ET TOUJOURS EN ÉTÉ 17 LA NEIGE
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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ET TOUJOURS EN ÉTÉ 17 LA NEIGE
ET TOUJOURS EN ÉTÉ 17LA NEIGE
On parlait. Sans me demander mon avis il allait chercher une bouteille de vin et deux verres. J'avais le dos relevé, il s'installait en tailleur en face de moi, versais un verre me le tendait, s'en versait un et me proposer de trinquer à ma santé.
Moi : Dis moi Taxi. Quand je t'ai rencontré, un homme te maltraitait.
Taxi : C'est un mauvais souvenir que vous me rappelez là Monsieur Jonathan.
Moi : Il te traitait toujours comme ça ?
Taxi hésitait un moment, baissait les yeux.
Taxi : Il était violent mais un peut plus tôt il avait compris que je ne m'intéressais qu'au garçons. Il trouvait que c'était là une abomination. A partir ce ce moment il est devenu particulièrement violent. Il me frappait tous les jours.
Moi : Tu n'as pas essayé de fuir ?
Taxi : Je ne savais pas que l'esclavage était supprimé. J'avais peur, je savais que si je me faisais prendre ce serait pire.
Moi : Et c'est là qu'on est arrivé.
Taxi : Vous avez eu des nouvelles de votre ami Monsieur Sunny ?
Moi : Tu n'as pas oublié son nom je vois.
Taxi : Ça ne risque pas ! Il était incroyable, il était beau, fort. Je n'avais jamais vu un noir habillé comme ça.
Moi : C'est vrai qu'il était impressionnant, il mesure plus de deux mètres tu sais.
Taxi : Vous et votre ami … Enfin vous … Avec votre ami … Vous faisiez comme … Avec moi ?
Je lui confirmais d'un mouvement de la tête ensuite je lui parlais de Sunny, il s'allongeait en face de moi. Tout en lui racontant ces bons souvenir que m'avait laissé Sunny je regardait ses fesses, quand il se retournait sur le dos je regardait sa queue. Il gardait une grosse molle mais la douceur de la température devait y être pour quelque chose. J'avais moi aussi une grosse molle qui s'allongeait sur ma cuisse.
On parlait tout en sirotant ce vin qu'il avait acheté et je dois dire très bien choisi …
Il se relevait brusquement.
Taxi : C'est un grand jour aujourd'hui Monsieur Jonathan. Vous vous êtes enfin levé, vous avez mangé, ensuite vous … Oui bon là passons. ( Je rigolais à l'entendre ) … Et pour finir vous avez retrouvé le sourire ! Vous pensez qu'on pourrait.
Il me montrait la bouteille de vin, elle était vide puis il rajoutait … '' Il y en a d'autres ''.
Je lui faisais oui de la tête et je le voyais repartir tout guilleret, à poil, vers la cuisine ou il entreposait les autres bouteilles. Il revenait, toujours avec un large sourire, et me servait en premier.
Sa queue se balançait lourdement et je me prenais à l'admirer avec insistance. Lentement, imperceptiblement je bandais également. La moyenne molle se transformait en grosse molle puis en grosse dure. Bien dure même.
Taxi s'approchait de moi, écartait les deux verres et s'allongeait sur le ventre devant moi. Il approchait la tête sur ma queue puis presque distraitement il me la caressait, me tripotait les couilles tout en continuant à parler.
Taxi : S'il vous plaît Monsieur Jonathan racontez moi comment c'est chez vous.
Ma queue disparaissait dans sa bouche, je sentais le fond de sa gorge contre mon gland. Je frissonnait et je lui racontais. De temps en temps il relevait la tête.
Taxi : Ça doit être agréable de vivre là bas.
Je me souvenais de ma maison, mes amis, ma famille, la plantation … Je ne disais plus rien mais je tremblais de plaisir, lui il n'arrêtait pas de ma caresser la queue. Il y allait tout doucement, il ne cherchais pas vraiment à me faire jouir, juste à me faire plaisir. Enfin je suppose qu'il devait lui aussi se faire plaisir.
