Petite balade à Sète pour Éva (4° et dernière partie)

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Auteur femme.
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Récit libertin : Petite balade à Sète pour Éva (4° et dernière partie) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-02-2021 dans la catégorie Plus on est
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Petite balade à Sète pour Éva (4° et dernière partie)
14° Chapitre : Carole veut faire une surprise à son mari.

Carole veut faire une surprise à son mari. Elle veut qu’on la rase. Elle a tellement apprécié le sexe de Éva tout lisse que Carole veut offrir ce cadeau à son mari qui ne va pas tarder à arriver la rejoindre… Paul va dans la salle de bains préparer son rasoir, sa mousse et son blaireau. Il revient avec ses petites affaires : un gant de toilette trempé dans l’eau chaude et un verre d’eau chaude. Carole s’allonge confortablement. Éva se serre contre elle tendrement et Paul commence à lui tailler les poils avec ses petits ciseaux à barbe. Quand les poils sont courts, Paul passe le gant humide et chaud avant de passer la mousse avec le blaireau.
Carole est bien, confiante, elle se laisse faire. Paul est affairé.
La première fois, c’est toujours un peu difficile, car il faut y aller progressivement et sans irriter la peau. Après le quatrième passage du rasoir, la peau est lisse jusqu’à son petit œillet tout brun. Paul repasse le gant, pour enlever toute la mousse. Le sexe de Carole, ainsi mis à nu, est magnifique. Paul va chercher mon miroir pour montrer son chef d’œuvre à Carole qui rougit de honte… Il prend plaisir à photographier la belle Carole ainsi dénudée dans son intimité.
- "C’est la première fois" avoue-t-elle…Son sexe est un peu rouge, aussi je prends soin de lui passer une crème apaisante. Aucun repli, aucun recoin n’est oublié. Je suis comme hypnotisée par ce sexe tout lisse : une œuvre d’art qu’on aimerait peindre… Ce sexe m’attire. Il me parait beaucoup mieux dessiné, mieux proportionné et davantage symétrique que le mien. Je passe et repasse mes doigts. Cette caresse magique agite Carole qui sent son désir monter et qui se cambre… Sa bouche s’ouvre et dans un souffle, elle arrive à prononcer quelques mots :- Continue s’il te plait, ne t’arrête pas c’est trop bon, je vais jouir.
Paniquée je regarde Paul qui fait "oui" avec la tête et je me concentre sur cet objet de désir pour lui donner le plaisir réclamé. Je devenue rouge. C’est la première fois que je caresse et masturbe une femme. J’ai soudain une envie folle de lui donner ce plaisir réclamé. L'érection de Paul suffit pour me donner des ailes. Cela n’a pas duré très longtemps. Les jambes de Caroles se sont crispées et rapidement elle s’est mise à crier. Un râle puissant :- « Ouiiiiiiiii, encore, ne t’arrête pas, c’est un gros, il est là… ».
Je m’applique pour offrir cet orgasme demandé avec tant de force. Je serre les cuisses car je sens, moi aussi, que je vais jouir. Carole se cambre et hurle…- « Ouiiiiiiiii, je jouiiiiiiiiiiiiis….. ».
Aussitôt emportée par la jouissance de ma nouvelle amie, je me tends et jouis.
Une fois la fièvre retombée, Carole se tourne vers moi pour me câliner tendrement, puis, prenant conscience de l'heure qui passe, Carole se lève et se rhabille rapidement sans se doucher. Elle veut garder notre odeur, pour l’offrir à Jean.
Paul prend la place de Carole et me caresse à son tour. Je ronronne de plaisir.
- "Que nous arrive-t-il mon chéri ?"- "Je pense que nous venons de franchir une étape. Notre amour est si fort que nous souhaitons que l'autre atteigne un plaisir encore plus grand que seul il ne peut donner. Une croyance limitante vient de tomber. Et puis, je vais t'avouer une chose. Je prends également beaucoup de plaisir à te voir prendre du bon temps dans les bras d'un autre homme !!! Ou d'une femme !!!"Il ajoute avec un clin d'œil.
