Première nuit au Château de Gui ( III)
Récit érotique écrit par Lisa-Al [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-12-2021 dans la catégorie Plus on est
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Première nuit au Château de Gui ( III)
III
Tous les cinq allongés sur le grand lit, nous étions en train de souffler un peu après la débauche d’énergie récente. Jusqu’à cet instant Eve n’avait eu qu’un peu d’attention de ma part, hors c’était elle qui m’avait attirée ici.
A mon cou pendait la chaine avec la clef de la cage qui emprisonait le sexe de la belle trans. Je retirais la chaîne de mon cou, approchait de la petite Eve, son regard se posa sur la clef, son visage s'illuminait d’un coup. Elle avait vécu ces dernières heures, avec un peu de plaisir bien sûr, mais elle attendait plus de moi. Elle m’entourait de ses bras, posait ses lèvres sur les miennes, sa langue prit possession de ma bouche, profondément, ses mains caressaient mon corps, s’attardaient sur mes seins, agaçaient les tétons déjà tendus. Puis glissaient entre mes cuisses, ses doigts jouant avec ma fente toute humide. J’adorais sentir les petits doigts un peu froids, dans la chaleur moite de mon sexe. Elle ressortait ses doigts trempés, me les faisait lécher puis les léchait. Elle refit ce petit manège plusieurs fois. Son petit sexe était plié dans sa cage, elle était toujours en erection. J’ouvrais le cadenas, retirait précautionneusement la cage pour ne pas la blesser tant elle comprimait son sexe certes de petite taille, mais d’une vigueur peu commune. Le grand soupir de soulagement en disait long sur la contrainte qu’elle s’imposait elle-même puisqu’elle était à l’origine de cet encagement journalier.
A peine libéré son sexe c’était plaqué contre son pubis, trempé du haut en bas, il brillait sous la lumiére vive de la piéce. Je l'invite à s’allonger. Sa main cherche la mienne, elle m’atire vers elle, je caresse cette petite femme, ses petits seins pointus, montent et descendent au rythme d’une respiration hachée. C’est son excitation qui parle. Pour preuve, a peine libéré depuis quelques instants son sexe coule doucement sur son ventre.
Regarde comme tu mouilles ma chérie. Tu veux que je m’occupe de toi?
Oh oui , oui Lisa, je suis toute à toi. tout ce que tu veux.
Je me penche sur son visage, mes lèvres contre ses lèvres, ma langue dessine sa bouche, descend dans son cou, puis entre ses seins après un détour par le mamelon que je prends dans ma bouche, le suçote, le mordille. Eve est tremblante, elle ondule sous mes caresses. Mon ventre se crispe, elle m’excite cette petite femelle si particulière. Ma langue glisse entre ses seins, je goûte sa peau, un peu salée par sa sueur. J’agace son nombril, les mains de Ève sont dans ma chevelure qu’elle caresse amoureusement. Toujours plus bas ma bouche, glisse sur le petit ventre, descend dans son aisne, et remonte vers l’objet de mon désir ce sexe tendu qui palpite et dégorge continuellement sa liqueur de plaisir en une petit flaque sous le gland décaloté. Ma bouche s’empare de ses couilles, j’aspire dans ma bouche une des petites olives, puis l’autre puis tout ce petit paquet. Les hanches de Eve roulent, chaloupant tandis qu’elle gémit comme un petit animal pris au piège. Un regard, son visage est extatique, sa bouche entrouverte est tremblante, sa langue va et vient sur ses lèvres. Ses mains se crispent dans mes cheveux. Son souffle est de plus en plus court. Moi même je me sens prise de frissons, nos corps entrent en résonance. Ma bouche lache ses couilles, ma langue remonte le long de sa queue, elle tremble de plus en plus au fur et à mesure de ma remontée le long de son sexe. Mon doigt décolle son sexe de son ventre, un long fil translucide nait et relie le sommet de son gland à son ventre. Ma bouche brise ce fil et s’empare du sexe l’avale totalement mes lévres contre son pubis. Eve comme si un ressort la faisait se dresser. pousse un cri et se retrouve assise.
Oh ouiiiiiiii c’est bon !!!! cries t-elle
Je sens son sexe s’affoler dans ma bouche, il palpite, saute comme si il se débattait. Ses mains plaquent ma tête contre son bas ventre comme pour m’obliger à la prendre plus loin.
Autour de nous, Gui et Marie nous observent en se caressant mutuellement. Iris m’a rejoint, et elle pousse doucement Eve en arrière pour qu’elle s’allonge. Iris embrasse la petite. Mon cœur bondit, mon ange entre dans notre jeu, de bonne grâce, j’en suis tellement heureuse. Malgré tout une minuscule pointe de jalousie, ce baiser est extrêmement intime et langoureux. Jamais je n’ai vu Iris embrasser comme ça une de nos amies. Je ne vais pas être jalouse quand même. Mais cette réaction humaine me fait sentir combien je tiens à Iris, combien elle est la femme de ma vie.
