Emmanuelle 4
Récit érotique écrit par Jerome68 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-10-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Emmanuelle 4
Tandis qu’elle se lève du lit en trémoussant exagérément son petit cul, pour ma part je m’affale sur le lit. Je prends un instant pour savourer cet instant. Je l’entends fredonner de plaisir dans la salle de bain, ce qui me sort de ma légère torpeur. Je me lève alors et me dirige vers son armoire. Son armoire ne déborde pas et malheureusement sa garde robe féminine ne remplit pas une grande part. Je sors donc tous ses vêtements qui sont trop masculins et les jette sur un tas. Le vide prend vite place. Je fouille son tiroir à lingerie et pareil jette ses dessous de garçons et j’inspecte ceux féminins pour choisir une parure. Je lui choisis aussi une tenue pour la suite de la journée. J’en suis là lorsqu’elle sort de la salle de bain, enroulée dans une espèce de kimono, recoiffée et maquillage ajusté. Elle voit alors le tas au sol et m’interroge du regard
- Tu n’auras plus besoin de ça
- Mais… et dans ma vie de tous les jours ? Au travail ?
- Je t’ai gardé des tenues que je juge acceptable, et on palliera. Pour le moment contente toi de t’habiller, je t’ai préparé ça
Emmanuelle laisse glisser son kimono à terre sous lequel elle est nue. A part l’absence de poitrine et ce petit plus entre les jambes, sa silhouette est décidément très féminine. Je la laisse prendre et enfiler le string en dentelle bleu ciel et tandis qu’elle prend le soutien-gorge assortis je m’approche d’elle. De chaque main j’attrape un téton, que j’étire, tourne, pince, tout en la faisant s’approcher de moi. Je vois une larme perler aux coins de ses yeux mais son regard reste accroché au mien en signe de défi
- Tu aimes ça on dirait
- Oui…
J’accentue la pression et me penche pour goûter à sa bouche. Pas de passion dans ce baiser mais juste une façon de marquer mon territoire. Je la libère et la laisse continuer de s’habiller. Pour le bas j’ai choisi dans son armoire une jupe verte pastel, qu’elle enfile. Assez courte, il ne faudra pas qu’elle se penche de trop au risque de montrer ses dessous. Pour le haut, c’est un top assez simple, blanc opaque, sans manche, fermé sur le haut. Avant de l’enfiler elle va rechercher les ballons qui lui font office de poitrine. Une fois vêtue elle est à nouveau à croquer et même la prothèse de fortune fait illusion.
- Où sont tes chaussures ?
- Dans le couloir
- Montre-moi
Je la suis dans le couloir où elle ouvre un placard mural. Au bas de celui-ci, cachées, se trouvent 5-6 paires. Toutes sont neuves ou presque, et toutes à talons hauts. Connaissant notre programme à venir je ne choisis pas la paire la plus sexy mais une paire de bottines, brunes, à talons carrés de peut-être 8-10 cm. Lorsqu’elle les a enfilées, elles lui couvrent les mollets et arrivent sous les genoux, allongeant ses jambes et rehaussant son cul rond
- Tu as un sac à main ?
- Heu oui
- Prends-le et tes affaires, nous partons
- On part ? Mais où ? Je ne peux pas sortir comme ça, en plein jour
- Ho que si tu peux
- Mais… non, tout le monde va voir ce que je suis
- Tu pense que j’ai envie de sortir avec une imitation de femme à mon bras ? Non, tu es une petite bombe sexy qui va faire se retourner plus d’une tête. Maintenant dépêche-toi.
Son sac préparé je la prend par le bras et la guide vers la sortie. La porte fermée, direction l’ascenseur. Il arrive vite, dans la cabine elle m’exprime encore ses craintes que j’ignore tout simplement. Dans la rue elle se fige, c’est moi qui la tire par le bras pour la faire avancer au début. Les premiers mètres sont tendus, mais au fur et à mesure que nous croisons des personnes qui ne témoignent comme intérêt que son minois et son superbe cul, elle se détend. Nous faisons le tour du quartier et revenons à notre immeuble où je la guide à ma voiture. Interrogative elle me regarde mais monte à bord
- Où allons-nous ?
- Faire des achats
- Ha... Ok
En route vers la première destination je ne manque pas de caresser ses cuisses largement dénudées ce qui ne manque pas de la faire sourire. Notre étape nous mène dans un supermarché. Je l’y entraîne suspendue à mon bras et moi une main sur le bas de son dos qui ne résiste pas à descendre plus bas régulièrement. Direction le rayon hygiène & beauté, premier arrêt aux protections périodiques où elle me regarde dubitative.
- Je ne suis pas une « vraie » fille je n’ai pas besoin de ça…
- Crois-moi que tu en auras besoin.
