Etrange première fois
Récit érotique écrit par Lisa-Al [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-10-2021 dans la catégorie Pour la première fois
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Etrange première fois
Comme vous toutes et vous tous il y a eu une première fois on est tous passés par là. Bonne ou mauvaise expérience c’est souvent un moment tant attendu et tellement déceptif au final. On s’attend à des miracles, des plaisirs indicibles, vous reconnaîtrez que sauf chance exceptionnelle rien de tout ça ne nous arrive. Je n’ai ni été déçue ni emballée pour ma part, ce fut assez bizarre au fond, même si sur le plan plaisir pur, l'orgasme fut un coup de tonnerre dans un ciel limpide.
Comme tous les garçons et les filles, il arrive un moment où, notre corps se dévoile, moment de changements, de sensations nouvelles, d’idées nouvelles. Avec les copines et copains, avec Internet, on trouve de moins en moins de bécasses et de benets sur le sujet de la bagatelle, qu'on connaissait dans le passé. Oh il reste encore des puceaux de 60 ans à la Paul Préboist et des vieilles filles poussiéreuses et pleines de toiles d’araignées. Oui il en reste surement mais on les mettra dans un musée bientôt. Il y a maintenant des filles et des garçons qui pensent tout savoir car ils ont vu 3 vidéos et embrassé une autre bouche, mais ils sont ignares tout comme leurs grands parents à leur âge.
Je ne déroge pas à la règle, ma sexualité commençait à me tirer par les pieds. De minuscules rondeurs naissaient sur ma poitrine, et du duvet blond sur mon abricot. Je passais beaucoup de temps, nue devant les miroirs de la salle de bain , de profil pour voir si on voyais un peu mes “seins”, allant jusqu'à tirer sur les bouts, sans doute une des causes de l'hypersensibilité de mes tétons que j’ai toujours touché à tout propos, j’aimais la sensation que ça me procurait déjà à cet âge. Puis après avoir eu la vision sur internet d’une fille en train de se caresser, et de s’enfiler un concombre si mes souvenirs sont bons. J’ai commencé à scruter attentivement mon minou. Assise sur un petit banc les pieds contre le miroir, j’écartais autant que possible mon petit sexe. Me demandant comment un concombre pouvait se glisser là où mon doigt n’entrait visiblement pas. Mais lors de mes explorations je découvrais que de caresser cet endroit me donnait des frissons, des sensations. Oh rien de bien explosif, mais une sensation agréable. Je notais que plus je caressais l’endroit plus il paraissait devenir humide. J’avais donc l’habitude de me caresser ainsi, plus le temps passait, plus cette caresse était agréable. J’y prenais un réel plaisir, souvent face au miroir, tandis que la douche coulait seule. Mon petit minou, avec ces sollicitations, avait la bonne idée de devenir de plus en plus humide. Je fis la découverte qu’a l’endroit ou se terminait ma fente à la pointe des petites lèvres un endroit était particulièrement sensible, si j’insistais à cette place je sentais sous mes doigts et je voyais dans le miroir, une petite bille rose pointant le nez entre ses replis de chair. J’ai encore présente cette image de moi écartelée, les pieds sur le bord du miroir, les fesses sur le petit banc en bois. Mon doigt montant et descendant dans ma fente, mouillée. Mes couettes et les joues rouges, car ça me donnait chaud ce jeu. Chaque fois que mon doigt touchait mon clitoris c’était une sorte de décharge électrique. Et plus ça durait, plus c’était humide. Combien de fois j’ai regardé mes doigts luisants, plein de cette sorte de blanc d’oeuf, avec la tentation de gouter et trouillarde je m’essuyais les doigts sur la serviette. de bain. Et naturellement un jour ma caresse se prolongea plus que de coutume et j’arrivais à mon premier orgasme ou du moins ce qui s’en approchait. Découverte mémorable, je mettais en pratique plus seulement dans la salle de bain mais au lit, ou partout où je pouvais être tranquille. Nombre de fois j’ai faillis me faire prendre la main dans la culotte. Naturellement les discussions allaient bon train avec les copines, sans se dévoiler on cherchait à savoir qui avait la même expérience ou plus, c’était encore mieux.