- "Je comprends ce que tu dis. Mais j'ai peur que tu prennes davantage de plaisir avec une autre femme et que tu m'abandonnes."- "Cela pourrait être le cas si notre amour n'était pas aussi grand. Nous sommes mariés depuis tant d'années et je t'aime chaque jour davantage. Te voir prendre du plaisir m'excite, mais m'émeut également. Tu es encore plus belle quand tu jouis. La seule règle, est bien évidemment de ne rien cacher à l'autre. Je t'aime si fort."- "C'est cela le candaulisme dont tu me parles quelquefois ?"- "Oui, tout à fait. Je peux m'exciter à te voir faire l'amour devant moi avec un autre homme, ou une femme !!!"- "J'assimile bien cette vision de l'amour, mais j'ai peur que tu me juges et que tu me disputes, ou pire, que tu me quittes après m'avoir vu jouer, séduire, baiser avec un autre homme !!!"- "Non, ne crains rien. Au début, tu me regarderas et je te ferai signe de continuer. Ensuite, tu verras, tu oublieras de me regarder, sauf avec un clin d'œil complice !!! Bon, dépêchons-nous, Paolo ne va tarder à venir nous chercher."Ah… Paolo. Je n'y pensais plus. A la lumière de ce que vient de me dire Paul, je me mets à imaginer des choses… des folies !!!! Bon, nous verrons. Il faut bien un début à tout. Et pour l'instant, je dois avouer, avec encore un peu de honte, que tout cela m'excite.
- "Qu'est-ce que je mets ?"- "Ta petite robe chemise à bretelles blanche t'ira très bien. Mais prends quand même un gilet car il peut faire frais quand on est au large."- "Je n'ai pas de maillot de bain".
- "Moi non plus. T'inquiète".
T'inquiète, t'inquiète… C'est facile à dire pour mon chéri.
La petite robe très légère à une particularité, elle a été faite maison. Paul en a fait le patron. Elle a des boutons devant et derrière !!!! C’est la préférée de Paul.
Au moment de fermer la porte, Paul repense à l'apparition hier soir.
- "Au fait, il faudra qu'à un moment, tu m'expliques comment tu as connu Carole".


15° Chapitre : Départ en mer avec Paolo.

Nous descendons au bar de l'hôtel reprendre un café, deux cafés, car la nuit a été agitée et la journée s’annonce électrique. Au moment où nous terminons notre second café, Paolo passe la porte.
- « Allez, on y va, la mer est belle et il faut que je passe prendre Maria qui veut venir avec nous… »Je pense, décontenancée par la venue de l'intruse : « Encore cette Maria ! ». Moi qui me faisais une fête de cette croisière…
Une fois dehors, je découvre la voiture de Paolo. Lui aussi a une voiture de société, mais, c'est une Fiat Multipla à 3 places.
- « Allez, Éva, tu viens t’asseoir au milieu, entre nous. »Paolo, ouvre la portière côté passager et laisse passer Éva dont la robe légère remonte bien haut. Comme hier, Paolo, la gratifie d’une petite caresse sur les fesses en passant… mine de rien… Une manière de vérifier qu’elle ne porte toujours pas de sous-vêtement, le coquin…
Cette troisième place est une vraie place, mais Éva en s’asseyant n’a guère de possibilités pour couvrir ses cuisses. Et si elle le pouvait, le ferait-elle ? Et en plus, le levier de vitesse est sur le tableau de bord. Et chaque fois que Paolo change de vitesse, sa main caresse nonchalamment ma cuisse. J’apprécie ses attouchements doux et électriques… Il ne faut pas beaucoup de temps à Paolo pour arriver chez Maria qui est prête et qui nous attend devant sa maison. Elle est magnifique avec une robe proche de celle d'Éva, blanche également. Je surveille mon mari qui est trop dans la séduction devant elle. Je ne suis pas jalouse, mais je ne me sens pas d'humeur prêteuse.
- "Hummmm, deux belles brunes…" dit Paul.
Paolo, range les affaires de Maria derrière et lui dit de venir s’asseoir sur les genoux de Paul qui n’en attendait pas tant. Une fois assise, sa robe, comme celle d'Éva, ne cache pas grand-chose… Difficile de savoir si elle porte une culotte ou un maillot. On distingue juste les aréoles de sa lourde poitrine à travers le fin tissu… Paul est obligé de se contorsionner pour ranger le bazar qu’il a dans son pantalon. Paul enlace Maria… Et nous voilà partis, direction le port…Durant le trajet, les caresses de Paolo se font plus précises. Il caresse négligemment mes jambes et mes cuisses. Dès que sa conduite le lui permet, il tourne sa tête et m'offre son plus beau sourire. Je craque… Je sens ma vulve qui s'humidifie et, bien évidemment, je ne fais rien pour éviter son contact. Au contraire, chaque virage amplifie l’écartement de mes cuisses, comme une invitation à pousser davantage ses investigations. Je me dis que je deviens folle. Comment puis-je me comporter ainsi et désirer le contact d'un autre homme que mon mari. Et pourtant, en même temps, je rage de voir mon Paul faire de même à Maria, qui ronronne de plaisir : la salope !!!! Pour tous les quatre, le trajet est malheureusement trop court. Une fois la voiture arrêtée, un grand silence s’installe. Tous les quatre sont sous le charme de cette tension électrique. Je sors ce petit monde de sa torpeur : - « Heu, je crois que nous sommes arrivés, non… ?!! »Et, aussitôt, tous les quatre ont ri, ce qui a pour effet de faire retomber la tension. Tandis que Paolo et Paul préparent le bateau, Maria et moi, nous montons toutes les affaires qui sont dans la voiture…Le temps est superbe.
