Embué et pas que… dans mon sauna gay !

- Par l'auteur HDS Castajl1 -
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Récit libertin : Embué et pas que… dans mon sauna gay ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-02-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Embué et pas que… dans mon sauna gay !
Je m’appelle Eric j’ai 42 ans, marié depuis 22 ans, je suis hétéro, j’ai 2 enfants et j’habite en banlieue parisienne.
Depuis mon adolescence bien qu’hétéro, j’ai toujours été attiré par les hommes, mon regard s’égare bien sûr vers de belles nanas mais souvent sur de beaux mâles.
Ma vie sentimentale et sexuelle avec ma femme Kelly qui est d’origine anglaise se déroule normalement mais sans plus, clairement je reste frustré sur les pratiques de Kelly qui est trop conventionnelle sur le sujet et n’est pas ouverte à quelques piments que nous pourrions partager, j’adore les sous-vêtements sexy pour elle ou pour moi… elle n’y est que très peu sensible, le recours à des sex-toys lui semble anormal et débile, les clubs libertins… n’en parlons surtout pas, faire l’amour dans des lieux insolites la répugne, nous n’avons jamais excédé les limites de la chambre, du salon… et une seule fois dans la cuisine de notre appartement ! Je passe sur le fait qu’elle n’aime pas pratiquer la fellation… tout juste du bout des lèvres et de toute façon elle ne sait pas sucer, je préfère cent fois me faire sucer par un mec que par elle, inutile de vous dire qu’il est hors de question de la sodomiser elle trouve ça abjecte et à moi elle n’a jamais tenté de me doigter l’anus car elle considère que cette pratique n’est réservée qu’aux homosexuels !... Si elle savait !!!
En vacances bien sûr elle s’adapte mais jamais dans l’insolite et pas trop souvent.

Enfin bref, je ne m’éclate pas du tout avec elle !

Alors pour compenser ma frustration je fréquente quelquefois les saunas libertins mais très peu car ils fonctionnent le soir, mais beaucoup plus régulièrement les saunas gays, là au moins je côtoie des mecs de tous âges, de belles bites, de beaux culs… c’est ma récompense et mon jardin secret et surtout les horaires plus accessibles en journée.
Mon bureau est dans le 8e arrondissement, mes horaires étant très variables, ceci me permet de m’organiser sans trop de soucis pour mes escapades à très fortes tendances homosexuelles.
Kelly travaille dans un collège de la banlieue, avec des horaires assez figés, proche de notre appartement et elle n’aime pas (non plus) faire des emplettes sur Paris toute seule.

J’ai testé pratiquement tous les saunas de la capitale et maintenant je vais souvent au même Boulevard de Sébastopol.
Il m’arrive d’y retrouver des habitués qui sont pour certains devenus des copains… voire plus… Pour être clair nous partageons des moments de doux délires sexuels entre hommes !

En Juin dernier, j’étais sensé être en déplacement en province pour mon boulot avec retour le lendemain, en fait je voulais passer la journée en mec libre dans la peau d’un mec à la recherche de mecs !
Muni uniquement d’un sac à dos pour mes petites affaires, me voilà parti errer dans la capitale.
Ma journée à commencé dans un magasin de sous-vêtements masculins du Marais, la Mecque du slip, des strings, jocks, boxers aguicheurs, tangas, en toute matière et toute tendance… Mon choix se porte sur un jock ADDICTED façon « Marin » rayé bleu marine et blanc, le vendeur m’encourage à l’essayer dans une cabine au fond du magasin, il me suit, je tire le rideau, je quitte mon pantalon et mon boxer, soudain je vois le rideau s’ouvrir… c’est mon jeune vendeur qui me dit :
- Je vais vous donner mon avis, j’ai l’œil exercé, en me faisant un clin d’œil.
C’est donc le cul à l’air que j’enfile le jock devant lui, il me mate et me caresse discrètement les fesses en me disant :
- C’est la bonne taille, tout en réajustant les élastiques de fesses, tournez-vous !
Et là il m’empoigne le paquet, le palpe sans restriction, cale bien mon matos et me dit :
- Il est parfait, il vous va à ravir et votre sexe est super bien enveloppé avec cet effet « Push-up » qui améliore le volume… Vous allez faire des ravages, me sort-il un brin coquin.
Un peu surpris de sa familiarité avec mon entrejambe, ceci dit, ce n’était pas pour me déplaire, je confirme :
- OK, je le prends et je le garde sur moi.
Je me rhabille, il me prend alors mon boxer qu’il remmène à son comptoir, me le range dans un petit sac en papier glacé argenté et me le redonne au moment de payer.

Je règle, il me laisse partir en me disant :
- Aurevoir, au plaisir de vous revoir et bonne journée à vous.