Ma meilleure copine de l’époque c’était Virginie, une petite brune aux yeux oranges, oui j’ai toujours vu ses yeux oranges, truc de jeunes ou réalité je ne saurais dire. En tout cas, elle m'avoue qu' elle aussi avait ce genre de sensations et qu’elle faisait comme moi et se caressait souvent. Bien sûr on finit par se montrer l’objet du délit elle était un peu plus agée que moi et j’étais jalouse des rondeurs de sa petite poitrine, elle et moi avions bien sûr nos petits soutien-gorges , instrument de torture que je n’utilise plus du tout. Et face à face, nous avons relevé nos jupes et enlevé nos culottes. Autre objet de jalousie, les poils bruns qui poussaient sur son pubis. Elle faisait grande, moi mon duvet blond ne se voyait pas. Et dire que pour faire plaisir à Iris j'enlève tout, pour mon plaisir aussi j’aime être plus que nue. Revenons à nos petites filles. On caressait chacune nos petits minous, observant l’une l’autre nos techniques, mais aussi nos visages et nos grimaces de plaisir . Bien sûr faire çà toutes les deux nous excitaient toutes les deux. Je vis que Virginie était bien plus humide que moi et que la petite perle de son sexe était plus visible et plus grosse. Encore des motifs de jalousie. Elle semblait prendre beaucoup de plaisir à se toucher ainsi, mon plaisir était aussi évident, on ne gémissait pas vraiment, mais on ronronnait plutôt. Deux petites chattes en rut, qui découvraient le plaisir. Puis je considérer çà comme une premiére expérience lesbienne? Non je ne crois pas.
Et Virginie me donne encore une raison de la jalouser. à un moment les doigts qu’elle avait déjà tout mouillé elle les met dans sa bouche, lèche et salive sur ses doigts et continue à se caresser. En me disant doucement ça glisse mieux. Pas question de paraître idiote, je fais pareil, inquiète un peu du goût que vont avoir mes doigts. Rien de méchant, assez insipide en fait, collant je mouille mes doigts doigts de salive et je reprends. Cette fois-là j'ai ressenti une secousse plus forte, une sorte de soulagement, c’était agréable. Virginie poussa un petit cri de souris. Je remarquais que par rapport à moi elle était, il me semblait bien plus humide, que cette humidité était plus épaisse, J’aurais aimé toucher et me rendre compte, je n’ai pas osé.
Vous allez me dire, bien tout çà mais et la première fois? Elle est bien loin non?
Hé non justement c’est là le sel de la chose. Vous le voyez, je découvrais les choses tout juste. Je commençais à avoir des sensations, de plus en plus précises. Petit à petit le plaisir que je ressentais en me caressant était plus fort, le besoin de me caresser de plus en plus impératif. Je m’offrais ce plaisir tous les soirs ou presque.
Je n’ose imaginer si des hommes nous avaient surprises, Quand j’entends les horreurs qui arrivent tous les jours que je repense à Virginie et moi, j’ose pas imaginer. Ce n’est pas arrivé et nos parents n’ont jamais rien su.
Pas plus que ma mère ni mon père n’ont jamais su que leur fille modèle était une fouine sans vergogne qui fouillait tous les recoins de la maison quand d’aventure on m’y laissait seule. Dora l’exploratrice à la recherche de toutes les choses obscures et cachées de la vie des parents, car je fouillais surtout leur chambre. Je finis par mettre la main dans le bas de l’armoire, sur une grande boîte en bois fermée à clef. Que pouvait-elle contenir? Et oh miracle je me souvenais que j’avais vu une petite clef dorée, dans un pot à couvercle sur la commode. Munie de la clef j’ouvrais la boite. Déception, des papiers officiels, un livret de famille sur le dessus. Mais en fouillant dessous il y avait un couvercle dans lequel était posé les papiers. Je retirais ce couvercle et là un trésor !! Des photos polaroid, maman nue dans des poses scabreuses, Maman avec le sexe de papa dans la bouche tout çà avec un cadrage exotique. Maman qui léche une bouteille, maman avec la bouteille dans le minou, puis ailleurs. J’avais le souffle court et les joues brûlantes. je dois dire que j’avais des démangeaisons entre les cuisses, et bien que je n’avais encore pas touché mon sexe. Je le trouvais tout mouillé Cette débauche de pornographie famillialle m’excitait. Continuant mon exploration, je trouvais un objet, long rose se terminant en ogive. J’étais jeune oui mais pas idiote j’ai bien reconnu un vibromasseur. Mon sang n’a fait qu’un tour, retournant l’objet je vois une double flèche en arc de cercle indiquant “On” et “Off” à chaque bout . Pas besoin d’un diplôme d’ingénieur, je tourne le capot, l’engin vibre doucement et diffuse une lumière rose, un cran à droite, il vibre plus fort encore plus loin, il vibre si fort qu’il essaie de se sauver de mes mains. je coupe l’engin infernal. Je le regarde, le tourne en tous sens. Dans ma tête le petit ange et le petit diable se battent:“Repose çà c’est à maman, elle a dû s'en servir, laisse ça tranquille" dit l’ange.
