Éva rejoint son maître à Lyon et fait l'éducation d'Alex (4° partie)
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Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-12-2020 dans la catégorie Plus on est
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Éva rejoint son maître à Lyon et fait l'éducation d'Alex (4° partie)
Un coup de klaxon me tire de mes rêveries. Le taxi est là. Je ferme la fenêtre, prends mon sac et descends.
Je m'engouffre dans le taxi qui démarre aussitôt. Alex m'embrasse comme s'il ne m'avait pas vu depuis trop longtemps. Ses mains baladeuses s'égarent sous ma robe. Ça y est, je mouille déjà. Hummmm.
- Désolé Éva pour mon retard. Je me suis aperçu que je connaissais quelqu'un au musée. C'est mon oncle. Il occupe un poste au service communication. Je ne sais pas trop ce qu'il fait. Il nous le précisera. Je l'ai contacté et il nous rejoindra à l'accueil à notre arrivée. Nous mangerons tous les trois à la brasserie.
- Il n'y a pas de problème mon chéri. Je me laisse conduire avec plaisir.
Il nous fallut qu'une dizaine de minutes pour arriver. Je règle le taxi et nous montons les marches qui mènent à l'entrée du musée.
- Attends Éva. Mets-toi là, je vais faire des photos. Tu es superbe et l'angle de vue est parfait.
- Là, maintenant, assieds-toi sur une marche. Oui, comme ça. J'aimerais que tu écartes un peu les cuisses…
Le coquin. C'est un Paul en puissance. Je m'exécute en remontant le bas de ma robe. Je me sens délicieusement impudique et Alex me mitraille.
- Hummmm. Tu es si terriblement sexy mon Éva chérie. Touche-moi et sens comme je bande.
- En effet, mon mignon. Je me lève et l'enlace pour l'embrasser. Ses lèvres sont fermes, douces… Sa langue m'envahit. J'en ai des frissons d'excitation.
- As-tu déjà fait des photos dénudées avec Céline ?
- Oui, quelques-unes. Elle n'est pas à l'aise avec l'exhibition, mais y consent néanmoins.
- Tu ne m'as pas montré de photos de ta Céline. Tu me montres ?
- Attends. Je t'envoie les photos que je viens de prendre. Allume ton appareil… Voilà. C'est bon. Tiens, regarde ma Céline.
Céline est une belle brune d'une trentaine d'années. Elle est grande et mince avec une belle poitrine.
- Félicitations. Ta chérie est magnifique. Ne la laisse pas t'échapper. Je vois que tes photos sont très réussies. J'imagine déjà vos conversations avec Paul.
Nous reprenons notre montée des marches. Alex me tient la taille. Dès les portes franchies, il appelle son oncle qui nous rejoint peu de temps après.
Alex me présente. Son oncle Vincent est un bel homme. Je lui donne la quarantaine. Il nous emmène directement à la brasserie.
- Il vaut mieux ne pas trop tarder car c'est rapidement complet.
Une fois installés, Vincent nous propose de prendre le menu du jour, ce que nous acceptons Alex et moi.
- Soyez les bienvenus dans mon musée. Je suis content de te voir Alex. Cela fait un bail que je ne t'avais pas vu.
- Oui, c'était à l'anniversaire de maman je crois. Cela va faire presque un an.
- Que deviens-tu ?
Alex parle de ses études et de son hésitation à travailler sur Lyon ou sur Montpellier pour se rapprocher de son amie Céline.
- Et vous, Éva ? Comment avez-vous croisé Alex ?
Je lui raconte notre rencontre dans le TGV, suite à laquelle Alex s'était proposé de me faire découvrir sa ville.
- Et vous, Vincent ? Quelle est votre activité au sein de cette institution ?
- Je suis responsable du service communication. C’est-à-dire que je travaille sur tout ce qui contribue à donner la meilleure image possible du site. Cela intègre tous les supports de communication, mais aussi je développe tout ce qui peux amener un peu d'argent au musée : vente d'espaces publicitaires, mécénat, favoriser l'évènementiel sur le site. Sans me vanter, mon poste est assez stratégique pour mettre de l'huile dans tous les rouages économiques de l'institution.
- Ohhh Vincent, vous avez un poste important. Je trouve tout cela fascinant.
Bon, j'espère que je n'en ai pas fait un peu trop, mais, en tout cas, j'ai senti Vincent très réceptif à ma remarque. Il était tout sourire avec un air charmeur qui ne gâtait rien.
- Ma chère Éva, si vous en avez le temps, je pourrais vous proposer de vous faire découvrir les salles cachées du musée avec les trésors non présentés au public qu'elles recèlent.
- Je pense que cela risque d'être compliqué car je repars demain après-midi.
L'arrivée du serveur interrompt notre discussion.
Nous bavardons. Les sujets abordés sont ordinaires : le cadre de vie à Lyon et Montpellier, l'actualité, l'évolution du monde culturel en général et des musées en particulier. Les défis du Louvre pour se développer hors de France, …
A la fin du repas, Vincent nous fait franchir les portiques grâce à son badge et nous présente les expositions en cours.
- Je vous laisse. Appelez-moi quand vous aurez fini. Je vous offrirai un cadeau en souvenir. Bonne visite.
Avant de nous laisser, je sens le regard de Vincent me déshabiller et, quand nos yeux se croisent, il me gratifie d'un large sourire flatteur et plein de promesses…
- Enfin seuls Éva. Je ne sais pas si j'ai eu une bonne idée d'appeler mon oncle. J'ai eu peur qu'il nous accompagne tout l'après-midi !!!
- Tu as bien fait Alex. Ton oncle est charmant et je l'ai trouvé très intéressant. D'ailleurs, si j'ai un petit moment avant de partir demain, je passerai peut-être profiter de sa proposition…
Alex me regarde avec un sourire bien entendu, puis me prend la taille pour entamer notre visite. Les œuvres exposées sont vraiment très intéressantes. Alex partage mes goûts. Notre flânerie culturelle est agrémentée de gestes érotiques : des baisers dans le cou, des mains baladeuses qui s'insinuent sous ma robe, … Je me sens rosir devant tant d'empressement de mon jeune amant au milieu des autres visiteurs. Son sexe reste dur sous mes caresses. Alex n'en peut plus.
- Éva, je pense qu'on a fait le tour des principales pièces à voir. Je te propose de partir au plus vite pour rejoindre mon appartement.
- Je te sens impatient mon amour. Tu as raison. J'ai envie de toi. Regarde comment je suis trempée.
Dis-je, en plaquant sa main sur ma chatte.
Alex prend possession de ma vulve inondée. Ses doigts s'imprègnent de ma cyprine avant de les porter à ma bouche.
Au moment de quitter le musée, je m'aperçois que nous avons oublié d'appeler Vincent. Alex lui téléphone pour l'avertir de notre départ. Aussitôt Vincent arrive avec un paquet à la main.
- Voici mon cadeau. Il s'agit du catalogue de l'exposition. J'ai glissé à l'intérieur ma carte au cas où vous auriez une ouverture demain pour venir me retrouver….
- Merci beaucoup Vincent. Je vous tiendrai au courant. J'ai été ravi de faire votre connaissance. Belle journée à vous.
A peine sortis du hall, Alex contacte un taxi pour nous amener chez lui.
Quinze minutes plus tard, nous sommes devant la porte de son immeuble. Alex me tient la porte et me laisse passer devant.
- C'est au premier, à droite.
Le coquin profite de sa position pour me soulever la robe et me peloter les fesses. Je monte les marches en courant et en riant à gorge déployée. J'arrive devant sa porte essoufflée. Alex me plaque contre elle et m'embrasse fougueusement. Ses mains défont ma ceinture. Me voilà nue sur le palier. Ses doigts prennent possession de mon entrejambe, me fouillent et me pénètrent. J'halète. Il me rend folle. Je secoue ma tête de droite à gauche. Mes jambes flageolent. J'essaie d'ouvrir sa braguette, sans y arriver complètement.
Soudain, la porte s'ouvre derrière moi et je manque de perdre l'équilibre, surprise. C'est Alex qui l'a ouverte sans que je m'en rendre compte tellement j'étais endiablée.
Nous rentrons. C'est petit. C'est mignon. C'est coquet. C'est bien rangé. Alex ne voulait pas me décevoir. Instinctivement, je me dirige vers la fenêtre que j'ouvre en grand. C'est une rue tranquille. Quand je me retourne, je vois Alex avec son téléphone qui me photographie. Je prends la pose. Je me cambre, la robe bien ouverte.
- Tu es si belle !!! Je te les transférerai tout à l'heure. Là j'ai envie de toi.
- Je vais te demander deux minutes. Je dois aller aux toilettes et me passer un coup d'eau fraiche. Tu peux me préparer un verre d'eau s'il te plait ?
Quand je sors de la salle de bain, je trouve Alex nu allongé sur son lit avec son téléphone à la main, il continue à prendre des photos. Aussi, je laisse tomber ma robe pour attraper men verre d'eau et me désaltérer.