J’étais tout guilleret de mon achat, mon jock me donnait une impression de liberté, je me dirige droit dans un bar gay à quelques centaines de mètres du magasin, c’est le secteur.
En arrivant je balaie du regard les tables, le bar, les recoins déjà utilisés par plusieurs mecs, et un écran vidéo diffusant en alternance des clips et des vidéos de mecs ensemble souvent en tenue sexy ou hyper légère, défilés de mecs en sous-vêtements coquins… sympa comme ambiance.
Je prends un whisky et m’asseois sur une banquette d’angle et petite table ronde. Tout en sirotant je parcours le bar, deux mecs consommant un demi discutent en se caressant le cul dans leur pantalon de cuir, un couple dans un recoin se roulent une pelle, un autre mec seul en bout de bar sirote un café, il porte un jean’s moulant et débardeur noir faisant ressortir sa musculature bien saillante, il discute avec le barman, qui lui, est torse nu sous un gilet de cuir rouge, un tatouage sur l’épaule gauche, cheveux rasés et piercings aux sourcils.
Tous à un moment donné, regardent en ma direction, peut-être pour voir si le client peut être un potentiel appât ???
Après trois quart d’heure et un second whisky, ainsi que plusieurs allers-retours de consommateurs bien typés, je décide de quitter les lieux, en me promettant d’y revenir un jour.
Il est bientôt 11h45, mon sauna va bientôt ouvrir ses portes, je prends le métro pour m’y rendre.
A midi les portes s’ouvrent, je fais partie des premiers clients, nous sommes six à faire l’ouverture ce jour-là. Un couple de mecs d’une quarantaine d’années, un black, deux potes à priori d’environ 25/28 ans chacun et moi. Certains avaient leur carte d’abonnement, des habitués du site.
On se retrouve dans le vestiaire en sous-sol, chacun choisissant son casier, les pantalons et slips commencent à tomber, les tee-shirt et chemises aussi, l’ambiance des vestiaires est toujours source de bonheur, découvrir un beau cul, une queue honorable… moi je décide dans un premier temps de conserver mon jock-marin et vais, la serviette sur l’épaule, au mini-bar pour prendre un café.
Quelques instants après, le black me rejoint, la serviette autour de la taille et prend aussi un café.
Il me dit :
- Tu es mignon et très sexy dans ce jock, j’adore et joignant le geste à la parole, il se met à me caresser les fesses.
Moi, tout en me laissant caresser… j’étais un peu là pour ça… :
- Merci à toi, je viens de l’acheter, je vais le faire tomber tout à l’heure,
Et je bois mon café tout en matant l’empreinte très marquée de sa queue sous sa serviette.
Il se passe la main dessus et me dit :
- Tu es là jusqu'à quelle heure ?
Moi :
- Je n’ai pas d’heure, aujourd’hui je suis célibataire ! Avec un sourire un brin aguicheur.

Il regarde mon annulaire gauche et me dit :
- Tu es marié ?... Ta femme sait que tu es là ?... Tu aimes te dégourdir la queue avec des mecs ?... C’est intéressant, j’adore baiser avec des hétéros ! On se prend une douche ensemble si ça te dit ?
Je trouvais que l’arrivée au sauna était partie sur les chapeaux de roues :
- OK, lui dis-je, je vais aller déposer mon jock au vestiaire, je te rejoins sous la douche.

Je file au vestiaire, je vire le jock et ne prends pas le temps de mettre ma serviette en guise de cache-sexe autour de la taille, je rentre dans les douches et là je vois mon black nu comme un ver, une queue au repos de 13 à 14 cm, sa paire de couilles pendouillantes mais de belles dimensions et ses poils noir bouclés autour du pubis.
On se savonne, d’abord individuellement puis rapidement mutuellement, il me savonne la raie… je lui savonne la sienne, un nouvel arrivant, la soixantaine rentre dans les douches, durant plus de dix minutes il va se palucher en nous regardant nous sucer et nous branler sans précipitation, puis décidons de filer dans le hammam dont l’accès se fait par les douches.
On laisse notre branleur se terminer sous la pomme !