Une fois, tout réglé, Paolo s’écrie : - « allez mes amis, en route pour une balade inoubliable… »Nous larguons les amarres et nous voici partis. Maria s’est positionnée sur l’avant. Cela doit être sa place attitrée. Paul et moi nous sommes sur le pont près de Paolo… Je suis serrée contre Paul car mon appréhension, en dehors du contexte électrique, reprenait le dessus.
Une fois au large, Paolo s’adresse à moi.
- "Je vois que tu n'es pas rassurée. Je pense qu'il faut que tu sois plus active pour oublier tes craintes. Viens près de moi pour que je te fasse piloter mon bateau".
J’hésite malgré mon envie irrésistible de venir me frotter contre Paolo. Le beau Paolo, qui torse nu, dirige son voilier d’une main de maitre. Alors que je regarde Paul, celui-ci me fait signe d'y aller, conformément à ce qu'il avait dit ce matin. Prenant son courage à deux mains, et sous les encouragements de son mari, je me décolle de mon chéri pour aller rejoindre Paolo. Il me place devant la barre du gouvernail. Paolo prend mes mains pour les poser sur la barre. Il m’explique au creux de l’oreille comment il faut faire et pourquoi, afin de diriger au mieux le bateau en fonction du vent et des courants. Je panique. Le souffle de Paolo sur ma nuque la fait frissonner.
Paolo est plaqué contre moi et je peux sentir son sexe durci contre mes fesses. Mes jambes flageolent. Afin de bien me positionner, car je suis plus petite que lui, il écarte mes jambes pour me faire monter sur les rebords du pont. Cette position est terrifiante car mes cuisses sont alors largement ouvertes. Je me sens mouiller. Ma cyprine coule le long de mes cuisses ; mon sexe est gonflé de désir.
L’air chaud s’engouffre sous sa robe et caresse mon sexe…Paolo, ce coquin, me laisse là interdite. Il me semble être crucifiée sur l’autel du désir… Et impossible de resserrer mes cuisses… J’essaie de me concentrer sur ce que venait de me dire Paolo pour tenter d’oublier mon désir. Mais celui-ci est trop fort, je perds pied. Il est impossible de me concentrer.

C’est alors que j’aperçois « mon » Paul à côté de Maria, nue à la proue du navire. Paul la photographie sous tous les angles : le cochon ! Et moi qui suis là abandonnée, … Je prends soudainement conscience de l'absurdité de ma réaction, car je suis entièrement SEXE à ce moment-là. Je me sens prête à tout pour que Paolo me regarde, pour que Paolo me reparle dans le cou, pour que Paolo me touche…C’est à ce moment que Paolo revient derrière moi. Surprise, je pousse un cri car je ne l’avais pas entendu s'approcher. Il me reparle à l’oreille - « Tout va bien ma petite Éva, tu es une championne. Reste en ligne, comme cela et surtout ne lâche pas la barre. Garde bien tes mains serrées. Voilà. On est bien là, non ? »- « Ouuui » Je m'entends bégayer. J'ai la gorge sèche …- « Tu n’as pas trop chaud, sous ce soleil .. ? »Ne sachant pas quoi dire, je ne réponds pas à Paolo. Prenant cela pour un encouragement, Paolo retire ses mains de la barre pour les poser sur mes hanches. Je suis tétanisée. Je jette un œil à Paul qui est bien trop occupé avec Maria pour se soucier de moi. Paolo descend lentement ses mains le long de mon corps jusqu'à atteindre le bas de ma robe et mes cuisses nues. Je suis figée, paralysée, tétanisée et cette position qui m’empêche de resserrer mes cuisses. Je me sens vivre un vrai supplice, un magnifique et délicieux supplice. Je me laisse aller. C'est plus facile. J'ai l'impression que je ne suis pas responsable de ce qui arrive. Je ne fais que subir, impuissante. Je ferme les yeux, m'agrippe à la barre et mords mes lèvres …C’est à ce moment que les doigts de Paolo défont un par un chacun de mes boutons à l'arrière de ma robe… Mon dos nu, mes fesses nues apparaissent en pleine lumière !!! Le vent gonfle ma robe qui ne tient que par miracle grâce à mes fines bretelles. J'ouvre les yeux et je vois Paul qui me regarde et me sourit tendrement. Il me fait un signe de la tête. Je comprends alors que je suis prête à m’offrir à Paolo.

