Lesbienne, oui mais pourquoi et comment ?
Récit érotique écrit par Lisa-Al [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Lesbienne, oui mais pourquoi et comment ?
Maintenant que nous avons fait connaissance, enfin pour ceux qui me suivent et ils sont bien plus nombreux que je pouvais l’espérer. Je vous invite à me faire un peu de pub. Je ne cherche ni ne vends rien, même pas mes petites culottes portées, vu que je n’en porte que rarement.
Comment & pourquoi suis je devenue lesbienne. Oh je n’étais pas de celles qui petites , savaient déjà qu’elles préféraient les femmes, gamine j’étais curieuse et intriguée par ce que les garçons avaient dans leur pantalon, que nous n’avions pas la chance d’avoir. Ma mère à cette question répondit que si tu es sage tu en auras un plus tard quand tu sera grande, elle ajoutera aussi, si tu n'es pas sage tu en aura plusieurs..
Je n'aborde pas les années avant mon mariage, certaines restrictions font que la publication de certains texte est repoussée sur des critères d’âge, on peut faire mais pas le dire, c’est mal vu.
Naturellement je n’ai pas été sage et j’en ai eu beaucoup. Durant ma longue période d’infidélité chronique, j’ai rencontré beaucoup d’hommes, beaucoup trop peut-être. Une chose est certaine mon orgie de rencontres m’a permis de constater qu’un homme c’est un homme, une femme une femme; contrairement aux théories du moment. J’ai certes poussé la plaisanterie assez loin.
Faisant fi de la prudence la plus élémentaire, je me suis retrouvée parfois seule avec trois voire quatre hommes. J’avais 21 ans, un mari qui semblait m’avoir oubliée, pas pour les reproches, mais il me zappait tous les soirs au seul moment ou j’aurais bien aimé sa présence, encore que dès que j’ai décidé de ne plus respecter le contrat, je n’ai plus cherché grand chose de sa part mais idiote, j'accède à ses rares désirs. Je peux bien l’admettre je me suis étourdie avec des changements incessants de partenaires, quelques fois des couples, ce qui m’avait permis d’avoir quelques interactions avec d’autres femmes, mais pas ce qu’on peut nommer lesbianisme. J’avais partagé des caresses, me laissait faire le plus souvent, avait prodigué quelques coups de langue, mais le mâle était l’objet de mon désir.
Tous les matins quand je vais à mon bureau, je m’arrête dans un café/brasserie où je prend mon petit déjeuné en fait, un grand noir et un croissant ceci depuis des années maintenant. Je fais un peu partie des meubles ou de la famille comme on voudra. Si j’ajoute que je profite aussi peu que possible de la restauration d’entreprise. Ma pause déjeuner, je profite également de cette brasserie, simple, bon, rapide c’est l’idéal et on est pas forcé de supporter des collègues et des discussions de travail.
Alors que je vivais ma vie tumultueuse le soir, j’ai rencontré un matin, une jeune femme de mon âge qui comme moi prenait son café le matin, son repas le midi dans cette brasserie. J’avoue à ma grande honte que je ne l’avais pas remarquée, elle m'avait parfaitement repérée, et elle met tout en œuvre pour se rapprocher de moi et éveiller ma curiosité. Pendant plusieurs mois, Iris et moi avons sympathisé, on est devenues copines. Une amitié dont les femmes ont le secret, on arrivait à se faire des confidences, je lui parlais de mes aventures très librement, elle s’en amusait parfois. Sur ce plan elle ne me faisait pas de confidences, je savais qu’il y avait eu quelqu’un dans sa vie mais qui était décédé. Je ne voulais pas lui faire de la peine ou la mettre mal à l’aise. Elle me parlait beaucoup de son travail, les antiquités, elle avait non loin une galerie d’exposition et vendait ou achetait du mobilier ancien de grande qualité. Elle a une formation d’historienne à la base et s'est ensuite dirigée vers le patrimoine, est devenue experte pour plusieurs périodes spécifiques travaillant avec les musées, des salles de vente et même le mobilier national. Nous étions deux jeunes femmes, aisées avec des positions sociales enviables. En termes plus communs deux petites bourgeoises qui se la pètent.
Un matin elle commença à me faire des confidences.