Je m'étais assis en tailleur les jambes repliée. Il se relevait, j'en profitais pour le tirer vers moi et prendre un moment sa queue dans ma bouche. Je me faisais plaisir autant que je lui faisais plaisir. Il me tenait la tête de ses deux mains, avançait et reculait son bassin avec douceur.
Il s'accroupissait sur ma queue, passait les bras autour de mon cou et m'embrassait sur la bouche. Je sentais son cul qui appuyait sur le bout de ma queue. Il continuait le mouvement, son anus ne résistait pas, il s'ouvrait et ma queue s'enfonçait entre ses fesses. Comme je l'avais fait un peu plus tôt. Il me serrait contre lui, se retenait à moi tout en passant ses pieds dans mon dos. Il finissait par me lâcher et il s'empalait sur ma queue de tout son poids.
Je voyais sa grimace, je le connaissais bien et je savais qu'à ce moment il aimait, il aimait tellement qu'il gémissait avant de me crier dans l'oreille. Un cri de plaisir. Je balançais mon bassin, comme une chaise à bascule, d'avant en arrière en roulant sur mes fesses.
Instantanément il se cramponnait de nouveau à mon cou, il refermais les jambes dans mon dos et me serrait fort. Je le saisissait fermement contre moi également. Il posait son menton sur mon épaule et gémissait, je le sentais trembler. Il ne faisait pas froid pourtant devant ce feux.
On ne s'énervait pas on continuait ainsi sans accélérer le mouvement, on laissait le plaisir monter lentement, et il montait très lentement. L'après midi avait avancé et je me souviens il faisait nuit dans le salon quand je l'ai senti éjaculer.
Sa queue frottait contre nos deux ventres, il jouissait fort, il avait mis longtemps. C'est sans doute ce qui me stimulait et je jouissais moi aussi en lui. On se retenait, on ne voulait plus se lâcher, on ne bougeait plus. On frissonnait tous les deux. Je revenais à la vie.
Mes problèmes n'étaient pas réglés, je ne savais toujours pas quand je pourrai rentrer chez moi ni quand je reverrais les miens mais je revenais à la vie. Taxi finissait par se relever, je lui caressais les cuisses, il me donnait un baiser sur la bouche.
Taxi : Et si je préparais le souper Monsieur Jonathan ?
Il repartais vers la cuisine. Là je me retournais pour le regarder partir et revenir. On a soupé ensemble devant la cheminée, ce soir là on ne s'est pas habillé. Je me sentais bien comme j'étais et lui aussi de toutes évidences.
On est resté ainsi à partager un long, un très long moment de tendresse et de douceur. Je me sentais réellement mieux au moment ou je montais me coucher. Taxi avait passé une grande partie de la journée avec moi mais avant de descendre le matin il avait aussi rangé ma chambre au moment ou il était remonté pour éponger la salle de bain. C'est que sous l'influence de Mme Corona il devenait efficace ce garçon.
Le lendemain j'étais réveillé par des hurlement. Taxi était dans ma chambre et hurlait.
Taxi : Réveillez-vous vite Monsieur Jonathan, vite, vite. C'est incroyable, c'est beau.
Je me réveillais en sursaut.
Moi : Mais qu'est ce qui t'arrive ?
Il était devant la fenêtre de ma chambre et regardait dehors.
Taxi : C'est ça qu'on appelle la neige ? C'est beau !
Moi : Vas vite t'habiller chaudement on va sortir !
Un peu plus tard on se retrouvait dans le jardin juste derrière la maison.
Taxi : Il faut que je prépare l'attelage !
Je lui lançais une boule de neige dans la figure. Il paraissait surpris, me regardait, je lui en envoyais une autre. Ses yeux devenaient tout ronds, il commençait à rigoler et m'en envoyait une à son tour.
Pendant une heure on s'est amusé comme des fous, on a fait un bonhomme de neige. Il n'avait jamais vu la neige, moi une fois quand j'étais enfant, pendant un voyage dans cette maison justement.
Quand on rentrait on avait froid, on était trempé mais on était content.
