Emmanuelle 7
Récit érotique écrit par Jerome68 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-08-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Emmanuelle 7
Le retour se fait tranquillement en bus. Lors du trajet Emmanuelle s’est assoupie sur mon épaule, éreintée de son après-midi. Je la réveille à notre arrêt et nous rejoignons son appartement
Tu es épuisée, tant physiquement que moralement je pense. Va prendre une douche et va te coucher. Je reviens dans deux heures. Soit fraiche mais inutile de t’habiller
D’accord… oui, je suis à plat…
Je me rends donc chez moi, les bras chargés de paquets. Je prévois de mettre à profit ces deux heures pour déballer une grande partie de mes achats mais aussi pour me reposer un peu. Même si ma journée a été moins éprouvante que celle d’Emmanuelle qui, au passage, ne cesse de me surprendre, il me faut aussi recharger un peu mes batteries.
A l’heure dite, je prends le sac contenant une partie des achats et m’en retourne chez Emmanuelle. Lorsqu’elle m’ouvre la porte, c’est bien nue, à l’exception de sa petite cage rose que je la trouve. J’entre et nous allons dans la pièce de vie où je sors du sac les premières affaires. Il s’agit d’une tenue que j’ai achetée dans le sexshop et dont je tends, pièce par pièce, les éléments à Emmanuelle. Pour commencer, un porte-jarretelles en cuir noir. Compose d’un large bandeau et de fines bandes d’accroche, lorsqu’elle l’enfile il lui affine encore plus la taille. Pour s’y accorder, une paire de bas a très fines mailles de résilles, avec une jarretière large faite de dentelles. Ces bas lui allongent les jambes. S’en suit un string, en cuir toujours. Minimaliste il permet de dissimuler son oiseau en cage tout en séparant à merveille ses deux lobes fessiers d’une mince ficelle sombre. Pour couvrir le tout, mais sans trop en cacher, c’est une jupe, toujours en cuir. La coupe fait penser à une jupe d’écolière, mais la matière change. Assez courte, elle lui couvre tout juste ses superbes fesses. Pour le haut, c’est un bustier corset. Emmanuelle n’ayant pas de poitrine j’en ai choisi un qui couvre la poitrine tout en, de par le serrage, compressant le peu de masse de sa poitrine. Taillé en V vers le bas, la pointe du V force le regard sur son ventre plat et le piercing qui l’Orne à présent. Pour finir, je lui fais enfiler une paire de botte, toujours en cuir évident, lustré et brillant. Dotées de plateformes de 5cm, d’un talon aiguille 15cm, avec un laçage sur tout l’avant, elles lui arrivent juste sous les genoux.
Bien, va te maquiller en rapport
Baissant les yeux elle me répond simplement d’un timide « oui ». Je lui laisse un petit quart d’heure pendant lequel j’en profite pour me dénuder puis la rejoins dans la chambre où elle termine de se maquiller. Son choix et son expertise me surprennent. C’est un regard totalement noir, fard à paupière noir légèrement pailleté, cils allongés, crayon noir épais allongeant son regard en amande. Les joues légèrement rougies, les lèvres d’un rouge carmin mat lui donne un visage moins angélique. Je m’approche d’elle alors qu’elle est encore assise ne sachant pas quoi faire et la fait se lever pour la guider devant sa glace, dos à moi
Comment tu te trouves ?
Déjà, à sentir l’effet que je te fais, ça me plaît
En effet tu me plais, mais ce n’est pas ma question
Je me trouve sexy… même plutôt salope je dirais. Je… je me sens soumise ainsi, oui c’est une tenue de salope soumise que je porte
En effet, c’est ce que je voulais que tu sois ce soir. Tu es ma soumise, ma chienne je te l’ai dit. Ce soir et jusqu’à nouvel ordre tu me vouvoie et m’appelle « Maître », compris ?
Oui
Oui qui ?
Oui Maître
La prenant par le bras fermement je la guide dans le salon. Du sac je sors une petite boîte, un écrin qui, lorsque je le tends à ma chienne, lui fait scintiller les yeux.
Calme-toi, même si c’est effectivement une bague que je t’offre comme tu peux le voir sur l’anneau noir, il est gravé « slut ». A partir de maintenant, lorsque je tournerais ta bague rendant ton statut visible, tu prendras l’attitude de soumise que je t’apprendrais et qui inclue le vouvoiement.
Je lui passe donc la bague, au majeur, la décevant je pense espérant que ce soit à l’annulaire. Elle me remercie, le regard bas, d’un « merci Maître ». Je sors ensuite du sac deux bracelets épais. Chacun munis d’une attache et, après les lui avoir mis aux poignets, c’est dans le dos que je lui lie les mains.
Marche, défile pour moi
Juchée sur ses talons, ma chienne déambule dans ses pièces, accentuant sa démarche chaloupée, prenant quelques poses sexy. Évidement mon étendard ne tarde pas à se dresser et en le voyant, Emmanuelle ne peut retenir un sourire de fierté. Je vais alors m’affaler dans le canapé, et, d’un ton sec
Viens me sucer chienne
Évidement, affamée et gourmande comme toujours ma chienne n’hésite pas et telle une louve en chasse vient vers moi. Elle se place entre les jambes et, bancale du fait d’être entravée, se met tant bien que mal à genoux. Elle se retrouve face à ma queue tendue, le visage illuminé de plaisir. Je la vois sortir sa langue et disparaître bas entre mes cuisses. Sa langue vient se poser sur la base de mes couilles puis, lentement, centimètres par centimètres, remonte jusqu’à arriver à la pointe de mon gland. De la pointe de sa langue elle tournoie autour, joue sur mon frein, redescend sur la corolle, avant de redescendre à la base de mes couilles. Elle se met ensuite à mes les lécher, l’une après l’autre, puis à me les sucer, séparément puis les deux se retrouvent dans sa bouche. Tout en gobant mes bourses, elle me les caresses de sa langue voluptueuse. Repue de me bouffer les couilles, sa langue reprend le chemin du bout de ma bite, ses lèvres s’enroulent délicatement autour, puis lentement glissent vers le bas. Au tiers elle remonte pour replonger plus bas puis remonte pour enfin descendre jusqu’à la base. Lentement, elle fait coulisser ma queue dure entre ses lèvres pulpeuses, flattant mon gland de la langue. Après quelques allers-retours, elle descend jusqu’à la base, se plantant mon gland au fond de la gorge, puis remonte, reprendre son souffle avant de redescendre une nouvelle fois complètement. Elle reproduit ceci deux fois jusqu’à ce que, alors qu’elle a mon gland au fond de la gorge et s’apprête à remonter je la bloque d’une main ferme sur la tête. Je la retiens aussi longtemps que je l’en sens capable. De la bave coule de sa bouche, ses yeux coulent entraînant son maquillage. Je la relâche, le temps pour elle de tousser et de ravaler un peu de sa bave, avant de lui replanter ma queue bien au fond, bien moins délicatement. Je force sa bouche en gorge profonde durant bien un quart d’heure, la faisant suffoquer à plusieurs reprises. Je décide finalement de me lever, la maintenant genoux à terre, je lui saisis la tête et viens lui planter ma queue. Je me mets alors à lui baiser la bouche, violemment, la menant plusieurs fois proche du vomissement ou de l’étouffement. Lorsque je décide d’arrêter, elle a des coulures de bave jusqu’au cou, ses yeux ressemblent à un regard de panda tant son maquillage a coulé. Brutalement, je la pousse en avant et, ayant les mains toujours liées dans le dos, ma chienne s’étale face à terre. Je la tire alors par le bassin pour lui remonter la croupe. J’écarte son string sur le côté avant de venir placer ma queue trempée de sa salive contre sa corolle et de l’y enfoncer d’une traite. Un cri, probablement plus de douleur que de plaisir s’échappe de sa bouche. N’en tenant compte, je me mets à lui labourer les entrailles, la tirant par les hanches, par les cheveux. Je bourre ma salope soumise, sans délicatesse, usant de son abus pour mon seul et unique plaisir. J’alterne les vitesses et cadences de sorte à ne pas venir en elle tout de suite. Satisfait de lui avoir ravagé le cul je me retire, la laissant face contre terre, à bout de souffle. Je la laisse récupérer une ou deux minutes avant de la tirer par les poignets. Je lui détache ses entraves avant de retourner m’assoir sur le canapé.
Viens t’empaler sur ma queue. Fais-moi jouir dans ton cul de chienne !
Ma chienne se place dos à moi, saisie ma queue et la pointe contre sa porte arrière encore totalement ouverte. C’est donc sans difficultés qu’elle parvient à se la mettre au plus profond, venant jusqu’à s’asseoir sur moi. Elle entame alors de lents vas et viens, s’appuyant des mains sur mes genoux. Elle coulisse alors tout en couinant son plaisir sur ma tige droite et tendue. Je profite pleinement de son cul, sans rien faire, adossé au canapé. Je la laisse manœuvrer ainsi avant de la tirer contre moi. Je la guide alors pour qu’elle pose ses pieds sur mes jambes. Ainsi positionnée je peux reprendre le contrôle et me mettre à lui pistonner le cul. Prise telle une chienne en rut, Emmanuelle ne retient plus ses gémissements ni ses cris de plaisir. Sans retenue elle hurle le plaisir que ma queue la pistonnant procure son plaisir.