Ensuite, je m'approche du lit pour venir ramper entre les jambes de mon amant pour atteindre sa queue dressée. Je la prends d'une main, tandis que de l'autre, je caresse ses bourses. Elles sont aussi dures que son sexe. J'imagine déjà une promesse de plusieurs jets de foutre bien épais…Je serre mes cuisses pour emprisonner mon bourgeon durci d'excitation, et j'approche ma bouche du gland violacé de mon amant. Son méat est bien ouvert. Une goutte pré-séminale perle. Je m'applique à la sucer délicatement avant d'enrouler ma langue autour du gland. Je sens Alex qui se cambre. Je prends mon temps. Ma langue monte et descend le long de son pieu. Un doigt inquisiteur caresse, puis force son anus. Ma bouche avale enfin le gland tout entier. Ma langue titille sa base. Je m'applique à avaler sa queue le plus loin possible dans ma gorge. Quand mon nez touche ses poils pubiens, je sais que j'ai réussi à l'enfiler totalement. Je sens mon amant tétanisé. Son excitation est à son comble… Délicatement, je sors sa queue de ma gorge. Ma bouche est pleine de salive. Je remonte en rampant sur le torse d'Alex pour venir l'embrasser à pleine bouche. Je sens son gland tout près de ma vulve. D'un coup, je m'empale.
J'attends quelques secondes avant de me redresser pour me positionner en amazone et chevaucher mon amant.
Il empaume mes seins. J'oscille, je monte et descends. J'apprivoise sa queue avant d'accélérer la cadence.
Rapidement, je sens une chaleur qui envahit mon ventre. Je frissonne. Les premières vagues de plaisir arrivent. J'augmente mes mouvements. Alex halète. Il maltraite mes seins et pince mes mamelons à m'en faire crier de douleur, et de plaisir mélangés. "Ouiiiiiiiiii. Je viens". Les vagues augmentent de puissance. Je sens perdre pied. Ma tête s'agite dans tous les sens. "Oui…… Viens !!!!" C'en est trop. Un orgasme fulgurant, puissant, me transperce pendant que de puissants jets de sperme inondent mon utérus. Je crie. Je pleure. Je m'effondre sur mon amant, sans force.
Alex me serre dans ses bras. Il m'embrasse dans le cou. Épuisée, je m'endors….
Ce sont les baisers de mon amant qui me sortent de ma torpeur. Alex me sourit.
- De retour chez les vivants ?
- J'ai dormi ? J'ai dû t'écraser.
- Oui, tu t'es assoupie quelques minutes. Oui, tu m'as écrasé et j'ai adoré ça !!!!
Je prends conscience que la queue d'Alex est toujours en moi. Lorsque je tente de me retirer, mon amant me fait rouler et je se retrouve sur moi. Il m'embrasse. Un baiser langoureux, long, aphrodisiaque… Sa queue reprend du volume. Après quelques va et vient dans ma chatte remplie de sperme, il décide de sortir, de me lever les jambes et de placer son gland devant mon anus. Celui-ci cède et laisse passer sans difficulté le pieu de mon amant. Une fois sa queue bien en place, Alex entame quelques va et vient avant de sortir puis de revenir dans mon vagin. Il va ainsi alterner les possessions en accélérant ses coups de boutoir. Je peux sentir ses couilles buter contre mes fesses. Ses assauts sont puissants et efficaces. Il me reste suffisamment de lucidité pour agripper mon bouton et pour l'astiquer. Mon corps, tout entier, est un sexe. Je sens mon désir m'envahir complètement. Alex me pince mes tétons, il me les mord. Je crie, je pleure. "Ouiiiii. Non… Encore... Oui… Ouiiiiii….. Je jouiiiiiiiiiis !!!!!!".
Ma jouissance fait craquer Alex qui s'extirpe de mon fondement pour venir juter dans ma bouche. Il enfonce sa queue énorme, odorante, couverte de cyprine et de je ne veux pas savoir quoi, dans ma bouche pour y lâcher plusieurs jets épais de sperme. Il m'inonde. Il m'étouffe. J'ai de réelles difficultés à déglutir pour tout avaler tellement sa semence est abondante. Mon amant me sourit. Il me badigeonne le visage avec sa queue. Je suis couverte de sperme. J'aime ça.
Alex s'allonge pour m'embrasser. Il me lèche le visage et me fait partager sa récolte. Hummmmm. J'adore. Ces moments orgasmiques et de bonheur sont indescriptibles. A cet instant, comme bien souvent, je pense à l'expression suivante, "Je jouis, je suis vivante".
Après un petit câlin, Alex se lève.
- Que dirais-tu d'un verre de Chablis bien frais ?
- Génial !!! Tu es parfait Alex.
Avant d'aller chercher la bouteille, Alex reprend quelques photos. Je ne sais pas dans quel état je dois être, couverte de sperme. C'est Paul qui sera content.
Pendant qu'Alex ouvre la bouteille, je regarde mes messages. Il y en a plusieurs, notamment de Paul et d'Yves.
Paul qui m'encourage et me souhaite une belle journée orgasmique.
Yves qui me confirme la venue d'Alice à l'appartement vers 18 heures trente, le temps pour Alice de se changer et pour lui de faire quelques courses.
Me voyant avec le téléphone en main, Alex m'interpelle.
- Attends, je vais t'envoyer les photos que j'ai prises.
- Voilà. C'est transmis.
Il m'apporte un verre et nous trinquons à l'amour.
- Dis, tu viendras me voir à Montpellier ?
- J'ai promis à Céline de venir très bientôt. Nous devons parler et, je crois que cette rencontre sera décisive pour la suite. Je passerai te voir seul ou avec Céline….
- Je te souhaite beaucoup de bonheur. Tu le mérites.
Nous reprenons un verre. Alex sort quelques sucreries pour accompagner le vin.
Je suis bien. Je suis épanouie. Je ne sais pas de quoi est fait mon avenir, mais "Carpe diem".
- A quoi penses-tu ?
- Je pense à l'instant présent. Sais-tu ce que veut dire l'expression "Carpe diem" ?
- Oui, je crois.
- La locution latine complète est extraite d'un poème d'Horace : "Carpe diem, quam minimum credula postero" que l'on traduit par : « Cueille le jour présent sans te soucier du lendemain ».
- C'est ma devise et je l'assume.
Le temps passe. Je suis bien avec Alex, mais je ne voudrais pas être en retard à l'appartement. Je prends une douche, me rhabille et quitte Alex désespéré.
- C'est vrai que tu pars déjà ?
- Oui. J'ai adoré ces moments que nous avons passés ensemble, mais Paul m'attend. J'ai mis ma vie montpelliéraine entre parenthèses, pour venir ici, mais maintenant je dois repartir.
- Je te contacte demain pour te dire à quelle heure mon TGV s'en va. Nous pourrons nous retrouver à la gare si tu veux et si tu peux, bien évidemment.
- Bien sûr que je serai là. Merci pour ces moments magiques que tu m'as fait découvrir. Je t'aime Éva. Prends soin de toi.
Il est 17 heures cinquante quand je suis en bas de l'immeuble. Je ne dois pas trainer. Tout en marchant, je consulte mes messages. Je sélectionne quelques photos prises par Alex que j'envoie à Paul et à Yves. J'informe ce dernier que je suis en route et que je devrais arriver à l'appartement vers 18 heures quinze.
J'ai bien marché. Je suis à la porte de l'immeuble à 18 heures dix.
Je rentre dans l'appartement. J'ouvre les fenêtres. Je jette un œil sur le catalogue de l'exposition que m'a offert Vincent. Une carte tombe sur la table. Il s'agit de la carte de visite de Vincent avec un mot. "Bon pour une visite très privée. J'ai hâte de vous revoir." Ce message est sans équivoque, me fait sourire. Je regarderai les horaires des trains demain. Je pense qu'une visite "très" privée devrait être possible.
Le temps passe. J'enlève ma robe et file sous la douche. La marche rapide m'a fait transpirer. Je mets une robe noire légèrement transparente. J'enfile une paire de bas noirs et mes Louboutin. J'ai juste le temps de mettre du rouge à lèvres que j'entends la porte s'ouvrir.
Une femme entre. Elle précède Yves qui est chargé.
Une belle brune. Pas trop grande, mais bien musclée, avec des petits seins.
Elle porte une petite robe blanche à fines bretelles qui met en valeur sa peau mate.
Je lui donne trente-cinq ans.
- Bonjour. Vous devez être Alice ?
- Oui, c'est cela. Bonjour.
- Ma chérie, j'ai proposé à Alice de manger avec nous. Je t'ai dit que c'était ma stagiaire préférée ?
Je vois Alice rosir.
- Oui, même qu'elle avait besoin de cours particuliers, je crois…Alice devient pivoine.
- Euhhhh..
- Ne t'inquiète pas Alice. Il n'y a pas d'inquiétude à avoir. Yves ne me cache rien, et moi, je lui dis tout. Je pense que nous allons passer une bonne soirée. Mets-toi à l'aise.
- Yves, va prendre une douche, je vais m'occuper de préparer ce que tu nous as acheté. Y a-t-il des consignes particulières ?
- Non, j'ai fait au plus vite, de façon à avoir du temps tous les trois. Vin et champagne comme d'habitude.
Je place le champagne et le vin blanc au congélateur.
- Alice, tu peux déballer s'il te plait. On verra comment présenter tout ça.
- Il y a des tomates cerises, des petits saucissons, des entrées grecques, des crevettes décortiquées, un plateau de fromages tout prêt. Là, j'ai des gressins, de la mayo, du pain et des framboises. Où sont les assiettes ?
- Là. Je te laisse faire.
Tandis que je sors les flutes à champagne, je vois Alice qui hésite devant la vaisselle. Je viens derrière. Assez près pour la surprendre, mais sans trop. Je la coince. Je susurre à son oreille.
