Le défi
Récit érotique écrit par Beedoo2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-10-2023 dans la catégorie A dormir debout
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Le défi
Le défi… Comment suis-je arrivée là ?
« Je », c’est Claire, j’ai 21 ans. Je suis rousse, avec des taches de rousseur, 1m61, donc pas très grande. Et côté mensurations, pas de quoi non plus affoler les compteurs avec mon 90B. On dit de moi que j’ai un joli visage, mais mon corps, trop enveloppé à mon goût, ne me convient pas à 100 %. Ce qui ne m’empêche pas d’avoir une vie active. Très active, au début, jusqu’à ma rencontre avec un Anglais, Lawrence. Qui est devenu mon petit ami, et avec qui on en a fait des assez corsées je dois dire. Il était ouvert, j’étais ouverte...
Et en fait au point de départ, une peine de cœur. On casse avec mon boyfriend. Il part avec une autre, casanière, posée, plus à l’image de ce qu’il faut pour ses parents. Et me laisse en plan.
Boulot. Je parle de ma rupture. Et mes collègues me réconfortent. Et l’une d’elles m’invite à leur soirée, le lendemain après le boulot. Vendredi soir. J’accepte. La collègue en question a la réputation d’une fille aux idées larges, mais je crois que ça me convient en fait.
Le lendemain soir, on part boire un coup au bar habituel avant de filer chez la collègue, qui a préparé toute une soirée de jeux de plateaux, société et autres. On commence par papoter, bien sûr, et je m’aperçois que trois d’entre nous – la moitié des invitées – fait face à une rupture récente, dans la semaine… Mais Aline sait organiser les soirées qui boostent le moral, on lui fait confiance.
On petit règlement de la soirée, on signe toutes, et on démarre les jeux. Team « séparées » contre team « autres », dont fait partie Aline. Et les jeux s’enchaînent.
Curieusement, on se fait littéralement laminer… Pas compliqué de deviner que le plan était un peu préparé ! Et alors, conformément au règlement, un gage. Et Aline nous demande cash à nous trois si on préfère un gage « enfant » ou un gage « adulte »… Pas difficile de deviner la nuance subtile entre les deux.
Je choisis en première, par ordre alphabétique des prénoms. Delphine suivra. Enfin Sandrine. Alors, on se regarde, on discute, et d’une seule voix on répond ensemble « Adulte ». Non sans avoir conclu lors de notre entrevue qu’on a la certitude qu’il s’agit d’un défi explicite et probablement très osé. Mais l’alcool aidant (un peu) – et nos solitudes aussi (beaucoup).
Je prends l’enveloppe du milieu, Delphine la dernière enveloppe et Sandrine la 1ere. On attend que chacune ait choisi avant de l’ouvrir.
J’ouvre mon enveloppe. Delphine ouvre la sienne et me demande de lire la sienne avant moi. Son défi est le suivant : créer un profil Tinder et accepter le 1er date à moins de 10km de chez elle. Aline lui dit qu’elle sera là pour attester la primauté du date. Le date n’a pas besoin de conclure au lit, dit Aline, mais il faut se rendre au rendez-vous. Delphine est un peu rouge, mais je vois qu’elle est plus excitée que gênée en fait.
Sandrine fait « moi ensuite, s’il vous plait... ». Et son gage est du même acabit. Enfin presque. Elle devra se faire un profil sur un autre site, c’est tout. Un site explicite. Beaucoup plus explicite. Connaissant Sandrine, plus réservée, elle est beaucoup plus gênée. Là encore Aline lui laisse le garde-fou : rendez-vous dans un bar, et pas de suite si elle ne veut pas. Sandrine est soulagée, mais la nature du site ne la rassure pas. Elle aime être un peu bousculée cela dit.
Alors à mon tour… Je prends le gage et le lis.
« Aline te prépare un profil, te sélectionne un date, et un lieu de rendez-vous qu’il faudra assurer. Pas d’obligation d’aller au bout, mais il faudra lors du trajet avoir acheté une boite de préservatifs à une pharmacie de la liste ci-dessous, un lubrifiant, photo à l’appui, et ensuite se rendre au lieu du date. ». Je crois que j’ai hérité du plus chaud !
On repart.
Une semaine se passe, et je reçois la date. Mardi soir, 20h30. Et le lieu, un restaurant plutôt pas mal. Qui a la particularité d’avoir quelques chambres, j’allais l’apprendre par la suite. Et le prénom de mon date, Benoît. Magnanime, Aline m’informe de quelques détails sur lui.