Moi : Tu n'avais jamais vu la neige ?
Taxi : Non jamais, j'ai toujours vécu dans le sud. Au sud du fleuve, je ne vivais pas très loin de chez vous Monsieur Jonathan.
Moi : Mais pourquoi tu voulais que je te raconte comment c'était dans le sud ?
Taxi : Parce que ça vous faisait du bien d'en parler Monsieur Jonathan !
Je posais ma main sur sa joue, il me souriait.
Moi : Tu es vraiment un garçon adorable Taxi.
Il m'avait ému à cet instant, et une fois encore je me disais que j'avais vraiment de la chance de l'avoir rencontré celui là.
Les jours suivaient d'autres jours, et les semaines se suivaient. Je commençais à sortir plus régulièrement. Taxi aussi, il avait acheté un joli costume pour sortir le dimanche. Il avait belle allure et de nombreuses jeunes femmes de couleur se retournaient sur son passage. Il n'y prêtait pas attention !
Le printemps arrivait, et aucune nouvelles du sud. Suivait l'été la guerre ne se calmait pas, la frontière était toujours largement au nord du fleuve mais n'avait pas bougé depuis notre arrivé dans cette maison.
L'hiver arrivait il était particulièrement froid on le passait en se serrant l'un contre l'autre et à l'automne suivant on fêtait notre second anniversaire dans cette maison. J'étais parti depuis plus de deux ans et demie et toujours aucune nouvelle.
Taxi était toujours aux petits soins pour moi et sans lui je serais retombé dans la mélancolie.
Une année supplémentaire et toujours rien, aucune nouvelle. Je ne savais rien de ce qui se passait chez moi depuis plus de trois ans. Je m'étais fait quelques amis mais je recevais rarement. Je les voyais au club. Je trouvais ça plus simple et ça m'obligeait à sortir et à voir du monde.
Une année encore … Taxi ne tarissait pas d'effort pour soutenir mon moral. C'est lui qui maintenant me lisait la presse, mais je la relisais plus tard, il prenait soin de me censurer les plus mauvaises nouvelles, mais pas les bonnes.
Là on parlait d'une avancée de l'armée du Nord.
On parlait de nombreuses destructions de nombreuses maisons comme celle de ma famille. La frontière était redescendue au niveau du fleuve. Je décidais de redescendre vers la nouvelle frontière. Je contactais par télégramme mon ancien concierge, celui à qui j'avais laissé une lettre pour ma famille. Par retour il me faisait savoir qu'il avait reçu des nouvelles et que mon ancien appartement était de nouveau libre. L'officier du sud était parti précipitamment.
Je réservais l'appartement et lui annonçait mon arrivée prochaine. Il nous a fallu une semaine pour faire le trajet. C'était à la fois une inquiétude et une angoisse de me rapprocher de nouveau de la maison. Je savais que là bas je ne serais plus qu'à cent kilomètre et que je serait pourtant à une éternité de ma maison et de ma famille.
Taxi restait immobile devant la pile de malles …
Taxi : Vous avez vu Monsieur Jonathan, plus on déménage plus le nombre de valises augmente.
A notre arrivée, le concierge était absent, un remplaçant nous ouvrait l'appartement. Rapidement Taxi retrouvait ses marques et pendant que je me renseignais il nous installait. Je passais au club, on m'apprenait que le sud était exsangue. Les pertes humaines étaient terribles. On ne comptait même plus le nombre de morts. Je pensais à mon père et à mes oncles. Je devenais livide et perdais connaissance.
Je me réveillais à la maison, à mon chevet il y avait Taxi, deux amis du club et un médecin.
De nouveau j'étais effondré. Je me demandais ce que j'allais retrouver.
Dans la nuit je me réveillais en sueur, j'étais dans les bras de Taxi. J'avais fait un horrible cauchemar, il avait accouru en m'entendant crier. Dans mon rêve ma maison était en feu, ma familles était morte, la plantation était devenue un désert. Taxi me réconfortait.
