En couples Ep02
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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En couples Ep02
En couples Ep02
On se retrouvait à la même table, le restaurant de cet hôtel est très bon.
– C'était pas la première fois ? Me demandait-il.
– Non ! Et toi pareil je suppose ?
– Bobonne est au courant ?
– Non bien sûr que non ! Lui répondais-je en rigolant. Et ta Bobonne à toi?
– Non mais tu rêves, je ne vais pas lui raconter ça !
– Et toi aussi tu te fait ?
– Ça j'aime pas trop mais toi par contre tu as l'air d'aimer.
On discutait, discrètement. C'est vrai ça, on était dans un espace publique, on parlait donc de couilles, de bite, de cul et de sodomie … Mais à demi mots … Il nous semblait inutile de nous faire remarquer.
On a traîné un peu au bar après le repas puis on est monté nous coucher, mais chacun dans son lit. Le lendemain on programmait une randonnée. On se levait tôt, vers la fin de la matinée.
Petit déjeuner, douche … enfin on se préparait. Un peu avant midi, on passait au restaurant, nous avions décidé de partir dans la matinée mais comme on avait loupé l'horaire …
On est passé à table !
Il ne faut pas se laisser abattre, on était en vacances. Suivait une grande promenade. Moi je ne fais pas de différence entre une randonnée et une promenade. Le soir on rentrait à l'hôtel.
Arrivé à l'hôtel je commençais déjà à bander. Je pensais à la douche et je me doutais que je n'y serais pas seul.
– Je te paye un verre dans ma chambre ? Me demandait Jason.
– Ça marche ! Lui répondais-je en le suivant.
Là on entrait dans sa chambre, je le voyais s'arrêter, comme tétanisé. Il regardait l'air bête devant lui, d’où j'étais je ne voyais pas ce qu'il regardait.
– Bééééh Mamour ! Murmurait-il sur le ton interrogatif de celui qui ne comprend pas. J'avançais et à mon tour je m'exclamais.
– Bééééh Bibiche ! Vous remarquerez que je n'ai pas dit Bobonne.
La situation était insolite mais je me suis retenu de dire Bobonne. Sara la femme de Jason et Sonia ma femme étaient allongées sur lit, entièrement nue, et ce n'est pas dans la tonsure qu'elle se cherchaient des poux !
Sans être franchement choqués, surtout avec l'intimité que nous avions partagé Jason et moi ne pouvions pas cacher notre surprise. Heureusement on est large d'esprit. Et surtout que Jason et moi, et bien, on bandait et nous n'avions aucune chance de le dissimuler.
Les femmes peuvent montrer beaucoup d'aplomb dans ce genre de situation, surtout les nôtres.
– Oh mais ce n'est pas du tout ce que vous pensez ! S'exclamait Sonia.
– Vous étiez juste en train de faire un câlin ? Répondait Jason.
– C'est exactement ce que vous pensez alors ! Répondait Sara.
– Oui mais il faut prévenir dans ce cas là. Rajoutais-je.
Vous remarquerez que, là je ne savais plus ce que je disais. Surtout que là je bandais encore plus.
Sara se levait et s'approchait de son mari. Elle se déhanchait avec grâce, s'approchait de son mari qui restait complètement tétanisé, toujours avec l'air bête. Elle se collait à lui, lui donnait un baiser.
Elle était magnifique, une silhouette de rêve, des seins qui tenaient bien, une chute de rein à tomber à la renverse. Remarquez j'avais rien à lui envier, j'avais la même à la maison, si j'ose dire.
Puis dans un mouvement rapide, elle s'accroupissait, saisissait et tirait son pantalon qui tombait sur ses chevilles. Il bandait ferme, sa queue un instant tirée vers le bas se relevait avec force et se balançait de haut en bas pendant quelques instant. Il n'a pas réagit tout de suite et moi je ricanais bêtement …
Il me lançait un regard assassin !
Je n'avais pas fait attention, occupé que j'étais, à me rincer l’œil sur le corps magnifique de Sara, mais je ne voyais plus Sonia ma femme. Elle était passée dans mon dos. Je sentais deux mains qui me saisissaient à la ceinture et avant que j'ai eu le temps de réagir je me retrouvais moi aussi avec mon pantalon sur les chevilles. Ma queue se redressait avec vigueur. Jason regardait la scène et ricanait, lui aussi bêtement. Je lui lançais à mon tour un regard tueur.
