Emmanuelle 6

- Par l'auteur HDS Jerome68 -
Récit érotique écrit par Jerome68 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Emmanuelle 6 Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2023 dans la catégorie Fétichisme
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Emmanuelle 6
Bonjour à toutes et tous, j’espère que ce nouveau chapitre vous plaira. N’hésitez pas à commenter, ca fait toujours plaisir !
La lumière filtrant au travers du volet me tire doucement de mon sommeil. Je bouge un peu et me rend compte qu’un corps chaud est lové contre moi. Ma poupée, Emmanuelle, qu’il y a deux jours à peine s’ignorait tellement, qui est devenue mon amante ou plutôt ma chienne. En 24h à peine je lui ai défloré sa chatte anale, que j’ai revisité plusieurs fois depuis, et remplis son estomac de mon foutre plusieurs fois. Mes mouvements la tire de son sommeil et lorsque ses yeux encore embrumés se posent sur moi, son visage s’illumine d’un immense sourire.
- Bonjour mon amour, tu as bien dormi ?
- Bonjour ma petite pute, très bien et toi ?
- À merveille, c’est si bon de t’avoir eu près de moi toute la nuit
Sur ces mots elle se redresse pour venir m’embrasser. Je lui rends son baiser mais rapidement, d’une pression sur la tête je la guide plus bas, sous le drap
- C’est comme ça que je veux que tu me réveil dorénavant
Ma gaule matinale se retrouve rapidement en milieu chaud et humide. Sa pipe matinale, gourmande et bruyante est des plus agréable. Je finis par lui déverser mon nectar au fond de la gorge pour son plus grand plaisir puisqu’elle remonte encore plus souriante
- Va faire ta toilette, intégrale bien sûr et préparer le petit déjeuner. Reviens me voir quand c’est près
Toute guillerette, elle quitte la chambre en dandinant son petit cul de rêve. Pour ma part, j’en profite pour somnoler encore un moment. C’est le mouvement sur le lit, à côté de moi, qui me tire de mon sommeil. Ma petite pute adorée et revenue me réveiller. Je la découvre, à genoux à côté de moi, toute souriante. Je la sens fraîche puisqu’un délicieux parfum de gel douche embaume la chambre. Elle arbore un immense sourire, surmonté d’un regard pétillant de bonheur. Je la découvre très sobrement vêtue, ne portant que l’une des parures de lingerie achetée hier. D’un rouge criard, en dentelles fines, le soutien-gorge porte avec volupté sa poitrine artificielle. Bien que l’on voie une démarcation, les prothèses passent presqu’inaperçues. Plus bas, le tanga assortis, dissimule totalement son ersatz d’appendice masculin. En la voyant ainsi, c’est une vraie jeune fille dans la fleur de l’âge que j’observe. Je me lève du lit et sans me retourner lui demande de me suivre. Dans la salle de bain, je lui dis d’entrer dans la douche et de s’y mettre à genoux, en ouvrant la bouche. Elle s’exécute, toute souriante.
- Arrête de faire ta chienne en chaleur, mon sperme tapisse déjà ton estomac. Je vais tester encore une fois tes limites, et c’est un autre nectar que je vais t’offrir. Tu comprends ?
- Heu… Je crois…
- Tu crois quoi ?
- Tu veux me faire pipi dessus ?
- Pas exactement
- Ha… Tu… tu veux que je boive ?
- Oui ! Est-ce que c’est au-delà de tes capacités ?
- Je ne sais pas, je n’ai jamais fait ça…
- Ce n’est pas ma question ! Je te demande si tu t’en sens capable ?
- Je crois oui
- Tu cois quoi ?!
- Que j’en suis capable…
- Dis-le !
- Oui, je veux boire ton pipi
- Bien
Je présente ma queue à l’entrée de sa bouche qu’elle ouvre pour l’accueillir. J’y déverse une première rasade, que je lui laisse le temps d’avaler. Elle fait une petite grimace, puis, me regardant dans les yeux, vient reprendre ma bite en bouche du bout des lèvres. Je me laisse alors aller, complètement. Je fais en sorte d’uriner lentement, ce qui lui permet d’avaler au fur et à mesure. Lorsque les dernières gouttes ont fini de remplir son ventre, elle s’applique à me nettoyer totalement, venant téter les dernières gouttes à la source.
- C’est bien, je suis fier de toi. Tu as aimé ?
- Pour être honnête, je ne peux pas dire que c’est ma boisson préférée. Mais j’aime te faire plaisir, j’aime quand tu repousse mes limites. Je crois que je pourrais tout accepter de toi…
- Très bien, c’est ce que je veux t’entendre dire. Allons manger maintenant
Nous quittons la salle de bain et allons prendre notre petit déjeuner. Je trouve sur la table du café chaud, des toast grillés et tartinés, qui n’attendent que moi. Je m’installe, Emmanuelle face à moi. Bien qu’elle ait déjà ma tisane chaude au fond du ventre, elle déjeune avec appétit. Elle dégage une aura de bien-être et de joie. Lorsque nous avons terminé de manger
- Je vais prendre une douche et m’habiller chez moi. Tu ranges et te prépare
- Tu veux que je mette une tenue particulière ?
