Éléa, bibliothécaire... espiègle (6ème partie) - histoire érotique

Éléa avait plus que confiance en elle. Elle était à genoux, aux pieds de son nouvel amant, son bel usager, et elle était tout simplement... irrésistible. Lucas, lui, ne savait pas quoi dire. Il était ébahi à la fois par la beauté de la jeune et jolie bibliothécaire ET par ce côté coquin, effronté qu'elle dévoilait, là, qui plus est sur son lieu de travail. Alors, estimant que c'était inutile de prononcer le moindre mot, ici, à l'instant-t, il se contentait de sourire à la jeune femme. Pour lui, c'était beaucoup et ça voulait dire ce que ça voulait dire. 

Éléa, elle aussi, n'avait de cesse de sourire. Ça, c'était quelque chose qui faisait son charme. Dans la vie de tous les jours, c'est quelque chose qui plaît aux personnes, hommes... comme femmes qu'elle croise. Ça n'a pas manqué, avec Lucas. Dès qu'il l'a vue, la première fois, ça a été le coup de foudre.

Éléa aime plaire aux hommes... comme aux femmes. 

Éléa aime plaire à Lucas.





Éléa était belle, le sourire aux lèvres. Le sourire, c'est ce qui la caractérise. Dans la vie de tous les jours, que ce soit avec sa famille et ses amis, que ce soit dans la rue, que ce soit à la bibliothèque, Éléa est souriante. Les gens qui côtoient la jeune femme au quotidien sont formels: c'est un plaisir de la côtoyer ou de travailler avec elle. Et là, Lucas n'avait d'yeux que pour elle. Comprenons-le. Il était là, assis sur le rebord de cette table, à l'intérieur de cette pièce de la bibliothèque qui est interdite au public, et une jolie jeune femme était agenouillée, à ses pieds. Elle lui faisait face. Elle avait une main tendue vers l'entrejambe de l'homme. Lucas, lui, avait les cuisses bien écartées. C'était fait exprès. Ainsi, il signifiait à la bibliothécaire qu'il était ok avec ce qu'elle avait l'intention de faire.

Éléa ne s'est pas faite prier. Sa main s'est posée sur l'entrejambe de son bel usager.





Autant c'était inhabituel pour Éléa, d'avoir ces gestes et ce comportement dans ce lieu précis, autant elle en a vite fait fait abstraction.

Tous les voyants étaient au vert. Éléa assurait la fermeture de la bibliothèque, seule, de soir. Et encore... Elle a eu de la chance. Quand Lucas a fait son apparition, alors que l'établissement allait fermer incessamment sous peu, la jeune femme était en binôme avec l'une de ses collègues. Voyant qu'Éléa s'occupait de ce monsieur, la collègue a demandé si Éléa avait besoin d'aide. Éléa, voyant que Lucas, le bel usager pour qui elle avait un faible, était là, n'allait pas rater une occasion de passer un peu de temps avec lui. Elle a alors répondu à sa collègue qu'elle fermerait la bibliothèque. Le collègue lui a souhaitée une bonne soirée et, en guise de boutade, lui a lancée de ne pas trop d'heures supplémentaires. Or, étant donné que Lucas était là, et si elle était encore sur place, ça n'allait justement pas pour faire des heures supplémentaires... professionnellement parlant.

Après les minutes où Lucas lui a donné du plaisir en lui faisant ce cunni des plus délicieux, Éléa avait l'intention de rendre la monnaie de sa pièce à son bel usager.

Ni une, ni deux, Éléa ne s'est pas découragée le moins du monde.

Ni une, ni deux, Éléa a continué de faire des siennes. À présent qu'elle a eu du plaisir, elle voulait que Lucas kiffe et prenne son pied. Et elle avait bien l'intention de faire en sorte que ce soit le cas. Alors, elle ne s'est pas faite prier une seconde de plus. Elle savait que Lucas avait envie d'elle. Et dieu sait qu'elle avait envie de lui. Éléa a tout débranché et laissé de côté. Seuls elle et Lucas comptaient. Éléa, elle, ne pensait qu'à Lucas, à ce moment-là.