Les deux filles reprenaient leurs place sur le lit, comme si tout était normal. On avait l'air un peu cons, je dois le reconnaître mais nos femmes semblaient être d'humeur joyeuse.
Sonia me regardait et sans aucune gêne me lançait.
– Trésor, pendant qu'on se détend tranquillement, tu pourrais sucer ton copain pour nous faire plaisir.
Sara rigolait et s'exclamait.
– Mais ça c'est une idée, pourquoi auraient-ils le droit de se rincer l’œil et pas nous ?
Oui bon, là on a un peu buggé, je ne vous le cacherai pas. Puis un peu comme un automate je me mettais à genoux et lentement sans trop comprendre ce que je faisais. Si je vous jure, avec la présence de nos femmes ça changeait tout. Au départ c'est bien ce que je voulais faire mais la présence des dames ne me mettais pas vraiment dans l'ambiance.
Je procédais tout de même.
Je glissait sa queue dans ma bouche, j'enveloppais son gland avec ma langue et le caressais. Il ne lui fallait que quelques secondes pour gémir de plaisir. J'entendais les deux filles qui rigolaient puis, je n'entendais plus rien.
J'étais occupé, absorbé par ce que je faisais. J'y prenais du plaisir. Les pensées se bousculaient dans ma tête. Et si elles étaient choquées, et si elles se rendaient compte que j'aimais faire ça, et si, et si …
Il m'encourageait à continuer en me caressant le sommet de la tête, et doucement par moment il avançait son bassin. J'en prenais plein la bouche, plein la gorge mais j'aimais.
Au bout de quelques instants je tournais le regard vers nos femmes, Sara nous regardait et ma femmes l'embrassait sur tout le corps. Elle caressait Sara avec ses lèvres et sa langue.
Elle relevait la tête et nous lançait.
– Échangez les position, et retirez tous vos vêtements.
Je me relevais et mécaniquement je retirais tous mes vêtement, Jason en faisait de même, c'est lui qui se mettait à genoux devant moi et me montrait comment il savait me faire plaisir.
Je me suis contracté, c'était tellement bon. Immédiatement je lui caressais les cheveux. Les filles aussi changeaient de position, le visage de Sara disparaissait entre les cuisses de Sonia. Et je regardais sans trop comprendre ma femme se faire lécher par une autre femme.
Ça m’excitait à un niveau incroyable, et il y avait aussi la langue de mon pote qui glissait et caressait mon gland, ma queue.
Les femmes s'amusaient pendant encore un moment. Puis c'est Sonia qui prenait la parole.
– J'aimerais bien vous voir vous enculer . Charly tu pourrais commencer.
Je voyais tout de suite la panique dans les yeux de Jason mais il me faisait ' oui ' avec la tête et les yeux. Lentement il se retournait, il se penchait sur le dossier d'un fauteuil, une des filles me lançait un tube de gel. Mécaniquement je me lubrifiais la queue et son cul. Là je ne pensais à rien en fait je crois.
Mon cœur battait très fort, ma respiration était intense. Il avait pris position, je me plaçais juste derrière lui. Ma queue en position, je poussais lentement. Son cul résistait. Je forçais, je l'entendais gémir. Je voyais son visage se crisper quand il tournait la tête vers les filles.
Elle ne bougeaient plus et nous regardaient. Elles semblaient apprécier. Pour ce qui est de Jason, c'était moins sûr.
J'ai brusquement senti son anus s'ouvrir. Il a poussé un cri. Je continuais à pousser, son anus s'ouvrait totalement et je glissai à l'intérieur.
– Doucement ! Me disait-il avec une voix crispée.
Un instant je ne bougeais plus, il se détendait puis je m'enfonçais un peu plus. De nouveau il a râler. Je continuais à m'enfoncer, d'une certaine manière je me vengeais de la veille. Puis mon ventre s'écrasait contre ses fesses. Le filles applaudissaient, je ne bougeais plu et Jason ne respirait plus.
– Ça va ? Me demandait-il.
– Ça va ! Sauf quand je respire !
Sa réponse me faisais rire et bouger, de fait.
– Bouge pas, ne bouge pas. S'exclamait-il !
Je le sentais se contracter, puis il poussait une longue plainte. Comme il ne me demandait pas d'arrêter, et bien je continuais ! J'attendais quelques instants puis je me retirais, il respirait fort. Encore une petite pose et je revenais.
Puis après quelques secondes de pose, je commençais des mouvements d'aller retour. Il se contractait mais moi là je m'en moquais. Je lui rendais la politesse de la veille. Mes mouvements étaient lents et amples. Je me retirais presque complètement puis je revenais, toujours lentement, bien à fond.
