Emmanuelle 5
Récit érotique écrit par Jerome68 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 7 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Jerome68 ont reçu un total de 30 533 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-10-2023 dans la catégorie Fétichisme
Cette histoire de sexe a été affichée 3 808 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Emmanuelle 5
Lorsqu’Emmanuelle a terminé ses tâches ménagères en cuisine elle vient me rejoindre dans la chambre. Elle m’y trouve toujours nu et allongé sur son lit. A côté de moi, la tenue que je lui dis d’enfiler. Elle se déshabille complètement et commence par enfiler, par-dessus sa toute nouvelle cage minimaliste, un string en dentelle rouge. Ensuite, une paire de bas, auto fixant, couleur chair. Pour le haut, pas de soutiens-gorge car la robe qu’elle va enfiler, contient un renfort de soutien. Cette robe, de soirée et à strass dorée, ne se maintient que par une bande passant derrière sa nuque. Le tissu recouvre le haut du torse, dissimulant sa poitrine artificielle. L’arrière est un dos nu, plongeant presque au creux de ses reins. Il en faut peu pour que le haut de son string soit visible. Sa longueur permet tout juste de couvrir le haut des bas. Tandis qu’elle l’enfile je pars dans l’entrée où je sais qu’elle range ses chaussures et y cherche la paire que je lui ai offerte pour aller avec. Elles aussi dorées, de type sandales, elles ont des talons de 12cm. Lorsqu’elle les enfile, ses jambes, galbées sont allongées et la rendent encore plus sexy. Je lui fais porter deux bracelets et quelques bagues afin de meubler. Volontairement je lui refuse le port aux annulaires. Lorsque je la regarde je me dis que l’absence de boucle d’oreille est un défaut qu’il faudra compenser prochainement. Je la vois retoucher son maquillage, puis je lui dis de préparer la pochette qui était vendue avec la robe pour qu’elle y mette le nécessaire et vais rapidement chez moi m’habiller. Je ne prends même pas la peine de m’habiller pour traverser le couloir. Lorsque je la rejoins, habillé un peu plus classe je ne peux m’empêcher de bander en la trouvant sexy à souhait. Je suis à deux doigts de craquer et de la sauter sur place mais j’ai d’autres projets pour la soirée.
Tu es superbe ainsi
Merciiii ! J’adore, cette robe est juste magnifique, comme tout ce que tu m’as offert
En disant ça elle passe la main sur son pubis, signifiant ainsi son plaisir de porter la cage
Tu aimes être engagée ?
Ouiii j’ai encore plus l’impression d’être femme, ou en tout cas beaucoup moins homme…
Parfait, c’est le but. Allons-y
Je peux savoir où on va ?
Non
Je m’en retourne et vais vers la porte avec Emmanuelle derrière moi. Sur le palier je lui dis de faire un aller-retour dans le couloir, je peux ainsi confirmer que les talons hauts ne lui posent pas le moindre problème, et je peux admirer sa démarche chaloupée, qu’elle exagère un peu pour se faire plus sexy. Sans rien dire je la prends au bras et nous dirige à l’ascenseur. Lorsqu’il s’ouvre, on y trouve un voisin du dessus qui va promener son chien. Âgé d’au moins 70ans, gras et laid, il se tasse dans un coin sans décrocher le regard de ma poupée. Elle lui fait son petit effet de toute évidence. Se faisant poli il nous laisse passer mais je ne suis pas dupe et je sais que c’est pour mieux mater ma belle. Nous montons en voiture et lorsqu’elle s’assied sa robe remonte au-dessus des bas et à la limite de montrer ses dessous. Évidemment sur la route je ne manque pas de lui flatter la cuisse tandis qu’elle joue à me masser le paquet. Arrivés à destination je me stationne et en sortant de la voiture je suis obligé de remette en place ma bite tendue. Emmanuelle sort de la voiture aussi et viens vers moi m’enlacer le cou pour m’embrasser amoureusement de sa langue câline. Une main s’aventure pour vérifier la tension sous mon pantalon.