Tandis que je la ramone, j’entends un bruit et vois du mouvement vers le couloir. Je maintiens le rythme, proche de la jouissance, et je continu de ramoner le cul de ma chienne. Soudain, une personne, une femme apparaît dans la pièce, et ébahie
Manu ?! Mais c’est quoi ce bordel ?!
Je sens alors ma chienne se tendre, elle n’est plus à son affaire, tente même de se retirer, tandis que je continu de lui fourrer la chatte anale
Ne t’arrête pas salope
Tant bien que mal, je la ramène à sa tâche tout en continuant de la pistonner tandis que la femme nous regard les yeux ronds. La situation, d’être regardés tandis que je baise ma chienne fais monter mon excitation et je finis par décharger ma semence tout en plantant ma queue au plus profond du cul de ma petite pute. Emmanuelle elle aussi part dans un orgasme guttural au point que je sens son jus couler sur ma cuisse. Je finis de décharger mon jus dans ses entrailles alors qu’elle s’est laissé tomber sur moi. Je la fais se redresser, et, me saisissant d’un rosebud que j’avais préparé, je lui rebouche le cul afin d’emprisonner mon sperme au chaud.
Nettoie ma queue
Mais… elle…
Une baffe suffit à lui faire comprendre qu’elle n’a pas son mot à dire. Elle se glisse à genoux entre mes cuisses et entame une toilette en bonne et due forme. Notre visiteuse regarde toujours la scène, bouche bée. Elle se met à bredouiller
Mais Manu… il se passe quoi là ?
Ma poupée termine ma toilette et me regarde d’un air interrogatif.
Tu sais qui c’est ?
Oui… c’est ma sœur
Ha, et bien enchanté ! Mais c’est pas bien d’entrer chez les gens comme ça et de les mater !
Mais vous êtes qui vous ? Et vous faites quoi à mon frère bordel ?!
Ma femelle et moi ne faisions rien que de prendre un peu de bon temps. Bon, je vais aller prendre une douche et vous laisser un instant seul, histoire d’éclaircir quelques zones d’ombres. Toi, n’oublie pas ta place !
Oui mon Maître
Je me lève donc, nu, sous le regard de la sœur qui me détail, un peu trop vers ma queue d’ailleurs.
Pendant que je prends une douche volontairement longue
Manu, tu vas enfin m’expliquer ce qui se passe ici ?
Claire, écoute… déjà qu’est-ce que tu fais ici ? T’es chez moi la !
Ce que je fais ici ? Mais ça fait deux jours que je t’appelle et que tu ne réponds pas ! J’avais besoin de te parler, de ton soutien, après m’être faite larguée par Bruno. Et ce midi tu étais censé venir manger chez maman ! Alors j’ai fini par venir… comme tu ne répondais pas à la sonnette j’ai utilisé les doubles, et quand j’étais derrière la porte j’ai entendu crier, alors je suis entrée ! Mais bon sang qu’est-ce qui se passe !? C’est quoi cette… tenue ? C’est qui ce type ?
Emmanuelle se lance alors dans une explication, plus ou moins détaillée, cachant les parties les plus croustillantes. Elle avoue son attirance pour les hommes, sa féminité, notre rencontre et qu’on a passé le week-end ensemble. Elle dit à sa sœur à quel point elle était sur un nuage qu’elle en a tout oublié, coupé son téléphone.
Que tu es gay je le sais depuis longtemps, mais tout ça… enfin cette tenue… c’est…
Oui, c’est osé et j’aime ça. Jérôme m’a enfin permis de sortir de mon cocon, et j’aime ce que je suis
Mais enfin Manu, t’es habillé comme… une pute
Oui hihi
Et… pendant que vous… enfin tu sais, j’ai vu … sur ton… sex
C’est une cage, je refuse de bander, une fille ne bande pas. Mon homme me veut le plus féminine possible et je ferais n’importe quoi pour lui plaire
C’est sur cette fin de discussion que j’entre dans la pièce, vêtu simplement d’une serviette autour de la taille. Je me dirige donc vers notre intruse
On ne s’est pas présenté moi c’est Jérôme, enchanté
Heu oui, moi c’est Claire, enchantée aussi
Lorsque j’ai salué Claire elle est restée assise, la tête à hauteur de mon bassin. Elle a serré la main que je lui ai tendu en ayant du mal à garder le regard vers mon visage. Les présentations faites, je m’installe à côté de ma poupée qui semble très gênée. Prenant sa main, je fais tourner la bague afin de dissimuler l’inscription, signe que nous passons donc dans une relation plus « classique ». Les discussions qui s’en suivent sont assez banales, bien que les deux sœurs semblent plutôt embarrassées. Emmanuelle, toujours dans sa tenue de chienne soumise, gesticule sans cesse, cherchant à se montrer prude, mais sans jamais me lâcher la main. De son côté Claire fuit systématiquement mon regard et, régulièrement, semble lorgner sous ma serviette puisque je ne mets pas de gros efforts pour garder les jambes serrées, d’autant plus que la situation me fait avoir une semi-érection.
Il faut que je vous décrive Claire. Plus grande que sa sœur, de près d’une tête, elle a une carrure plus forte également. Sans être grosse, elle a tout de même une corpulence plus généreuse. Ses cheveux longs sont châtains, des yeux noisette, une grande bouche. Sa tenue… ne ressemble à rien. Un pantalon beige clair en toile je dirais, un haut noir difforme, des chaussures noires fades et sans talons. Cependant, même si très mal mise en valeur, elle dispose d’une poitrine plus que généreuse. Je doute de pouvoir faire tenir la moitié d’un sein dans ma main. Sans classe ni raffinement, elle semble aussi extrêmement peu sûre d’elle. Son regard est toujours fuyant, elle cherche souvent ses mots, bafouille, ne sait pas trop comment se tenir. Pourtant, en y regardant bien, elle pourrait avec un peu d’effort être délicieuse.
Nos papotages polissés s’interrompent lorsque Claire prend congé. C’est un plaisir gourmand pour moi que de reluquer ma chienne dans sa tenue raccompagner sa sœur. Je les accompagne jusqu’à la porte, ne manquant pas de garder une main ferme sur le fessier de ma poupée.
Sa sœur partie, m’a poupée s’effondre en larme, ses nerfs lâchent.
Ma vie est fichue, que va penser ma famille de tout ça ! Ma sœur m’a vu me faire baiser, habillée comme une pute
Effectivement et en plus tu as été plus que bonne. Tu m’as fait jouir comme j’ai rarement joui ! Et à en juger par la flaque de ton jus qui sèche par terre je crois que toi aussi
Oui mais ce n’est pas le problème
C’est quoi le problème ? Tu n’es pas heureuse du week-end qu’on a passé ? De t’être enfin découverte ?
Si, mais
Pas de mais ! As-tu des regrets ?
Non…
Dans ce cas tu n’as pas à te mettre dans cet état. Il aurait fallu un jour que ça se sache, c’est fait. Maintenant ressaisis toi ! Et rappel toi ta place !
Sur ces mots je lui prends la main pour lui remette la bague en position soumise
Oui mon Maître, pardonnez-moi
Bien. Tu vas retoucher ton maquillage puis tu me ramènes une bière. Ensuite tu prépares mon repas. Te baiser m’a donné faim
Maître, pardon mais je n’ai pas de bière
Tu vas en chercher chez moi. Je n’ai pas fermé à clef. Et dépêche-toi j’ai soif
J’accompagne mes mots d’une claque ferme sur son cul et retourne au salon. Emmanuelle toujours dans sa tenue de pute disparait dans le couloir et, quand elle revient, je suis à nouveau affalé dans son canapé. Elle vient vers moi, deux bières à la main et m’en tend une
Et tu crois que je vais l’ouvrir moi-même peut-être ?
Ho, pardon
Pardon qui ?
Pardon maître, dit-elle avant de filer à la cuisine chercher un décapsuleur
Ça te ferait chier de me donner un verre ?!
Pardon Maître, je … enfin…
Elle abandonne sa recherche d’une excuse et disparait à nouveau à la cuisine pour en revenir avec un verre. Un peu tremblante elle galère à ouvrir la bière et manque d’en verser à côté du verre.
A genoux ! Tu vas devoir recevoir ta première correction
Pardon Maître mais je… enfin je débute, j’apprendrais à mieux vous servir
Ce n’est pas pour la bière idiote. Tout à l’heure lorsque je te baisais et qu’on a été interrompus, tu as essayé de te retirer. Je ne t’avais pas permis de t’interrompre, et tu as bien faillit me faire rater mon orgasme salope. Pour ça, tu mérite 10 coups de ce jolie paddle tout neuf
Je finis ma phrase en saisissant le paddle sur le canapé. En cuir noir, sur la partie plate destinée aux caresses douloureuses est inscrit « SISSY » en lettre rouge.