Peu à peu mes mouvements devenaient plus rapide, plus fermes. Il gémissait mais ces cris ressemblaient plus à du plaisir, plus à un plaisir qui devenait intense et violent.
Nous avions totalement oublié les filles .
Mes mouvements devenaient rapides. Jason les accompagnait en gémissant puis en râlant avant finalement de crier.
– Tu crois qu'il jouit ou qu'il souffre ? Disait une voix.
Je sursautais, c'était Sara. Avec ma femme elles ne disaient plus rien, mais regardaient le spectacle avec de grands yeux, elle étaient fascinées par ce spectacle porno gay en live que nous leurs offrions.
C'est vrai que je les avais oubliées. Mais ça ne me calmais pas, j'y prenais goût, et comme ni Jason ni sa femme, pas plus que la mienne n'y trouvaient à redire je continuais à me lâcher.
Les coups que je lui donnais dans le cul devenaient plus fort, puis encore plus.
Mon ventre claquait contre ses fesses, et un râle provenait du fond de sa gorge à chaque fois. Les filles ne bougeaient plus, moi je bougeais encore plus vite et Jason semblait s'effondrer mais je sentais qu'il y avait du plaisir.
Remarquez, à ce moment précis je m'en moquais un peu. Je me penchais sur lui et caressais son corps. Il ne bandait plus et je tripotais sa grosse queue toute molle. C'est là qu'il a juté, un flot de sperme coulait, pas d'éjaculation, ça ressemblait à une fuite.
C'est la dernière stimulation qui me manquait. C'est là que j'ai juté, c'est là que j'ai crié. Les derniers coups de bite que je lui portait étaient particulièrement violent et c'est ensemble que nous avons crié au moment ou j'ai joui.
Nous respirions fort,très fort, je le lâchait, il retombait sur ses genoux. Je me sentais bien !
Vous imaginez bien qu'après cette petite histoire, nous nous sommes tous revus régulièrement. On habitait à trois heure de route de distance et tous les week-end un des deux couples prenait la route tôt le vendredi soir pour repartir très tôt le lundi matin. On alternait, c'était chacun son tour …
Et les vacances, on les passe toujours ensemble maintenant !
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
On se retrouvait à la même table, le restaurant de cet hôtel est très bon.
– C'était pas la première fois ? Me demandait-il.
– Non ! Et toi pareil je suppose ?
– Bobonne est au courant ?
– Non bien sûr que non ! Lui répondais-je en rigolant. Et ta Bobonne à toi?
– Non mais tu rêves, je ne vais pas lui raconter ça !
– Et toi aussi tu te fait ?
– Ça j'aime pas trop mais toi par contre tu as l'air d'aimer.
On discutait, discrètement. C'est vrai ça, on était dans un espace publique, on parlait donc de couilles, de bite, de cul et de sodomie … Mais à demi mots … Il nous semblait inutile de nous faire remarquer.
On a traîné un peu au bar après le repas puis on est monté nous coucher, mais chacun dans son lit. Le lendemain on programmait une randonnée. On se levait tôt, vers la fin de la matinée.
Petit déjeuner, douche … enfin on se préparait. Un peu avant midi, on passait au restaurant, nous avions décidé de partir dans la matinée mais comme on avait loupé l'horaire …
On est passé à table !
Il ne faut pas se laisser abattre, on était en vacances. Suivait une grande promenade. Moi je ne fais pas de différence entre une randonnée et une promenade. Le soir on rentrait à l'hôtel.
Arrivé à l'hôtel je commençais déjà à bander. Je pensais à la douche et je me doutais que je n'y serais pas seul.
– Je te paye un verre dans ma chambre ? Me demandait Jason.
– Ça marche ! Lui répondais-je en le suivant.
Là on entrait dans sa chambre, je le voyais s'arrêter, comme tétanisé. Il regardait l'air bête devant lui, d’où j'étais je ne voyais pas ce qu'il regardait.
– Bééééh Mamour ! Murmurait-il sur le ton interrogatif de celui qui ne comprend pas. J'avançais et à mon tour je m'exclamais.
– Bééééh Bibiche ! Vous remarquerez que je n'ai pas dit Bobonne.
La situation était insolite mais je me suis retenu de dire Bobonne. Sara la femme de Jason et Sonia ma femme étaient allongées sur lit, entièrement nue, et ce n'est pas dans la tonsure qu'elle se cherchaient des poux !