On va au fond du hammam en tâtonnant un peu car les jets de vapeur étaient en pleine diffusion, au passage je caresse un cul debout. Mon black s’assoit sur le banc de céramiques à petits carreaux, je m’assieds à côté en me blottissant le long de sa cuisse gauche.
Nous restons ainsi plus de dix minutes, en nous caressant les cuisses et pinçant légèrement nos tétons et discutons de nos habitudes sexuelles, Il se prénommait Baptiste, il avait 29 ans, il bossait à la RATP et était gay versatile à dominante actif.
Le hammam commençait à se remplir un peu plus, un jeune barbu est venu se coller à Baptiste sur son côté droit.
Soudain je décidais de goûter à sa belle queue de black, je m’agenouille entre ses cuisses sans rien lui demander, il les écarta naturellement et j’entrepris de le sucer, au départ par petites touches de langue sur son gland proéminant, sur sa tige qui commençait à se tendre, sur ses belles couilles bien pleines, puis j’engouffrais son membre sans retenue dans ma bouche et me mettais à le pomper goulûment en me cramponnant à ses larges cuisses.
Mon Baptiste appréciait ma prise en bouche et se dandinait de gauche à droite.
Ma bouche était pleine, le diamètre de la teub de mon black faisait presque 5 cm…
Son voisin barbu souhaitant ne pas rester de marbre, il bandait déjà bien au vu de notre fellation en cours, il me prit ma main gauche et me l’amena sur sa queue pour m’inciter à le branler, ce que je fis sans sourciller, une belle queue de black en gorge profonde et une bite de taille moyenne dans la main gauche à branler, la situation me convenait parfaitement !
Après un petit quart d’heure d’activités soutenues entre les cuisses de Baptiste, mon voisin barbu m’éjacula dans la main gauche et sur la cuisse de baptiste, je sorti la tige du black de ma bouche et je donne quelques coups de langue sur la bite du barbu qui me remercia en me tapotant sur les épaules, puis il quitta le hammam après sa vidange de burnes.
Je repris ma séance de baise de ma bouche, de ma gorge devrais-dire tellement son membre venait me cogner la glotte et manquait de m’étouffer, puis Baptiste me dit :
- J’ai envie de te la mettre, prend ma place et tend-moi ton cul.
Voyant la taille de son pieu, j’ai eu un moment de panique…

Nous inversons sans sourciller nos places, moi les mains sur la banquette de céramique, le cul à sa hauteur, j’écarte bien mes cuisses et Baptiste commence à me flageller les fesses avec son gourdin bien raide, il me crache dans la raie, mouille son majeur à plusieurs reprises pour assurer un minimum de lubrification de mon anus, je sens son doigt faire des cercles et des vas et vient, la dilatation de mon trou était bien partie… il m’enfonce un deuxième doigt… J’assure encore… Il semble habitué le coquin !
Et il entame son introduction en douceur, puis en me cramponnant les hanches il enfonce son pieu en moi, je sens une colonne raide me transpercer les entrailles, j’avais peur qu’il me déchire les chairs, je crie, au point où deux ou trois mecs rappliquent autour de nous pour profiter de cette enculade en live… Baptiste me pilonne le cul, j’ai mal, je continue de couiner trop fort, certains voyeurs se branlent en nous matant, d’autres en profitent pour caresser le cul de mon black, nous étions devenu l’attraction du hammam malgré une vision chargée en vapeur d’eau, d’autres ont décidé de s’enculer dans leur coin, après dix bonnes minutes de limage et défonçage de mon pauvre anus, Baptiste soudain sort de mon corps et largua sa sauce sur mon dos, mes fesses, ma raie et l’un des voyeurs-branleurs qui nous entourait n’a pas résisté à engloutir la queue baveuse de sperme de Baptiste pour nettoyer le braquemard du black… Lui aussi failli étouffer en l’engouffrant dans sa bouche, il n’avait pas imaginé la grosseur de la teub… C’est bien connu la gourmandise est un vilain défaut !

Un autre s’amusa à m’étaler la purée larguée sur mon dos, mon cul et ma raie afin de m’enduire le corps du sperme africain abondant et visqueux.

Le petit groupe de voyeurs se disloqua et nous repartîmes tous les deux sous la douche pour finaliser le rinçage de nos corps.
Après un savonnage minutieux, on se retrouvaient tous les deux au bar pour consommer un verre de Coca bien frais.
Tout en sirotant notre rafraichissement on matait le jeune serveur en short satiné blanc hyper moulant laissant imaginer sans soucis l’empreinte de ses couilles et de sa bite de belle taille positionnée sur le côté droit et son haut de tee-shirt crop jaune orangé sculptant ses pectoraux, un véritable appel au viol et un vrai bonheur à regarder cette tapette !

Baptiste devait repartir assez vite pour sa prise de poste, on se roula une super gamelle bien baveuse dans le vestiaire devant deux mecs la bite à l’air, qui tardaient volontairement à s’enrouler la serviette autour de la taille, ils arrivaient dans l’univers de la bise et de la baise… un lieu culte ou simplement cul… Enfin bienvenue chez les pédés !

Moi je décidais d’aller faire une pause dans un fauteuil de la salle de projection, histoire de donner un peu de repos à mon anus démonté par Baptiste.
Sur l’écran deux randonneurs se bouffaient le cul en pleine montagne… Hummm c’est beau la nature !

