Première nuit au Château de Gui ( IV)

- Par l'auteur HDS Lisa-Al -
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Récit libertin : Première nuit au Château de Gui ( IV) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Première nuit au Château de Gui ( IV)
Tous les cinqs allongés sur le grand lit, nous étions en train de souffler un peu après la débauche d’énergie récente. Jusqu’à cet instant Eve n’avait eu qu’un peu d’attention de ma part, hors c’était elle qui m’avait attirée ici.
A mon cou pendait la chaine avec la clef de la cage qui emprisonait le sexe de la belle trans. Je retirais la chaîne de mon cou, approchait de la petite Eve, son regard se posa sur la clef, son visage s'illuminait d’un coup. Elle avait vécu ces dernières heures, avec un peu de plaisir bien sûr, mais elle attendait plus de moi. Elle m’entourait de ses bras, posait ses lèvres sur les miennes, sa langue prit possession de ma bouche, profondément, ses mains caressaient mon corps, s’attardaient sur mes seins, agaçaient les tétons déjà tendus. Puis glissaient entre mes cuisses, ses doigts jouant avec ma fente toute humide. J’adorais sentir les petits doigts un peu froids, dans la chaleur moite de mon sexe. Elle ressortait ses doigts trempés, me les faisait lécher puis les léchait. Elle refit ce petit manège plusieurs fois. Son petit sexe était plié dans sa cage, elle était toujours en erection. J’ouvrais le cadenas, retirait précautionneusement la cage pour ne pas la blesser tant elle comprimait son sexe certes de petite taille, mais d’une vigueur peu commune. Le grand soupir de soulagement en disait long sur la contrainte qu’elle s’imposait elle-même puisqu’elle était à l’origine de cet encagement journalier.
A peine libéré son sexe c’était plaqué contre son pubis, trempé du haut en bas, il brillait sous la lumiére vive de la piéce. Je l'invite à s’allonger. Sa main cherche la mienne, elle m’atire vers elle, je caresse cette petite femme, ses petits seins pointus, montent et descendent au rythme d’une respiration hachée. C’est son excitation qui parle. Pour preuve, a peine libéré depuis quelques instants son sexe coule doucement sur son ventre.

Regarde comme tu mouilles ma chérie. Tu veux que je m’occupe de toi?
Oh oui , oui Lisa, je suis toute à toi. tout ce que tu veux.

Je me penche sur son visage, mes lèvres contre ses lèvres, ma langue dessine sa bouche, descend dans son cou, puis entre ses seins après un détour par le mamelon que je prends dans ma bouche, le suçote, le mordille. Eve est tremblante, elle ondule sous mes caresses. Mon ventre se crispe, elle m’excite cette petite femelle si particulière. Ma langue glisse entre ses seins, je goûte sa peau, un peu salée par sa sueur. J’agace son nombril, les mains de Ève sont dans ma chevelure qu’elle caresse amoureusement. Toujours plus bas ma bouche, glisse sur le petit ventre, descend dans son aisne, et remonte vers l’objet de mon désir ce sexe tendu qui palpite et dégorge continuellement sa liqueur de plaisir en une petit flaque sous le gland décaloté. Ma bouche s’empare de ses couilles, j’aspire dans ma bouche une des petites olives, puis l’autre puis tout ce petit paquet. Les hanches de Eve roulent, chaloupant tandis qu’elle gémit comme un petit animal pris au piège. Un regard, son visage est extatique, sa bouche entrouverte est tremblante, sa langue va et vient sur ses lèvres. Ses mains se crispent dans mes cheveux. Son souffle est de plus en plus court. Moi même je me sens prise de frissons, nos corps entrent en résonance. Ma bouche lache ses couilles, ma langue remonte le long de sa queue, elle tremble de plus en plus au fur et à mesure de ma remontée le long de son sexe. Mon doigt décolle son sexe de son ventre, un long fil translucide nait et relie le sommet de son gland à son ventre. Ma bouche brise ce fil et s’empare du sexe l’avale totalement mes lévres contre son pubis. Eve comme si un ressort la faisait se dresser. pousse un cri et se retrouve assise.