Dans mes doigts, le sexe dur et vraiment ruisselant de Eve, jamais je n’ai vu un sexe mouiller autant, le gland et la tige sont totalement trempés, çà coule le long des petites couilles qui se contractent quand je pose mes lévres dessus. Eve est d’une sensibilité incroyable, chaque caresse lui tire un gémissement, un frisson, un tremblement. Elle s’offre a moi et Iris, dans une totale impudicité, cherchant nos caresses, exposant tous ces appâts.
Je lèche son anus, qui est dans son aspect plus une chatte, ovale qu’un anus rond. On voit que la belle est friande de pénétrations de belle taille. D’ailleurs mes 3 doigts en faisceau pénètrent en elle avec une déconcertante facilité. Ma bouche va et vient sur le sexe tendu, et j’investis lentement son anus offert, sa chatte anus devrais je dire. Rapidement c’est ma main qui se loge en elle sans qu’elle ai montré le moindre signe de douleur, elle se cambre, s’offre totalement. Sa main agrippe mon avant bras et comme si il était un gode, l’invite à entrer plus profondément en elle. Elle est agitée de spasmes internes qui massent ma main. Je joue à son jeu, je m'enfonce toujours plus loin en elle. Iris à posé son sexe sur la bouche de Eve et se fait lécher de belle maniére.
Vous êtes belles mes chéries dit Gui, magnifiques petites cochonnes.
Il émet un grognement de satisfaction, un coup d’oeil vers Marie et lui, je la vois suçant la grosse queue de nôtre hôte avec une science consommée., ses cuisses largement écartées, nous laissant voir le rose nacré de sa chatte et le rose des anneaux qui la percent.
Une scène orgiaque, qu’on pense ne jamais voir, pour ma part je ne me lasse pas de ces instants qui mériteraient des tableaux. Les visages reflètent le plaisir pur, la jouissance, il ne manque que l’odeur. Je suis sensible aux parfums aux odeurs, et celle des corps en train de forniquer, est particulière, j’aime ce mélange subtil et aphrodisiaque ou se mêlent à la fois la sueur, les sucs que sécrètent nos corps, celle du sperme, sans oublier nos parfums, Chanel 5 pour Iris, Dior J’adore pour moi et Marie, et une douce odeur musquée pour Gui.
Iris gémit sous les coups de langues de Eve, qui se tortille alors que me main l’envahit, c’est incroyable comment elle accueille mon poing et mon avant bras., De ma main gauche je caresse la bosse que produit sur son ventre ma main droite qui la sodomise profondément. Parfois je rencontre la main de Eve qui elle aussi caresse ce ventre qui se déforme sous la pénétration. Elle me dira plus tard combien elle est excitée, par la vision de ce mouvement dans son corps. Le sexe de Eve palpite et saute sous mes coups de langue.
Soudain Eve pousse un grand cri tandis que se déverse dans ma bouche sa liqueur transparente et fluide qu’est devenu son sperme. Alors que je suis toujours en elle, Gui me fait signe de me retirer rapidement. Il me dit peu après qu’il avait fait l’erreur de rester trop longtemps en elle après son orgasme, et qu’il a eu bien des peines à dégager sa main sans la faire trop souffrir. Pour le moment j’ai la bouche pleine de la jouissance de Eve, je remonte vers sa tête et je laisse couler le liquide entre ses lèvres entrouvertes, Eve prend mon cou et m’embrasse langoureusement. Iris me regarde, elle a envie de m’embrasser aussi mais mes lèvres trempées de jus de Eve la retiennent un instant mais on finit par s'embrasser goulument, un baiser que Eve vient aussitôt partager avec elle et moi.
Iris à les prunelles brillantes, la lèvre frémissante.
Veux-tu m'obéir mon ange, devant tout le monde ? Dit-elle d’une voix forte.
Un frisson me parcourt l’échine, je regarde autour de moi, Tous attendent ma réponse. Gui, Marie, Eve et Iris ont leurs yeux inquisiteurs qui attendent mon assentiment. Bien sûr que j’ai envie d’être obéissante.
Oui Chérie, je suis à toi, je suis à vous tous. Dis-je
A Suivre
Tous les cinq allongés sur le grand lit, nous étions en train de souffler un peu après la débauche d’énergie récente. Jusqu’à cet instant Eve n’avait eu qu’un peu d’attention de ma part, hors c’était elle qui m’avait attirée ici.