Après m’être légèrement assoupi dans le fauteuil de cuir au son des gloussements de plaisir diffusé par la vidéo, trois quarts d’heure avaient dû s’écouler, mon anus était moins douloureux, entre temps un mec de trente ans roulait une pelle à un cheveux blancs dans le canapé près de moi… la vidéo avait changé, cette fois-ci c’était une séance de branle entre trois matelots sur le pont ensoleillé d’un yatch de luxe.

Je décide d’aller me baquer dans le petit bain à bulles, j’arrive, fait tomber la serviette et je descends dans le bassin où deux couples s’embrassaient et je devinais leurs mains baladeuses en sous-marin. Un panneau rappelait qu’il était interdit de pratiquer un acte sexuel dans le jacuzzi.
Je m’installai à la verticale d’une buse de diffusion d’air, les remous étaient assez violents au point de me remonter les couilles et les faisaient se balloter de droite à gauche, l’effet est franchement bandant, j’y suis bien resté vingt-cinq minutes… ce massage de burnes était jouissif au plus haut point à la limite de l’éjaculation.
Certains quittaient le bassin d’autres arrivaient, j’en profitais pour admirer les différents gabarits d’organes masculins lorsqu’ils descendaient l’échelle d’alu à poil.
A mon tour je sorti du bain, mes boules bien secouées et la bite à demi tendue, je repris ma serviette direction le labyrinthe obscur au second étage.

J’adore ce labyrinthe obscur large de tout juste un mètre, avec des recoins, des faux-couloirs, et le tout dans une quasi obscurité, le grand bonheur de ce coin de débauche c’est de te repérer avec les mains, et comme les passages sont étroits… immanquablement tes mains rencontrent soit un cul gros ou petit, poilu ou lisse comme une boule de billard, une bite sous une serviette, ou une bite à l’air qui cherche un branleur… ou un suceur, tu branles des bites courtes au gland énorme, des bites fines en érection, tu palpes des couilles poilues, des rasées… Si tu t’agenouilles pour sucer une bite dans le noir… il n’est pas rare qu’un mec t’enjambe pour continuer son mini parcours du combattant, c’est hyper bandant, tu roules des pelles ou te fais mettre un doigt, en gros tu ne sais plus où donner du cul ou de la bite !
Il arrive aussi parfois qu’un jet de sperme vienne s’étaler sur ta cuisse si un branleur n’a pas su maîtriser sa résistance à l’éjaculation !
C’est peut-être le lieu le plus bandant du sauna dès lors qu’il y a un peu d’affluence, c’est le jeu.

Durant la journée j’aurai l’occasion de me rendre plusieurs fois dans ce labyrinthe du bonheur sombre et kiffant.

En sortant je reviens dans le couloir de l’étage qui lui aussi est un véritable dédale de portes donnant dans les nombreuses cabines, le sling, les toilettes, le sauna finlandais… les murs sont décorés de fresques orientales aux jeux masculins interdits, des hommes au sexe démesuré qui se font pomper, un soldat oriental enculant un jeune mâle efféminé, une belle paire de couilles peinte sur une porte de bois exotique… tout y est pour se sentir dans l’ambiance !
Des distributeurs de capotes et de gel ponctuent les fresques érotiques.
Parfois un siège t’invite à visionner une séquence vidéo ou une partouze se déroule dans un hôtel de luxe ou alors deux mecs s’enculent au fond d’un garage…

Je décide faire un arrêt prolongé dans la cabine surchauffée du sauna finlandais, je suffoque en entrant dans cette atmosphère humide, sur le banc de droite allongé de tout son long un mec dort à moitié le cul à l’air. En face sur les bancs de bois supérieurs deux mecs relativement jeunes et sveltes se roulent une pelle en se paluchant… leurs sexes au garde-à-vous…
Je m’installe sur le banc de gauche, je défais ma serviette et me délecte du spectacle… surtout du côté des deux jeunots, l’envie de prendre part aux caresses érotiques de ces deux là m’envahi la tête… mais non je regarde en me masturbant gentiment… Je profite du moment présent… en bandant et en mouillant (je mouille facilement) !

Il faisait une chaleur à crever, nous étions tous sen sueur, notre dormeur s’était retourné, laissant ainsi sa bite à portée de bouche… au cas où un affamé de phallus arriverait.
Soudain entre un asiatique, 1,75m, 60Kg max, beau corps bien proportionné, il s’assoit près de moi, il enlève sa serviette et la met autour du cou, il écarte assez largement ses cuisses jusqu’à venir frotter la mienne… Je mate sa teub qu’il n’hésite pas à flatter du bout de ses doigts, un bel engin entre ses cuisses.
Nous restons ainsi pendant au moins dix minutes, puis il me regarde, je le regarde, il me pose sa main droite sur ma cuisse gauche, je comprends qu’il attend une action de ma part, c’est alors que je me cale entre ses jambes écartées, ma bouche au niveau de son sexe de belle taille mais encore mou, et je commence à le lécher sur les cuisses, l’entrejambe, les couilles imberbes, son bas ventre, sa bite qui manifeste quelques signes de tension, il apprécie cette approche sans violence, il ferme les yeux en me caressant les cheveux en signe de grande satisfaction, son membre est maintenant en érection d’environ 14 à 15 cm x 4, il est totalement imberbe, je lui titille les seins, les asiatiques en sont fous, il râle, ma bouche a pris sa queue et lui assure une fellation dans les règles, il assure quelques mouvements du bassin pour bien me baiser la gorge, les deux jeunots avaient cesser leur branle et leur galoche pour nous regarder prendre notre pied, le mec allongé sur le dos avait trouvé un pompeur d’une cinquantaine d’année… L’atmosphère était au top !