Oh ouiiiiiiii c’est bon !!!! cries t-elle
Je sens son sexe s’affoler dans ma bouche, il palpite, saute comme si il se débattait. Ses mains plaquent ma tête contre son bas ventre comme pour m’obliger à la prendre plus loin.
Autour de nous, Gui et Marie nous observent en se caressant mutuellement. Iris m’a rejoint, et elle pousse doucement Eve en arrière pour qu’elle s’allonge. Iris embrasse la petite. Mon cœur bondit, mon ange entre dans notre jeu, de bonne grâce, j’en suis tellement heureuse. Malgré tout une minuscule pointe de jalousie, ce baiser est extrêmement intime et langoureux. Jamais je n’ai vu Iris embrasser comme ça une de nos amies. Je ne vais pas être jalouse quand même. Mais cette réaction humaine me fait sentir combien je tiens à Iris, combien elle est la femme de ma vie.
Dans mes doigts, le sexe dur et vraiment ruisselant de Eve, jamais je n’ai vu un sexe mouiller autant, le gland et la tige sont totalement trempés, çà coule le long des petites couilles qui se contractent quand je pose mes lévres dessus. Eve est d’une sensibilité incroyable, chaque caresse lui tire un gémissement, un frisson, un tremblement. Elle s’offre a moi et Iris, dans une totale impudicité, cherchant nos caresses, exposant tous ces appâts.
Je lèche son anus, qui est dans son aspect plus une chatte, ovale qu’un anus rond. On voit que la belle est friande de pénétrations de belle taille. D’ailleurs mes 3 doigts en faisceau pénètrent en elle avec une déconcertante facilité. Ma bouche va et vient sur le sexe tendu, et j’investis lentement son anus offert, sa chatte anus devrais je dire. Rapidement c’est ma main qui se loge en elle sans qu’elle ai montré le moindre signe de douleur, elle se cambre, s’offre totalement. Sa main agrippe mon avant bras et comme si il était un gode, l’invite à entrer plus profondément en elle. Elle est agitée de spasmes internes qui massent ma main. Je joue à son jeu, je m'enfonce toujours plus loin en elle. Iris à posé son sexe sur la bouche de Eve et se fait lécher de belle maniére.

Vous êtes belles mes chéries dit Gui, magnifiques petites cochonnes.

Il émet un grognement de satisfaction, un coup d’oeil vers Marie et lui, je la vois suçant la grosse queue de nôtre hôte avec une science consommée., ses cuisses largement écartées, nous laissant voir le rose nacré de sa chatte et le rose des anneaux qui la percent.
Une scène orgiaque, qu’on pense ne jamais voir, pour ma part je ne me lasse pas de ces instants qui mériteraient des tableaux. Les visages reflètent le plaisir pur, la jouissance, il ne manque que l’odeur. Je suis sensible aux parfums aux odeurs, et celle des corps en train de forniquer, est particulière, j’aime ce mélange subtil et aphrodisiaque ou se mêlent à la fois la sueur, les sucs que sécrètent nos corps, celle du sperme, sans oublier nos parfums, Chanel 5 pour Iris, Dior J’adore pour moi et Marie, et une douce odeur musquée pour Gui.

Iris gémit sous les coups de langues de Eve, qui se tortille alors que me main l’envahit, c’est incroyable comment elle accueille mon poing et mon avant bras., De ma main gauche je caresse la bosse que produit sur son ventre ma main droite qui la sodomise profondément. Parfois je rencontre la main de Eve qui elle aussi caresse ce ventre qui se déforme sous la pénétration. Elle me dira plus tard combien elle est excitée, par la vision de ce mouvement dans son corps. Le sexe de Eve palpite et saute sous mes coups de langue.
Soudain Eve pousse un grand cri tandis que se déverse dans ma bouche sa liqueur transparente et fluide qu’est devenu son sperme. Alors que je suis toujours en elle, Gui me fait signe de me retirer rapidement. Il me dit peu après qu’il avait fait l’erreur de rester trop longtemps en elle après son orgasme, et qu’il a eu bien des peines à dégager sa main sans la faire trop souffrir. Pour le moment j’ai la bouche pleine de la jouissance de Eve, je remonte vers sa tête et je laisse couler le liquide entre ses lèvres entrouvertes, Eve prend mon cou et m’embrasse langoureusement. Iris me regarde, elle a envie de m’embrasser aussi mais mes lèvres trempées de jus de Eve la retiennent un instant mais on finit par s'embrasser goulument, un baiser que Eve vient aussitôt partager avec elle et moi.

