Dîner classe et X...

- Par l'auteur HDS Beedoo2 -
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Récit libertin : Dîner classe et X... Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Dîner classe et X...
J’ai invité une fille volage à dîner ce soir. Et j’ai une idée derrière la tête.

Bon, on ne va pas le cacher plus longtemps, c’est un dîner suivi d’une nuit d’hôtel entre adultes consentants, qu’on s’entende. On a déjà prévu de copuler après. Donc non, je ne suis pas en train de prétendre que je vous fais une surprise, là, sur un site d’histoires pour adultes, en feignant de vous surprendre par une partie de jambes en l’air après un dîner. Par contre, on a clairement prévu de parler surtout de sexe à table. Dans un restaurant. Pour parer à toute éventualité j’ai pris une table que je sais un peu à part et j’ai réservé pour un service un peu tard, pour ne pas gêner des familles. Et ce resto je n’y ai de toutes façons jamais vu de famille… Deux précautions valent mieux qu’une.

On se voit à l’entrée, on se salue. On se sourit, elle est très belle, Juliane. Je crois que je lui plais aussi à voir son sourire. Elle est portée sur beaucoup de choses ais-je compris par nos discussions sur ce site d’échanges explicites. Jeunes, vieux, pluralité, et même une journée où, du matin au soir, elle s’est fait trois partenaires, qu’elle a mis un point d’honneur à faire jouir intensément, enregistrant leurs vocalises orgasmiques, me raconte-t-elle. Elle se définit comme une cochonne plus cochonne que la moyenne des cochonnes.

On prend place, et le serveur nous passe les cartes. Je commence direct :
-Rien de tel qu’un bon dîner pour affûter l’appétit sexuel, n’est-ce pas ?
Elle sourit, et me réplique avec un sourire amusé :
-En effet, et je suis ravie de voir qu’il n’y a pas de cassoulet qui nous perturberait la sodomie !

...Cash. Elle a de la répartie !

On parcourt la carte lentement, relatant chacun notre dernière partie de jambes en l’air, afin de rester dans le ton, et le serveur arrive pour nous demander s’il y a un apéritif à prévoir. Elle réplique direct que le cocktail de fruits au gingembre sera parfait pour faire monter les hormones. Le serveur essaie de dissimuler sa – très fugace et légère – gêne, mais je me dis qu’ici il a pu en voir d’autres. Et on repart dans notre discussion, le serveur était parti chercher notre cocktail quand elle a précisé en détail comment elle aimait commencer sa fellation, laquelle si j’en crois les retours du site est appréciée, voire mythique. Moi je n’avais que quelques détails de ma langue fouillant entre petites et grandes lèvres puis poussant plus loin à mettre en comparaison. Je me souviens distinctement de ce qu’elle disait quand le serveur a apporté les cocktails :
- À ce moment j’ai pu faire passer son gland dans ma gorge, c’était magique !
Le serveur, un des plus jeunes de la maison, a écarquillé les yeux. Mais sans trop tiquer. Il a posé son verre, tremblotant un peu, le mien, et nous avons commandé. J’ai pris leur magnifique œuf poché, alors qu’elle a pris la bouchée à la Reine, soulignant « pour la reine de la bouchée »… Si là elle ne cherche pas le serveur, je n’y comprends plus rien !

Le plat principal ? Elle a choisi d’aller sur un lapin, demandant si c’est « lapine ou levrette » à ce pauvre serveur qui décidément en voit de toutes les couleurs. Moi je pars sur une classique grillade de poire de bœuf qu’elle exclut immédiatement des « cinq fruits et légumes par jour ». On prend des jus de fruits pour accompagner, elle me lance un clin d’œil en me sortant « tu fais le plein de vitamine C ? ». Et on continue par détailler, chacun de notre côté, la suite de nos coïts respectifs, et Juliane me décrit, comme par hasard, une levrette ! Avec détails, et éléments croustillants, comme le préservatif nervuré qu’elle aime tant, le lubrifiant érogène, et expliquant que très vite elle s’est mise à gémir.

Je lui détaille ma missionnaire, la fougue de ma partenaire, les cris, ses expressions. Son sourire. Comment on s’est regardés dans les yeux, puis comment nous avons spontanément glissé nos regards sur l’endroit précis du coït entre nos jambes, comment elle admirait ma bite aller en elle et en ressortir, ahanant à chaque entrée. Notre discussion était brûlante.

Après cela, on part sur l’idée de se décrire ce que l’on fera, et elle m’annonce d’emblée qu’elle voudra sucer une bite ou deux. Là c’est moi qui écarquille les yeux… Et elle détaille comment elle veut embrasser le bout, suçoter délicatement le gland, et courir sa langue autour de ce gland. Plus beaucoup de tables au moment où le serveur nous amène nos assiettes, en pleine description de sa langue glissant sur un bout en bouche bien bandé. Et elle se tourne et fixe le serveur « ça te dis ? »… Il reste figé un moment, pose mon assiette et ne sait pas où se mettre. Évidemment elle a été discrète, nul d’autre ne l’a entendue. Il repart. Sans rien dire, visiblement il ne va voir personne, et ne met pas longtemps à se remettre de ses émotions.