Je mets dans le panier des serviettes pour culottes et pour strings ainsi que des tampons. A la partie beauté je lui demande ce qui lui manque côté maquillage et autres. Timidement elle énumère différentes choses que je prends au fur et à mesure que ses choix se font. Maquillage, crème etc, le panier de remplit assez vite. En tête de rayon je repère un présentoir de bijoux. Certes bas de gamme mais cela manque sur elle. Bagues et colliers viennent compléter le panier avant que nous allions en caisse. Je règle la note sous le regard d’une caissière au regard intrigué. L’étape suivante, atteinte toujours une main sur le volant, une main sur ses cuisses, nous mène en centre ville. Les rues, sans être noires de mondes sont bien remplies quand même. Je ne compte plus les regards appuyés, tant d’hommes que de femmes, qui se sont posés sur Emmanuelle. J’avoue une certaine fierté à cela, avoir cette petite poupée sexy à mon bras, collée à moi amoureusement. La rue marchande fournie en boutiques sera notre destination et c’est dans une première boutique de prêt à porter féminin que je la guide. Dans les rayons je l’invite à se faire plaisir. Ébahie elle commence à regarder fouiller sortir un vêtement, le regarder, le présenter devant elle, le ranger. De mon côté aussi je fais quelques sélections, et ce sont les bras remplis que nous nous dirigeons vers les cabines d’essayage. Une vendeuse, sentant la bonne affaire se précipite à son service, et voilà Emmanuelle lancée dans les essayages. Une large sélection de jupes, robes, hauts se succèdent, toujours accompagné d’un commentaire de la vendeuse. Lorsqu’elle m’interroge je ne résiste pas à répondre par des « ça met ton cul de rêve en valeur » ou « avec cette robe il n’y a pas trop de travail à te la retrousser ». La vendeuse sent clairement les braises ardentes de notre relation car Emmanuelle en joue, elle aussi, par des regards coquins ou des bouts de langues dépassants. Les essayages terminés nous passons en caisse, que je règle, et sortons les bras déjà bien chargés pour nous diriger vers une autre boutique ou à peu près le même scénario se reproduit. Une pause déjeuner s’impose, et en terrasse d’une brasserie nous mangeons un morceau. Assise contre moi elle n’a de cesse de me remercier par des mots ou des baisers appuyés
- Je ne sais pas comment te remercier pour… tout ça
- Ne t’en fais pas tu auras de nombreuses occasions de le faire
Après déjeuner nous enchaînons d’autres boutiques où je lui fais prendre principalement robes et jupes à l’exception de quelques jeans, taille basse, slim, et féminin ainsi que des pantalons unisexes. Elle comprend que ce sera sa garde-robe du quotidien. Dans notre avant dernière boutique, plus fournies en tenues chiques, elle y choisit des robes type cocktail ou de soirée. Lors de l’essayage, je me glisse dans la cabine, ouvre ma braguette
- A genoux et suce moi
Sans hésitation elle s’active à me prodiguer une délicieuse pipe dont elle a le secret. L’excitation de la journée fait que je ne tarde pas trop à lui arroser les amygdales. Elle finit juste de me nettoyer quand une vendeuse pousse le rideau pensant la cabine vide. Emmanuelle, de son plus grand sourire, lui lance simplement « trop tard, j’ai tout bu ! ». Offusquée la vendeuse s’en retourne. Nous quittons cette boutique une nouvelle fois les bras chargés. Ensuite, c’est vers une boutique de lingerie que je la guide. Lorsqu’elle y entre, j’ai l’impression de voir une enfant dans un magasin de jouets. Les yeux ronds et pétillants, un sourire immense aux lèvres, elle ne sait où poser ses yeux. Je prends l’initiative pour la faire décoller et nous arpentons les rayons, où je commence à remplir un panier après qu’elle m’a renseigné sur ses mensurations. Je choisis selon mon goût des assortiments de tous types, classique et passe partout, très sexy, des dentelles, des Lycra, des strings, beaucoup, quelques culottes et shorty, porte-jarretelles, des bas de tous types, body, guêpière, brassières, corset. De son côté, la poupée elle aussi fait ses choix, pour certains très coquins voire minimalistes. Une vendeuse nous regarde les yeux ronds. La note en caisse est salée mais voilà de quoi la rendre encore plus femelle. L’étape suivante est un magasin de chaussures, où là encore un beau nombre d’achats sont réalisés, dans toutes les catégories mais principalement sur des modèles à hauts talons évidemment. Nous allons larguer les sacs dans la voiture avant une dernière étape. Je guide ma poupée à un institut de beauté
- Tu vas voir s’ils ont de la place. Je veux que tu fasses une manucure pour soigner davantage tes ongles, une meilleure finition de tes sourcils et tout ce que tu jugeras nécessaire.
- Tout ça risque d’être visible non ?
- Tu ne crois pas que c’est le but petite sotte ?
- Oui…
Légèrement abattue elle entre et un instant après me confirme qu’elle peut être prise en charge de suite. Je l’informe avoir une course à faire et venir la récupérer après. Le temps de faire mes derniers achats elle est proche d’avoir terminé. Lorsqu’elle vient vers moi, le résultat sur ses sourcils est effectivement très visible et lorsqu’elle me présente ses mains, j’y découvre des ongles plus longs, allongeants et affinant encore ses mains. Sur les ongles au fond rose flashy sont dessinés des cœurs rouge vif. Je trouve ça ravissant et valide son choix en la collant à moi et en l’embrassant en pelotant allègrement son cul que je m’impatiente de réinvestir. Retour à la voiture dont le coffre est plein à craquer puis retour au domicile. On va chez Emmanuelle déposer le plus gros des affaires.
- Bien, je te laisse 2h pour ranger tes affaires, te faire un brin de toilette et te changer pour la soirée. Tu as maintenant une garde robe compète
Elle me répond d’un petit « d’accord » timide, avant de venir s’enlacer à mon cou et me quémander un baiser. Je le lui offre, mais lui en laisse le contrôle. Sa langue vient chercher la mienne, sa bouche se plaque profondément sur la mienne pour attirer ma propre langue à l’investir. Ce baiser est un appel à ce que j’investisse sa bouche. Lorsque ma langue darde entre ses lèvres, elle y simule même une fellation. Durant tout ce temps, son corps se frotte au mien, son bassin venant clairement stimuler mon bas ventre. Une de ses mains quitte ma nuque et vient masse ma bosse naissante à travers le jean. Puis, langoureusement, elle se laisse glisser au sol et sans perdre de temps défait mon pantalon et déballe ma queue semi raide pour l’enfourner dans sa bouche gourmande. Sa pipe est celle d’une pute, son objectif est clairement de pomper mon jus à haute pression. Elle a du talent, et on sent l’expérience et face à son expertise je ne me cherche pas à me retenir et me déverse à nouveau dans sa bouche. Lorsque j’ai fini de gicler ma semence, elle me la montre sur sa langue avant d’avaler et me montrer qu’il n’y a plus rien. Un nettoyage de ma queue et elle me la remballe remettant mes habits en place. Sans un mot, je tourne les talons et quitte l’appartement en n’oubliant pas de prendre au passage mes paquets. Le temps que je lui aie accordé me permet à moi aussi un petit rafraichissement sous la douche, de trier mes paquets et de me reposer un peu avant de retraverser le couloir pour me rendre chez Emmanuelle. Lorsqu’elle m’ouvre, je découvre son choix vestimentaire, osé
- Tu es deux doigts de ressembler à une pute
- Tu n’aime pas ? Je dois me changer ?
