Happy day 2 - histoire érotique

Et Charles arrive, tout sourire, en me disant « Eh bien tu as bien démarré ! ». Quel pervers, il a écouté ! Quelle perverse je suis, sa remarque me fait immédiatement sourire, et je ne puis m’empêcher de féliciter la dextérité et la technicité de ce premier partenaire sexuel. Je passe les détails moins positifs, ce n’est pas le lieu ni le moment. J’envoie un petit SMS à Damien, pour lui donner le bon timing, alors que Charles se dévêtit avec hâte et gourmandise. Lui, on a déjà couché ensemble, ça sera moins une surprise. Sa bite est moyenne, il sait raisonnablement bien s’en servir, il a une préférence pour la levrette, mais si je le monte en amazone je sais qu’il aime bien être stimulé à l’endroit que d’aucuns utiliseraient pour argumenter qu’il est un peu bi-curieux. Il faudra que je creuse le sujet à l’occasion d’ailleurs. Bref, il est moyennement sexualisé, c’est cool.

Je le vois nu, il me voit nue, et je vois sa bite se tendre a vue d’œil. Je l’aide comme je sais le faire, j’embrasse le bout pendant quelques secondes, je lèche le gland doucement, avec application, quelques dizaines de secondes avec son approbation marmonnée, je suçotte doucement le gland une pleine minute, léchant le dessous, ce qui lui fait sortir un premier râle rauque que j’aime tant entendre, et là, sa bite est bien bandée, je prend plaisir à l’enfourner doucement jusqu’à mi-longueur, avant de faire une pause. Il me sort un « Mmmmmh... ». Il sait ce qui va lui arriver, je n’aime pas les relations prise de tête sauf cette prise de tête-là : il met ses mains juste derrière ma tête pour accompagner le prochain mouvement, alors que je l’enfourne d’abord de travers, pour qu’il sente ma bouche tout le long jusqu’à la base, une première fois. Puis une deuxième, léchant plus ardemment le dessous. Une troisième fois, et ma langue se range toute seule au plus bas dans ma bouche. Pour alors le prendre droit, ma gorge préparée à accepter sa longueur. Et alors, le connaissant, c’est quand son gland pousse juste ma glotte qu’il est tout entier en moi. Je reste quelques secondes, puis me retire, puis il m’accompagne à effectuer quelques va-et-viens lents, doux, profonds, me laissant reprendre ma respiration entre chacun. Il commente par un « Comme j’aime ma bonne serial suceuse ! ». Curieusement je ne peux pas sourire !
Quand je retire sa bite de ma bouche, pour le regarder dans les yeux, je lui souris. Il est tout sourire aussi. On va commencer par un missionnaire, parce qu’il aime que ce soit moi qui lui enfile la capote. Je déchire le paquet, déroule le préservatif doucement, de mes deux mains, en utilisant occasionnellement ma bouche, et je m’allonge, jambes grandes ouvertes et il ne se fait pas prier. Deux petits coups de langue par principe, puis il remonte, et hop ! C’est pari pour ses va-et-viens généreux et sans fioriture. Benoît en avait une plus petite mais sa technique faisait plus que compenser, me dis-je. Qu’à cela ne tienne, je prends mon pied. Façon de parler, parce que jambes tendues et écartées, et un amant entre les cuisses, ça ne risque pas d’être pris au sens propre ! Je frissonne doucement, respire un peu plus bruyamment. Charles est très silencieux en coït, c’est presque dommage, j’aime tant un homme qui râle, qui gémit, qui soupire… Lui c’est très discret, c’est du reste le seul que j’aie eu autrefois le courage d’inviter à me baiser quand j’habitais encore chez mes parents, c’est le bon côté des choses… Bon, je décide de corser un peu les choses, j’avais nettoyé mon plug pour lui, je lui glisse un doigt, préparé bien sûr, puis lui montre ledit plug. Il ouvre de grands yeux et me fait un « Oh oui ! » dont je n’étais pas sûre : forte de son approbation je lui place délicatement et l’entre, avec un peu d’efforts. Il aime : il râle ! J’adore !

Le voilà dont à poursuivre en missionnaire, un plug dans son cul, et je l’entends beaucoup plus d’un coup ! Ça m’excite… Alors je lui sussure « Doggy ? » Il se retire immédiatement, je me mets à quatre pattes et nous y voilà ! « C’est ma première levrette avec un plug ! » me dit-il. Et il me baise comme ça, de bonnes minutes. Il va, il vient, doucement d’abord, en sortant complètement de mon vagin pour me pénétrer à nouveau, poussant aussi loin qu’il peut, puis se retire encore, en soufflant à chaque poussée, en poussant un petit cri d’homme forniquant, à l’occasion. C’est la première fois que je l’entends autant, j’en mouille ! Il force doucement le rythme, accélère, mais ne ressort plus : sa trajectoire devient plus simple, mais elle stimule alors mieux le clito, et j’aime ça ! À l’occasion je le sens effleurer mon point G, ce qui m’occasionne un frisson spécial, et un gémissement « Anh » qui ornent notre ambiance sonore distinctement sexuelle. Il me ramone ainsi et je le reçois avec plaisir, envie… Il gémit, je gémis, il pousse et se retire, je me délecte à apprécier ses allées et venues, le vide quand il part, le remplissage quand il revient, ses passages qui poussent et parfois frôlent mon poing G, je luis fait savoir mon approbation par des « Oui ! Oui ! Oui ! », à laquelle il répond par le très original « Oui ! Oui ! Oui ! ». Une baise positive !

Fortement excité par le plug, il ne tien plus, et se retire, me faisant cette petite tape à la fesse droite qui me dit « Je vais éjaculer ». On se connaît bien ! Il se pousse un peu, je me retourne,lui déshabille le sexe et le finis à la bouche. Il jouit dedans, je l’avale, il sourit. Il retire le plug et, haletant, me demande qu’en faire, je lui demande de le nettoyer. Il le pose, se rhabille, et file à ma salle de bain pour procéder. Après cela il revient me voir, me caresse sur la joue comme il fait à chaque fois que je l’ai avalé, me prend dans ses bras et me félicite par un « Et de deux ! » en souriant. Je souris aussi. Damien va arriver, je suis sûre qu’il se rappelle la fois où ils m’ont partagée, ensemble, quand j’alternais, un en bouche, l’autre en mon con. Pour en être sûre je lui précise « Le prochain c’est Damien ». Il sourit. Moi, je déguste ma deuxième éjaculation, et c’est bon ! Il sort, et voit Damien au salon, à qui il dit « C’est à ton tour, Damien ». Pendant que Damien entre, je passe par ma salle de bains, me rafraichit un peu, récupère me plug que je désinfecte, et c’est plug en main que Damien me saisit à la taille, me sussurant « C’est une idée, ça... »