Emmanuelle 3

- Par l'auteur HDS Jerome68 -
Récit érotique écrit par Jerome68 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Emmanuelle 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-09-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Emmanuelle 3
9 :00 tapante. Je suis devant cette porte fermée. La soirée d’hier a été plus que surprenante. L’invitation lancée à mon voisin n’avait pas d’intentions particulières sinon, au passage, glisser un mot sur la gêne occasionnée par les bruits de talons de sa copine. J’ai d’abord été étonné lorsqu’il est entré chez moi, tout de blanc vêtu, de distinguer sous son bermuda une couleur surprenante, mauve, et une forme pas du tout ressemblante à un dessous masculin. J’ai laissé filer tout d’abord, mais au fil des discussions, sa manière aléatoire de répondre à mes questions sur sa copine, sa façon d’être pendu à mes lèvres, à mes mots, sa gestuelle gracile, et enfin quand j’ai clairement vu le shorty en dentelles dépasser de son bermuda, plus de doutes possibles. Les bruits de talons viennent de lui, la poupée que je vois tard le soir, c’est lui. Je n’en n’ai pas encore parlé mais ma sexualité est assez ouverte. On peut me qualifier de bi dans la mesure où j’ai eu des relations avec des femmes bien sûr mais aussi avec des « hommes ». Côté mecs, mon choix s’est toujours porté sur des androgynes, ou efféminés. Clairement c’est l’aspect féminin de ces mecs qui m’a toujours attiré. Et un de mes fantasmes a toujours été de pouvoir me faire une trans ou un travesti crédible. Autant vous dire que ce petit minet, une fois cerné, m’a mis en appétit. J’ai adoré son corp frêle et lisse, sa peu laiteuse, ses tétons roses, et en plus cette mini bite car oui, je suis toujours actif et j’assouvis très rarement les tensions de ces messieurs. Tout en lui faisait penser à une petite femelle, qui plus est à tendance soumise. Car aucunes suggestions ou injonctions que j’ai pu émettre n’a fait l’objet de contestations, et ça j’adore. Donc oui je n’ai pas hésité, au contraire, j’ai saisi cette opportunité unique. Et je n’ai pas l’impression d’avoir eu à insister pour que ma queue puis, plus tard, mon sperme, se retrouvent au fond de sa bouche. Une occasion pareille ne se présentant pas 2 fois, j’ai battu le fer tant qu’il est chaud en imposant ce 2ème RDV dès le lendemain matin. Et là nous y voilà, on verra bien, car 2 options sont possibles. Soit il fuit et la porte ne s’ouvrira pas, auquel cas je saurais à quoi m’en tenir et n’insisterais pas, soit, il ou plutôt elle m’ouvre et les possibilités s’élargiront encore. Alors voilà, la réponse est bout de mon doigt, qui presse en ce moment la sonnette.
La sonnerie n’a pas fini de retentir que j’entends le bruit du verrou, puis la porte qui s’ouvre. L’image qui s’offre à mes yeux n’a rien à voir avec le frêle garçon d’hier. A mes yeux se dévoile une jolie blondinette, cheveux bouclés. Son visage dont le regard pointé vers le sol est légèrement maquillé, son corps est enveloppé dans une robe qui lui colle à la peau, révélant la finesse de son corps. Sa taille fine, ses jambes lisses visibles au-dessus des cuisses, se terminant par des escarpins à talons hauts dont dépassent des orteils roses. Je fais un pas pour entrer et m’approcher d’elle. D’une main sous le menton je relève sa tête pour qu’elle me regarde. Ses yeux pétillants se plantent dans les miens.
- Tu es magnifique ma belle
- Je… J’avais peur de ne pas te plaire
Pour toute réponse je viens coller mes lèvres aux siennes et planter ma langue en profondeur dans sa bouche. Ses bras s’enroulent autour de mon cou, son corps tremblant se colle au mien. Ce baiser dur un certain temps avant que je n’y mette fin. Je ferme la porte et Emmanuelle nous guide vers son salon où elle me propose de m’assoir sur le canapé.