Tu vois Lisa je ne te l’ai jamais dit, mais j'aimerai que tu me racontes tes frasques, cela me change de monde. Tu me parles d’hommes de parties de jambes en l’air, tout çà je ne connais pas.
Comment? Ne me dis pas que tu es pucelle!! Tu te moques de moi là!!
Non je suis lesbienne et non je ne suis pas pucelle.
Lesbienne… mais pas seulement non?
Ah uniquement lesbienne, je n’ai jamais touché à un homme.
Jamais??
Non jamais de petit copain, des copines oui pleinAh quand même, je commençais à faire figure de grande débauchée.
En effet, toi tu es en tête de la compétition, mais pas dans la même catégorie.
Tu m’a dit qu’avant tu avais quelqu’un c’était une femme alors demandais-jeLes yeux d’Iris s'assombrirent instantanément, et je vis deux petits lacs se former au bas de sa paupière, les lacs débordent vite en deux larmes qui glissaient sur ses joues.
Oh excuses moi je n’aurais pas dû parler de çà dis-je en posant ma main sur la sienne.
Elle retira vivement sa main, prit un kleenex dans son sac et tamponna ses joues. Il ne restait qu’une imperceptible trace dans son fond de teint. Elle prit alors mes doigts dans sa main avec douceur.
Non, tu n’y es pour rien, un souvenir douloureux.
Iris me raconta alors son idylle, elle était tombée amoureuse d’une charmante femme, amour partagé. Elle s’étaient installées en couple, filaient un parfait amour, mais l’instabilité de cette jeune femme, les dépressions à répétitions survenaients à tout propos. Jusqu’au jour où rentrant du travail Iris trouva sa compagne, exsangue dans la baignoire, les poignets ouverts. Je frissonnait à ce récit. J’avais posé ma seconde main sur la sienne, je la caressais doucement pour la réconforter.
Iris me regarda alors avec ses yeux tristes et me dit:Toi aussi tu a des larmes plein les yeux En tamponnant sous mes paupièresC’est si triste ce que tu me dis làLe plus étonnant c’est que quand je t’ai vu la première fois ici, j’ai eu la même sensation que quand je l’avais rencontrée.
Je lui ressemble?
Non pas vraiment, Je ne sais pas exprimer cela, une sorte de lien, de sentiment qu’il faut que j'aille vers toi.
En fait tu me dis que je te plais? que tu es en train de me draguer? Dis je retirant la main qui caressait la sienne.
Non, laisse ta main s’il te plait.
D’accord mais explique toi dis je reposant ma main et continuant à caresser sa main.
Oui je suis en train de te dire que depuis des semaines, j’espérais que tu te rendes compte que j’ai plus que de l’amitié pour toi. Vraiment beaucoup plus.
Tu me dragues et tu suggères que tu es amoureuse? C’est çà.
J’étais loin d’imaginer qu’Iris avait ce genre de sentiments envers moi, sa main s'était mise à trembler depuis qu’elle avait dit cela. Ces yeux gris verts, me fixaient intensément. Elle cherchait une réponse à ses interrogations, à ses désirs en fait. Déstabilisée, je n’avais jamais envisagé ces sentiments envers une femme. Je pouvais comprendre l’envie sexuelle, la curiosité des caresses nouvelles. Mais comme elle avait l’expérience d’une vie commune avec une femme à laquelle je lui faisais penser, je me sentais un peu mal.
Ça fait des semaines que je te drague, tu n'as pas l’air de le voir ou alors tu ne veux pas le voir?
Je n’aurais jamais imaginé, je n’ai rien vu, rien compris.
Tu es choquée?
Non pas du tout, surprise c’est le mot.
On est toujours amies? même si je t’ai avoué cela?
Cela me rend toute drôle mais je ne vois pas pourquoi je changerais d’avis, je t’ai… t’apprécies beaucoupTu a faillis dire je t’aime beaucoup dit elle en riant.
Oui il faudra que je fasse attention à ce que je dis.
Non, je n’aurais pas dû te dire çà alors que tu n’avais jamais eu le moindre signe que tu pouvais être sensible à mes avances, c’est moi qui doit m’excuser, je suis honteuse.
Arrêtés, d’ailleurs tu rougis vraiment.. Oh en plus tu a les yeux brillants, des larmes? je t’ai fais de la peine?
