Éléa, bibliothécaire... espiègle (5ème partie) - histoire érotique

Les deux nouveaux amants ont eu l'un pour l'autre ce que l'on appelle un coup de foudre. Quand on a le béguin pour quelqu'un, on ressent toutes sortes de choses quand cette personne est dans les parages.



Éléa a beaucoup aimé la langue de son fantasme numéro un. Il sait y faire, lui, lorsqu'il lèche une femme. Ça a été... bon. Mais qu'est-ce que ça a été... bon. Éléa continue de sourire lorsqu'elle pense et repense aux ébats qui ont eu lieu ce soir. Au plus profond d'elle, elle se sent un peu idiote. Ça n'a pas la moindre importance, ça. Et puis... Elle a plus que le droit de sourire si elle en a envie, étant donné qu'elle est heureuse. Oui. Le reste n'a pas d'importance. La jeune et jolie bibliothécaire a passé un moment des plus coquins avec son bel usager. Elle qui sait qu'il est marié... Elle s'était résignée à ce que rien ne se passe entre eux. Le destin peut en décider tout autrement. C'est précisément ce qu'il s'est passé. Les souvenirs de la soirée qui vient de se produire sont tout frais dans la mémoire d'Éléa. Tranquillement allongée sur le dos, confortablement installée dans son lit, la jeune femme décide de battre le fer tant qu'il est chaud. Éléa... est chaude, ce soir.





Elle savait ce qu'elle voulait, la jeune et jolie bibliothécaire. Et elle ne faisait rien pour mettre son plaisir en silencieux.

Les cheveux de Lucas sont doux. Il a les cheveux châtains coupés courts, coiffés en dégradé américain. Ajoutez à ça me sourire Colgate qu'il a aux lèvres et son corps athlétique... Il a tout pour lui. Et il a tout pour plaire.





Plus Éléa avait du plaisir, moins les mouvements de son corps étaient contrôlés. Il faut la comprendre, Éléa. Quand un homme est à l'écoute de sa partenaire, quand il s'y prend comme il faut pour lui procurer du plaisir, les conditions sont réunies pour que cette femme prenne son pied. Dieu sait comme elle l'a pris ce soir, son pied, Éléa. Jamais elle elle ne s'est sentie aussi à l'aise avec un homme. Et jamais elle ne s'est sentie à ce point dévergondée. À compter d'aujourd'hui, il ne la verra plus de la même manière, son bel usager.

Éléa a chaud, dans sa chambre. Éléa sent qu'elle sue. Ça se voit que nous sommes entrés dans les beaux jours de l'année. C'est le printemps. Penser à ce qu'il s'est passé ce soir avec le bel usager de la bibliothèque n'aide en rien Éléa à gagner ne serait-ce qu'un petit peu de fraîcheur. Elle est chaude comme la braise, la bibliothécaire. Ce n'est pas pour lui déplaire, ce sentiment, cet état d'esprit. Ça lui plaît. Éléa se plaît bien à repenser à tout ce qu'elle a fait, ce soir. Elle a le feu au cul. Oui. Ça lui plaît bien, ce qu'il s'est passé, ce qu'elle ressent. Elle se concentre encore un peu plus. Elle veut que chaque détail se rappelle à son souvenir. C'est unique, ce qu'elle vient de vivre. C'est et ça restera mémorable. Il le faut. Et là, c'est comme si elle était en train de regarder un film porno.





Éléa est chaude comme la braise, décidément, ce soir. Le film qui se passe dans sa tête est... excitant. C'est sûr, cette fois. Cet état d'esprit lui plaît. Depuis quelques jours, la jeune femme se sent... différente. C'est depuis qu'elle a rencontré Lucas, en fait.

Le feu du sexe ne cesse de s'embraser dans les entrailles d'Éléa. C'est un brasier qui n'a de cesse de se consumer. Mais c'est une sensation qui n'est pas pour lui déplaire. Mieux! C'est une sensation étrange qu'elle ressent au plus profond d'elle mais qui est agréable et qui lui procure bien des frissons...