“ Essaye çà à l’air super, et si maman s’en sert c’est que ca fait pas de mal “ dit le petit diable.
Me croirez vous si je vous dis que j’ai toujours écouté mon petit diable? Car quand j’écoute l’ange je m'ennuie ferme.
Je sais que j’ai la maison a moi jusqu'à ce soir 18h00, il est 14h00 j’ai tout mon temps. Je vais fêter ma découverte.
Rapidement me voilà nue comme un ver, la grande glace de l’armoire me permet de me regarder. Je n’ai pas perdu cette manie d’aimer me regarder, une grande glace au plafond est une chose que j’aime. Avoir différents points de vue sur l’action me stimule vraiment. C’est donc un travers lointain. Avec l’objet, il y avait un tube de lubrifiant, dont je badigeonnais copieusement l’engin on se demande pourquoi. J'avais pris soin d’étendre sur le lit 2 grandes serviettes de bain pour éviter de tacher. Maman ne comprendra jamais d’ailleurs pourquoi tout ce gras sur les serviettes quand elle voulut essuyer la buée sur les miroirs.
Allongée,avec le vibro, tout graisseux en main, j’ai fière allure. En un instant j’ai pris quelques années.Je démarre ce truc qui vibre, il est tellement glissant qu’il manque de m’échapper. C’est dur de faire et de se regarder en même temps et je veux tout voir, les cuisses largement écartée, je vois dans le miroir le reflet de ma peau bien blanche, la petite crevasse rose de mon sexe, ce vibro qui éclaire d’un halo rose la pièce aux rideaux tirés. Lentement j’approche l’ogive de ma fente, elle me touche, la vibration s’irradie dans mon bas ventre, il glisse facilement le long de mes lèvres, pas la pointe en avant je la pose juste et monte et descend doucement comme si c’était mon doigt. Je ressens rapidement des chatouillis picotements dans toute la région, j’appuie un peu plus fort la tête sur mon clitoris, je le touche, là je pousse un cri, la sensation est vraiment forte. Je recommence encore un saut de cabri et un ohh. Je remplace le truc par mes doigts comme pour voir s' il n’y a pas de dégâts. Pour la première fois je suis en contact avec une sexe lubrifié et j’en suis convaincue, mouillé comme jamais je ne l’ai senti, Sensation ou réalité j’ai l’impression de sentir de l’humidité entre mes fesses. C’est bon, j’adore, je pousse le bouton plus à droite, il vibre plus fort. Je pose la tête sur ma fente, toute luisante que je vois dans le miroir. Oh la la, je fais un bon, et pousse un cri, je repose à nouveau le vibro, j’ai l’impression que tout en moi vibre, montant et descendant ce simili sexe en plastique qui éclaire mes cuisses et ma chatte de cette douce lumiére. Mes lèvres, mon petit bouton tout s'agite, je pose mes doigts sur mon bouton il me semble avoir gonflé, je ne me trompe pas, je le vois bien plus distinctement, mes lèvres aussi paraissent plus présentes, plus épaisses. Jamais je n’avais ressenti ça en me caressant. Je m’enhardi et laisse maintenant la pointe tournée vers l’orifice interdit, barricadé. La vibration est plus forte encore quand il est la pointe contre ce blocage. Je sens vibrer l’intérieur de ma chatte. Quand je pose juste la pointe sur mon petit bouton. Une explosion de sensation me submerge, je gémis, cries j’ai du cirier c’est bon mais je ne suis plus sûre. La pointe descend, vivre un moment contre ma chatte, puis le poids l'entraîne vers le bas, il touche mon petit trou, la vibration fait merveille, des ondes de plaisir me chatouille l’endroit. Je sens que mon petit anus s’ouvre légèrement, instinctivement je pousse le vibro, je sens qu’il se cale bien contre ma rondelle, je suis tentée de le faire pénétrer mais j’ai peur, peur de la douleur, peur des conséquences. Je sais bien que çà se fait je ne suis pas idiote, mais je n’ose pas. Je promène toujours la chose le long de mon sexe. J’ai le rouge au joues, je suis excitée comme jamais avant. J’adore mon reflet dans la glace, totalement nue, complétement écartelée, mon sexe semble accricher tout la lumére. Mes doigts ne sont pas inactifs, ils sont vite trempés, je les approche de mon visage je regarde, il sont pleins de mouille, cette fois assez épaisse et collante, sans doute mélangée au lubrifiant, J’écarte mes doigts, des fils se forment entre mes doigts, diable je n’ai jamais vu que je sois aussi mouillée. Naturellement je ne résiste pas à l’envie de goûter, je lèche mes doigts. Contrairement à ma précédente expérience, petit goût, a peine salé, une odeur indéfinissable. Je retourne a mon sexe, mouille encore mes doigts, les léches, me barbouille les lèvres. Ce geste simple m’excite au plus haut point.. Si un garçon se présentait, tout comme dans les vidéos, je sucerais son engin. J’aimerais, j’en ai envie à cet instant. Je commence sans doute à devenir la petite salope que je suis.