Éléa était lente dans ses gestes.

Éléa le faisait exprès. Elle ne voulait rien brusquer. Elle voulait que que Lucas ne perde pas une miette d'elle, de son attitude, de ce qu'elle faisait.

Bien évidemment, comme Éléa s'y attendait étant donné que ça lui tenait à cœur de maintenir le contact visuel avec son fantasme numéro un, Lucas, lui aussi, ne quittait la bibliothécaire des yeux. Il y avait de quoi, effectivement, pour que ce fût le cas. Éléa, avec ses longs cheveux bruns qui étaient retenus en une queue de cheval qui se balançait au moindre mouvement que la jeune femme faisait, était... juste... irrésistible. Mais c'était un tout qui faisait que l'homme était sous le charme de la bibliothécaire.

Elle avait le sourire aux lèvres.

Elle était à genoux, et elle avait l'une de ses mains posée entre les cuisses de son partenaire. Éléa était délicate dans les gestes qu'elle faisait. Il fallait qu'elle le soit. Tout comme Lucas l'a été, quelques minutes plus tôt, lorsqu'il lui a fait ce cunnilingus qu'elle a particulièrement apprécié. Elle n'a pas boudé son plaisir tant Lucas s'y est bien pris. À l'instant-t, Éléa avait la ferme intention de rendre la monnaie de sa pièce à son amant. Et puis... Vu qu'elle était chaude comme la lave en fusion...

Lucas continuait de retenir son souffle. En revanche, il n'arrêtait pas de garder un œil sur la jeune femme qui se tenait sur ses genoux et qui caressait l'entrejambe. Ça le rendait fou, tout ça.





Jusqu'où allait aller cette fille ? Jusqu'où pouvait-elle aller ? Ça rendait Lucas curieux.

Néanmoins, il la laissait faire.

Il avait envie qu'elle lui montre ce qu'elle savait faire. Quelque chose lui disait que... 

Son petit doigt, plutôt, lui disait... qu'il serait tout sauf déçu.



Éléa était chaude comme la braise. Si Lucas lui disait qu'elle avait le rouge aux joues, elle le croirait sur parole. Ce qu'elle savait, c'était qu'elle avait envie de Lucas. Elle avait... très... très... très envie de lui donner du plaisir comme il lui en avait donnée.

Éléa était déterminée... comme jamais elle ne l'avait été.



Éléa avait le vent en poupe. Il n'y avait pas le moindre doute dans son esprit. Elle n'était pas dans la peau de l'une des héroïnes des romans érotiques qu'elle lisait. Non. Là, c'était bel et bien elle qui était en galante... et masculine compagnie. Éléa n'avait pas la moindre intention de laisser passer sa chance. Oh... que non.

C'était bien beau, tout ça, qu'Éléa flatte l'érection qui était retenue prisonnière à l'intérieur de la prison de tissu que constituait le pantalon du bel usager... Éléa, le sourire aux lèvres, n'avait pas de pensées chastes. Oh... que non. Le sourire aux lèvres, belle comme ce n'était pas permis, en fait... Éléa avait l'air... Elle n'avait en réalité pas la chanson. Et là, feu follette comme elle était... Le feu au cul... La jeune et jolie bibliothécaire avait tout sauf l'intention de laisser passer l'opportunité de s'envoyer en l'air. Pour accentuer, une fois pour toutes, l'effet de surprise et l'emprise qu'elle avait peu à peu sur Lucas, Éléa a décidé d'enfoncer le clou. La jeune femme a pris le taureau par les cornes et elle ne s'est pas dégonflée. Car Éléa n'avait jamais été aussi dévergondée jusqu'à ce soir. C'était comme la première fois. Ça allait la marquer à jamais. Elle le savait.

Histoire d'enfoncer le clou jusqu'au bout, Éléa s'est lâchée encore un peu plus. Mettre sa main sur la bosse proéminente de son nouveau copain de jeux coquins, ce n'était plus assez pour elle. Vu comment Lucas était, vu comment il la regardait... Ça ne faisait pas le moindre doute pour Éléa: Lucas avait envie d'elle autant qu'elle avait envie de lui. C'était un feu qui brûlait dans les entrailles de la jeune femme et qui n'était pas près de s'éteindre. Et ce n'était pas pour déplaire à Éléa, cette sensation chaude qui se répandait dans son corps.