- Non, j’adore, c’est en rapport avec ta place
Son choix s’est porté sur des achats de la journée. En haut un top, croisé sur le haut du torse s’arrêtant juste sous le nombril, en satin argenté. Ses mouvements laissent par moment voire son ventre. Plus bas elle ose la jupe en cuir noire. Plus que minimaliste car elle ne lui arrive que juste sous les fesses. Tellement courte que l’on voit parfaitement des bas noirs tenus par des jarretelles rouges. A ses pieds des escarpins noirs à talons, si mes souvenirs de l’après-midi sont bons, de 10 cm, aiguilles bien entendu. Son maquillage aussi est plus appuyé, que ce soient ses yeux très noirs ou sa bouche d’un rouge mat, le contraste avec sa peau laiteuse fait son effet.
- Et toi tu aimes ta tenue de salope ?
- Si elle te plaît oui j’aime
- Ce n’est pas ma question. Aimes-tu te sentir comme une salope !?
- Oui, je dois l’avouer …
- Tant mieux. Viens j’ai encore quelques cadeaux pour toi
Je lui fais alors retirer son haut, et dessous je découvre la parure noire et rouge en dentelle. Je lui demande de retirer ce qu’elle utilise en guise de prothèse puis lui demande d’ouvrir une première boîte. Celle-ci contient une paire de faux seins très réalistes, qu’il faut coller à la peau avec un gel spécial. Temporaire, il peut être retirer sans trop de difficultés. Ils sont d’un bonnet C en forme naturelle très légèrement en poire. Leur poids est proche de la réalité. Je les lui installe, c’est plutôt simple, et lui fait remette son haut.
- La sensation est… étrange mais j’adore sentir cette poitrine ! Merci !
- Oui et au touché aussi elles sont agréables. Ouvre la seconde boîte
Lorsque son regard se pose sur le contenu ses yeux s’arrondissent.
- Oui, c’est une cage. Dorénavant tu la porteras en permanence sauf quand je t’autoriserais à la retirer. Je refuse que ma femelle ait d’autres plaisirs que ceux procurés par sa petite chatte. Assieds-toi sur la table.
Sur la table à manger, elle se place, cuisses largement ouvertes, signe d’acceptation. Je lui baisse son string qui est bien le pendant du haut et lui installe sa contrainte pénienne. Le modèle que j’ai choisi est en plastique rose. J’ai opté pour la plus petite taille existante et m’en réjouis car elle est adaptée à merveille. Elle est totalement recourbée et aplatie, promettant selon la plaquette une invisibilité des attributs. Autre option choisie, le bout, où se loge le gland est équipé de picots, dissuadants le porteur ou plutôt la porteuse de toute érection. Effectivement, une fois installée, verrouillée, et la lingerie remise on ne distingue presque rien. Lorsque j’en ai terminé je commence à retirer tous mes vêtements et vais m’associer sur le canapé.
- Maintenant, à toi de jouer. Je ne vais pas faire grand-chose mais je veux finir par jouir dans ton cul. A toi de te débrouiller
Je la vois alors commencer à se trémousser, maladroitement au début, plus sensuellement ensuite. Elle exhibe son petit cul, moulé dans sa jupe, la relève légèrement pour me faire voir la naissance de ses globes ; progressivement, elle prend confiance, son corps se fait plus souple, plus chaud. Elle vient vers moi, se frotte, me tente, esquive mes contacts. Elle se fait provoquante, allumeuse. Lentement, elle retire son haut, puis sa jupe. En lingerie, elle vient s’assoir sur moi, de dos, elle se frotte à ma queue qui réagit. Logée entre ses fesses, ma queue coulisse agréablement, bien qu’encore isolée de sa rosette par le mince filet de son string. Elle se relève ensuite, et vient face à moi, se met à califourchon. Elle vient coller son torse au mien et me mange la bouche. J’empoigne ses fesses fermement pour la coller plus à moi. Sa bouche s’aventure ensuite dans mon cou tandis que de sa main elle guide ma queue derrière ses fesses pour la mettre en tension et la caresser à nouveau entre ses fesses. Puis, lentement, elle se laisse glisser, couvrant mon torse puis mon ventre de baisers. Elle finit genoux à terre, entre mes jambes, ma queue bien dressée en main. D’une façon des plus perverses elle tire la langue et la fait coulisser de la base de mes couilles jusqu’au gland qu’elle se met à lécher comme une glace. Sa langue de velours vient s’appuyer de toute sa largeur sur le moindre centimètre de ma bite. Elle finit par me prendre en bouche, lentement, descendant jusqu’à la base. Sa remontée, tout aussi lente, s’arrête à la base de mon gland, qu’elle tête et lèche. Salivant beaucoup, ma queue graissée coulisse alors librement entre ses lèvres. Elle s’applique à parfaitement me lubrifier et je la vois récupérer de la salive sur ses doigts avant que sa main ne disparaisse entre ses cuisses. J’imagine qu’elle prépare sa chatte étroite à me recevoir en elle. Elle s’applique un long moment à faire monter la pression puis la laisser retomber sachant parfaitement à quels moments s’arrêter ou ralentir. A aucun moment le sentiment de frustration ne se fait sentir, juste l’excitation montante. Se sentant prête je suppose, elle se redresse, me tourne le dos, debout, entre mes jambes et baisse son cul de rêve au-dessus de ma queue qu’elle attrape d’une main pour venir la faire coulisser sur son œillet. Lentement, mais avec assurance, elle fait entre la pointe de mon gland, qui se fait aspirer et par petits mouvements de haut en bas me fait entrer en elle. Après plusieurs aller-retours je finis par l’avoir assise sur moi. Elle s’appui alors sur mes cuisses avec les mains et commence des vas et viens plus rapide. Elle me branle littéralement la queue avec son cul. Encore novice toutefois, les mouvements sont saccadés, je sens ses jambes fébriles avoir du mal à la tenir. Je la tire alors vers moi et la guide pour qu’elle pose ses pieds sur mes cuisses. Appuyée des mains et des pieds elle reprend alors ses mouvements. Elle ne peut s’empêcher de gémir son plaisir, je la sens même proche du plaisir lorsque je la bloque
- Je t’interdis de jouir avant moi
- Hum c’est tellement bon…
- Peut-être mais je t’ai dit de me faire jouir, pas autre chose. Si tu jouis aussi, ce sera un bonus.