Ses bras me réconfortaient, il me parlait doucement. Je sentais son angoisse, c'était la mienne. Son cœur battait fort, mon cœur se synchronisait sur le sien. J'avais brusquement envie de le prendre dans mes, je le saisissait. Il en faisait de même. Fébrilement on s'embrassait.
Je le tirais vers moi, il se retrouvait dans mon lit, je le déshabillais il me retirait ma chemise de nuit. Il fait froid dans le nord et j'avais pris l'habitude de la chemise de nuit. On ne parlait pas, on s'embrassait, on se caressait frénétiquement.
Je ne sais pas ce qui m'a pris, ce besoin de le saisir dans mes bras, le sucer , l'embrasser, le sentir en moi.
Je me retournais et lui disais . '' Prend moi ! Je veux te sentir en moi ''. défonce moi le cul.
Il ne posait pas de question et quelques seconde plus tard je sentais sa queue qui poussait fermement contre mon anus. Il ne me laissait pas le temps de me détendre, il poussait. Mon cul résistait avant de lâcher brutalement et c'est sans aucune tendresse, sans aucune douceur qu'il m'envahissait. Son ventre frappait mes fesses avec violence.
J'avais envie de hurler, mais je serrais les dents, je repliais mes bras devant moi et les contractais. Je sentais le souffle de Taxi dans mon oreille, je savais qu'il observait mes réactions.
Moi : Vas y défonce moi le cul !
Il se lâchait et me donnait tout de suite des coup de bassin violents. J'encaissais en pleurant, ce n'était pas seulement jouissif, il me faisait mal, c'était bon quand même. C'est ce dont javais besoin.
Plus il se lâchait moins il arrivait à jouir, et plus ça durait. J'ai fini par jouir comme un fou, je croyais mourir et il a crié quand il a joui dans mon cul. J'étais allongé sur le ventre, il était allongé sur moi. Je me sentais vidé, j'avais éjaculé, j'avais même l'impression d'avoir éjaculé plusieurs fois. Il m'avait vidé la tête en me remplissant le cul. Je ne pensais plus à rien.
Je ne me souviens même pas de ce qui s'est passé après, je me suis endormi. Était-il encore en moi ? Je ne sais plus !
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
On parlait. Sans me demander mon avis il allait chercher une bouteille de vin et deux verres. J'avais le dos relevé, il s'installait en tailleur en face de moi, versais un verre me le tendait, s'en versait un et me proposer de trinquer à ma santé.
Moi : Dis moi Taxi. Quand je t'ai rencontré, un homme te maltraitait.
Taxi : C'est un mauvais souvenir que vous me rappelez là Monsieur Jonathan.
Moi : Il te traitait toujours comme ça ?
Taxi hésitait un moment, baissait les yeux.
Taxi : Il était violent mais un peut plus tôt il avait compris que je ne m'intéressais qu'au garçons. Il trouvait que c'était là une abomination. A partir ce ce moment il est devenu particulièrement violent. Il me frappait tous les jours.
Moi : Tu n'as pas essayé de fuir ?
Taxi : Je ne savais pas que l'esclavage était supprimé. J'avais peur, je savais que si je me faisais prendre ce serait pire.
Moi : Et c'est là qu'on est arrivé.
Taxi : Vous avez eu des nouvelles de votre ami Monsieur Sunny ?
Moi : Tu n'as pas oublié son nom je vois.
Taxi : Ça ne risque pas ! Il était incroyable, il était beau, fort. Je n'avais jamais vu un noir habillé comme ça.
Moi : C'est vrai qu'il était impressionnant, il mesure plus de deux mètres tu sais.
Taxi : Vous et votre ami … Enfin vous … Avec votre ami … Vous faisiez comme … Avec moi ?
Je lui confirmais d'un mouvement de la tête ensuite je lui parlais de Sunny, il s'allongeait en face de moi. Tout en lui racontant ces bons souvenir que m'avait laissé Sunny je regardait ses fesses, quand il se retournait sur le dos je regardait sa queue. Il gardait une grosse molle mais la douceur de la température devait y être pour quelque chose. J'avais moi aussi une grosse molle qui s'allongeait sur ma cuisse.
