Éva retrouve Jeff (Dernier chapitre)
Récit érotique écrit par Sofie34fr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-01-2021 dans la catégorie Plus on est
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Éva retrouve Jeff (Dernier chapitre)
Chapitre 4
Pendant que Jeff se douche, j'endosse ma robe noire. Une robe toute simple à petites bretelles avec un décolleté qui me ma poitrine en valeur et une paire de bas auto-fixant. Je prépare mes Louboutin que je fais briller. Je n'aurai juste qu'à me laver les dents, à passer un coup de brosse, et finir avec une petite touche de rouge et un léger nuage de J'adore pour être prête pour mon amant.
Après sa douche, Jeff semble avoir retrouvé la forme. Il n’a pas arrêté de m’exciter dans la voiture, passant sa main sous ma petite robe et s’amusant avec ma vulve toute épilée.
Le restaurant choisi par mon amant est spécial. Il jouxte un garage automobile.
- Voilà ta surprise. Je sais que tu aimes les belles voitures et les chromes, j'ai tout de suite pensé à toi quand on m'a parlé de ce restaurant.
Je suis réellement surprise, agréablement surprise. Jeff me connait bien.
La salle est aménagée comme dans une voiture, avec des zones aux noms évocateurs : Porsche, Ferrari, Maserati, Lamborghini, Aston Martin, Rolls Royce, ... Les murs sont décorés de références automobiles : photos, trophées, volants, … Le personnel est habillé avec des cotes de mécanicien.
Les clients sont assis dans des sièges de voiture de la marque correspondant à la zone dédiée et, qui sont posés bas, comme si nous étions réellement assis dans la voiture. Pas facile de s’asseoir et, surtout pour une femme, de ne pas montrer sa culotte… quand elle en avait une. Je suis émerveillée par l'ambiance. C'est génial. En revanche, je ne me sens pas trop à l’aise. La lisière de mes bas est apparente... Jeff est tout sourire. Il est tout excité. Il sent mon léger malaise et je crois que c'est cela qui le stimule encore davantage.
- J'ai réservé l'emplacement Ferrari en pensant à toi. Qu'en penses-tu ?
Les sièges sentent le cuir. La table reprend partiellement le tableau de bord de la voiture.
- Je suis subjuguée. Je te remercie mon chéri. Tu me fais une merveilleuse surprise.
Nous sommes assis côte à côte comme dans une voiture. Jeff est ravi. Il n’arrête pas de me caresser les cuisses et je peux apercevoir une bosse suggestive dans son pantalon… Mon sexe est déjà trempé.
Les serveurs sont vêtus de combinaison de mécano bleue. Il ne manque que le cambouis, peu approprié en la circonstance, ce que je peux comprendre…- Le seul bémol peut-être, c'est le manque de confort des sièges qui sont fermes et étroits.
- Je te comprends. Les sièges sont authentiques. J'aurais pu choisir une autre marque davantage confortable comme Rolls Royce, mais j'ai pensé que Ferrari te convenait mieux.
- Tu as raison. Tu as réussi à trouver un lieu de fantasme qui m’est cher. J’adore les voitures, les « belles » voitures avec leurs chromes et les mécanos en combinaison avec l’odeur de graisse…. Chacun son truc, moi j’avoue que la mécanique me prend au ventre… Tu te rappelles au garage à Paris (lire le récit : " Mon premier voyage de femme « libre ») ?
- Comment pourrais-je oublier ? Je t'adore.
L’ambiance et le vin finissent par me désinhiber totalement. Jeff s'amuse à remonter ma robe et je ne fais même plus semblant de protester. J'ai remarqué que le serveur vient plus qu’à son tour voir si tout va bien et je peux voir à la bosse de son pantalon que mon anatomie ne lui est plus inconnue… Ma vulve toute lisse et humide doit briller entre mes cuisses découvertes. Mon envie de sexe me fait perdre toute raison. Au dessert, il vient s’accroupir près de moi pour me confirmer que le directeur avait accédé à la demande de mon mari pour une visite complète des ateliers à l’issue du repas. Je rougis tout en se sachant pas quoi lui répondre… Avant de se relever, et avec un regard coquin appuyé, il pose sa main sur ma cuisse et ajoute que je serai totalement satisfaite de du programme. Il va même jusqu'à remonter sa main pour caresser ma peau nue au-dessus du bas.