Iris à les prunelles brillantes, la lèvre frémissante.

Veux-tu m'obéir mon ange, devant tout le monde ? Dit-elle d’une voix forte.
Un frisson me parcourt l’échine, je regarde autour de moi, Tous attendent ma réponse. Gui, Marie, Eve et Iris ont leurs yeux inquisiteurs qui attendent mon assentiment. Bien sûr que j’ai envie d’être obéissante.

Oui Chérie, je suis à toi, je suis à vous tous. Dis-je

Oh mes demoiselles, voilà une proposition alléchante, N’est ce pas MarieHmmm je dois dire que j’attendais çà avec impatience dit Marie en me mettant une claque sur les fesses.
Marie tiens toi!! dit Gui en mettant une jolie gifle sur les gros seins de Marie qui sembla apprécier ce traitement.

Gui se déplaça vers l’estrade sur laquelle reposait la croix de saint andré, ouvrant une grande armoire à double battant il dit ;
Ma chère Iris puisque tu es la maîtresse de cette ravissante petite chienne, voilà tous les ustensiles utiles pour lui inculquer les bonnes manières. Comment veux tu que nous procédions? Tour de rôle ou bien à l’inspiration.
C’est elle qui va nous le dire, déclara Iris en me pointant du doigt.
Je suis à vous tous, Iris, Gui, Marie, Eve ce que vous voudrez je l’accepte comme toujours mon safe word sera “Stephane”Quand elle le dira surtout stop ajouta Iris, cette petite salope, ne l’utilise qu'à la dernière limite.

Iris se dirigea vers l’armoire et en sortit un martinet, aux longues lanières et au manche clouté.
Du doigt elle pointa l’endroit où je devais être. devant la grande croix.

Regarde le mur, agenouille toi, mains sur ta nuque.
Je m'exécute, je monte les trois marches sous les yeux de mes spectateurs, la tension monte car je n’ai pas à ma disposition tout cet environnement. Les miroirs de part et d’autre de la croix me permettent de profiter de la vue de mes futurs tortionnaires, c’est excitant au possible.Je réfréne mon envie de me caresser. Iris, ne porte que ses escarpins et ses bas, mon coeur bat quand je la regarde, plus le temps passe plus je suis amoureuse, plus je suis encline à tout accepter, tout faire pour son plaisir. Elle le sait, n’en abuse pas et me protège surtout de moi même, de mes accès de “folie” de mon inconscience. Elle m’appelle mon Ange mais l’ange c’est elle, un ange mais doublé d’un démon. Ce soir je vois le démon en elle. Une fois encore j’ai été présomptueuse et imprudente. Accepter de me livrer à tous en même temps est une folie, en théorie. Mais j’ai confiance en nos nouveaux amis, ils ont la tête sur les épaules, et des années de pratique. Les novices ici sont Eve, Iris et moi.
Gui et Marie observent tous deux comment Iris va procéder, ils seront sans doute critiques et apporteront beaucoup dans ce domaine.
L'attente est l’un des moteurs des jeux de soumission. Agenouillée, mains sur la nuque, j'ai l’insigne avantage de voir Iris marcher de long en large dans mon dos, habituellement je ne la vois pas, c’est plus angoissant. Pourtant ma peur et mon excitation grimpent de façon vertigineuse.

Quand tu veux dit Gui à IrisElle le regarde et acquiesce d’un hochement de tête.
Tiens toi droite, ordonne Itis à mon intention.
Je m’étais laissée aller et en effet je n’avais pas la position parfaite. Iris lève le bras et abat le martinet sur mon dos, entre les omoplates, les lanières cinglent ma peau me tirant un petit cri, aussitôt un autre survient dans le mouvement circulaire du bras de ma maîtresse, plus fort et légèrement plus bas, il me fait me cambrer, ma peau commence à chauffer. Elle se déplace et un coup croisé sur le premier vient ajouter sa brûlure au premier coup. Dans les miroirs, je vois la petite Eve dont le clito est hors de sa cage, caresser son sexe, tendu en regardant ma punition, je remarque qu’elle sursaute à chaque coup donné. Je commence à bien la connaître, je sais qu’elle meurt d’envie d’être à ma place. Gui est derrière Marie, ses bras autour d’elle, il joue avec ses seins, tandis que la belle noire caresse sa chatte encore luisante. Iris passe de la droite à la gauche quand elle marche je vois ses doigts aller et venir sur son sexe. Mon dos est en feu, mes fesses également car Iris descend lentement. Comme je l'avais découvert avec Iris, mon excitation grimpe minute après minute, Je tremble, je sens mon sexe s’humidifier et palpiter simplement sous l’action combinée des coups et de ma position de soumission.