J’aime être à l’origine de ça
Tu prends des risques à m’allumer
Je la prends par la taille et la guide vers le bar lounge ou j’ai prévu de l’emmener. Lorsque nous entrons, dans une ambiance tamisée avec un fond musical, quelques regards gourmands se posent sur elle. C’est un délice pour moi de me pavaner avec elle et pour marquer mon territoire je pose ma main sur ses fesses délicieuses. Je repère une banquette libre au fond de la salle et nous y guide. La démarche chaloupée de la belle est assurée, sensuelle et provocante. Elle a compris son rôle de trophée et de bimbo. On s’installe dans les banquettes moelleuses ce qui a pour effet de relever un peu la robe déjà courte d’Emmanuelle, montrant la lisière de ses bas. La serveuse qui vient prendre notre commande semble d’ailleurs apprécier le spectacle, aussi lorsqu’elle nous rapporte nos verres je fais volontairement remonter la robe davantage et fais écarter ses cuisses à Emmanuelle. Son clito encagé est suffisamment discret pour ne pas être visible mais la vue ravi notre serveuse qui s’en lèche les lèvres et me remercie. Nous sirotons nos verres tranquillement tout en papotant de sujets très banals. Seule distraction, la serveuse qui passe un peu trop souvent nous demander si on ne manque de rien et qui profite au passage d’une vue dégagée, offerte par Emmanuelle elle-même. Lors du dernier passage elle s’est exhibée assez largement tout en massant ma bosse sans discrétion. Le temps passe gentiment et il se fait l’heure de partir pour notre dernière destination de la soirée. Quitte à propulser Emmanuelle dans sa vie de femme objet, j’ai choisi de l’emmener en discothèque. Non pas que j’en soi un inconditionnel mais je me dis que de la pousser sur la piste de danse sans autre choix que laisser son corps de femelle prendre le dessus sera une étape supplémentaire. Nous passons donc régler nos consommations avec en bonus, à l’attention d’Emmanuelle, ce qui doit être le numéro de téléphone de la serveuse inscrit au dos du ticket. Le trajet n’est pas long, c’est donc rapidement que nous sommes devant la porte. Le videur, après avoir dévoré des yeux ma poupée, nous laisse entrer.
Je crois que là je vais atteindre ma limite Jérôme
Pourquoi ça ?
Mais… Je n’ai jamais dansé en boite, encore moins en talons et robe…
Tu t’inquiètes pour rien ma belle, écoute ton corps, tout en toi respire la femelle sensuelle. Laisse ton corps et ton instinct prendre le dessus. Observe les autres femmes pour t’inspirer mais même là je doute que tu en aies besoin. C’est ton petit show à l’appart qui m’a inspiré, et crois moi, tu n’as rien à apprendre, juste à te laisser aller
Nous entrons donc et sans attendre je la dirige vers la piste. Autant, je ne suis pas doué pour la danse, autant, les premiers pas de ma poupée sont hésitants et maladroits. Je la colle à moi « danse comme si tu voulais que je te baise là tout de suite ». Quelques secondes après, je la sens se détendre, son corps se fait plus lancinant, plus souple, plus sensuel. Son visage lui-même exprime un lâcher-prise, elle sourit, prend plaisir. La différence se ressent aussi dans le regard des autres danseurs. Leurs regards sont accrochés par sa plastique mouvante, certains se font rappeler à l’ordre par leurs partenaires, d’autres, se pensant discret, s’approche et tente un contact plus ou moins maladroit. Emmanuelle joue mieux avec son corps et aussi avec le mien. Elle enjambe aussi bien mes cuisses qu’elle vient frotter ses fesses à ma queue qui se sent à l’étroit. Pour les autres danseurs le message est clair, elle montre à tout le monde qu’elle est mienne. Nous dansons ainsi peut-être une heure avant d’aller nous poser boire un verre. Assis, à nouveau dans des fauteuils élargissant la vue qu’elle peut offrir, Emmanuelle est telle une enfant le jour de Noël
Tu avais tellement raison mon amour ! je me sens si biiiennn ! J’ai tout simplement l’impression de renaître ! Et tout ça c’est grâce à toi, mon homme !
Du calme ma poupée, rappel toi, notre histoire n’est pas une histoire conventionnelle. D’ailleurs, pour te le rappeler et te rappeler ta place de chienne, je veux que tu te trouves une proie, que tu l’allumes, que tu l’entraines aux WC pour lui faire une petite purge. Tiens, je suis persuadé que tu n’as même pas pensé aux capotes, prends-la, et reviens avec quand elle sera pleine. Tu n’auras que des rapports protégés avec les autres, il faut penser à ta santé
Mais… moi y’a que toi que je veux… c’est à toi que j’appartiens
Justement, tu m’appartiens, donc tu fais ce que je te demande. Cette étape est cruciale pour « notre avenir ». Si tu n’es pas capable de réaliser cette demande assez simple, on risque de se retrouver dans une impasse. Tu as donc le choix
Je ne sais pas… Je…
Décide-toi, maintenant ! Tu exécutes ou on rentre et c’est terminé !
D’accord ! Je vais le faire... Je ne veux pas que ça s’arrête, en une journée tu m’as apporté tellement plus que je n’ai su m’apporter à moi-même pendant le reste de ma vie
Alors dépêche-toi !
