Étudiants... dévergondés (1ère partie)

Récit érotique écrit par Mysterious91 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Étudiants... dévergondés (1ère partie)
Je les regarde, ces deux coquins d'étudiants. Ils m'entourent. Je leur souris. L'un s'appelle Jimmy et c'est mon petit ami. L'autre, c'est Timéo et nous sommes amis. Nous sommes étudiants et nous appartenons à la même promotion.
Là ? Tous les trois, nous venons de nous envoyer en l'air... et les deux garçons viennent de jouir sur mes seins.
La journée à l'université a été harassante. De huit heures du matin à cinq heures de l'après-midi, nous n'avons pas chômé, entre les travaux dirigés (TD), les cours magistraux (CM) et le temps libre que nous avons sacrifié à la bibliothèque universitaire afin de pouvoir travailler et ainsi nous avancer de telle sorte que nous puissions nous délester de ça une fois rentrés chez nous. Le seul moment à nous que nous nous sommes accordés, ça a été lorsque nous sommes allés déjeuner à la cafétéria de la faculté de lettres et sciences humaines, Jimmy, Timéo et moi. Après une heure passée à manger et à discuter, nous avons repris le chemin des salles de cours et autres amphithéâtres.
Je ne cache pas le soulagement que j'ai ressenti lorsque le prof a annoncé la fin de son cours, lors du dernier TD de la journée, sur les coups de cinq heures de l'après-midi. Alors, comme libérée d'un poids, j'ai rangé mes affaires en toute quiétude et je suis sortie de la salle pour reprendre EN-FIN le libre cours de ma vie.
Quand nous sommes rentrés dans l'appartement où nous vivons, Jimmy et moi, je n'ai eu qu'une envie: me poser et faire abstraction de la journée qui venait de se passer. Les cours, les TD, les CM et les moments à la bibliothèque, c'est bien beau... Mais... Nous ne sommes pas des machines. Nous ne sommes pas des robots. Les cours, les études, c'est bien beau... Il y a d'autres choses qui font le sel de la vie. Et ce soir... Ne m'expliquez pas pourquoi... Je ne sais pas quelle mouche m'a piquée. Toujours est-il que j'étais posée sur le canapé de l'appart'. Je discutais avec Timéo, à qui nous avons proposé de jouer les prolongations et de passer la soirée avec nous.
Quand on s'est posés, ni une ni deux, le naturel de Jimmy est revenu au galop. Sérieux, appliqué, consciencieux jusqu'au bout des ongles, il a eu le nez plongé dans les cours et dans les bouquins une fois rentré à la maison.
Moi, une fois que les cours sont terminés et que je suis de retour à la maison, je débranche tout. L'étudiante que je suis à la fac laisse la place à la jeune femme que je suis dans la vie de tous les jours... et plus spécifiquement... dans l'intimité. C'est ça: une fois que je suis chez moi et que je ferme la porte, j'oublie tout.
Une fois posée tranquillement sur le canapé, j'ai commencé à me détendre. Après la journée que je venais de passer sur le campus de la fac, j'en ai ressenti le besoin. Et pour ça, j'ai complètement lâché prise. De plus, comme souvent, Timéo, notre compagnon d'études et pote, s'est joint à nous.
Instantanément, Timéo s'est joint à moi, sur le canapé du salon de notre appartement. Avec Jimmy qui bossait sur ses cours, j'avoue que la compagnie de Timéo a été fort agréable. Ainsi, autour d'un verre, histoire de décompresser, Timéo et moi, nous nous sommes mis à papoter... et à rigoler.
Avec le recul, quand j'y pense, ça m'a fait du bien de passer ce bon moment avec Timéo. Car Timéo, c'est le bon gars, le bon pote. Et vu que Jimmy était concentré sur ses cours pendant ce temps-là... J'échangeais des boutades avec Timéo. On a divagué. On a plaisanté. Je me suis sentie bien.
Timéo et moi, on parlait de tout et de rien. Par contre, en ce qui me concernait, il n'était pas question de parler des cours et de la fac. On y passe déjà suffisamment de temps comme ça... Si en plus la fac s'invitait à la maison... Je deviendrais chèvre. J'ai beau être une étudiante sérieuse... J'ai beau me donner les moyens pour réussir... J'admets néanmoins ne pas avoir le sens des études jusqu'au bout des ongles comme Jimmy. Ce soir, ça en a été un exemple parfait. Si Timéo n'avait pas été là, je pense que l'appart' aurait été plongé dans le silence complet étant donné que Jimmy était studieux comme ce n'était pas permis.
On bavardait, on riait. On rigolait, on était gais. Rien n'avait d'importance si ce n'était le fait de se détendre et de passer un moment simple mais agréable entre potes. Et pour être tout à fait transparente, plus nous nous laissions aller, plus nous faisions abstraction de Jimmy. C'était vrai que lui, on ne l'entendait pas du tout. Il n'y en avait que pour les cours. Le reste...