Plus je joues avec ce vibro plus je suis excitée, plus je me sens brulante, plus je me sens femme. A plusieurs reprises je suis revenue sur mon petit trou, le faire vibrer, pousser un peu sur l’engin. Je suis tellement lubrifiée de haut en bas, je sens qu'à peine je pousse sur le jouet, que ma rondelle s’ouvre. Je n’ose quand même pas franchir le pas.
Cette fois, je suis toute excitée, comme jamais je ne l’ai été jusqu'à cet instant. Mes doigts pincent même mes petits tétons et c’est délicieux. J’agace à nouveau mon sexe, je place l’engin au maximum et poursuis mon manége. Mes hanches comme intelligentes, impriment un mouvement ondulant à mon corps, c’est inné. Je serre et desserre mes cuisses. bouche ouverte et gémissante cette fois je goûte cette montée lente d’un plaisir que je ne soupçonnais même pas. ce diable de vibromasseur veut s’échapper de mes doigts tout gras, je le rattrape in extrémis plusieurs fois. Je m'aperçois me tortillant sur le lit, la ressemblance avec ce que j’ai vu sur les vidéos internet sont flagrantes. Je pousse de petits cris incontrôlés et incontrôlables. Dans ma tête s'égrènent des mots que j’aimerais prononcer à haute voix mais je n’ose pas encore, le me les répétais dans ma tête, des paroles entendues bien sûr dans les films.” Salope, putain, chienne, suces moi , donne moi ton cul etc des choses que j’aurais adoré qu’on me lança au visage.
Encore une fois la vibration forte tente de faire s’échapper mon jouet de ma main., je le rattrape de justesse mais ce faisant mes doigts ont attrapés l’arrière du vibro, sa pointe glissait droit vers ma fente. Douleur fugitive, l’engin s’enfonce en moi glisse dans mon sexe.
Ohhhhhh criais-je avec force
La sensation est extraordinaire, tout mon sexe vibre, je n’ose plus toucher ce truc qui est en moi, il vibre si fort que j’ai l’impression que mon petit sexe explose. Je crie, je souffle, l’air me manque mon coeur c’est emballé. J’ai peur, c’est bon c’est indicible, je n’ai plus les mots je ne sais pas ce qui se passe. Et d’un seul coup, comme un choc électrique, mes doigts se sentent obligés de tourner autour de mon bouton, de le titiller. C’est merveilleux, ça dure un instant, le plaisir me submerge totalement. Arc boutée sur mes épaules et mes talons, le pubis projeté vers le haut, mon jouet planté dans mon sexe, je retombe presque inerte sur le lit. Les bras en croix, la sueur au front et un peu partout en fait. je ne peux pas m'asseoir le vibro m’en empêche. Alors regardant dans la glace, je tire doucement la chose, délicatement, peur d’avoir mal. En fait je n’ai pas mal, il glisse hors de moi sans problème. Je vois mon minou ouvert, pas béant, mais un trou sombre de la taille de mon jouet, qui se referme rapidement. Sur le god, que j’ai arrêté maintenant, plusieurs traces rouges, du sang. Et bien voilà je suis devenue femme par accident, je venais de me déflorer seule avec le vibro de maman. Je prie encore pour que jamais elle ne l'apprenne.
Une double première en fait pour la jeune fille que je suis, perte de la virginité et premier véritable orgasme. Aprés çà je glisse un doigt dans mon sexe, celui ci est vraiment inondé, je le ressort, un peu de rouge aussi, j’ai peu saigné et à par un fugace pincement j’étais trop excitée pour avoir mal. Je n’ai jamais voulu celà, mais c’était fait. Cela me changeait radicalement. Je me sentais plus femme que jamais et un peu de condecendance vis a vis de mes amies qui n’avaient pas encore cette expérience. La première au courant fut Virginie qui me jalousa longtemps, tant qu’elle ne vécut pas la choses avec un petit copain. Mais elle me posa nombre de questions sur les sensations que j'avais .
