Lesbienne, oui mais pourquoi et comment ? (III)

- Par l'auteur HDS Lisa-Al -
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Récit libertin : Lesbienne, oui mais pourquoi et comment ? (III) Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Lesbienne, oui mais pourquoi et comment ? (III)
Iris était là satisfaite de m’avoir fait crier, hurler de plaisir, ses doigts dégoûtant de mon miel qu’elle avait butiné et baratté dans ma chatte largement ouverte. Je sentais encore les derniers spasmes de l’orgasme comme autant de répliques sismiques à faible bruit. Mon adorable copine venait de me prouver qu’elle avait une facette que j’aimais déjà, cette envie de domination, de contrôler l’autre dans l’amour physique. Je serais une menteuse si je niais que je n’aimais pas cette domination, tout dans mes diverses aventures m’avait prouvé que j’étais soumise dans l’âme. Iris avait marqué un point dans notre affrontement.
Lascivement installée adossé à l’accoudoir du canapé, Iris avait encore le rouge au joues, et cette rougeur sur la poitrine entre le cou et les seins qui indique si bien l’état d’excitation d’une femme. Ses jambes impudiquement ouvertes sur la crevasse rose de son sexe, ourlée par les lévres bistres qui prolongeaient le capuchon de son clitoris que je devinais pointe de rose dans l’ombre. Les lèvres luisaient, un filet argenté semblait couler au bas de cette ogive comme un ruisselet de montagne se perdant dans les collines de ses fesses. Si je m’étais donnée comme une bête. Iris avait œuvré pour me donner ce merveilleux orgasme. Sa peau luisait d’une fine sueur (Je connais un lecteur qui va adorer ce passage bisous Daniel) qui donnait l’impression qu’elle était couverte d’huile. Je dois dire que la vision était loin de calmer mes ardeurs. J’avais accepté cette découverte par jeu, Iris m’avait avoué son attirance pour moi. Je voyais en elle une amie seulement, j’ai été tellement aveugle, j’aurais dû comprendre que son amitié était une attirance animale, sexuelle pour moi. Je ne suis pas lesbienne, les codes, l’idée même de céder à une femme ne m’était pas venue, je n’avais cédé a des couples que quand le mari m’attirait, j’avais joué avec des femmes. Jamais aucune ne m'avait fait jouir comme Iris venait de le faire.
A quatre patte, comme une chatte, j’approchais d’elle, son pied était tout proche, ma langue lécha son gros orteil, avant de le gober, de le sucer, de sucer ses orteils, de prendre le bout de son pied dans ma bouche, alors qu’elle agitait ses orteils. Quoi de plus naturel que la soumise lèche les pieds de sa maîtresse. Je savais déjà quelle était ma place auprès d’elle, à ses pieds, servante d’amour, jouet de plaisir si elle le veut ou bien souffre douleur si elle le demande. Je me suis toujours bien sentie dans le rôle de l’esclave, j’aime être drivée, abandonner mon ego, abandonner mon libre arbitre.on le verra plus tard tout abandonner parfois.
En bonne maîtresse, Iris me donne son autre pied a lécher. Servilement, je lèche le peton, ils sont mignons et soignés, ses petits pieds. Je vois que la chose lui plait suffisamment pour que sa main soit entre ses cuisses les doigts allant et venant sur sa fente. Ma langue part à l’aventure, glisse le long du pied, de la cheville, taquine le mollet, le mordille son genoux. La peau intérieure de ses cuisses, c’est du satin, ma langue se régale car plus je monte haut vers son ventre, plus je percois l’odeur affolante de son sexe un mélange d’épice où le poivre serait dominant, j’adore cette fragance particulière aux brunes et aux femmes de couleur.
Mes lèvres frôlent la peau satinée, ma langue dessine des arabesques humide sur cette peau, Parfois je rencontre une fine trace encore humide de son nectar qui a déjà coulé en abondance, car Iris à déjà connu un orgasme pendant qu’elle me faisait jouir. Je suis jalouse qu’elle ai eu cet orgasme spontané. Cela m'est déjà arrivé et ils ont une saveur particulière. Iris ne me perd pas du regard, je sens la vibration de son être, sa bouche entrouverte, laisse échapper de petits soupirs, ses jolis seins pointus, montent et descendent de manière un peu saccadée. Ses joues sont toujours empourprées du feu du désir. Elle tends sa main index pointé vers moi, je prends ce doigt entre mes lèvres il est chargé de son odeur et du gout de son sexe, sa saveur poivrée est intense.Je suis a quelques centimétres de son sexe la lumiére est telle qu’il est exposé sous une des lames led au dessus de nos têtes. Il fait le cabot ce petit con dans son cercle de lumière. Il est tout exposé, rose, plissé rutilant , chaque pli est ourlé de sève qui coule lentement, chaque palpitation est une inondation qui dévale les sillons, s’écoule au confins de la conque, se rejoint devenant moins translucide, plus blanchâtre, avant de sauter le petit replis et de s’étaler sur l’anus non moins palpitant de ma chérie. A cet instant je n’ai pas du tout en tête ce qu'impliquent nos actes. Je ne sais pas où va me mener cet intermède saphique. A cet instant je n’ai pas encore peur.

Mange moi la chatte, petite catin, me dit Iris brisant le silence.

