Happy day 1 - histoire érotique

Vendredi soir, j’ai tout ce qu’il faut, et Damien m’a aidée à préparer le nécessaire pour demain, tout est dans le frigo, boissons y compris, alors, reste à trouver l’équipement plus coquin. Et j’ai envie de me la jouer frissons inside. Alors ?

J’adapte ma tenue. Tanga, minijupe, petit pull près du corps, collants noirs, baskets fines. Et je pars direct au supermarché proche de chez moi, je sais qu’il y a encore des caisses avec du personnel. Et je vais y aller cash. J’y vais, un petit sac à la main, et je me précipite vers le rayon parapharmacie. Une boite de préservatifs « Intense », nervurés comme j’aime, une boite de « Perfect gliss », mon modèle préféré pour l’anal, un lubrifiant « Cherry », des assiettes jetables, des bouteilles de jus de fruits, je crois être prête : je file à la caisse de ce charmant hôte brun, réservé, et lui pose tous mes articles sur le tapis. En mettant les jus de fruits et assiettes bien à la fin. Il rougit un peu en passant mes articles, c’est mignon. Alors, je fais mine d’avoir besoin de mon téléphone, et lui tend, SMS activé. Il regarde furtivement, et écrit son numéro. Je lui envoie le message juste après avoir payé « moi, c’est Marie ». Je rentre chez moi, et quand je mets les jus de fruits au frais, je reçois un SMS « Camille, enchanté ». Je retape direct, pour être sûre : « Le magasin ne ferme-t-il pas ses portes à 13 heures dimanche ? ». Il me répond « Oui, l’heure à laquelle je sors ». Alors le dernier message « Tu es invité à déjeuner ». Il répond « OK ». Faut bien s’occuper !

Je pars excitée sur mon ordi, le temps de consulter un site et d’entretenir les informations au profit de mes encore inconnus, à qui je conclus à demain. Évidemment, j’ai besoin d’un peu de stimulations ce soir : j’en profite pour faire un tour sur mon MMORPG (jeu multijoueurs en ligne) adulte préféré, et ce soir, je me fais virtuellement deux gars tour à tour. Et je me fais du bien aussi. Je pars dormir, gentiment excitée.

Samedi matin, je ne me lève pas trop tôt, on a le temps. Damien m’ayant aidée hier, je suis sereine. Les préservatifs sont là, les préparatifs sont bons. Ils vont tous arriver pour déjeuner, et si Damien et Charles savent de quoi il retourne, ni Benoît, ni Reynald, ni Justin ne sont au courant : ça va donner !
Ils arrivent les uns après les autres, tous au courant qu’il y a un déjeuner entre amis d’abord, donc l’atmosphère reste détendue. Et les discussions vont bon train, Charles autant que Damien s’assurant que rien ne filtre, Damien indiquant en particulier ce que nous avons préparé à déjeuner.

Le dessert approche, et là, je choisis de leur lâcher l’histoire. Benoît, Justin et Reynald ont des réactions très différentes : si Benoît paraît très surpris limite choqué, Justin ne peut s’empêcher de sourire, et Reynald a une tête qui veut dire « Mince alors ! ». Je regarde Benoît dans les yeux, lui tend la coupelle de préservatifs, et lui annonce crûment « on commence ? », je l’emmène dans ma chambre. Les autres ne se demandent pas longtemps quoi faire : si Charles, prochain à passer, décide de m’aider en débarrassant, les autres filent se faire un tour.