Bien Iris, bien vraiment dit Gui, beau travail, regarde Marie tu vois elle est bien striée.
Oui et toi bien dur, je te sens contre mes fesses! vieux cochon. tâte voir comme je suis mouillée.
J'écoute et regarde ce qui se passe, tout ici contribue à faire monter mon excitation. Iris qui sans cesse passe sa langue sur ses lèvres pour les mouiller, Gui et Marie qui sont bouillants tous les deux. Et je vois Eve se caresser le sese et les tétons, je suis excitée comme une folle.
Iris continue à fouetter mon dos, mes reins, mes fesses. Je dois commencer à être bien rouge et striée, j’aime énormément me voir meurtrie de cette façon, ma peau est brûlante et je commence à onduler, les coups semblent irradier dans tout mon être, chaque vibration est amplifiée et traverse ma peau, se répand dans mes organes. Chaque coup fait monter mon désir sur la crémaillère du plaisir.

Plus fort, s’il te plait !! c’est la seule chose que je puisse direAh tu en veux plus petite chienne dit Iris.
Iris, laisse-moi prendre le relais tu vas avoir la au bras, ma petite, dit Gui.
Si tu le veux, je pense que cette petite salope va apprécier n’est ce pas Lisa?
Oh oui, oui Gui vient me fouetter, j’ai envie.
La perspective d’avoir les mains de Gui pour me punir, m’excite. J’ai énormément aimé quand il m’a prise tout à l’heure, j’ai encore le souvenir des sensations que son gros sexe à fait naitre en moi. Il y avait longtemps qu’un homme ne m’avait touché. L’envie de me livrer à lui pour souffrir un peu me fait déjà mouiller par avance. Dans les miroirs je vois Iris tendre le martinet à Gui qui s’approche d’un signe de la main il refuse l’ustensile. Iris se recule à côté de Eve. Marie lui passe la main sur les fesses et semble la féliciter. Puis d’un signe elle l’invite à observer Gui qui s’approche de moi.
Je sens sa main qui caresse mon dos, elle est fraîche contre ma peau bouillante. Il me met sur les fesses une claque qui résonne dans la pièce. Je ne sais pas comment il fait mais cette claque seule m’a fait plus mal que les coups d’Iris.

Reste à genoux et fais moi face esclave.Ordonne t-ilOui répondis-je
Restant agenouillée, je pivote sur moi-même. Me voilà face à Gui, il n’est pas très grand, mais sa carrure et sa musculature le rendent impressionnant, ses bras musclés sont gros comme mes cuisses, son poitrail est large, pour un homme il a des tétons fort développés et si sensibles çà je l’ai expérimenté. Des abdominaux en tablette de chocolat, et là nu comme un ver, son sexe est gonflé, bandé noueux et plaqué contre son ventre, ses couilles semble lourdes. En le voyant je me met a désirer ce sexe qui me comblait tout à l’heure.