A mon cou pendait la chaine avec la clef de la cage qui emprisonait le sexe de la belle trans. Je retirais la chaîne de mon cou, approchait de la petite Eve, son regard se posa sur la clef, son visage s'illuminait d’un coup. Elle avait vécu ces dernières heures, avec un peu de plaisir bien sûr, mais elle attendait plus de moi. Elle m’entourait de ses bras, posait ses lèvres sur les miennes, sa langue prit possession de ma bouche, profondément, ses mains caressaient mon corps, s’attardaient sur mes seins, agaçaient les tétons déjà tendus. Puis glissaient entre mes cuisses, ses doigts jouant avec ma fente toute humide. J’adorais sentir les petits doigts un peu froids, dans la chaleur moite de mon sexe. Elle ressortait ses doigts trempés, me les faisait lécher puis les léchait. Elle refit ce petit manège plusieurs fois. Son petit sexe était plié dans sa cage, elle était toujours en erection. J’ouvrais le cadenas, retirait précautionneusement la cage pour ne pas la blesser tant elle comprimait son sexe certes de petite taille, mais d’une vigueur peu commune. Le grand soupir de soulagement en disait long sur la contrainte qu’elle s’imposait elle-même puisqu’elle était à l’origine de cet encagement journalier.
A peine libéré son sexe c’était plaqué contre son pubis, trempé du haut en bas, il brillait sous la lumiére vive de la piéce. Je l'invite à s’allonger. Sa main cherche la mienne, elle m’atire vers elle, je caresse cette petite femme, ses petits seins pointus, montent et descendent au rythme d’une respiration hachée. C’est son excitation qui parle. Pour preuve, a peine libéré depuis quelques instants son sexe coule doucement sur son ventre.
Regarde comme tu mouilles ma chérie. Tu veux que je m’occupe de toi?
Oh oui , oui Lisa, je suis toute à toi. tout ce que tu veux.
Je me penche sur son visage, mes lèvres contre ses lèvres, ma langue dessine sa bouche, descend dans son cou, puis entre ses seins après un détour par le mamelon que je prends dans ma bouche, le suçote, le mordille. Eve est tremblante, elle ondule sous mes caresses. Mon ventre se crispe, elle m’excite cette petite femelle si particulière. Ma langue glisse entre ses seins, je goûte sa peau, un peu salée par sa sueur. J’agace son nombril, les mains de Ève sont dans ma chevelure qu’elle caresse amoureusement. Toujours plus bas ma bouche, glisse sur le petit ventre, descend dans son aisne, et remonte vers l’objet de mon désir ce sexe tendu qui palpite et dégorge continuellement sa liqueur de plaisir en une petit flaque sous le gland décaloté. Ma bouche s’empare de ses couilles, j’aspire dans ma bouche une des petites olives, puis l’autre puis tout ce petit paquet. Les hanches de Eve roulent, chaloupant tandis qu’elle gémit comme un petit animal pris au piège. Un regard, son visage est extatique, sa bouche entrouverte est tremblante, sa langue va et vient sur ses lèvres. Ses mains se crispent dans mes cheveux. Son souffle est de plus en plus court. Moi même je me sens prise de frissons, nos corps entrent en résonance. Ma bouche lache ses couilles, ma langue remonte le long de sa queue, elle tremble de plus en plus au fur et à mesure de ma remontée le long de son sexe. Mon doigt décolle son sexe de son ventre, un long fil translucide nait et relie le sommet de son gland à son ventre. Ma bouche brise ce fil et s’empare du sexe l’avale totalement mes lévres contre son pubis. Eve comme si un ressort la faisait se dresser. pousse un cri et se retrouve assise.
Oh ouiiiiiiii c’est bon !!!! cries t-elle
Je sens son sexe s’affoler dans ma bouche, il palpite, saute comme si il se débattait. Ses mains plaquent ma tête contre son bas ventre comme pour m’obliger à la prendre plus loin.
Autour de nous, Gui et Marie nous observent en se caressant mutuellement. Iris m’a rejoint, et elle pousse doucement Eve en arrière pour qu’elle s’allonge. Iris embrasse la petite. Mon cœur bondit, mon ange entre dans notre jeu, de bonne grâce, j’en suis tellement heureuse. Malgré tout une minuscule pointe de jalousie, ce baiser est extrêmement intime et langoureux. Jamais je n’ai vu Iris embrasser comme ça une de nos amies. Je ne vais pas être jalouse quand même. Mais cette réaction humaine me fait sentir combien je tiens à Iris, combien elle est la femme de ma vie.
Dans mes doigts, le sexe dur et vraiment ruisselant de Eve, jamais je n’ai vu un sexe mouiller autant, le gland et la tige sont totalement trempés, çà coule le long des petites couilles qui se contractent quand je pose mes lévres dessus. Eve est d’une sensibilité incroyable, chaque caresse lui tire un gémissement, un frisson, un tremblement. Elle s’offre a moi et Iris, dans une totale impudicité, cherchant nos caresses, exposant tous ces appâts.
