Happy day 3 - histoire érotique

Damien se saisit du plug de ma main, doucement, avec la délicatesse que je lui connais, et le pose sur le bord. On se connaît bien, on a couché la semaine dernière. Damien est un coureur, un gars à succès, sans ambiguïté : il a toujours été clair avec toutes ses conquêtes. Mais il est beau gosse, avec un petit côté un peu bad boy, et a bonne réputation auprès de ces dames. Réputation à laquelle je ne suis pas totalement étrangère, il a comblé les nuits trop solitaires de plusieurs de mes amies. En quelque sorte elles sont devenues mes co-pines ;-)

Comment je définirais Damien au pieu ? Attentif, aventureux, gourmand et un peu cochon. C’est aussi le mec capable de vous tirer une heure après un coït précédent. Il gère bien sa forme sexuelle. Même si vous le poussez un petit peu dans l’impro. Sa bite est de longueur moyenne, plutôt épaisse. Et très dessinée. Les veines se voient bien, je la trouve jolie. Il a un joli petit cul, auquel j’aime me frotter, il aime quand je glisse mes mains le long de ses fesses nues. Et il apprécie une certaine réciprocité dans les rapports. Une fois, on a fait une soirée où il a été mon Maître, moi sa soumise, il a su bien me faire jouir intensément, et, comble du dévouement, en gérant ma soirée d’une vista impressionnante. Il m’a fait coucher avec deux gars auxquels je n’aurais pas songé, pas forcément dans mes habitudes, et n’a pas profité du moment. La semaine suivante, je lui ai rendu la pareille, et j’avoue que je ne peux que l’admirer de n’avoir pas cédé à la tentation, j’ai eu du mal à en faire autant ! Deux histoires à raconter une autre fois ? Il aime les filles comme moi : moyennes, mais assez féminines, une préférence pour les cheveux châtains, roux ou blonds, mais ne s’interdit pas d’apprécier des filles hors de sa « zône de confort ». De même il m’a déjà emmenée vers des profils originaux. Concernant ses préférences, c’est lui aussi un team « levrette », même si l’amazone lui plait aussi beaucoup. Et il s’aventure parfois dans des poses plus acrobatiques.

Alors, que fera-t-il cet après-midi ?

Il m’enlace, je suis nue, il me caresse doucement les seins et glisse son autre main vers mon intimité, rasée de ce matin, qu’il détoure de ses doigts délicats et attentifs, comme à son habitude. Je lui souris, et il me caresse ainsi pendant de délicieuses secondes. Je l’embrasse, en tournant ma tête du côté où il a posé la sienne. J’ai profité du moment, puis me suis retournée, face à lui. Il s’est alors saisi de mon plug et l’ai commencé à déboutonner sa chemise. Une fois le haut retiré, il a défait le bouton de son jean et celui-ci est tombé, n’étant plus retenu. J’ai pu voir son slip très près du corps. Il m’a alors saisie, pour m’emmener au lit.

Il m’a déposée là, nue, et m’a regardée, de son sourire charmeur. Posant le plug sur ma table de nuit, il a alors descendu son slip, qu’il a posé à côté de ma petite culotte, le pliant avec soin. Ça contrastait avec mes dessous jetés là comme emportés par une tornade sexuelle ! Il a alors sorti son téléphone de la poche de son jean resté dans ma douche, et m’a demandé : « ça te dirait qu’on enregistre le son ? »… J’ai dit oui, sans hésiter !

Il s’est alors allongé près de moi et a poursuivi ses caresses, détourant mes lèvres, et pressant à peine pour doucement y introduire son majeur duquel il a caressé avec application l’entrée de mon sexe. J’ai assez vite mouillé, encore une fois. Et sentant mon intérieur se préparer, je l’ai vu bander. L’atmosphère devenait très excitante. Et là, il a décidé de ne surtout pas faire comme d’habitude : il a souri, rétracté son prépuce, ouvert un préservatif et m’a prise directement, dès qu’il s’est assuré que j’étais correctement lubrifiée ! En missionnaire, allant et venant avec envie et vigueur comme je le connais. J’ai immédiatement râlé et gémi. Et il a commencé à rythmer ses ruades de « Han ! » sonores, Charles va apprécier ! Excitée par l’idée que nous étions enregistrés, j’ai fait des « Oh oui ! » en réponse. On a continué ainsi plusieurs minutes, de « han » auxquels un « Oh oui » répondait, rythmés par le bruit du lit sur lequel on s’agite, c’était d’une sonorité perverse des plus agréables ! Toute personne se trouvant alors dans l’appartement ne pouvait pas ignorer ce que nous faisions. Et je m’interroge même sur le voisin. Une douceur perverse, proche de l’exhibition, me disais-je. Et Damien en a ajouté : « Han ! Tu la sens ? » « Oh oui c’est bon, j’aime ta bite en moi ! ». À ne pas laisser entre toutes les oreilles !

À un moment il s’est exclamé « Je veux te prendre en levrette ! ». Docilement, je me suis mise à quatre pattes, mais après une petite pause, le temps de déplacer ma table de nuit, sur laquelle son téléphone enregistrait, à la hauteur de mes hanches, des fois que. Et une fois à quatre pattes il s’est mis à ahaner de plus belle, et moi à acquiescer derechef. Ma mouille avait déjà bien lubrifié le préservatif, et les sons obscènes de la pénétration s’entendaient distinctement, j’espérais que le téléphone les ait enregistrés ! Il m’a prise ainsi pendant de délicieux moments, nos râles, cris et gémissements allant crescendo. Puis il a fait une brève pause, s’est saisi du lubrifiant et du plug sur la table de nuit, et l’a inséré, précautionneusement préparé (mon petit trou aussi) au préalable. Une fois le jouet en place il a repris la levrette, et ça a été intense : je sentais sa bite faire une petite pression sur le bas du plug, sans brutalité, une sensation divine ! J’ai laissé échapper un « Oh oui c’est bon ! » suivi d’un « Baise-moi ! » qui trahissaient mon excitation et mon envie de sexe pur et intense. Il a poursuivi ses coups de rein et à chaque poussée, je me concentrais sur ce plug qui alors me faisant tant de bien ! Et il me baisait, il me baisait, il poussait, sa bite rentrait, sortait, occasionnant des « splurtch » à chaque passage. Et j’en râlais, j’en geignais, je gémissais, il répondait, gémissait lui aussi. La chambre était remplie d’odeur et de bruits de fornication récréative intense. On prenait notre pied ! Mes cris ont commencé à monter en fréquence, les siens aussi, j’alternais le « Ouiiii ! » et le « c’est boooon ! ».

Il s’est alors retiré, m’a retournée, et a repris en missionnaire à nouveau. Pas pour longtemps. Quelques vas-et-viens, et il a alors ôté la capote, caressé son membre et dès le deuxième coup, je l’ai vu gicler. Sur mon ventre. J’ai pris mon pied en le voyant, puis ensuite mes doigts pour en prendre un peu et le porter à ma bouche. En souriant. Il a embrassé mon ventre, léchouillant un peu de sa semence.

Bon, je suis retournée à la douche où j’ai nettoyé mon ventre et retiré le plug. Il est sorti après m’avoir embrassée, s’être rhabillé, et, alors que je saisissais ma serviette, que j’utilisais déjà pour la troisième fois, Justin est entré. Fin, musclé, un peu plus grand que la moyenne, et très joliment noir. Il m’a dit un doux « Bonjour Marie. C’est mon tour ? ». Je lui ai souri.