Son pantalon est déformé par une queue pleine de promesse !!!! Jeff, un large sourire aux lèvres, est radieux. Qu’est-ce que mon coquin a pu programmer ? Enhardi, Jeff titille mon petit bouton tout gonflé et je me sens prête à tout pour faire l’amour. Mon corps tout entier a envie de caresses et d’être possédé. Ma main s’aventura pour vérifier l'état de la queue de Jeff. Elle est tendue comme un arc et gonflée de désir. J’adore le voir ainsi. L’ambiance est électrique et j’adore cela.
- Eh bien Jeff ? Tu es devenu mon mari maintenant ?
- Le garçon m'a bien fait sourire quand il a dit cela. Néanmoins, je dois avouer que cette idée ne me déplairait pas. Paul est un homme chanceux.
- Dis Jeff, pourrais-tu te lever et faire quelques photos pour Paul s'il te plait ?
De bonne grâce, mon amant s'exécute. Il cadre surtout mes jambes dénudées la canaille. Le serveur s'approche.
- Asseyez-vous. Je vais vous prendre tous les deux. Vous êtes un très beau couple.
Lui aussi semble intéressé par mes cuisses !!!!
Le repas terminé, un homme avec une combinaison blanche vient à notre table. Il se présente.
- Je suis Joël, le directeur.
Un bel homme, la quarantaine, qui me fait le baisemain et me complimente pour ma beauté. Le coquin me mate surtout l’entrecuisse !!!!
- Comme convenu, ma chère Éva, si je peux me permettre de vous appeler par votre prénom, je vais vous faire visiter nos ateliers. Jeff m’a averti de votre attirance pour tout ce qui touche la mécanique. Vous ne serez pas déçue. Il me prend la main pour m’aider à sortir du siège dans lequel je suis coincée. Même si je l’avais voulu, je n’aurais pas pu lui montrer davantage de mon anatomie. J’ai dû écarter largement mes cuisses pour sortir du siège. J’étais rouge comme une pivoine.
Je pris quelques minutes pour aller aux toilettes avant de rejoindre Jeff et Joël qui semblent très bien s’entendre.
Joël me prend le bras et la visite peut commencer.
Il m’explique que le garage avait été créé par son père une trentaine d’années auparavant et que lui, à sa succession, avait eu l’idée de développer un concept de détente et de restauration autour des sports mécaniques. La clientèle est plutôt aisée et les affaires marchent bien.
Le premier atelier est consacré aux automobiles courantes, tandis que les suivants sont réservés aux automobiles d’exception m’explique-t-il. C’est là où sont prises en charge les voitures de luxe des clients telles que les Ferrari, Bugatti, Aston-Martin, …, ainsi que les voitures de collection qui appartiennent à la famille.
Tout en avançant, Joël me prend la taille et me fait entrer dans l'atelier qui accueille les voitures de luxe. Il y en a une dizaine. Toutes sont recouvertes de toiles. Au fur et à mesure qu’il me parle, je sens Joël qui se colle davantage contre moi et sa main a tendance à descendre sur mes fesses… - Jeff m’a dit que vous étiez sensible au bruit des moteurs de voitures de sport. Je vais vous en faire découvrir un très caractéristique. Nous allons faire un jeu. Je vais placer un bandeau sur vos yeux. Ce sera à vous de découvrir la marque de l’automobile.