Sans être franchement choqués, surtout avec l'intimité que nous avions partagé Jason et moi ne pouvions pas cacher notre surprise. Heureusement on est large d'esprit. Et surtout que Jason et moi, et bien, on bandait et nous n'avions aucune chance de le dissimuler.
Les femmes peuvent montrer beaucoup d'aplomb dans ce genre de situation, surtout les nôtres.
– Oh mais ce n'est pas du tout ce que vous pensez ! S'exclamait Sonia.
– Vous étiez juste en train de faire un câlin ? Répondait Jason.
– C'est exactement ce que vous pensez alors ! Répondait Sara.
– Oui mais il faut prévenir dans ce cas là. Rajoutais-je.
Vous remarquerez que, là je ne savais plus ce que je disais. Surtout que là je bandais encore plus.
Sara se levait et s'approchait de son mari. Elle se déhanchait avec grâce, s'approchait de son mari qui restait complètement tétanisé, toujours avec l'air bête. Elle se collait à lui, lui donnait un baiser.
Elle était magnifique, une silhouette de rêve, des seins qui tenaient bien, une chute de rein à tomber à la renverse. Remarquez j'avais rien à lui envier, j'avais la même à la maison, si j'ose dire.
Puis dans un mouvement rapide, elle s'accroupissait, saisissait et tirait son pantalon qui tombait sur ses chevilles. Il bandait ferme, sa queue un instant tirée vers le bas se relevait avec force et se balançait de haut en bas pendant quelques instant. Il n'a pas réagit tout de suite et moi je ricanais bêtement …
Il me lançait un regard assassin !
Je n'avais pas fait attention, occupé que j'étais, à me rincer l’œil sur le corps magnifique de Sara, mais je ne voyais plus Sonia ma femme. Elle était passée dans mon dos. Je sentais deux mains qui me saisissaient à la ceinture et avant que j'ai eu le temps de réagir je me retrouvais moi aussi avec mon pantalon sur les chevilles. Ma queue se redressait avec vigueur. Jason regardait la scène et ricanait, lui aussi bêtement. Je lui lançais à mon tour un regard tueur.
Les deux filles reprenaient leurs place sur le lit, comme si tout était normal. On avait l'air un peu cons, je dois le reconnaître mais nos femmes semblaient être d'humeur joyeuse.
Sonia me regardait et sans aucune gêne me lançait.
– Trésor, pendant qu'on se détend tranquillement, tu pourrais sucer ton copain pour nous faire plaisir.
Sara rigolait et s'exclamait.
– Mais ça c'est une idée, pourquoi auraient-ils le droit de se rincer l’œil et pas nous ?
Oui bon, là on a un peu buggé, je ne vous le cacherai pas. Puis un peu comme un automate je me mettais à genoux et lentement sans trop comprendre ce que je faisais. Si je vous jure, avec la présence de nos femmes ça changeait tout. Au départ c'est bien ce que je voulais faire mais la présence des dames ne me mettais pas vraiment dans l'ambiance.
Je procédais tout de même.
Je glissait sa queue dans ma bouche, j'enveloppais son gland avec ma langue et le caressais. Il ne lui fallait que quelques secondes pour gémir de plaisir. J'entendais les deux filles qui rigolaient puis, je n'entendais plus rien.
J'étais occupé, absorbé par ce que je faisais. J'y prenais du plaisir. Les pensées se bousculaient dans ma tête. Et si elles étaient choquées, et si elles se rendaient compte que j'aimais faire ça, et si, et si …
Il m'encourageait à continuer en me caressant le sommet de la tête, et doucement par moment il avançait son bassin. J'en prenais plein la bouche, plein la gorge mais j'aimais.
Au bout de quelques instants je tournais le regard vers nos femmes, Sara nous regardait et ma femmes l'embrassait sur tout le corps. Elle caressait Sara avec ses lèvres et sa langue.
Elle relevait la tête et nous lançait.
– Échangez les position, et retirez tous vos vêtements.
Je me relevais et mécaniquement je retirais tous mes vêtement, Jason en faisait de même, c'est lui qui se mettait à genoux devant moi et me montrait comment il savait me faire plaisir.
Je me suis contracté, c'était tellement bon. Immédiatement je lui caressais les cheveux. Les filles aussi changeaient de position, le visage de Sara disparaissait entre les cuisses de Sonia. Et je regardais sans trop comprendre ma femme se faire lécher par une autre femme.