Emmanuelle se lève, range la capote dans le revers de sa robe, légèrement fébrile et retourne sur la piste. Au début, elle ne me quitte pas du regard et n’est pas totalement détendue. Mais l’approche d’un type, de ce que je peux en juger plutôt beau garçon, la décoince. Elle ne tarde pas à jouer l’allumeuse avec lui, ses mains à lui se mettent assez rapidement à explorer son corps à elle. Je saurais plus tard que le mec lui a murmuré à l’oreille des mots ayant vocation à la séduire. S’il savait qu’aucuns de ses mots n’ont été à l’origine de l’invitation de ma poupée à la suivre au WC, il serait déçu. Emmanuelle m’a raconté comment ils se sont engouffrés dans les toilettes pour hommes, sous les regards jaloux d’autres mecs, introduits dans une cabine. Le type, pensant devoir jouer le séducteur l’a d’abord embrassé, tendrement, mais Emmanuelle n’ayant qu’une mission, elle s’est rapidement retrouvée à genoux à déballer une queue de taille moyenne. Elle l’a rapidement encapuchonnée avant de l’emboucher. Elle m’avouera avoir tout fait pour que ça aille vite, mais le gars ne l’entendait pas comme ça. Il lui a retiré plusieurs fois la queue de la bouche pour reprendre de l’endurance tout en lui lâchant diverses insultes, dans l’ensemble pour lui signifier quelle belle pute elle fait. Malgré tout, l’expertise de ma chienne l’a emportée et le mec a fini par lâcher la sauce dans le latex. Elle lui a retiré la capote en veillant à garder son contenu, a fait un nœud au bout et elle est repartit sans un regard en arrière, laissant le type en plan, pour venir me rejoindre. Elle est venue s’assoir tout contre moi et discrètement m’a tendu la capote pleine
C’est bien je suis fier de toi. Tu as aimé ?
Euh… moui...
Je glisse ma main entre ses cuisses et y découvre une tâche très humide sur son string
A priori, tu as aimé, n’ai pas honte, assume
Oui c’est vrai, j’ai kiffé…
Tu aimes sucer des queues, c’est comme ça ma belle
C’est vrai, j’adore ça…
Et maintenant, tu vas pouvoir en pomper plus que de raison. Bandante comme tu es, tu pourras t’en taper des kilomètres. Mais jamais sans que je t’y autorise, c’est compris ?
Oui, c’est très clair… ça m’a excitée à mort…
Viens danser
Nous sommes retournés sur la piste et c’est une furie en chaleur qui s’est trémoussée contre moi pendant près d’1 heure. Elle a su me maintenir raide quasiment non-stop, au point que ma queue me faisait mal. J’ai fini par décider de partir, ma poupée pendue à mon bras. En direction de la sortie, nous avons croisé le type des WC à qui j’ai rendu sa capote pleine devant ses potes. Dans la voiture, j’ai déballé ma queue tendue et ordonnée à Emmanuelle de me pomper tout le trajet, avec l’interdiction de me faire jouir. Malgré l’inconfort de la position, elle a su me garder droit sans approcher de trop près le point de non-retour. Arrivés devant la résidence, nous sommes sortis de la voiture et, n’ayant aucuns risques d’être surpris du fait de l’heure tardive, je lui ai remonté la robe au-dessus des fesses, la faisant marcher devant moi, y compris dans les escaliers que j’ai préférés à l’ascenseur. Nous sommes entrés chez elle et à peine la porte fermée, je l’ai plaqué contre celle-ci, face contre le bois, tirant son cul vers moi. J’ai rapidement déboutonné mon pantalon, baissé son string, retiré son rosebud que je lui ai mis en bouche et je l’ai embroché d’une traite. Mon jus présent dans son cul depuis l’après-midi, maintenu en place par le rosebud, lui permet d’être encore bien humide. Aussi, lorsque je l’ai transpercée d’un coup, ce n’est pas un cri de douleur mais de pur plaisir qu’elle a lâché. J’ai alors commencé à la pistonner sauvagement, la penchant presqu’à angle droit, giflant son cul délicieux
Tu as aimé jouer la pute et m’allumer toute la soirée ? Alors je vais te traiter comme telle !
Ho ouiii, défonce-moi, je suis ta pute, ta salope, ta chienne, ton garage à bite, ton réservoir à foutre !!
Je la malmène ainsi quelques minutes mais la sentant proche de l’orgasme je me retire d’elle d’un coup
Les putes comme toi c’est fait que pour faire jouir les autres, pas pour jouir. Si tu t’avises de jouir avant que je t’aie inondé le cul, tu vas prendre cher.
Je la tire par le bras jusque dans le salon où je la jette à terre, à genoux, face contre terre, lui faisant cracher le rosebud par terre. Je viens me positionner derrière et au-dessus d’elle et je replante ma queue au fond d’elle d’un coup. Je la ramone sauvagement, m’arrêtant à chaque fois que je la sens proche de partir, ou quand elle-même me prévient. Je la prends ainsi, la tirant une fois par les bras en arrière, une fois par les cheveux, violemment. Ses cris envahissent la pièce, le spectacle sonore donné aux voisins risques de faire parler. Je me retiens autant que possible, lui faisant manquer au moins 6 ou 7 orgasmes avant de lui tapisser les intestins de mon foutre épais que je lui gicle au plus profond, collé à son cul. Lorsque je la relâche, elle s’écroule au sol, à bout de force et de souffle et frustrée de ne pas avoir pu jouir. Je me retire d’elle, ramasse le rosebud pour lui remettre en place tant bien que mal, son conduit ayant un peu souffert. Je ne manque pas de voir qu’une grosse flaque de son jus, de sa mouille recouvre le sol. Je lui tends ma queue pour le nettoyage obligatoire. Epuisée, sa toilette est timide mais elle fait ce qu’il y a à faire.