Je me sentais maintenant fautive, je ne voulais pas la blesser ou lui faire de la peine, là c’était manqué. En repensant à ces mois passés à être copines, je me souvenais de tas de petits détails qui auraient dû m'alerter.
En plus je ne suis pas lesbienne, j’ai bien fait deux trois trucs avec des femmes, mais je n’ai jamais été seule avec une femme je dois l’avouer.
Iris releva le nez et me sourit timidement. Je voyais qu’elle reprenait espoir, décidément elle avait l’air d’attacher une grande importance à cette idée.
Alors tu n'as jamais essayé? moi je croyais, avec la vie que tu mènes que tu avais au moins plusieurs expériences.
Non, il s'est passé des choses avec les femmes de quelques couples que j’ai rencontrés, mais c’était l’homme qui m’intéressait.
Peut-être que tu aimerais essayer curieuse comme tu es, on est amies on peut prendre ça comme une folie de copines?
Décidément tu tiens à me convaincre, c’est si important. Je ne voudrais pas qu’on brise notre amitié pour une lubie, en général je cloisonne ma vie, le sexe est à part. Mélanger amitiée et sexe me dérange un peu. Surtout que pour toi ça semble vraiment important.
Oh ce n’est pas à cause de ça, oui tu me fais penser à elle, mais je ne mélange pas les choses, toi tu est toi. Et c’est vrai que j’aimerais bien au moins une fois, a moins que çà te gêne qu’on se touche.
Idiote!! Tu crois que ça me gêne avec les autres?
Alors? Tu as gagné, mais laisse moi un peu de temps avant pour réfléchir.
Merci, merci ça me fait plaisir, tu n'as pas remarqué que depuis tout le temps qu'on parle tu caresses ma main me dit IrisOh oui… Ça se fait entre amies..
Entre très bonnes amies bien sûr, fit-elle en éclatant de rire.
Elle avait raison, j’avais machinalement agit comme si nous étions autre chose que des amies. J’étais étrangement heureuse d’avoir fini par céder. Cela n’était qu’un épisode, on s’amuserait, elle se rendrait compte que je suis une femme à homme, on resterait copines. Mais j’avais l’impression de m’étourdir de fausses promesses. Je me rendais compte que son amitié comptait énormément pour moi.. et si……….
A suivre
Comment & pourquoi suis je devenue lesbienne. Oh je n’étais pas de celles qui petites , savaient déjà qu’elles préféraient les femmes, gamine j’étais curieuse et intriguée par ce que les garçons avaient dans leur pantalon, que nous n’avions pas la chance d’avoir. Ma mère à cette question répondit que si tu es sage tu en auras un plus tard quand tu sera grande, elle ajoutera aussi, si tu n'es pas sage tu en aura plusieurs..
Je n'aborde pas les années avant mon mariage, certaines restrictions font que la publication de certains texte est repoussée sur des critères d’âge, on peut faire mais pas le dire, c’est mal vu.
Naturellement je n’ai pas été sage et j’en ai eu beaucoup. Durant ma longue période d’infidélité chronique, j’ai rencontré beaucoup d’hommes, beaucoup trop peut-être. Une chose est certaine mon orgie de rencontres m’a permis de constater qu’un homme c’est un homme, une femme une femme; contrairement aux théories du moment. J’ai certes poussé la plaisanterie assez loin.
Faisant fi de la prudence la plus élémentaire, je me suis retrouvée parfois seule avec trois voire quatre hommes. J’avais 21 ans, un mari qui semblait m’avoir oubliée, pas pour les reproches, mais il me zappait tous les soirs au seul moment ou j’aurais bien aimé sa présence, encore que dès que j’ai décidé de ne plus respecter le contrat, je n’ai plus cherché grand chose de sa part mais idiote, j'accède à ses rares désirs. Je peux bien l’admettre je me suis étourdie avec des changements incessants de partenaires, quelques fois des couples, ce qui m’avait permis d’avoir quelques interactions avec d’autres femmes, mais pas ce qu’on peut nommer lesbianisme. J’avais partagé des caresses, me laissait faire le plus souvent, avait prodigué quelques coups de langue, mais le mâle était l’objet de mon désir.