- Laisse libre court à ton envie
Je prends mon temps pour faire l’aller-retour avant de revenir chez Emmanuelle. Je passe par la cuisine inspecter si elle a bien réalisé ses tâches ménagères, ce qui est bien le cas. Je la retrouve dans la chambre, finissant de se préparer. Elle porte une délicieuse robe rouge à poids. Très légèrement décolletée, elle découvre le haut de son buste sans laisser voir sa poitrine artificielle. Les bretelles du soutiens-gorges se voient mais s’assortissent au rouge de la robe. Cintrée, elle lui colle au corps. La partie jupe est plus évasée, donnant de très amples mouvements et découvrant le haut de ses cuisses qu’elle couvre tout juste. A ses pieds, des sandales à bouts ouverts, noires à talons de plus de 10cm, qui sont lacées du coup de pied à ses chevilles. Elle réalise que je l’observe terminer son maquillage. Ses yeux, assombris, cils allongés, mascara et eyeliner, ses lèvres, qu’elle est en train de colorer d’une délicieuse teinte bordeaux. Elle porte les bijoux achetés hier, collier, bracelets, bagues.
- Tu es prête ? nous sortons
- Presque, juste mon sac à main à préparer
- Dépêche-toi
Je la vois trotter à la recherche de la pochette de la veille, d’un sac à main noir plus adapté à sa tenue, et transférer les affaires. Mouchoirs, kit de retouche de maquillage, protections périodiques et, les récupérant dans sa table de nuit, des capotes.
Lorsqu’on arrive dans la rue, elle se tend à mon bras, sans doute pas encore habituée à sortir, en plein jour, sous ses traits féminins. Je décide de ne pas en tenir compte et commence à avancer. Elle ne quitte pas mon bras et au bout de quelques mètres je la sens se détendre. Sa démarche, chaloupée, qui propulse délicatement son bassin contre le mien est des plus naturelle. La météo est superbe, ensoleillée, aussi je décide d’emprunter les transports en communs pour rejoindre le centre-ville. Nous rejoignons l’arrêt de bus et nous asseyons pour attendre le prochain. Je la regarde s’assoir, naturellement, elle place sa jupe comme il se doit, et croise ses superbes jambes nues sur laquelle je pose ma main. Elle me regarde, souriante, et vient poser sa tête sur mon épaule. Tandis que nous attendons, un jeune homme, d’une vingtaine d’année arrive à l’arrêt de bus et attends, lui aussi. Je vois bien qu’il ne manque pas de détailler le moindre centimètre carré des parties nue d’Emmanuelle, et ce avec envie. Ma main se fait alors caressante sur la cuisse d’Emmanuelle, remontant un peu plus sur sa cuisse, remontant la robe également. Un peu paniquée, elle me regarde, puis regarde le jeune homme qui ne manque rien du spectacle. Le bus fini par arriver, nous nous levons et je fais passer ma poupée devant moi. Lorsqu’elle monte, je glisse une main sous sa robe, relevant l’arrière et dévoilant à notre jeune mateur les petites fesses rondes d’Emmanuelle. Je la guide vers le fond du bus, dans les places les plus isolées, loin des rares personnes présentent dans le bus. Lorsque le bus démarre, je déballe discrètement ma queue semi tendue
- Suce-moi mais ne me fais pas jouir
Emmanuelle se saisit de ma queue et commence à me branler puis, se penchant en avant, l’avale d’une traite telle une affamée. Elle me pompe délicieusement, tout en me massant la base de ma tige dressée. Je suis obligé de la freiner à deux reprises, ne voulant pas décharger tout de suite ma dose de sperme. Lorsque je vois notre arrêt s’approcher, je l’interromps, remballe ma queue et lui recommande une retouche de son rouge à lèvre. Nous quittons le bus, non sans un dernier regard appuyé de notre jeune mateur. Je nous guide, au travers de deux trois rues à destination d’un petit parc calme proche du centre. Etant dimanche matin, il n’y a pour ainsi dire personne, nous flânons donc dans les allées jusqu’à ce que je repère un coin, isolé. Derrière un bosquet, à l’abri de tous les regards, je guide ma poupée face à un arbre, contre lequel je la plaque. Je me frotte contre elle, faisant glisse ma queue tendue sous mon pantalon contre ses fesses.
- Je vais te féconder ici, en plein air ma belle
- Mais, on risque de nous voir non ?
- Non, on est à l’abri et de toute façon j’ai décidé de te prendre, maintenant, ici
J’ouvre alors mon pantalon, déballe ma queue. J’attrape dans la poche un petit tube de lubrifiant, que, après lui avoir écarté son tanga, je viens lui plaquer sur son étoile brune pour lui graisser le conduit. La jugeant prête, je viens pointer mon gland contre sa porte arrière et commence à pousser. Emmanuelle se penche un peu en avant et se détend afin de mieux me laisser entrer en elle. Progressivement, mon gland, puis, centimètres par centimètres, ma queue entière se retrouve au fond d’elle. Je sens sa respiration s’accélérer, encore plus lorsque je commence à ressortir pour revenir investir son conduit anal. Sa grotte se faisant à mon intrusion, je peux démarrer de lents va et viens en elle, déclenchant ses premiers gémissements. Ses gémissements, entrecoupés d’encouragements, s’accentuent, preuves du plaisir qu’elle y prend. La saisissant par les hanches fermement, j’augmente alors la cadence, venant taper mes couilles contre elle. J’alterne les vitesses, les profondeurs de pénétration, ressortant parfois ma queue presqu’entièrement. Lorsque je suis proche de la sortie, je l’entends me supplier
- Non, encore, s’il te plait, n’arrêtes pas !
- Ne pas arrêter quoi ?
- Prends-moi ! c’est trop bon !
- Tu veux que je te baise ?
- Ouiiii
- Dis-le !
- Baise-moi, encules-moi !
