Première nuit au Château de Gui ( V)
Récit érotique écrit par Lisa-Al [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 16 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.1 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Lisa-Al ont reçu un total de 56 987 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 3 698 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Première nuit au Château de Gui ( V)
Je suis écartelée, poignets et chevilles entravées, en croix, nue hormis mes bas et mes escarpins. Je vois mon reflet dans tous les miroirs qui tapissent les murs de cette pièce, de ce donjon. Pour une fois, je trouve que mon image est sexy et excitante. Mon dos, mes reins, mes fesses et le haut de mes cuisses me cuisent encore après la flagellation que m’a octroyée Iris. Je n’ai pas eu d’orgasme mais j’en étais assez proche. Gui m’a totalement déstabilisée, je suis passée par la peur, l’incompréhension. Toutes ces étapes ont fait grimper mon excitation. Je crois que c’est la première fois où je me sens véritablement esclave. Iris n’est pas fautive, comme moi elle est novice dans ces jeux, et nos hôtes sont des spécialistes. Ils vont partager leur savoir et nous apprendre.
Gui tourne autour de moi, il caresse ma peau, mes cheveux. Il vient même prendre un baiser à ma bouche.
Tu es très belle Lisa, vraiment superbe. As-tu envie de jouir?
Oh Oui Maître!!
Ta petite copine Iris a-t-elle déjà réussi à te faire jouir sans te toucher?
Non Maître, jamais.
Iris ma jolie, regarde bien et retiens. Il faut déjà qu’elle soit vraiment excitée. Lisa tu acceptes même si je te fais vraiment mal?
Oui Maître ce que vous voulez j’accepte.
Ok, serre les dents petite !
Il a la cravache dans une main, le martinet dans l’autre. Il promène le cuir de la cravache sur ma peau, tapote mon ventre, puis sous mes seins, mes tétons, les agace avec le bout de la cravache. Il promène la cravache sur la joue, sur ma bouche, d’instinct j'ouvre la bouche et il glisse le cuir sur ma langue. Il passe entre mes cuisses le manque tressé, le fait s’insinuer entre les lèvres de ma chatte, un mouvement d’avant en arrière, met le feu à mon sexe, je suis le mouvement, il arrête son va et viens, c’est moi qui me frotte contre le tressage. J'écarte le plus possible, mes cuisses ouvrant au maximum mon con mouillé. J’ai le souffle court.
Soudain le martinet s'abat sur mes seins, les lanières semblent me cisailler la peau. Je crie, je hurle plutôt, la douleur est intense. Pas le temps de respirer un second coup aussi fort me fait ruer dans mes chaînes. Ma tendre Iris etait bien incapable de frapper aussi fort. Les coups m’ont porté au cœur, comme si celui-ci s'était soudain arrêté. Malgré la douleur je cherche a faire frotter les cuisses l’une contre l’autre ce qui calmerais l’embrasement de mon sexe. Mon excitation monte en flèche, mes reins oscillent, mon ventre se creuse, propulsant mon pubis en avant, et je tremble. Gui est passé derrière moi, il flagelle mon dos, mes reins. La cravache mords mes fesses et me tire une hululement puissant. A nouveau il place le manche entre mes cuisses. Sans vergogne je gémis et me met à me frotter sur l’osier tressé. Cette fois je sens distinctement mon sexe couler sur cette fine tige.
Oui Maître c’est bon, c’est bon.. Encore s’il vous plaît.!
Oh mais elle aime çà cette esclave, tu veux quoi? que je te frappe encore?
Ohh oui Maître, cognez moi fort!!