Mets-toi à quatre pattes. Que ce soit clair, le seul son que je veux entendre c’est le comptage des coups que tu vas prendre, suivis à chaque fois d’un remerciement. Si j’entends le moindre cri, le moindre gémissement, ou n’importe quel autre son, je repars à 0, suis-je bien clair
Oui Maître
Je relève bien sa courte jupette, lui caresse la fesse droite et le premier coup s’écrase dessus dans un claquement plus sonore que n’aura été fort le coup
Un, merci Maître
Deux, merci Maître
Trois, merci Maître
Quatre, merci Maître
Haaaa, cinq, merci Maître
On recommence à zéro !
Un, merci Maître
Deux, merci Maître
Trois, merci Maître
Cette fois ci, non sans mal et les larmes sur les joues, nous arrivons à dix. Ses fesses sont rouge écarlate et, en les caressant, je les sens brulantes.
Tu dois comprendre ma poupée, même si j’ai un certain plaisir à te punir, je le fais principalement pour toi. Tu dois apprendre qu’il y a des règles et les conséquences lorsque tu ne les respectes pas. Ton éducation, ton dressage seront au cœur de notre relation, tu dois en avoir conscience.
Je comprends, veuillez me pardonner…
Je n’ai pas à te pardonner, j’ordonne et si tu n’exécute pas, je sanctionne. A présent va t’occuper du repas
Oui Maître, merci Maître. Est-ce que vous m’autorisez à vous embrasser ?
Non, va en cuisine
Je me saisis de la télécommande, allume la télé, et sirote ma bière tranquillement sans me préoccuper d’elle, qui finit par partir en cuisine. En me connectant sur sa box, je fouille pour voir ses programmes favoris, ses historiques, et le constat est simple, c’est tout hyper girly… Je finis par zapper et m’arête sur une série que je regarde jusqu’à ce que ma poupée vienne m’informer que le repas sera prêt dans un instant. Je me lève alors et vais en cuisine avec Emmanuelle qui me suit. Il y a de bonnes odeurs, deux casseroles sur le feu. Je vais vers les placards que je fouille en quête d’une tasse.
Face au plan de travail, les mains à plats, écartes tes jambes et penche-toi
Emmanuelle se positionne et je passe derrière elle, lui baisse son string, place la tasse sous ses fesses, retire son joujou de sa chatte anale
Pousse
Son étoile brune s’ouvre légèrement et laisse s’échapper une purée épaisse blanchâtre. Je la laisse évacuer tout le sperme dont je l’ai tapissé et, étonné, constate la quantité généreuse. Lorsqu’elle est purgée, je lui replace son bijou et la tire contre moi. Je me saisi de sa main baguée et fait tourner l’anneau afin de basculer en mode classique
Va te changer, soit élégante
Tandis qu’elle part dans sa chambre, pour ma part je me rhabille dans le salon et l’y attends près d’une demi-heure. Le son de ses talons, qui est le son à l’origine de notre rencontre finalement, m’annonce son arrivée. Je me retrouve plutôt subjugué par ce que je vois venir face à moi. Le son a attiré mon regard et c’est donc sur ses pieds que se pose mes yeux en premier. Ils sont chaussés de sandales aux talons vertigineux, argentées à paillettes, maintenues par une bride de cheville. Ses orteils se termine par un vernis, qu’elle n’avait pas avant, lui aussi pailleté d’argent. Mon regard remonte le long de son corps paré d’une robe elle aussi argentée et pailleté. Allant jusqu’au-dessus de ses mollets, elle est largement ouverte jusqu’à mi-cuisse avant de se refermer pour dissimuler son intimité. Largement cintrée, sa taille est encore plus affinée et lui moule délicieusement les hanches. Elle remonte en V, recouvrant sa poitrine artificielle, mais laissant voir qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. La lanière, croisée, qui s’enroule derrière sa nuque donne un sentiment de fragilité à son cou. Je note qu’elle a prit soin de reprendre sa coiffure dorée, y remettant de l’ordre et du volume, une mèche tombant partiellement devant un œil, l’autre coté dégagé derrière une oreille, dévoilant ses piercing récents. Son maquillage, discret mais bien présent, yeux assombris légèrement, fard teinte rose un peu foncée, pommettes légèrement rosies, lèvres scintillantes d’un gloss brillant et rose. Ses mains portes des bijoux achetés ensemble mais également un bracelet, et une bague que je ne connais pas. Je lui avais demandé d’être élégante, là elle est tout simplement à tomber. Je tends la main pour qu’elle vienne vers moi, ce qu’elle fait, d’une démarche chaloupée, sexy, le regard perdu entre le sol et mes yeux. Elle vient vers moi, me saisit la main et, le regard bas, sollicite une réaction de ma part. Enroulant un bras derrière sa taille, je la rapproche de moi, contre moi, son visage à quelques centimètres du mien
Tu es tout simplement sublime
Merci…
Je vois ses yeux scintiller, et une petite larme couler au coin de son œil
Pourquoi tu pleur ?
Je ne sais pas, juste parce que je suis heureuse ? Vous savez, tout ça c’est…
Tu n’as plus à me vouvoyer
Pardon… mais je suis chamboulée, en deux jours, tant de choses se sont passées… tant de belles choses. Quand je me suis regardée dans le miroir avant de venir, je n’en revenais pas. Je n’y croyais pas, que c’était moi, dans le miroir… Avant toi, je me trouvais tout juste passable, un travelo bas de gamme. Là, je peux affirmer m’être trouvée belle, élégante comme tu me l’as demandé. Mais surtout, la façon dont tu m’as regardé, ce regard, ton sourire… Me trouver belle au travers de tes yeux est la plus merveilleuse des récompenses
Pour toute réponses, je la sers contre moi et prend possession, tendrement, de sa bouche. Nos langues se trouvent et se lancent dans un slow sensuel. Les caresses de sa langue sur la mienne sont sensuelles et tendres. Ses bras, enlacés derrière ma nuque, ses doigts qui s’emmêlent dans mes cheveux. Je finis par défaire notre étreinte, non sans mal tant elle semble vouloir rester coller à mes lèvres.
Dresse la table et dinons
En quelques allers-retours, élégants, la table est dressée et les plats sur la table, je me lève donc et après un écart par la cuisine je me mets à table. J’ai posé devant elle la tasse remplie de mon jus plus tôt
Tu assaisonneras ton plat avec.
Le repas, simple, composé d’un assortiment de légumes et de filets de volaille se passe de façon plutôt classique. Seul particularité, l’assaisonnement imposé à ma poupée, dont elle ne laissera pas une goutte, allant jusqu’à racler du bout du doigt le fond de la tasse. Nous papotons de tout et de rien, de sujets divers tout le long du repas. Pas un instant j’ai l’impression de diner aux côtés d’une personne équipée d’un service trois pièces. Ses points de vue, ses gestuelles, son timbre de voix, tout est féminin du début à la fin du repas. Le repas terminé je décide de l’aider à débarrasser, remplir le lave-vaisselle.
Nous irons dormir chez moi cette nuit. Tu vas préparer une tenue pour la nuit. Et également préparer ta tenue pour demain, je viendrais la valider. Si nous dormons chez moi, c’est parce que comme je te l’ai dit, je refuse de te voir dans ta version « masculine ». Tu te lèveras avant moi pour préparer le petit déjeuner, qu’on prendra ensemble. Ensuite tu iras chez toi et on se reverra le soir. Tu n’as pas d’obligation demain soir ?
Non
Tant mieux, ça t’évitera d’avoir à annuler. Tu vas me donner ton numéro de téléphone, je te préviendrais de l’heure à laquelle j’arrive chez moi. A quelle heure tu termines le travail toi ?
A 16h
Bien, ça te laissera le temps de te préparer avant que je rentre. Va préparer tes affaires maintenant
Elle vient vers moi, passe une main sur ma nuque et m’offre sa bouche amoureuse et gourmande avant de filer dans sa chambre. Je me régale à la regarder. Je lui laisse un petit quart d’heure avant de la rejoindre dans la chambre où elle finit juste de préparer ses affaires. Je la retrouve, un peu stressée et tendue
Alors, tu as choisi quoi ?
Oui… ça me fait un peu flipper… C’est pas du tout mon look habituel, tout le monde va s’apercevoir des changements
Quels changements ?
De style vestimentaires, mes oreilles percées, mes sourcils
Tu devrais peut-être y aller en robe carrément ?
Ho mon dieu non, je ne suis pas prête à ça !
Tu n’es pas prête mais tu en rêve
Oui… évidement…
Et bien, il faut préparer le terrain… tes collègues savent que tu aimes les hommes ?
Certains oui, il ne faut pas se leurrer, je fais un peu « tapette » quand même
Bien, dans ce cas ce sera un bon premier pas. Puis on verra au fur et à mesure. Montre-moi ton choix
Pour commencer, Emmanuelle prend sur le lit un des jeans que nous avons acheté ensemble. Pour l’avoir vu le porter, il est très slim, taille basse et lui moule à la perfection son cul de rêve. Pour le haut, c’est un chemisier gris clair, pris au rayon femme mais qui, aux détails près, passera inaperçu. Pour les dessous, du moins le bas, elle a opté pour un shorty en dentelle noir. Je vois qu’elle a aussi préparé avec ses vêtements le rosebud dont l’extrémité extérieure représente un homme. Je le regarde et lui valide le choix d’un sourire.