- Je vais essayer
- Non, tu vas le faire, point !
Je la relâche alors et la laisse reprendre. Ses fesses se resserrent sur ma queue, ses mouvements se font plus amples, elle remonte à la limite de me faire sortir d’elle pour se replanter d’un coup sec en elle. Elle est en train de se défoncer elle-même à grand coup de hanches qui me propulsent violement en elle à chaque fois. Je dois reconnaitre que même si elle manque d’adresse, sa technique est efficace. Alors que je sens qu’elle faibli physiquement, je cesse de me retenir et l’incite à encore accélérer la cadence. Elle-même semble apprécier car ses cris « ho oui, plus fort » et ses gémissements emplissent la pièce. Prise d’une véritable frénésie, elle se transforme alors en piston ardent qui finit par déclencher mon éjaculation au creux de son fondement. Lorsqu’elle se laisse tomber pour me faire juter au plus profond, elle part elle-même dans un orgasme sonore et guttural. Gémissant comme une bête elle se laisse partir dans son plaisir, toute gémissante et ondulante. Ayant fini de me rependre en elle, je l’attrape par les hanches et, tout en restant planté en elle, je me lève et la porte jusqu’à la table. Elle s‘affale dessus, ma queue toujours dans son fondement lorsque je lui dis d’ouvrir son troisième paquet. Elle y découvre à l’intérieur un Rosebud que j’ai choisi de dimension moyenne, au poids raisonnable et sertit d’une imitation de pierre précieuse rose pour la partie restant à l’extérieur.
- Avec ça, tu seras bouchonnée et tu pourras conserver mon jus en toi sans trop de risque de fuite.
Je me retire d’elle et aussitôt lui insère le bijou anal. Je suis satisfait de mon choix car, malgré notre baise toute fraiche et donc son anus lubrifié et dilaté, le bijou tiens en place. De plus le strass est du plus bel effet au centre de ses lobes fessiers. Je lui mets une petite tape aux fesses pour la sortir de sa torpeur
- Ne t’endors pas. Tu as peut-être joui et envie de te reposer, mais en bonne petite femelle que tu es, maintenant tu vas me préparer un bon petit repas.
- Heu, oui… ok, c’est que, je n’avais pas vraiment prévu… et je ne suis pas très bon cuisinier, heu cuisinière…
- Tu apprendras, et vite. Tu as accepté le rôle que je t’ai proposé, et nombres de tâches vont t’incomber. Tu vas trouver ça macho assurément, mais c’est la place qui t’ira à merveille, particulièrement dans l’apprentissage de ta féminité. Allons dans ta cuisine, on peut parler pendant que tu prépares.
Alors qu’elle cherche quoi préparer, pour ma part, je m’assieds, nu, à la table de la cuisine et la regarde un instant.
- Comment tu te sens ?
- Heu, bien ?
- Je parle de cette journée, tout ce qu’elle t’a apportée de nouveau
- Je ne réalise pas encore je crois… Je… je me suis retrouvée dehors, en plein jour, en femme, j’ai été terrorisée et en même temps… Je ne sais pas, je me suis sentie, tellement bien, tellement moi… heureuse, et encore plus d’être avec toi…
- Tu réalises aussi, qu’alors qu’on ne se connait depuis qu’hier, tu m’as sucé quoi, 5 fois ? je t’ai baisé 2 fois. Tu prends conscience de ta nature ?
- Je…. Je crois que quelque part oui… mais j’aime ça, être, je ne sais pas, à ton service ? ton vide couille ? Déjà le fait que d’une certaine manière je suis un peu une femme pour toi, ta manière de me traiter, de me baiser… Le fait que tu me pousse au-delà de mes limites… Sans toi je ne serais jamais sortie en plein jour… Jamais mon armoire n’aurait été aussi remplie…
- Je n’ai de loin pas encore finis de repousser tes limites, pas plus que j’en ai finis de te baiser ou te faire sucer ma queue. J’ai bien l’intention d’user abusivement de toi, de ton corps et surtout de te pousser encore plus loin progressivement. Mais que les choses soient claires, nous ne vivons pas une romance dans son sens noble, et ce n’est pas une vie de couple classique qui t’attends. Premièrement si nous poursuivons, dans la mesure où c’est ta version petite tapette qui a un travail, nous ne nous verrons jamais à ton départ vers le travail ou à ton retour. C’est la femelle et uniquement la femelle que je veux voir dorénavant. Ensuite, soit certaine qu’à chaque fois que nous nous verrons, à minima tu auras mon sperme dans le ventre, ou au mieux dans les entrailles. Comme tu l’as dit, et qu’en plus tu aimes l’être, tu seras ma vide couilles. Mais tu seras aussi ma domestique car dès à présent, je veux que tu sois en charge de mes repas du soir, si je décide de les passer avec toi, de mon ménage, de mon linge, de toutes tâches ménagères en somme.
- Ok…
- Et tu en pense quoi ?
- Je ne sais pas… mais je crois que... ça me plairait… faire la petite femme de mon homme…
- Plutôt la petite boniche, salope, sissy de ton Maître !