- Tu veux boire quelque chose ?
- Un café
Je la regarde traverser la pièce vers la cuisine. Son allure fluide, à l’aise malgré la hauteur de ses talons ne laisse en rien deviner qu’une bite, même d’une taille ridicule, se cache sous sa robe. Elle me ramène mon café et vient s’asseoir à côté de moi. Je lui demande de me parler d’elle, de sa vie, de son chemin jusqu’à ce jour. Elle me raconte son enfance, se vie avec ses sœurs, plus en détails ses 2 seules aventures, elle parle pendant 1 heure sans s’arrêter. Sa voix elle aussi est différente, plus légère, plus fluette, ses manières sont à s’y méprendre celles d’une jeune fille. Lorsqu’elle termine son récit
- Et maintenant ?
- Comment ça maintenant ?
- Et bien qu’attends-tu ? Qu’espères-tu ?
- Heu je ne sais pas trop
- Pourquoi penses-tu que je suis là ?
- Je ne sais pas…
- Je vais te dire mes attentes. J’aspire à faire de toi une femme mais aussi une femelle. Soyons clair, le sexe sera au centre de notre relation s’il y en a une. Tu seras autant mon jouet que ma poupée, je m’occuperai bien de toi, sous tous rapports mais j’attends de ta part dans ce cas une dévotion totale. Comprends-tu ?
- Je crois oui
- Et est-ce que cette voie te tente ?
- Je ne sais pas… devenir une femme… comment je vais faire avec ma vie, mon travail, ma famille ?
- Chaque chose en son temps. Tout ne sera pas immédiat, en dehors du fait qu’en ma présence à aucun moment tu n’auras les traits d’un garçon !
- Je crois que j’ai envie d’essayer alors
- Bien, dans ce cas, fais ce qu’une bonne femelle doit faire
- Quoi ?
- Suce-moi
Sans réfléchir ses mains se sont immédiatement dirigées vers ma ceinture pour la défaire ainsi que mon jean que j’ai fait glisser au sol. Aussitôt elle s’est précipitée sur mon caleçon afin d’en dégager ma queue qui commençait à se tendre. A genoux sur le canapé elle a englouti ma bite semi molle et c’est sous sa langue experte que j’ai terminé de bander. Elle a usé de toute son expertise de pompeuse de chibre, usant de ses mains pour me branler et me masser les couilles. Pas une partie de ma bite ou de mes couilles n’a manqué la visite de ses lèvres ou sa langue. Tandis qu’elle s’affairait à me pomper j’ai aventuré ma main sous sa robe, explorant son superbe cul. D’une douceur de soie il est rond et ferme, deux magnifiques globes parfaitement séparés par la mince bande de tissus de son string. Du bout de mon doigt j’ai commencé à jouer avec les bords de sa rosette que je sentis vite palpiter sous mon doigt. Rapidement une première phalange de mon majeur s’est fait aspirer. J’ai été étonné de trouver son orifice souple et humide. Assez facilement c’est tout mon doigt qui coulissait en elle, lui déclenchant de longs gémissements. Décidé à marquer mon territoire, je me suis redressé, lui retirant sa sucette de la bouche, je l’ai redressé puis soulevée jusqu’à la prendre dans mes bras. Ses jambes se sont enroulées autour de ma taille, ses fesses se posant sur la queue.
- Où est ta chambre ?