À un moment donné, la soirée a basculé du tout au tout et je peux dire, avec le recul, que ça n'a pas été pour me déplaire. On a dû pousser le bouchon un peu loin parce que ça a eu le don d'agacer Jimmy à tel point qu'il ouvre EN-FIN la bouche pour exprimer son mécontentement. Avec le recul, je n'en suis pas peu fière. Temporairement, ça a eu pour conséquence qu'il lève le nez de ses cours et qu'il daigne nous adresser la parole. Ce n'était pas trop tôt... Il nous a demandés de baisser d'un ton car il travaillait. Il avait les sourcils froncés. Effectivement, il avait l'air contrarié. Je dois avouer que ça le rendait mignon, cet air. Timéo et moi ? Ça nous a fait sourire. Puis, comme si de rien n'était, il s'est replongé dans ses cours. Timéo et moi, on a échangé un regard. Puis, sans nous retenir, nous avons explosé de rire. C'était spontané. Nous avons été incapables de nous contrôler. Que ça fait du bien de rire, même pour des choses débiles... Ne dit-on pas que rire, ça fait du bien pour la santé ? Il me semble avoir lu ou entendu ça quelque part... Jimmy, lui, ce n'était pas de son goût, en revanche.
Mon petit ami a relevé la tête et il nous a devisagés. On voyait bien qu'il avait l'air agacé et qu'il ne faisait vraiment pas semblant. Ça le dérangeait que l'on fasse du bruit et qu'on ne fasse rien pour baisser d'un ton. Il n'allait pas nous imposer son silence studieux, quand même ?!
Ça suffisait. La plaisanterie avait assez duré. La soirée n'allait pas continuer de se dérouler comme ça. Il fallait faire quelque chose. J'ai alors adressé un sourire malicieux à Timéo. Notre ami et camarade de promotion m'a fait un clin d'œil en guise de réponse. La même idée venait de nous traverser l'esprit, il semblait...
Sans nous dire quoique ce soit, nous nous étions compris, Timéo et moi. Ni une ni deux, j'ai agi et je suis passée à l'attaque. Il était temps... Qu'est-ce que Jimmy peut être rabat-joie quand il s'y met... Ça n'arrive pas souvent, cela dit. Heureusement, d'ailleurs ! Mais force est de constater que ce n'est pas une partie de plaisir quand il est dans cet état d'esprit. Moi, je préfère, et de loin, lorsqu'il est complètement relax et qu'il sourit. C'était comme ça que je voulais le retrouver, à ce moment-là, Jimmy. Alors, j'étais prête à donner de ma personne pour que ça se passe comme ça. J'allais faire usage... et abus de mes charmes. L'idée n'était pas pour me déplaire, en fait. D'une voix que je voulais à la fois minaudante et caressante, j'ai appelé Jimmy. À l'annonce de son prénom, mon petit copain a daigné lever les yeux de ses fiches. Mais c'était à contrecoeur. Ça se voyait dans son regard. S'il croyait que ça allait me décourager... Il se mettait le doigt dans l'œil jusqu'au coude. Je me suis armée de mon plus beau sourire ainsi que de mon chant des sirènes, et je lui ai fait les yeux doux. J'étais sûre de le faire craquer, ainsi...
Jimmy paraissait agacé. Ça se voyait. Il n'aimait pas être dérangé lorsqu'il étudiait. Il a remué les lèvres et il a de nouveau affirmé qu'il voulait le calme car il était très concentré. S'il croyait que ça allait m'arrêter... Il voulait jouer à ça ? Très bien. Nous allions être trois, dans ces cas, avec Timéo...
Je n'ai pas lâché l'affaire et j'ai décidé de continuer de faire des miennes. Bien m'en a pris, quand j'y pense, alors que les mecs viennent de me jouir sur les seins. Il n'était pas question pour moi d'abandonner. Même pas en rêve, ça ! Alors, j'ai de nouveau prononcé le prénom de mon copain. De nouveau, il nous a regardés, Timéo et moi. J'ai enfoncé le clou en lui demandant de venir nous rejoindre. Même s'il a eu l'air agacé car il était interrompu sans arrêt pendant qu'il travaillait, il a daigné se lever de sa chaise, quitter son bureau de travail et nous rejoindre.
Jimmy a pris place sur le canapé, entre Timéo et moi. Timéo lui a fait de la place pour qu'il puisse s'asseoir et, ainsi, se joindre à nous. Timéo était sur la même longueur d'onde que moi. Et ni une ni deux, Timéo a attrapé Jimmy et l'a fait basculer sur moi. D'instinct, je me suis allongée. Timéo n'a pas lâché Jimmy. Il l'a serré fort. J'en ai profité pour chatouiller un peu mon chéri. Jimmy s'est tortillé sous l'effet des chatouilles que je lui ai fait. Jimmy a eu beau nous demander d'arrêter... Mes chatouilles l'ont fait rigoler, en réalité. Aaah... Ça changeait !