Je ne regrette pas cette étrange première fois, moi qui n’aime jamais faire comme tout le monde c’est au contraire un beau souvenir. Celle que je suis devenue est toujours aussi disruptive que celle que j’étais déjà à l'époque, on ne se refait pas.
A toutes les vierges qui se morfondent, ce n’est pas une fatalité, on est jamais si bien servi que par soi même.
Comme tous les garçons et les filles, il arrive un moment où, notre corps se dévoile, moment de changements, de sensations nouvelles, d’idées nouvelles. Avec les copines et copains, avec Internet, on trouve de moins en moins de bécasses et de benets sur le sujet de la bagatelle, qu'on connaissait dans le passé. Oh il reste encore des puceaux de 60 ans à la Paul Préboist et des vieilles filles poussiéreuses et pleines de toiles d’araignées. Oui il en reste surement mais on les mettra dans un musée bientôt. Il y a maintenant des filles et des garçons qui pensent tout savoir car ils ont vu 3 vidéos et embrassé une autre bouche, mais ils sont ignares tout comme leurs grands parents à leur âge.
Je ne déroge pas à la règle, ma sexualité commençait à me tirer par les pieds. De minuscules rondeurs naissaient sur ma poitrine, et du duvet blond sur mon abricot. Je passais beaucoup de temps, nue devant les miroirs de la salle de bain , de profil pour voir si on voyais un peu mes “seins”, allant jusqu'à tirer sur les bouts, sans doute une des causes de l'hypersensibilité de mes tétons que j’ai toujours touché à tout propos, j’aimais la sensation que ça me procurait déjà à cet âge. Puis après avoir eu la vision sur internet d’une fille en train de se caresser, et de s’enfiler un concombre si mes souvenirs sont bons. J’ai commencé à scruter attentivement mon minou. Assise sur un petit banc les pieds contre le miroir, j’écartais autant que possible mon petit sexe. Me demandant comment un concombre pouvait se glisser là où mon doigt n’entrait visiblement pas. Mais lors de mes explorations je découvrais que de caresser cet endroit me donnait des frissons, des sensations. Oh rien de bien explosif, mais une sensation agréable. Je notais que plus je caressais l’endroit plus il paraissait devenir humide. J’avais donc l’habitude de me caresser ainsi, plus le temps passait, plus cette caresse était agréable. J’y prenais un réel plaisir, souvent face au miroir, tandis que la douche coulait seule. Mon petit minou, avec ces sollicitations, avait la bonne idée de devenir de plus en plus humide. Je fis la découverte qu’a l’endroit ou se terminait ma fente à la pointe des petites lèvres un endroit était particulièrement sensible, si j’insistais à cette place je sentais sous mes doigts et je voyais dans le miroir, une petite bille rose pointant le nez entre ses replis de chair. J’ai encore présente cette image de moi écartelée, les pieds sur le bord du miroir, les fesses sur le petit banc en bois. Mon doigt montant et descendant dans ma fente, mouillée. Mes couettes et les joues rouges, car ça me donnait chaud ce jeu. Chaque fois que mon doigt touchait mon clitoris c’était une sorte de décharge électrique. Et plus ça durait, plus c’était humide. Combien de fois j’ai regardé mes doigts luisants, plein de cette sorte de blanc d’oeuf, avec la tentation de gouter et trouillarde je m’essuyais les doigts sur la serviette. de bain. Et naturellement un jour ma caresse se prolongea plus que de coutume et j’arrivais à mon premier orgasme ou du moins ce qui s’en approchait. Découverte mémorable, je mettais en pratique plus seulement dans la salle de bain mais au lit, ou partout où je pouvais être tranquille. Nombre de fois j’ai faillis me faire prendre la main dans la culotte. Naturellement les discussions allaient bon train avec les copines, sans se dévoiler on cherchait à savoir qui avait la même expérience ou plus, c’était encore mieux.