Pas très grand, 1m72. Assez beau gars, mais pas svelte. Musclé mais pas que. Cheveux… Poivre et sel. Son âge : 51 ans...
L’âge de mon père !
J’écarquille les yeux, mais au pire j’y vais et je laisse tomber.
Lundi soir, je suis autant excitée qu’inquiète. Bon, Aline a pris les choses raisonnablement en main, mais l’inconnu… Jusque là je n’avais couché avec un gars connu depuis moins de 24 heures que… Bon, d’accord, 2 fois.
Mardi, je vais au boulot. Aline vient me propose un café et me rassure, si ça ne va pas elle peut toujours laisser tomber, et le gars en face n’est pas plus rassuré que moi, il a eu le même coup… Bref elle vient de m’avouer qu’elle a bien plus prémédité les choses que je ne croyais. Mais au fond ça me rassure. C’est pas quelqu’un de la boite, c’est pas un gars que je croise et recroiserai si jamais ça n’allait pas, tout va bien.
Elle me fait un petit signe le soir quand je pars du boulot. Je vais à la 1ere pharmacie de la liste, elle est ouverte. Et au comptoir… Un gars. Je prends ce qu’il me faut, le pose, règle sous son regard que je crois un peu inquisiteur (mais ça fait partie du jeu) et je sors.
Zut, la photo ! Eh bien un banc public, je pose les 2 articles et le ticket et hop. Envoyé à Aline, qui me gratifie d’un « 1ère étape validée ».
Je vais au resto, Benoît n’est pas encore là mais j’ai 10 minutes d’avance. Et derrière moi, j’entends une voix me demander « Ne seriez-vous pas Claire ? »
Je me retourne, un gars moyen, au charme certain, subtil, un regard qui me fait chavirer, des sourcils que ne ne peux que remarquer tant ils sont nature et fournis, des cheveux carrément gris. Un visage un peu rond, juste rassurant. Un corps fort, musclé, mais avec quelques arrondis. Un polo, une veste de lin et un pantalon qui l’habillent d’un ensemble classe mais décontracté. Et il me tend la main que je serre « Oui, c’est moi Claire ».
« Enchanté, Benoît. ». Il m’explique qu’une table est réservée pour nous. On prend la table et commande un jus de fruits. On commence à discuter, situation – son ex et le mien. Boulot ensuite. Le mec est PDG ! Puis la discussion se déride au fur et à mesure de l’excellent repas qui nous est servi et dont pourtant je ne retiens que le sashimi de St Jacques de l’entrée. Et le dessert. Un fraisier individuel chacun. On finit d’échanger.
Puis il me glisse « et là, c’est le moment du choix. Si on le souhaite tous les deux une chambre nous est réservée. Aline et Marc on tout prévu ».
« Aline ? Tu connais Aline ? »
Il m’explique que ma collègue et son collègue sont amis de longue date, ont été amants, et organisent quelques surprises. Mais que celle-ci est la première du genre dont il entend parler. « Peut-être étais-je écarté de ces surprises quand j’étais marié » dit-il.
Je sirote mon café pour réfléchir.
Il est excitant en fait. Je m’avoue que je le trouve sexy…
Alors, je dis « oui ». Je lui dis « oui, je veux qu’on monte dans la chambre et qu’on couche, qu’on s’envoie en l’air, qu’on baise, qu’on jouisse ! ». C’est évidemment à ce moment-là que le serveur a apporté l’addition, que Benoît a payée sans me laisser l’apercevoir. Et du coup j’étais devenue toute rouge…
On prend l’ascenseur et Benoît me dit, en plaisantant « si tu insistes on peut essayer de convaincre le serveur de se joindre ? » Je souris. Je ris, même. Et il me passe sa main sur la hanche, la mienne vient à son cou, et on s’embrasse.
Et là les choses s’enchaînent. Il me propose une douche commune, on se trouve dans la chambre, nus ensemble dans la douche dont on voit qu’elle n’est pas si large pour deux, et ses mains savonnées s’appliquent sur mon corps nu, mes seins, mes hanches, entre mes jambes, ma chatte, mon derrière, autant que les miennes sur ses hanches, ses épaules musclées, ses fesses, avec application, et surtout sa verge, que je lave avec une minutie un peu gourmande !
On s’essuie l’un l’autre, et on s’embrasse encore avant de se diriger vers le lit. Là je sors mes achats de la pharmacie. Je prend la boite de préservatifs, et il attrape le lubrifiant… Dont il met une bonne noisette sur son doigt, avant de m’écarter doucement les cuisses et de me glisser le doigt enduit autour puis dans ma chatte soigneusement rasée du matin.