- Tu trouves ce que tu veux ?
- Euhhh. Oui, je crois.
Je me penche encore plus près en collant mon bassin contre ses fesses.
- Hummm… Quel est ton parfum ? Il est frais et te va à merveille.
Alice me répond doucement.
- C'est J'Adore de chez Dior.
- Ah oui. Je me disais.
Je pose délicatement mes lèvres sur son cou pour l'embrasser. Alice frissonne.
- Yves a bon goût. Vous êtes très belle.
Alice est perturbée et ne semble pas savoir quoi répondre.
En sortant de la salle de bain, Yves sort Alice de son embarras.
- Et bien les filles ? Vous faites quoi là ?
Alice est embarrassée. Elle murmure…- Euhhh. Avec Éva je prépare le repas.
- Ah vous êtes parfaites les filles. Je vous laisse faire. Je vais préparer à boire et mettre un peu de musique.
Je le vois débrancher son appareil photo qui doit être rechargé depuis ce matin. Il branche son portable.
Quand il passe devant la table basse, il découvre le catalogue de l'exposition.
- Alors ? Elle était bien cette expo ?
- Oui, je me suis régalée. Alex est un guide attentif et prévenant. Il m'a fait également découvrir son appartement. J'ai adoré.
- -Je n'en doute pas...
Yves sourit en me disant cela. En feuilletant le catalogue, il fait tomber la carte de Vincent. A sa lecture, il se met à rire.
- Ah. Je vois que tu auras une visite "très" privée demain avec le directeur de la communication du musée ?
- C'est possible…. Mais tu sais, demain, je dois repartir. Mon mari m'attend.
Alice semble totalement perturbée par ce qui se passe dans cet appartement. Ses repères, ses certitudes, sont battus en brèches.
- Voilà. Le champagne, pour vous mesdames.
Il tend une flute à Alice qu'il embrasse délicatement sur les lèvres, puis m'en donne une et m'embrasse également.
- Santé. Trinquons à l'amour.
- Santé.
Yves s'assois et prend la main d'Alice pour la faire venir se placer sur ses genoux. Moi, je me place de l'autre côté.
- Dites-moi. Comment s'est passée ta journée Yves ?
- Elle s'est super bien passée et mes stagiaires sont tous sympas. Bon, Alice, c'est un peu plus que ça. Dire que le séminaire se termine demain. Nous allons nous séparer.
- Ah, au fait, il faut que je te dise Éva, mais peut-être qu'Alice t'en parlera davantage ultérieurement, mais Alice habite tout près de chez toi, à Nîmes.
- Oui, moi j'habite près de Montpellier. Nous avons une maison très agréable. N'est-ce pas Yves ? Tu sais, Yves et Paul, mon mari, sont amis. Ils sont comme des frères. La distance ne simplifie pas les choses.
- Tu es mariée, tu as des enfants ?
- Oui, je suis mariée à Manu depuis près de quinze ans et j'ai deux enfants.
- Assez papoté les filles. A l'attaque !!!
Pendant que nous mangeons, je vois les mains d'Yves qui caressent les cuisses d'Alice et les force à s'ouvrir. Il l'embrasse dans le cou. Petit à petit, le champagne aidant, Alice semble se détendre.
Une fois la bouteille finie, Yves va chercher le Chablis. Quand il revient, il me fait signe de me lever et prend ma chaise et m'entraine sur ses genoux. En m'asseyant, ma robe remonte et laisse voir la lisière de mes bas. Yves me caresse à mon tour et m'embrasse aussi. Alice nous observe.
- Non !!! ça ne va pas.
Il me demande de me lever.
- Vous allez toutes les deux vous assoir sur mes genoux. Comme cela il n'y aura pas de jalouse. Vous allez vous assoir face à face.
Alice et moi nous nous trouvons alors très proches. Les jambes emmêlées. Tout en grignotant, Yves nous caresse. Il passe de l'une à l'autre. Nous embrasse, l'une après l'autre… Ses mains montent haut sur nos cuisses. Je vois Alice qui se mord les lèvres. Son excitation doit commencer à la prendre au ventre…Cette fois, quand Yves embrasse son épaule nue, il fait négligemment tomber une des bretelles de sa robe. Je vois Alice frissonner. Yves lui tourne délicatement la tête pour l'embrasser. Un baiser délicat, des baisers dois-je dire. Sa bouche picore les lèvres de la femme qui s'abandonne. Yves profite que la bretelle soit tombée pour glisser sa main dans le décolleté d'Alice et mettre à nu sa jolie poitrine. Aussitôt, il lui empaume un sein et pince délicatement son téton. La femme se pâme. Les yeux fermés, elle ronronne. Je comprends pourquoi, le coquin a glissé une main entre ses cuisses et je vois ses doigts qui s'activent.
Je me lève pour laisser un peu d'intimité aux deux amants.
Je m'assois sur le lit. Je prends mon téléphone et filme le couple. Le haut de la robe est descendu et découvre la jolie poitrine d'Alice. Yves tourne la tête et me regarde. Il me fait un clin d'œil avec un grand sourire. Je me lève pour mettre en route la vidéo de l'appareil photo. Me voyant faire, Yves redresse Alice et se serre contre elle pour danser au rythme de la musique. Le couple s'embrasse. Les mains d'Yves s'attardent sur les fesses de sa cavalière qui se cambre sous ses caresses. Alice se laisse mener, les yeux fermés. Yves la retourne pour se placer derrière elle. Il l'embrasse dans le cou. Elle ronronne de plaisir. Les mains d'Yves empaument les seins et ses doigts pincent un peu plus fort les mamelons durcis d'excitation. Alice proteste sous la douleur, et se cambre pour frotter ses fesses contre le sexe de son cavalier. Yves mordille son cou et je vois sa main descendre sous la robe pour prendre possession du sexe de sa jolie stagiaire qui se cambre encore davantage. Yves se colle plus fermement contre elle et sa main est plaquée sur le bas-ventre de la belle. Je perçois ses doigts qui entreprennent activement son clitoris. Alice agite sa tête dans tous les sens. Yves a trouvé le rythme convenant à sa maîtresse. Elle est totalement soumise à l'homme qui la possède devant mes yeux. Il la soumet avec fermeté. Ses doigts martyrisent un téton. Il l'étire au maximum. Alice gémit, crie "Aieee. Non…….. Oui……… Encore…". Le bout est gonflé et violacé, couleur framboise. Je suis excitée face à la scène offerte par les amants. Je soulève le bas de ma robe et me branle, sans vergogne, devant le corps soumis d'Alice. Je m'aperçois alors seulement qu'elle a les yeux grands ouverts et qu'elle me fixe, excitée par la vue que je lui offre en retour. Elle semble attendre quelque chose… Je m'approche d'elle alors et prends ses mamelons martyrisés dans ma bouche. Ma langue les lèche, les suce, les aspire, les tète, les titille. J'en bave de plaisir. Je sens Yves qui se détache d'Alice. Il se déshabille rapidement. Je peux admirer sa queue prête à nous saillir. Une bouffée de chaleur m'envahit. Je vois le coquin prendre l'appareil photo et nous filmer de près. Je quitte la poitrine d'Alice pour plaquer ma bouche sur la sienne. Je me sens conquérante. Alice est soumise. Elle me laisse jouer avec sa langue. Je l'enlace encore plus fortement. Mes jambes flageolent. Je sens la cyprine qui coule entre mes cuisses.
Yves, maintenant totalement nu, revient se plaquer derrière elle. Il reprend possession de ses seins et de ses mamelons, tout en l'embrassant dans le cou. Je sens Alice défaillir. Elle perd pied. Yves la retourne et sa bouche remplace la mienne. Je profite de la situation pour passer ma robe au-dessus de ma tête avant de revenir près d'Alice. Délicatement, je descends son zip jusqu'en bas. Sa robe s'ouvre entièrement et j'ai une vue privilégiée sur sa chute de reins et ses fesses fermes. A mon tour, j'appuie fermement mes seins sur son dos. Je sens Alice qui se crispe, puis se cambre. Nous dansons tous les trois dans un slow enivrant. La chambre se remplit d'une forte odeur de sexe. Les respirations se font plus courtes.
Je prends l'initiative. Je me détache pour me mettre à quatre pattes sur le lit. Aussitôt, Yves pousse Alice vers moi.
- Alice, mets-toi sur Éva. Là, oui, comme ça. Je vais vous baiser toutes les deux.
Yves se place derrière Alice et la pénètre d'un coup.
- Ohhhh. Doucement, tu es trop gros.
Yves ressort et s'enfonce en moi cette fois.
- Ouiiii. Baise-moi.
Yves commence à aller et venir dans mon étui détrempé, mais Alice ne semble pas d'accord, et d'un coup de rein, elle éjecte Yves de ma chatte.
- A moi !!!!
- Tu es sûre ?
- Ouiiiiii. Bourres-moi.
- Ne vous battez pas les filles. Il y en aura pour toutes les deux.
Yves jubile. Il nous baise ainsi toutes les deux en alternant. Les coups de boutoir d'Yves me font perdre la tête. Des vagues de chaleur m'envahissent successivement et m'emportent. J'halète, je crie.
- Ouiiii. Encore. Reste. Non. Ouiiiii. Encore.
Alice ne semble pas insensible au pilonnage de notre amant.