À peine la porte de ma chambre fermée, je défais le pantalon de Benoît et glisse ma main dans son slip, en le regardant droit dans les yeux. Il bande illico, sans toutefois effacer la timide surprise de son visage ! Je le caresse quelques secondes, avant de m’agenouiller et de commencer doucement ma première fellation. Je l’embrasse, lèche le bout, puis le gland, avant de glisser celui-ci dans mes lèvres, en poursuivant une caresse du bout de son membre de ma langue. Je m’attarde en particulier dessous, et remonte les yeux pour le voir fermer les siens. Je l’entends marmonner, tenter de garder son silence, mais un « Mmmmmh » trahit la montée brusque de son excitation, ça m’excite moi aussi. Je mouille ! Alors je continue, un peu plus en bouche, toujours en léchant, toujours en prêtant attention aux râles crescendo de Benoît. J’ai bien fait de le prendre en premier, quand je l’ai complètement en bouche, je glisse le long de son assez modeste chibre, non sans lui déclencher râles et, déjà, quelques mouvements accompagnant mon va-et-vient. Quand il est bien excité, je me retire doucement, ouvre un emballage de préservatif, et le glisse le long de son pénis en érection. Je m’allonge alors et le fait venir en moi en missionnaire, pour commencer. Il glisse sans soucis, profite de mon vagin offert, se débrouille très bien avec l’intérieur. Il joue avec mon clito, utilise son pouce avec talent, et me provoque aussi des gémissements. Plus sympa encore, je n’entends plus Charles débarrasser, je suis sûre qu’il écoute, ça m’excite…

Benoît n’est pas très pourvu, mais il sait se servir de ce qu’il a, c’est bon, il ajoute une belle dextérité de son pouce, et je sens son sexe entrer et sortir du mien avec fluidité, on baise avec application, dextérité et implication. Je me sens bien, mes gémissements le lui indiquent. On change de rythme, d’amplitude, on se dit des compliments, bref, ça sent bon le stupre ! On continue notre coït sympathique ainsi, lui me disant que je suis bonne, moi lui répliquant qu’il est doux et doué. « Marie, tu es sexuellement divine » va-t-il me dire. Je lui répond que j’aime le sexe, que j’adore ce coït, et qu’il fait mieux que se défendre. Il sourit, continuant sans relâche à aller et venir en mon con comblé.

Il m’attrape alors les fesses et soulève légèrement pour pouvoir se redresser, je trouve cette variante sympa. Il continue à baiser, puis fait une courte pause : il va attraper le tube de lubrifiant. Or, franchement, ça glisse plutôt très bien… Je comprends vite ce qu’il veut : il s’en met une bonne rasade sur le pouce gauche, qu’il utilise pour me lubrifier le petit trou. Et sa question est alors sans fioriture : « Ça te dirait que je t’encule ? » Je lui réponds « Oui, encule-moi mon cochon, vas-y ! ». Il me rapproche alors de lui et pénètre prudemment son pénis dans mon anus. Je sors un « Ooooh » vif et il insère assez facilement son gland, autant aidé par la glisse qu’il a ajoutée que par son engin, modeste mais raide. Il me lime alors le fion, d’un rythme sûr, constant, et je râle à chaque passage… Quelques minutes de sodomie, j’aime assez ça j’avoue ! Mon petit trou ressent si bien ses passages et je l’enserre presque machinalement pour en profiter, c’est bon ! Et le bruit si caractéristique du gel, ce « spluitch » presque obscène, ajoute à la teneur décidément pornographique du moment.

Assez rapidement il se retire, je comprends qu’il arrive à son paroxysme et va jouir. Et éjaculer. Alors je déshabille popaul et le prend en bouche. Il est bon. Il m’envoie trois petits jets de sperme, et râle en se vidant. « Oh oui tu es bonne Marie oh oui ! ». À ma surprise il m’embrasse sur la bouche, juste après que j’aie avalé. Puis il se rhabille et me fait un petit signe de la main. Je l’entends me dire « merci ». Il sort, et voilà Charles se pointer, un verre de jus de fruits à la main, verre qu’il me propose « Tu veux peut-être quelques minutes ? » Je confirme. Je me lève, me fait une toilette de chat, bois le jus de fruits. J’éviterai après, le mélange des goûts n’est pas des plus heureux. Puis je souffle 5 minutes, avant d’appeler Charles.