Joël me prend la main et j’avance dans le noir avec précaution sur mes hauts talons. Je l’entends soulever une bâche, ouvrir une portière, puis la refermer. Je l’entends baisser la vitre et me demande de venir me plaquer contre la porte afin de ressentir au maximum les vibrations du moteur. Il m'enlace, sa main sur mes fesses pour me serrer encore davantage, puis il démarre. Le bruit du moteur remplit l’atelier. Je suis toute excitée à l'écoute du vrombissement puissant et profond. Les vibrations traversent tout mon corps. Mon ventre se contracte. Pour accompagner mon émoi, Joël appuie encore plus fermement sur mes fesses et mon pubis, plaqué sur le métal vibrant, me transporte. Les accélérations se font assourdissantes. J’ondule mon bassin contre la portière. Il suffit de quelques instants pour que j’atteigne un orgasme aux sensations nouvelles. Je fais corps avec la voiture. C’est indicible. J’ai les mains plaquées sur le toit de la voiture. Mes jambes flageolent. Joël arrête ses coups d'accélérateur, puis attend quelques secondes avant de m’interroger.
- Avez-vous reconnu la marque de l’automobile ?
Je suis encore toute remuée par l'orgasme qui vient de me submerger. Je suis incapable de mettre en ordre mes idées. Je me mets à bafouiller.
- Heuuu. Non…- Voyons Éva, il s’agit d’une Ferrari, une 250 GT. Un bruit unique et très sensuel. Vous venez d’en avoir une preuve vivante… Il arrête le moteur, ouvre délicatement la portière pour sortir du véhicule. Je suis encore remuée par ce que je viens de vivre. Mes jambes tremblent encore. Me voyant ainsi encore saisie par l'émotion, Joël me prend dans ses bras. Je m'abandonne. Tout ici me chamboule. L'atelier, les odeurs de graisse, les spécimens de collection. Jeff et sa cote de mécano. Celui-ci en profite pour m’embrasser à pleine bouche. Sa langue m'envahit. Ses mains parcourent mon corps à la sensibilité à fleur de peau. Je sens ma vulve trempée et ma cyprine qui coule le long de mes cuisses.
Joël défait mon bandeau pour me faire admirer le véhicule. La Ferrari est magnifique. Il me prend la main pour m’entrainer vers une autre automobile. Il soulève la bâche et ouvre la portière.
- Regardez, Éva, une Excalibur de 1967. Touchez le bois. Touchez et sentez le cuir. Des matériaux uniques.
Émerveillée, Je me penche pour humer les effluves de la merveille. Je caresse, du bout des doigts, les nobles matériaux qui sollicitent mes sens. Je ne prends pas garde, mais ma posture a fait remonter ma robe et découvre totalement mon postérieur. Joël, le coquin, en profite aussitôt pour me caresser les fesses nues à pleines mains.
- Un écrin pour vous Éva !!
Surprise et flattée, je décide de me laisser faire. L’occasion est trop belle. Me cambrant au maximum, je m'offre à Joël. Ses mains expertes me caressent et me fouillent au plus profond de mon intimité. Je ne suis plus maîtresse de moi. Toutes les barrières qui auraient pu me refuser à cet homme sont tombées.
Mon sexe est trempé et les doigts agiles de Joël ne font qu’accentuer mon humidité. Ravi, Joël entreprend de branler mon clitoris, ce qui a pour conséquence de me faire atteindre un nouvel orgasme en quelques secondes seulement. Satisfait, il attend quelques instants avant de me redresser et de me retourner. Joël est grand. Je lui arrive à peine à la poitrine malgré mes talons hauts. Il me prend par les hanches et me soulève comme une plume pour me hisser sur le marchepied du véhicule. Cette fois, je suis juste à sa hauteur. Alors, il m’embrasse à pleine bouche en me pelotant les fesses. Son baiser est impérieux. Sa langue envahit ma bouche. Nos salives se mélangent. La fougue de cet homme me transporte. Je ne suis plus sur terre. Je perds pied. Je me sens devenir une chienne avide de sexe. J'ai perdu toute raison.
- Je vois que Jeff ne m’avait pas menti. Tu es chaude comme la braise.