J’ai simplement avoué ce que je désirais au fond de moi, les sensations qui naissent de la douleur sont tellement excitantes. J’ai a peine fini de le dire, que les coupes recommencent, cette fois le martinet frappe les flancs à droite, à gauche. Les lanières sont longues et le bout vient frapper mes seins, la vitesse du coup est augmentée car elle s’enroulent autour de moi. C’est intenable, pourtant je m’entends comme dans un rêve réclamer de plus et plus fort. Gui accède à ma requête les coups suivants me font hurler de douleur. Puis revient la cravache sur mes fesses, sur mes cuisses. Dans le miroir le plus proche, je vois ma peau striée de rouge, le côté de mes seins est marqué de tas de traces rouges là où les lanières viennent mourir. Gui reprend le martinet, et il frappe mon dos un instant, puis reviens sur mes flancs, engageant encore plus les lanières sous mon bras, les coups englobent la totalité de mes seins, les tétons ne sont pas épargnés, et mes cris sont éloquents. Iris à la bouche grande ouverte, les mains devant comme horrifiée par ce spectacle. Marie la tient son bras passé autour de ses épaules. Eve de son côté la tient par la taille. Je n’ai pas vu mais je crois qu’Iris a tenté de venir à mon secours. Mais je n’ai pas besoin de secours. Mon cœur bat la chamade, mais je sens gronder, enfler dans mes entrailles une force que je n’avais jamais ressenti à ce point. Mon bassin rouler d’avant en arrière, secoué de spasmes. Je sens la mouille qui coule le long de mes cuisses. Je me casse en deux, la motte en avant agitée de tremblements puissants. J’ai du mal à aspirer l’air, mon corps se couvre d’une fine sueur qui entre mes seins sous mes aisselles condense en fin ruisseaux. Gui toujours derrière moi, donne plusieurs coups de martinet entre mes cuisses. Je me tétanise presque, pubis lancé en avant, je crie, je sens monter en moi un orgasme vertigineux. Gui lâche le fouet et se met devant moi, il passe sa main entre mes cuisses. Ce contact déclenche presque un orgasme.
Tu ruisselle ma belle, veux tu jouir maintenant?
In capable de répondre, je hoche la tête avant de la rejeter en arrière les yeux mis clos. La main de Gui s’abat sur mon sein gauche, l’autre sur le droit alternativement. Mon bassin suis le rythme,à chaque coup je lance mon sexe en avant, un instant je reste tremblante le sexe agité de spasmes. Puis mon bassin repart en arrière, pour revenir dès que le coup meurtri mon sein. Gui accélère, les coups se succèdent, je donne des coups de reins en cadence, de temps en temps il passe sa main entre mes cuisses, ses doigts s’agitent dans ma fente. Mais jamais il ne me masturbe, non il frappe et prend la température de mon sexe. Moi je suis dans une sorte de brouillard, je ne vois plus rien je ressens les coups, mes seins sont brûlants, durs tendus, mes tétons sont dressés comme jamais. Je suis totalement tendue vers l’orgasme. Je ne sais plus depuis combien de temps on me frappe, mon corps est un tambour. Quelques coups très forts semblent faire éclater mes seins, mon bassin reste bloqué en avant, un éblouissement, un éclair blanc traverse mon cerveau et je hurles comme une damnée quand explose mon orgasme, jamais je n’avais connu une telle chose, une telle puissance. Je sens que je me relâche totalement, un long jet est expulsé de mon sexe. Gui avec ses doigts, me masturbe violemment. Un second orgasme presque aussi violent que le premier me submerge, comme il ne stoppe pas, un troisième suit. Je m’affaisse dans mes chaînes je ne tiens plus debout, pendue par les poignets, par deux fois encore je ressens des sortes de répliques, petits orgasmes résiduels. A cet instant tout est trouble, avant d’être noir. Je perds connaissance un instant.
Du néant ou je suis , une odeur me ramène à la conscience, c’est l’odeur d’Iris, qui est a me supporter le temps que Gui détache les poignets et ne me soulève comme une plume pour me porter sur le grand lit. Allongée je reprends mes esprits, je suis parcourue encore de frissons de plaisir. Je m’accroche au cou de Gui, l’attire à moi et l’embrasse avec la fougue qu’il me reste. Et je lui murmure :Oh c’était trop bon trop bon vraiment.
Marie me caresse le front, doucement et souriante me dit :Dis donc ma belle quand tu te donnes c’est à fond, je vois que toi aussi tu aimes ce jeu. Et mon Gui est très doué pour ça. Tu n'as pas trop mal?
Je suis cuite de partout, ça me brûle encore toute la peau. J’ai mal aux seins.
Mon ange, mon ange, tu est folle tu aurais du dire le mot!! J’ai voulu arrêter tout, Marie m’a retenue.
Elle à eu raison, j’avais jamais connu çà ma chérie.
Je suis moins douée bien sûr dit Iris en se renfrognant.