Mon vagin glisse comme jamais il n’a glissé !
Il me prend dans ses bras, et de sa main gauche arrive à revêtir du préservatif avant de me laisser tomber de quelques centimètres.
Je sens que je m’empale mon sexe sur le sien, sans résistance. J’aime ça. Ça glisse si bien !
Je m’accroche à ses épaules fortes pour me relever et retomber, c’est si bon ! On fait quelques passages comme ça, mais il accuse un petit peu le coup.
Alors il m’allonge, m’écarte les jambes que je lui laisse placer, se met entre elles et entreprend de me mettre vigoureusement en missionnaire. Je commence à haleter. Il sourit en m’entendant. Et poursuit son coït avec vigueur. Ah, je n’avais pas dit un détail. Il en a une petite. Mais il sait y faire, ce n’est que maintenant que je réalise que je baise avec plaisir ce qui est peut-être le plus petit pénis qui m’a jamais pénétrée ! Toujours aidé par la glisse procurée par le lubrifiant autant que par ma mouille, son sexe va et vient en moi, il est aussi chaud que je ne le suis, on baise à l’unisson.
À un moment, je lui demande de se mettre sur le dos, et je m’emploie à le prendre en amazone. Me mettre au dessus de lui et me lever pour mieux me laisser tomber sur son petit sexe bien bandé, c’est sympa. Je halète en rythme. « Hein » est mon refrain. Je le chevauche avec envie, avec luxure, avec entrain, gourmande et excitée. Je prend mon pied à sentir à chaque montée mon vagin se vider, et ensuite sa pine me le remplir autant qu’elle peut. Je sens son petit kiki me baiser et j’aime ça !
Je mouille, je trempe, et je m’écoule de joie assez rapidement, à ma grande surprise. Je gémis, il me prend les seins à ce moment-là et les masse doucement. Il doit sentir mon jus s’écouler, mais lui continue. Je saute toujours sur sa pine avec gourmandise. Et je ferme les yeux, ivre de l’orgasme qui vient de passer.
Une fois ma respiration redevenue normale il me prend par les hanches et on se positionne pour qu’il me mette en levrette. Il me demande « aimes-tu la sodomie ? ». Je réponds « Seulement si tu mets un plug quand tu m’encules ». J’ai pris cette habitude… Il répond « OK ».
Je prends le plug de mon sac, le désinfecte, l’enduite de lubrifiant, et le présente où il lui faut. Il le pousse lui-même, me replace en missionnaire, et continue de m’honorer le vagin alors que ses doigts préparent le lubrifiant sur mon anus.
Puis il se retire, et j’attends quelques secondes. Et après cette brève attente je sens le bout de son sexe pousser mon petit trou. Il rentre sans difficulté majeure. Je me fais enculer et j’aime ça.
Je me trouve donc enculée pendant de bonnes minutes par un gars que je ne connaissais pas il y a 3 heures, et qui à ma demande porte un plug anal. Quand je pense à ça, ça m’excite… Et quand j’entends son « Oh oui oh oui », lui que je n’avais pas entendu faire autre chose que respirer ou me demander de m’enculer du coït, je me sens formidablement bien !
Je me retire alors quelques secondes plus tard, lui ôte le latex, et décide de le finir en bouche. J’avale.
Alors, il m’embrasse, avant que j’ai pu tout déglutir.
On s’est ensuite allongés l’un contre l’autre avec tendresse, et pour reprendre doucement nos esprits. Je crois que nous avons somnolé un peu. Et au bout de probablement une petite demi-heure, j’ai doucement tourné la tête. Il me regardait, et m’a susurré « On s’en refait un coup ? » Aussitôt dit, aussitôt fait, il a remis une capote et m’a prise en cuiller. Je n’avais jamais fait ! Chacun pouvait participer à la technique, cet aspect m’a plu. Des va et viens ponctués de halètements communs, sa main qui m’a caressé la hanche puis le sein, sa bite qui glissait en moi, mon anus qui était encore moite du lubrifiant, et ma main qui vient accompagner la sienne sur mon sein gauche, voilà la position dans laquelle on a pris un pied intense.
Il a joui dans cette position, au bout d’une vingtaine de minutes de caresses, pénétrations, mordillage d’oreille et même à un moment une petite fessée sur ma fesse gauche.