Je suis très attiré par le charme asiatique depuis mon adolescence et là j’étais aux anges de pouvoir en sucer un, un beau mec bien brun de cheveux, un visage sympathique et souriant, il ne devait pas avoir plus de trente ans, ses yeux bridés l’étaient sans excès, son gland venait buter jusqu’à la luette, je trouvais que son entrejambe avait un léger parfum de jasmin, peut-être en mettait-il sur les couilles ??? En tout cas cette pipe était des plus agréable… puis après un bon quart d’heure de pompage et de gorge profonde il me demanda si je souhaitais aller dans une cabine pour continuer dans l’intimité.

Moi sans hésiter une seule seconde, je lui fis signe de la tête… J’y étais totalement favorable, nous stoppons donc notre séance de pipe asiatique… nous nous levons…
Nos queues bien bandées et sortons de la cabine, nous remettons alors nos serviettes une fois dans le couloir sans vraiment à chercher à dissimuler nos érections, nous allons à la recherche d’une cabine libre.
Certaines étaient occupées, il suffisait simplement d’entendre des cris, des râles ou des gémissements derrière une porte pour comprendre qu’un cul était en train de déguster !
D’autre portes entr’ouvertes nous laissaient voir un homme allongé de tout son long dans l’attente d’une visite dans sa raie, d’autres, grande porte ouverte se branlait dans l’espoir d’une bouche bienfaitrice…

Mon asiatique me propose alors d’entrer dans une cabine légèrement surélevée pour y accéder, je lui emboite le pas, je ne ferme pas la porte totalement au cas où quelques voyeurs voudraient profiter de nos ébats, c’est la coutume... Et de suite nos serviettes voltigèrent pour nous retrouver à poil, lui se couche sur le dos, jambes écartées, pine à la verticale… il souhaitait sans l’ombre d’un doute que je continue ma fellation endiablée, ce que je fis sans plus attendre.
Je bandais comme un taureau avec le gland pissant la mouille, je pompais mon asiate sans relâche jusqu’à m’en étouffer et lui bouffait sa paire de couilles sans poils et après vingt bonnes minutes de suce, d’aspiration, de léchage de couilles… D’un seul coup je lui dit :
- Prends-moi, je veux que tu m’encules, je veux ta belle bite d’asiate dans le cul !
Ma proposition ne pouvait pas être plus claire… j’exigeais de me faire enculer par ce beau gosse que je venais de sucer longuement et profondément à deux reprises !...

- Ok, me dit-il, tu la veux dans ton cul, tu vas l’avoir, mets-toi en position de bonne salope… j’adore baiser des levrettes !
Je ne me fis pas attendre, je me mis aussitôt à quatre pattes, le cul presque en l’air, les jambes écartées, la chienne dans toute sa splendeur !

Je lui demande de mettre une capote, ce qu’il fit sans problème, il se sert dans le distributeur de la cabine et prend en même temps une dose de gel.
Il enfila son préservatif jusqu’aux couilles en l’étirant bien, ouvrit le sachet de gel et s’enduisit le membre généreusement.

A quatre pattes derrière moi, il se mit à me lécher la raie goulument et méthodiquement, sa langue me farfouillait l’anus, je gémissais de plaisir… quel pied, se faire bouffer le cul par un expert… sans hésiter, c’est sa langue dans mon trou, son nez dans ma raie… il me bouffait littéralement le puits du bonheur ce salaud !...
Je mouillais du cul tellement il honorait mon trou avec fugue et animosité, un vrai mâle en rut qui veut honorer sa femelle et moi dont la chatte mouillait de jouissance avant de recevoir son membre viril… Il mit un minimum de gel dans mon trou dilaté et très humide…
Je senti d’un seul coup sa bite me pénétrer pratiquement en une seule fois tellement mon trou était béant, il l’enfonce bien profondément et je sens ses couilles venir me taper les fesses, il ne pouvait pas aller plus loin ce pédé, son gland totalement décalotté me défonçait les entrailles, c’était chaud, c’était dur, c’était bon….