Bien qu'elle se sentait chaude et qu'elle ne savait plus à quel saint se vouer, Éléa ne voulait pas non plus en faire de trop. Ce qu'elle voulait, c'était surtout dévoiler une autre facette d'elle à son bel usager. C'était sûr: d'une certaine manière, Lucas ne la verrait plus pareille lorsqu'il se rendrait à la bibliothèque. Comment Éléa saura t-elle gérer cette évolution dans leurs relations ? Éléa n'y pensait pas au moment où elle se tenait sur ses genoux. Il n'y en avait que pour Lucas... et au plaisir qu'elle lui donnait. Elle faisait la belle. C'était pour continuer de le maintenir sous son charme.

Éléa était irrésistible aux yeux de Lucas. Ce n'était pas possible de ne pas en pincer pour elle. Bien sûr, Lucas ne connaît pas Éléa sur le bout des doigts. La bibliothèque, c'est le seul endroit où il la côtoie. Lucas voit et considère Éléa à travers le comportement qu'elle dégage à chaque fois qu'il la voit. Le peu qu'il a vu d'elle jusqu'à présent, ça lui plaît et ça fait qu'il est sous son charme. Et ce soir, à l'heure tardive où il a pénétré dans la bibliothèque, Lucas espérait la voir, la jolie employée aux longs cheveux bruns. Quand elle est apparue dans son champ de vision, sans qu'elle sache qu'il venait d'arriver car occupée à ranger des livres dans les rayonnages, Lucas n'a pas pu s'empêcher de faire des siennes.

La première chose qui lui est venue en tête, ça a été les premiers mots qu'il a adressé à l'employée de la bibliothèque qui était assise sur son poste de travail et qui avait alors les yeux rivés sur un écran d'ordinateur. Elle lui a plu dès la seconde où il l'a vue.





Tout en regardant Lucas droit dans les yeux, Éléa se mordait la lèvre. Son corps et son âme étaient pleins de désir et d'envie. Son cœur battait la chamade. Elle perdait complètement, définitivement les pédales. Elle a mis une fois pour toutes ses fantasmes à exécution. Lucas ne la quittait pas des yeux. Éléa, elle, a décidé que c'était le moment pour passer à l'action... et à l'étape suivante de leurs ébats.

La main de la jeune femme a tiré sur la fermeture éclair du pantalon de Lucas. Elle pouvait ainsi voir de manière un peu plus nette l'érection de son amant, toujours retenue prisonnière, cependant.

L'instant d'après, le pantalon était déboutonné. Éléa n'a pas perdu de temps. Ses deux mains se sont posées sur le pantalon et ont tiré dessus de telle sorte qu'il descende le long des jambes du bel usager.

Éléa a été aidée dans cette tâche par Lucas qui s'est levé brièvement afin de retirer son pantalon qui a fini, lui, par giser sur le sol de la réserve. 

Une fois débarrassé de son pantalon, Lucas s'est rassis sur le rebord de la table, les cuisses bien écartées. Il était désormais en boxer. Le tissu moulait sa belle érection, ne laissant pas la place au doute. Lucas... bandait pour Éléa.

Le haut de son corps, lui, était encore habillé.

Le sourire aux lèvres, Éléa s'est alors attaquée au boxer. En deux temps trois mouvements, le sous-vêtement a rejoint le pantalon. 

Là. Le sexe de Lucas était enfin libre. 

Éléa a été époustouflée par sa taille et par sa grosseur.

Elle était sur le cul et, d'ailleurs, elle ne s'est pas privée pour le faire savoir à Lucas.





Éléa a pris le membre dans sa main.

Sa tête s'est rapprochée de l'organe tendu.

La jeune femme a tiré la langue... et s'est mise à marquer, avec sa salive, son empreinte.

Lucas a émis un grognement. 

Il fallait qu'Éléa continue...