« Je », c’est Claire, j’ai 21 ans. Je suis rousse, avec des taches de rousseur, 1m61, donc pas très grande. Et côté mensurations, pas de quoi non plus affoler les compteurs avec mon 90B. On dit de moi que j’ai un joli visage, mais mon corps, trop enveloppé à mon goût, ne me convient pas à 100 %. Ce qui ne m’empêche pas d’avoir une vie active. Très active, au début, jusqu’à ma rencontre avec un Anglais, Lawrence. Qui est devenu mon petit ami, et avec qui on en a fait des assez corsées je dois dire. Il était ouvert, j’étais ouverte...
Et en fait au point de départ, une peine de cœur. On casse avec mon boyfriend. Il part avec une autre, casanière, posée, plus à l’image de ce qu’il faut pour ses parents. Et me laisse en plan.
Boulot. Je parle de ma rupture. Et mes collègues me réconfortent. Et l’une d’elles m’invite à leur soirée, le lendemain après le boulot. Vendredi soir. J’accepte. La collègue en question a la réputation d’une fille aux idées larges, mais je crois que ça me convient en fait.
Le lendemain soir, on part boire un coup au bar habituel avant de filer chez la collègue, qui a préparé toute une soirée de jeux de plateaux, société et autres. On commence par papoter, bien sûr, et je m’aperçois que trois d’entre nous – la moitié des invitées – fait face à une rupture récente, dans la semaine… Mais Aline sait organiser les soirées qui boostent le moral, on lui fait confiance.
On petit règlement de la soirée, on signe toutes, et on démarre les jeux. Team « séparées » contre team « autres », dont fait partie Aline. Et les jeux s’enchaînent.
Curieusement, on se fait littéralement laminer… Pas compliqué de deviner que le plan était un peu préparé ! Et alors, conformément au règlement, un gage. Et Aline nous demande cash à nous trois si on préfère un gage « enfant » ou un gage « adulte »… Pas difficile de deviner la nuance subtile entre les deux.
Je choisis en première, par ordre alphabétique des prénoms. Delphine suivra. Enfin Sandrine. Alors, on se regarde, on discute, et d’une seule voix on répond ensemble « Adulte ». Non sans avoir conclu lors de notre entrevue qu’on a la certitude qu’il s’agit d’un défi explicite et probablement très osé. Mais l’alcool aidant (un peu) – et nos solitudes aussi (beaucoup).
Je prends l’enveloppe du milieu, Delphine la dernière enveloppe et Sandrine la 1ere. On attend que chacune ait choisi avant de l’ouvrir.
J’ouvre mon enveloppe. Delphine ouvre la sienne et me demande de lire la sienne avant moi. Son défi est le suivant : créer un profil Tinder et accepter le 1er date à moins de 10km de chez elle. Aline lui dit qu’elle sera là pour attester la primauté du date. Le date n’a pas besoin de conclure au lit, dit Aline, mais il faut se rendre au rendez-vous. Delphine est un peu rouge, mais je vois qu’elle est plus excitée que gênée en fait.
Sandrine fait « moi ensuite, s’il vous plait... ». Et son gage est du même acabit. Enfin presque. Elle devra se faire un profil sur un autre site, c’est tout. Un site explicite. Beaucoup plus explicite. Connaissant Sandrine, plus réservée, elle est beaucoup plus gênée. Là encore Aline lui laisse le garde-fou : rendez-vous dans un bar, et pas de suite si elle ne veut pas. Sandrine est soulagée, mais la nature du site ne la rassure pas. Elle aime être un peu bousculée cela dit.
Alors à mon tour… Je prends le gage et le lis.
« Aline te prépare un profil, te sélectionne un date, et un lieu de rendez-vous qu’il faudra assurer. Pas d’obligation d’aller au bout, mais il faudra lors du trajet avoir acheté une boite de préservatifs à une pharmacie de la liste ci-dessous, un lubrifiant, photo à l’appui, et ensuite se rendre au lieu du date. ». Je crois que j’ai hérité du plus chaud !
On repart.
Une semaine se passe, et je reçois la date. Mardi soir, 20h30. Et le lieu, un restaurant plutôt pas mal. Qui a la particularité d’avoir quelques chambres, j’allais l’apprendre par la suite. Et le prénom de mon date, Benoît. Magnanime, Aline m’informe de quelques détails sur lui.
Pas très grand, 1m72. Assez beau gars, mais pas svelte. Musclé mais pas que. Cheveux… Poivre et sel. Son âge : 51 ans...
L’âge de mon père !