EN-FIN ! La tension baissait. Place à la légèreté et aux bons moments entre copains, désormais. Jimmy se tenait entre Timéo et moi. Timéo et moi, nous occupions chacun une extrémité du canapé. Jimmy était à cheval allongé sur nous, lui.
Jimmy avait sa tête qui était posée sur ma poitrine. Ses pieds, eux, reposaient sur les jambes de Timéo. Timéo serrait fort Jimmy de telle sorte qu'il ne s'échappe pas. Alors, ni une ni deux, pour enfoncer le clou, j'ai relevé mon t-shirt pour qu'il remonte. Mes seins ont été ainsi mis à nu. Je ne portais pas de soutien-gorge, je précise. Histoire que Jimmy n'ait plus aucune échappatoire et remarquant que mes seins étaient à l'air, Timéo a posé une main sur l'arrière de la tête de Jimmy et a poussé dessus pour que mon petit ami ait ainsi la tête collée à ma poitrine.
Timéo a mis tellement de force dans son geste que Jimmy n'a rien pu faire. Voilà qu'il était un peu plus affalé encore, à cheval entre Timéo et moi. J'ai saisi la balle au bond. J'ai passé mes bras autour du cou de mon amoureux et j'ai pressé sa tête contre ma poitrine. Jimmy n'avait plus au-cune liberté de mouvement, ainsi. Avoir la tête toute contre mes seins, curieusement, ça n'a pas dérangé Jimmy le moins du monde. Très bien. J'en ai pris note. Mes seins, c'est la partie de mon corps que je préfère et dont je suis particulièrement fière. Ils sont comme j'en avais rêvé. Ils ne sont ni trop petits, ni trop gros. Leur taille est parfaite à mes yeux. Ils sont en forme de poire et leurs aréoles sont larges, couleur rose foncé. Si vous saviez le soin et les précautions que je leur apporte... Il suffit de me voir sous la douche ou quand je porte un soutien-gorge. Je suis flattée quand des yeux se perdent dans mes seins lorsque j'opte pour un décolleté qui les dévoile, mes seins. J'aime les attentions que Jimmy leur porte lorsqu'on s'envoie en l'air. Et là, il semblait que mes seins faisaient complètement oublier les cours à Jimmy. Tant mieux, alors, si c'était le cas...
À voir le comportement que Jimmy avait désormais, j'avais la confirmation que les études étaient là dernière chose à laquelle il pensait. Avec mes seins, c'était comme si Jimmy était soudain un gamin à qui l'on venait d'offrir un jouet extraordinaire.
Vous l'auriez vu, Jimmy, la tête contre ma poitrine... Sa bouche recherchait mes tétons. On aurait dit un bébé qui tète sa mère. C'était désespéré, comme attitude. Oui. On aurait dit un mort de faim. Quel petit... cochon, Jimmy, quand il s'y met ! Il a l'air... Mais il n'a pas la chanson, en fait. Et là, je sentais ses lèvres sur mes mamelons. Elles ne les lâchaient plus. Ça faisait un effet de succion. C'était loin d'être désagréable. J'y prenais du plaisir. Ma respiration, elle, n'était plus la même. J'avais de plus en plus chaud. Par-dessus le marché, Jimmy était couché sur moi et il était clairement en train de me téter les seins. Je sentais le poids de son corps sur le mien. Pendant ce temps-là, Timéo n'était pas en reste. Il n'avait pas envie d'être la cinquième roue du carrosse. Il n'avait pas l'intention de rester les bras croisés sans participer à ce qu'il se passait. Jimmy était allongé sur moi, et seule la poitrine était le centre de son monde. Mon petit ami ne s'est pas immédiatement rendu compte que notre camarade de promo avait posé l'une de ses mains sur sa jambe et qu'il s'était mis à le caresser. Moi, j'avais besoin de retrouver mon second souffle tant j'avais le cœur qui battait la chamade sous l'effet des succions de Jimmy sur mes mamelons.
Alors, j'ai détourné l'attention de Jimmy de mes seins et je lui ai demandé de regarder en direction de Timéo...
Ça a été à ce moment-là que Jimmy s'est rendu compte que Timéo avait l'une de ses mains qui était posée sur lui. Notre pote ne se privait d'ailleurs pas pour le caresser tout doucement. Pas étonnant, alors, que Jimmy ne se soit rendu compte de rien. J'ai moi-même tourné la tête et j'ai vu que Jimmy avait les yeux écarquillés. Il était surpris. Il était ahuri. Étonné. Il ne s'attendait pas le moins du monde à ça. Toujours est-il que mon petit ami n'a pas repoussé la main de Timéo. Ce n'était pas pour lui déplaire, autrement dit. Alors, ça à été à mon tour de me prendre au jeu et de toucher Jimmy. Mon chéri ne pouvait pas se dérober à nos attouchements. Inutile de préciser que nous ne nous sommes pas fait prier, Timéo et moi. Où cela allait-il nous mener ? Jusqu'où irions-nous ? Peu m'importait à ce moment-là, perso. Jimmy n'avait plus les yeux rivés sur ses fichus cours. La soirée prenait une toute autre tournure...