- Ouiiii. Ouiiiii. Ouiiiiiiiii. Encore… A moi !!!!
Elle me mord l'épaule. Elle empaume mes seins et étire mes mamelons. Je me cambre. J'entends Yves qui claque les fesses de sa stagiaire. Il est emporté par son excitation de baiser ses deux maitresses en même temps. Il souffle bruyamment. Je ressens un grand vide chaque fois qu'il se retire. Quand il revient, il s'enfonce puissamment. A chaque poussée, je peux sentir ses couilles qui cognent contre mon clitoris. J'ai l'impression qu'Alice me mord jusqu'au sang. Mes tétons sont martyrisés.
- Ahhh salope. Tu me tues avec tes doigts.
La queue d'Yves me défonce. Je frissonne. Un orgasme est à l'approche. Il est puissant, violent. J'ai le souffle court. Je me crispe….
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiii… Je jouiiiiiiiiiis.
Je sens le corps d'Alice qui tremble et qui se tend… Sa jouissance suit la mienne de peu.
Ereintée, sans force, je m'affaisse.
Satisfait, Yves se redresse pour faire baisser la tension. Il ne semble pas vouloir jouir de suite. Je l'entends reprendre son souffle. Il a beaucoup donné. Alice, roule sur le côté pour se mettre sur le dos. Ses mains caressent mes fesses.
- Hummmm.
Yves remplit nos verres et nous les apporte. Le Chablis, bien frais, est bienvenu. J'ai la gorge sèche. Nos regards se croisent avec Alice et nous nous mettons à rire aussitôt. Nous aurions besoin de nous passer un peu d'eau fraîche sur le visage et de nous donner un bon coup de peigne…Yves jette un œil à son appareil photo. Il semble satisfait. Il revient vers nous prendre nos verres.
- Bon, les filles. A vous de travailler un peu. Vous avez devant vous une belle queue qui aimerait avoir les attentions de vos petites bouches de salope.
Yves, au moins, est direct. Alice et moi nous nous mettons à genoux et nous nous partageons le sceptre de notre maître. Nos langues montent et descendent, s'amusent avec le gland, titillent son méat. Nos mains se disputent ses grosses bourses, bien fermes. Nos bouches prennent possession alternativement de sa queue. Nos langues se touchent, nos bouchent se collent autour de son gland. Nous nous régalons. Yves est droit, sa tige bien dressée. Il ronronne de plaisir. Je pourrais m'occuper de sa queue pendant des heures. Elle est si bonne. J'adore son odeur, sa texture. Je ne m'en lasse pas. Ma vulve est trempée d'excitation…
C'est Yves qui interrompt nos caresses. Il s'allonge sur le lit et donne ses ordres.
- Alice, tu vas venir t'empaler sur moi, oui, comme ça.
- Éva, tu vas t'asseoir, à califourchon, sur ma bouche. Je veux te baiser avec ma langue…
Je place ma vulve trempée de cyprine sur la bouche d'Yves. En même temps, j'envie Alice qui est possédée par le pieu de chair de mon amant.
Je me trouve face à face avec Alice. Je commence à ressentir les caresses de la langue dure et agile d'Yves. Elle me fouille la vulve et tourne autour de mon clitoris. Sa bouche me boit, me lèche et aspire mon bouton. Je sens une bouffée de chaleur m'envahir.
Alice a pris la mesure de la queue d'Yves. Elle a les yeux fermés. Elle ondule son bassin pour faire monter son plaisir, ainsi que celui d'Yves. Elle gémit. Elle passe sa langue sur les lèvres. Ce spectacle m'excite. Quand elle ouvre les yeux, nos regards se croisent. Nous nous sourions, conscientes de partager un plaisir intime rare. Nous nous enlaçons. Nous nous embrassons langoureusement en remuant nos bassins de manière synchronisée. Cette communion nous emporte vers une jouissance incontrôlable. Je sens un orgasme qui s'approche, lentement, mais sûrement. Nos ondulations génèrent des ondes de plaisir profondes et inouïes. Nos bouches se crispent, nos corps se tendent et nous jouissons simultanément. Nous restons quelques instants dans les bras l'une de l'autre. Yves est à bloc. Il se redresse et vient se placer face à nous, sa queue près de nos visages.
- Je vais vous lâcher toute ma crème. Ouvrez bien vos bouches et sortez vos languesYves agite sa queue devant nos visages et, très vite, sa respiration s'accélère. Il se contracte.
- Haaaaaaa.
Plusieurs jets de foutre giclent sur nos langues et nos visages.
Alice et moi, nous nous léchons mutuellement pour recueillir la semence dispersée. Un baiser finit de sceller notre échange, puis nous revenons rapidement vers la queue de notre amant pour la lécher et boire les ultimes gouttes de crème.
Satisfait, Yves retourne remplir nos verres. Voilà, la bouteille est finie. Pendant qu'Yves va prendre une douche, Alice et moi nous bavardons. Elle me parle de son mari, Manu, qui, comble de l'ironie, la pousse depuis quelques mois à avoir des relations avec d'autres hommes. Cela ne l'intéressait pas jusqu'à maintenant. C'est Yves qui avait été le déclencheur. Elle était restée bouche bée devant lui toute la journée d'hier et n'avait pas pu résister à l'entraîner dans sa chambre. C'était la première fois qu'elle trompait Manu et, elle avait pris beaucoup de plaisir à braver l'interdit et à se soumettre à Yves. Curieuse, elle avait accepté l'invitation à manger d'Yves. Elle avoue avoir été entièrement emportée par ses sens qui ont fait tomber toutes ses barrières. Elle ajoute qu'elle ne regrettait rien.
- Crois-tu que je devrais en parler à Manu ?
- Je ne sais pas. Les hommes aiment maîtriser. Là, tu as choisi de t'émanciper sans lui demander son avis. Son ego risque de mal le prendre.
- Je te suggère de te rapprocher de lui quand l'occasion se présente et de concéder que tu serais prête à accepter d'aller plus loin avec lui. Pourquoi pas de venir chez nous à Montpellier. Il suffit de trouver un bon prétexte, et on verra bien. Je saurais mettre une ambiance pour inciter ton Manu à se laisser aller. Je te donnerai mes coordonnées, mail et téléphone et on maintient le contact si tu veux. Et puis, des fois qu'Yves vienne me voir, je pourrai t'appeler…- Merci Éva, tu es adorable. Je comprends pourquoi Yves t'aime autant.
C'est à ce moment qu'Yves sort de la salle de bain. Il est toujours nu.
- Que complotez-vous les filles ?
- Rien, rien, on papote !!!!!
- On va aller prendre une douche, à notre tour.
La douche à l'italienne nous accueille toutes les deux sans difficulté. Je commence à savonner Alice. Ensuite, elle s'occupe de moi. Nous nous enlaçons. Nous frottons nos corps savonnés l'un contre l'autre. Nous nous embrassons sous le jet de l'eau chaude. Je retourne Alice pour empaumer ses petits seins fermes et malaxer ses mamelons avec mes doigts. Alice se cambre. Son bassin s'appuie contre le mien. Ma main droite descend vers son sexe. Mes doigts fouillent sa vulve, pour, ensuite, s'attarder sur son clitoris que je caresse fermement. Je l'embrasse dans le cou. Mes doigts martyrisent son téton. Alice gémit.
- Aie…Je la sens se tendre, se crisper. Son orgasme est proche. Elle halète. Je pince plus fortement son mamelon. Elle crie. Tout son corps se raidit et, d'un coup, je la sens se relâcher. J'attends quelques instants avant de la libérer. Alice se retourne, pose ses bras sur mes épaules et m'embrasse.
- Merci- J'adore donner du plaisir. Tu es très belle Alice quand tu jouis. Tu as un superbe corps, ferme et musclé. Je t'envie….
- Toi aussi Éva, tu es très belle et très sexy. Je ne sais pas comment dire, tu rayonnes. Et tes seins !!!!!
Nous nous rinçons. Nous nous essuyons et après avoir un peu redonné forme à notre coiffure, nous rejoignons Yves. Tout est rangé.
Il est sur le balcon. Il regarde les petites vidéos qu'il a faites ce soir. Il semble satisfait. Nous le rejoignons. Nous sommes nus tous les trois.
- Vous êtes magnifiques les filles. Je pense avoir assez de batterie pour faire quelques photos. Là, comme cela. Oui, appuyez-vous contre la rambarde. Enlacez-vous. Je veux pouvoir saisir l'amour et le plaisir que vous avez vécu ce soir.
Tout en riant, nous nous enlaçons. Pour satisfaire Yves, nous nous embrassons et nous nous caressons devant son objectif.
- Rahhhh. Plus de batterie. Merci les filles. Vous avez été supers ce soir. J'ai adoré vous faire l'amour.
- Et merci pour tout le plaisir que vous m'avez donné.
Ajoute-t-il avant de nous rejoindre et de nous embrasser.
- Bon, toutes les choses ont une fin. Demain, nous repartons tous dans nos chaumières.
- Attendez. Je fais une photo de vous deux.
- Je prends mon téléphone et, imitant Yve : "Enlacez-vous. Je veux pouvoir saisir l'amour et le plaisir que vous avez vécu ce soir".
Tout en riant, Yves enlace Alice et l'embrasse, puis la caresse. Alice, elle tient ben fermement la queue de son amant avec un large sourire.