Joël est passé au tutoiement. Il comprend que je suis maintenant totalement soumise à ses moindres désirs. Excité, il relève brusquement ma robe pour la faire passer au-dessus de ma tête. Mes seins lourds et fermes jaillissent à la lumière de l’atelier. Aussitôt, Joël pétrit mes mamelles, puis gobe mes tétons à pleine bouche. Je me sens défaillir. Mes jambes tremblent. J’ai envie de sexe. J’entreprends de palper l’entrejambe de Joël dont le volume de la bosse ne laisse aucun doute sur la taille de sa queue. Peu habituée aux combinaisons de mécano, c'est Joël qui prend les devants et descend la fermeture à glissière jusqu’en bas, libérant sa queue libre de tout caleçon… Une superbe queue, large, longue, tendue, gonflée et dure. Hummm. J’adore les queues, je sais ça me perdra, mais j’en ai trop envie. Je descends du marchepied et m'accroupis pour la prendre en bouche. Je glisse une main sous ses bourses, tandis que l'autre agrippe fermement sa bite. Je décalotte le gland qui apparait violacé d'excitation. Une perle de semence pointe à son sommet. Je le lape d'un délicat coup de langue, puis j'embrasse et engouffre la tête dure de son pieu dans ma bouche. Ma langue, trempée de salive, s'agite, s'entortille tout autour du gland tandis que j'exerce de multiples succions baveuses et bruyantes, en alternant des pressions douces et plus fortes. Joël gémit sous mes coups de langue.
- Ouiiiiiiii. Encore. Continue. Bouffe-moi la bite.
Tandis que ma main gauche malaxe ses couilles, je commence à branler lentement sa queue de l'autre main. Mes mouvements finissent de décalotter son gland qui grossit davantage dans ma bouche. Le coquin est tendu, prêt à exploser. J’ai son destin dans mes mains.
Quelle sensation de puissance pour une femme !!! Joël s’accroche au rebord du véhicule. Je m’applique à bien lécher sa queue tendue, à descendre jusqu’à ses couilles gonflées et à remonter pour bien le prendre en bouche. Sa verge bien mouillée de salive semble prête pour pénétrer ma gorge. Un grand silence règne dans l'atelier, ce qui rend les gémissements et les bruits de l'amour encore plus forts. Tandis que je commence à enfoncer la queue de mon amant dans ma gorge, ma main droite descend caresser ma vulve et mon clito gonflés. Je m'échine à engloutir son sexe entier, mais sa queue est si longue et si grosse que j’ai des hauts de cœur. Je ne veux pas m'avouer vaincue. J’en ai mal aux mâchoires, mais c’est si bon. Je reprends ma respiration, je déglutis et je crache sur la queue, avant de reprendre ma gorge profonde. Cette fois, j'y arrive. Mon nez s'enfonce dans les poils du pubis de JoëlTrop excité, Joël ne peut se retenir beaucoup plus longtemps. Il se tend. Il râle et me gicle au fond de la gorge.
- Ouiiii. Salope tu me tues !!! RahhhhhhhIl m’inonde de plusieurs jets de son nectar épais. Je jouis aussitôt. Un orgasme profond me tétanise. Il m'est difficile de gérer tout cela en même temps. Je manque de m’étouffer avec la crème qui remplit ma gorge. Une fois celle-ci avalée, je reprends mes esprits. J’entreprends de le finir délicatement, lentement. Avec ma bouche et ma langue, je nettoie sa queue, l’embrasse pour la remercier de m’avoir donné son jus. Joël a déjà joui depuis quelques minutes, mais je m’applique encore et encore à lui rendre hommage. Il faut dire que sa queue reste raide et que j’en profite. Enfin, Joël sort son sexe de ma bouche, me relève et m’embrasse langoureusement, avalant ma salive encore pleine de sa semence. Il me pétrit les mamelles et en pince les tétons à m’en faire mal, et c’est pourtant si bon à la fois….