Tous les matins quand je vais à mon bureau, je m’arrête dans un café/brasserie où je prend mon petit déjeuné en fait, un grand noir et un croissant ceci depuis des années maintenant. Je fais un peu partie des meubles ou de la famille comme on voudra. Si j’ajoute que je profite aussi peu que possible de la restauration d’entreprise. Ma pause déjeuner, je profite également de cette brasserie, simple, bon, rapide c’est l’idéal et on est pas forcé de supporter des collègues et des discussions de travail.
Alors que je vivais ma vie tumultueuse le soir, j’ai rencontré un matin, une jeune femme de mon âge qui comme moi prenait son café le matin, son repas le midi dans cette brasserie. J’avoue à ma grande honte que je ne l’avais pas remarquée, elle m'avait parfaitement repérée, et elle met tout en œuvre pour se rapprocher de moi et éveiller ma curiosité. Pendant plusieurs mois, Iris et moi avons sympathisé, on est devenues copines. Une amitié dont les femmes ont le secret, on arrivait à se faire des confidences, je lui parlais de mes aventures très librement, elle s’en amusait parfois. Sur ce plan elle ne me faisait pas de confidences, je savais qu’il y avait eu quelqu’un dans sa vie mais qui était décédé. Je ne voulais pas lui faire de la peine ou la mettre mal à l’aise. Elle me parlait beaucoup de son travail, les antiquités, elle avait non loin une galerie d’exposition et vendait ou achetait du mobilier ancien de grande qualité. Elle a une formation d’historienne à la base et s'est ensuite dirigée vers le patrimoine, est devenue experte pour plusieurs périodes spécifiques travaillant avec les musées, des salles de vente et même le mobilier national. Nous étions deux jeunes femmes, aisées avec des positions sociales enviables. En termes plus communs deux petites bourgeoises qui se la pètent.
Un matin elle commença à me faire des confidences.
Tu vois Lisa je ne te l’ai jamais dit, mais j'aimerai que tu me racontes tes frasques, cela me change de monde. Tu me parles d’hommes de parties de jambes en l’air, tout çà je ne connais pas.
Comment? Ne me dis pas que tu es pucelle!! Tu te moques de moi là!!
Non je suis lesbienne et non je ne suis pas pucelle.
Lesbienne… mais pas seulement non?
Ah uniquement lesbienne, je n’ai jamais touché à un homme.
Jamais??
Non jamais de petit copain, des copines oui pleinAh quand même, je commençais à faire figure de grande débauchée.
En effet, toi tu es en tête de la compétition, mais pas dans la même catégorie.
Tu m’a dit qu’avant tu avais quelqu’un c’était une femme alors demandais-jeLes yeux d’Iris s'assombrirent instantanément, et je vis deux petits lacs se former au bas de sa paupière, les lacs débordent vite en deux larmes qui glissaient sur ses joues.
Oh excuses moi je n’aurais pas dû parler de çà dis-je en posant ma main sur la sienne.
Elle retira vivement sa main, prit un kleenex dans son sac et tamponna ses joues. Il ne restait qu’une imperceptible trace dans son fond de teint. Elle prit alors mes doigts dans sa main avec douceur.
Non, tu n’y es pour rien, un souvenir douloureux.
Iris me raconta alors son idylle, elle était tombée amoureuse d’une charmante femme, amour partagé. Elle s’étaient installées en couple, filaient un parfait amour, mais l’instabilité de cette jeune femme, les dépressions à répétitions survenaients à tout propos. Jusqu’au jour où rentrant du travail Iris trouva sa compagne, exsangue dans la baignoire, les poignets ouverts. Je frissonnait à ce récit. J’avais posé ma seconde main sur la sienne, je la caressais doucement pour la réconforter.
Iris me regarda alors avec ses yeux tristes et me dit:Toi aussi tu a des larmes plein les yeux En tamponnant sous mes paupièresC’est si triste ce que tu me dis làLe plus étonnant c’est que quand je t’ai vu la première fois ici, j’ai eu la même sensation que quand je l’avais rencontrée.
Je lui ressemble?
Non pas vraiment, Je ne sais pas exprimer cela, une sorte de lien, de sentiment qu’il faut que j'aille vers toi.