J’écarquille les yeux, mais au pire j’y vais et je laisse tomber.
Lundi soir, je suis autant excitée qu’inquiète. Bon, Aline a pris les choses raisonnablement en main, mais l’inconnu… Jusque là je n’avais couché avec un gars connu depuis moins de 24 heures que… Bon, d’accord, 2 fois.
Mardi, je vais au boulot. Aline vient me propose un café et me rassure, si ça ne va pas elle peut toujours laisser tomber, et le gars en face n’est pas plus rassuré que moi, il a eu le même coup… Bref elle vient de m’avouer qu’elle a bien plus prémédité les choses que je ne croyais. Mais au fond ça me rassure. C’est pas quelqu’un de la boite, c’est pas un gars que je croise et recroiserai si jamais ça n’allait pas, tout va bien.
Elle me fait un petit signe le soir quand je pars du boulot. Je vais à la 1ere pharmacie de la liste, elle est ouverte. Et au comptoir… Un gars. Je prends ce qu’il me faut, le pose, règle sous son regard que je crois un peu inquisiteur (mais ça fait partie du jeu) et je sors.
Zut, la photo ! Eh bien un banc public, je pose les 2 articles et le ticket et hop. Envoyé à Aline, qui me gratifie d’un « 1ère étape validée ».
Je vais au resto, Benoît n’est pas encore là mais j’ai 10 minutes d’avance. Et derrière moi, j’entends une voix me demander « Ne seriez-vous pas Claire ? »
Je me retourne, un gars moyen, au charme certain, subtil, un regard qui me fait chavirer, des sourcils que ne ne peux que remarquer tant ils sont nature et fournis, des cheveux carrément gris. Un visage un peu rond, juste rassurant. Un corps fort, musclé, mais avec quelques arrondis. Un polo, une veste de lin et un pantalon qui l’habillent d’un ensemble classe mais décontracté. Et il me tend la main que je serre « Oui, c’est moi Claire ».
« Enchanté, Benoît. ». Il m’explique qu’une table est réservée pour nous. On prend la table et commande un jus de fruits. On commence à discuter, situation – son ex et le mien. Boulot ensuite. Le mec est PDG ! Puis la discussion se déride au fur et à mesure de l’excellent repas qui nous est servi et dont pourtant je ne retiens que le sashimi de St Jacques de l’entrée. Et le dessert. Un fraisier individuel chacun. On finit d’échanger.
Puis il me glisse « et là, c’est le moment du choix. Si on le souhaite tous les deux une chambre nous est réservée. Aline et Marc on tout prévu ».
« Aline ? Tu connais Aline ? »
Il m’explique que ma collègue et son collègue sont amis de longue date, ont été amants, et organisent quelques surprises. Mais que celle-ci est la première du genre dont il entend parler. « Peut-être étais-je écarté de ces surprises quand j’étais marié » dit-il.
Je sirote mon café pour réfléchir.
Il est excitant en fait. Je m’avoue que je le trouve sexy…
Alors, je dis « oui ». Je lui dis « oui, je veux qu’on monte dans la chambre et qu’on couche, qu’on s’envoie en l’air, qu’on baise, qu’on jouisse ! ». C’est évidemment à ce moment-là que le serveur a apporté l’addition, que Benoît a payée sans me laisser l’apercevoir. Et du coup j’étais devenue toute rouge…
On prend l’ascenseur et Benoît me dit, en plaisantant « si tu insistes on peut essayer de convaincre le serveur de se joindre ? » Je souris. Je ris, même. Et il me passe sa main sur la hanche, la mienne vient à son cou, et on s’embrasse.
Et là les choses s’enchaînent. Il me propose une douche commune, on se trouve dans la chambre, nus ensemble dans la douche dont on voit qu’elle n’est pas si large pour deux, et ses mains savonnées s’appliquent sur mon corps nu, mes seins, mes hanches, entre mes jambes, ma chatte, mon derrière, autant que les miennes sur ses hanches, ses épaules musclées, ses fesses, avec application, et surtout sa verge, que je lave avec une minutie un peu gourmande !
On s’essuie l’un l’autre, et on s’embrasse encore avant de se diriger vers le lit. Là je sors mes achats de la pharmacie. Je prend la boite de préservatifs, et il attrape le lubrifiant… Dont il met une bonne noisette sur son doigt, avant de m’écarter doucement les cuisses et de me glisser le doigt enduit autour puis dans ma chatte soigneusement rasée du matin.
Mon vagin glisse comme jamais il n’a glissé !