Revenant à lui, Joël me redonne ma robe pour que je me rhabille. Il me prend à nouveau dans ses bras, insatiable, il me palpe les fesses, puis me glisse à l’oreille.
- Jeff avait mille fois raison. Merci Éva, tu es une bonne salope. Tu as passé la première épreuve, nous allons pouvoir reprendre la visite. Tu es sûre de vouloir continuer ?
Toute rouge de confusion, je me surprends à lui répondre un « oui » ferme et décidé.
- Je n'en attendais pas moins de toi !!!
Il me prend alors la main et me fait découvrir les autres automobiles du premier atelier. Une Ferrari rouge rutilante, une Bugatti bleue toute chromée, une Aston-Martin grise fabuleuse. Je me régale à caresser les chromes et le cuir pleine fleur de ces sportives de luxe… Joël me raconte les anecdotes qui caractérisent ces objets de collection, tout en me pelotant sans vergogne.
J'ai du mal à reprendre totalement mes esprits. Je me sens ailleurs, dans un autre monde, comme dans un rêve. J'ai l'impression d'être une autre Éva. Une « schizophrénie » qui m’arrange et facilite l'acceptation de mon comportement.
Le second atelier semble désert. Des bruits métalliques résonnent, mais je ne peux en distinguer l'origine. Je n'en mène pas large. J'avance précautionneusement en me serrant contre Joël… Tout sourire face à mon comportement, il commence à m’expliquer l’objet de cet atelier.
- Comme je te l’ai dit tout à l’heure, ce second atelier est privé. Il accueille nos voitures, des voitures de collection pour la plupart. Elles appartiennent toutes à notre famille, sauf une qui est la propriété de Cédric, le serveur qui s’est occupé de vous pendant le repas. Il possède une Porsche qu’il retape ici.
Nous nous dirigeons en direction des cliquetis… Ceux-ci semblent provenir d'un recoin de l'atelier qui se trouve à une quinzaine de mètres d'où nous nous trouvons.
Je continue d'avancer lentement, quand tout à coup, j’aperçois un mécano dans sa combinaison bleue toute recouverte de cambouis. Je reconnais le dénommé Cédric qui s'applique à bricoler une Porsche noire. Dès qu'il nous aperçoit, il se relève et vient dans notre direction. Je me dis en moi-même qu'il était vraiment un bel homme, et vêtu d’une combinaison de mécano, son charme opérait encore davantage sur moi.
- Alors Éva, comment s’est passé le début de votre visite ?
Je me sentis rougir en bafouillant quelque chose…Il me prend la main pour me montrer le véhicule sur lequel il travaille.
- Voici ma Porsche. C’est une Carrera que j’aie eue pour une bouchée de pain, mais il y a encore du boulot dessus.
L'auto est garée sur une fosse et les cliquetis proviennent du dessous.
Cédric ouvre la portière pour que je puisse m'asseoir à l'intérieur. En m'asseyant, ma robe remonte immanquablement, dévoilant la peau nue en haut de mes bas, ce qui a l’air de plaire à Cédric. Le coquin s'accroupit à mon côté et m'explique les divers appareils présents dans le tableau de bord. Il prend délicatement ma main et l'accompagne en effleurant le tableau de bord.
- Regardez et touchez. Pas de plastique ici, rien que du bois, du cuir et de l'acier poli.
Subjuguée, je caresse délicatement les différentes pièces de l'habitacle : le levier de vitesse, le volant, le siège, …- Qu'en dites-vous Éva ?
- Cela me semble si irréel. Tout ici me semble irréel, en dehors du temps. J'ai l'impression de rêver.
- Non ma belle, vous ne rêvez pas. Tout ceci est bien réel. C'est dommage que ma Porsche ne soit pas en état. J'aurais pris un très grand plaisir à vous emmener faire un tour.