Bien, je note que tu n’as choisis que des vêtements que nous avons achetés ensemble, des vêtements féminins. Également que tu opte pour un dessous féminin aussi. Et pour les chaussures ?
Ho merde, je n’y avais pas pensé…
Mets les derbys noires que je t’ai offerte
Ho.. oui, ça va être très voyant vu comme elle brillent mais c’est vrai que c’est ce qui ira le mieux. J’ai des petites socquettes pour mettre avec
Tu garderas ton vernis aux pieds, en revanche tu devras penser à retirer celui aux mains
Ho mon dieu, oui, j’y pensais plus… Je vais avoir du boulot demain matin
Oui et demain soir pour le remettre. Tu gagneras du temps quand tu n’auras plus besoin de l’enlever
Oui… un jour peut-être
Bien, ça c’est pour cette nuit ?
Oui
Prends et allons-y
Elle se saisit de sa tenue de nuit et nous quittons son appartement pour rejoindre le mien, au bout du couloir. Pendue à mon bras telle une amoureuse éperdue, j’aime sentir le balancier de son bassin contre le mien. Chez moi, je l’invite à déposer sa tenue de nuit dans la chambre puis, dans la cuisine lui montre où est rangé ce dont elle aura besoin demain matin. Main dans la main, nous allons ensuite au salon, on s’installe devant la TV, dans le canapé. Elle vient se lover contre moi, pieds, toujours chaussés, repliés sous elle. Un film passe, mais rapidement, son visage étant tout proche du mien, ce sont nos langues qui démarrent le spectacle. Tendresse et sauvagerie se mélangent dans ce baiser, mes mains parcours ses hanches, ses seins même si artificiels qui sont délicieux à malaxer. De son côté sa main est sur mon torse, me câline, mais elle se retrouve rapidement plus bas, sur mon bas ventre. Délicatement, elle me caresse avec tendresse. Sans être une masturbation au travers du pantalon, elle contourne les bords de la bosse qui se forme, câline mes bourses. Sa bouche finie par s’égarer dans mon cou, sur mon torse qu’elle met a nu en ouvrant lentement ma chemise. Mes tétons se trouvent caresser par sa langue, mordillés du bout de ses dents. Sa main sur mon paquet se fait plus insistante, d’autant plus que l’excitation montant je me mets à durcir. Sans m’en rendre compte, je me retrouve le pantalon baillant, la bite érigée dans sa main. Tout en me masturbant tendrement, sa bouche descend lentement, flattant mon ventre un peu plus généreux que la moyenne de ses baisers et de sa langue pour finir sur mon gland qu’elle se met à embrasser de petits bisous tendres et affectueux. Sa langue émerge, et vient voluptueusement me caresser le champignon, en faire le tour, descendre légèrement, remonter, le caresser le prépuce. Du bout de sa langue épaisse, elle descend le long de ma tige tout me massant ou caressant les couilles. Sa main s’écarte pour que sa langue puisse venir me les léchées, sa bouche me les gober avant de remonter jusqu’à mon gland tendu d’excitation. Ses lèvres viennent s’enrouler autour, descendent lentement, remontent, redescendent jusqu’à ce que ses allers-retours mènent mon gland au fond de sa gorge. Sans forcer, elle me prend entièrement tout en me massant de sa langue. Bientôt c’est un balai, alternant entre danse de salon et zouk qui s’anime sur ma queue dure comme du fer. Elle me pompe ainsi, riche de talent et d’une passion débordante pendant bien vingt minutes. L’invitant à remonter elle se fait féline et vient se mette à califourchon sur moi reprenant le massage de ma queue avec son bassin. Sa bouche continue d’être gourmande en dévorant la mienne avec passion. Je me redresse, la prend dans mes bras et tant bien que mal, avec le pantalon sur les chevilles la porte jusque dans la chambre pour la jeter sur le lit. Elle atterrit presqu’avec grâce, les bras en croix, sur le dos. Je me débarrasse complètement de mes vêtements, puis a genoux sur le je m’approche d’elle. D’un mouvement un peu brusque je la retourne sur le ventre lui faisant pousser un cri féminin de surprise. Je chevauche ses pieds, la tire par le bassin pour redresser sa croupe, puis la fait se relever, à genoux, dos à moi. Ma queue raide vient de loger entre ses fesses par-dessus sa robe tandis que mes mains saisissent ses seins et ma bouche lui dévore le cou puis la bouche. Je détache la fermeture de sa robe dans sa nuque et lui la retire par le haut. Je découvre le string blanc en dentelle qu’elle porte dessous, humide entre ses cuisses. Je la pousse en avant pour la mettre à quatre pattes et me jette sur son cul. Ses fesses encore rougies subissent les assauts de mes dents et ma langue avant que je ne fasse glisser son dernier vêtement vers le bas. Sous le string elle porte un autre rosebud que plutôt, celui-ci est avec le strass cœur vert. Je joue avec, le tirant vers la sortie puis le relâche, le fait tourner, pour son plus grand plaisir. Je finis par lui le retirer et laisser un anneau plissé entrouvert qui sent le propre. Elle a a priori eu le temps de se rafraîchir, ce qui tombe bien et me permet d’aller lui dévorer. Ma langue tournoyant sur et dans sa corolle lui fait lâcher de doux gémissements de plaisir. C’est la première fois que je lui mange sa chatte anale et elle semble apprécier. Bientôt ses gémissements se transforme en cris de plaisirs « ho putain c’est trop bon ». D’un premier doigt je viens fouiller sa porte arrière qui se lubrifie seule puis un second et troisième viennent l’investir.
Prends moi, je t’en prie, baise moi, casse moi le cul, remplis moi de ton foutre chaud mon amour !
S’il n’y a que ça pour lui faire plaisir… je retire mes doigts, me redresse et la bite en main je viens pointer le bout contre sa corolle encore entre ouverte qui palpite. Je fais le tour de son anus avec mon gland, fais coulisser ma queue sur toute sa longueur entre ses lobes puis reviens présenter mon gland devant l’entrée. D’un mouvement sec elle se recule et le fait entrer en elle de bien 5 centimètres. « Ho oui, enfin, que j’aime avoir ta queue chaude en moi, j’aime ta queue, je T’AIME ! ». Sur cette déclaration je me plante au plus profond d’elle, d’une traite, fais tournoyer mon bassin avant de ressortir lentement pour la réinvestir aussitôt. À chaque fois que mon bassin claque contre elle, Emmanuelle gémi de plaisir. Après deux trois allers-retours, lorsque je me recule, c’est elle qui vient de réempaler sur ma queue. Je libère ses hanches et laisse se baiser, me baiser la queue de son cul à la gourmandise sans fin. Je laisse faire un moment et, n’y tenant plus je me ressaisis de ses hanches pour la faire coulisser sur mon dard planté en elle. Nous baisons ainsi un moment dans un mélange de sauvagerie et de sensualité avant de me retirer brusquement d’elle. Je la retourne sur le dos et vais me glisser entre ses cuisses largement ouvertes, telle une invitation. Tandis que nos bouches se dévorent mutuellement, je guide ma queue pour la réintroduire en elle avant de recommencer à la baiser en missionnaire. Ses jambes s’enroulent autour de moi, ses mains saisissent mes fesses, l’incitant à plonger au fond d’elle. Pour la première fois, je lui fais l’amour plus que je ne la baise. Avec tendresse pour une fois je vais et viens en elle, presque couché sur elle, nos bouches soudées. Je me redresse ensuite, à genoux, tout en restant fiché en elle, lève ses jambes et pose ses pieds toujours chaussés sur mes épaules pour reprendre ma cavalcade dans son anus. Je réalise que son clito encagé et recourbé suinte son jus sur ma queue, la lubrifiant, et c’est donc son jus que pour le moment je tasse dans ses entrailles. De part son regard malicieux je comprends qu’elle attend que je l’achève et je ne me prive pas, augmentant le rythme, je m’active dans son conduit avant de m’y déverser planté au plus profond d’elle. Nos orgasmes mutuels son bruyants, preuve ultime du plaisir que nous avons.
Emmanuelle est la, face à moi, étendue sur mon lit, les bras en croix, ses jambes toujours sur mes épaules, recherchant son souffle mais arborant un immense sourire de satisfaction. Je dois reconnaître qu’elle est belle ainsi, ma queue encore plantée en elle mais qui débande. Soudainement elle se redresse un peu et part à la recherche de son bijoux anal. Je me retire d’elle et la laisse se l’introduire
J’aime tellement conserver ta semence chaude en moi…
Change-toi et dormons
Péniblement elle se redresse, s’assoie au bord du lit, retire ses chaussures, attrape sa sublime nuisette blanche ivoire qu’elle enfile par-dessus un petit shorty du même blanc. Nous nous étendons sur le lit et c’est sa tête sur mon torse que nous nous endormons.