Paolo prend son temps. Cela fait un petit moment qu'il désire Éva. Quand il avait fait connaissance de Paul, ce dernier avait partagé ses photos. Et quand Paolo lui avait demandé s'il se sentait prêt à partager sa femme, Paul avait répondu par l'affirmative. Quelques semaines avaient passé, mais le souvenir de l'image d'Éva était toujours aussi présent dans sa tête qu'au premier jour qu'il l'avait vue. Il se rappelle, quand, enfin, il l'avait aperçue, toute timide, à l'accueil de l'hôtel. Il avait eu aussitôt une terrible érection. Érection qui déforme son short maintenant, avec Éva à portée de ses doigts. Oui, il veut prendre son temps, il l'a tellement désirée.

Ses mains sont posées sur mes hanches dénudées par le vent. Il jubile à la vue de mon grain de peau. Si doux et qui sous ses caresses se hérisse. Je frissonne de plaisir. Ses mains remontent lentement sur les côtés jusqu'à mes épaules qu'il empoigne plus fermement avant de m'embrasser le cou. Je me se cambre. Mon cul s'appuie sur son membre raide de désir. Nous débordons de désir l'un pour l'autre. Tout en promenant sa bouche le long de mon cou, il m'embrasse, me mordille, me lèche.
Soumise, je tends ma tête en arrière, mes mains toujours bien arrimées à la barre. Paolo redescend lentement ses mains plaquées le long de mon dos. Je suis secouée de tremblements. Ses mains atteignent maintenant mes fesses, qu'il caresse plus fermement, ses pouces écartent mes globes. Je gémis. Paolo se débarrasse rapidement de son short. Sa bite, libérée, expose toute sa virilité. Ses mains glissent maintenant vers mon ventre, puis m'enlacent. Il plaque sa verge contre mes fesses pour me montrer son désir.
Je succombe à mon désir pour Paolo. Je me cambre à nouveau pour lui offrir mon cul, pour qu'il me pénètre, là, maintenant. Je veux le sentir tout entier en moi. Paolo remonte ses mains qu'il vient plaquer sur mes mamelles. Comme envoutée, j’agite mon corps dans tous les sens. Paolo revient me mordiller le cou avant de glisser sa queue entre mes fesses. Je n’en peux plus. J’ondule mon bassin jusqu'à faire en sorte que le gland de mon amant se trouve au-devant de ma vulve trempée et me recule d'un coup, enfonçant la bite de Paolo tout au fond de mon utérus. Je pousse un cri rageur "Ahhhhhhhhh". Un mélange de plaisir et de douleur.
Aussitôt, je prends l'initiative. J’ondule mon bassin autour du pieu ferme et long de mon amant. Je gémis "Ouiiiiiiiiiiiii". Paolo jouit de la façon dont je me donne. Un grand sourire aux lèvres, il profite des sensations que je lui offre. Ses doigts ont attrapé mes tétons qu'il malaxe doucement, puis, de plus en plus fortement. Je hurle : "Aieeeeeee" puis, aussitôt, je crie - "Ouiiiiiiiiiii. "Vas-y, baise-moi fort !!!" Paolo ne se fait pas prier, ses doigts toujours accrochés à mes mamelons, il entame des va-et-vient de plus en plus rapides, de plus en plus puissants, de plus en plus profonds. Ma chatte est trempée. Des clapotements intimes s'ébruitent sur le bateau. Je crie, j'hurle, je pleure, soumise à des sensations antagonistes, de douleur et de plaisir, qui se mélangent et qui amplifient ma jouissance. Une vague de chaleur envahit mon corps. C'est avec une grande joie que j’accueille l'arrivée d'un orgasme qui ne peut être que démesuré. Je me tends et me cabre, ce qui a pour effet concomitant de serrer la bite de mon amant, de la sentir grossir et d'enclencher un orgasme qui me submerge totalement.
- "Ouiiiiiiiiii. Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis."Simultanément, Paolo se contracte et lâche plusieurs jets de semence au fond de mon utérus.