Oh putain il sait y faire l’asiate, c’est un expert de la pénétration… il ne cesse pas de me labourer avec ses vas et viens incessants, je gémis très fort de plaisir anal…
Du coup mes gémissements de pute en chaleur ont alerté les voyeurs qui ont ouvert la porte de notre cabine et viennent vivre en direct mon enculade, ils voient les fesses serrées de mon asiate me pilonner l’anus, il râle lui aussi de plaisir bestial, tel un taureau en rut honorant une vache en chaleur de son cheptel, il me démonte le cul ce salaud, son membre est certes moins gros que le braquemard de Baptiste mais il le maîtrise parfaitement… Les voyeurs se paluchent dans le couloir face à la porte grande ouverte…
D’un seul coup mon asiatique lance un dernier cri de mâle qui ressemble plus à un rugissement, il sort sa bite en furie de mon cul en feu, tire sur sa capote qui valse sur le matelas en simili noir et me largue des saccades de jus dans la raie, sur le dos, dans mes cheveux, sur le matelas… une pluie de sperme s’étale partout… Il avait de la réserve dans les burnes !
Moi je me retourne rapidement et lui prend la bite à demi molle en bouche pour le finir, j’avale les dernières gouttes de son sperme épais… Hummm c’était trop bon !!!
Je le remercie de m’avoir pris et il me répond :
- Tout le plaisir a été pour moi, tu es une bonne salope comme je les aime !

Nos voyeurs ont disparu discrètement mais les portes sont restées entr’ouvertes, nous nous allongeons tous les deux sur le dos, moi le dos plein de sperme collant, on se roule des pelles passionnées et bien baveuses et l’on se câline durant un bon quart d’heure ensemble, nos mains caressant le paquet de l’autre…
Nous discutons un peu, finalement mon asiatique m’a donné son prénom : Yindee, qui signifie plaisir, il lui allait comme un gant !
Il est d’origine Thaïlandaise né à Paris, il est étudiant en sciences de l’art.

Quelques instants après, serviettes autour de nos tailles, nous prenions la direction de la douche et ensuite celle du bar pour un petit café réparateur… Servi par notre mannequin au short moulant et au petit cul de passif allumeur.
On se dit au revoir en se roulant une bonne galoche, Yindee devait repartir, je l’ai regardé s’habiller en me délectant une dernière fois sur sa belle queue recourbée et son gland décalotté, il ne portait pas de sous vêtement sous son short long de coton Nike le coquin… Il disparu derrière les casiers en me faisant un signe de la main, alors que d’autres mecs arrivaient pour passer quelques heures dans cet antre du bonheur.

J’avais envie de me reposer un peu, je descends au niveau de la piscine et m’allonge sur un transat, je défais ma serviette et la pose transversalement pour dissimuler mon sexe, je profite de mater les mecs qui viennent se baquer à poil dans le bassin, le sauna se remplissait pas mal, c’était certainement dû aux horaires de boulot qui venait de se terminer, ma position sur le transat me permettait de mater très large, des deux jacuzzis, au grand bassin, du bar aux tables isolées, je me délectais de voir des jeunes et des moins jeunes serviettes autour de la taille ou bites à l’air…
Un vrai bonheur pour le voyeur que je suis !
J’ai dû m’assoupir au moins une demi-heure, en ouvrant les yeux je constatai que tous les transats étaient occupés par de belles créatures… et pour certains bien équipés, à ma droite un mec d’environ trente ans taillait une pipe à un black du même âge apparemment dont le pieu se dressait fièrement vers le plafond.
Autour des tables isolées du bar plusieurs couples s’embrassaient, au bar deux mecs nus sirotaient un coca en se caressant la raie et se roulaient une pelle entre deux gorgées de soda.

Je décidais de repartir faire un tour dans le hammam, j’aime cette ambiance de corps mêlés dans cette vapeur épaisse et chaude qui réveille nos sens érotiques, en gros je bande dès que j’y rentre !

Le hammam était au trois quarts rempli, en arrivant dans cette atmosphère de vapeur épaisse et parfois brûlante, je vire ma serviette et la met autour du cou, en entrant je caresse quelques culs sur mon passage, sur la gauche un groupe de cinq ou six corps nus entoure un trio en pleine action : Un enculeur, un enculé et un sucé, les autres se branlent sans retenue en direction des trois baiseurs, j’en profite à nouveau pour m’approcher et caresser deux culs, l’un à droite, l’autre à gauche… l’un des deux mecs me prends la tige et me branle avec sa main gauche, alors que la droite est occupée sur son membre bien raide… J’adore cet esprit d’entraide et de coopération rapide et efficace !!!