Tu es épuisée, tant physiquement que moralement je pense. Va prendre une douche et va te coucher. Je reviens dans deux heures. Soit fraiche mais inutile de t’habiller
D’accord… oui, je suis à plat…
Je me rends donc chez moi, les bras chargés de paquets. Je prévois de mettre à profit ces deux heures pour déballer une grande partie de mes achats mais aussi pour me reposer un peu. Même si ma journée a été moins éprouvante que celle d’Emmanuelle qui, au passage, ne cesse de me surprendre, il me faut aussi recharger un peu mes batteries.
A l’heure dite, je prends le sac contenant une partie des achats et m’en retourne chez Emmanuelle. Lorsqu’elle m’ouvre la porte, c’est bien nue, à l’exception de sa petite cage rose que je la trouve. J’entre et nous allons dans la pièce de vie où je sors du sac les premières affaires. Il s’agit d’une tenue que j’ai achetée dans le sexshop et dont je tends, pièce par pièce, les éléments à Emmanuelle. Pour commencer, un porte-jarretelles en cuir noir. Compose d’un large bandeau et de fines bandes d’accroche, lorsqu’elle l’enfile il lui affine encore plus la taille. Pour s’y accorder, une paire de bas a très fines mailles de résilles, avec une jarretière large faite de dentelles. Ces bas lui allongent les jambes. S’en suit un string, en cuir toujours. Minimaliste il permet de dissimuler son oiseau en cage tout en séparant à merveille ses deux lobes fessiers d’une mince ficelle sombre. Pour couvrir le tout, mais sans trop en cacher, c’est une jupe, toujours en cuir. La coupe fait penser à une jupe d’écolière, mais la matière change. Assez courte, elle lui couvre tout juste ses superbes fesses. Pour le haut, c’est un bustier corset. Emmanuelle n’ayant pas de poitrine j’en ai choisi un qui couvre la poitrine tout en, de par le serrage, compressant le peu de masse de sa poitrine. Taillé en V vers le bas, la pointe du V force le regard sur son ventre plat et le piercing qui l’Orne à présent. Pour finir, je lui fais enfiler une paire de botte, toujours en cuir évident, lustré et brillant. Dotées de plateformes de 5cm, d’un talon aiguille 15cm, avec un laçage sur tout l’avant, elles lui arrivent juste sous les genoux.
Bien, va te maquiller en rapport
Baissant les yeux elle me répond simplement d’un timide « oui ». Je lui laisse un petit quart d’heure pendant lequel j’en profite pour me dénuder puis la rejoins dans la chambre où elle termine de se maquiller. Son choix et son expertise me surprennent. C’est un regard totalement noir, fard à paupière noir légèrement pailleté, cils allongés, crayon noir épais allongeant son regard en amande. Les joues légèrement rougies, les lèvres d’un rouge carmin mat lui donne un visage moins angélique. Je m’approche d’elle alors qu’elle est encore assise ne sachant pas quoi faire et la fait se lever pour la guider devant sa glace, dos à moi
Comment tu te trouves ?
Déjà, à sentir l’effet que je te fais, ça me plaît
En effet tu me plais, mais ce n’est pas ma question
Je me trouve sexy… même plutôt salope je dirais. Je… je me sens soumise ainsi, oui c’est une tenue de salope soumise que je porte
En effet, c’est ce que je voulais que tu sois ce soir. Tu es ma soumise, ma chienne je te l’ai dit. Ce soir et jusqu’à nouvel ordre tu me vouvoie et m’appelle « Maître », compris ?
Oui
Oui qui ?
Oui Maître
La prenant par le bras fermement je la guide dans le salon. Du sac je sors une petite boîte, un écrin qui, lorsque je le tends à ma chienne, lui fait scintiller les yeux.
Calme-toi, même si c’est effectivement une bague que je t’offre comme tu peux le voir sur l’anneau noir, il est gravé « slut ». A partir de maintenant, lorsque je tournerais ta bague rendant ton statut visible, tu prendras l’attitude de soumise que je t’apprendrais et qui inclue le vouvoiement.
Je lui passe donc la bague, au majeur, la décevant je pense espérant que ce soit à l’annulaire. Elle me remercie, le regard bas, d’un « merci Maître ». Je sors ensuite du sac deux bracelets épais. Chacun munis d’une attache et, après les lui avoir mis aux poignets, c’est dans le dos que je lui lie les mains.
Marche, défile pour moi
Juchée sur ses talons, ma chienne déambule dans ses pièces, accentuant sa démarche chaloupée, prenant quelques poses sexy. Évidement mon étendard ne tarde pas à se dresser et en le voyant, Emmanuelle ne peut retenir un sourire de fierté. Je vais alors m’affaler dans le canapé, et, d’un ton sec
Viens me sucer chienne
Évidement, affamée et gourmande comme toujours ma chienne n’hésite pas et telle une louve en chasse vient vers moi. Elle se place entre les jambes et, bancale du fait d’être entravée, se met tant bien que mal à genoux. Elle se retrouve face à ma queue tendue, le visage illuminé de plaisir. Je la vois sortir sa langue et disparaître bas entre mes cuisses. Sa langue vient se poser sur la base de mes couilles puis, lentement, centimètres par centimètres, remonte jusqu’à arriver à la pointe de mon gland. De la pointe de sa langue elle tournoie autour, joue sur mon frein, redescend sur la corolle, avant de redescendre à la base de mes couilles. Elle se met ensuite à mes les lécher, l’une après l’autre, puis à me les sucer, séparément puis les deux se retrouvent dans sa bouche. Tout en gobant mes bourses, elle me les caresses de sa langue voluptueuse. Repue de me bouffer les couilles, sa langue reprend le chemin du bout de ma bite, ses lèvres s’enroulent délicatement autour, puis lentement glissent vers le bas. Au tiers elle remonte pour replonger plus bas puis remonte pour enfin descendre jusqu’à la base. Lentement, elle fait coulisser ma queue dure entre ses lèvres pulpeuses, flattant mon gland de la langue. Après quelques allers-retours, elle descend jusqu’à la base, se plantant mon gland au fond de la gorge, puis remonte, reprendre son souffle avant de redescendre une nouvelle fois complètement. Elle reproduit ceci deux fois jusqu’à ce que, alors qu’elle a mon gland au fond de la gorge et s’apprête à remonter je la bloque d’une main ferme sur la tête. Je la retiens aussi longtemps que je l’en sens capable. De la bave coule de sa bouche, ses yeux coulent entraînant son maquillage. Je la relâche, le temps pour elle de tousser et de ravaler un peu de sa bave, avant de lui replanter ma queue bien au fond, bien moins délicatement. Je force sa bouche en gorge profonde durant bien un quart d’heure, la faisant suffoquer à plusieurs reprises. Je décide finalement de me lever, la maintenant genoux à terre, je lui saisis la tête et viens lui planter ma queue. Je me mets alors à lui baiser la bouche, violemment, la menant plusieurs fois proche du vomissement ou de l’étouffement. Lorsque je décide d’arrêter, elle a des coulures de bave jusqu’au cou, ses yeux ressemblent à un regard de panda tant son maquillage a coulé. Brutalement, je la pousse en avant et, ayant les mains toujours liées dans le dos, ma chienne s’étale face à terre. Je la tire alors par le bassin pour lui remonter la croupe. J’écarte son string sur le côté avant de venir placer ma queue trempée de sa salive contre sa corolle et de l’y enfoncer d’une traite. Un cri, probablement plus de douleur que de plaisir s’échappe de sa bouche. N’en tenant compte, je me mets à lui labourer les entrailles, la tirant par les hanches, par les cheveux. Je bourre ma salope soumise, sans délicatesse, usant de son abus pour mon seul et unique plaisir. J’alterne les vitesses et cadences de sorte à ne pas venir en elle tout de suite. Satisfait de lui avoir ravagé le cul je me retire, la laissant face contre terre, à bout de souffle. Je la laisse récupérer une ou deux minutes avant de la tirer par les poignets. Je lui détache ses entraves avant de retourner m’assoir sur le canapé.
Viens t’empaler sur ma queue. Fais-moi jouir dans ton cul de chienne !
Ma chienne se place dos à moi, saisie ma queue et la pointe contre sa porte arrière encore totalement ouverte. C’est donc sans difficultés qu’elle parvient à se la mettre au plus profond, venant jusqu’à s’asseoir sur moi. Elle entame alors de lents vas et viens, s’appuyant des mains sur mes genoux. Elle coulisse alors tout en couinant son plaisir sur ma tige droite et tendue. Je profite pleinement de son cul, sans rien faire, adossé au canapé. Je la laisse manœuvrer ainsi avant de la tirer contre moi. Je la guide alors pour qu’elle pose ses pieds sur mes jambes. Ainsi positionnée je peux reprendre le contrôle et me mettre à lui pistonner le cul. Prise telle une chienne en rut, Emmanuelle ne retient plus ses gémissements ni ses cris de plaisir. Sans retenue elle hurle le plaisir que ma queue la pistonnant procure son plaisir.