Ma meilleure copine de l’époque c’était Virginie, une petite brune aux yeux oranges, oui j’ai toujours vu ses yeux oranges, truc de jeunes ou réalité je ne saurais dire. En tout cas, elle m'avoue qu' elle aussi avait ce genre de sensations et qu’elle faisait comme moi et se caressait souvent. Bien sûr on finit par se montrer l’objet du délit elle était un peu plus agée que moi et j’étais jalouse des rondeurs de sa petite poitrine, elle et moi avions bien sûr nos petits soutien-gorges , instrument de torture que je n’utilise plus du tout. Et face à face, nous avons relevé nos jupes et enlevé nos culottes. Autre objet de jalousie, les poils bruns qui poussaient sur son pubis. Elle faisait grande, moi mon duvet blond ne se voyait pas. Et dire que pour faire plaisir à Iris j'enlève tout, pour mon plaisir aussi j’aime être plus que nue. Revenons à nos petites filles. On caressait chacune nos petits minous, observant l’une l’autre nos techniques, mais aussi nos visages et nos grimaces de plaisir . Bien sûr faire çà toutes les deux nous excitaient toutes les deux. Je vis que Virginie était bien plus humide que moi et que la petite perle de son sexe était plus visible et plus grosse. Encore des motifs de jalousie. Elle semblait prendre beaucoup de plaisir à se toucher ainsi, mon plaisir était aussi évident, on ne gémissait pas vraiment, mais on ronronnait plutôt. Deux petites chattes en rut, qui découvraient le plaisir. Puis je considérer çà comme une premiére expérience lesbienne? Non je ne crois pas.
Et Virginie me donne encore une raison de la jalouser. à un moment les doigts qu’elle avait déjà tout mouillé elle les met dans sa bouche, lèche et salive sur ses doigts et continue à se caresser. En me disant doucement ça glisse mieux. Pas question de paraître idiote, je fais pareil, inquiète un peu du goût que vont avoir mes doigts. Rien de méchant, assez insipide en fait, collant je mouille mes doigts doigts de salive et je reprends. Cette fois-là j'ai ressenti une secousse plus forte, une sorte de soulagement, c’était agréable. Virginie poussa un petit cri de souris. Je remarquais que par rapport à moi elle était, il me semblait bien plus humide, que cette humidité était plus épaisse, J’aurais aimé toucher et me rendre compte, je n’ai pas osé.
Vous allez me dire, bien tout çà mais et la première fois? Elle est bien loin non?
Hé non justement c’est là le sel de la chose. Vous le voyez, je découvrais les choses tout juste. Je commençais à avoir des sensations, de plus en plus précises. Petit à petit le plaisir que je ressentais en me caressant était plus fort, le besoin de me caresser de plus en plus impératif. Je m’offrais ce plaisir tous les soirs ou presque.
Je n’ose imaginer si des hommes nous avaient surprises, Quand j’entends les horreurs qui arrivent tous les jours que je repense à Virginie et moi, j’ose pas imaginer. Ce n’est pas arrivé et nos parents n’ont jamais rien su.
Pas plus que ma mère ni mon père n’ont jamais su que leur fille modèle était une fouine sans vergogne qui fouillait tous les recoins de la maison quand d’aventure on m’y laissait seule. Dora l’exploratrice à la recherche de toutes les choses obscures et cachées de la vie des parents, car je fouillais surtout leur chambre. Je finis par mettre la main dans le bas de l’armoire, sur une grande boîte en bois fermée à clef. Que pouvait-elle contenir? Et oh miracle je me souvenais que j’avais vu une petite clef dorée, dans un pot à couvercle sur la commode. Munie de la clef j’ouvrais la boite. Déception, des papiers officiels, un livret de famille sur le dessus. Mais en fouillant dessous il y avait un couvercle dans lequel était posé les papiers. Je retirais ce couvercle et là un trésor !! Des photos polaroid, maman nue dans des poses scabreuses, Maman avec le sexe de papa dans la bouche tout çà avec un cadrage exotique. Maman qui léche une bouteille, maman avec la bouteille dans le minou, puis ailleurs. J’avais le souffle court et les joues brûlantes. je dois dire que j’avais des démangeaisons entre les cuisses, et bien que je n’avais encore pas touché mon sexe. Je le trouvais tout mouillé Cette débauche de pornographie famillialle m’excitait. Continuant mon exploration, je trouvais un objet, long rose se terminant en ogive. J’étais jeune oui mais pas idiote j’ai bien reconnu un vibromasseur. Mon sang n’a fait qu’un tour, retournant l’objet je vois une double flèche en arc de cercle indiquant “On” et “Off” à chaque bout . Pas besoin d’un diplôme d’ingénieur, je tourne le capot, l’engin vibre doucement et diffuse une lumière rose, un cran à droite, il vibre plus fort encore plus loin, il vibre si fort qu’il essaie de se sauver de mes mains. je coupe l’engin infernal. Je le regarde, le tourne en tous sens. Dans ma tête le petit ange et le petit diable se battent:“Repose çà c’est à maman, elle a dû s'en servir, laisse ça tranquille" dit l’ange.
“ Essaye çà à l’air super, et si maman s’en sert c’est que ca fait pas de mal “ dit le petit diable.
Me croirez vous si je vous dis que j’ai toujours écouté mon petit diable? Car quand j’écoute l’ange je m'ennuie ferme.