Il me prend dans ses bras, et de sa main gauche arrive à revêtir du préservatif avant de me laisser tomber de quelques centimètres.
Je sens que je m’empale mon sexe sur le sien, sans résistance. J’aime ça. Ça glisse si bien !
Je m’accroche à ses épaules fortes pour me relever et retomber, c’est si bon ! On fait quelques passages comme ça, mais il accuse un petit peu le coup.
Alors il m’allonge, m’écarte les jambes que je lui laisse placer, se met entre elles et entreprend de me mettre vigoureusement en missionnaire. Je commence à haleter. Il sourit en m’entendant. Et poursuit son coït avec vigueur. Ah, je n’avais pas dit un détail. Il en a une petite. Mais il sait y faire, ce n’est que maintenant que je réalise que je baise avec plaisir ce qui est peut-être le plus petit pénis qui m’a jamais pénétrée ! Toujours aidé par la glisse procurée par le lubrifiant autant que par ma mouille, son sexe va et vient en moi, il est aussi chaud que je ne le suis, on baise à l’unisson.
À un moment, je lui demande de se mettre sur le dos, et je m’emploie à le prendre en amazone. Me mettre au dessus de lui et me lever pour mieux me laisser tomber sur son petit sexe bien bandé, c’est sympa. Je halète en rythme. « Hein » est mon refrain. Je le chevauche avec envie, avec luxure, avec entrain, gourmande et excitée. Je prend mon pied à sentir à chaque montée mon vagin se vider, et ensuite sa pine me le remplir autant qu’elle peut. Je sens son petit kiki me baiser et j’aime ça !
Je mouille, je trempe, et je m’écoule de joie assez rapidement, à ma grande surprise. Je gémis, il me prend les seins à ce moment-là et les masse doucement. Il doit sentir mon jus s’écouler, mais lui continue. Je saute toujours sur sa pine avec gourmandise. Et je ferme les yeux, ivre de l’orgasme qui vient de passer.
Une fois ma respiration redevenue normale il me prend par les hanches et on se positionne pour qu’il me mette en levrette. Il me demande « aimes-tu la sodomie ? ». Je réponds « Seulement si tu mets un plug quand tu m’encules ». J’ai pris cette habitude… Il répond « OK ».
Je prends le plug de mon sac, le désinfecte, l’enduite de lubrifiant, et le présente où il lui faut. Il le pousse lui-même, me replace en missionnaire, et continue de m’honorer le vagin alors que ses doigts préparent le lubrifiant sur mon anus.
Puis il se retire, et j’attends quelques secondes. Et après cette brève attente je sens le bout de son sexe pousser mon petit trou. Il rentre sans difficulté majeure. Je me fais enculer et j’aime ça.
Je me trouve donc enculée pendant de bonnes minutes par un gars que je ne connaissais pas il y a 3 heures, et qui à ma demande porte un plug anal. Quand je pense à ça, ça m’excite… Et quand j’entends son « Oh oui oh oui », lui que je n’avais pas entendu faire autre chose que respirer ou me demander de m’enculer du coït, je me sens formidablement bien !
Je me retire alors quelques secondes plus tard, lui ôte le latex, et décide de le finir en bouche. J’avale.
Alors, il m’embrasse, avant que j’ai pu tout déglutir.
On s’est ensuite allongés l’un contre l’autre avec tendresse, et pour reprendre doucement nos esprits. Je crois que nous avons somnolé un peu. Et au bout de probablement une petite demi-heure, j’ai doucement tourné la tête. Il me regardait, et m’a susurré « On s’en refait un coup ? » Aussitôt dit, aussitôt fait, il a remis une capote et m’a prise en cuiller. Je n’avais jamais fait ! Chacun pouvait participer à la technique, cet aspect m’a plu. Des va et viens ponctués de halètements communs, sa main qui m’a caressé la hanche puis le sein, sa bite qui glissait en moi, mon anus qui était encore moite du lubrifiant, et ma main qui vient accompagner la sienne sur mon sein gauche, voilà la position dans laquelle on a pris un pied intense.
Il a joui dans cette position, au bout d’une vingtaine de minutes de caresses, pénétrations, mordillage d’oreille et même à un moment une petite fessée sur ma fesse gauche.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très beau récit.
Je t’encourage à nous en offrir d’autres !
Cela m’as excité du début à la fin…
Hâte d’avoir de tes nouvelles 😘
Je t’encourage à nous en offrir d’autres !
Cela m’as excité du début à la fin…
Hâte d’avoir de tes nouvelles 😘