Tandis que je la ramone, j’entends un bruit et vois du mouvement vers le couloir. Je maintiens le rythme, proche de la jouissance, et je continu de ramoner le cul de ma chienne. Soudain, une personne, une femme apparaît dans la pièce, et ébahie
Manu ?! Mais c’est quoi ce bordel ?!
Je sens alors ma chienne se tendre, elle n’est plus à son affaire, tente même de se retirer, tandis que je continu de lui fourrer la chatte anale
Ne t’arrête pas salope
Tant bien que mal, je la ramène à sa tâche tout en continuant de la pistonner tandis que la femme nous regard les yeux ronds. La situation, d’être regardés tandis que je baise ma chienne fais monter mon excitation et je finis par décharger ma semence tout en plantant ma queue au plus profond du cul de ma petite pute. Emmanuelle elle aussi part dans un orgasme guttural au point que je sens son jus couler sur ma cuisse. Je finis de décharger mon jus dans ses entrailles alors qu’elle s’est laissé tomber sur moi. Je la fais se redresser, et, me saisissant d’un rosebud que j’avais préparé, je lui rebouche le cul afin d’emprisonner mon sperme au chaud.
Nettoie ma queue
Mais… elle…
Une baffe suffit à lui faire comprendre qu’elle n’a pas son mot à dire. Elle se glisse à genoux entre mes cuisses et entame une toilette en bonne et due forme. Notre visiteuse regarde toujours la scène, bouche bée. Elle se met à bredouiller
Mais Manu… il se passe quoi là ?
Ma poupée termine ma toilette et me regarde d’un air interrogatif.
Tu sais qui c’est ?
Oui… c’est ma sœur
Ha, et bien enchanté ! Mais c’est pas bien d’entrer chez les gens comme ça et de les mater !
Mais vous êtes qui vous ? Et vous faites quoi à mon frère bordel ?!
Ma femelle et moi ne faisions rien que de prendre un peu de bon temps. Bon, je vais aller prendre une douche et vous laisser un instant seul, histoire d’éclaircir quelques zones d’ombres. Toi, n’oublie pas ta place !
Oui mon Maître
Je me lève donc, nu, sous le regard de la sœur qui me détail, un peu trop vers ma queue d’ailleurs.
Pendant que je prends une douche volontairement longue
Manu, tu vas enfin m’expliquer ce qui se passe ici ?
Claire, écoute… déjà qu’est-ce que tu fais ici ? T’es chez moi la !
Ce que je fais ici ? Mais ça fait deux jours que je t’appelle et que tu ne réponds pas ! J’avais besoin de te parler, de ton soutien, après m’être faite larguée par Bruno. Et ce midi tu étais censé venir manger chez maman ! Alors j’ai fini par venir… comme tu ne répondais pas à la sonnette j’ai utilisé les doubles, et quand j’étais derrière la porte j’ai entendu crier, alors je suis entrée ! Mais bon sang qu’est-ce qui se passe !? C’est quoi cette… tenue ? C’est qui ce type ?
Emmanuelle se lance alors dans une explication, plus ou moins détaillée, cachant les parties les plus croustillantes. Elle avoue son attirance pour les hommes, sa féminité, notre rencontre et qu’on a passé le week-end ensemble. Elle dit à sa sœur à quel point elle était sur un nuage qu’elle en a tout oublié, coupé son téléphone.
Que tu es gay je le sais depuis longtemps, mais tout ça… enfin cette tenue… c’est…
Oui, c’est osé et j’aime ça. Jérôme m’a enfin permis de sortir de mon cocon, et j’aime ce que je suis
Mais enfin Manu, t’es habillé comme… une pute
Oui hihi
Et… pendant que vous… enfin tu sais, j’ai vu … sur ton… sex
C’est une cage, je refuse de bander, une fille ne bande pas. Mon homme me veut le plus féminine possible et je ferais n’importe quoi pour lui plaire
C’est sur cette fin de discussion que j’entre dans la pièce, vêtu simplement d’une serviette autour de la taille. Je me dirige donc vers notre intruse
On ne s’est pas présenté moi c’est Jérôme, enchanté
Heu oui, moi c’est Claire, enchantée aussi
Lorsque j’ai salué Claire elle est restée assise, la tête à hauteur de mon bassin. Elle a serré la main que je lui ai tendu en ayant du mal à garder le regard vers mon visage. Les présentations faites, je m’installe à côté de ma poupée qui semble très gênée. Prenant sa main, je fais tourner la bague afin de dissimuler l’inscription, signe que nous passons donc dans une relation plus « classique ». Les discussions qui s’en suivent sont assez banales, bien que les deux sœurs semblent plutôt embarrassées. Emmanuelle, toujours dans sa tenue de chienne soumise, gesticule sans cesse, cherchant à se montrer prude, mais sans jamais me lâcher la main. De son côté Claire fuit systématiquement mon regard et, régulièrement, semble lorgner sous ma serviette puisque je ne mets pas de gros efforts pour garder les jambes serrées, d’autant plus que la situation me fait avoir une semi-érection.
Il faut que je vous décrive Claire. Plus grande que sa sœur, de près d’une tête, elle a une carrure plus forte également. Sans être grosse, elle a tout de même une corpulence plus généreuse. Ses cheveux longs sont châtains, des yeux noisette, une grande bouche. Sa tenue… ne ressemble à rien. Un pantalon beige clair en toile je dirais, un haut noir difforme, des chaussures noires fades et sans talons. Cependant, même si très mal mise en valeur, elle dispose d’une poitrine plus que généreuse. Je doute de pouvoir faire tenir la moitié d’un sein dans ma main. Sans classe ni raffinement, elle semble aussi extrêmement peu sûre d’elle. Son regard est toujours fuyant, elle cherche souvent ses mots, bafouille, ne sait pas trop comment se tenir. Pourtant, en y regardant bien, elle pourrait avec un peu d’effort être délicieuse.
Nos papotages polissés s’interrompent lorsque Claire prend congé. C’est un plaisir gourmand pour moi que de reluquer ma chienne dans sa tenue raccompagner sa sœur. Je les accompagne jusqu’à la porte, ne manquant pas de garder une main ferme sur le fessier de ma poupée.
Sa sœur partie, m’a poupée s’effondre en larme, ses nerfs lâchent.
Ma vie est fichue, que va penser ma famille de tout ça ! Ma sœur m’a vu me faire baiser, habillée comme une pute
Effectivement et en plus tu as été plus que bonne. Tu m’as fait jouir comme j’ai rarement joui ! Et à en juger par la flaque de ton jus qui sèche par terre je crois que toi aussi
Oui mais ce n’est pas le problème
C’est quoi le problème ? Tu n’es pas heureuse du week-end qu’on a passé ? De t’être enfin découverte ?
Si, mais
Pas de mais ! As-tu des regrets ?
Non…
Dans ce cas tu n’as pas à te mettre dans cet état. Il aurait fallu un jour que ça se sache, c’est fait. Maintenant ressaisis toi ! Et rappel toi ta place !
Sur ces mots je lui prends la main pour lui remette la bague en position soumise
Oui mon Maître, pardonnez-moi
Bien. Tu vas retoucher ton maquillage puis tu me ramènes une bière. Ensuite tu prépares mon repas. Te baiser m’a donné faim
Maître, pardon mais je n’ai pas de bière
Tu vas en chercher chez moi. Je n’ai pas fermé à clef. Et dépêche-toi j’ai soif
J’accompagne mes mots d’une claque ferme sur son cul et retourne au salon. Emmanuelle toujours dans sa tenue de pute disparait dans le couloir et, quand elle revient, je suis à nouveau affalé dans son canapé. Elle vient vers moi, deux bières à la main et m’en tend une
Et tu crois que je vais l’ouvrir moi-même peut-être ?
Ho, pardon
Pardon qui ?
Pardon maître, dit-elle avant de filer à la cuisine chercher un décapsuleur
Ça te ferait chier de me donner un verre ?!
Pardon Maître, je … enfin…
Elle abandonne sa recherche d’une excuse et disparait à nouveau à la cuisine pour en revenir avec un verre. Un peu tremblante elle galère à ouvrir la bière et manque d’en verser à côté du verre.
A genoux ! Tu vas devoir recevoir ta première correction
Pardon Maître mais je… enfin je débute, j’apprendrais à mieux vous servir
Ce n’est pas pour la bière idiote. Tout à l’heure lorsque je te baisais et qu’on a été interrompus, tu as essayé de te retirer. Je ne t’avais pas permis de t’interrompre, et tu as bien faillit me faire rater mon orgasme salope. Pour ça, tu mérite 10 coups de ce jolie paddle tout neuf
Je finis ma phrase en saisissant le paddle sur le canapé. En cuir noir, sur la partie plate destinée aux caresses douloureuses est inscrit « SISSY » en lettre rouge.