Au lieu de paroles inutiles, je pose mes doigts de part et d’autre de son sexe, je l’ouvre en grand. C’est magnifique un sexe de femme ouvert, mesdames quand votre homme vous demande de vous écarter faites le, c’est le signe qu’il sait voir le beau. Et là il est sublime se sexe, tout écartelé il attire, vous oblige à plonger en lui, a le fouiller de la langue de vos doigts. Il vous enjoint de boire à la source, d’aspirer tout ce miel. J’aime tellement quand on me fouille le con, les lappements, succions et bruits humides m’excitent. Je pose mes lévres sur son sexe, il palpite sous la caresse de mes lévres et s’affole quand ma langue le pénétre. J’entre profondément ma langue dans son sexe bouillant, Iris mouille énormément, déverse sur mes lévres, des flots de cyprine. Rapidement, mes lèvres, mon nez, mon menton sont trempés. Là où elle m’a satisfaite violemment, je déploie la plus grande douceur. Je suis enivrée par son odeur, je pourrais me shooter en mettant mon nez dans son sexe. Iris à rejeté la tête en arrière, bouche grande ouverte elle exhale des plaintes continues et modulées, une sorte de chant du plaisir. Ses mains sur ma tête semblent vouloir faire entrer ma tête dans son sexe. Si la chose était possible je le ferais sans doute. Elle agrippe mes boucles blondes et sous l’effet des vagues de plaisir elle crispe ses doigts et me tire les cheveux. Elle à les hanches qui se mettent à rouler, ma langue remonte le long des petites lèvres ourlées d’écume, En tirant les petites lèvres avec mes doigts en remontant vers son pubis, je dégage son clitoris oblong et de jolie taille ( plus gros que le mien) il est aussi sensible, une pointe de langue le touche et je tire un long cri de ma jolie Iris. Je la garde écartelée ainsi, le bouton trônant bien dégagé. J’adore les gros clitoris, on en rencontre assez peu hélas. Maintenant je suis comblée avec mon amie Marie qui possède le clitoris le plus énorme que j’ai jamais pu toucher on peut le sucer comme une bite ou le branler de la même façon en plus percé d’un anneau doré. Je rêve d’avoir le même. Iris ne sait pas encore qu’elle aura le plaisir de manger ce gros clito elle aussi plus tard. A cet instant le sien suffit à la mettre dans tous ces états.
La tension monte, Iris se pétrit les seins, s’agace les pointes, la mouille souille ses fesses et coule sur le canapé. Ma langue joue avec son méat, le titille essaie de le forcer.. Il lâche parcimonieusement quelques gouttes.. Iris n’est pas la seule à ressentir des frissons, ma chatte est tout contre sa jambe et par petits coups de reins je me frotte sur elle. Quand mon clitoris touche sa peau, je saute comme une carpe.
Je sens les palpitations du sexe d’Iris s’affoler, je retiens mes caresses, par deux fois déja elle était sur le point de jouir, j’ai temporisé je la fais attendre. Cela peut être follement excitant de refuser l’orgasme à sa partenaire. J’aime ça, mais il ne faut pas se planter. Il arrive un moment où elle sera incapable d’aller au bout. C’est une véritable torture. Je manquais de pratique féminine à l’époque, j’aurais pu l’emmener jusqu’au moment où l'orgasme devient interdit, le seul moyen de le provoquer c’est disons une certaine violence , forte pénétration et manipulation qui débloque tout çà avec au bout un orgasme vraiment violent. Je subis souvent de sa part ce schéma, elle me met dans cet état ou j’ai l’impression de devenir folle avant de me prendre avec un gros gode, ou en me demandant de m’engoder tandis qu’elle me flagelle. Mais on parlera de ça plus tard.

J’en peux plus salope, fais moi jouir, fais moi jouir je t’en supplies, finis moi!!!

Iris quémande la libération, je sens qu’elle arrive au point de non retour, cette fois je dépasse cet instant ténu. En léchant ardemment son clito. Elle est tremblante, ses coups de reins désordonnés, ses cris sont de plus en plus forts. Sa mouille arrive par vagues presque expulsées du fond de son fagin qui s’ouvre en grand et se referme en faisant un bruit de bouche, son ventre se creuse se détend se creuse à nouveau. Soudain elle se tend, ses muscles deviennent durs, elle hurle vraiment et pousse mon visage dans son sexe. Elle jouit en se demandant dans tous les sens mais elle me garde plaquée contre son vagin qui inonde tout mon visage. De mon côté je connais également un orgasme, fort mais pas comparable, mon frottage sur sa jambe combinée à la vision de son plaisir et au fait que j’ai mon visage presque en elle m'ont menée au plaisir. Iris a jouit longtemps, et je suis presque à bout de souffle quand elle me lâche.
A peine le temps de prendre une bouffée d’air, qu’Iris se jette sur moi, m’embrasse goulument me force sur le dos, elle se met à lécher mon visage, nettoyant le jus qu’elle a étalé sur ma figure. Je frissonne quand j’entends ce qu’elle ne cesse de répéter.

Oh je t’aime, je t’aime, je t’aime……Nous sommes restées un long moment enlacées, corps contre corps. J’étais bien mais mon esprit tournait.
Nous sommes ensuite passées dans la chambre, pour continuer à nous explorer. Ce n’est qu'après de nombreux orgasmes que nous nous sommes endormies enlacées. C’est dans cette position que je me suis réveillée ce matin, le minois d’Iris endormie, ses seins pointus contre les miens, nos jambes emmêlées. Depuis deux ans et demi c’est le cas, j'espère de longues années encore de très longues années.

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