Je vais me doucher. Tu iras après moi, quand tu sortiras rejoins moi dans la chambre. Ton bijou ne quitte pas ton cul en revanche.
Une douche bienfaisante et je quitte la salle de bain. Je croise ma poupée dans le couloir, qui boite un peu mais qui malgré tout me sourit. Je la laisse se doucher, et pendant ce temps je profite pour flâner dans son appart. J’ouvre tous les placards, fouille, inspecte, je m’imprègne de son intérieur pour toujours mieux la connaitre. Lorsque j’entends l’eau être coupée, je suis tout juste allongé sur le lit. Quelques minutes après je la vois arriver, démaquillée, vêtue d’une nuisette rose bonbon, avec dessous un string assorti. Cette parure m’avait échappé lors de mes inspections, sûrement rangée dans la salle de bain. Je lui fais signe de venir s’allonger près de moi et elle vient se lover face à moi
Tu as compris ce qui vient de se passer ?
Je ne suis pas sûre…
Dis-moi
Je crois que tu m’as tout simplement traité comme la chienne que je suis… Pour me rappeler ma place. Peut-être aussi pour me punir de t’avoir excité toute la journée
Tu as donc tout compris. Tu devras accepter ce genre de situation. Il arrivera souvent que je te baise ainsi. En dehors du fait de te rappeler ta place, je suis persuadé qu’ensuite, après avoir été autant frustrée, tu seras une amante encore plus attentionnée. Maintenant, tu vas t’occuper de moi et tu auras le droit de jouir.
Elle commence par venir m’enlacer et m’embrasser, tendrement, tout en se couchant sur moi. Ses baisers s’égarent sur mes joues, mon cou, lentement descendent sur mon torse, mes flancs, mon ventre. Elle vient embrasser mes cuisses, frôlant mes couilles et ma queue qui commence à se tendre gentiment. Elle s’égare sur mon aine, puis mes bourses qu’elle couvre de baisers. Lentement, elle progresse vers la pointe de ma tige, elle vient biser le bout de mon gland, du bout de ses lèvres termine de me décalotter, embrasse la base de mon champignon, puis, de la pointe de sa langue de velours, me caresse délicatement, faisant tressauter ma bite. Sans s’aider de ses mains, elle vient enrouler ses lèvres autour de la pointe de ma queue et de sa langue elle continu de me caresser. Très lentement, et tout en couvrant ma queue de sa langue, elle descend, puis remonte légèrement, puis repart vers le bas. Il faudra peut-être 5 ou 10 minutes avant que ma queue entière investisse sa bouche. Tout en m’avalant, régulièrement son regard se tourne vers moi, signe de soumission. Elle continue de me prodiguer la plus douce et peut-être la plus plaisante des fellations que j’ai connu pendant au moins 10 minutes. Jamais elle ne fatigue, et surtout à aucun moment je n’ai été au bord de la jouissance. Ses nombreuses pratiques de l’exercice ont fait d’elle une réelle experte. Progressivement sa pipe se fait plus goulue, venant taper le fond de sa gorge avec mon dard elle salive beaucoup. Elle finit par lâcher ma queue et remonter vers moi à 4 pattes tel un félin. Elle se positionne au-dessus de ma queue, écarte son string, retire son bijou anal et vient présenter mon gland contre son étoile secrète. Centimètre par centimètre, sans pause et sans forcer je m’introduis dans ses tréfonds. Lorsqu’elle arrive en butée, je la sens resserrer son conduit et ses fesses et commencer à remonter. Ce manège dur plusieurs allers-retours, elle est tout simplement en train de me branler avec son cul. Elle aussi semble y prendre du plaisir, car ses gémissements féminins ainsi que son clito encagé et suintant parlent pour elle. Ses mouvements commencent à s’accélérer, tout comme l’intensité de ses cris augmente. Elle vient taper son cul sur mes cuisses, s’empalant brutalement puis remontant lentement. Je la guide pour qu’elle bascule en arrière et passe ses jambes tendues vers moi afin de prendre la position dite de la tarentule. Ainsi placés, ma queue est tendue vers le bas, augmentant mes sensations mais aussi les siennes puisqu’elle frotte encore plus ses parois internes. S’appuyant sur les mains, elle entame des montées-descentes de son bassin, venant taper profondément ma queue en elle. La chambre est emplie de ses cris de plaisirs et de mes râles. Dans ses mouvements, je vois sa cage ballotée dans tous les sens et des gouttes de sa mouille voler un peu partout. Je l’attrape par ses mini noisettes que je sers, légèrement au début, puis, en sentant son excitation monter, plus fortement. D’elle-même elle tire, tendant son paquet. Notre tension a tous les deux est à son apogée et sans se concerter nous arrivons à la jouissance presqu’en même temps. Tandis que je me déverse dans ses entrailles ses cris de plaisir montent encore en puissance et son clito laisse s’échapper un filet de liquide presque transparent. Emmanuelle se laisse alors tomber sur le dos, gémissant et dégustant son orgasme tout en se caressant le corps. Ma queue, restée plantée en elle, commence sa lente descente à taille normale et je sens mon jus, de ce soir et des 2 fois précédente où je l’ai remplie, commencer à s’échapper. Etant de nature antigaspi, j’attrape le rosebud et aussitôt ma queue retirée le lui met en place. Ça a pour effet de la sortit de son KO orgasmique et un peu maladroitement elle se redresse pour venir entre mes cuisses, procéder à la toilette de rigueur. Sa langue de chat, tendre et amoureuse fait tout ce qu’il faut pour que mon outillage passe la nuit propre. Sa tâche terminée et sachant que j’aime qu’elle ait la bouche propre elle part à la salle de bain se la rincer avant de revenir se blottir contre moi amoureusement. Son regard me supplie de tendresse et nos bouches viennent alors se lover l’une contre l’autre, l’une dans l’autre. Je nous recouvre du drap et c’est ainsi que nous nous endormons.