Nous rentrons dans la chambre. Je propose à Alice de prendre son téléphone pour enregistrer mes coordonnées.
Il se fait tard. Nous nous couchons tous les trois dans le lit. Yves dormira entre nous deux.
Je m'engouffre dans le taxi qui démarre aussitôt. Alex m'embrasse comme s'il ne m'avait pas vu depuis trop longtemps. Ses mains baladeuses s'égarent sous ma robe. Ça y est, je mouille déjà. Hummmm.
- Désolé Éva pour mon retard. Je me suis aperçu que je connaissais quelqu'un au musée. C'est mon oncle. Il occupe un poste au service communication. Je ne sais pas trop ce qu'il fait. Il nous le précisera. Je l'ai contacté et il nous rejoindra à l'accueil à notre arrivée. Nous mangerons tous les trois à la brasserie.
- Il n'y a pas de problème mon chéri. Je me laisse conduire avec plaisir.
Il nous fallut qu'une dizaine de minutes pour arriver. Je règle le taxi et nous montons les marches qui mènent à l'entrée du musée.
- Attends Éva. Mets-toi là, je vais faire des photos. Tu es superbe et l'angle de vue est parfait.
- Là, maintenant, assieds-toi sur une marche. Oui, comme ça. J'aimerais que tu écartes un peu les cuisses…
Le coquin. C'est un Paul en puissance. Je m'exécute en remontant le bas de ma robe. Je me sens délicieusement impudique et Alex me mitraille.
- Hummmm. Tu es si terriblement sexy mon Éva chérie. Touche-moi et sens comme je bande.
- En effet, mon mignon. Je me lève et l'enlace pour l'embrasser. Ses lèvres sont fermes, douces… Sa langue m'envahit. J'en ai des frissons d'excitation.
- As-tu déjà fait des photos dénudées avec Céline ?
- Oui, quelques-unes. Elle n'est pas à l'aise avec l'exhibition, mais y consent néanmoins.
- Tu ne m'as pas montré de photos de ta Céline. Tu me montres ?
- Attends. Je t'envoie les photos que je viens de prendre. Allume ton appareil… Voilà. C'est bon. Tiens, regarde ma Céline.
Céline est une belle brune d'une trentaine d'années. Elle est grande et mince avec une belle poitrine.
- Félicitations. Ta chérie est magnifique. Ne la laisse pas t'échapper. Je vois que tes photos sont très réussies. J'imagine déjà vos conversations avec Paul.
Nous reprenons notre montée des marches. Alex me tient la taille. Dès les portes franchies, il appelle son oncle qui nous rejoint peu de temps après.
Alex me présente. Son oncle Vincent est un bel homme. Je lui donne la quarantaine. Il nous emmène directement à la brasserie.
- Il vaut mieux ne pas trop tarder car c'est rapidement complet.
Une fois installés, Vincent nous propose de prendre le menu du jour, ce que nous acceptons Alex et moi.
- Soyez les bienvenus dans mon musée. Je suis content de te voir Alex. Cela fait un bail que je ne t'avais pas vu.
- Oui, c'était à l'anniversaire de maman je crois. Cela va faire presque un an.
- Que deviens-tu ?
Alex parle de ses études et de son hésitation à travailler sur Lyon ou sur Montpellier pour se rapprocher de son amie Céline.
- Et vous, Éva ? Comment avez-vous croisé Alex ?
Je lui raconte notre rencontre dans le TGV, suite à laquelle Alex s'était proposé de me faire découvrir sa ville.
- Et vous, Vincent ? Quelle est votre activité au sein de cette institution ?
- Je suis responsable du service communication. C’est-à-dire que je travaille sur tout ce qui contribue à donner la meilleure image possible du site. Cela intègre tous les supports de communication, mais aussi je développe tout ce qui peux amener un peu d'argent au musée : vente d'espaces publicitaires, mécénat, favoriser l'évènementiel sur le site. Sans me vanter, mon poste est assez stratégique pour mettre de l'huile dans tous les rouages économiques de l'institution.
- Ohhh Vincent, vous avez un poste important. Je trouve tout cela fascinant.
Bon, j'espère que je n'en ai pas fait un peu trop, mais, en tout cas, j'ai senti Vincent très réceptif à ma remarque. Il était tout sourire avec un air charmeur qui ne gâtait rien.
- Ma chère Éva, si vous en avez le temps, je pourrais vous proposer de vous faire découvrir les salles cachées du musée avec les trésors non présentés au public qu'elles recèlent.
- Je pense que cela risque d'être compliqué car je repars demain après-midi.
L'arrivée du serveur interrompt notre discussion.
Nous bavardons. Les sujets abordés sont ordinaires : le cadre de vie à Lyon et Montpellier, l'actualité, l'évolution du monde culturel en général et des musées en particulier. Les défis du Louvre pour se développer hors de France, …
A la fin du repas, Vincent nous fait franchir les portiques grâce à son badge et nous présente les expositions en cours.
- Je vous laisse. Appelez-moi quand vous aurez fini. Je vous offrirai un cadeau en souvenir. Bonne visite.
Avant de nous laisser, je sens le regard de Vincent me déshabiller et, quand nos yeux se croisent, il me gratifie d'un large sourire flatteur et plein de promesses…
- Enfin seuls Éva. Je ne sais pas si j'ai eu une bonne idée d'appeler mon oncle. J'ai eu peur qu'il nous accompagne tout l'après-midi !!!
- Tu as bien fait Alex. Ton oncle est charmant et je l'ai trouvé très intéressant. D'ailleurs, si j'ai un petit moment avant de partir demain, je passerai peut-être profiter de sa proposition…
Alex me regarde avec un sourire bien entendu, puis me prend la taille pour entamer notre visite. Les œuvres exposées sont vraiment très intéressantes. Alex partage mes goûts. Notre flânerie culturelle est agrémentée de gestes érotiques : des baisers dans le cou, des mains baladeuses qui s'insinuent sous ma robe, … Je me sens rosir devant tant d'empressement de mon jeune amant au milieu des autres visiteurs. Son sexe reste dur sous mes caresses. Alex n'en peut plus.
- Éva, je pense qu'on a fait le tour des principales pièces à voir. Je te propose de partir au plus vite pour rejoindre mon appartement.
- Je te sens impatient mon amour. Tu as raison. J'ai envie de toi. Regarde comment je suis trempée.
Dis-je, en plaquant sa main sur ma chatte.
Alex prend possession de ma vulve inondée. Ses doigts s'imprègnent de ma cyprine avant de les porter à ma bouche.
Au moment de quitter le musée, je m'aperçois que nous avons oublié d'appeler Vincent. Alex lui téléphone pour l'avertir de notre départ. Aussitôt Vincent arrive avec un paquet à la main.
- Voici mon cadeau. Il s'agit du catalogue de l'exposition. J'ai glissé à l'intérieur ma carte au cas où vous auriez une ouverture demain pour venir me retrouver….
- Merci beaucoup Vincent. Je vous tiendrai au courant. J'ai été ravi de faire votre connaissance. Belle journée à vous.
A peine sortis du hall, Alex contacte un taxi pour nous amener chez lui.
Quinze minutes plus tard, nous sommes devant la porte de son immeuble. Alex me tient la porte et me laisse passer devant.
- C'est au premier, à droite.
Le coquin profite de sa position pour me soulever la robe et me peloter les fesses. Je monte les marches en courant et en riant à gorge déployée. J'arrive devant sa porte essoufflée. Alex me plaque contre elle et m'embrasse fougueusement. Ses mains défont ma ceinture. Me voilà nue sur le palier. Ses doigts prennent possession de mon entrejambe, me fouillent et me pénètrent. J'halète. Il me rend folle. Je secoue ma tête de droite à gauche. Mes jambes flageolent. J'essaie d'ouvrir sa braguette, sans y arriver complètement.
Soudain, la porte s'ouvre derrière moi et je manque de perdre l'équilibre, surprise. C'est Alex qui l'a ouverte sans que je m'en rendre compte tellement j'étais endiablée.
Nous rentrons. C'est petit. C'est mignon. C'est coquet. C'est bien rangé. Alex ne voulait pas me décevoir. Instinctivement, je me dirige vers la fenêtre que j'ouvre en grand. C'est une rue tranquille. Quand je me retourne, je vois Alex avec son téléphone qui me photographie. Je prends la pose. Je me cambre, la robe bien ouverte.
- Tu es si belle !!! Je te les transférerai tout à l'heure. Là j'ai envie de toi.
- Je vais te demander deux minutes. Je dois aller aux toilettes et me passer un coup d'eau fraiche. Tu peux me préparer un verre d'eau s'il te plait ?
Quand je sors de la salle de bain, je trouve Alex nu allongé sur son lit avec son téléphone à la main, il continue à prendre des photos. Aussi, je laisse tomber ma robe pour attraper men verre d'eau et me désaltérer.