Jimmy n'arrivait pas à tenir en place. Je plaide coupable. Timéo et moi, nous y étions pour quelque chose. Mais moi, ça me faisait du bien de passer EN-FIN un moment avec le mec que j'aime.
De fil en aiguille, l'atmosphère a complètement changé, dans l'appartement. Nous n'étions plus des étudiants. Nous redevenions nous-mêmes et tel que c'était en train de déraper entre nous trois... Il semblait que nous prenions du bon temps.
Depuis que nous connaissons Timéo, nous savons qu'il est bisexuel. Depuis que je sors avec Jimmy, il sait que je suis bisexuelle. Depuis que Jimmy sort avec moi, je sais qu'il est bisexuel. CQFD: tous les coups pouvaient être permis. Même si ça pouvait nous arriver de parler de sexe, l'idée de nous envoyer en l'air ensemble ne nous avait traversé l'esprit... jusqu'à ce soir.
Toujours est-il que nous ne nous sommes pas posés de question, aussi bien Jimmy et moi que Timéo. Les évènements ont pris une tournure que nous ne contrôlions pas. Si ça devait arriver, ça devait arriver. Et c'est arrivé. D'après ce que je voyais, d'après ce que j'entendais, ça n'avait l'air de déplaire à aucun de nous trois...
C'était bien beau, tout ça, que Jimmy triture mes seins, que nous pelotions Jimmy... Qui allait s'occuper de Timéo ? Ça a été alors que j'ai adressé à Jimmy un regard qui voulait tout dire sur mes intentions...
Autant Jimmy a été rabat-joie lorsqu'il était concentré sur ses cours, autant je n'ai eu aucun mal à lui faire comprendre qu'il fallait que nous portions notre attention sur Timéo. Ni une ni deux, sans dire un mot, nous nous sommes redressés. Ça a été au tour de notre pote d'être au centre de l'attention. Notre camarade de promotion s'est retrouvé avec deux mains qui étaient posées sur lui... et qui le caressaient. Nous ne nous sommes pas gênés pour le peloter à son tour. Timéo n'a opposé aucune résistance. Et qui plus est, lorsque je l'ai regardé, ce n'était pas pour lui déplaire. Soit. Si c'était comme ça... S'il n'y avait pas de gêne entre lui et nous, entre nous et lui, pourquoi nous raviser, tout arrêter, faire comme si rien ne s'était passé et reprendre la soirée là où elle en était jusqu'à ce moment-là ? Il n'en était rien. Ne dit-on pas qu'il faut saisir les opportunités qui se présentent à nous ? Aucun d'entre nous ne s'est posé de question. À aucun moment l'un d'entre nous n'a émi d'objection sur ce qu'il se passait ou bien ne s'est senti gêné. Ça devait arriver, voilà tout.
Nous avons interverti nos places, une fois encore. Enfin... Tout du moins, Timéo et Jimmy. Une fois installés dans cette configuration, Jimmy et moi, nous nous sommes de nouveau regardés. Nous nous sommes souri. Ça voulait tout dire et ça se passait de mots superflus. Nous étions sur la même longueur d'onde... et nous avions envie de la même chose.
Nous avions envie de la même personne.
Nous avions de nouveau, chacun, une main posée sur Timéo. Nous caressions notre pote. Jimmy et moi, nous ne nous quittions pas des yeux. À un moment donné, nos mains ont fait leur jonction au niveau de l'entrejambe de notre camarade de promotion... qui bandait bien dur. Jimmy et moi, nous avons alors pressé le plat de nos mains respectives sur cette belle érection...
Notre ami a reçu le message cinq sur cinq car il s'est cambré sur le canapé. Sa posture était telle que ça mettait encore un peu plus en évidence la bosse qui était retenue prisonnière dans son jean.
Portait-il un sous-vêtement ? Était-il nu sous son jean ? Il n'y avait qu'un moyen pour nous de le savoir.
J'ai laissé à Jimmy l'honneur de descendre la fermeture éclair du jean puis d'enlever le bouton.
Jimmy m'a rendue la pareille en me laissant sortir la queue de Timéo.
Jimmy, lui, était soudain occupé à peloter Timéo.
Là. Le sexe de Timéo était à l'air, à présent...
Là ? Tous les trois, nous venons de nous envoyer en l'air... et les deux garçons viennent de jouir sur mes seins.
La journée à l'université a été harassante. De huit heures du matin à cinq heures de l'après-midi, nous n'avons pas chômé, entre les travaux dirigés (TD), les cours magistraux (CM) et le temps libre que nous avons sacrifié à la bibliothèque universitaire afin de pouvoir travailler et ainsi nous avancer de telle sorte que nous puissions nous délester de ça une fois rentrés chez nous. Le seul moment à nous que nous nous sommes accordés, ça a été lorsque nous sommes allés déjeuner à la cafétéria de la faculté de lettres et sciences humaines, Jimmy, Timéo et moi. Après une heure passée à manger et à discuter, nous avons repris le chemin des salles de cours et autres amphithéâtres.