Je lèche son anus, qui est dans son aspect plus une chatte, ovale qu’un anus rond. On voit que la belle est friande de pénétrations de belle taille. D’ailleurs mes 3 doigts en faisceau pénètrent en elle avec une déconcertante facilité. Ma bouche va et vient sur le sexe tendu, et j’investis lentement son anus offert, sa chatte anus devrais je dire. Rapidement c’est ma main qui se loge en elle sans qu’elle ai montré le moindre signe de douleur, elle se cambre, s’offre totalement. Sa main agrippe mon avant bras et comme si il était un gode, l’invite à entrer plus profondément en elle. Elle est agitée de spasmes internes qui massent ma main. Je joue à son jeu, je m'enfonce toujours plus loin en elle. Iris à posé son sexe sur la bouche de Eve et se fait lécher de belle maniére.
Vous êtes belles mes chéries dit Gui, magnifiques petites cochonnes.
Il émet un grognement de satisfaction, un coup d’oeil vers Marie et lui, je la vois suçant la grosse queue de nôtre hôte avec une science consommée., ses cuisses largement écartées, nous laissant voir le rose nacré de sa chatte et le rose des anneaux qui la percent.
Une scène orgiaque, qu’on pense ne jamais voir, pour ma part je ne me lasse pas de ces instants qui mériteraient des tableaux. Les visages reflètent le plaisir pur, la jouissance, il ne manque que l’odeur. Je suis sensible aux parfums aux odeurs, et celle des corps en train de forniquer, est particulière, j’aime ce mélange subtil et aphrodisiaque ou se mêlent à la fois la sueur, les sucs que sécrètent nos corps, celle du sperme, sans oublier nos parfums, Chanel 5 pour Iris, Dior J’adore pour moi et Marie, et une douce odeur musquée pour Gui.
Iris gémit sous les coups de langues de Eve, qui se tortille alors que me main l’envahit, c’est incroyable comment elle accueille mon poing et mon avant bras., De ma main gauche je caresse la bosse que produit sur son ventre ma main droite qui la sodomise profondément. Parfois je rencontre la main de Eve qui elle aussi caresse ce ventre qui se déforme sous la pénétration. Elle me dira plus tard combien elle est excitée, par la vision de ce mouvement dans son corps. Le sexe de Eve palpite et saute sous mes coups de langue.
Soudain Eve pousse un grand cri tandis que se déverse dans ma bouche sa liqueur transparente et fluide qu’est devenu son sperme. Alors que je suis toujours en elle, Gui me fait signe de me retirer rapidement. Il me dit peu après qu’il avait fait l’erreur de rester trop longtemps en elle après son orgasme, et qu’il a eu bien des peines à dégager sa main sans la faire trop souffrir. Pour le moment j’ai la bouche pleine de la jouissance de Eve, je remonte vers sa tête et je laisse couler le liquide entre ses lèvres entrouvertes, Eve prend mon cou et m’embrasse langoureusement. Iris me regarde, elle a envie de m’embrasser aussi mais mes lèvres trempées de jus de Eve la retiennent un instant mais on finit par s'embrasser goulument, un baiser que Eve vient aussitôt partager avec elle et moi.
Iris à les prunelles brillantes, la lèvre frémissante.
Veux-tu m'obéir mon ange, devant tout le monde ? Dit-elle d’une voix forte.
Un frisson me parcourt l’échine, je regarde autour de moi, Tous attendent ma réponse. Gui, Marie, Eve et Iris ont leurs yeux inquisiteurs qui attendent mon assentiment. Bien sûr que j’ai envie d’être obéissante.
Oui Chérie, je suis à toi, je suis à vous tous. Dis-je
A Suivre
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Lisa, j'ai été touché comme par le récit précédent. Vous avez tous les 5 pris un plaisir
d'une intensité que je vous envie et tellement bien décrit.
J'adore.
Bisous
Crabou
d'une intensité que je vous envie et tellement bien décrit.
J'adore.
Bisous
Crabou
Lisa,
Cette jolie expérience en vraiment excitante de part le côté vécue qui le rend plus intense
Thallium
Cette jolie expérience en vraiment excitante de part le côté vécue qui le rend plus intense
Thallium
Bonsoir Lisa,
Je te remercie pour ton histoire excitante que j'adore. Tu es vraiment dans ton domaine
ainsi que ta belle Iris. En lisant j'ai bandé. J'attends la suite avec impatience. Passes
de bonnes fêtes de fin d'année avec ta bien aimée Iris et avec plein de sexe.
A bientôt.
Daniel
Je te remercie pour ton histoire excitante que j'adore. Tu es vraiment dans ton domaine
ainsi que ta belle Iris. En lisant j'ai bandé. J'attends la suite avec impatience. Passes
de bonnes fêtes de fin d'année avec ta bien aimée Iris et avec plein de sexe.
A bientôt.
Daniel