- Ça fait presque encore plus envie… ainsi j’ai l’impression que tu vois en moi…
- Très bien
Nous papotons encore le temps qu’elle finisse de préparer. Je la trouve épanouie et naturelle au féminin dans son attitude. Le tout en plus d’être plutôt sexy. Nous dînons ensuite face à face. Après dîner je la laisse ranger et vais dans sa chambre où traînent encore quelques paquets. Je fouille son armoire, qu’elle a en partie réorganisée pour accueillir sa nouvelle garde robe, et vais en quête d’une tenue.
- Tu n’auras plus besoin de ça
- Mais… et dans ma vie de tous les jours ? Au travail ?
- Je t’ai gardé des tenues que je juge acceptable, et on palliera. Pour le moment contente toi de t’habiller, je t’ai préparé ça
Emmanuelle laisse glisser son kimono à terre sous lequel elle est nue. A part l’absence de poitrine et ce petit plus entre les jambes, sa silhouette est décidément très féminine. Je la laisse prendre et enfiler le string en dentelle bleu ciel et tandis qu’elle prend le soutien-gorge assortis je m’approche d’elle. De chaque main j’attrape un téton, que j’étire, tourne, pince, tout en la faisant s’approcher de moi. Je vois une larme perler aux coins de ses yeux mais son regard reste accroché au mien en signe de défi
- Tu aimes ça on dirait
- Oui…
J’accentue la pression et me penche pour goûter à sa bouche. Pas de passion dans ce baiser mais juste une façon de marquer mon territoire. Je la libère et la laisse continuer de s’habiller. Pour le bas j’ai choisi dans son armoire une jupe verte pastel, qu’elle enfile. Assez courte, il ne faudra pas qu’elle se penche de trop au risque de montrer ses dessous. Pour le haut, c’est un top assez simple, blanc opaque, sans manche, fermé sur le haut. Avant de l’enfiler elle va rechercher les ballons qui lui font office de poitrine. Une fois vêtue elle est à nouveau à croquer et même la prothèse de fortune fait illusion.
- Où sont tes chaussures ?
- Dans le couloir
- Montre-moi
Je la suis dans le couloir où elle ouvre un placard mural. Au bas de celui-ci, cachées, se trouvent 5-6 paires. Toutes sont neuves ou presque, et toutes à talons hauts. Connaissant notre programme à venir je ne choisis pas la paire la plus sexy mais une paire de bottines, brunes, à talons carrés de peut-être 8-10 cm. Lorsqu’elle les a enfilées, elles lui couvrent les mollets et arrivent sous les genoux, allongeant ses jambes et rehaussant son cul rond
- Tu as un sac à main ?
- Heu oui
- Prends-le et tes affaires, nous partons
- On part ? Mais où ? Je ne peux pas sortir comme ça, en plein jour
- Ho que si tu peux
- Mais… non, tout le monde va voir ce que je suis
- Tu pense que j’ai envie de sortir avec une imitation de femme à mon bras ? Non, tu es une petite bombe sexy qui va faire se retourner plus d’une tête. Maintenant dépêche-toi.
Son sac préparé je la prend par le bras et la guide vers la sortie. La porte fermée, direction l’ascenseur. Il arrive vite, dans la cabine elle m’exprime encore ses craintes que j’ignore tout simplement. Dans la rue elle se fige, c’est moi qui la tire par le bras pour la faire avancer au début. Les premiers mètres sont tendus, mais au fur et à mesure que nous croisons des personnes qui ne témoignent comme intérêt que son minois et son superbe cul, elle se détend. Nous faisons le tour du quartier et revenons à notre immeuble où je la guide à ma voiture. Interrogative elle me regarde mais monte à bord
- Où allons-nous ?
- Faire des achats
- Ha... Ok
En route vers la première destination je ne manque pas de caresser ses cuisses largement dénudées ce qui ne manque pas de la faire sourire. Notre étape nous mène dans un supermarché. Je l’y entraîne suspendue à mon bras et moi une main sur le bas de son dos qui ne résiste pas à descendre plus bas régulièrement. Direction le rayon hygiène & beauté, premier arrêt aux protections périodiques où elle me regarde dubitative.
- Je ne suis pas une « vraie » fille je n’ai pas besoin de ça…
- Crois-moi que tu en auras besoin.
Je mets dans le panier des serviettes pour culottes et pour strings ainsi que des tampons. A la partie beauté je lui demande ce qui lui manque côté maquillage et autres. Timidement elle énumère différentes choses que je prends au fur et à mesure que ses choix se font. Maquillage, crème etc, le panier de remplit assez vite. En tête de rayon je repère un présentoir de bijoux. Certes bas de gamme mais cela manque sur elle. Bagues et colliers viennent compléter le panier avant que nous allions en caisse. Je règle la note sous le regard d’une caissière au regard intrigué. L’étape suivante, atteinte toujours une main sur le volant, une main sur ses cuisses, nous mène en centre ville. Les rues, sans être noires de mondes sont bien remplies quand même. Je ne compte plus les regards appuyés, tant d’hommes que de femmes, qui se sont posés sur Emmanuelle. J’avoue une certaine fierté à cela, avoir cette petite poupée sexy à mon bras, collée à moi amoureusement. La rue marchande fournie en boutiques sera notre destination et c’est dans une première boutique de prêt à porter féminin que je la guide. Dans les rayons je l’invite à se faire plaisir. Ébahie elle commence à regarder fouiller sortir un vêtement, le regarder, le présenter devant elle, le ranger. De mon côté aussi je fais quelques sélections, et ce sont les bras remplis que nous nous dirigeons vers les cabines d’essayage. Une vendeuse, sentant la bonne affaire se précipite à son service, et voilà Emmanuelle lancée dans les essayages. Une large sélection de jupes, robes, hauts se succèdent, toujours accompagné d’un commentaire de la vendeuse. Lorsqu’elle m’interroge je ne résiste pas à répondre par des « ça met ton cul de rêve en valeur » ou « avec cette robe il n’y a pas trop de travail à te la retrousser ». La vendeuse sent clairement les braises ardentes de notre relation car Emmanuelle en joue, elle aussi, par des regards coquins ou des bouts de langues dépassants. Les essayages terminés nous passons en caisse, que je règle, et sortons les bras déjà bien chargés pour nous diriger vers une autre boutique ou à peu près le même scénario se reproduit. Une pause déjeuner s’impose, et en terrasse d’une brasserie nous mangeons un morceau. Assise contre moi elle n’a de cesse de me remercier par des mots ou des baisers appuyés