En fait tu me dis que je te plais? que tu es en train de me draguer? Dis je retirant la main qui caressait la sienne.
Non, laisse ta main s’il te plait.
D’accord mais explique toi dis je reposant ma main et continuant à caresser sa main.
Oui je suis en train de te dire que depuis des semaines, j’espérais que tu te rendes compte que j’ai plus que de l’amitié pour toi. Vraiment beaucoup plus.
Tu me dragues et tu suggères que tu es amoureuse? C’est çà.
J’étais loin d’imaginer qu’Iris avait ce genre de sentiments envers moi, sa main s'était mise à trembler depuis qu’elle avait dit cela. Ces yeux gris verts, me fixaient intensément. Elle cherchait une réponse à ses interrogations, à ses désirs en fait. Déstabilisée, je n’avais jamais envisagé ces sentiments envers une femme. Je pouvais comprendre l’envie sexuelle, la curiosité des caresses nouvelles. Mais comme elle avait l’expérience d’une vie commune avec une femme à laquelle je lui faisais penser, je me sentais un peu mal.
Ça fait des semaines que je te drague, tu n'as pas l’air de le voir ou alors tu ne veux pas le voir?
Je n’aurais jamais imaginé, je n’ai rien vu, rien compris.
Tu es choquée?
Non pas du tout, surprise c’est le mot.
On est toujours amies? même si je t’ai avoué cela?
Cela me rend toute drôle mais je ne vois pas pourquoi je changerais d’avis, je t’ai… t’apprécies beaucoupTu a faillis dire je t’aime beaucoup dit elle en riant.
Oui il faudra que je fasse attention à ce que je dis.
Non, je n’aurais pas dû te dire çà alors que tu n’avais jamais eu le moindre signe que tu pouvais être sensible à mes avances, c’est moi qui doit m’excuser, je suis honteuse.
Arrêtés, d’ailleurs tu rougis vraiment.. Oh en plus tu a les yeux brillants, des larmes? je t’ai fais de la peine?
Je me sentais maintenant fautive, je ne voulais pas la blesser ou lui faire de la peine, là c’était manqué. En repensant à ces mois passés à être copines, je me souvenais de tas de petits détails qui auraient dû m'alerter.
En plus je ne suis pas lesbienne, j’ai bien fait deux trois trucs avec des femmes, mais je n’ai jamais été seule avec une femme je dois l’avouer.
Iris releva le nez et me sourit timidement. Je voyais qu’elle reprenait espoir, décidément elle avait l’air d’attacher une grande importance à cette idée.
Alors tu n'as jamais essayé? moi je croyais, avec la vie que tu mènes que tu avais au moins plusieurs expériences.
Non, il s'est passé des choses avec les femmes de quelques couples que j’ai rencontrés, mais c’était l’homme qui m’intéressait.
Peut-être que tu aimerais essayer curieuse comme tu es, on est amies on peut prendre ça comme une folie de copines?
Décidément tu tiens à me convaincre, c’est si important. Je ne voudrais pas qu’on brise notre amitié pour une lubie, en général je cloisonne ma vie, le sexe est à part. Mélanger amitiée et sexe me dérange un peu. Surtout que pour toi ça semble vraiment important.
Oh ce n’est pas à cause de ça, oui tu me fais penser à elle, mais je ne mélange pas les choses, toi tu est toi. Et c’est vrai que j’aimerais bien au moins une fois, a moins que çà te gêne qu’on se touche.
Idiote!! Tu crois que ça me gêne avec les autres?
Alors? Tu as gagné, mais laisse moi un peu de temps avant pour réfléchir.
Merci, merci ça me fait plaisir, tu n'as pas remarqué que depuis tout le temps qu'on parle tu caresses ma main me dit IrisOh oui… Ça se fait entre amies..
Entre très bonnes amies bien sûr, fit-elle en éclatant de rire.
Elle avait raison, j’avais machinalement agit comme si nous étions autre chose que des amies. J’étais étrangement heureuse d’avoir fini par céder. Cela n’était qu’un épisode, on s’amuserait, elle se rendrait compte que je suis une femme à homme, on resterait copines. Mais j’avais l’impression de m’étourdir de fausses promesses. Je me rendais compte que son amitié comptait énormément pour moi.. et si……….
A suivre
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