Je ne cache pas le soulagement que j'ai ressenti lorsque le prof a annoncé la fin de son cours, lors du dernier TD de la journée, sur les coups de cinq heures de l'après-midi. Alors, comme libérée d'un poids, j'ai rangé mes affaires en toute quiétude et je suis sortie de la salle pour reprendre EN-FIN le libre cours de ma vie.
Quand nous sommes rentrés dans l'appartement où nous vivons, Jimmy et moi, je n'ai eu qu'une envie: me poser et faire abstraction de la journée qui venait de se passer. Les cours, les TD, les CM et les moments à la bibliothèque, c'est bien beau... Mais... Nous ne sommes pas des machines. Nous ne sommes pas des robots. Les cours, les études, c'est bien beau... Il y a d'autres choses qui font le sel de la vie. Et ce soir... Ne m'expliquez pas pourquoi... Je ne sais pas quelle mouche m'a piquée. Toujours est-il que j'étais posée sur le canapé de l'appart'. Je discutais avec Timéo, à qui nous avons proposé de jouer les prolongations et de passer la soirée avec nous.
Quand on s'est posés, ni une ni deux, le naturel de Jimmy est revenu au galop. Sérieux, appliqué, consciencieux jusqu'au bout des ongles, il a eu le nez plongé dans les cours et dans les bouquins une fois rentré à la maison.
Moi, une fois que les cours sont terminés et que je suis de retour à la maison, je débranche tout. L'étudiante que je suis à la fac laisse la place à la jeune femme que je suis dans la vie de tous les jours... et plus spécifiquement... dans l'intimité. C'est ça: une fois que je suis chez moi et que je ferme la porte, j'oublie tout.
Une fois posée tranquillement sur le canapé, j'ai commencé à me détendre. Après la journée que je venais de passer sur le campus de la fac, j'en ai ressenti le besoin. Et pour ça, j'ai complètement lâché prise. De plus, comme souvent, Timéo, notre compagnon d'études et pote, s'est joint à nous.
Instantanément, Timéo s'est joint à moi, sur le canapé du salon de notre appartement. Avec Jimmy qui bossait sur ses cours, j'avoue que la compagnie de Timéo a été fort agréable. Ainsi, autour d'un verre, histoire de décompresser, Timéo et moi, nous nous sommes mis à papoter... et à rigoler.
Avec le recul, quand j'y pense, ça m'a fait du bien de passer ce bon moment avec Timéo. Car Timéo, c'est le bon gars, le bon pote. Et vu que Jimmy était concentré sur ses cours pendant ce temps-là... J'échangeais des boutades avec Timéo. On a divagué. On a plaisanté. Je me suis sentie bien.
Timéo et moi, on parlait de tout et de rien. Par contre, en ce qui me concernait, il n'était pas question de parler des cours et de la fac. On y passe déjà suffisamment de temps comme ça... Si en plus la fac s'invitait à la maison... Je deviendrais chèvre. J'ai beau être une étudiante sérieuse... J'ai beau me donner les moyens pour réussir... J'admets néanmoins ne pas avoir le sens des études jusqu'au bout des ongles comme Jimmy. Ce soir, ça en a été un exemple parfait. Si Timéo n'avait pas été là, je pense que l'appart' aurait été plongé dans le silence complet étant donné que Jimmy était studieux comme ce n'était pas permis.
On bavardait, on riait. On rigolait, on était gais. Rien n'avait d'importance si ce n'était le fait de se détendre et de passer un moment simple mais agréable entre potes. Et pour être tout à fait transparente, plus nous nous laissions aller, plus nous faisions abstraction de Jimmy. C'était vrai que lui, on ne l'entendait pas du tout. Il n'y en avait que pour les cours. Le reste...
À un moment donné, la soirée a basculé du tout au tout et je peux dire, avec le recul, que ça n'a pas été pour me déplaire. On a dû pousser le bouchon un peu loin parce que ça a eu le don d'agacer Jimmy à tel point qu'il ouvre EN-FIN la bouche pour exprimer son mécontentement. Avec le recul, je n'en suis pas peu fière. Temporairement, ça a eu pour conséquence qu'il lève le nez de ses cours et qu'il daigne nous adresser la parole. Ce n'était pas trop tôt... Il nous a demandés de baisser d'un ton car il travaillait. Il avait les sourcils froncés. Effectivement, il avait l'air contrarié. Je dois avouer que ça le rendait mignon, cet air. Timéo et moi ? Ça nous a fait sourire. Puis, comme si de rien n'était, il s'est replongé dans ses cours. Timéo et moi, on a échangé un regard. Puis, sans nous retenir, nous avons explosé de rire. C'était spontané. Nous avons été incapables de nous contrôler. Que ça fait du bien de rire, même pour des choses débiles... Ne dit-on pas que rire, ça fait du bien pour la santé ? Il me semble avoir lu ou entendu ça quelque part... Jimmy, lui, ce n'était pas de son goût, en revanche.