Tout en me parlant, Cédric en profite pour me caresser la jambe. Sa main remonta le long de ma cuisse pour remonter jusqu’à la lisière de mon bas. Je n'ose pas bouger. Toutes ces sensations m'enivrent. Je sens ma gorge sèche et ma respiration s'accélérer. Constatant ma soumission, Cédric continue son investigation et ses doigts atteignent mon sexe humide. Vaincue, j'écarte les cuisses et les doigts de mon mécano s'emparent de ma vulve trempée. Il joue avec mon bouton en érection et pénètre un, puis deux doigts dans ma chatte bouillante. Satisfait, il porte ses doigts couverts de cyprine à sa bouche sans un mot.
Je me sens rougir. En réponse, Cédric me gratifie de son plus beau sourire, si craquant, avant de reposer ses mains sur mon corps et de remonter jusqu’à mes seins qu’il pétrit avec un plaisir non dissimulé. Excité, Cédric fait passer ma robe par-dessus la tête avec un geste brusque qui m’effraie et m’excite à la fois. Me voilà nue, sans défense, face au mécanicien à la respiration saccadée. Après m'avoir caressé de son regard appréciateur, il bascule le siège, puis vient poser sa bouche sur mes tétons durcis de désir.
- Alors, elle vous plait ?
Sans attendre ma réponse, sa bouche remonte jusqu'à la mienne et m’embrasse à pleine bouche pendant que ses mains pleines de graisse pétrissent mes mamelles.
Je suis excitée comme jamais je crois je l’avais été. Mon fantasme se réalise à nouveau (lire le récit : " Mon premier voyage de femme « libre »). Je ne suis pas la seule à être excitée car Cédric a une sacrée bosse qui déforme sa combinaison. Il me fait pivoter et glisse sa tête entre mes cuisses. Je suis totalement à sa merci. Ma vulve trempée, mon clito tout gonflé menace d’exploser à tout instant. Sa langue adroite m’électrise. Un nouvel orgasme m’emporte en quelques secondes…. Satisfait, Cédric relève sa tête et me regarde avec un sourire ravi.
Il se relève, me redresse et me sort du véhicule.
- Venez.
Entièrement nue, vêtue de mes seuls bas noirs, je le suis à l'avant de l'automobile. Il m’aide à avancer les jambes écartées à cause de la fosse avant de me faire me cambrer et appuyer les mains sur le capot.
Cédric est derrière moi. Il approche sa bouche de mon oreille pour me dire.
- Vous savez que vous êtes diablement indécente, ainsi, les cuisses écartées… Imaginez qu'un mécanicien vous surprenne par-dessous. Qu'est-ce qu'il verrait ?
Instinctivement, je tente de refermer mes cuisses, mais la position empêchait tout mouvement. Tous les sens à l'éveil, je prends conscience que les cliquetis provenant de la fosse avaient cessé. Je m'aperçois que je suis piégée. Sentir le mécanicien, derrière moi, aussi excité, avec son souffle court et sa queue dure contre mes fesses me trouble. Je craque. J’abdique. Mes dernières résistances tombent.
Effectivement, quelle belle vue le mécanicien doit avoir. Et moi qui mouille comme une folle. Et cette queue de Cédric contre mes fesses. Je suis perdue. Je lâche totalement prise. Je n'ai qu'une envie, c'est de baiser, là, maintenant, sans plus attendre.
- Ouiiiii. Baisez-moi. Je suis toute à vous.
Je sens le souffle de Cédric, son sexe raide contre mes fesses. L'odeur de la graisse est maintenant omniprésente dans mon cerveau. Je me sens défaillir. Mon ventre se contracte. J'ai peur et j'ai envie. Je bouillonne. Je ne suis plus qu'un sexe à fleur de peau. Je suis électrique…Cédric me caresse les mamelles. Il me pince les tétons : une douleur intense et forte sexuellement à la fois.