Nous dégustons nos plats, évidemment je lui demande si la levrette est à son goût, elle me répond « chaude à souhait ! ». En continuant à relater nos projets : fellation, entrée en missionnaire, passage en levrette. Et elle de me demander quand je porte un morceau délicieux de poire agrémenté de cette sublime moutarde « et c’était quand ta dernière sodomie ? ». Je déguste, savoure, avant de lui répondre « Après la missionnaire, elle a voulu passer en amazone et je lui ai proposé de la faire anale. Un peu de lubrifiant et elle s’est empalée son petit trou sur mon sexe bandé sans difficulté. ». Elle a dit que son partenaire l’avait enculée lors de la levrette, et qu’elle aimait, pour elle la levrette était presque faite pour passer à l’anal après. Nous avons parlé de chibres dans des culs quelques instants encore. Nous étions seuls dans la salle quand nos plats ont été finis. Le serveur est venu nous proposer un dessert, qu’il a suggérés parmi une liste raccourcie, le congé ayant été donné aux cuisiniers. Nous avons accepté, et il a ajouté « Si madame souhaite réellement un deuxième dessert on pourrait y penser » J’ai été surpris. Juliane, pas. Elle lui a dit « Ça va se faire ».

On a dégusté le dessert, et curieusement Juliane a constaté une petite tâche sur son chemisier. Nous nous sommes alors dirigé vers les toilettes, et elle n’a pas manqué d’un signe du doigt de convier le serveur, qui ne s’est pas fait prier.

Elle l’a dégusté en bonne et due forme, sou mes yeux, embrassant le bout, léchouillant, puis prenant le gland de ses lèvres gourmandes, pour les mouvoir en caresse subtile qui me faisait bander. Le jeune serveur en avait les yeux clos, la tête penchée en arrière, il appréciait ce déferlement de sensations le long de son sexe au bout duquel une goutte n’a pas tardé à perler, Juliane a pris soin de bien se retirer pour que je la voie. Elle a alors placé sa langue juste sous cette goutte, et a alors entrepris de le sucer de tout son long, léchant comme elle le fait si bien le bout de sa langue dans un premier temps, puis suçant uniquement dès que la longueur a rendu impossible ce stimulus lingual. Et le jeune serveur, visiblement ému, n’a pas duré très longtemps. Quand il a poussé un râle caractéristique, Juliane n’en a pas perdu une goutte. Elle a même été jusqu’à lui montrer sa semence en bouche avant de l’avaler. On l’a réglé ensuite, il m’a offert un digestif pour faire bonne mesure, Juliane lui déclinant l’offre en préférant garder le goût qu’elle avait en bouche. Le serveur a souri. Nous sommes sortis, il a fermé derrière nous.

Et on a filé à l’hôtel. Juliane a demandé à la préposée à l’accueil si notre réservation était bien un lit double, précisant que c’est mieux pour copuler. La préposée l’a regardée avec des yeux un peu étonnés… Tu m’étonnes ! Et elle lui a passé les clefs, non sans précisé où se trouverait un distributeur « au cas où »…

On a baisé avec gourmandise !

On a commencé par une fellation, vite tournée en soixante-neuf, j’en voulais aussi, ce qui m’a permis d’admirer sa chatte parfaitement lisse, de la caresser de ma langue. Et j’ai pu ressentir le niveau de cette fille qui n’a peur de rien. Sa langue, qui s’occupe si bien du bout, se glissant occasionnellement sous le prépuce, fait un effet magique. Sa bouche fine caresse merveilleusement bien ma bite. Je dois me reconcentrer pour penser à mon cunni en fait ! Et alors, quand elle commence à sucer le long, c’est divin ! Elle suce avec un niveau que j’ai rarement ressenti. Jamais en fait. Elle parcourt mon sexe bandé de ses lèvres caressantes, glissant sa langue avec opportunité là où cela ajoute au plaisir, puis la repose au fond de sa bouche quand elle en est à prendre tout mon sexe en bouche. Je ressens ses caresses intégrales si douces, si sensuelles… J’arrive au même stade que Brassens qui pense à Fernande !

Et soudain elle cesse des sucer, me disant « j’arrête, tu vas jouir sinon ! ». Elle n’a probablement pas tort… Et là elle se met à quatre pattes, jambes légèrement écartées, m’invitant à la levrette. Je ne me fais pas prier. Je la pénètre doucement, gentiment pour commencer, mais l’excitation étant là j’en viens vite à pousser plus fort, à augmenter le rythme. Elle commence à haleter, doucement. Et ça m’excite… Je sens chaque millimètre de pénétration comme une douce caresse sur mon sexe dur, l’invitant à accroitre encore son excitation. Et elle mouille… Je glisse en elle vite sans aucun effort, en plus sa chatte parfaitement rasée de frais ajoute à cette douceur. Alors je commence à gémir, elle aussi. On râle. On ahane. Bref on fait savoir à qui peut l’entendre qu’on baise. Elle attrape son mobile et d’un mouvement assuré active son micro… Son truc ! Oh c’est boooooon ! Je glisse et reglisse en elle comme un puceau avec une professionnelle ! Que c’est bon !

Et quand je commence à doucement monter dans la gamme, elle me sort un « Allez ! Encule-moi ! ». Je ne me fais pas prier… Un peu de lubrifiant, un peu d’aide manuelle et hop ! Me voilà le gland planté dans son petit trou. Je pousse un peu et nous voilà embarqués dans une agitation sexuelle anale du plus bel effet. Je l’encule. Profond. Elle râle, tremble un peu, gémit fort. Je sens son anus se serrer autour de ma bite fourrée en elle et j’aie ça, cette douce contraction qui rend un peu prisonnier mon sexe en son cul. Puis le relâchement qui suit, et de nouveau cette petite contraction obscène, sexuelle, délicate. Je suis bien !

Trop bien. Je sens mon corps se tendre, et d’un coup tout se relâche, le préservatif se trouve rempli, et moi vidé. Je jouis. L’orgasme, fort et intense, me vide et le laisse sans force, tout juste ais-je celle de sortir mon sexe de là où il restait planté. Elle crie son bonheur.

Elle ajoute un petit commentaire « Tu m’as bien enculée ». Et arrête l’enregistrement. Et me passe ses préférés en revue.

Elle est vraiment chaude !

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