Mon petit ami a relevé la tête et il nous a devisagés. On voyait bien qu'il avait l'air agacé et qu'il ne faisait vraiment pas semblant. Ça le dérangeait que l'on fasse du bruit et qu'on ne fasse rien pour baisser d'un ton. Il n'allait pas nous imposer son silence studieux, quand même ?!
Ça suffisait. La plaisanterie avait assez duré. La soirée n'allait pas continuer de se dérouler comme ça. Il fallait faire quelque chose. J'ai alors adressé un sourire malicieux à Timéo. Notre ami et camarade de promotion m'a fait un clin d'œil en guise de réponse. La même idée venait de nous traverser l'esprit, il semblait...
Sans nous dire quoique ce soit, nous nous étions compris, Timéo et moi. Ni une ni deux, j'ai agi et je suis passée à l'attaque. Il était temps... Qu'est-ce que Jimmy peut être rabat-joie quand il s'y met... Ça n'arrive pas souvent, cela dit. Heureusement, d'ailleurs ! Mais force est de constater que ce n'est pas une partie de plaisir quand il est dans cet état d'esprit. Moi, je préfère, et de loin, lorsqu'il est complètement relax et qu'il sourit. C'était comme ça que je voulais le retrouver, à ce moment-là, Jimmy. Alors, j'étais prête à donner de ma personne pour que ça se passe comme ça. J'allais faire usage... et abus de mes charmes. L'idée n'était pas pour me déplaire, en fait. D'une voix que je voulais à la fois minaudante et caressante, j'ai appelé Jimmy. À l'annonce de son prénom, mon petit copain a daigné lever les yeux de ses fiches. Mais c'était à contrecoeur. Ça se voyait dans son regard. S'il croyait que ça allait me décourager... Il se mettait le doigt dans l'œil jusqu'au coude. Je me suis armée de mon plus beau sourire ainsi que de mon chant des sirènes, et je lui ai fait les yeux doux. J'étais sûre de le faire craquer, ainsi...
Jimmy paraissait agacé. Ça se voyait. Il n'aimait pas être dérangé lorsqu'il étudiait. Il a remué les lèvres et il a de nouveau affirmé qu'il voulait le calme car il était très concentré. S'il croyait que ça allait m'arrêter... Il voulait jouer à ça ? Très bien. Nous allions être trois, dans ces cas, avec Timéo...
Je n'ai pas lâché l'affaire et j'ai décidé de continuer de faire des miennes. Bien m'en a pris, quand j'y pense, alors que les mecs viennent de me jouir sur les seins. Il n'était pas question pour moi d'abandonner. Même pas en rêve, ça ! Alors, j'ai de nouveau prononcé le prénom de mon copain. De nouveau, il nous a regardés, Timéo et moi. J'ai enfoncé le clou en lui demandant de venir nous rejoindre. Même s'il a eu l'air agacé car il était interrompu sans arrêt pendant qu'il travaillait, il a daigné se lever de sa chaise, quitter son bureau de travail et nous rejoindre.
Jimmy a pris place sur le canapé, entre Timéo et moi. Timéo lui a fait de la place pour qu'il puisse s'asseoir et, ainsi, se joindre à nous. Timéo était sur la même longueur d'onde que moi. Et ni une ni deux, Timéo a attrapé Jimmy et l'a fait basculer sur moi. D'instinct, je me suis allongée. Timéo n'a pas lâché Jimmy. Il l'a serré fort. J'en ai profité pour chatouiller un peu mon chéri. Jimmy s'est tortillé sous l'effet des chatouilles que je lui ai fait. Jimmy a eu beau nous demander d'arrêter... Mes chatouilles l'ont fait rigoler, en réalité. Aaah... Ça changeait !
EN-FIN ! La tension baissait. Place à la légèreté et aux bons moments entre copains, désormais. Jimmy se tenait entre Timéo et moi. Timéo et moi, nous occupions chacun une extrémité du canapé. Jimmy était à cheval allongé sur nous, lui.
Jimmy avait sa tête qui était posée sur ma poitrine. Ses pieds, eux, reposaient sur les jambes de Timéo. Timéo serrait fort Jimmy de telle sorte qu'il ne s'échappe pas. Alors, ni une ni deux, pour enfoncer le clou, j'ai relevé mon t-shirt pour qu'il remonte. Mes seins ont été ainsi mis à nu. Je ne portais pas de soutien-gorge, je précise. Histoire que Jimmy n'ait plus aucune échappatoire et remarquant que mes seins étaient à l'air, Timéo a posé une main sur l'arrière de la tête de Jimmy et a poussé dessus pour que mon petit ami ait ainsi la tête collée à ma poitrine.