Je continue mon investigation dans la vapeur et la pénombre, de nombreuses pipes se taillent debout, à genoux, couchés, tous plus pédés les uns que les autres, actifs, passifs ou versatiles c’est le royaume de la débauche, ici aucun tabou, on baise, on se paluche, on s’embrasse, on se suce, on se doigte, on éjacule…

Moi, cette ambiance me met en transe… transe sexuelle évidemment… elle est bien bonne et facile à faire !!!

Mon cœur bat la chamade, je bande comme un taureau, je mouille à fond, je palpe tous ces corps qui se trouvent sur mon passage, il me faut un cul à baiser, maintenant, je n’en peux plus, je m’approche de deux jeunes d’environ vingt cinq ans qui se roulent une pelle en se masturbant, l’un d’entre eux, super mignon, cheveux bouclés châtains mi-longs, un vrai minet qui avait tout d’une petite salope… je le colle et lui caresse les fesses, tout en masturbant son pote il me tend son cul… je lui mets mon majeur dans le trou… le voici qui se dandine, je prends le relais de son pote et le branle à mon tour, son pote comprend qu’il doit me laisser la place, il s’éloigne et dit à son ex-branleur :
- On se retrouve au bar dans une demi-heure, et il s’éloigne dans la vapeur…

Moi j’avais réussi à m’approprier la jeune chienne qui n’arrêtait pas de me tendre son cul de pute, que je caressais maintenant avec mon gland en feu, je branlais sa petite bite qui ne devait pas faire plus de 11 cm en érection avec des couilles totalement rasées et pendantes à souhait comme j’aime… On se fraie un passage parmi tous ces corps en émoi et nous installons dans un recoin libre du hammam.
En lui serrant ses petites couilles rasées, je lui dis :
- J’ai envie de toi, je veux te pénétrer ton petit cul… Tu m’as l’air d’une bonne salope…
Lui sans attendre me réponds :
- Oh oui, je veux ta belle queue en moi, encule-moi, fais-moi couiner, je veux être ta chienne, je suis en manque de bite, vas-y prends-moi maintenant !
L’appel était sans équivoque… il m’offrait son trou sans condition.
Moi palpitant :
- C’est quoi ton prénom ?
Lui :
- Je m’appelle Nathan et j’ai 23 ans depuis une semaine… Ça te va ? Me lance-t-il.
Je lui réponds satisfait et excité :
- Nathan c’est très beau, j’aime beaucoup… et 23 ans ça m’excite un max !

Il se mit en position de pute immédiatement, j’adore baiser un mec en levrette, les deux mains sur la banquette de petites céramiques bleues et les jambes exagérément écartées, ses couilles pendantes me ravissaient, son anus ouvert en grand, quelle chienne ce Nathan… il ne doit pas être à sa première bite de la journée !
Inutile de le préparer avec mon doigt, je lui crache dans la raie et dans l’anus et dirige ma queue raide comme la justice dans son trou du bonheur… elle rentre comme dans du beurre, c’est un véritable garage à bites ce trou, pour un mec de 23 ans c’est assez rare !
Je me mets à le limer doucement, puis plus énergiquement et profondément, Nathan commence à gémir de plaisir, je lui mets de bons coups de butoir dans les entrailles, mes couilles servaient de sécurité pour ne pas l’empaler plus loin, mes 18 cm semblaient le combler de bonheur au résultat de ces commentaires :
- Oh oui, c’est bon, vas-y pilonne-moi le cul, je suis ta lope… mets la moi profond, oh putain que c’est bon !!!! Le tout intercalé de gémissements de chienne en chaleur.
Mes vas et vents incessants le faisait couiner, tout le hammam était informé qu’un jeunot était en train de payer cher !
Ma queue me faisait mal, mon gland totalement décalotté dans ce cul de cette jeune salope venait taper au plus profond de ses entrailles, mes couilles battaient sur ses fesses humides…
Évidemment les cris de ma jeune pute avaient appelé à la rescousse tous les voyeurs-branleurs du hammam, ils se précipitaient pour ne rien perdre de cette pénétration animale qui les excitait, tous, la queue à la main près à larguer leur purée dans cette vapeur abondante…
Après un bon quart d’heure de limage sans retenue dans le cul de mon petit jeune frisé comme un mouton, je lance un rugissement annonçant l’arrivée violente de ma décharge dans son cul…
Je me retire aussitôt de son corps et là Nathan, me supplie :
- Oh non, je t’en prie, reviens… remplit moi, je veux ton sperme en moi… reviens et largue-moi ta purée s’il te plait !!!
C’était un cri du cœur… ou plutôt du cul !