On parlait tout en sirotant ce vin qu'il avait acheté et je dois dire très bien choisi …
Il se relevait brusquement.
Taxi : C'est un grand jour aujourd'hui Monsieur Jonathan. Vous vous êtes enfin levé, vous avez mangé, ensuite vous … Oui bon là passons. ( Je rigolais à l'entendre ) … Et pour finir vous avez retrouvé le sourire ! Vous pensez qu'on pourrait.
Il me montrait la bouteille de vin, elle était vide puis il rajoutait … '' Il y en a d'autres ''.
Je lui faisais oui de la tête et je le voyais repartir tout guilleret, à poil, vers la cuisine ou il entreposait les autres bouteilles. Il revenait, toujours avec un large sourire, et me servait en premier.
Sa queue se balançait lourdement et je me prenais à l'admirer avec insistance. Lentement, imperceptiblement je bandais également. La moyenne molle se transformait en grosse molle puis en grosse dure. Bien dure même.
Taxi s'approchait de moi, écartait les deux verres et s'allongeait sur le ventre devant moi. Il approchait la tête sur ma queue puis presque distraitement il me la caressait, me tripotait les couilles tout en continuant à parler.
Taxi : S'il vous plaît Monsieur Jonathan racontez moi comment c'est chez vous.
Ma queue disparaissait dans sa bouche, je sentais le fond de sa gorge contre mon gland. Je frissonnait et je lui racontais. De temps en temps il relevait la tête.
Taxi : Ça doit être agréable de vivre là bas.
Je me souvenais de ma maison, mes amis, ma famille, la plantation … Je ne disais plus rien mais je tremblais de plaisir, lui il n'arrêtait pas de ma caresser la queue. Il y allait tout doucement, il ne cherchais pas vraiment à me faire jouir, juste à me faire plaisir. Enfin je suppose qu'il devait lui aussi se faire plaisir.
Je m'étais assis en tailleur les jambes repliée. Il se relevait, j'en profitais pour le tirer vers moi et prendre un moment sa queue dans ma bouche. Je me faisais plaisir autant que je lui faisais plaisir. Il me tenait la tête de ses deux mains, avançait et reculait son bassin avec douceur.
Il s'accroupissait sur ma queue, passait les bras autour de mon cou et m'embrassait sur la bouche. Je sentais son cul qui appuyait sur le bout de ma queue. Il continuait le mouvement, son anus ne résistait pas, il s'ouvrait et ma queue s'enfonçait entre ses fesses. Comme je l'avais fait un peu plus tôt. Il me serrait contre lui, se retenait à moi tout en passant ses pieds dans mon dos. Il finissait par me lâcher et il s'empalait sur ma queue de tout son poids.
Je voyais sa grimace, je le connaissais bien et je savais qu'à ce moment il aimait, il aimait tellement qu'il gémissait avant de me crier dans l'oreille. Un cri de plaisir. Je balançais mon bassin, comme une chaise à bascule, d'avant en arrière en roulant sur mes fesses.
Instantanément il se cramponnait de nouveau à mon cou, il refermais les jambes dans mon dos et me serrait fort. Je le saisissait fermement contre moi également. Il posait son menton sur mon épaule et gémissait, je le sentais trembler. Il ne faisait pas froid pourtant devant ce feux.
On ne s'énervait pas on continuait ainsi sans accélérer le mouvement, on laissait le plaisir monter lentement, et il montait très lentement. L'après midi avait avancé et je me souviens il faisait nuit dans le salon quand je l'ai senti éjaculer.
Sa queue frottait contre nos deux ventres, il jouissait fort, il avait mis longtemps. C'est sans doute ce qui me stimulait et je jouissais moi aussi en lui. On se retenait, on ne voulait plus se lâcher, on ne bougeait plus. On frissonnait tous les deux. Je revenais à la vie.
Mes problèmes n'étaient pas réglés, je ne savais toujours pas quand je pourrai rentrer chez moi ni quand je reverrais les miens mais je revenais à la vie. Taxi finissait par se relever, je lui caressais les cuisses, il me donnait un baiser sur la bouche.