Cédric toujours plaqué contre moi, s'empare de mes hanches. Ma peau est maculée de graisse… Je ferme les yeux. Je suis troublée. Je suis perdue. Je suis emportée par une multitude des sensations…Cédric a défait sa combinaison. Je sens son sexe qui s'appuie derrière mon dos. Il me parait immense. Je recommence à paniquer. Des mains caressent mes jambes. Le mécano en-dessous doit bien en profiter. Ses mains fermes m'immobilisent. Hummm cela m'excite encore davantage de savoir qu'un voyeur me mate et me maîtrise. Je serais prête à m'offrir à lui comme à Paris… Je me souviens.
Cédric me force à me plaquer sur le capot de la voiture. Je suis écartelée, impudique, indécente, vulnérable. Je sens ses mains qui me palpent, qui malaxent mon cul. Mon corps est presque totalement couvert de graisse… Ses doigts me fouillent et investissent mon cul, tandis que sa queue caresse ma vulve.
Et puis, d'un coup, il me pénètre sans ménagement. J'ai l'impression que sa queue va me déchirer. Elle me parait énorme … Je suis plaquée sur le capot. Les mains accrochées à mes hanches, Cédric me laboure brutalement. Sa bite me défonce. Je la sens qui bute au fond de mon vagin. Ses coups de butoir me font chavirer. Je crie. Je gémis. Je pleure.
- Ouiiiii. Encore…. Oui… Plus fort.
Je sens ma tête qui part dans tous les sens. Je perds pied. Un puissant orgasme m'emporte. J'hurle ma jouissance qui résonne dans l’atelier.
- Ouiiiiiiiiiiii. Je jouiiiiiiis !!!!!
Satisfait, Cédric arrête ses mouvements. Son pieu est toujours gonflé à bloc dans ma chatte. Il me laisse quelques instants pour que je reprenne vie, puis se retire pour placer son gland devant mon œillet.
- Nonnnnn. Pas par là. Tu es trop gros !!!!
Cédric ne m'écoute plus. Il pousse et, assoupli par les précédentes investigations, mon sphincter s'ouvre facilement et le gland de mon amant rentre dans mes entrailles. Une fois la porte franchie, Cédric attend que je prenne l'initiative. Je patiente quelques secondes avant d'entamer des ondulations du bassin. Petit à petit, la queue de mon mécano s'enfonce dans mon fondement. Je suis surprise de sentir son pubis toucher mes fesses. Son pieu est tout entier dans mon cul. Je ne bouge plus. Cédric attend quelques instants avant de se mouvoir dans mon étroit fourreau. Il commence doucement ses va-et-vient. Sa queue a dompté mon cul qui d'ajuste à elle. Progressivement, Cédric accélère ses allers et retours. Il me casse le cul le salaud.
- Aieeeeeeee. Tu me déchires.
Cédric ralentit le rythme, puis sort pour venir m'enfiler la chatte.
- Ouiiiiiiiiii. Vas-y. Comme ça. Baise-moi fort. T'es qu'une tarlouze !!!
Cédric, excité par mes paroles me pilonne brutalement.
- Ouiiiiiiiiiii. Encore. Plus fort !!!
Ah le salaud. Un nouvel orgasme m'emporte.
- Ahhhhh. Je jouiiiiiiiiiis. Ouiiiiiiiiiii.
Aussitôt ma jouissance passée, Cédric quitte mon vagin pour revenir d'un coup dans mon cul.
- Aie. Tu veux me tuer salopard !!!
Sourd à mes cris, Cédric me défonce l'anus. Néanmoins, sa queue lubrifiée par ma cyprine coulisse plus facilement dans mes entrailles déjà précédemment investies. Je sens une bête derrière moi. Un bûcheron qui ahane et qui enchaîne les coups de boutoirs. Je sens son pubis qui claque sur mes fesses et ses couilles qui cognent sur ma vulve à chaque poussée.
- Nonnnn. Ouiiiiii. Encore !!!! Encule-moi à fond.
Mon ventre se crispe. Je frissonne. Ma peau se hérisse. Ce mécano qui me défonce le cul va encore me faire jouir. Quel salaud. Mes muscles se contractent soudainement et des spasmes incontrôlables m'agitent. Je ne peux résister davantage et un nouvel orgasme me dévaste.