Ce que Madame veut, madame l’a. Je me mets à la pistonner durement, fouillant son intérieur au plus profond. Je ramone son conduit, faisant augmenter l’intensité de ses cris et gémissements jusqu’à la sentir jouir de ma queue qui la fouille. Malgré son orgasme passé, je ne m’arrête pas jusqu’à venir inonder ses intestins de mon foutre.
- Humm, c’est tellement bon… Merci mon amour…
- Tu viens de découvrir ce que c’est de se faire baiser comme une pute dans un jardin public
- Si c’est ça, alors j’aime être une pute, ta pute !
- Donne-moi ton sac à main. Il va falloir te boucher le cul sinon tu vas fuir
Tout en gardant ma queue en elle je fouille son sac pour y attraper un tampon que je déballe, puis, après avoir retiré ma queue, je lui insère. En lui mettant je découvre que le fond de son tanga est trempé de sa propre sauce. Elle devra baigner dedans, et je lui remets son tanga en place.
- Nettoie ma bite avant que je la remballe.
Elle se retourne alors, s’accroupie et de sa bouche gourmande vient faire sa toilette à l’objet qui vient de la combler tant de plaisir que de sperme chaud. Lorsqu’elle juge ma bite propre, elle s’occupe de me la remballer délicatement. Elle se redresse et vient se coller à moi, enroulant ses bras à mon cou, et me tend sa bouche que je viens dévorer. Par chance, sa bouche à davantage le gout de son cul que celui du sperme.
- Je suis complètement folle, tu me rends folle… Qu’est-ce que tu me fais faire comme folies…
- Je t’ai fait jouir non ? alors de quoi tu te plains ?
- Je ne me plains pas, au contraire… Même si tout ça est complètement nouveau pour moi, complètement fou… j’aime… C’est tellement bon, être là, dans ce parc, dans cette tenue, avec toi, avec… ton sperme en moi maintenant…
- Tu as double dose de sperme maintenant. Une dose dans l’estomac, une au fond de ton petit cul
- Hihi oui c’est vrai
- Aller vient, allons-y
Nous sortons du bosquet pour rejoindre le chemin, puis rejoindre les rues de la ville. Nous nous promenons, bras dessus, bras dessous, une petite demi-heure. Je ne sais pas si c’est d’avoir jouis, d’avoir été baisée ou d’avoir le cul plein, mais je trouve la démarche d’Emmanuelle plus légère, plus souple, plus libre, plus sexy… finalement, notre promenade nous emmène à la destination suivante du programme. Je nous stoppe devant un salon de Piercings & Tatoos. Lorsqu’Emmanuelle réalise que je ne me suis pas arrêté au hasard, elle m’interroge du regard.
- Te sens-tu prête à franchir une autre étape ?
- Heu… je ne sais pas… là c’est quand même… plus définitif… je veux dire, difficile de faire machine arrière ou en tout cas de le cacher…
- Je sais, et c’est un peu le but aussi. Je veux que tu deviennes le plus féminine, et cela au quotidien et rapidement. Je veux que ta vraie personnalité prenne le dessus et ça ne pourra jamais arriver si tu persiste à te mettre des contraintes, ou à seulement user d’artifice. Il faut que tu passes à des étapes concrètes de progressions. Donc oui, te faire percer les oreilles est nécessaire mais aussi une des étapes obligatoires. Si tu ne franchis pas ce cap, tout ça devra s’arrêter.
- Ho… je… oui je comprends… Mais, j’ai peur… Peur du regard demain de mes proches, de mon entourage, mes collègues… Et pourtant, malgré cette peur, je me sens…. Tellement bien… Ce que tu me fais, me fais découvrir, vivre… Je suis sur un petit nuage, et je n’ai pas envie d’en descendre… Alors oui, je vais le faire. Non pas de peur que tout s‘arrête si je ne le fais pas, mais parce que j’ai totalement confiance en toi, sur tes décisions, tes choix qui jusqu’à présent n’ont faits que m’apporter plaisirs et bonheur. Alors allons-y !
- Parfait, entrons
Dans la boutique, vide et calme, se tient un homme derrière le guichet. Tatoué et percé de partout, qui nous accueil d’un grand sourire
- Bonjour, bienvenue, que puis-je pour vous ?
- Bonjour, nous venons pour elle, besoin de rattraper le temps perdu !
- Dites-moi tout ?
- Et bien, elle désire se faire enfin percer les oreilles. Et tant qu’à être là, elle voudrait également un piercing sur la langue et au nombril
Lorsque je dis cela, je sens Emmanuelle se tendre et me regarder, inquiète. Voyant mon regard décidé, elle acquiesce simplement de la tête et d’une petite voix
- Oui, je n’ai jamais osé le faire avant, mais là, je veux la totale
- La totale ? non, je ne pense pas, mais oui c’est déjà pas mal. Venez par ici
Il nous guide alors dans l’arrière-boutique où se trouve la salle de soin. Il fait signe à Emmanuelle de s’installer dans le fauteuil.
- Bien, alors, dites-moi, on fait quoi précisément ? Classiques trous aux oreilles ?
- En fait, non, j’aimerais en plus des lobs, là du côté gauche à cet endroit
- Ha oui, c’est joli ici, ça s’appelle l’Hélix
- Ha, je ne savais pas. Et là, à droite, un second aussi, ici
- Ici c’est le Tragus. Ok. On va devoir mettre des bijoux temporaires, vous pouvez choisir dans le coffret là. Ils favoriseront la cicatrisation. J’ai fait le choix d’avoir que des modèles, non seulement jolis, mais qui accélèrent au maximum la cicatrisation. Ils sont aussi faits pour rester après s’ils vous plaisent.