Ça m’excitait à un niveau incroyable, et il y avait aussi la langue de mon pote qui glissait et caressait mon gland, ma queue.
Les femmes s'amusaient pendant encore un moment. Puis c'est Sonia qui prenait la parole.
– J'aimerais bien vous voir vous enculer . Charly tu pourrais commencer.
Je voyais tout de suite la panique dans les yeux de Jason mais il me faisait ' oui ' avec la tête et les yeux. Lentement il se retournait, il se penchait sur le dossier d'un fauteuil, une des filles me lançait un tube de gel. Mécaniquement je me lubrifiais la queue et son cul. Là je ne pensais à rien en fait je crois.
Mon cœur battait très fort, ma respiration était intense. Il avait pris position, je me plaçais juste derrière lui. Ma queue en position, je poussais lentement. Son cul résistait. Je forçais, je l'entendais gémir. Je voyais son visage se crisper quand il tournait la tête vers les filles.
Elle ne bougeaient plus et nous regardaient. Elles semblaient apprécier. Pour ce qui est de Jason, c'était moins sûr.
J'ai brusquement senti son anus s'ouvrir. Il a poussé un cri. Je continuais à pousser, son anus s'ouvrait totalement et je glissai à l'intérieur.
– Doucement ! Me disait-il avec une voix crispée.
Un instant je ne bougeais plus, il se détendait puis je m'enfonçais un peu plus. De nouveau il a râler. Je continuais à m'enfoncer, d'une certaine manière je me vengeais de la veille. Puis mon ventre s'écrasait contre ses fesses. Le filles applaudissaient, je ne bougeais plu et Jason ne respirait plus.
– Ça va ? Me demandait-il.
– Ça va ! Sauf quand je respire !
Sa réponse me faisais rire et bouger, de fait.
– Bouge pas, ne bouge pas. S'exclamait-il !
Je le sentais se contracter, puis il poussait une longue plainte. Comme il ne me demandait pas d'arrêter, et bien je continuais ! J'attendais quelques instants puis je me retirais, il respirait fort. Encore une petite pose et je revenais.
Puis après quelques secondes de pose, je commençais des mouvements d'aller retour. Il se contractait mais moi là je m'en moquais. Je lui rendais la politesse de la veille. Mes mouvements étaient lents et amples. Je me retirais presque complètement puis je revenais, toujours lentement, bien à fond.
Peu à peu mes mouvements devenaient plus rapide, plus fermes. Il gémissait mais ces cris ressemblaient plus à du plaisir, plus à un plaisir qui devenait intense et violent.
Nous avions totalement oublié les filles .
Mes mouvements devenaient rapides. Jason les accompagnait en gémissant puis en râlant avant finalement de crier.
– Tu crois qu'il jouit ou qu'il souffre ? Disait une voix.
Je sursautais, c'était Sara. Avec ma femme elles ne disaient plus rien, mais regardaient le spectacle avec de grands yeux, elle étaient fascinées par ce spectacle porno gay en live que nous leurs offrions.
C'est vrai que je les avais oubliées. Mais ça ne me calmais pas, j'y prenais goût, et comme ni Jason ni sa femme, pas plus que la mienne n'y trouvaient à redire je continuais à me lâcher.
Les coups que je lui donnais dans le cul devenaient plus fort, puis encore plus.
Mon ventre claquait contre ses fesses, et un râle provenait du fond de sa gorge à chaque fois. Les filles ne bougeaient plus, moi je bougeais encore plus vite et Jason semblait s'effondrer mais je sentais qu'il y avait du plaisir.
Remarquez, à ce moment précis je m'en moquais un peu. Je me penchais sur lui et caressais son corps. Il ne bandait plus et je tripotais sa grosse queue toute molle. C'est là qu'il a juté, un flot de sperme coulait, pas d'éjaculation, ça ressemblait à une fuite.
C'est la dernière stimulation qui me manquait. C'est là que j'ai juté, c'est là que j'ai crié. Les derniers coups de bite que je lui portait étaient particulièrement violent et c'est ensemble que nous avons crié au moment ou j'ai joui.
Nous respirions fort,très fort, je le lâchait, il retombait sur ses genoux. Je me sentais bien !
Vous imaginez bien qu'après cette petite histoire, nous nous sommes tous revus régulièrement. On habitait à trois heure de route de distance et tous les week-end un des deux couples prenait la route tôt le vendredi soir pour repartir très tôt le lundi matin. On alternait, c'était chacun son tour …
Et les vacances, on les passe toujours ensemble maintenant !
Fin
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