Alors petite Lisa, on veut être l’esclave de son Iris? l’esclave de tous ici? Tu n'es pas très convaincante, ma belle. Tu est tout au plus une gamine qui fait sa pute, mais pas une esclave. Oh non.
Douche froide, Gui vient casser l'ambiance, Iris est interloquée, Marie et Eve ont le même petit sourire. Cela me met là puce à l’oreille, j’ai bien l’impression que nous allons avoir une bonne leçon.
Tu crois que tu peux être une vraie esclave?
Heuu Oui dis-jeTu me parles?? réponds à ma question j’entends rien.
Oui dis-je plus fort.
Gui attrape le bout de mon sein droit, il écrase mon téton entre son pouce et son index.Je ne sais pas comment il fait mais une pince est une rigolade à côté de cette prise.
Ohhh !!!! ohhh!!!!! aieeee !!!!!! je ne puis exprimer ma douleur.
Je n’ai toujours pas de réponse Lisa continue Gui en serrant plus fortJe ne sais que hurler de douleur et tenter de me soustraire à sa main. Impossible plus je me débats plus il serre, j’ai l’impression que mon téton va exploser.
Oui qui?? dit GuiJe n’ai pas le temps de réagir qu’il me met une gifle qui manque de me faire tomber en une seconde ma joue gauche est en feu . Je me met à trembler de tout mon corps, En face de moi je n’ai plus le Gui qui m’a baisée si bien. J’ai, des yeux sombres, un masque impénétrable, une mâchoire serrée. Derrière Marie et Eve semblent rire de moi, Iris se penche l’air inquiet vers Marie elles échangent quelques mots, je vois le visage d’Iris s’apaiser. Ma joue est en feu. Je suis sur le point de dire ça suffit, je ne joue plus. Gui se déplace va appuyer sur un bouton le long du mur, du plafond descendent deux chaînes avec des bracelets de cuir noir fixés au bout. Gui revient vers moi, mon cœur bat la chamade, je tremble à l’idée qu'il me pose encore une questions.
Alors Lisa, j’attends ta réponse..
Mais , j’ai répondu dis-je en balbutiant, les yeux baissés.
Iris tu n'as pas bien travaillé avec elle, tu mériterais d’être à sa place!! Dit Gui d’une voix de stentor.
Je suis trop apeurée, affolée pour oser parler, tiraillée entre mon désir de fuir, et celui de me livrer totalement aux caprices de Gui aux caprices du maître. Voilà !! j’ai compris!! idiote que je suis!!
Lisa? Je n’ai toujours pas ma réponse dit Gui , son nez contre le mien ou presque, ses yeux plantés dans les miens.
Oui, Maître dis je timidement une tape sur ma joue mais une tape toute douce.
Plus fort Lisa, plus fort! je suis vieux et sourdOui Maître dis-je criant presqueSon visage, c’est mué en celui du Gui que je connais, gentil, rieur et diablement attirant. Il caresse ma joue meurtrie du bout des doigts, sa main court sur mon corps, caresse un sein au passage, puis ses doigts se perdent entre mes cuisses. Il touche mon clitoris ce qui me fait sauter comme un cabri.
Hooo ma jolie, ça te fait de l’effet quand on te bouscule, tu es trempée regardeIl monte sa main à la hauteur de mon visage et me présente ses doigts couverts de nectar, filant et plein de petites bulles.
J’avance ma bouche pour aller lécher ses doigts, il les enfonce profondément jusqu'à ma gorge, j’ai un haut le cœur et ma salive coule en un long filet entre mes seins. il me regarde avec un sourire entendu et il lève un sourcil en guise de questionnement.
Merci Maître dis-je en baissant la tête.
C’est bien ma chérie, tu vois quand tu règles tout va bien. Tu sera même récompenséeDisant celà il passe sa main entre mes cuisses, et agace mon clitoris un instant. Je me tortillais et gémit intensément. Les sensations paraissent décuplées. Que c’est bon d’être sa chose.

Donne tes poignets, Gui verrouille mes poignets dans les bracelets.
Puis il ouvre une petite trappe sur le sol de l’estrade et en tire une chaîne également avec un bracelet, qu’il vient nouer à ma cheville. Puis de l’autre côté pour mon autre cheville. Il part le long du mur, un petit buzz de moteur se fait entendre les chaînes se tendent Et me montent comme une plume tandis que celle de mes chevilles écarte mes jambes. Gui me monte au dessus du sol, mes pieds ne sont plus par terre, tout le poids de mon corps est soutenu par mes deux poignets. J’ai la sensation que mes bras vont s’arracher.
Non ma chérie, tu es encore un peu trop novice pour ne pas rester au sol.
Merci Maître je prends le pli.
Si jamais je l'oublie, je suis certaine de recevoir une punition.
Je n’ai jamais été aussi offerte, mon excitation est totale, je n’ai qu’une hâte savoir ce que Gui va inventer. Vu les ustensiles dans ses mains je devrais prendre des coups sous peu. Il a sorti le martinet mais aussi une cravache longue.
Là tout près Marie, Iris et Eve se caressent en regardant Gui se préparer. Iris m’expédie un baiser aérien que je lui rends. Gui se retourne, et agitant son doigt vers Iris dit:
Toi ma belle, brune si tu continues tu sera la prochaine..

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