- Je ne sais pas comment te remercier pour… tout ça
- Ne t’en fais pas tu auras de nombreuses occasions de le faire
Après déjeuner nous enchaînons d’autres boutiques où je lui fais prendre principalement robes et jupes à l’exception de quelques jeans, taille basse, slim, et féminin ainsi que des pantalons unisexes. Elle comprend que ce sera sa garde-robe du quotidien. Dans notre avant dernière boutique, plus fournies en tenues chiques, elle y choisit des robes type cocktail ou de soirée. Lors de l’essayage, je me glisse dans la cabine, ouvre ma braguette
- A genoux et suce moi
Sans hésitation elle s’active à me prodiguer une délicieuse pipe dont elle a le secret. L’excitation de la journée fait que je ne tarde pas trop à lui arroser les amygdales. Elle finit juste de me nettoyer quand une vendeuse pousse le rideau pensant la cabine vide. Emmanuelle, de son plus grand sourire, lui lance simplement « trop tard, j’ai tout bu ! ». Offusquée la vendeuse s’en retourne. Nous quittons cette boutique une nouvelle fois les bras chargés. Ensuite, c’est vers une boutique de lingerie que je la guide. Lorsqu’elle y entre, j’ai l’impression de voir une enfant dans un magasin de jouets. Les yeux ronds et pétillants, un sourire immense aux lèvres, elle ne sait où poser ses yeux. Je prends l’initiative pour la faire décoller et nous arpentons les rayons, où je commence à remplir un panier après qu’elle m’a renseigné sur ses mensurations. Je choisis selon mon goût des assortiments de tous types, classique et passe partout, très sexy, des dentelles, des Lycra, des strings, beaucoup, quelques culottes et shorty, porte-jarretelles, des bas de tous types, body, guêpière, brassières, corset. De son côté, la poupée elle aussi fait ses choix, pour certains très coquins voire minimalistes. Une vendeuse nous regarde les yeux ronds. La note en caisse est salée mais voilà de quoi la rendre encore plus femelle. L’étape suivante est un magasin de chaussures, où là encore un beau nombre d’achats sont réalisés, dans toutes les catégories mais principalement sur des modèles à hauts talons évidemment. Nous allons larguer les sacs dans la voiture avant une dernière étape. Je guide ma poupée à un institut de beauté
- Tu vas voir s’ils ont de la place. Je veux que tu fasses une manucure pour soigner davantage tes ongles, une meilleure finition de tes sourcils et tout ce que tu jugeras nécessaire.
- Tout ça risque d’être visible non ?
- Tu ne crois pas que c’est le but petite sotte ?
- Oui…
Légèrement abattue elle entre et un instant après me confirme qu’elle peut être prise en charge de suite. Je l’informe avoir une course à faire et venir la récupérer après. Le temps de faire mes derniers achats elle est proche d’avoir terminé. Lorsqu’elle vient vers moi, le résultat sur ses sourcils est effectivement très visible et lorsqu’elle me présente ses mains, j’y découvre des ongles plus longs, allongeants et affinant encore ses mains. Sur les ongles au fond rose flashy sont dessinés des cœurs rouge vif. Je trouve ça ravissant et valide son choix en la collant à moi et en l’embrassant en pelotant allègrement son cul que je m’impatiente de réinvestir. Retour à la voiture dont le coffre est plein à craquer puis retour au domicile. On va chez Emmanuelle déposer le plus gros des affaires.
- Bien, je te laisse 2h pour ranger tes affaires, te faire un brin de toilette et te changer pour la soirée. Tu as maintenant une garde robe compète
Elle me répond d’un petit « d’accord » timide, avant de venir s’enlacer à mon cou et me quémander un baiser. Je le lui offre, mais lui en laisse le contrôle. Sa langue vient chercher la mienne, sa bouche se plaque profondément sur la mienne pour attirer ma propre langue à l’investir. Ce baiser est un appel à ce que j’investisse sa bouche. Lorsque ma langue darde entre ses lèvres, elle y simule même une fellation. Durant tout ce temps, son corps se frotte au mien, son bassin venant clairement stimuler mon bas ventre. Une de ses mains quitte ma nuque et vient masse ma bosse naissante à travers le jean. Puis, langoureusement, elle se laisse glisser au sol et sans perdre de temps défait mon pantalon et déballe ma queue semi raide pour l’enfourner dans sa bouche gourmande. Sa pipe est celle d’une pute, son objectif est clairement de pomper mon jus à haute pression. Elle a du talent, et on sent l’expérience et face à son expertise je ne me cherche pas à me retenir et me déverse à nouveau dans sa bouche. Lorsque j’ai fini de gicler ma semence, elle me la montre sur sa langue avant d’avaler et me montrer qu’il n’y a plus rien. Un nettoyage de ma queue et elle me la remballe remettant mes habits en place. Sans un mot, je tourne les talons et quitte l’appartement en n’oubliant pas de prendre au passage mes paquets. Le temps que je lui aie accordé me permet à moi aussi un petit rafraichissement sous la douche, de trier mes paquets et de me reposer un peu avant de retraverser le couloir pour me rendre chez Emmanuelle. Lorsqu’elle m’ouvre, je découvre son choix vestimentaire, osé
- Tu es deux doigts de ressembler à une pute
- Tu n’aime pas ? Je dois me changer ?