Non chérie, on a moins d’expérience c’est tout. Avec Gui tu vas apprendre ma chérie. Viens fait moi un câlin.
Iris s’allonge près de moi et m'enlace tandis qu'à côté de nous Gui reçoit une récompense bien gagnée par Eve et Marie qui sont en train de sucer sa queue terriblement gonflée.
- La prochaine fois dit Gui ce sera à toi de me faire plaisir comme çà, pour le moment récupère ma jolie tu a été géniale.
A suivre.
Gui tourne autour de moi, il caresse ma peau, mes cheveux. Il vient même prendre un baiser à ma bouche.
Tu es très belle Lisa, vraiment superbe. As-tu envie de jouir?
Oh Oui Maître!!
Ta petite copine Iris a-t-elle déjà réussi à te faire jouir sans te toucher?
Non Maître, jamais.
Iris ma jolie, regarde bien et retiens. Il faut déjà qu’elle soit vraiment excitée. Lisa tu acceptes même si je te fais vraiment mal?
Oui Maître ce que vous voulez j’accepte.
Ok, serre les dents petite !
Il a la cravache dans une main, le martinet dans l’autre. Il promène le cuir de la cravache sur ma peau, tapote mon ventre, puis sous mes seins, mes tétons, les agace avec le bout de la cravache. Il promène la cravache sur la joue, sur ma bouche, d’instinct j'ouvre la bouche et il glisse le cuir sur ma langue. Il passe entre mes cuisses le manque tressé, le fait s’insinuer entre les lèvres de ma chatte, un mouvement d’avant en arrière, met le feu à mon sexe, je suis le mouvement, il arrête son va et viens, c’est moi qui me frotte contre le tressage. J'écarte le plus possible, mes cuisses ouvrant au maximum mon con mouillé. J’ai le souffle court.
Soudain le martinet s'abat sur mes seins, les lanières semblent me cisailler la peau. Je crie, je hurle plutôt, la douleur est intense. Pas le temps de respirer un second coup aussi fort me fait ruer dans mes chaînes. Ma tendre Iris etait bien incapable de frapper aussi fort. Les coups m’ont porté au cœur, comme si celui-ci s'était soudain arrêté. Malgré la douleur je cherche a faire frotter les cuisses l’une contre l’autre ce qui calmerais l’embrasement de mon sexe. Mon excitation monte en flèche, mes reins oscillent, mon ventre se creuse, propulsant mon pubis en avant, et je tremble. Gui est passé derrière moi, il flagelle mon dos, mes reins. La cravache mords mes fesses et me tire une hululement puissant. A nouveau il place le manche entre mes cuisses. Sans vergogne je gémis et me met à me frotter sur l’osier tressé. Cette fois je sens distinctement mon sexe couler sur cette fine tige.
Oui Maître c’est bon, c’est bon.. Encore s’il vous plaît.!
Oh mais elle aime çà cette esclave, tu veux quoi? que je te frappe encore?
Ohh oui Maître, cognez moi fort!!
J’ai simplement avoué ce que je désirais au fond de moi, les sensations qui naissent de la douleur sont tellement excitantes. J’ai a peine fini de le dire, que les coupes recommencent, cette fois le martinet frappe les flancs à droite, à gauche. Les lanières sont longues et le bout vient frapper mes seins, la vitesse du coup est augmentée car elle s’enroulent autour de moi. C’est intenable, pourtant je m’entends comme dans un rêve réclamer de plus et plus fort. Gui accède à ma requête les coups suivants me font hurler de douleur. Puis revient la cravache sur mes fesses, sur mes cuisses. Dans le miroir le plus proche, je vois ma peau striée de rouge, le côté de mes seins est marqué de tas de traces rouges là où les lanières viennent mourir. Gui reprend le martinet, et il frappe mon dos un instant, puis reviens sur mes flancs, engageant encore plus les lanières sous mon bras, les coups englobent la totalité de mes seins, les tétons ne sont pas épargnés, et mes cris sont éloquents. Iris à la bouche grande ouverte, les mains devant comme horrifiée par ce spectacle. Marie la tient son bras passé autour de ses épaules. Eve de son côté la tient par la taille. Je n’ai pas vu mais je crois qu’Iris a tenté de venir à mon secours. Mais je n’ai pas besoin de secours. Mon cœur bat la chamade, mais je sens gronder, enfler dans mes entrailles une force que je n’avais jamais ressenti à ce point. Mon bassin rouler d’avant en arrière, secoué de spasmes. Je sens la mouille qui coule le long de mes cuisses. Je me casse en deux, la motte en avant agitée de tremblements puissants. J’ai du mal à aspirer l’air, mon corps se couvre d’une fine sueur qui entre mes seins sous mes aisselles condense en fin ruisseaux. Gui toujours derrière moi, donne plusieurs coups de martinet entre mes cuisses. Je me tétanise presque, pubis lancé en avant, je crie, je sens monter en moi un orgasme vertigineux. Gui lâche le fouet et se met devant moi, il passe sa main entre mes cuisses. Ce contact déclenche presque un orgasme.
