Eddy À Équipé Ep01 - histoire érotique

À Équipé Ep01


Il avait sonné à la porte en tremblant. On ne s'était jamais vu. C'est sur un ton visiblement intimidé qu'il se présentait.

– Vous … Vous êtes bien Charly ?

Je confirmais en hochant la tête.

– C'est Simon Macsouelle qui m'envoie. Il m'a dit de vous donner ceci.

Il me tendait une enveloppe en papier kraft épais pour qu'on ne puisse pas détecter son contenu.

– C'est pas de l’anthrax ? Lui demandais-je en ouvrant l'enveloppe.
– Heu ! Non ? Je sais pas ? Répondait-il un peu embêté.

J'avais voulu faire une note d'humour, c'était loupé ! À l'intérieur je trouvais un courrier qui m'était destiné, imprimé sur une feuille à dessin épais, il y avait aussi une clé. C'était la clé de mon dispositif de chasteté. Elle était enveloppé dans un étui très fin en plastique pour s'assurer que je ne l'utiliserais pas.

La clé n'avait pour seule fonction que d'identifier le porteur. Je savais, j'avais le preuve entre mes mains que c'était bien Simon qui m'envoyait ce garçon.

Je le faisais entrer. Tout en lisant la petite lettre.

Simon avait juste marqué …

' Je t'envoie un ami, il est mignon, il est docile, il est soumis, je te le confie pour le week-end.
Il est à équiper …
Affectueusement, Simon . Et pan dans ton cul ! '

Ne vous formalisez pas sur la fin de son courrier, il est comme mon pote Simon.

Simon n'est pas mon maître, ça, je n'en ai pas ! Sinon, oui, je pense que ce serait lui. C'est lui qui garde mes clés, et en plus, je vous le dit mais vous ne le répétez pas … Il peut m'enculer quand il en a envie, avec des copains s'il le désire … Je ne suis pas son esclave mais seulement … Son vide couilles.

Il faut dire au passage qu'il a aussi le droit de m'envoyer des potes à lui pour qu'ils puissent se vider les couilles. Il leur donne alors une clé pour que je puisse les identifier, une clé comme celle qu'il y avait dans l'enveloppe.

Bon et bien, j'aime me faire défoncer le cul ! Et voilà ! On a trouver ce truc quoi ! Et puis on fait ce qu'on veut ! Non mais c'est vrai quoi ! Excusez moi mais j'ai eu comme l'impression d'une critique …

Bref !

Le petit gars se présentait il s'appelait Eddy, il était plus petit que moi, il avait l'air tout mignon, il me souriait Moi je le convoitais déjà. Bein oui je suis comme ça.

Il me suivait dans le salon, je m'asseyais sur le fauteuil et regardait le petit Eddy. Il avait une silhouette fine et élégante. Il portait des vêtements bien ajustés qui le mettaient en valeur. Petit mais sexy.

Il ne bougeait pas, il avait l'air intimidé, je lui faisais signe de s'approcher. Il venait jusqu'à moi, je l'arrêtais de la main en touchant son sexe. Il était docile en effet.

J'ouvrais alors son pantalon, son ceinturon, puis braguette, il ne bronchait pas. Puis je baissait son pantalon. C'est une belle petite bite qui se redressait fièrement. Sans être un géant, ce n'était pas un nain. Seize centimètres pas plus, c'était très mignon tout ça, il était circoncis, ça aide et en plus moi j'aime bien.

Il avait retiré tout les poils sur son sexe, juste sur son sexe, en respectant une petite distance de presque un centimètre autour de son sexe. Pour tout le reste la touffe de poil était intacte.

– C'est vieux ? Lui demandais-je.
– J'épile régulièrement depuis plus d'un an maintenant.

Je regardais en appréciant le spectacle. Puis sans prévenir je prenais sa queue dans la bouche. Simon en a une énorme et je ne peut pas, personne ne peut d'ailleurs, la prendre dans la bouche.

Là ça me faisait tout drôle, elle entrait totalement dans ma bouche, son gland dans ma gorge, il gémissait puis se contractait.

– On a le droit ? Demandait-il.
– Ici c'est moi qui commande, donc si je dis '' On a le droit ! '' c'est qu'on a le droit.
– Simon m'a dit de ne pas jouir !
– Simon n'est pas là. En son absence c'est moi qui commande.