Je regarde Emmanuelle, surpris de ses choix de doubler les trous qu’elle va arborer mais en plus, montant deux anneaux dorés et à strass pour les lobes, un strass rose pour le Tragus, et un anneau doré, simple pour l’Hélix. Ces choix ne seront pas passe partout, elle a donc décidé de m’écouter et passer un réel cap.
- Très jolis choix. Bien, ce coffret c’est pour les bijoux pour la langue, choisissez celui qui vous plait
Je regarde Emmanuelle détailler chaque bijou. Elle les passe en revue et, en prenant la boite en main soulève le support et découvre en dessous d’autres modèles
- Ho, heu pardon, ces modèles sont, comment dire, un peu moins conventionnels…
En effet, on en voit en forme de cœur avec « Sex » marqué dessus, un qui est composé des lettres « FUCK », d’autres en formes de pénis.
- Pourquoi celui-là est à part ?
- Ho, il est un peu spécial, il est vibrant celui-là
Celui que montre Emmanuelle est rose métallique et en forme de pénis. Elle me regarde alors, avec les yeux d’une enfant demandant la permission à ses parents
- Il te plairait ?
- Ho, je suis persuadé qu’il ne fera que mettre encore plus tes talents en valeurs
- Après le piercing, je pourrais toujours… enfin, utiliser ma bouche ?
- Elle veut savoir si elle pourra encore me sucer
- Haha, oui j’avais bien compris. Les piercings classiques ne le permettent pas habituellement, mais avec ceux que je propose, d’ici ce soir elle ne sentira plus qu’une petite gène, ou des picotements
- Ha ouf ! je ne me voyais pas m’abstenir plusieurs jours !
Emmanuelle réalise soudainement ce qu’elle vient de dire, à voix haute, et se met à rougir. Ce rougissement la rend adorable d’innocence.
- Ne rougis pas voyons, tu n’as pas à avoir honte d’aimer ça ! Vous ne pensez pas ?
- Ho vous faites bien ce que vous voulez. Mais oui, si elle aime ça y’a pas de raison d’avoir honte. Bon, il reste celui du nombril à choisir. Dans ce coffret vous avez des modèles classiques et, comme vous semblez ne pas aimer que le classique, dans celui-ci les moins conventionnels
En voyant le second coffret, Emmanuelle en fixe tout de suite un précis et s’écrit « celui-là ! ». Il s’agit d’un bijou reprenant la forme du célèbre lapin, en strass rose à nouveau
- Bien, et ben maintenant c’est à moi de jouer.
Il s’attèle alors d’abord aux oreilles, puis à la langue. Lorsque vient le moment de faire celui du nombril il propose à Emmanuelle d’aller se changer et d’enfiler une tenue faite pour, dans une pièce attenante.
- On ne va pas vous faire perdre de temps. Remonte simplement ta robe.
Un peu prise de panique, je vois Emmanuelle saisir le bas de sa robe et timidement la remonter jusqu’à découvrir ses cuisses, son tanga, puis son ventre. La découverte de son tanga met à jour une tâche humide, juste au niveau de la petite bosse que forme sa cage dessous. Je remarque que notre perceur ne manque pas de reluquer la bosse et la tâche avant de préparer le nombril au perçage. Pendant qu’il se prépare, je viens m’assoir à côté d’Emmanuelle, pose ma main sur sa cuisse, à la limite de son tanga. Je plante mon regard dans le sien et commence à laisser un doigt se perdre vers ses fesses. Tandis que l’artisan est à l’ouvrage, je déballe sa petite cage et viens glisser mon doigt sur sa corole que je câline. Lorsqu’il a terminé et que le nombril de ma poupée est orné de son bijou, il regarde l’entre jambe de la miss.
- J’espère que ça ne vous choque pas ?
- Ho vous avez, j’en ai vu d’autres. Bien moins jolies d’ailleurs. J’en déduis qu’elle débute ?
- Oui, encore un peu novice
- Si ça vous intéresse, j’ai certains « accessoires » qui permettent d’éviter ce type de cage. Par exemple, un anneau sur le périnée, un anneau sur le gland, reliés ensemble et ça a presque le même effet
- Ho intéressant. Mais pas pour le moment merci
Emmanuelle, immobile, se laisse être le sujet de conversation et aussi l’objet de mes caresses sans dire un mot. Lorsque le perceur se lève, je remarque que son pantalon aussi est gonflé
- Ma poupée, regarde ce que tu as fait. Tu vas devoir corriger ça je crois
Les deux me regardent étonnés.
- Tu ne vas pas pouvoir utiliser ta bouche tout de suite, mais tes mains oui. Ça vous dit ?
- Ho ben, oui… pourquoi pas si elle est ok
- Moi je suis ok, c’est le principal. Aller ma belle, au boulot
Un peu sonnée, Emmanuelle me regarde et voyant que je n’ai aucune intention de changer d’avis elle semble se résigner. Je la vois se redresser, s’assoir, puis commencer à ouvrir le pantalon. Elle en déballe une queue mi-molle de taille respectable. Elle démarre une lente masturbation, avec peu de conviction.
- Mets-y du cœur un peu, on n’a pas toute la journée
Son poignet s’active un peu plus et mieux, elle se crache dans la main pour lubrifier, masse les couilles, caresse le prépuce, le frein. Elle le branle à deux mains, énergiquement, avec un sourire qui s’étire progressivement sur son visage. La vue d’une queue tendue pour elle semble toujours la ravir. La masturbation dure peut-être un peu moins de dix minutes quand le type commence à grogner. Je positionne alors Emmanuelle, toujours assise, cuisses largement écartées pour qu’elle reçoive le jus sur son tanga. La vision et l’idée doit plaire au gars car en trois coups de poignets il se vide entre les cuisses de ma poupée dans un grognement sourd. Ma poupée fignole le travail en le trayant comme il faut et en venant essuyer son gland contre son dessous souillé.