Tu ruisselle ma belle, veux tu jouir maintenant?
In capable de répondre, je hoche la tête avant de la rejeter en arrière les yeux mis clos. La main de Gui s’abat sur mon sein gauche, l’autre sur le droit alternativement. Mon bassin suis le rythme,à chaque coup je lance mon sexe en avant, un instant je reste tremblante le sexe agité de spasmes. Puis mon bassin repart en arrière, pour revenir dès que le coup meurtri mon sein. Gui accélère, les coups se succèdent, je donne des coups de reins en cadence, de temps en temps il passe sa main entre mes cuisses, ses doigts s’agitent dans ma fente. Mais jamais il ne me masturbe, non il frappe et prend la température de mon sexe. Moi je suis dans une sorte de brouillard, je ne vois plus rien je ressens les coups, mes seins sont brûlants, durs tendus, mes tétons sont dressés comme jamais. Je suis totalement tendue vers l’orgasme. Je ne sais plus depuis combien de temps on me frappe, mon corps est un tambour. Quelques coups très forts semblent faire éclater mes seins, mon bassin reste bloqué en avant, un éblouissement, un éclair blanc traverse mon cerveau et je hurles comme une damnée quand explose mon orgasme, jamais je n’avais connu une telle chose, une telle puissance. Je sens que je me relâche totalement, un long jet est expulsé de mon sexe. Gui avec ses doigts, me masturbe violemment. Un second orgasme presque aussi violent que le premier me submerge, comme il ne stoppe pas, un troisième suit. Je m’affaisse dans mes chaînes je ne tiens plus debout, pendue par les poignets, par deux fois encore je ressens des sortes de répliques, petits orgasmes résiduels. A cet instant tout est trouble, avant d’être noir. Je perds connaissance un instant.
Du néant ou je suis , une odeur me ramène à la conscience, c’est l’odeur d’Iris, qui est a me supporter le temps que Gui détache les poignets et ne me soulève comme une plume pour me porter sur le grand lit. Allongée je reprends mes esprits, je suis parcourue encore de frissons de plaisir. Je m’accroche au cou de Gui, l’attire à moi et l’embrasse avec la fougue qu’il me reste. Et je lui murmure :Oh c’était trop bon trop bon vraiment.
Marie me caresse le front, doucement et souriante me dit :Dis donc ma belle quand tu te donnes c’est à fond, je vois que toi aussi tu aimes ce jeu. Et mon Gui est très doué pour ça. Tu n'as pas trop mal?
Je suis cuite de partout, ça me brûle encore toute la peau. J’ai mal aux seins.
Mon ange, mon ange, tu est folle tu aurais du dire le mot!! J’ai voulu arrêter tout, Marie m’a retenue.
Elle à eu raison, j’avais jamais connu çà ma chérie.
Je suis moins douée bien sûr dit Iris en se renfrognant.
Non chérie, on a moins d’expérience c’est tout. Avec Gui tu vas apprendre ma chérie. Viens fait moi un câlin.
Iris s’allonge près de moi et m'enlace tandis qu'à côté de nous Gui reçoit une récompense bien gagnée par Eve et Marie qui sont en train de sucer sa queue terriblement gonflée.
- La prochaine fois dit Gui ce sera à toi de me faire plaisir comme çà, pour le moment récupère ma jolie tu a été géniale.
A suivre.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Lisa-Al
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...