Je remis donc ma pine en furie dans son trou de pute et largua aussitôt ma purée par jets saccadés et importants en l’enfonçant au plus profond de lui, j’avais l’impression que ma queue n’en finissait pas d’éjaculer dans ce jeunot, son trou va saturer c’est sûr !
Pendant je que je larguais ma purée dans le corps de Nathan, un mec bedonnant d’une soixantaine d’années qui avait dû s’exciter en nous voyant, m’éjacule dans la raie par jets nourris et chauds, je me retourne surpris et un peu vexé de ne pas avoir anticipé ce largage incontrôlé et mon éjaculateur anonyme, non content de m’avoir couvert de son sperme épais, se permet de tout étaler sur mes fesses et me glissant un doigt inquisiteur en guise de remerciements !!! Il a aussitôt disparu dans la vapeur ambiante.
Mon pieu sorti du cul de ma petite salope de service, je constate rapidement que l’anus de Nathan rejette en masse le surplus de sperme qu’il venait d’absorber, sa raie servait de gouttière à foutre qui finissait par tomber au sol du hammam.

Nathan, se retourne, s’assoit et prend ma queue en bouche pour ne pas en perdre un gramme… il me nettoie le membre et me suce les burnes avec un sourire d’ado satisfait du moment qu’il venait de vivre.
Il me regarde et me dit :
- Mes potes me surnomme « Vide-couilles » j’avais oublié de te le dire…
Moi :
- Je comprends mieux ! Tu es une véritable chienne, à ton âge tu as de l’expérience mon cochon, plus pédé tu meurs !
Nathan enthousiaste me répond :
- Je pratique depuis l’âge de 17 ans, je suis une salope et l’assume parfaitement, tu es ma troisième bite de la journée et mon pote Sébastien va me prendre en cabine avant de partir… Je suis addicte à la queue, il m’en faut une presque tous les jours, je baise partout et à toute heure, j’ai une petite queue mais un grand puits du bonheur pour les mecs, qu’ils soient pédés, hétéros, mariés… je m’en fous… je suis un malade du pénis, de la verge, de la queue, des braquemards, de la pine, de la teub, du zob, du phallus, du zizi, de la bite !
Quelle révélation, il n’y a plus rien à rajouter à cet inventaire quasi complet !

Nathan et moi quittâmes le hammam, non sans caresser quelques fesses imberbes ou poilues, une bonne douche bien chaude… Son pote Sébastien l’attendait au bar la queue à moitié sortie de sa serviette nouée négligemment autour de la taille, il nous dit :
- Alors ? Ça s’est bien passé tous les deux ? Tu as apprécié les talents de notre « vide-couilles » ?
Moi surpris par sa familiarité :
- Super, Nathan a tout pour lui, sa beauté juvénile et son cul de passif rompu à toutes épreuves… Merci de me l’avoir confié !
Sébastien d’un ton dominateur :
- De rien, moi je l’encule quand je veux et où je veux, d’ailleurs on va vous laisser… je dois me vider dans son garage à bite avant d’aller me coucher, bye !

Je les vois s’éloigner et monter à l’étage en direction d’une cabine… Mais comment fait-il ce salaud, il ne doit plus pouvoir s’asseoir sans douleur au cul ce Nathan !

Je suis retourné dans le bassin à grosses bulles histoire de me détendre les burnes et les sentir être malaxées par les buses d’air un maximum avant de retrouver le vestiaire, il était déjà 23h45, je n’avais pas vu le temps passé dans ce sauna embué et plein de surprises, mon hôtel était à deux pas d’ici.
Demain je rentrerai de mon soi-disant déplacement en province, je retrouverais ma morosité de couple avec Kelly, si elle savait ce que je pourrai faire avec elle… Elle serait certainement outrée ou plus exactement « Chocking » ma petite anglaise.

Vivement mon prochain sauna gay, j’ai hâte de tester le sling… en donneur ou en receveur… C’est bien connu, il faut tout essayer dans la vie !

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Super histoire, hyper excitante. J’ai ma Kelly, mais à ce jour je n’ai pas franchi le pas, mais un de ces jours je m’ouvrirai aux désirs des hommes.

Histoire Erotique
Bonjour,

Magnifique récit parfaitement écrit, ton récit est palpitant et hyperbandant !
Ma première épouse n'était pas anglaise, mais peu portée sur le sexe...
J'ai fréquenté de façon hebdomadaire et fréquente encore parfois les saunas lyonnais, parfois parisiens, avec de fort belles rencontres, moments intenses et magnifiques !
J'adore comme toi porter des sous-vêtements (masculins) sexy, de préférences très transparents, et provoquer des regards dès le déshabillage dans le vestiaire...
Je rase couilles, pubis et SIF, les caresses en sont plus exquises, et mon côté exhib s'exprime pleinement sur les belles plages françaises à la belle saison !

Vise le sexe sans tabous, homo ou hétérosexuel !

Bravo encore pour ton long récit qui m'a bien émoustillé...



Texte coquin : Embué et pas que… dans mon sauna gay !
Histoire sexe : Une rose rouge
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