Je sais que j’ai la maison a moi jusqu'à ce soir 18h00, il est 14h00 j’ai tout mon temps. Je vais fêter ma découverte.
Rapidement me voilà nue comme un ver, la grande glace de l’armoire me permet de me regarder. Je n’ai pas perdu cette manie d’aimer me regarder, une grande glace au plafond est une chose que j’aime. Avoir différents points de vue sur l’action me stimule vraiment. C’est donc un travers lointain. Avec l’objet, il y avait un tube de lubrifiant, dont je badigeonnais copieusement l’engin on se demande pourquoi. J'avais pris soin d’étendre sur le lit 2 grandes serviettes de bain pour éviter de tacher. Maman ne comprendra jamais d’ailleurs pourquoi tout ce gras sur les serviettes quand elle voulut essuyer la buée sur les miroirs.
Allongée,avec le vibro, tout graisseux en main, j’ai fière allure. En un instant j’ai pris quelques années.Je démarre ce truc qui vibre, il est tellement glissant qu’il manque de m’échapper. C’est dur de faire et de se regarder en même temps et je veux tout voir, les cuisses largement écartée, je vois dans le miroir le reflet de ma peau bien blanche, la petite crevasse rose de mon sexe, ce vibro qui éclaire d’un halo rose la pièce aux rideaux tirés. Lentement j’approche l’ogive de ma fente, elle me touche, la vibration s’irradie dans mon bas ventre, il glisse facilement le long de mes lèvres, pas la pointe en avant je la pose juste et monte et descend doucement comme si c’était mon doigt. Je ressens rapidement des chatouillis picotements dans toute la région, j’appuie un peu plus fort la tête sur mon clitoris, je le touche, là je pousse un cri, la sensation est vraiment forte. Je recommence encore un saut de cabri et un ohh. Je remplace le truc par mes doigts comme pour voir s' il n’y a pas de dégâts. Pour la première fois je suis en contact avec une sexe lubrifié et j’en suis convaincue, mouillé comme jamais je ne l’ai senti, Sensation ou réalité j’ai l’impression de sentir de l’humidité entre mes fesses. C’est bon, j’adore, je pousse le bouton plus à droite, il vibre plus fort. Je pose la tête sur ma fente, toute luisante que je vois dans le miroir. Oh la la, je fais un bon, et pousse un cri, je repose à nouveau le vibro, j’ai l’impression que tout en moi vibre, montant et descendant ce simili sexe en plastique qui éclaire mes cuisses et ma chatte de cette douce lumiére. Mes lèvres, mon petit bouton tout s'agite, je pose mes doigts sur mon bouton il me semble avoir gonflé, je ne me trompe pas, je le vois bien plus distinctement, mes lèvres aussi paraissent plus présentes, plus épaisses. Jamais je n’avais ressenti ça en me caressant. Je m’enhardi et laisse maintenant la pointe tournée vers l’orifice interdit, barricadé. La vibration est plus forte encore quand il est la pointe contre ce blocage. Je sens vibrer l’intérieur de ma chatte. Quand je pose juste la pointe sur mon petit bouton. Une explosion de sensation me submerge, je gémis, cries j’ai du cirier c’est bon mais je ne suis plus sûre. La pointe descend, vivre un moment contre ma chatte, puis le poids l'entraîne vers le bas, il touche mon petit trou, la vibration fait merveille, des ondes de plaisir me chatouille l’endroit. Je sens que mon petit anus s’ouvre légèrement, instinctivement je pousse le vibro, je sens qu’il se cale bien contre ma rondelle, je suis tentée de le faire pénétrer mais j’ai peur, peur de la douleur, peur des conséquences. Je sais bien que çà se fait je ne suis pas idiote, mais je n’ose pas. Je promène toujours la chose le long de mon sexe. J’ai le rouge au joues, je suis excitée comme jamais avant. J’adore mon reflet dans la glace, totalement nue, complétement écartelée, mon sexe semble accricher tout la lumére. Mes doigts ne sont pas inactifs, ils sont vite trempés, je les approche de mon visage je regarde, il sont pleins de mouille, cette fois assez épaisse et collante, sans doute mélangée au lubrifiant, J’écarte mes doigts, des fils se forment entre mes doigts, diable je n’ai jamais vu que je sois aussi mouillée. Naturellement je ne résiste pas à l’envie de goûter, je lèche mes doigts. Contrairement à ma précédente expérience, petit goût, a peine salé, une odeur indéfinissable. Je retourne a mon sexe, mouille encore mes doigts, les léches, me barbouille les lèvres. Ce geste simple m’excite au plus haut point.. Si un garçon se présentait, tout comme dans les vidéos, je sucerais son engin. J’aimerais, j’en ai envie à cet instant. Je commence sans doute à devenir la petite salope que je suis.