- "Rahhhhhhhhhhhh".
Vidée de toute énergie, je m’effondre sur la barre. Toujours en moi, Paolo me redresse et m’enlace fermement. Il me faudra une minute ou deux pour sortir de ma torpeur. Je prends conscience que Paolo est toujours en moi et quand, je lève la tête, je vois Paul qui s'est rapproché avec son appareil photo à la main, en train de filmer. Il arrête la vidéo et donne son plus beau sourire à sa belle épouse qui vient de jouir avec un autre homme devant ses yeux. Satisfait, il retourne rejoindre la belle Maria qui se fait bronzer.

Après s'être retiré, Paolo bloque la barre, puis m’attrape et me fait descendre de sa position surélevée. Aussitôt, je me retourne et embrasse fougueusement mon amant, totalement libérée d'avoir su, d'avoir pu, faire l'amour avec un autre homme et y avoir pris autant de plaisir avec l'aval de mon mari. Je sens des coulées de sperme qui s'échappent de mon vagin. En riant, je recueille la semence, comme je peux, et la porte à ma bouche en regardant Paolo droit dans les yeux, puis je l'embrasse à nouveau pour sceller notre union avec un baiser humide constitué d'un mélange de sperme et de salive.
Je m’aperçois que la queue de mon amant s'appuie encore fermement contre mon ventre. Malicieuse, je m’accroupis pour la prendre en bouche. Je lèche délicatement son gland recouvert de cyprine et de sperme, pour ensuite le gober et prendre beaucoup de plaisir, en profitant de cette magnifique bite qui m'a faite tant jouir. Paolo se laisse faire. Il apprécie la bouche suave de son amante et sa langue qui titille son gland. Je m’excite beaucoup à ce petit jeu. Je caresse mon bourgeon dur et détrempé de ma main gauche. Totalement remise de mon orgasme, je me redresse et reprends ma place contre la barre et cambre mes fesses comme une invitation. Sollicitation à laquelle Paolo répond immédiatement. Il revient près de moi et caresse mes fesses. Sa main passe facilement entre mes cuisses écartées. Il glisse ses doigts dans ma vulve trempée et en recueille un mélange de semence et de cyprine qu'il porte à ma bouche. Je les lèche avec avidité. Satisfait, Paolo replonge sa main entre mes cuisses pour jouer avec mon bourgeon et pour enfoncer son pouce dans mon vagin, ce qui a pour effet d'accentuer ma cambrure, emportée par la masturbation de mon amant. Paolo accentue la pression de ses doigts et accélère la cadence des mouvements, et rapidement, je succombe à un nouvel orgasme.
Avec des mouvements légers, les doigts de Paolo restent toujours actifs. Mais, maintenant, son pouce s'occupe de mon œillet. Comprenant le désir de mon amant, je me cambre à nouveau et pousse, pour faciliter le travail du pouce de Paolo qui peut ainsi préparer mon anus à être perforé. La douce caresse dure quelques minutes, et quand Paolo sent que les sphincters sont bien assouplis, il retire son pouce et vient faire quelques va-et-vient dans ma chatte avant de s'approprier mon cul.
Paolo place son gland devant ma rondelle et attend que je vienne m’enculer moi-même, à mon rythme. Excitée, j’ondule mon bassin et pousse afin que le gland de mon amant s'enfonce dans mes fesses. Le travail préalable de Paolo avait été si efficace que je m’encule d'un coup. Paolo s'agrippe alors aux hanches de sa maîtresse et entame ses allers et retours.
- "Ouiiiii. Vas-y. Encule-moi à fond. Envoie-moi ta purée dans mon cul. Viens"Stimulé par les mots crus de sa partenaire, Paolo se lâche totalement. Il accélère ses va-et-vient et donne des coups de boutoirs. Il est déchaîné. Je suis également endiablée. Le désir de mon amant m'excite. Je gémis. Je crie. Je pleure.
- "Ouiiiiiiiiii. Plus fort !!!"Paolo ne tient pas longtemps à ce rythme et ne tarde pas à jouir. Je sens la queue de mon amant qui grossit d'un coup et annonce l'arrivée de sa jouissance.
- "Rahhhhhhhhh. Ouiiiiiiiiiiii"Je perçois les giclées de foutre qui inondent mon fondement. Ce qui déclenche chez moi un nouvel orgasme.
- "Ouiiiiiiiii"Paolo s'écroule sur moi. Il est éreinté. Tout son jus est parti. Il sort délicatement sa queue de mon cul. Je saute sur le pont, me retourne et m'agenouille pour sucer mon amant qui a su me donner autant de plaisir. Un coup d'œil sur le côté et je vois mon Paul bienheureux avec toujours son appareil photo à la main.