- Merci, c’était vraiment très bon. Elle est douée la petite
- Vous n’avez pas idée. Aller rhabille toi qu’on y aille
Nous passons ensuite en caisse où, après une remise en remerciement de la gentillesse d’Emmanuelle, je règle les achats puis nous quittons la boutique. Sur le pas de la porte, Emmanuelle se plante face à moi, vient se colle à moi, enroule ses bras à mon cou
- Merci, merci mile fois…
- Merci pour quoi ? les bijoux ou la bite que tu as fait juter ?
- Hihi, la bite c’était bonus, mais pour les bijoux surtout. Et pour ce que tu me pousses à faire. Je rêvais depuis longtemps de ces piercings, mais je n’ai jamais osé
- En parlant d’oser, tu as osé. Tu as conscience que tu n’auras pas le droit de les retirer ?
- Oui… mais tu me l’as dit, il faut que je me fasse violence si je veux progresser dans la voie qui te plait. Je veux que tu continu de jouer à la poupée avec moi hihi Et puis il est temps que je m’assume je crois. Toute façon, je suis persuadée que personne ne se fait d’illusion sur mon orientation… j’ai toujours été la petite pédale de service… Je me mentais autant que je mentais aux autres en essayant de faire croire le contraire… Je verrais et assumerais les conséquences de mes choix, peu m’importe du moment que ça te donne envie de ne pas me laisser tomber
- Le principal est que tu assumes les actes que je t’incite à réaliser
- J’assumes pleinement, et… j’en redemande
- Parfait, allons manger
Je nous guide alors à destination d’un petit restaurant, sans chichis, où nous pouvons nous installer en terrasse. Assise à côté de moi, ma main haut sur sa cuisse, à siroter un soda qu’elle a commandé en bafouillant, Emmanuelle dévoile un peu plus de détails sur sa vie. Les questionnements très tôt quant à sa sexualité, son attrait pour les atours féminins, les relations qu’elle entretien avec sa famille, son père majoritairement absent du domicile, sa mère un peu vielle école, ses sœurs, l’une terriblement coincée, l’autre un peu plus ouverte mais pas autant que l’est Emmanuelle. Nous déjeunons ainsi, tranquillement. Emmanuelle ose, après une longue hésitation, me demander si elle aussi peut en apprendre plus sur moi. J’accepte de lui répondre, sans entrer dans les détails, de lui répondre, sur ma dernière relation, mes autres précédentes, mon travail, ce que j’aime dans la vie en dehors du sexe… Elle se trouve loin d’être idiote, une certaine culture. Elle se dévoile également très féminine dans ses attitudes, ses réactions, son comportement, tant à mon égard où elle se fait tendre et amoureuse, que dans son attitude générale qui ne laisse rien transparaitre de sa nature réelle. Sa compagnie s’avère agréable, d’autant que sa beauté attire les regards sur elle. C’est donc un moment léger que nous passons, près de deux heures, sur cette terrasse. Nous quittons alors le restaurant, retournant flâner dans les rues, avant d’arriver à la destination suivante. C’est sur le pas de porte d’un sex shop que je nous arrête. Ma poupée regarde la devanture, discrète mais affichant sa nature, et m’interroge du regard.
- Nous avons de nouveaux achats à faire. Cela est-il au-dessus de tes limites ?
- Dans l’absolu je dirais que non, mais je ne sais pas trop ce que tu prévois d’acheter…
- Tu te doutes de tout ce qui peut se trouver dans ce type de boutique je pense. Es-tu prête encore une fois à te laisser guider ? Si nous franchissons cette porte, à l’intérieur tu ne devras plus rien me refuser. Pour les achats, nous en ferons et c’est lorsque nous utiliserons ceux-ci que peut-être tu pourras potentiellement te rétracter. Mais derrière cette porte, tu deviens mon objet, ma propriété sans volonté propre. A toi de faire ton choix
Pour toute réponse elle vient déposer un petit baiser sur la joue et se dirige vers la porte, qu’elle franchit juste devant moi. La boutique que je connais, pour y avoir notamment acheté la cage que porte actuellement Emmanuelle n’est pas du style glauque et lugubre. Bien que baignant dans une ambiance tamisée, offrant des rayons pleins de tout ce que l’on peut trouver dans ce type de lieu, aucun sentiment de mal être n’est provoqué. On s’y sentirait presque comme dans un supermarché à l’exception du contenu de linéaires. En entrant nous saluons la femme se tenant derrière le comptoir. D’une trentaine d’années, environ 1m70, cheveux noirs, les yeux maquillés noirs également, piercing à la narine, poitrine généreuse cachée derrière un top noir sans manches, elle pianote sur son téléphone. Elle nous répond poliment puis se replonge sur son téléphone. Je nous guide alors dans les allées faisant d’abord un passage de repérage. J’observe ma poupée qui, les yeux grands ouverts d’étonnement, regarde les différents objets exposés. La boutique offre évidement tous les objets imaginables de ce type de lieux. Des vidéos porno, bien entendu, des gods de toutes formes, tailles, couleurs, des plugs, des tenues diverses, tous type de sex-toys. Nous passons ensuite dans le rayon BDSM où se trouvent des objets bien plus spéciaux. Entraves, baillons, écarteurs, fouets, pinces, cages, stimulateurs électriques, tenues appropriées, toute la panoplie possible est disponible. Je nous reguide vers l’entrée du magasin et
- Maintenant, faisons nos courses ma belle. Qu’est-ce qui te fait envie ?