Taxi : Et si je préparais le souper Monsieur Jonathan ?
Il repartais vers la cuisine. Là je me retournais pour le regarder partir et revenir. On a soupé ensemble devant la cheminée, ce soir là on ne s'est pas habillé. Je me sentais bien comme j'étais et lui aussi de toutes évidences.
On est resté ainsi à partager un long, un très long moment de tendresse et de douceur. Je me sentais réellement mieux au moment ou je montais me coucher. Taxi avait passé une grande partie de la journée avec moi mais avant de descendre le matin il avait aussi rangé ma chambre au moment ou il était remonté pour éponger la salle de bain. C'est que sous l'influence de Mme Corona il devenait efficace ce garçon.
Le lendemain j'étais réveillé par des hurlement. Taxi était dans ma chambre et hurlait.
Taxi : Réveillez-vous vite Monsieur Jonathan, vite, vite. C'est incroyable, c'est beau.
Je me réveillais en sursaut.
Moi : Mais qu'est ce qui t'arrive ?
Il était devant la fenêtre de ma chambre et regardait dehors.
Taxi : C'est ça qu'on appelle la neige ? C'est beau !
Moi : Vas vite t'habiller chaudement on va sortir !
Un peu plus tard on se retrouvait dans le jardin juste derrière la maison.
Taxi : Il faut que je prépare l'attelage !
Je lui lançais une boule de neige dans la figure. Il paraissait surpris, me regardait, je lui en envoyais une autre. Ses yeux devenaient tout ronds, il commençait à rigoler et m'en envoyait une à son tour.
Pendant une heure on s'est amusé comme des fous, on a fait un bonhomme de neige. Il n'avait jamais vu la neige, moi une fois quand j'étais enfant, pendant un voyage dans cette maison justement.
Quand on rentrait on avait froid, on était trempé mais on était content.
Moi : Tu n'avais jamais vu la neige ?
Taxi : Non jamais, j'ai toujours vécu dans le sud. Au sud du fleuve, je ne vivais pas très loin de chez vous Monsieur Jonathan.
Moi : Mais pourquoi tu voulais que je te raconte comment c'était dans le sud ?
Taxi : Parce que ça vous faisait du bien d'en parler Monsieur Jonathan !
Je posais ma main sur sa joue, il me souriait.
Moi : Tu es vraiment un garçon adorable Taxi.
Il m'avait ému à cet instant, et une fois encore je me disais que j'avais vraiment de la chance de l'avoir rencontré celui là.
Les jours suivaient d'autres jours, et les semaines se suivaient. Je commençais à sortir plus régulièrement. Taxi aussi, il avait acheté un joli costume pour sortir le dimanche. Il avait belle allure et de nombreuses jeunes femmes de couleur se retournaient sur son passage. Il n'y prêtait pas attention !
Le printemps arrivait, et aucune nouvelles du sud. Suivait l'été la guerre ne se calmait pas, la frontière était toujours largement au nord du fleuve mais n'avait pas bougé depuis notre arrivé dans cette maison.
L'hiver arrivait il était particulièrement froid on le passait en se serrant l'un contre l'autre et à l'automne suivant on fêtait notre second anniversaire dans cette maison. J'étais parti depuis plus de deux ans et demie et toujours aucune nouvelle.
Taxi était toujours aux petits soins pour moi et sans lui je serais retombé dans la mélancolie.
Une année supplémentaire et toujours rien, aucune nouvelle. Je ne savais rien de ce qui se passait chez moi depuis plus de trois ans. Je m'étais fait quelques amis mais je recevais rarement. Je les voyais au club. Je trouvais ça plus simple et ça m'obligeait à sortir et à voir du monde.
Une année encore … Taxi ne tarissait pas d'effort pour soutenir mon moral. C'est lui qui maintenant me lisait la presse, mais je la relisais plus tard, il prenait soin de me censurer les plus mauvaises nouvelles, mais pas les bonnes.
Là on parlait d'une avancée de l'armée du Nord.