Ensuite, je m'approche du lit pour venir ramper entre les jambes de mon amant pour atteindre sa queue dressée. Je la prends d'une main, tandis que de l'autre, je caresse ses bourses. Elles sont aussi dures que son sexe. J'imagine déjà une promesse de plusieurs jets de foutre bien épais…Je serre mes cuisses pour emprisonner mon bourgeon durci d'excitation, et j'approche ma bouche du gland violacé de mon amant. Son méat est bien ouvert. Une goutte pré-séminale perle. Je m'applique à la sucer délicatement avant d'enrouler ma langue autour du gland. Je sens Alex qui se cambre. Je prends mon temps. Ma langue monte et descend le long de son pieu. Un doigt inquisiteur caresse, puis force son anus. Ma bouche avale enfin le gland tout entier. Ma langue titille sa base. Je m'applique à avaler sa queue le plus loin possible dans ma gorge. Quand mon nez touche ses poils pubiens, je sais que j'ai réussi à l'enfiler totalement. Je sens mon amant tétanisé. Son excitation est à son comble… Délicatement, je sors sa queue de ma gorge. Ma bouche est pleine de salive. Je remonte en rampant sur le torse d'Alex pour venir l'embrasser à pleine bouche. Je sens son gland tout près de ma vulve. D'un coup, je m'empale.
J'attends quelques secondes avant de me redresser pour me positionner en amazone et chevaucher mon amant.
Il empaume mes seins. J'oscille, je monte et descends. J'apprivoise sa queue avant d'accélérer la cadence.
Rapidement, je sens une chaleur qui envahit mon ventre. Je frissonne. Les premières vagues de plaisir arrivent. J'augmente mes mouvements. Alex halète. Il maltraite mes seins et pince mes mamelons à m'en faire crier de douleur, et de plaisir mélangés. "Ouiiiiiiiiii. Je viens". Les vagues augmentent de puissance. Je sens perdre pied. Ma tête s'agite dans tous les sens. "Oui…… Viens !!!!" C'en est trop. Un orgasme fulgurant, puissant, me transperce pendant que de puissants jets de sperme inondent mon utérus. Je crie. Je pleure. Je m'effondre sur mon amant, sans force.
Alex me serre dans ses bras. Il m'embrasse dans le cou. Épuisée, je m'endors….
Ce sont les baisers de mon amant qui me sortent de ma torpeur. Alex me sourit.
- De retour chez les vivants ?
- J'ai dormi ? J'ai dû t'écraser.
- Oui, tu t'es assoupie quelques minutes. Oui, tu m'as écrasé et j'ai adoré ça !!!!
Je prends conscience que la queue d'Alex est toujours en moi. Lorsque je tente de me retirer, mon amant me fait rouler et je se retrouve sur moi. Il m'embrasse. Un baiser langoureux, long, aphrodisiaque… Sa queue reprend du volume. Après quelques va et vient dans ma chatte remplie de sperme, il décide de sortir, de me lever les jambes et de placer son gland devant mon anus. Celui-ci cède et laisse passer sans difficulté le pieu de mon amant. Une fois sa queue bien en place, Alex entame quelques va et vient avant de sortir puis de revenir dans mon vagin. Il va ainsi alterner les possessions en accélérant ses coups de boutoir. Je peux sentir ses couilles buter contre mes fesses. Ses assauts sont puissants et efficaces. Il me reste suffisamment de lucidité pour agripper mon bouton et pour l'astiquer. Mon corps, tout entier, est un sexe. Je sens mon désir m'envahir complètement. Alex me pince mes tétons, il me les mord. Je crie, je pleure. "Ouiiiii. Non… Encore... Oui… Ouiiiiii….. Je jouiiiiiiiiiis !!!!!!".
Ma jouissance fait craquer Alex qui s'extirpe de mon fondement pour venir juter dans ma bouche. Il enfonce sa queue énorme, odorante, couverte de cyprine et de je ne veux pas savoir quoi, dans ma bouche pour y lâcher plusieurs jets épais de sperme. Il m'inonde. Il m'étouffe. J'ai de réelles difficultés à déglutir pour tout avaler tellement sa semence est abondante. Mon amant me sourit. Il me badigeonne le visage avec sa queue. Je suis couverte de sperme. J'aime ça.
Alex s'allonge pour m'embrasser. Il me lèche le visage et me fait partager sa récolte. Hummmmm. J'adore. Ces moments orgasmiques et de bonheur sont indescriptibles. A cet instant, comme bien souvent, je pense à l'expression suivante, "Je jouis, je suis vivante".
Après un petit câlin, Alex se lève.
- Que dirais-tu d'un verre de Chablis bien frais ?
- Génial !!! Tu es parfait Alex.
Avant d'aller chercher la bouteille, Alex reprend quelques photos. Je ne sais pas dans quel état je dois être, couverte de sperme. C'est Paul qui sera content.
Pendant qu'Alex ouvre la bouteille, je regarde mes messages. Il y en a plusieurs, notamment de Paul et d'Yves.
Paul qui m'encourage et me souhaite une belle journée orgasmique.
Yves qui me confirme la venue d'Alice à l'appartement vers 18 heures trente, le temps pour Alice de se changer et pour lui de faire quelques courses.
Me voyant avec le téléphone en main, Alex m'interpelle.
- Attends, je vais t'envoyer les photos que j'ai prises.
- Voilà. C'est transmis.
Il m'apporte un verre et nous trinquons à l'amour.
- Dis, tu viendras me voir à Montpellier ?
- J'ai promis à Céline de venir très bientôt. Nous devons parler et, je crois que cette rencontre sera décisive pour la suite. Je passerai te voir seul ou avec Céline….
- Je te souhaite beaucoup de bonheur. Tu le mérites.
Nous reprenons un verre. Alex sort quelques sucreries pour accompagner le vin.
Je suis bien. Je suis épanouie. Je ne sais pas de quoi est fait mon avenir, mais "Carpe diem".
- A quoi penses-tu ?
- Je pense à l'instant présent. Sais-tu ce que veut dire l'expression "Carpe diem" ?
- Oui, je crois.
- La locution latine complète est extraite d'un poème d'Horace : "Carpe diem, quam minimum credula postero" que l'on traduit par : « Cueille le jour présent sans te soucier du lendemain ».
- C'est ma devise et je l'assume.
Le temps passe. Je suis bien avec Alex, mais je ne voudrais pas être en retard à l'appartement. Je prends une douche, me rhabille et quitte Alex désespéré.
- C'est vrai que tu pars déjà ?
- Oui. J'ai adoré ces moments que nous avons passés ensemble, mais Paul m'attend. J'ai mis ma vie montpelliéraine entre parenthèses, pour venir ici, mais maintenant je dois repartir.
- Je te contacte demain pour te dire à quelle heure mon TGV s'en va. Nous pourrons nous retrouver à la gare si tu veux et si tu peux, bien évidemment.
- Bien sûr que je serai là. Merci pour ces moments magiques que tu m'as fait découvrir. Je t'aime Éva. Prends soin de toi.
Il est 17 heures cinquante quand je suis en bas de l'immeuble. Je ne dois pas trainer. Tout en marchant, je consulte mes messages. Je sélectionne quelques photos prises par Alex que j'envoie à Paul et à Yves. J'informe ce dernier que je suis en route et que je devrais arriver à l'appartement vers 18 heures quinze.
J'ai bien marché. Je suis à la porte de l'immeuble à 18 heures dix.
Je rentre dans l'appartement. J'ouvre les fenêtres. Je jette un œil sur le catalogue de l'exposition que m'a offert Vincent. Une carte tombe sur la table. Il s'agit de la carte de visite de Vincent avec un mot. "Bon pour une visite très privée. J'ai hâte de vous revoir." Ce message est sans équivoque, me fait sourire. Je regarderai les horaires des trains demain. Je pense qu'une visite "très" privée devrait être possible.
Le temps passe. J'enlève ma robe et file sous la douche. La marche rapide m'a fait transpirer. Je mets une robe noire légèrement transparente. J'enfile une paire de bas noirs et mes Louboutin. J'ai juste le temps de mettre du rouge à lèvres que j'entends la porte s'ouvrir.
Une femme entre. Elle précède Yves qui est chargé.
Une belle brune. Pas trop grande, mais bien musclée, avec des petits seins.
Elle porte une petite robe blanche à fines bretelles qui met en valeur sa peau mate.
Je lui donne trente-cinq ans.
- Bonjour. Vous devez être Alice ?
- Oui, c'est cela. Bonjour.
- Ma chérie, j'ai proposé à Alice de manger avec nous. Je t'ai dit que c'était ma stagiaire préférée ?
Je vois Alice rosir.
- Oui, même qu'elle avait besoin de cours particuliers, je crois…Alice devient pivoine.
- Euhhhh..
- Ne t'inquiète pas Alice. Il n'y a pas d'inquiétude à avoir. Yves ne me cache rien, et moi, je lui dis tout. Je pense que nous allons passer une bonne soirée. Mets-toi à l'aise.
- Yves, va prendre une douche, je vais m'occuper de préparer ce que tu nous as acheté. Y a-t-il des consignes particulières ?
- Non, j'ai fait au plus vite, de façon à avoir du temps tous les trois. Vin et champagne comme d'habitude.
Je place le champagne et le vin blanc au congélateur.
- Alice, tu peux déballer s'il te plait. On verra comment présenter tout ça.
- Il y a des tomates cerises, des petits saucissons, des entrées grecques, des crevettes décortiquées, un plateau de fromages tout prêt. Là, j'ai des gressins, de la mayo, du pain et des framboises. Où sont les assiettes ?
- Là. Je te laisse faire.
Tandis que je sors les flutes à champagne, je vois Alice qui hésite devant la vaisselle. Je viens derrière. Assez près pour la surprendre, mais sans trop. Je la coince. Je susurre à son oreille.
- Tu trouves ce que tu veux ?
- Euhhh. Oui, je crois.