Mets-toi à quatre pattes. Que ce soit clair, le seul son que je veux entendre c’est le comptage des coups que tu vas prendre, suivis à chaque fois d’un remerciement. Si j’entends le moindre cri, le moindre gémissement, ou n’importe quel autre son, je repars à 0, suis-je bien clair
Oui Maître
Je relève bien sa courte jupette, lui caresse la fesse droite et le premier coup s’écrase dessus dans un claquement plus sonore que n’aura été fort le coup
Un, merci Maître
Deux, merci Maître
Trois, merci Maître
Quatre, merci Maître
Haaaa, cinq, merci Maître
On recommence à zéro !
Un, merci Maître
Deux, merci Maître
Trois, merci Maître
Cette fois ci, non sans mal et les larmes sur les joues, nous arrivons à dix. Ses fesses sont rouge écarlate et, en les caressant, je les sens brulantes.
Tu dois comprendre ma poupée, même si j’ai un certain plaisir à te punir, je le fais principalement pour toi. Tu dois apprendre qu’il y a des règles et les conséquences lorsque tu ne les respectes pas. Ton éducation, ton dressage seront au cœur de notre relation, tu dois en avoir conscience.
Je comprends, veuillez me pardonner…
Je n’ai pas à te pardonner, j’ordonne et si tu n’exécute pas, je sanctionne. A présent va t’occuper du repas
Oui Maître, merci Maître. Est-ce que vous m’autorisez à vous embrasser ?
Non, va en cuisine
Je me saisis de la télécommande, allume la télé, et sirote ma bière tranquillement sans me préoccuper d’elle, qui finit par partir en cuisine. En me connectant sur sa box, je fouille pour voir ses programmes favoris, ses historiques, et le constat est simple, c’est tout hyper girly… Je finis par zapper et m’arête sur une série que je regarde jusqu’à ce que ma poupée vienne m’informer que le repas sera prêt dans un instant. Je me lève alors et vais en cuisine avec Emmanuelle qui me suit. Il y a de bonnes odeurs, deux casseroles sur le feu. Je vais vers les placards que je fouille en quête d’une tasse.
Face au plan de travail, les mains à plats, écartes tes jambes et penche-toi
Emmanuelle se positionne et je passe derrière elle, lui baisse son string, place la tasse sous ses fesses, retire son joujou de sa chatte anale
Pousse
Son étoile brune s’ouvre légèrement et laisse s’échapper une purée épaisse blanchâtre. Je la laisse évacuer tout le sperme dont je l’ai tapissé et, étonné, constate la quantité généreuse. Lorsqu’elle est purgée, je lui replace son bijou et la tire contre moi. Je me saisi de sa main baguée et fait tourner l’anneau afin de basculer en mode classique
Va te changer, soit élégante
Tandis qu’elle part dans sa chambre, pour ma part je me rhabille dans le salon et l’y attends près d’une demi-heure. Le son de ses talons, qui est le son à l’origine de notre rencontre finalement, m’annonce son arrivée. Je me retrouve plutôt subjugué par ce que je vois venir face à moi. Le son a attiré mon regard et c’est donc sur ses pieds que se pose mes yeux en premier. Ils sont chaussés de sandales aux talons vertigineux, argentées à paillettes, maintenues par une bride de cheville. Ses orteils se termine par un vernis, qu’elle n’avait pas avant, lui aussi pailleté d’argent. Mon regard remonte le long de son corps paré d’une robe elle aussi argentée et pailleté. Allant jusqu’au-dessus de ses mollets, elle est largement ouverte jusqu’à mi-cuisse avant de se refermer pour dissimuler son intimité. Largement cintrée, sa taille est encore plus affinée et lui moule délicieusement les hanches. Elle remonte en V, recouvrant sa poitrine artificielle, mais laissant voir qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. La lanière, croisée, qui s’enroule derrière sa nuque donne un sentiment de fragilité à son cou. Je note qu’elle a prit soin de reprendre sa coiffure dorée, y remettant de l’ordre et du volume, une mèche tombant partiellement devant un œil, l’autre coté dégagé derrière une oreille, dévoilant ses piercing récents. Son maquillage, discret mais bien présent, yeux assombris légèrement, fard teinte rose un peu foncée, pommettes légèrement rosies, lèvres scintillantes d’un gloss brillant et rose. Ses mains portes des bijoux achetés ensemble mais également un bracelet, et une bague que je ne connais pas. Je lui avais demandé d’être élégante, là elle est tout simplement à tomber. Je tends la main pour qu’elle vienne vers moi, ce qu’elle fait, d’une démarche chaloupée, sexy, le regard perdu entre le sol et mes yeux. Elle vient vers moi, me saisit la main et, le regard bas, sollicite une réaction de ma part. Enroulant un bras derrière sa taille, je la rapproche de moi, contre moi, son visage à quelques centimètres du mien
Tu es tout simplement sublime
Merci…
Je vois ses yeux scintiller, et une petite larme couler au coin de son œil
Pourquoi tu pleur ?
Je ne sais pas, juste parce que je suis heureuse ? Vous savez, tout ça c’est…
Tu n’as plus à me vouvoyer
Pardon… mais je suis chamboulée, en deux jours, tant de choses se sont passées… tant de belles choses. Quand je me suis regardée dans le miroir avant de venir, je n’en revenais pas. Je n’y croyais pas, que c’était moi, dans le miroir… Avant toi, je me trouvais tout juste passable, un travelo bas de gamme. Là, je peux affirmer m’être trouvée belle, élégante comme tu me l’as demandé. Mais surtout, la façon dont tu m’as regardé, ce regard, ton sourire… Me trouver belle au travers de tes yeux est la plus merveilleuse des récompenses
Pour toute réponses, je la sers contre moi et prend possession, tendrement, de sa bouche. Nos langues se trouvent et se lancent dans un slow sensuel. Les caresses de sa langue sur la mienne sont sensuelles et tendres. Ses bras, enlacés derrière ma nuque, ses doigts qui s’emmêlent dans mes cheveux. Je finis par défaire notre étreinte, non sans mal tant elle semble vouloir rester coller à mes lèvres.
Dresse la table et dinons
En quelques allers-retours, élégants, la table est dressée et les plats sur la table, je me lève donc et après un écart par la cuisine je me mets à table. J’ai posé devant elle la tasse remplie de mon jus plus tôt
Tu assaisonneras ton plat avec.
Le repas, simple, composé d’un assortiment de légumes et de filets de volaille se passe de façon plutôt classique. Seul particularité, l’assaisonnement imposé à ma poupée, dont elle ne laissera pas une goutte, allant jusqu’à racler du bout du doigt le fond de la tasse. Nous papotons de tout et de rien, de sujets divers tout le long du repas. Pas un instant j’ai l’impression de diner aux côtés d’une personne équipée d’un service trois pièces. Ses points de vue, ses gestuelles, son timbre de voix, tout est féminin du début à la fin du repas. Le repas terminé je décide de l’aider à débarrasser, remplir le lave-vaisselle.
Nous irons dormir chez moi cette nuit. Tu vas préparer une tenue pour la nuit. Et également préparer ta tenue pour demain, je viendrais la valider. Si nous dormons chez moi, c’est parce que comme je te l’ai dit, je refuse de te voir dans ta version « masculine ». Tu te lèveras avant moi pour préparer le petit déjeuner, qu’on prendra ensemble. Ensuite tu iras chez toi et on se reverra le soir. Tu n’as pas d’obligation demain soir ?
Non
Tant mieux, ça t’évitera d’avoir à annuler. Tu vas me donner ton numéro de téléphone, je te préviendrais de l’heure à laquelle j’arrive chez moi. A quelle heure tu termines le travail toi ?
A 16h
Bien, ça te laissera le temps de te préparer avant que je rentre. Va préparer tes affaires maintenant
Elle vient vers moi, passe une main sur ma nuque et m’offre sa bouche amoureuse et gourmande avant de filer dans sa chambre. Je me régale à la regarder. Je lui laisse un petit quart d’heure avant de la rejoindre dans la chambre où elle finit juste de préparer ses affaires. Je la retrouve, un peu stressée et tendue
Alors, tu as choisi quoi ?
Oui… ça me fait un peu flipper… C’est pas du tout mon look habituel, tout le monde va s’apercevoir des changements
Quels changements ?
De style vestimentaires, mes oreilles percées, mes sourcils
Tu devrais peut-être y aller en robe carrément ?
Ho mon dieu non, je ne suis pas prête à ça !
Tu n’es pas prête mais tu en rêve
Oui… évidement…
Et bien, il faut préparer le terrain… tes collègues savent que tu aimes les hommes ?
Certains oui, il ne faut pas se leurrer, je fais un peu « tapette » quand même
Bien, dans ce cas ce sera un bon premier pas. Puis on verra au fur et à mesure. Montre-moi ton choix
Pour commencer, Emmanuelle prend sur le lit un des jeans que nous avons acheté ensemble. Pour l’avoir vu le porter, il est très slim, taille basse et lui moule à la perfection son cul de rêve. Pour le haut, c’est un chemisier gris clair, pris au rayon femme mais qui, aux détails près, passera inaperçu. Pour les dessous, du moins le bas, elle a opté pour un shorty en dentelle noir. Je vois qu’elle a aussi préparé avec ses vêtements le rosebud dont l’extrémité extérieure représente un homme. Je le regarde et lui valide le choix d’un sourire.