Tu es superbe ainsi
Merciiii ! J’adore, cette robe est juste magnifique, comme tout ce que tu m’as offert
En disant ça elle passe la main sur son pubis, signifiant ainsi son plaisir de porter la cage
Tu aimes être engagée ?
Ouiii j’ai encore plus l’impression d’être femme, ou en tout cas beaucoup moins homme…
Parfait, c’est le but. Allons-y
Je peux savoir où on va ?
Non
Je m’en retourne et vais vers la porte avec Emmanuelle derrière moi. Sur le palier je lui dis de faire un aller-retour dans le couloir, je peux ainsi confirmer que les talons hauts ne lui posent pas le moindre problème, et je peux admirer sa démarche chaloupée, qu’elle exagère un peu pour se faire plus sexy. Sans rien dire je la prends au bras et nous dirige à l’ascenseur. Lorsqu’il s’ouvre, on y trouve un voisin du dessus qui va promener son chien. Âgé d’au moins 70ans, gras et laid, il se tasse dans un coin sans décrocher le regard de ma poupée. Elle lui fait son petit effet de toute évidence. Se faisant poli il nous laisse passer mais je ne suis pas dupe et je sais que c’est pour mieux mater ma belle. Nous montons en voiture et lorsqu’elle s’assied sa robe remonte au-dessus des bas et à la limite de montrer ses dessous. Évidemment sur la route je ne manque pas de lui flatter la cuisse tandis qu’elle joue à me masser le paquet. Arrivés à destination je me stationne et en sortant de la voiture je suis obligé de remette en place ma bite tendue. Emmanuelle sort de la voiture aussi et viens vers moi m’enlacer le cou pour m’embrasser amoureusement de sa langue câline. Une main s’aventure pour vérifier la tension sous mon pantalon.
J’aime être à l’origine de ça
Tu prends des risques à m’allumer
Je la prends par la taille et la guide vers le bar lounge ou j’ai prévu de l’emmener. Lorsque nous entrons, dans une ambiance tamisée avec un fond musical, quelques regards gourmands se posent sur elle. C’est un délice pour moi de me pavaner avec elle et pour marquer mon territoire je pose ma main sur ses fesses délicieuses. Je repère une banquette libre au fond de la salle et nous y guide. La démarche chaloupée de la belle est assurée, sensuelle et provocante. Elle a compris son rôle de trophée et de bimbo. On s’installe dans les banquettes moelleuses ce qui a pour effet de relever un peu la robe déjà courte d’Emmanuelle, montrant la lisière de ses bas. La serveuse qui vient prendre notre commande semble d’ailleurs apprécier le spectacle, aussi lorsqu’elle nous rapporte nos verres je fais volontairement remonter la robe davantage et fais écarter ses cuisses à Emmanuelle. Son clito encagé est suffisamment discret pour ne pas être visible mais la vue ravi notre serveuse qui s’en lèche les lèvres et me remercie. Nous sirotons nos verres tranquillement tout en papotant de sujets très banals. Seule distraction, la serveuse qui passe un peu trop souvent nous demander si on ne manque de rien et qui profite au passage d’une vue dégagée, offerte par Emmanuelle elle-même. Lors du dernier passage elle s’est exhibée assez largement tout en massant ma bosse sans discrétion. Le temps passe gentiment et il se fait l’heure de partir pour notre dernière destination de la soirée. Quitte à propulser Emmanuelle dans sa vie de femme objet, j’ai choisi de l’emmener en discothèque. Non pas que j’en soi un inconditionnel mais je me dis que de la pousser sur la piste de danse sans autre choix que laisser son corps de femelle prendre le dessus sera une étape supplémentaire. Nous passons donc régler nos consommations avec en bonus, à l’attention d’Emmanuelle, ce qui doit être le numéro de téléphone de la serveuse inscrit au dos du ticket. Le trajet n’est pas long, c’est donc rapidement que nous sommes devant la porte. Le videur, après avoir dévoré des yeux ma poupée, nous laisse entrer.