Je me penche encore plus près en collant mon bassin contre ses fesses.
- Hummm… Quel est ton parfum ? Il est frais et te va à merveille.
Alice me répond doucement.
- C'est J'Adore de chez Dior.
- Ah oui. Je me disais.
Je pose délicatement mes lèvres sur son cou pour l'embrasser. Alice frissonne.
- Yves a bon goût. Vous êtes très belle.
Alice est perturbée et ne semble pas savoir quoi répondre.
En sortant de la salle de bain, Yves sort Alice de son embarras.
- Et bien les filles ? Vous faites quoi là ?
Alice est embarrassée. Elle murmure…- Euhhh. Avec Éva je prépare le repas.
- Ah vous êtes parfaites les filles. Je vous laisse faire. Je vais préparer à boire et mettre un peu de musique.
Je le vois débrancher son appareil photo qui doit être rechargé depuis ce matin. Il branche son portable.
Quand il passe devant la table basse, il découvre le catalogue de l'exposition.
- Alors ? Elle était bien cette expo ?
- Oui, je me suis régalée. Alex est un guide attentif et prévenant. Il m'a fait également découvrir son appartement. J'ai adoré.
- -Je n'en doute pas...
Yves sourit en me disant cela. En feuilletant le catalogue, il fait tomber la carte de Vincent. A sa lecture, il se met à rire.
- Ah. Je vois que tu auras une visite "très" privée demain avec le directeur de la communication du musée ?
- C'est possible…. Mais tu sais, demain, je dois repartir. Mon mari m'attend.
Alice semble totalement perturbée par ce qui se passe dans cet appartement. Ses repères, ses certitudes, sont battus en brèches.
- Voilà. Le champagne, pour vous mesdames.
Il tend une flute à Alice qu'il embrasse délicatement sur les lèvres, puis m'en donne une et m'embrasse également.
- Santé. Trinquons à l'amour.
- Santé.
Yves s'assois et prend la main d'Alice pour la faire venir se placer sur ses genoux. Moi, je me place de l'autre côté.
- Dites-moi. Comment s'est passée ta journée Yves ?
- Elle s'est super bien passée et mes stagiaires sont tous sympas. Bon, Alice, c'est un peu plus que ça. Dire que le séminaire se termine demain. Nous allons nous séparer.
- Ah, au fait, il faut que je te dise Éva, mais peut-être qu'Alice t'en parlera davantage ultérieurement, mais Alice habite tout près de chez toi, à Nîmes.
- Oui, moi j'habite près de Montpellier. Nous avons une maison très agréable. N'est-ce pas Yves ? Tu sais, Yves et Paul, mon mari, sont amis. Ils sont comme des frères. La distance ne simplifie pas les choses.
- Tu es mariée, tu as des enfants ?
- Oui, je suis mariée à Manu depuis près de quinze ans et j'ai deux enfants.
- Assez papoté les filles. A l'attaque !!!
Pendant que nous mangeons, je vois les mains d'Yves qui caressent les cuisses d'Alice et les force à s'ouvrir. Il l'embrasse dans le cou. Petit à petit, le champagne aidant, Alice semble se détendre.
Une fois la bouteille finie, Yves va chercher le Chablis. Quand il revient, il me fait signe de me lever et prend ma chaise et m'entraine sur ses genoux. En m'asseyant, ma robe remonte et laisse voir la lisière de mes bas. Yves me caresse à mon tour et m'embrasse aussi. Alice nous observe.
- Non !!! ça ne va pas.
Il me demande de me lever.
- Vous allez toutes les deux vous assoir sur mes genoux. Comme cela il n'y aura pas de jalouse. Vous allez vous assoir face à face.
Alice et moi nous nous trouvons alors très proches. Les jambes emmêlées. Tout en grignotant, Yves nous caresse. Il passe de l'une à l'autre. Nous embrasse, l'une après l'autre… Ses mains montent haut sur nos cuisses. Je vois Alice qui se mord les lèvres. Son excitation doit commencer à la prendre au ventre…Cette fois, quand Yves embrasse son épaule nue, il fait négligemment tomber une des bretelles de sa robe. Je vois Alice frissonner. Yves lui tourne délicatement la tête pour l'embrasser. Un baiser délicat, des baisers dois-je dire. Sa bouche picore les lèvres de la femme qui s'abandonne. Yves profite que la bretelle soit tombée pour glisser sa main dans le décolleté d'Alice et mettre à nu sa jolie poitrine. Aussitôt, il lui empaume un sein et pince délicatement son téton. La femme se pâme. Les yeux fermés, elle ronronne. Je comprends pourquoi, le coquin a glissé une main entre ses cuisses et je vois ses doigts qui s'activent.
Je me lève pour laisser un peu d'intimité aux deux amants.
Je m'assois sur le lit. Je prends mon téléphone et filme le couple. Le haut de la robe est descendu et découvre la jolie poitrine d'Alice. Yves tourne la tête et me regarde. Il me fait un clin d'œil avec un grand sourire. Je me lève pour mettre en route la vidéo de l'appareil photo. Me voyant faire, Yves redresse Alice et se serre contre elle pour danser au rythme de la musique. Le couple s'embrasse. Les mains d'Yves s'attardent sur les fesses de sa cavalière qui se cambre sous ses caresses. Alice se laisse mener, les yeux fermés. Yves la retourne pour se placer derrière elle. Il l'embrasse dans le cou. Elle ronronne de plaisir. Les mains d'Yves empaument les seins et ses doigts pincent un peu plus fort les mamelons durcis d'excitation. Alice proteste sous la douleur, et se cambre pour frotter ses fesses contre le sexe de son cavalier. Yves mordille son cou et je vois sa main descendre sous la robe pour prendre possession du sexe de sa jolie stagiaire qui se cambre encore davantage. Yves se colle plus fermement contre elle et sa main est plaquée sur le bas-ventre de la belle. Je perçois ses doigts qui entreprennent activement son clitoris. Alice agite sa tête dans tous les sens. Yves a trouvé le rythme convenant à sa maîtresse. Elle est totalement soumise à l'homme qui la possède devant mes yeux. Il la soumet avec fermeté. Ses doigts martyrisent un téton. Il l'étire au maximum. Alice gémit, crie "Aieee. Non…….. Oui……… Encore…". Le bout est gonflé et violacé, couleur framboise. Je suis excitée face à la scène offerte par les amants. Je soulève le bas de ma robe et me branle, sans vergogne, devant le corps soumis d'Alice. Je m'aperçois alors seulement qu'elle a les yeux grands ouverts et qu'elle me fixe, excitée par la vue que je lui offre en retour. Elle semble attendre quelque chose… Je m'approche d'elle alors et prends ses mamelons martyrisés dans ma bouche. Ma langue les lèche, les suce, les aspire, les tète, les titille. J'en bave de plaisir. Je sens Yves qui se détache d'Alice. Il se déshabille rapidement. Je peux admirer sa queue prête à nous saillir. Une bouffée de chaleur m'envahit. Je vois le coquin prendre l'appareil photo et nous filmer de près. Je quitte la poitrine d'Alice pour plaquer ma bouche sur la sienne. Je me sens conquérante. Alice est soumise. Elle me laisse jouer avec sa langue. Je l'enlace encore plus fortement. Mes jambes flageolent. Je sens la cyprine qui coule entre mes cuisses.
Yves, maintenant totalement nu, revient se plaquer derrière elle. Il reprend possession de ses seins et de ses mamelons, tout en l'embrassant dans le cou. Je sens Alice défaillir. Elle perd pied. Yves la retourne et sa bouche remplace la mienne. Je profite de la situation pour passer ma robe au-dessus de ma tête avant de revenir près d'Alice. Délicatement, je descends son zip jusqu'en bas. Sa robe s'ouvre entièrement et j'ai une vue privilégiée sur sa chute de reins et ses fesses fermes. A mon tour, j'appuie fermement mes seins sur son dos. Je sens Alice qui se crispe, puis se cambre. Nous dansons tous les trois dans un slow enivrant. La chambre se remplit d'une forte odeur de sexe. Les respirations se font plus courtes.
Je prends l'initiative. Je me détache pour me mettre à quatre pattes sur le lit. Aussitôt, Yves pousse Alice vers moi.
- Alice, mets-toi sur Éva. Là, oui, comme ça. Je vais vous baiser toutes les deux.
Yves se place derrière Alice et la pénètre d'un coup.
- Ohhhh. Doucement, tu es trop gros.
Yves ressort et s'enfonce en moi cette fois.
- Ouiiii. Baise-moi.
Yves commence à aller et venir dans mon étui détrempé, mais Alice ne semble pas d'accord, et d'un coup de rein, elle éjecte Yves de ma chatte.
- A moi !!!!
- Tu es sûre ?
- Ouiiiiii. Bourres-moi.
- Ne vous battez pas les filles. Il y en aura pour toutes les deux.
Yves jubile. Il nous baise ainsi toutes les deux en alternant. Les coups de boutoir d'Yves me font perdre la tête. Des vagues de chaleur m'envahissent successivement et m'emportent. J'halète, je crie.
- Ouiiii. Encore. Reste. Non. Ouiiiii. Encore.
Alice ne semble pas insensible au pilonnage de notre amant.
- Ouiiii. Ouiiiii. Ouiiiiiiiii. Encore… A moi !!!!