Je continuais à le sucer. Avec sa bite dans la bouche je m'amusais à passer ma langue autour de son gland. Il réagissait bien il sursautait, il tremblait, il gémissait de plaisir. Je prenais bien mon temps, beaucoup de douceur pour bien faire durer le plaisir avant de relever la tête.

– C'était quand la dernière fois que tu as joui ?
– Il y a deux semaines mais …
– Mais ?
– C'est pour ça que Simon veut que je sois 'équipé' il a dit.
– Deux semaines sans dispositif, tu réussis à te retenir pendant deux semaines ?
– Oui ! Enfin non, ça fait deux jours …

Je pouffais de rire et reprenais sa queue dans ma bouche. De nouveau je lui suçais la queue avec délectation. Finalement vous savez, c'est pas désagréable une petite bite, enfin un bite normale. Là au moins on peut la prendre dans bouche en entier, on là sent glisser dans la gorge sans effort.

Enfin c'est peut être aussi parce que je suis habitué à bien plus gros que je dis ça.

J'avançais mon visage vers lui et sa queue pénétrait jusque dans ma gorge, je reculais mon visage et elle ressortait complètement. Je le masturbais quelques secondes, juste quelques mouvements de la main. Puis je reprenais.

Il tremblait, et je sentais le plaisir monter en lui.

J'arrêtais tout, je ne le touchais même plus.

Il restait là devant moi, le pantalon sur les genoux.

– A poil ! Lui ordonnais-je.

Il s'exécutait sans aucune hésitation. C'est vrai qu'on était devenu intime depuis peu de temps.

Son corps était mince et musclé, pas de ces muscles difformes, il avait une musculature mince et harmonieuse. Je lui demandait de tourner sur lui même, et je l'admirais. De profil il y avait cette très belle petite queue qui se relevait et je ne me retenais pas de lui tripoter les couilles.

– Tu es sûr ? Lui demandais-je.
– Oui, oui … Et Simon m'a dit que c'était mieux pour moi.
– Si tu arrives à ne te masturber qu'une fois en deux semaines …
– En fait c'est tous les jours ! Annonçait-il sur un ton navré !

Je le regardais avec un regard neutre et un sourire neutre aussi.

– Vous vas le répéter à Simon ?
– Vous vas ?
– Oui enfin, vous, tu, je ne sais plus.
– Dis moi tu !
– Tu vas le répéter à Simon.
– Un fois en deux semaines je pouvais le lui cacher, mais tous les jours, j'ai bien peur de ne pas pouvoir.
– Ah ! Et …
– A mon avis il en tiendra compte pour déterminer la durée ou tu resteras sous clé.

Là il ne répondait pas. De nouveau je prenais sa queue dans ma bouche et je me régalais. Je me laissais aller. C'est avec plus de force, avec plus de conviction que je le suçais. Il gémissait.

– Tu vas finir par me faire jouir ! Me disait-il sur un ton suppliant.

Je ne pouvais pas deviner si ce ton voulait dire ' Oui vas y je vais jouir ! ' ou s'il voulait dire ' Non je t'en pris il ne faut pas !'. je choisissait de ne pas en tenir compte.

Ma langue s'écrasait avec toute sa force contre l'ouverture qu'il a juste au bout. Je tentais un entrée en force, bien sûr ça ne rentre pas ou à peine, mais je vous jure qu'il réagissait. Il gémissait plus fort, il tremblait plus également et sa respiration accélérait.

Il laissait échapper quelques coups de bassin, puis tentait de formuler des excuses, il ne parvenait pas, même pas à les exprimer intelligemment. Je continuais.

Je lui saisissais les cuisses, tout en haut presque au niveau des ses fesses et le serrais très fort en le tirant vers moi. J'écrasais mon nez contre son ventre et avec un doigt j'appuyais contre son anus, comme si je voulais y rentrer un doigt en for ce a sec. Je ne glissais pas mon doigt dans son cul mais c'est à ce moment qu'il à râlé de plaisir.

Il éjaculais dans ma bouche, je refermais mes lèvres autour de sa queue et je suçais. Je suçais encore et encore et j'avalais. Il continuais à gémir, il était pris de gestes incohérent, il n'osait pas me repousser et voulait se dégager.

Pour lui j'étais un Maître et lui, un soumis.

Je sentais sa queue qui retrouvait une taille normale. Elle ressortait de ma bouche, je relevais la tête. Il avait l'air retourné le pauvre.

Enfin quand je dis le pauvre, je venais de le faire jouir, il n'avait aucune raison de se plaindre.

A suivre


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