- Heu, je n’en sais rien… Je n’ai jamais acheté ce genre de trucs…
- Je sais, mais ce n’est pas ma question. Qu’est-ce qui te fait envie ? On ne ressortira pas les mains vides et je veux que tu choisisses certains des objets qui viendront fouiller l’intérieur de ton corps
Un peu surprise, Emmanuelle se met alors à scruter le rayon. Nous sommes au milieu des gods et son regard passe d’un modèle à l’autre. Elle finit par en montrer un du doigt. Selon l’emballage, il est de 12 cm de long pour 3 de large, réaliste dans la forme, d’une couleur rose flashy
- Ok, prends-le. Ce sera pour tes petits amusements. Je vais choisir les autres
Choisissant dans le rayon, j’opte pour divers modèles, aux dimensions plus généreuses, à ventouse ou sans, que je mets dans notre panier. Nous avançons ensuite face aux plugs. Là aussi, toutes les tailles, formes et couleurs sont disponibles. Du regard j’invite Emmanuelle à faire son choix.
- Il y en a de vraiment très gros non ? je ne crois pas que la plupart puissent... Rentrer
- Vu comme ton cul est gourmand je ne m’inquiète pas. Et on t’entrainera à accepter les plus gros progressivement. Choisis
Un peu moins timorée c’en est un de taille moyenne qu’elle choisit. Noir, de forme classique, elle le dépose dans le panier. J’y ajoute 3 autres, deux classiques, l’un d’une taille inférieure, l’autre supérieur et surtout un gonflable. Juste à côté se trouve l’assortiment de rosebud. Ce bijou anal est un accessoire que j’affectionne.
- Ma belle, à partir de maintenant je veux que tu portes ce type de bijou en permanence. Tu auras compris que c’est au milieu de tes petites fesses qu’ils viennent se loger. A la différence des plugs qu’on a pris, ces bijoux peuvent se porter des heures. Il y a des tailles et poids différents qui en plus de rendre ta porte arrière encore plus séduisante, te permettrons de muscler et assouplir ton fondement en étant pleine en permanence. Tu vas choisir 5 modèles, comme s’il s’agissait de bijoux classiques
Je la vois donc regarder attentivement le rayon, les prendre en mains, observer les bijoux ornementaux, les soupeser, estimer leurs diamètres. Son premier choix est coffrets de trois, argentés, identiques en poids et formes, dont l’extrémité extérieure est en forme de cœur, en imitation de pierre, l’une rose, l’autre violette et la troisième couleur émeraude. Le quatrième en est un noir, lui aussi orné d’une pierre ronde, rose. Le dernier, qu’elle me tend pour valider son choix, est lui aussi argenté mais la partie extérieure est une miniature d’un homme. Le bijou simule que le la partie interne est le sexe de l’homme.
- En le portant je pourrais me dire que c’est toi qui es en moi…
- Bien, ce sont tes choix, on les prend
De mon côté j’en sélectionne aussi. Le premier en est un dont l’extrémité est reliée à une chaine, formant ainsi une laisse. Le second est un modèle creux, à l’intérieur duquel une bille se promène. La plaquette garantie des sensations différentes à chaque mouvement. Le troisième et dernier est un modèle vibrant, commandable via smartphone. Notre panier se remplit tout doucement. Pour la suite, je vais avoir besoin de l’aide de la vendeuse, vers laquelle nous nous dirigeons. Je laisse Emmanuelle à distance et vais lui parler. Notre discussion dure 5 minutes avant que nous venions vers Emmanuelle. Océane, puisque c’est ainsi que se prénomme la vendeuse passe devant et je peux allègrement profiter de la vue de son superbe cul moulé à la perfection dans un pantalon en cuir noir, mat. Elle nous précède et nous guide vers une cabine d’essayage ou je fais entrer Emmanuelle
- La dame va prendre toutes tes mensurations pour que je puisse faire certains achats sans toi. Soit docile et obéissante
Muni de son mètre ruban et d’un calepin, Océane mesure ma poupée sous toutes les coutures. Lorsqu’elle en vient à devoir prendre des mensurations plus basses, elle soulève la robe d’Emmanuelle
- Ola, ça pu le sperme là-dessous
- Haha oui pas étonnant. Déjà elle a dû nous négocier une remise dans une boutique tout à l’heure mais aussi elle a sa part de responsabilité
En finissant ma phrase, j’écarte le tanga poisseux d’Emmanuelle dévoilant son oiseau en cage
- Ha, ça y est je te remets. Tu es passé il y a quelques jours acheter cette cage justement, entre autres
- Oui en effet
- Joli petit lot veinard. Et du coup, je comprends mieux l’autre question. Finissons les mesures on voit ça après
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, les dernières mesures sont faites
- C’est par ici pour la suite
Et nous la suivons tout au fond la boutique, dans une pièce qu’elle nous ouvre
- Ma poupée, ici c’est une salle de glory hole. La plupart des salles de ce type sont faites en général pour des pipes. Mais ta bouche ne pourra pas pratiquer et par chance ici, la salle permet aussi un glory hole pour baiser. Tu vas retirer ton tanga et ta robe, ensuite tu vas t’allonger sur la table là. Ensuite nous ouvrirons la trappe sur le mur et on pourra alors passer ton petit cul de rêve au travers. Tes pieds seront attachés au-dessus de toi, et tes mains à la table. De l’autre côté du mur, des hommes vont venir et l’un après l’autre vont te baiser
- Mais… enfin je… Moi je veux que toi…
- Rappel toi notre discussion de tout à l’heure. Tu es ma propriété, et j’ai décidé de te prêter, ici et maintenant.