Je crois que là je vais atteindre ma limite Jérôme
Pourquoi ça ?
Mais… Je n’ai jamais dansé en boite, encore moins en talons et robe…
Tu t’inquiètes pour rien ma belle, écoute ton corps, tout en toi respire la femelle sensuelle. Laisse ton corps et ton instinct prendre le dessus. Observe les autres femmes pour t’inspirer mais même là je doute que tu en aies besoin. C’est ton petit show à l’appart qui m’a inspiré, et crois moi, tu n’as rien à apprendre, juste à te laisser aller
Nous entrons donc et sans attendre je la dirige vers la piste. Autant, je ne suis pas doué pour la danse, autant, les premiers pas de ma poupée sont hésitants et maladroits. Je la colle à moi « danse comme si tu voulais que je te baise là tout de suite ». Quelques secondes après, je la sens se détendre, son corps se fait plus lancinant, plus souple, plus sensuel. Son visage lui-même exprime un lâcher-prise, elle sourit, prend plaisir. La différence se ressent aussi dans le regard des autres danseurs. Leurs regards sont accrochés par sa plastique mouvante, certains se font rappeler à l’ordre par leurs partenaires, d’autres, se pensant discret, s’approche et tente un contact plus ou moins maladroit. Emmanuelle joue mieux avec son corps et aussi avec le mien. Elle enjambe aussi bien mes cuisses qu’elle vient frotter ses fesses à ma queue qui se sent à l’étroit. Pour les autres danseurs le message est clair, elle montre à tout le monde qu’elle est mienne. Nous dansons ainsi peut-être une heure avant d’aller nous poser boire un verre. Assis, à nouveau dans des fauteuils élargissant la vue qu’elle peut offrir, Emmanuelle est telle une enfant le jour de Noël
Tu avais tellement raison mon amour ! je me sens si biiiennn ! J’ai tout simplement l’impression de renaître ! Et tout ça c’est grâce à toi, mon homme !
Du calme ma poupée, rappel toi, notre histoire n’est pas une histoire conventionnelle. D’ailleurs, pour te le rappeler et te rappeler ta place de chienne, je veux que tu te trouves une proie, que tu l’allumes, que tu l’entraines aux WC pour lui faire une petite purge. Tiens, je suis persuadé que tu n’as même pas pensé aux capotes, prends-la, et reviens avec quand elle sera pleine. Tu n’auras que des rapports protégés avec les autres, il faut penser à ta santé
Mais… moi y’a que toi que je veux… c’est à toi que j’appartiens
Justement, tu m’appartiens, donc tu fais ce que je te demande. Cette étape est cruciale pour « notre avenir ». Si tu n’es pas capable de réaliser cette demande assez simple, on risque de se retrouver dans une impasse. Tu as donc le choix
Je ne sais pas… Je…
Décide-toi, maintenant ! Tu exécutes ou on rentre et c’est terminé !
D’accord ! Je vais le faire... Je ne veux pas que ça s’arrête, en une journée tu m’as apporté tellement plus que je n’ai su m’apporter à moi-même pendant le reste de ma vie
Alors dépêche-toi !
Emmanuelle se lève, range la capote dans le revers de sa robe, légèrement fébrile et retourne sur la piste. Au début, elle ne me quitte pas du regard et n’est pas totalement détendue. Mais l’approche d’un type, de ce que je peux en juger plutôt beau garçon, la décoince. Elle ne tarde pas à jouer l’allumeuse avec lui, ses mains à lui se mettent assez rapidement à explorer son corps à elle. Je saurais plus tard que le mec lui a murmuré à l’oreille des mots ayant vocation à la séduire. S’il savait qu’aucuns de ses mots n’ont été à l’origine de l’invitation de ma poupée à la suivre au WC, il serait déçu. Emmanuelle m’a raconté comment ils se sont engouffrés dans les toilettes pour hommes, sous les regards jaloux d’autres mecs, introduits dans une cabine. Le type, pensant devoir jouer le séducteur l’a d’abord embrassé, tendrement, mais Emmanuelle n’ayant qu’une mission, elle s’est rapidement retrouvée à genoux à déballer une queue de taille moyenne. Elle l’a rapidement encapuchonnée avant de l’emboucher. Elle m’avouera avoir tout fait pour que ça aille vite, mais le gars ne l’entendait pas comme ça. Il lui a retiré plusieurs fois la queue de la bouche pour reprendre de l’endurance tout en lui lâchant diverses insultes, dans l’ensemble pour lui signifier quelle belle pute elle fait. Malgré tout, l’expertise de ma chienne l’a emportée et le mec a fini par lâcher la sauce dans le latex. Elle lui a retiré la capote en veillant à garder son contenu, a fait un nœud au bout et elle est repartit sans un regard en arrière, laissant le type en plan, pour venir me rejoindre. Elle est venue s’assoir tout contre moi et discrètement m’a tendu la capote pleine
C’est bien je suis fier de toi. Tu as aimé ?
Euh… moui...