Elle m’a indiqué la direction et s’est jetée sur ma bouche. Arrivés dans la chambre je l’ai laissé tomber sur le lit et l’ai retourné à plat ventre puis, la tirant par les cuisses je lui ai fait lever les fesses. J’ai retroussé sa robe au-dessus de ses fesses et baissé son string sur ses cuisses
- J’espère pour toi que tu es fraîche
- Oui mon amour, je me suis préparée pour toi
Pour m’en assurer j’ai légèrement senti et j’y ai trouvé qu’un délicieux parfum de gel douche sucré. C’est donc avec ma langue que j’ai continué mon exploration lui décrochant de nouveaux couinements de plaisir. Sans avoir à forcer ce n’est plus un mais deux doigts qui coulissaient sans efforts en elle. Je voyais son clito flasque laisser couler un liquide transparent. La jugeant prête je me suis redressé et j’ai présenté ma queue à son entrée. Je l’ai d’abord juste posé contre afin de ressentir les pulsations de son anneau, puis lentement j’ai commencé à pousser, rajoutant de la salive quand c’était nécessaire pour la lubrifier, jusqu’à me retrouver avec ses fesses contre mon bassin. Je la sentais alors respirer fort tout en gémissant légèrement, sûrement d’un mélange de plaisir et de douleur. Son anneau rectal palpitait sur ma queue. Je l’ai alors senti avancer de quelques centimètres puis reculer à nouveau
- J’ai bien l’impression que ça te plaît ?
- Hum oui c’est bon
- Très bien, te voilà dépucelée comme toute bonne femelle. Mais ça n’est pas terminé
Je l’ai saisie alors fermement par les hanches et retiré ma queue jusqu’à n’en laisser que le gland à l’intérieur avant de revenir au fond d’elle. Mes premiers allers-retours la fond doucement ronronner de plaisir puis quand je la sens prête à encaisser plus, j’accélère mes mouvements. Son ronron devient alors gémissement, râles de plaisir, couinements. Elle m’encourage, demandant à son mâle de la faire jouir, de la fertiliser. Je me retire d’elle, la faisant au passage râler de frustration, pour la retourner sur le dos. Je retrousse sa robe jusqu’au milieu du ventre, pose ses jambes sur mes épaules avant de me réintroduire en elle d’une traite tout en plantant mon regard dans le sien. Son visage n’est que plaisir, ses petits cris féminins ne laissent aucuns doutes quant au plaisir qu’elle prend à sentir ma queue labourer ses entrailles. Son clito, à peine tendu, laisse perler quelques gouttes régulières sur son ventre. Lorsque j’attaque le marathon final, je la vois agripper les draps en répétant des « oui, encore, plus fort ». Je finis par me déverser par longues rasades au fond de sa chatte anale déclenchant par la même occasion son propre orgasme. Elle se cabre alors tout en laissant s’écouler un jus visqueux, blanchâtre, mais rare, de son appendice. Lorsque l’apothéose de son orgasme retombe, elle aussi retombe sur le matelas, son visage barré d’un immense sourire de satisfaction, les bras en croix.
- Merci, murmure t’elle, c’était merveilleux
- Je confirme, tu es délicieuse à baiser, et rassures-toi ce n’est que la première fois
- J’ai hâte de recommencer, mais je suis heureuse d’avoir attendu pour que tu sois le premier
- Tu n’as pas encore rempli toute tes obligations. Nettoie-moi
Je m’approche d’elle, à genoux sur le lit, lui tendant ma queue en train de ramollir
- Mais… elle, heu elle était dans mes fesses
- Non, elle était plantée au plus profond de ton cul ! Et si ton cul est assez propre pour qui j’y plante ma queue, il l’est assez pour qu’ensuite tu la nettoie. Sache que dorénavant elle repassera systématiquement par ta bouche après avoir visité ta chatte anale, à toi donc de faire en sorte d’être assez propre
Résignée et confiante elle l’embouche et me la nettoie avec attention et affection. Une fois propre elle y dépose un petit baiser.
- Va te rafraîchir, tu en as besoin, tu pu la bite. Et dépêche-toi, la journée n’est pas terminée

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Hummm très belle histoire j'aimerais bien vivre la même aventure

Histoire Erotique
J'aurais bien aimé te gêner avec mes talons comme ça nous aurions fait connaissance et avec ton côté autoritaire et directif peut être serais je devenue ta poupée et ton jouet



Texte coquin : Emmanuelle 3
Histoire sexe : Une rose rouge
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