Éléa a été si bien. C'était tout ce qu'elle aimait. Elle n'avait pas la moindre gène à avoir les cuisses bien écartées, à être léchée par son fantasme numéro un, dans la réserve de la bibliothèque. Tous les voyants étaient au vert. C'est parfait. Éléa avait les yeux fermés. Éléa perdait la tête. Et soudain, contre toute attente, Éléa a agrippé une poignée de cheveux de Lucas et lui a fait ainsi relever la tête. Elle lui a demandé de mettre un terme au cunni qu'il lui faisait.





Étonné, ahuri, pris au dépourvu, Lucas a braqué son regard dans celui de la jeune et jolie bibliothécaire. Il n'a pas compris. Il ne s'y prenait pas bien ? C'était désagréable pour elle ? Elle n'aimait pas ? Lucas n'a pas lâché le regard de sa partenaire. Il fallait qu'il sache. Les femmes n'aiment-elles pas qu'on lui offre un cunni ? Ne dit-on pas que c'est quelque chose qui leur plaît... et qui leur fait de l'effet ? Elle a pris les devants, dès lors...





- Mmmh... Mmmmmh. Viens... là... 





Elle est chaude comme la braise, la nana de la bibliothèque, en fait ! Force est de constater qu'elle est... différente. Elle qui était jusqu'à présent à la fois joviale et professionnelle. La fille qu'elle est en réalité est... Coquine ? Dévergondée? Débridée ? Bon, c'est clair qu'elle ne faisait pas non plus coincée, vierge effarouchée. Mais de là elle se comporte comme ça...

Éléa était chaude comme la braise. Elle était déchaînée. Quand une personne vous dévore du regard et vous fait comprendre que c'est de vous dont elle a envie, c'est grisant. Éléa s'est sentie particulièrement sexy. Elles, les femmes, quand les hommes sont intéressés par elles et qu'ils leur montrent, ça les flatte. Ce soir, Lucas n'a pas arrêté de bouffer la jeune et jolie bibliothécaire des yeux. Il a eu bien des raisons de ne pas se priver de le faire, en même temps. Quand un homme est en compagnie d'une belle femme, il ne peut qu'avoir envie d'elle. Éléa est belle. Dès qu'elle a demandé à Lucas de la suivre jusque dans la réserve, les deux personnes ne pouvaient pas revenir en arrière. Éléa en avait du plaisir, oui. Elle voulait que Lucas en ait aussi. Ça lui tenait à cœur. Et puis, et ce n'est pas négligeable, il bandait bien dur. Ça donnait envie...







- À ton tour de te laisser aller... À mon tour de te faire du bien...





Avec des gestes lents, tout en douceur, Éléa s'est abaissée de telle sorte qu'elle se retrouve à genoux.





Quand Éléa s'est mise à genoux, ça a définitivement rendu fou le bel usager de la bibliothèque. Lorsqu'une femme est belle et que ça matche entre elle et vous, il n'y a qu'à apprécier la moindre chose qui se présente à vous deux. Au jour d'aujourd'hui, Éléa est l'une de mes plus belles filles que Lucas ait pu rencontrer. C'est simple : il a craqué pour elle dès lors que leurs regards se sont croisés pour la première fois. Lucas a beau être marié. Ça ne l'empêche pas d'être tombé raide dingue de la jolie bibliothécaire. Et il faut dire qu'elle sait y faire, consciemment ou... inconsciemment pour que l'on tombe sous son charme. Un joli sourire aux lèvres... Une voix toute douce et féminine... Des yeux de biche... Une démarche chaloupée... 

Éléa a tout pour elle. Et elle a tout pour plaire.

Éléa, toujours lentement, délicatement, sans rien brusquer, a tendu une main vers la bosse qui était clairement remarquable à l'intérieur du jean du bel usager. C'est quelque chose qui caractérise la jeune femme lorsqu'elle couche avec un homme. Elle aime ça, se faire désirer. Et pour ça, elle fait la belle. Elle sourit. Elle minaude. Elle a remarqué, avec le temps et les expériences, que ça marche à chaque fois. Pourquoi changer une recette du tout au tout lorsqu'elle porte ses fruits ?





Lucas n'a pas perdu une miette du festin érotique qui avait lieu sous ses yeux. À sa part sa femme, il n'a pas le souvenir qu'une femme lui ait fait autant d'effet. Elle est jolie, la bibliothécaire. Et c'est aussi simple que ça : dès la seconde où il l'a vue, dès le moment où elle a remué les lèvres, Lucas a eu un faible pour Éléa. Désormais, c'est devenu plus, entre eux. Tellement plus...