Bien, je note que tu n’as choisis que des vêtements que nous avons achetés ensemble, des vêtements féminins. Également que tu opte pour un dessous féminin aussi. Et pour les chaussures ?
Ho merde, je n’y avais pas pensé…
Mets les derbys noires que je t’ai offerte
Ho.. oui, ça va être très voyant vu comme elle brillent mais c’est vrai que c’est ce qui ira le mieux. J’ai des petites socquettes pour mettre avec
Tu garderas ton vernis aux pieds, en revanche tu devras penser à retirer celui aux mains
Ho mon dieu, oui, j’y pensais plus… Je vais avoir du boulot demain matin
Oui et demain soir pour le remettre. Tu gagneras du temps quand tu n’auras plus besoin de l’enlever
Oui… un jour peut-être
Bien, ça c’est pour cette nuit ?
Oui
Prends et allons-y
Elle se saisit de sa tenue de nuit et nous quittons son appartement pour rejoindre le mien, au bout du couloir. Pendue à mon bras telle une amoureuse éperdue, j’aime sentir le balancier de son bassin contre le mien. Chez moi, je l’invite à déposer sa tenue de nuit dans la chambre puis, dans la cuisine lui montre où est rangé ce dont elle aura besoin demain matin. Main dans la main, nous allons ensuite au salon, on s’installe devant la TV, dans le canapé. Elle vient se lover contre moi, pieds, toujours chaussés, repliés sous elle. Un film passe, mais rapidement, son visage étant tout proche du mien, ce sont nos langues qui démarrent le spectacle. Tendresse et sauvagerie se mélangent dans ce baiser, mes mains parcours ses hanches, ses seins même si artificiels qui sont délicieux à malaxer. De son côté sa main est sur mon torse, me câline, mais elle se retrouve rapidement plus bas, sur mon bas ventre. Délicatement, elle me caresse avec tendresse. Sans être une masturbation au travers du pantalon, elle contourne les bords de la bosse qui se forme, câline mes bourses. Sa bouche finie par s’égarer dans mon cou, sur mon torse qu’elle met a nu en ouvrant lentement ma chemise. Mes tétons se trouvent caresser par sa langue, mordillés du bout de ses dents. Sa main sur mon paquet se fait plus insistante, d’autant plus que l’excitation montant je me mets à durcir. Sans m’en rendre compte, je me retrouve le pantalon baillant, la bite érigée dans sa main. Tout en me masturbant tendrement, sa bouche descend lentement, flattant mon ventre un peu plus généreux que la moyenne de ses baisers et de sa langue pour finir sur mon gland qu’elle se met à embrasser de petits bisous tendres et affectueux. Sa langue émerge, et vient voluptueusement me caresser le champignon, en faire le tour, descendre légèrement, remonter, le caresser le prépuce. Du bout de sa langue épaisse, elle descend le long de ma tige tout me massant ou caressant les couilles. Sa main s’écarte pour que sa langue puisse venir me les léchées, sa bouche me les gober avant de remonter jusqu’à mon gland tendu d’excitation. Ses lèvres viennent s’enrouler autour, descendent lentement, remontent, redescendent jusqu’à ce que ses allers-retours mènent mon gland au fond de sa gorge. Sans forcer, elle me prend entièrement tout en me massant de sa langue. Bientôt c’est un balai, alternant entre danse de salon et zouk qui s’anime sur ma queue dure comme du fer. Elle me pompe ainsi, riche de talent et d’une passion débordante pendant bien vingt minutes. L’invitant à remonter elle se fait féline et vient se mette à califourchon sur moi reprenant le massage de ma queue avec son bassin. Sa bouche continue d’être gourmande en dévorant la mienne avec passion. Je me redresse, la prend dans mes bras et tant bien que mal, avec le pantalon sur les chevilles la porte jusque dans la chambre pour la jeter sur le lit. Elle atterrit presqu’avec grâce, les bras en croix, sur le dos. Je me débarrasse complètement de mes vêtements, puis a genoux sur le je m’approche d’elle. D’un mouvement un peu brusque je la retourne sur le ventre lui faisant pousser un cri féminin de surprise. Je chevauche ses pieds, la tire par le bassin pour redresser sa croupe, puis la fait se relever, à genoux, dos à moi. Ma queue raide vient de loger entre ses fesses par-dessus sa robe tandis que mes mains saisissent ses seins et ma bouche lui dévore le cou puis la bouche. Je détache la fermeture de sa robe dans sa nuque et lui la retire par le haut. Je découvre le string blanc en dentelle qu’elle porte dessous, humide entre ses cuisses. Je la pousse en avant pour la mettre à quatre pattes et me jette sur son cul. Ses fesses encore rougies subissent les assauts de mes dents et ma langue avant que je ne fasse glisser son dernier vêtement vers le bas. Sous le string elle porte un autre rosebud que plutôt, celui-ci est avec le strass cœur vert. Je joue avec, le tirant vers la sortie puis le relâche, le fait tourner, pour son plus grand plaisir. Je finis par lui le retirer et laisser un anneau plissé entrouvert qui sent le propre. Elle a a priori eu le temps de se rafraîchir, ce qui tombe bien et me permet d’aller lui dévorer. Ma langue tournoyant sur et dans sa corolle lui fait lâcher de doux gémissements de plaisir. C’est la première fois que je lui mange sa chatte anale et elle semble apprécier. Bientôt ses gémissements se transforme en cris de plaisirs « ho putain c’est trop bon ». D’un premier doigt je viens fouiller sa porte arrière qui se lubrifie seule puis un second et troisième viennent l’investir.
Prends moi, je t’en prie, baise moi, casse moi le cul, remplis moi de ton foutre chaud mon amour !
S’il n’y a que ça pour lui faire plaisir… je retire mes doigts, me redresse et la bite en main je viens pointer le bout contre sa corolle encore entre ouverte qui palpite. Je fais le tour de son anus avec mon gland, fais coulisser ma queue sur toute sa longueur entre ses lobes puis reviens présenter mon gland devant l’entrée. D’un mouvement sec elle se recule et le fait entrer en elle de bien 5 centimètres. « Ho oui, enfin, que j’aime avoir ta queue chaude en moi, j’aime ta queue, je T’AIME ! ». Sur cette déclaration je me plante au plus profond d’elle, d’une traite, fais tournoyer mon bassin avant de ressortir lentement pour la réinvestir aussitôt. À chaque fois que mon bassin claque contre elle, Emmanuelle gémi de plaisir. Après deux trois allers-retours, lorsque je me recule, c’est elle qui vient de réempaler sur ma queue. Je libère ses hanches et laisse se baiser, me baiser la queue de son cul à la gourmandise sans fin. Je laisse faire un moment et, n’y tenant plus je me ressaisis de ses hanches pour la faire coulisser sur mon dard planté en elle. Nous baisons ainsi un moment dans un mélange de sauvagerie et de sensualité avant de me retirer brusquement d’elle. Je la retourne sur le dos et vais me glisser entre ses cuisses largement ouvertes, telle une invitation. Tandis que nos bouches se dévorent mutuellement, je guide ma queue pour la réintroduire en elle avant de recommencer à la baiser en missionnaire. Ses jambes s’enroulent autour de moi, ses mains saisissent mes fesses, l’incitant à plonger au fond d’elle. Pour la première fois, je lui fais l’amour plus que je ne la baise. Avec tendresse pour une fois je vais et viens en elle, presque couché sur elle, nos bouches soudées. Je me redresse ensuite, à genoux, tout en restant fiché en elle, lève ses jambes et pose ses pieds toujours chaussés sur mes épaules pour reprendre ma cavalcade dans son anus. Je réalise que son clito encagé et recourbé suinte son jus sur ma queue, la lubrifiant, et c’est donc son jus que pour le moment je tasse dans ses entrailles. De part son regard malicieux je comprends qu’elle attend que je l’achève et je ne me prive pas, augmentant le rythme, je m’active dans son conduit avant de m’y déverser planté au plus profond d’elle. Nos orgasmes mutuels son bruyants, preuve ultime du plaisir que nous avons.
Emmanuelle est la, face à moi, étendue sur mon lit, les bras en croix, ses jambes toujours sur mes épaules, recherchant son souffle mais arborant un immense sourire de satisfaction. Je dois reconnaître qu’elle est belle ainsi, ma queue encore plantée en elle mais qui débande. Soudainement elle se redresse un peu et part à la recherche de son bijoux anal. Je me retire d’elle et la laisse se l’introduire
J’aime tellement conserver ta semence chaude en moi…
Change-toi et dormons
Péniblement elle se redresse, s’assoie au bord du lit, retire ses chaussures, attrape sa sublime nuisette blanche ivoire qu’elle enfile par-dessus un petit shorty du même blanc. Nous nous étendons sur le lit et c’est sa tête sur mon torse que nous nous endormons.
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