- Non, j’adore, c’est en rapport avec ta place
Son choix s’est porté sur des achats de la journée. En haut un top, croisé sur le haut du torse s’arrêtant juste sous le nombril, en satin argenté. Ses mouvements laissent par moment voire son ventre. Plus bas elle ose la jupe en cuir noire. Plus que minimaliste car elle ne lui arrive que juste sous les fesses. Tellement courte que l’on voit parfaitement des bas noirs tenus par des jarretelles rouges. A ses pieds des escarpins noirs à talons, si mes souvenirs de l’après-midi sont bons, de 10 cm, aiguilles bien entendu. Son maquillage aussi est plus appuyé, que ce soient ses yeux très noirs ou sa bouche d’un rouge mat, le contraste avec sa peau laiteuse fait son effet.
- Et toi tu aimes ta tenue de salope ?
- Si elle te plaît oui j’aime
- Ce n’est pas ma question. Aimes-tu te sentir comme une salope !?
- Oui, je dois l’avouer …
- Tant mieux. Viens j’ai encore quelques cadeaux pour toi
Je lui fais alors retirer son haut, et dessous je découvre la parure noire et rouge en dentelle. Je lui demande de retirer ce qu’elle utilise en guise de prothèse puis lui demande d’ouvrir une première boîte. Celle-ci contient une paire de faux seins très réalistes, qu’il faut coller à la peau avec un gel spécial. Temporaire, il peut être retirer sans trop de difficultés. Ils sont d’un bonnet C en forme naturelle très légèrement en poire. Leur poids est proche de la réalité. Je les lui installe, c’est plutôt simple, et lui fait remette son haut.
- La sensation est… étrange mais j’adore sentir cette poitrine ! Merci !
- Oui et au touché aussi elles sont agréables. Ouvre la seconde boîte
Lorsque son regard se pose sur le contenu ses yeux s’arrondissent.
- Oui, c’est une cage. Dorénavant tu la porteras en permanence sauf quand je t’autoriserais à la retirer. Je refuse que ma femelle ait d’autres plaisirs que ceux procurés par sa petite chatte. Assieds-toi sur la table.
Sur la table à manger, elle se place, cuisses largement ouvertes, signe d’acceptation. Je lui baisse son string qui est bien le pendant du haut et lui installe sa contrainte pénienne. Le modèle que j’ai choisi est en plastique rose. J’ai opté pour la plus petite taille existante et m’en réjouis car elle est adaptée à merveille. Elle est totalement recourbée et aplatie, promettant selon la plaquette une invisibilité des attributs. Autre option choisie, le bout, où se loge le gland est équipé de picots, dissuadants le porteur ou plutôt la porteuse de toute érection. Effectivement, une fois installée, verrouillée, et la lingerie remise on ne distingue presque rien. Lorsque j’en ai terminé je commence à retirer tous mes vêtements et vais m’associer sur le canapé.
- Maintenant, à toi de jouer. Je ne vais pas faire grand-chose mais je veux finir par jouir dans ton cul. A toi de te débrouiller
Je la vois alors commencer à se trémousser, maladroitement au début, plus sensuellement ensuite. Elle exhibe son petit cul, moulé dans sa jupe, la relève légèrement pour me faire voir la naissance de ses globes ; progressivement, elle prend confiance, son corps se fait plus souple, plus chaud. Elle vient vers moi, se frotte, me tente, esquive mes contacts. Elle se fait provoquante, allumeuse. Lentement, elle retire son haut, puis sa jupe. En lingerie, elle vient s’assoir sur moi, de dos, elle se frotte à ma queue qui réagit. Logée entre ses fesses, ma queue coulisse agréablement, bien qu’encore isolée de sa rosette par le mince filet de son string. Elle se relève ensuite, et vient face à moi, se met à califourchon. Elle vient coller son torse au mien et me mange la bouche. J’empoigne ses fesses fermement pour la coller plus à moi. Sa bouche s’aventure ensuite dans mon cou tandis que de sa main elle guide ma queue derrière ses fesses pour la mettre en tension et la caresser à nouveau entre ses fesses. Puis, lentement, elle se laisse glisser, couvrant mon torse puis mon ventre de baisers. Elle finit genoux à terre, entre mes jambes, ma queue bien dressée en main. D’une façon des plus perverses elle tire la langue et la fait coulisser de la base de mes couilles jusqu’au gland qu’elle se met à lécher comme une glace. Sa langue de velours vient s’appuyer de toute sa largeur sur le moindre centimètre de ma bite. Elle finit par me prendre en bouche, lentement, descendant jusqu’à la base. Sa remontée, tout aussi lente, s’arrête à la base de mon gland, qu’elle tête et lèche. Salivant beaucoup, ma queue graissée coulisse alors librement entre ses lèvres. Elle s’applique à parfaitement me lubrifier et je la vois récupérer de la salive sur ses doigts avant que sa main ne disparaisse entre ses cuisses. J’imagine qu’elle prépare sa chatte étroite à me recevoir en elle. Elle s’applique un long moment à faire monter la pression puis la laisser retomber sachant parfaitement à quels moments s’arrêter ou ralentir. A aucun moment le sentiment de frustration ne se fait sentir, juste l’excitation montante. Se sentant prête je suppose, elle se redresse, me tourne le dos, debout, entre mes jambes et baisse son cul de rêve au-dessus de ma queue qu’elle attrape d’une main pour venir la faire coulisser sur son œillet. Lentement, mais avec assurance, elle fait entre la pointe de mon gland, qui se fait aspirer et par petits mouvements de haut en bas me fait entrer en elle. Après plusieurs aller-retours je finis par l’avoir assise sur moi. Elle s’appui alors sur mes cuisses avec les mains et commence des vas et viens plus rapide. Elle me branle littéralement la queue avec son cul. Encore novice toutefois, les mouvements sont saccadés, je sens ses jambes fébriles avoir du mal à la tenir. Je la tire alors vers moi et la guide pour qu’elle pose ses pieds sur mes cuisses. Appuyée des mains et des pieds elle reprend alors ses mouvements. Elle ne peut s’empêcher de gémir son plaisir, je la sens même proche du plaisir lorsque je la bloque
- Je t’interdis de jouir avant moi
- Hum c’est tellement bon…
- Peut-être mais je t’ai dit de me faire jouir, pas autre chose. Si tu jouis aussi, ce sera un bonus.