On parlait de nombreuses destructions de nombreuses maisons comme celle de ma famille. La frontière était redescendue au niveau du fleuve. Je décidais de redescendre vers la nouvelle frontière. Je contactais par télégramme mon ancien concierge, celui à qui j'avais laissé une lettre pour ma famille. Par retour il me faisait savoir qu'il avait reçu des nouvelles et que mon ancien appartement était de nouveau libre. L'officier du sud était parti précipitamment.
Je réservais l'appartement et lui annonçait mon arrivée prochaine. Il nous a fallu une semaine pour faire le trajet. C'était à la fois une inquiétude et une angoisse de me rapprocher de nouveau de la maison. Je savais que là bas je ne serais plus qu'à cent kilomètre et que je serait pourtant à une éternité de ma maison et de ma famille.
Taxi restait immobile devant la pile de malles …
Taxi : Vous avez vu Monsieur Jonathan, plus on déménage plus le nombre de valises augmente.
A notre arrivée, le concierge était absent, un remplaçant nous ouvrait l'appartement. Rapidement Taxi retrouvait ses marques et pendant que je me renseignais il nous installait. Je passais au club, on m'apprenait que le sud était exsangue. Les pertes humaines étaient terribles. On ne comptait même plus le nombre de morts. Je pensais à mon père et à mes oncles. Je devenais livide et perdais connaissance.
Je me réveillais à la maison, à mon chevet il y avait Taxi, deux amis du club et un médecin.
De nouveau j'étais effondré. Je me demandais ce que j'allais retrouver.
Dans la nuit je me réveillais en sueur, j'étais dans les bras de Taxi. J'avais fait un horrible cauchemar, il avait accouru en m'entendant crier. Dans mon rêve ma maison était en feu, ma familles était morte, la plantation était devenue un désert. Taxi me réconfortait.
Ses bras me réconfortaient, il me parlait doucement. Je sentais son angoisse, c'était la mienne. Son cœur battait fort, mon cœur se synchronisait sur le sien. J'avais brusquement envie de le prendre dans mes, je le saisissait. Il en faisait de même. Fébrilement on s'embrassait.
Je le tirais vers moi, il se retrouvait dans mon lit, je le déshabillais il me retirait ma chemise de nuit. Il fait froid dans le nord et j'avais pris l'habitude de la chemise de nuit. On ne parlait pas, on s'embrassait, on se caressait frénétiquement.
Je ne sais pas ce qui m'a pris, ce besoin de le saisir dans mes bras, le sucer , l'embrasser, le sentir en moi.
Je me retournais et lui disais . '' Prend moi ! Je veux te sentir en moi ''. défonce moi le cul.
Il ne posait pas de question et quelques seconde plus tard je sentais sa queue qui poussait fermement contre mon anus. Il ne me laissait pas le temps de me détendre, il poussait. Mon cul résistait avant de lâcher brutalement et c'est sans aucune tendresse, sans aucune douceur qu'il m'envahissait. Son ventre frappait mes fesses avec violence.
J'avais envie de hurler, mais je serrais les dents, je repliais mes bras devant moi et les contractais. Je sentais le souffle de Taxi dans mon oreille, je savais qu'il observait mes réactions.
Moi : Vas y défonce moi le cul !
Il se lâchait et me donnait tout de suite des coup de bassin violents. J'encaissais en pleurant, ce n'était pas seulement jouissif, il me faisait mal, c'était bon quand même. C'est ce dont javais besoin.
Plus il se lâchait moins il arrivait à jouir, et plus ça durait. J'ai fini par jouir comme un fou, je croyais mourir et il a crié quand il a joui dans mon cul. J'étais allongé sur le ventre, il était allongé sur moi. Je me sentais vidé, j'avais éjaculé, j'avais même l'impression d'avoir éjaculé plusieurs fois. Il m'avait vidé la tête en me remplissant le cul. Je ne pensais plus à rien.
Je ne me souviens même pas de ce qui s'est passé après, je me suis endormi. Était-il encore en moi ? Je ne sais plus !
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