Paolo prend ma main et m'amène près de l'échelle. Avec un grand sourire, il plonge. Quand il revient à la surface, il m’encourage à venir le rejoindre. Je plonge à mon tour. Tous les deux, nous nageons, nous nous enlaçons, nous nous embrassons avant de remonter à bord.
Paolo reprend la barre, direction la crique promise. Je rejoins Maria à la proue du bateau et m'allonge près d'elle pour me sécher. Nous faisons plus ample connaissance tandis que Paul nous photographie.
Paolo retient l'attention de ses amis.
- Regardez. Nous approchons de la crique. Je vais bientôt jeter l'ancre.
Maria et moi nous nous levons et nous tenons à la proue. La vue est superbe. Une fois l'ancre jetée, Paolo distribue les tâches à chacun. Il faut rejoindre la terre ferme à la nage. Paolo a un petit radeau qu'il utilise pour transporter les affaires. Un bidon permet de ranger tous les objets qu'il faut protéger de l'eau. L'eau est chaude. C'est un plaisir de nager nus. Paolo donne les consignes pour s'installer. On voit qu'il a l'habitude. Paul repère déjà les endroits où il pourra faire des photos avec ses modèles. Il jubile. Paolo lui demande de déboucher une bouteille de rosé qui est dans la glacière. Tous les quatre trinquent à leur complicité. Le Sétois nous a gâtés. Il a prévu de quoi manger en qualité et en quantité. Des tielles sétoises, des petits pâtés de Pézenas, du fromage et de la charcuterie locale. A la fin du pique-nique, Paolo propose à Éva de lui faire visiter les alentours. Paul propose à Maria de faire quelques photos.

Paul est concentré sur ses cadrages, les ombres et les lumières à dompter, ainsi qu'aux poses qu'il indique à son modèle. Rapidement la séance photo dérape. Il faut dire qu'il est ardu de photographier une femme nue quand on est également nu et en érection. Depuis hier, Paul désire Maria et, ce matin, il a été tellement concentré sur son Éva qui s'est enfin abandonnée dans les bras d'un homme, sous les yeux de son mari, qu'il avait malheureusement négligé Maria et là, maintenant, il souhaite se rattraper. Alors qu'il s'approche de son modèle pour la recoiffer, Maria profite de la proximité de la verge tendue du photographe, pour l'attraper fermement à deux mains et la porter à sa bouche. Paul est tétanisé. Sa queue durcit encore davantage. Il pose son appareil photo et attrape la tête de Maria qu'il guide. Son amante le laisse faire, puis reprend l'initiative. Elle mordille son gland, le lèche, l'embrasse et applique des succions baveuses bruyantes et terriblement excitantes. Une de ses mains descend et prend ses bourses pour les malaxer, tandis que l'autre coulisse le long de sa tige pour la décalotter au maximum et en faire émerger la tête toute luisante. Maria prend un grand plaisir à jouer avec ce sceptre qu'elle avait tant désiré. Sa bouche absorbe le gland qu'elle salive abondement et qu'elle cajole de nombreux coups de langue, puis elle enfonce progressivement la queue dans sa gorge jusqu'à sentir les poils du pubis de son amant dans son nez. Après une petite pause pour bien s'adapter à l'invasion, elle coulisse lentement la bite de son amant dans sa gorge. Paul est aux anges. Éva n'a pas encore trouvé la technique de la gorge profonde et celle de Maria est sublime. Son amante ressort la verge de sa gorge et s'applique à la lécher entièrement avant de masturber le gland avec ses lèvres. Les mains posées sur la tête de sa partenaire, Paul en rythme à nouveau les mouvements. Il gémit.
- Ohhhh Ouiiiiiiiii.
Maria sent qu'il n'en a plus pour longtemps. Paul se tend. Maria sent le gland gonfler, puis aussitôt, plusieurs jets puissants de sperme viennent inonder sa gorge. Elle continue, plus doucement, ses succions pour avaler la semence qui continue de sortir, puis vient s'allonger sur Paul pour l'embrasser. Un long baiser fougueux unit les deux amants. Sous les caresses de Maria, Paul a retrouvé son érection. Sa partenaire, soulève son bassin et introduit la queue de son partenaire dans son vagin trempé de désir. C'est elle qui va baiser Paul. Elle commence par enfoncer entièrement la bite de son amant. Les deux pubis sont collés. Puis, Maria ondule son bassin avec des mouvements de plus en plus larges et de plus en plus rapides, et enfin, elle chevauche violemment son amant, en arrachant à chaque poussée des "han" de bucheron. Les deux amants ont le souffle court. Ils gémissent à l'unisson, jusqu'à ce que Maria atteigne son orgasme et hurle son plaisir, contractant son périnée et provoquant la jouissance de son partenaire.