Plus je joues avec ce vibro plus je suis excitée, plus je me sens brulante, plus je me sens femme. A plusieurs reprises je suis revenue sur mon petit trou, le faire vibrer, pousser un peu sur l’engin. Je suis tellement lubrifiée de haut en bas, je sens qu'à peine je pousse sur le jouet, que ma rondelle s’ouvre. Je n’ose quand même pas franchir le pas.
Cette fois, je suis toute excitée, comme jamais je ne l’ai été jusqu'à cet instant. Mes doigts pincent même mes petits tétons et c’est délicieux. J’agace à nouveau mon sexe, je place l’engin au maximum et poursuis mon manége. Mes hanches comme intelligentes, impriment un mouvement ondulant à mon corps, c’est inné. Je serre et desserre mes cuisses. bouche ouverte et gémissante cette fois je goûte cette montée lente d’un plaisir que je ne soupçonnais même pas. ce diable de vibromasseur veut s’échapper de mes doigts tout gras, je le rattrape in extrémis plusieurs fois. Je m'aperçois me tortillant sur le lit, la ressemblance avec ce que j’ai vu sur les vidéos internet sont flagrantes. Je pousse de petits cris incontrôlés et incontrôlables. Dans ma tête s'égrènent des mots que j’aimerais prononcer à haute voix mais je n’ose pas encore, le me les répétais dans ma tête, des paroles entendues bien sûr dans les films.” Salope, putain, chienne, suces moi , donne moi ton cul etc des choses que j’aurais adoré qu’on me lança au visage.
Encore une fois la vibration forte tente de faire s’échapper mon jouet de ma main., je le rattrape de justesse mais ce faisant mes doigts ont attrapés l’arrière du vibro, sa pointe glissait droit vers ma fente. Douleur fugitive, l’engin s’enfonce en moi glisse dans mon sexe.
Ohhhhhh criais-je avec force
La sensation est extraordinaire, tout mon sexe vibre, je n’ose plus toucher ce truc qui est en moi, il vibre si fort que j’ai l’impression que mon petit sexe explose. Je crie, je souffle, l’air me manque mon coeur c’est emballé. J’ai peur, c’est bon c’est indicible, je n’ai plus les mots je ne sais pas ce qui se passe. Et d’un seul coup, comme un choc électrique, mes doigts se sentent obligés de tourner autour de mon bouton, de le titiller. C’est merveilleux, ça dure un instant, le plaisir me submerge totalement. Arc boutée sur mes épaules et mes talons, le pubis projeté vers le haut, mon jouet planté dans mon sexe, je retombe presque inerte sur le lit. Les bras en croix, la sueur au front et un peu partout en fait. je ne peux pas m'asseoir le vibro m’en empêche. Alors regardant dans la glace, je tire doucement la chose, délicatement, peur d’avoir mal. En fait je n’ai pas mal, il glisse hors de moi sans problème. Je vois mon minou ouvert, pas béant, mais un trou sombre de la taille de mon jouet, qui se referme rapidement. Sur le god, que j’ai arrêté maintenant, plusieurs traces rouges, du sang. Et bien voilà je suis devenue femme par accident, je venais de me déflorer seule avec le vibro de maman. Je prie encore pour que jamais elle ne l'apprenne.
Une double première en fait pour la jeune fille que je suis, perte de la virginité et premier véritable orgasme. Aprés çà je glisse un doigt dans mon sexe, celui ci est vraiment inondé, je le ressort, un peu de rouge aussi, j’ai peu saigné et à par un fugace pincement j’étais trop excitée pour avoir mal. Je n’ai jamais voulu celà, mais c’était fait. Cela me changeait radicalement. Je me sentais plus femme que jamais et un peu de condecendance vis a vis de mes amies qui n’avaient pas encore cette expérience. La première au courant fut Virginie qui me jalousa longtemps, tant qu’elle ne vécut pas la choses avec un petit copain. Mais elle me posa nombre de questions sur les sensations que j'avais .
Je ne regrette pas cette étrange première fois, moi qui n’aime jamais faire comme tout le monde c’est au contraire un beau souvenir. Celle que je suis devenue est toujours aussi disruptive que celle que j’étais déjà à l'époque, on ne se refait pas.
A toutes les vierges qui se morfondent, ce n’est pas une fatalité, on est jamais si bien servi que par soi même.
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