Elle me mord l'épaule. Elle empaume mes seins et étire mes mamelons. Je me cambre. J'entends Yves qui claque les fesses de sa stagiaire. Il est emporté par son excitation de baiser ses deux maitresses en même temps. Il souffle bruyamment. Je ressens un grand vide chaque fois qu'il se retire. Quand il revient, il s'enfonce puissamment. A chaque poussée, je peux sentir ses couilles qui cognent contre mon clitoris. J'ai l'impression qu'Alice me mord jusqu'au sang. Mes tétons sont martyrisés.
- Ahhh salope. Tu me tues avec tes doigts.
La queue d'Yves me défonce. Je frissonne. Un orgasme est à l'approche. Il est puissant, violent. J'ai le souffle court. Je me crispe….
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiii… Je jouiiiiiiiiiis.
Je sens le corps d'Alice qui tremble et qui se tend… Sa jouissance suit la mienne de peu.
Ereintée, sans force, je m'affaisse.
Satisfait, Yves se redresse pour faire baisser la tension. Il ne semble pas vouloir jouir de suite. Je l'entends reprendre son souffle. Il a beaucoup donné. Alice, roule sur le côté pour se mettre sur le dos. Ses mains caressent mes fesses.
- Hummmm.
Yves remplit nos verres et nous les apporte. Le Chablis, bien frais, est bienvenu. J'ai la gorge sèche. Nos regards se croisent avec Alice et nous nous mettons à rire aussitôt. Nous aurions besoin de nous passer un peu d'eau fraîche sur le visage et de nous donner un bon coup de peigne…Yves jette un œil à son appareil photo. Il semble satisfait. Il revient vers nous prendre nos verres.
- Bon, les filles. A vous de travailler un peu. Vous avez devant vous une belle queue qui aimerait avoir les attentions de vos petites bouches de salope.
Yves, au moins, est direct. Alice et moi nous nous mettons à genoux et nous nous partageons le sceptre de notre maître. Nos langues montent et descendent, s'amusent avec le gland, titillent son méat. Nos mains se disputent ses grosses bourses, bien fermes. Nos bouches prennent possession alternativement de sa queue. Nos langues se touchent, nos bouchent se collent autour de son gland. Nous nous régalons. Yves est droit, sa tige bien dressée. Il ronronne de plaisir. Je pourrais m'occuper de sa queue pendant des heures. Elle est si bonne. J'adore son odeur, sa texture. Je ne m'en lasse pas. Ma vulve est trempée d'excitation…
C'est Yves qui interrompt nos caresses. Il s'allonge sur le lit et donne ses ordres.
- Alice, tu vas venir t'empaler sur moi, oui, comme ça.
- Éva, tu vas t'asseoir, à califourchon, sur ma bouche. Je veux te baiser avec ma langue…
Je place ma vulve trempée de cyprine sur la bouche d'Yves. En même temps, j'envie Alice qui est possédée par le pieu de chair de mon amant.
Je me trouve face à face avec Alice. Je commence à ressentir les caresses de la langue dure et agile d'Yves. Elle me fouille la vulve et tourne autour de mon clitoris. Sa bouche me boit, me lèche et aspire mon bouton. Je sens une bouffée de chaleur m'envahir.
Alice a pris la mesure de la queue d'Yves. Elle a les yeux fermés. Elle ondule son bassin pour faire monter son plaisir, ainsi que celui d'Yves. Elle gémit. Elle passe sa langue sur les lèvres. Ce spectacle m'excite. Quand elle ouvre les yeux, nos regards se croisent. Nous nous sourions, conscientes de partager un plaisir intime rare. Nous nous enlaçons. Nous nous embrassons langoureusement en remuant nos bassins de manière synchronisée. Cette communion nous emporte vers une jouissance incontrôlable. Je sens un orgasme qui s'approche, lentement, mais sûrement. Nos ondulations génèrent des ondes de plaisir profondes et inouïes. Nos bouches se crispent, nos corps se tendent et nous jouissons simultanément. Nous restons quelques instants dans les bras l'une de l'autre. Yves est à bloc. Il se redresse et vient se placer face à nous, sa queue près de nos visages.
- Je vais vous lâcher toute ma crème. Ouvrez bien vos bouches et sortez vos languesYves agite sa queue devant nos visages et, très vite, sa respiration s'accélère. Il se contracte.
- Haaaaaaa.
Plusieurs jets de foutre giclent sur nos langues et nos visages.
Alice et moi, nous nous léchons mutuellement pour recueillir la semence dispersée. Un baiser finit de sceller notre échange, puis nous revenons rapidement vers la queue de notre amant pour la lécher et boire les ultimes gouttes de crème.
Satisfait, Yves retourne remplir nos verres. Voilà, la bouteille est finie. Pendant qu'Yves va prendre une douche, Alice et moi nous bavardons. Elle me parle de son mari, Manu, qui, comble de l'ironie, la pousse depuis quelques mois à avoir des relations avec d'autres hommes. Cela ne l'intéressait pas jusqu'à maintenant. C'est Yves qui avait été le déclencheur. Elle était restée bouche bée devant lui toute la journée d'hier et n'avait pas pu résister à l'entraîner dans sa chambre. C'était la première fois qu'elle trompait Manu et, elle avait pris beaucoup de plaisir à braver l'interdit et à se soumettre à Yves. Curieuse, elle avait accepté l'invitation à manger d'Yves. Elle avoue avoir été entièrement emportée par ses sens qui ont fait tomber toutes ses barrières. Elle ajoute qu'elle ne regrettait rien.
- Crois-tu que je devrais en parler à Manu ?
- Je ne sais pas. Les hommes aiment maîtriser. Là, tu as choisi de t'émanciper sans lui demander son avis. Son ego risque de mal le prendre.
- Je te suggère de te rapprocher de lui quand l'occasion se présente et de concéder que tu serais prête à accepter d'aller plus loin avec lui. Pourquoi pas de venir chez nous à Montpellier. Il suffit de trouver un bon prétexte, et on verra bien. Je saurais mettre une ambiance pour inciter ton Manu à se laisser aller. Je te donnerai mes coordonnées, mail et téléphone et on maintient le contact si tu veux. Et puis, des fois qu'Yves vienne me voir, je pourrai t'appeler…- Merci Éva, tu es adorable. Je comprends pourquoi Yves t'aime autant.
C'est à ce moment qu'Yves sort de la salle de bain. Il est toujours nu.
- Que complotez-vous les filles ?
- Rien, rien, on papote !!!!!
- On va aller prendre une douche, à notre tour.
La douche à l'italienne nous accueille toutes les deux sans difficulté. Je commence à savonner Alice. Ensuite, elle s'occupe de moi. Nous nous enlaçons. Nous frottons nos corps savonnés l'un contre l'autre. Nous nous embrassons sous le jet de l'eau chaude. Je retourne Alice pour empaumer ses petits seins fermes et malaxer ses mamelons avec mes doigts. Alice se cambre. Son bassin s'appuie contre le mien. Ma main droite descend vers son sexe. Mes doigts fouillent sa vulve, pour, ensuite, s'attarder sur son clitoris que je caresse fermement. Je l'embrasse dans le cou. Mes doigts martyrisent son téton. Alice gémit.
- Aie…Je la sens se tendre, se crisper. Son orgasme est proche. Elle halète. Je pince plus fortement son mamelon. Elle crie. Tout son corps se raidit et, d'un coup, je la sens se relâcher. J'attends quelques instants avant de la libérer. Alice se retourne, pose ses bras sur mes épaules et m'embrasse.
- Merci- J'adore donner du plaisir. Tu es très belle Alice quand tu jouis. Tu as un superbe corps, ferme et musclé. Je t'envie….
- Toi aussi Éva, tu es très belle et très sexy. Je ne sais pas comment dire, tu rayonnes. Et tes seins !!!!!
Nous nous rinçons. Nous nous essuyons et après avoir un peu redonné forme à notre coiffure, nous rejoignons Yves. Tout est rangé.
Il est sur le balcon. Il regarde les petites vidéos qu'il a faites ce soir. Il semble satisfait. Nous le rejoignons. Nous sommes nus tous les trois.
- Vous êtes magnifiques les filles. Je pense avoir assez de batterie pour faire quelques photos. Là, comme cela. Oui, appuyez-vous contre la rambarde. Enlacez-vous. Je veux pouvoir saisir l'amour et le plaisir que vous avez vécu ce soir.
Tout en riant, nous nous enlaçons. Pour satisfaire Yves, nous nous embrassons et nous nous caressons devant son objectif.
- Rahhhh. Plus de batterie. Merci les filles. Vous avez été supers ce soir. J'ai adoré vous faire l'amour.
- Et merci pour tout le plaisir que vous m'avez donné.
Ajoute-t-il avant de nous rejoindre et de nous embrasser.
- Bon, toutes les choses ont une fin. Demain, nous repartons tous dans nos chaumières.
- Attendez. Je fais une photo de vous deux.
- Je prends mon téléphone et, imitant Yve : "Enlacez-vous. Je veux pouvoir saisir l'amour et le plaisir que vous avez vécu ce soir".
Tout en riant, Yves enlace Alice et l'embrasse, puis la caresse. Alice, elle tient ben fermement la queue de son amant avec un large sourire.
Nous rentrons dans la chambre. Je propose à Alice de prendre son téléphone pour enregistrer mes coordonnées.
Il se fait tard. Nous nous couchons tous les trois dans le lit. Yves dormira entre nous deux.
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