Timéo a mis tellement de force dans son geste que Jimmy n'a rien pu faire. Voilà qu'il était un peu plus affalé encore, à cheval entre Timéo et moi. J'ai saisi la balle au bond. J'ai passé mes bras autour du cou de mon amoureux et j'ai pressé sa tête contre ma poitrine. Jimmy n'avait plus au-cune liberté de mouvement, ainsi. Avoir la tête toute contre mes seins, curieusement, ça n'a pas dérangé Jimmy le moins du monde. Très bien. J'en ai pris note. Mes seins, c'est la partie de mon corps que je préfère et dont je suis particulièrement fière. Ils sont comme j'en avais rêvé. Ils ne sont ni trop petits, ni trop gros. Leur taille est parfaite à mes yeux. Ils sont en forme de poire et leurs aréoles sont larges, couleur rose foncé. Si vous saviez le soin et les précautions que je leur apporte... Il suffit de me voir sous la douche ou quand je porte un soutien-gorge. Je suis flattée quand des yeux se perdent dans mes seins lorsque j'opte pour un décolleté qui les dévoile, mes seins. J'aime les attentions que Jimmy leur porte lorsqu'on s'envoie en l'air. Et là, il semblait que mes seins faisaient complètement oublier les cours à Jimmy. Tant mieux, alors, si c'était le cas...
À voir le comportement que Jimmy avait désormais, j'avais la confirmation que les études étaient là dernière chose à laquelle il pensait. Avec mes seins, c'était comme si Jimmy était soudain un gamin à qui l'on venait d'offrir un jouet extraordinaire.
Vous l'auriez vu, Jimmy, la tête contre ma poitrine... Sa bouche recherchait mes tétons. On aurait dit un bébé qui tète sa mère. C'était désespéré, comme attitude. Oui. On aurait dit un mort de faim. Quel petit... cochon, Jimmy, quand il s'y met ! Il a l'air... Mais il n'a pas la chanson, en fait. Et là, je sentais ses lèvres sur mes mamelons. Elles ne les lâchaient plus. Ça faisait un effet de succion. C'était loin d'être désagréable. J'y prenais du plaisir. Ma respiration, elle, n'était plus la même. J'avais de plus en plus chaud. Par-dessus le marché, Jimmy était couché sur moi et il était clairement en train de me téter les seins. Je sentais le poids de son corps sur le mien. Pendant ce temps-là, Timéo n'était pas en reste. Il n'avait pas envie d'être la cinquième roue du carrosse. Il n'avait pas l'intention de rester les bras croisés sans participer à ce qu'il se passait. Jimmy était allongé sur moi, et seule la poitrine était le centre de son monde. Mon petit ami ne s'est pas immédiatement rendu compte que notre camarade de promo avait posé l'une de ses mains sur sa jambe et qu'il s'était mis à le caresser. Moi, j'avais besoin de retrouver mon second souffle tant j'avais le cœur qui battait la chamade sous l'effet des succions de Jimmy sur mes mamelons.
Alors, j'ai détourné l'attention de Jimmy de mes seins et je lui ai demandé de regarder en direction de Timéo...
Ça a été à ce moment-là que Jimmy s'est rendu compte que Timéo avait l'une de ses mains qui était posée sur lui. Notre pote ne se privait d'ailleurs pas pour le caresser tout doucement. Pas étonnant, alors, que Jimmy ne se soit rendu compte de rien. J'ai moi-même tourné la tête et j'ai vu que Jimmy avait les yeux écarquillés. Il était surpris. Il était ahuri. Étonné. Il ne s'attendait pas le moins du monde à ça. Toujours est-il que mon petit ami n'a pas repoussé la main de Timéo. Ce n'était pas pour lui déplaire, autrement dit. Alors, ça à été à mon tour de me prendre au jeu et de toucher Jimmy. Mon chéri ne pouvait pas se dérober à nos attouchements. Inutile de préciser que nous ne nous sommes pas fait prier, Timéo et moi. Où cela allait-il nous mener ? Jusqu'où irions-nous ? Peu m'importait à ce moment-là, perso. Jimmy n'avait plus les yeux rivés sur ses fichus cours. La soirée prenait une toute autre tournure...
Jimmy n'arrivait pas à tenir en place. Je plaide coupable. Timéo et moi, nous y étions pour quelque chose. Mais moi, ça me faisait du bien de passer EN-FIN un moment avec le mec que j'aime.
De fil en aiguille, l'atmosphère a complètement changé, dans l'appartement. Nous n'étions plus des étudiants. Nous redevenions nous-mêmes et tel que c'était en train de déraper entre nous trois... Il semblait que nous prenions du bon temps.
Depuis que nous connaissons Timéo, nous savons qu'il est bisexuel. Depuis que je sors avec Jimmy, il sait que je suis bisexuelle. Depuis que Jimmy sort avec moi, je sais qu'il est bisexuel. CQFD: tous les coups pouvaient être permis. Même si ça pouvait nous arriver de parler de sexe, l'idée de nous envoyer en l'air ensemble ne nous avait traversé l'esprit... jusqu'à ce soir.