Épuisée, elle s'allonge sur Paul qui roule sur le côté pour la prendre dans ses bras. Ils restent ainsi soudés pour faire perdurer le plaisir vécu et pour reprendre des forces.

Pendant ce temps, Paolo m’entraîne par la main. Je n’ai plus de réserves. Je vis l'instant présent avec mon amant. Paolo a bien senti qu'Éva avait franchi une étape décisive et qu'elle était soumise à tous les plaisirs que lui offrirait son maître aujourd'hui. Tout en marchant, Paolo prend son amante par la taille et l'embrasse. Ils sont heureux et insouciants, ouverts à tous les plaisirs qu'ils peuvent se donner. Peu après, ils atteignent une petite cascade. C'est un petit coin idyllique, un petit Eden. Paolo m’entraîne dans l'eau qui est un peu fraîche. Paolo s'agite et m’éclabousse avant que je ne riposte. Nous nous amusons, nous rions.
Puis soudain, une forte envie de faire l'amour nous envahit. Paolo s'approche et m’enlace, puis m'embrasse. Je succombe sous ses baisers qui m'affolent. Je sens mon ventre qui se crispe d'excitation. Je sens contre mon ventre la queue dure de mon amant qui me fait mal. Je m'accroupis pour la prendre en bouche. Mes mains sont fermement accrochées aux fesses de mon amant. Je lèche son gland parfumé. Je le déguste, tout en essayant d'identifier les origines de ses effluves : un peu de sel de la mer, de la cyprine de ma chatte et une épice un peu plus forte, de mon cul certainement. Je m'applique à donner du plaisir à mon amant qui se tend et gémit sous mes coups de langue. Je profite de cet instant où l'homme est si fragile, soumis à la bouche de sa partenaire. Une main malaxe ses couilles qui sont dures et pleines, prêtes à gicler. L'autre enserre fermement la base de sa bite, qui se tend et qui vibre sous la pression. J’aimerais avaler cette queue si douce et si forte à la fois, entièrement dans ma gorge, comme j’ai pu le voir dans des films pornos que m’a montrés Paul, mais, je n’y suis pas encore arrivée. J’essaie, encore et encore, mais le gland semble buter sur le fond de ma gorge. Alors je reporte toute mon attention sur son gland qui est devenu violet sous mes caresses. Je multiplie les succions. Ma salive coule sur mon menton. Je la recueille avec la queue de mon amant avant de la remettre dans ma bouche. Paolo grogne. Il appuie ses mains sur la tête de son amante pour guider ses mouvements. Il sent que sa jouissance est proche. Je perçois également l'approche de son orgasme car son gland grossit dans ma bouche. Paolo se tend et, tout en criant son plaisir, il lâche plusieurs giclées de foutre épais tout au fond de ma gorge. Je manque de m'étouffer. La quantité de semence éjaculée par mon amant est inouïe. Paolo est plus jeune que Paul et je prends plaisir à retrouver cette virilité juvénile ardente. Je suis obligée de déglutir plusieurs fois pour tout avaler. Je me sens un peu stupide de penser cela, mais j’ai l'impression de prendre de l'énergie, des vitamines en faisant l'amour avec cet homme de dix ans mon cadet. Et surtout, qu'il puisse me montrer autant de désir. La femme, qui est en moi, s'en enorgueillit. J’avais lu dans un magazine qu'une sexualité épanouie, et notamment l'orgasme, contribue à notre bien-être et à une bonne santé. Cela étant principalement dû à l'action des différentes hormones produites pendant l'amour. C'est véritablement à cet instant qu'elle fait voler toutes les barrières qui la bridaient jusqu'alors et qu'elle décide de devenir une femme libre.
Afin de justifier mon nouveau statut, je continue à honorer la queue de mon amant qui ne débande pas. Je sens que ses bourses sont encore fermes. Tout en gardant la verge de mon amant en main, je me relève et l'embrasse fougueusement. Un baiser différent, un baiser de femme libre qui assume sa sexualité. Un flash lui revient. Un jour, Madame Olga, une voyante, lui avait annoncé qu'elle la voyait vivre son hypersexualité dans un avenir proche. Éva en avait parlé à son mari, qui n'avait pas été surpris par cette prémonition.