Je glisse ma main entre ses cuisses et y découvre une tâche très humide sur son string
A priori, tu as aimé, n’ai pas honte, assume
Oui c’est vrai, j’ai kiffé…
Tu aimes sucer des queues, c’est comme ça ma belle
C’est vrai, j’adore ça…
Et maintenant, tu vas pouvoir en pomper plus que de raison. Bandante comme tu es, tu pourras t’en taper des kilomètres. Mais jamais sans que je t’y autorise, c’est compris ?
Oui, c’est très clair… ça m’a excitée à mort…
Viens danser
Nous sommes retournés sur la piste et c’est une furie en chaleur qui s’est trémoussée contre moi pendant près d’1 heure. Elle a su me maintenir raide quasiment non-stop, au point que ma queue me faisait mal. J’ai fini par décider de partir, ma poupée pendue à mon bras. En direction de la sortie, nous avons croisé le type des WC à qui j’ai rendu sa capote pleine devant ses potes. Dans la voiture, j’ai déballé ma queue tendue et ordonnée à Emmanuelle de me pomper tout le trajet, avec l’interdiction de me faire jouir. Malgré l’inconfort de la position, elle a su me garder droit sans approcher de trop près le point de non-retour. Arrivés devant la résidence, nous sommes sortis de la voiture et, n’ayant aucuns risques d’être surpris du fait de l’heure tardive, je lui ai remonté la robe au-dessus des fesses, la faisant marcher devant moi, y compris dans les escaliers que j’ai préférés à l’ascenseur. Nous sommes entrés chez elle et à peine la porte fermée, je l’ai plaqué contre celle-ci, face contre le bois, tirant son cul vers moi. J’ai rapidement déboutonné mon pantalon, baissé son string, retiré son rosebud que je lui ai mis en bouche et je l’ai embroché d’une traite. Mon jus présent dans son cul depuis l’après-midi, maintenu en place par le rosebud, lui permet d’être encore bien humide. Aussi, lorsque je l’ai transpercée d’un coup, ce n’est pas un cri de douleur mais de pur plaisir qu’elle a lâché. J’ai alors commencé à la pistonner sauvagement, la penchant presqu’à angle droit, giflant son cul délicieux
Tu as aimé jouer la pute et m’allumer toute la soirée ? Alors je vais te traiter comme telle !
Ho ouiii, défonce-moi, je suis ta pute, ta salope, ta chienne, ton garage à bite, ton réservoir à foutre !!
Je la malmène ainsi quelques minutes mais la sentant proche de l’orgasme je me retire d’elle d’un coup
Les putes comme toi c’est fait que pour faire jouir les autres, pas pour jouir. Si tu t’avises de jouir avant que je t’aie inondé le cul, tu vas prendre cher.
Je la tire par le bras jusque dans le salon où je la jette à terre, à genoux, face contre terre, lui faisant cracher le rosebud par terre. Je viens me positionner derrière et au-dessus d’elle et je replante ma queue au fond d’elle d’un coup. Je la ramone sauvagement, m’arrêtant à chaque fois que je la sens proche de partir, ou quand elle-même me prévient. Je la prends ainsi, la tirant une fois par les bras en arrière, une fois par les cheveux, violemment. Ses cris envahissent la pièce, le spectacle sonore donné aux voisins risques de faire parler. Je me retiens autant que possible, lui faisant manquer au moins 6 ou 7 orgasmes avant de lui tapisser les intestins de mon foutre épais que je lui gicle au plus profond, collé à son cul. Lorsque je la relâche, elle s’écroule au sol, à bout de force et de souffle et frustrée de ne pas avoir pu jouir. Je me retire d’elle, ramasse le rosebud pour lui remettre en place tant bien que mal, son conduit ayant un peu souffert. Je ne manque pas de voir qu’une grosse flaque de son jus, de sa mouille recouvre le sol. Je lui tends ma queue pour le nettoyage obligatoire. Epuisée, sa toilette est timide mais elle fait ce qu’il y a à faire.
Je vais me doucher. Tu iras après moi, quand tu sortiras rejoins moi dans la chambre. Ton bijou ne quitte pas ton cul en revanche.
Une douche bienfaisante et je quitte la salle de bain. Je croise ma poupée dans le couloir, qui boite un peu mais qui malgré tout me sourit. Je la laisse se doucher, et pendant ce temps je profite pour flâner dans son appart. J’ouvre tous les placards, fouille, inspecte, je m’imprègne de son intérieur pour toujours mieux la connaitre. Lorsque j’entends l’eau être coupée, je suis tout juste allongé sur le lit. Quelques minutes après je la vois arriver, démaquillée, vêtue d’une nuisette rose bonbon, avec dessous un string assorti. Cette parure m’avait échappé lors de mes inspections, sûrement rangée dans la salle de bain. Je lui fais signe de venir s’allonger près de moi et elle vient se lover face à moi
Tu as compris ce qui vient de se passer ?