- Mais… et quand ils vont me….baiser ils vont voir que je suis un… enfin pas vraiment une femme
- Oui et ils le sauront d’avance aussi. Océane va se charger d’afficher ta nature sur la porte. Les hommes qui vont entrer dans la pièce d’à côté sauront que c’est ton cul et que ton cul qu’ils pourront baiser. Et qu’au-dessus se dressera un clito en cage. Et rassures-toi, les consignes sont claires, ils auront tous des capotes. Maintenant déshabilles-toi
Sonnée, Emmanuelle met quelques instants avant de bouger. C’est d’un regard bas me fixant qu’elle retire d’abord sa robe puis, très pudiquement son tanga tout en cherchant à cacher son entrejambe. La prenant par la main, je la guide vers la table, l’y fait s’allonger sur le dos, la tête dépassant dans le vide. Nous lui attachons les mains sous la table puis guidons ses pieds vers les entraves de chevilles. Je lui retire alors le tampon qui s’est imbibé de mon jus et s’est donc ouvert, qui sortant laisse filer une coulure épaisse et blanchâtre. Océane me tend un tube de lubrifiant que je vais généreusement appliquer sur et dans l’anus de ma poupée. Ensuite, une capote qui m’est tendue par Océane se retrouve déroulée par-dessus la cage rose. Lorsque nous la jugeons prête, Océane ouvre la trappe puis nous faisons glisser la table. Seule la partie sur laquelle le dos d’Emmanuelle est posé bouge et coulisse, faisant passer son cul de l’autre côté du mur. Le mouvement fait entrainer ses pieds en l’air, légèrement en arrière, lui faisant parfaitement tendre sa croupe par l’ouverture. Océane quitte alors la pièce en nous informant qu’elle allait s’occuper d’informer les clients des salles de visionnage qu’un garage à bittes est disponible. Je regarde alors Emmanuelle qui a le regard un peu paniqué
- Tu es inquiète ?
- Oui… Tu es le seul à m’avoir… Enfin tu sais
- A t’avoir quoi ?
- Fait l’amour…
- Pas seulement, je ne t’ai pas seulement fait l’amour, je t’ai fait quoi d’autre ?
- Tu m’as… Baisé…
- Oui, et là ces hommes, que vont-ils faire ?
- Ils vont me baiser aussi
- Oui, et je suis très fier de toi. Et tu m’excite énormément comme ça
J’ouvre et baisse alors mon pantalon et déballe ma queue déjà bien tendue. La position d’Emmanuelle, juste à la bonne hauteur pour avoir son visage sous mes couilles, la tête dans le vide, en arrière est idéale. Je fais promener mes couilles sur son visage, sur sa bouche, d’où je sens sa langue venir me caresser. Je me recule alors et vient pointer mon gland entre ses lèvres. Je la laisse humidifier un instant avant de me planter plus loin en elle tout en prenant soin de ne pas frotter trop sur sa langue encore fragile. Prenant pleinement le contrôle, j’explore sa bouche et le début de sa gorge. Sa gorge, tendue, sur laquelle je pose mes mains, serrant légèrement, la faisant un peu suffoquer, puis je desserre, me retire pour la laisser respirer avant de replonger, plus profond jusqu’à sentir sous mes doigts ma queue se déplaçant. Reprenant une plus lente baise de sa bouche, je la sens se raidir brusquement. Je devine alors que le premier homme est entré à côté. Au bout d’un moment son corps commence à bouger, à l’horizontal, signe que l’homme est en elle et en train de la besogner. Je me retire de sa bouche et m’aperçoit qu’elle y prend du plaisir. Je remets alors ma queue dans sa bouche, laissant les mouvements de son corps provoqués par les coups de bites gérer les mouvements sur ma tige. Les mouvements s’arrêtent juste après qu’on a entendu l’homme à côté pousser un râle rauque, signe de sa jouissance. Je reprends la baise de la bouche de ma poupée lorsque je devine à sa nouvelle tension l’arrivée d’un autre homme. Je choisis de me terminer là et accélère la cadence, me branlant en partie en même temps pour me vider au fond de sa bouche. Lorsque je me retire, Emmanuelle, souriante, les yeux pétillants, avale ma semence.
- Profites-en bien, laisse les te faire jouir et jouir de toi. Pour une fois tu n’as rien de plus à faire que d’offrir ton cul.
Je quitte la pièce, après m’être rhabillé et vais poursuivre mes achats. Je prends mon temps pour flâner dans les rayons, choisissant notamment des tenues pour ma poupée ainsi que divers autres accessoires. C’est Océane qui vient me sortir de ma frénésie d’achat en m’informant que le dernier homme venait d’entrer dans la pièce ainsi que du fait qu’elle fermait la boutique et qu’il sera donc le dernier. Elle me fait savoir que nous pouvons rester et qu’elle aussi voulait jouer avec ma poupée
- J’ai vu passer pas mal de monde ici tu sais. Femmes, hommes, des travestis aussi, et pas forcément toujours des top model. Mais ça fait un moment que je n’ai pas eu l’occas de voir une petite trans aussi mignonne que ta poupée.