Toujours est-il que nous ne nous sommes pas posés de question, aussi bien Jimmy et moi que Timéo. Les évènements ont pris une tournure que nous ne contrôlions pas. Si ça devait arriver, ça devait arriver. Et c'est arrivé. D'après ce que je voyais, d'après ce que j'entendais, ça n'avait l'air de déplaire à aucun de nous trois...
C'était bien beau, tout ça, que Jimmy triture mes seins, que nous pelotions Jimmy... Qui allait s'occuper de Timéo ? Ça a été alors que j'ai adressé à Jimmy un regard qui voulait tout dire sur mes intentions...
Autant Jimmy a été rabat-joie lorsqu'il était concentré sur ses cours, autant je n'ai eu aucun mal à lui faire comprendre qu'il fallait que nous portions notre attention sur Timéo. Ni une ni deux, sans dire un mot, nous nous sommes redressés. Ça a été au tour de notre pote d'être au centre de l'attention. Notre camarade de promotion s'est retrouvé avec deux mains qui étaient posées sur lui... et qui le caressaient. Nous ne nous sommes pas gênés pour le peloter à son tour. Timéo n'a opposé aucune résistance. Et qui plus est, lorsque je l'ai regardé, ce n'était pas pour lui déplaire. Soit. Si c'était comme ça... S'il n'y avait pas de gêne entre lui et nous, entre nous et lui, pourquoi nous raviser, tout arrêter, faire comme si rien ne s'était passé et reprendre la soirée là où elle en était jusqu'à ce moment-là ? Il n'en était rien. Ne dit-on pas qu'il faut saisir les opportunités qui se présentent à nous ? Aucun d'entre nous ne s'est posé de question. À aucun moment l'un d'entre nous n'a émi d'objection sur ce qu'il se passait ou bien ne s'est senti gêné. Ça devait arriver, voilà tout.
Nous avons interverti nos places, une fois encore. Enfin... Tout du moins, Timéo et Jimmy. Une fois installés dans cette configuration, Jimmy et moi, nous nous sommes de nouveau regardés. Nous nous sommes souri. Ça voulait tout dire et ça se passait de mots superflus. Nous étions sur la même longueur d'onde... et nous avions envie de la même chose.
Nous avions envie de la même personne.
Nous avions de nouveau, chacun, une main posée sur Timéo. Nous caressions notre pote. Jimmy et moi, nous ne nous quittions pas des yeux. À un moment donné, nos mains ont fait leur jonction au niveau de l'entrejambe de notre camarade de promotion... qui bandait bien dur. Jimmy et moi, nous avons alors pressé le plat de nos mains respectives sur cette belle érection...
Notre ami a reçu le message cinq sur cinq car il s'est cambré sur le canapé. Sa posture était telle que ça mettait encore un peu plus en évidence la bosse qui était retenue prisonnière dans son jean.
Portait-il un sous-vêtement ? Était-il nu sous son jean ? Il n'y avait qu'un moyen pour nous de le savoir.
J'ai laissé à Jimmy l'honneur de descendre la fermeture éclair du jean puis d'enlever le bouton.
Jimmy m'a rendue la pareille en me laissant sortir la queue de Timéo.
Jimmy, lui, était soudain occupé à peloter Timéo.
Là. Le sexe de Timéo était à l'air, à présent...
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Cher lecteur, je n'ai pas encore entrepris l'écriture de la deuxième partie de l'histoire.
J'espère qu'elle sera tout aussi coquine, tout aussi émoustillante et tout aussi... dévergondée
Mysterious91
J'espère qu'elle sera tout aussi coquine, tout aussi émoustillante et tout aussi... dévergondée
Mysterious91
Chère ElizaGenZfr, merci pour votre commentaire et pour le temps que vous avez pris ;)
Très belle histoire qui amène une suite. Continue c'est très agréable à lire
Très belle histoire. Bien racontée
Cher lecteur,
À la lecture de votre commentaire, dois je en conclure que vous avez apprécié cette première partie ? Merci pour le temps que vous avez pris à me lire et pour le temps que vous avez pris pour écrire ce commentaire ;)
Mysterious91
À la lecture de votre commentaire, dois je en conclure que vous avez apprécié cette première partie ? Merci pour le temps que vous avez pris à me lire et pour le temps que vous avez pris pour écrire ce commentaire ;)
Mysterious91
Parce que cette lectrice a en tête la Bande Originale du Film ? ;-)
Bref pas "BOF" du tout, la suite la suite la suite !!
Bref pas "BOF" du tout, la suite la suite la suite !!
Chère lectrice,
Est il possible de savoir pourquoi vous trouvez cet extrait "BOF..." ?
Mysterious91
Est il possible de savoir pourquoi vous trouvez cet extrait "BOF..." ?
Mysterious91
BOF...