Je ne suis pas sûre…
Dis-moi
Je crois que tu m’as tout simplement traité comme la chienne que je suis… Pour me rappeler ma place. Peut-être aussi pour me punir de t’avoir excité toute la journée
Tu as donc tout compris. Tu devras accepter ce genre de situation. Il arrivera souvent que je te baise ainsi. En dehors du fait de te rappeler ta place, je suis persuadé qu’ensuite, après avoir été autant frustrée, tu seras une amante encore plus attentionnée. Maintenant, tu vas t’occuper de moi et tu auras le droit de jouir.
Elle commence par venir m’enlacer et m’embrasser, tendrement, tout en se couchant sur moi. Ses baisers s’égarent sur mes joues, mon cou, lentement descendent sur mon torse, mes flancs, mon ventre. Elle vient embrasser mes cuisses, frôlant mes couilles et ma queue qui commence à se tendre gentiment. Elle s’égare sur mon aine, puis mes bourses qu’elle couvre de baisers. Lentement, elle progresse vers la pointe de ma tige, elle vient biser le bout de mon gland, du bout de ses lèvres termine de me décalotter, embrasse la base de mon champignon, puis, de la pointe de sa langue de velours, me caresse délicatement, faisant tressauter ma bite. Sans s’aider de ses mains, elle vient enrouler ses lèvres autour de la pointe de ma queue et de sa langue elle continu de me caresser. Très lentement, et tout en couvrant ma queue de sa langue, elle descend, puis remonte légèrement, puis repart vers le bas. Il faudra peut-être 5 ou 10 minutes avant que ma queue entière investisse sa bouche. Tout en m’avalant, régulièrement son regard se tourne vers moi, signe de soumission. Elle continue de me prodiguer la plus douce et peut-être la plus plaisante des fellations que j’ai connu pendant au moins 10 minutes. Jamais elle ne fatigue, et surtout à aucun moment je n’ai été au bord de la jouissance. Ses nombreuses pratiques de l’exercice ont fait d’elle une réelle experte. Progressivement sa pipe se fait plus goulue, venant taper le fond de sa gorge avec mon dard elle salive beaucoup. Elle finit par lâcher ma queue et remonter vers moi à 4 pattes tel un félin. Elle se positionne au-dessus de ma queue, écarte son string, retire son bijou anal et vient présenter mon gland contre son étoile secrète. Centimètre par centimètre, sans pause et sans forcer je m’introduis dans ses tréfonds. Lorsqu’elle arrive en butée, je la sens resserrer son conduit et ses fesses et commencer à remonter. Ce manège dur plusieurs allers-retours, elle est tout simplement en train de me branler avec son cul. Elle aussi semble y prendre du plaisir, car ses gémissements féminins ainsi que son clito encagé et suintant parlent pour elle. Ses mouvements commencent à s’accélérer, tout comme l’intensité de ses cris augmente. Elle vient taper son cul sur mes cuisses, s’empalant brutalement puis remontant lentement. Je la guide pour qu’elle bascule en arrière et passe ses jambes tendues vers moi afin de prendre la position dite de la tarentule. Ainsi placés, ma queue est tendue vers le bas, augmentant mes sensations mais aussi les siennes puisqu’elle frotte encore plus ses parois internes. S’appuyant sur les mains, elle entame des montées-descentes de son bassin, venant taper profondément ma queue en elle. La chambre est emplie de ses cris de plaisirs et de mes râles. Dans ses mouvements, je vois sa cage ballotée dans tous les sens et des gouttes de sa mouille voler un peu partout. Je l’attrape par ses mini noisettes que je sers, légèrement au début, puis, en sentant son excitation monter, plus fortement. D’elle-même elle tire, tendant son paquet. Notre tension a tous les deux est à son apogée et sans se concerter nous arrivons à la jouissance presqu’en même temps. Tandis que je me déverse dans ses entrailles ses cris de plaisir montent encore en puissance et son clito laisse s’échapper un filet de liquide presque transparent. Emmanuelle se laisse alors tomber sur le dos, gémissant et dégustant son orgasme tout en se caressant le corps. Ma queue, restée plantée en elle, commence sa lente descente à taille normale et je sens mon jus, de ce soir et des 2 fois précédente où je l’ai remplie, commencer à s’échapper. Etant de nature antigaspi, j’attrape le rosebud et aussitôt ma queue retirée le lui met en place. Ça a pour effet de la sortit de son KO orgasmique et un peu maladroitement elle se redresse pour venir entre mes cuisses, procéder à la toilette de rigueur. Sa langue de chat, tendre et amoureuse fait tout ce qu’il faut pour que mon outillage passe la nuit propre. Sa tâche terminée et sachant que j’aime qu’elle ait la bouche propre elle part à la salle de bain se la rincer avant de revenir se blottir contre moi amoureusement. Son regard me supplie de tendresse et nos bouches viennent alors se lover l’une contre l’autre, l’une dans l’autre. Je nous recouvre du drap et c’est ainsi que nous nous endormons.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Jerome68
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour ce nouvel épisode, moi qui suis très efféminée je me verrais bien te rejoindre au lit en petite nuisette sexy pour m'occuper de toi selon ta convenance