- Ho elle n’en n’est pas encore au stade d’être trans tu sais
- Ha bon, elle est bien gaulée c’est le principal
Elle me guide alors dans une pièce munie d’une grande vitre, étant ce que je pense être un miroir sans tain. On voit sur la pièce où un homme est en train de s’acharner dans le cul de mon joujou. On observe jusqu’à ce qu’il se finisse, retire sa capote, y fait un nœud et la dépose dans une coupelle où y sont entreposées d’autres. Lorsqu’il finit de se rhabiller Océane quitte la pièce me disant d’attendre qu’elle revienne. Je patiente en observant l’étoile censée être secrète d’Emmanuelle palpiter, restant entre-ouverte. Océane réapparait dans la pièce, de l’autre côté de la glace, portant toujours son haut, mais en bas juste équipée d’un god ceinture. Elle vient m’ouvrir la porte mitoyenne avant de présenter son god, encapuchonné aussi, et graissé devant l’anus d’Emmanuelle où elle finit par s’enfoncer lentement. Je suis à côté, excité par la situation, et défait mon pantalon pour commencer à me masturber en regardant le spectacle qui m’est offert. Océane encule généreusement ma poupée tout en regardant ma main masser ma queue. A un moment elle quitte le cul de ma poupée, pioche une capote dans le saladier, la déballe et vient se mettre accroupie devant moi. En 2 coups de poignets et de bouche, ma queue est protégée, coulisse entre les lèvres d’Océane. Elle se relève et, tout en me maintenant par la queue, repointe son gland de plastique sur l’anus d’Emmanuelle. Une fois embrochée, elle me guide par la queue derrière elle et d’elle-même pointe ma queue entre ses lobes. Chose inespérée, je me retrouve rapidement le gland pénétrant son superbe cul. En m’enfonçant en elle, je sens que la ceinture qu’elle porte doit être équipée d’un god intérieur, car je sens au travers des parois qu’elle est remplie de la chatte. Elle me laisse m’introduire en elle, sans difficulté dans un passage qui doit être souvent investit. Toujours sans un mot elle reprend ses coups de reins dans le cul qui lui est offert, me faisant coulisser en elle par la même occasion. Je décide de profiter pleinement et vient poser mes mains sur ses superbes seins tout en faisant coulisser ma queue dans ses entrailles. Nous baisons ainsi un moment où, en dehors de nos râles et des gémissements plus aigües d’Emmanuelle, pas un mot n’est échangé. Elle se met alors à haleter, à être un peu plus désordonnée, signe de son orgasme proche. Je la saisis alors par les hanches fermement avant de pistonner son anus, donnant ainsi les coups de son god à Emmanuelle. Océane finit par crier son orgasme, écrasant ma queue dans son cul et déclenchant le mien. Elle se remet en douceur de son orgasme et moi du mien puis se dégage de la chatte anale d’Emmanuelle ce qui me fait quitter son étoile. Océane se retourne, s’accroupît, et me retire la vapote sans en faire couler une goutte avant de la nouée et de la rajouter dans celles déjà dans la coupole. Elle retire également celle de son god et, bien que vide de toute semence, la noue et lui fait rejoindre les autres. Elle prend la coupole et avant de sortir
- Tu peux la rejoindre par la porte là. Vous avez une pièce attenante pour un brin de toilette. Rejoignez-moi au comptoir quand vous serez prêts.
Sans attendre de réponse elle quitte la pièce. Pour ma part je rejoins ma poupée que je trouve toujours dans la même position, semi-comateuse. Je m’approche d’elle et lui caresse la joue pour la sortir de sa torpeur. Le regard vague elle me souri
- Alors ma belle comment tu te sens ?
- Je ne sais pas trop, je suis ko.. mais c’était… merveilleux !
- A ce point ?
- Ho oui… sentir toutes ces queues me baiser, me faire jouir… la dernière était dure, très dure ! Et c’est moi qui la faisais se tendre autant, j’ai adoré !
- Tant mieux, j’en suis ravi
Je m’attelle alors à détacher ses pieds, tirer vers l’intérieur la table, libérer ses poignets. Elle est flasque sur la table, toujours souriante alors que je lui retire sa capote qui elle aussi est bien pleine
- En effet, tu as sacrément joui ma petite pute. Combien de fois ?
- Je ne sais plus.. je pense que chacun m’a au moins fait jouir une fois, certains peut-être deux fois. J’arrivais plus trop à distinguer le changement de bite hihi
Je présente alors sa capote à sa bouche et y déverse le contenu qu’elle avale sans retenue. Lorsqu’elle a fini d’en vider le contenu je l’aide à se relever et la guide vers la pièce dont a parlé Océane. Équipée d’un petit lavabo, nous nous y rafraîchissons à l’aide d’un gant avant de nous rhabiller. Légèrement instable sur ses talons, c’est Emmanuelle pendue à mon bras que nous nous dirigeons vers le comptoir. On y retrouve Océane, qui n’a pas changé de tenue, et c’est naturellement sur la bite en plastique que se pose le regard de ma poupée
- Oui la dernière, très dure comme tu disais, c’était elle
- Ho… heu, merci… c’était très bon
- Oui je confirme ton cul est un délice ma belle
Sur le comptoir sont posés les sacs remplis de nos achats. Il y en a quelques-uns, j’avoue avoir fait quelques folies… Océane compte alors les capotes dans le bol
- Bien, à 1% de remise par clients vous bénéficiez donc de 8%
Si on déduit ma propre capote et celle d’Océane, ce sont donc 6 hommes qui ont baisés Emmanuelle. Pas mal pour une ex vierge récente. Je règle la note, salée tout de même, et nous quittons la boutique et rentrons, bras dessus, bras dessous à destination de notre immeuble.

Les avis des lecteurs

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Qu'est ce que ça doit être bon et fort

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J aurait aimé être à ça place



Texte coquin : Emmanuelle 6
Histoire sexe : Une rose rouge
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