- Je vais essayer
- Non, tu vas le faire, point !
Je la relâche alors et la laisse reprendre. Ses fesses se resserrent sur ma queue, ses mouvements se font plus amples, elle remonte à la limite de me faire sortir d’elle pour se replanter d’un coup sec en elle. Elle est en train de se défoncer elle-même à grand coup de hanches qui me propulsent violement en elle à chaque fois. Je dois reconnaitre que même si elle manque d’adresse, sa technique est efficace. Alors que je sens qu’elle faibli physiquement, je cesse de me retenir et l’incite à encore accélérer la cadence. Elle-même semble apprécier car ses cris « ho oui, plus fort » et ses gémissements emplissent la pièce. Prise d’une véritable frénésie, elle se transforme alors en piston ardent qui finit par déclencher mon éjaculation au creux de son fondement. Lorsqu’elle se laisse tomber pour me faire juter au plus profond, elle part elle-même dans un orgasme sonore et guttural. Gémissant comme une bête elle se laisse partir dans son plaisir, toute gémissante et ondulante. Ayant fini de me rependre en elle, je l’attrape par les hanches et, tout en restant planté en elle, je me lève et la porte jusqu’à la table. Elle s‘affale dessus, ma queue toujours dans son fondement lorsque je lui dis d’ouvrir son troisième paquet. Elle y découvre à l’intérieur un Rosebud que j’ai choisi de dimension moyenne, au poids raisonnable et sertit d’une imitation de pierre précieuse rose pour la partie restant à l’extérieur.
- Avec ça, tu seras bouchonnée et tu pourras conserver mon jus en toi sans trop de risque de fuite.
Je me retire d’elle et aussitôt lui insère le bijou anal. Je suis satisfait de mon choix car, malgré notre baise toute fraiche et donc son anus lubrifié et dilaté, le bijou tiens en place. De plus le strass est du plus bel effet au centre de ses lobes fessiers. Je lui mets une petite tape aux fesses pour la sortir de sa torpeur
- Ne t’endors pas. Tu as peut-être joui et envie de te reposer, mais en bonne petite femelle que tu es, maintenant tu vas me préparer un bon petit repas.
- Heu, oui… ok, c’est que, je n’avais pas vraiment prévu… et je ne suis pas très bon cuisinier, heu cuisinière…
- Tu apprendras, et vite. Tu as accepté le rôle que je t’ai proposé, et nombres de tâches vont t’incomber. Tu vas trouver ça macho assurément, mais c’est la place qui t’ira à merveille, particulièrement dans l’apprentissage de ta féminité. Allons dans ta cuisine, on peut parler pendant que tu prépares.
Alors qu’elle cherche quoi préparer, pour ma part, je m’assieds, nu, à la table de la cuisine et la regarde un instant.
- Comment tu te sens ?
- Heu, bien ?
- Je parle de cette journée, tout ce qu’elle t’a apportée de nouveau
- Je ne réalise pas encore je crois… Je… je me suis retrouvée dehors, en plein jour, en femme, j’ai été terrorisée et en même temps… Je ne sais pas, je me suis sentie, tellement bien, tellement moi… heureuse, et encore plus d’être avec toi…
- Tu réalises aussi, qu’alors qu’on ne se connait depuis qu’hier, tu m’as sucé quoi, 5 fois ? je t’ai baisé 2 fois. Tu prends conscience de ta nature ?
- Je…. Je crois que quelque part oui… mais j’aime ça, être, je ne sais pas, à ton service ? ton vide couille ? Déjà le fait que d’une certaine manière je suis un peu une femme pour toi, ta manière de me traiter, de me baiser… Le fait que tu me pousse au-delà de mes limites… Sans toi je ne serais jamais sortie en plein jour… Jamais mon armoire n’aurait été aussi remplie…
- Je n’ai de loin pas encore finis de repousser tes limites, pas plus que j’en ai finis de te baiser ou te faire sucer ma queue. J’ai bien l’intention d’user abusivement de toi, de ton corps et surtout de te pousser encore plus loin progressivement. Mais que les choses soient claires, nous ne vivons pas une romance dans son sens noble, et ce n’est pas une vie de couple classique qui t’attends. Premièrement si nous poursuivons, dans la mesure où c’est ta version petite tapette qui a un travail, nous ne nous verrons jamais à ton départ vers le travail ou à ton retour. C’est la femelle et uniquement la femelle que je veux voir dorénavant. Ensuite, soit certaine qu’à chaque fois que nous nous verrons, à minima tu auras mon sperme dans le ventre, ou au mieux dans les entrailles. Comme tu l’as dit, et qu’en plus tu aimes l’être, tu seras ma vide couilles. Mais tu seras aussi ma domestique car dès à présent, je veux que tu sois en charge de mes repas du soir, si je décide de les passer avec toi, de mon ménage, de mon linge, de toutes tâches ménagères en somme.
- Ok…
- Et tu en pense quoi ?
- Je ne sais pas… mais je crois que... ça me plairait… faire la petite femme de mon homme…
- Plutôt la petite boniche, salope, sissy de ton Maître !
- Ça fait presque encore plus envie… ainsi j’ai l’impression que tu vois en moi…
- Très bien
Nous papotons encore le temps qu’elle finisse de préparer. Je la trouve épanouie et naturelle au féminin dans son attitude. Le tout en plus d’être plutôt sexy. Nous dînons ensuite face à face. Après dîner je la laisse ranger et vais dans sa chambre où traînent encore quelques paquets. Je fouille son armoire, qu’elle a en partie réorganisée pour accueillir sa nouvelle garde robe, et vais en quête d’une tenue.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Jérôme tu es un vrai macho mais peu importe je me verrai bien être ta Sissy docile et obéissante sous tous rapports, bisous partout où tu veux, Pretty Girl
Merci Petite Laura
J’adore….. félicitations….