Assertive, je me détache de mon amant, je me mets à quatre pattes et lui dis :- Allez, viens me baiser. Je veux que tu me fasses jouir comme une salope !!!
Paolo, surpris par mes mots crus, met quelques secondes pour réagir et me satisfaire. Il se place derrière moi et m'enfile sans manière comme une chienne. Aussitôt, je suis endiablée.
- Ouiiiiiiiiii. Vas-y. Prends-moi fort. Bourre-moi !!!
Stimulé par mes paroles, Paolo entame illico des va-et-vient profonds, puissants et rapides. Sous son emprise, je lâche totalement prise. J’ondule du cul, secoue la tête dans tous les sens, crie, hurle mon plaisir, comme jamais.
- Ouiiiiiiiiii. Encore !!! Encore !!!
Paolo exhorté, ses mains fermement accrochées à mes hanches, maintient son rythme de bûcheron. Pris dans l'action, il me claque les fesses.
- Tiens, prends ça chienne !!!!
A la première claque, je crie ma surprise.
- Aie !!!!
Paolo n'entend rien. Il continue à me fesser. Il ahane. Il sent qu'il va bientôt jouir. Je perçois l'excitation de mon amant qui me claque les fesses et la douleur se transforme en plaisir. Un plaisir si intense qui m’amène à un énorme orgasme qui m'emporte au-delà de tout ce que j’ai connu jusqu'à aujourd'hui. Une jouissance telle que je me vois mourir. Un trou noir m'enveloppe. Je perds conscience. Paolo qui éjacule au même instant n'a pas immédiatement conscience de ce qui m'arrive. C'est quand il me voit m'effondrer dans l'eau qu'il réagit. Il m'attrape et me traine sur le rivage où je reprends mes esprits. Paolo rassuré s'allonge à côté de moi et me prend dans ses bras.
Nous restons ainsi pendant de longues minutes. Je tente de faire un point sur ce qui vient de m’arriver, sans vraiment tout comprendre. Paolo m'explique que l'orgasme est aussi appelé "petite mort" et qu'un orgasme aussi important que celui que j'ai eu m'a fait perdre conscience quelques secondes. C'est sans danger, mais que cela surprend la première fois. Paolo me dit que nous devons retourner au bateau. Il se lève, m'aide à me lever et main dans la main nous prenons le chemin du retour.
Nous retrouvons Paul et Maria, nus et enlacés. Je ressens une petite pointe de jalousie, rapidement évacuée.
- Allez, les amis, il va falloir retourner au port.
Nous regroupons les affaires, les installons sur le radeau et rejoignons le bateau à la nage.
Le retour est calme. Nous nous sommes rhabillés. Maria est dans les bras de Paul à la proue, tandis que je suis à la barre contre Paolo.

Arrivés au port, nous rejoignons la voiture de Paolo. Maria s'assoit sur les genoux de Paul qui la tient sans retenue, ses mains sur sa poitrine. Quand la conduite le lui permet, Paolo pose sa main droite sur le haut de ma cuisse et ses doigts me caressent le sexe. J'ai ma tête posée sur son épaule. Une fois, devant la porte de l'hôtel, nous laissons Paolo et Maria. Paul embrasse son amante tendrement. Paolo fait le tour de la voiture pour m'aider à sortir, puis il m'enlace. Je sens ses mains qui glissent sous ma robe pour caresse mes fesses nues. Je me mets sur la pointe des pieds pour embrasser fougueusement sa bouche et offrir ma langue en témoignage de notre union. Nous nous promettons de nous revoir très bientôt. Je prends la main de Paul et rentrons à l'hôtel.
Après une bonne douche, nous nous allongeons sur le lit. Paul me prend dans ses bras.
- Je t'aime mon amour. Je te remercie pour tout. C'est une des plus belles journées de ma vie. Je suis sûr que celle-ci va marquer le début d'une nouvelle vie matrimoniale. Je t'aime.
- C'est à moi de te remercier. Grâce à toi, j'ai pu comprendre que jusqu'à présent, je passais à côté de beaucoup de choses. Je te remercie pour ton amour, pour la liberté d'aimer que tu m'offres. Je t'aime.
Voilà comment cette petite balade à Sète, initiée par mon mari, a été le déclic qui m'a permis de dépasser les barrières imposées par mon éducation. Un nouvel horizon s'offre à moi, Éva, une nouvelle femme "libre".

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Texte coquin : Petite balade à Sète pour Éva (4° et dernière partie)
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