillant et enfonce sa langue le plus loin possible. Mathilde se cabre, son jus en surabondance est rejeté par sa chatte. Ses cuisses sont couvertes de cyprine. Justine lui fouille le cul avec une telle rage que Mathilde jouit encore une fois du cul. Georges est aux anges, jamais, il n'avait vu sa femme jouir du cul. Il ravale sa salive, il sait que maintenant, elle ne pourra plus rien lui refuser sur le plan sexuel. Justine retire sa langue et l'enfonce dans la chatte. Mathilde croit que son amie, veut la faire mourir de jouissant. Justine se gave du jus, elle l'avale en émettant un petit bruit de satisfaction.

Enfin, elle libère Mathilde Son mari s'approche, et dit :

-À moi l'honneur de dépuceler le cul de mon amour, le plaisir sexuel n'a pas d'âge, n'est-ce pas ma vieille !

En disant ces paroles, il donne une bonne tape sur les fesses de sa femme. Le corps de Mathilde est encore secoué de spasme. Georges lui caresse le dos avec douceur un bon moment, il veut que sa femme reprenne ses esprits. Ses doigts cherchent l'œillet que Justine a fait jouir plusieurs fois, enfonce un doigt et le fouille délicatement. Mathilde reprend ses gémissements. Georges sait qu'elle est prête pour recevoir l'offrande anale. Il retire le visiteur et présente à la porte de service son gland. Il le maintient appuyé contre en s'accrochant aux hanches larges de sa femme. Il pousse, Mathilde serre les dents, le gland commence à forcer la petite porte et arrive à l'ouvrir. Lentement, il s'enfonce dans la gaine étroite. Mathilde grimace, elle souffle comme une bête malade. lentement la queue de son mari s'enfonce lentement dans son corps en lui distendant le rectum.


La douleur est atroce, Justine regarde son amie souffrit, il réagit en lui saisissant le clito. Elle tient fermement entre son pouce et son index la boule extrêmement gonflée. Elle la presse un peu, comme pour en connaitre la texture, puis commence un branlage qui prend de la vitesse. La bite qui lui fore le cul, plus les doigts qui maltraitent son clito, Mathilde disjoncte. Elle râle comme une bête agonisante. Son mari lui défonce le cul comme pour se venger de sa femme qui lui en interdisait l'accès. Sa bite plantée dans le rectum, extrêmement distendu, fait des allers et retours rapides.




Mathilde, n'ose pas exprimer son plaisir anal, elle croit toujours que c'est interdit. Mais elle agite sa croupe en se mordant la main pour ne pas hurler son plaisir. La main de Justine s'acharne sur son clito, Mathilde n'en peut plus, elle se cambre en hurlant :

-Oui, oui, oh mon Dieu, Georges, je suis une catin, je jouis du cul Encore, encore, mon chéri tape bien à fond Oh putain que c'est bon !


Mathilde explose comme jamais, elle ne l'a fait. Georges lui remplit le cul avec sa semence épaisse, en poussant des hans de bucheron. Il se retire rapidement et dit :

-Vas-y Marc à toi, ta queue et plus grosse que la mienne, fait lui voir les étoiles !


Marc regarde le trou béant et, sans hésitations, enfonce son engin qui en effet est plus imposant que celui de Georges. Mathilde pousse un grognement en disant :

-Oh mon salaud, tu vas me caser le cul avec ton engin, mais je ne mérite que ça, je suis devenue un vide couilles, vas-y, fais-moi mal mon chéri !


Marc, ne la ménage pas, il lui travaille le cul comme un soudard, les gémissements de Mathilde sont ceux d'une bête tombée dans un piège. Rapidement, elle jouit, en poussant des grognements féroces. Justine lui écrase le clito, une seconde jouissance ébranle Mathilde. Marc se bloque et envoie une bonne giclée dans les entrailles de sa vieille amie. Quelques estocades pour bien vider sa hampe sont nécessaires. Enfin, il se retire, fière d'avoir sodomisé son amie.

Maintenant, c'est le moment de la double, c'est ce que redoute le plus Mathilde. Lentement, elle s'empale sur la verge dressée de Marc que dirige Justine. Elle pousse de petits gémissements en s'agitant, mais son mari la stoppe et lui dit :

-Penche-toi dur Marc ma chérie, tu lâcheras les chevaux après, d'abord, je dois prendre ce que tu m'avais toujours refusée !

Avec une douceur extrême, Georges enfonce son mandrin dans le cul de sa femme, mais la douleur est moindre, car elle vient de se le faire dilater à plusieurs reprises. Mathilde à l'impression d'avoir les deux bites dans le même orifice tellement les queues sont proches l'une de l'autre. Doucement, les deux hommes commencent à s'agiter. Les bites comme deux pistons coulissent dans son corps en la faisant gémir. La synchronisation est parfaite, les deux mâles agissent comme deux pistons dans leurs cylindres. Pour Mathilde, c'est le summum du bonheur, elle ne retient pas des gémissements, au contraire, elle se lâche totalement.

Il ne faut pas longtemps aux baiseurs pour faire cabrer la novice d'un certain âge. Mathilde ne pousse pas un gémissement, mais un hurlement qui fait sursauter Justine. Sa jouissance est monstrueuse, elle s'agite comme une hystérique sur les bites plantées en elle. Le rythme augmente, une nouvelle jouissance fait encore hurler Mathilde. Enfin, comme on dit, le travail paie. Les deux hommes, déversent à tour de rôle leur semence, dans les entrailles longuement travaillés. La douce chaleur qui du sperme qui s'écoule dans son corps provoque sur Mathilde, une nouvelle jouissance.

Enfin, les deux libèrent leur proie en la félicitant, ils lui promettent de remettre ça au cours de l'après-midi. Les vacances s'annoncent merveilleuses, Georges est euphorique, sa femme découvre enfin les vrais plaisirs du sexe.