Éléa, elle, était décidée. Déchaînée. Elle savait ce qu'elle allait faire. Elle en avait envie. Souriante, nue, mignonne comme ce n'était pas permis, Éléa avait confiance en elle. Il n'y avait pas le moindre dans son esprit.









À genoux, Éléa regardait son amant d'un soir. Elle lui souriait. Il s'agissait là de son sourire d'un jour optimal, tel qu'elle le décrit lorsqu'on lui en parle. Elle était tellement heureuse d'être là. Elle qui n'avait pas osé y croire, jusqu'à ce que Lucas pointe le bout de son nez, ce soir... Lui qui est marié... Elle a bien vu l'alliance qu'il porte au bout de l'un de ses doigts. C'était impossible qu'il jette son dévolu sur elle. Combien de fois Éléa a t-elle pu pourtant joué les voyeuses, en regardant par la baie vitrée de son salon, à épier Lucas et son épouse qui s'ébattaient, pile en face d'elle ?

Éléa était feu follette. Elle n'a pas le souvenir d'avoir été déchaînée avec quelqu'un. C'est Lucas qui la rend comme ça. Plus rien n'avait d'importance. Elle était là. Sa position n'avait aucune ambiguïté. Oui. Éléa était là, à genoux, et elle s'était dénudée. Les nouveaux amants qu'elle et Lucas sont devenus ont échangé leurs places. À présent, c'était le bel usager qui était assis sur la table de la réserve. Éléa a adressé à l'homme l'un de ces sourires radieux dont elle a le secret et qui font fondre. Ça a été impossible de ne pas avoir d'envie d'elle, dans la réserve, à ce moment précis. Lucas retenait son souffle. Il était sur le qui-vive. Il focalisait son attention sur la jeune et jolie bibliothécaire. Qu'est-ce qu'elle lui réservait ?

Éléa rampait, sur ses genoux, sur le sol froid, dur, de la réserve. Elle veillait à ce que ses mouvements soient lents, sans aucune précipitation. Elle voulait que Lucas ne la quitte pas des yeux. Il ne fallait pas qu'il perde une miette de ce qu'elle était en train de lui offrir, là, sur un plateau de sensualité.

Éléa n'avait pas de souci à se faire, en fait. Lucas, qui avait beau se laisser aller, était en réalité aux aguets. Elle se comportait comme ça, la petite bibliothécaire ? Il était prêt à répondre à ses élans cochons. Il était sur la même longueur d'onde.







Éléa faisait la belle. Elle avait le sourire aux lèvres. Elle avait des yeux de biche. Mais c'était vrai que c'était bien la première fois qu'elle avait le feu au cul à ce point. Elle allait s'envoyer en l'air sur son lieu de travail, quoi! Être dévorée du regard par un homme qui avait envie d'elle et qui le lui exprimait... Ça lui a donnée envie d'oser...







- Laisse-toi aller... Lu...cas... Aaah...





Elle était décidément à croquer, cette fille, Lucas se disait. Les deux amants se regardaient et ne se quittaient pas des yeux. C'était fort, ce qu'ils ressentaient, l'un comme l'autre.

Éléa a tendu la main en direction de son bel usager. Lui, il a compris instantanément ce qu'elle entreprenait. Il a réagi sans perdre de temps. Il a écarté les cuisses. À ses yeux, ça voulait tout dire. Il laissait désormais carte blanche à la bibliothécaire. Ça a été elle, après tout, qui a déclenché tout ça, au début, lorsqu'il a balancé cette phrase 'J'ai du mal à faire fonctionner votre machine d'emprunt de livres. Pouvez-vous m'aider?' sur le ton de la boutade. Ça a été comme ça qu'ils se sont rencontrés, elle et lui. Éléa a réagi instantanément, et, seule, elle a eu envie de jouer. 

Elle devait assumer, à présent.

Lucas a été rassuré dès l'instant où Éléa a passé doucement, avec langueur, avec gourmandise, sa main sur la bosse proéminente qui était retenue prisonnière à l'intérieur de son jean...