- Ouiiiiiiiiiii. Je jouiiiiiiiis.
La contraction de mes muscles a eu pour effet de serrer la bite de mon amant qui n'a pu résister.
- Rahhhhhhhhh. Ouiiiiiiiiiiiiii.
Je sens plusieurs jets chauds qui m'inondent le cul.
Cédric, épuisé, se laisse aller sur mon dos, sa queue toujours aussi grosse au fond de mes entrailles. Après quelques secondes, mon amant retrouve ses esprits. Il m'embrasse dans le cou et sort délicatement de mon cul. Il me relève et me présente son sexe dressé à sucer. Des effluves diverses émanent de sa tige. Je ne fais pas prier pour lui rendre le plaisir qu’il vient de me donner. Et puis, j'adore la bite. C'est moins point faible, et une belle queue comme celle de Cédric, je ne peux pas l'ignorer. Je la lèche, la gobe avec des bruits de succion indécents qui s’amplifient dans l’atelier. Du sperme continue à couler. Je m'en enivre. Sa bite est raide. Il ne débande donc jamais !!!! Cédric reprend sa verge et se l'astique avec vigueur pour atteindre un nouvel orgasme.
- Rahhhhh.
Il enfonce sa queue dans ma bouche juste avant d'éjaculer. Plusieurs jets de sa crème atteignent le fond de ma gorge. Je déglutis et avale ce nouveau présent. Son sperme est légèrement salé. Je lèche sa queue encore et encore pour bien la nettoyer de toute trace de semence.
Cédric me relève et m'enlace. Je me perds dans ses bras, mes sens envoûtés par l'odeur qu'il dégage, un mélange de virilité, de cambouis, de sueur, de sperme… J'adore. Il m'embrasse à pleine bouche, d'un baiser langoureux et tendre.
- Éva, vous avez été merveilleuse. Vous êtes l'Amour incarnéNe sachant pas quoi répondre, je lui offre mon plus beau sourire. Je comprends difficilement ce compliment. Pour moi, c'est normal. Nous sommes des adultes et nous aimons nous faire du bien.
Cédric m'emmena vers les douches où je peux me doucher. J'en ai bien besoin. Je suis couverte de graisse. Mes bas sont filés. Je prends une longue douche chaude bienvenue. A la sortie de celle-ci, je retrouve Cédric qui m'attend avec une serviette pour m'essuyer, puis, qui m'aide à remettre ma robe.
Je retrouve Jeff dans le restaurant. Le directeur partage sa table autour d'un verre de vin. Un large sourire à la bouche, il me serre dans ses bras.
- Allez ma belle. Nous rentrons.
Assise dans la voiture, je ne dis rien. Je déroule dans ma tête tout le film que je viens de vivre, aux sensations qui me prennent encore au ventre avec les vibrations de la Ferrari, aux orgasmes puissants qui m’ont dévastés avant de m'endormir.
Nous sommes le lendemain. Jeff se lève le premier.
- Éva, il est 7 heures 30. Nous devons rendre la chambre ce matin. Il faut regrouper nos affaires et prendre notre petit-déjeuner. Je te rappelle que nous avons rendez-vous à 10 heures au pavillon pour la clôture de l'animation.
Je n'ai pas de souvenirs de ce qui s'est passé depuis notre départ du restaurant jusqu'à ce que Jeff me réveille ce matin. Je traîne un peu au lit. J'essaie de reconstituer ma journée d'hier. Elle était si remplie. L'odeur du café me sort du lit. Jeff est encore dans la salle de bains. Je me sers une tasse et, nue, je sors sur la terrasse. Encore une journée bien ensoleillée. Jeff me rejoint. Il est déjà habillé. Il est rasé de près. Hummm il sent bon. Il m'enlace. Dans ses bras, je frissonne.
- Comment vas-tu ce matin ?
- Je vais très bien. Je te remercie pour tout ce que tu fais pour moi. Tu es adorable.
Je termine mon café et me dirige vers la salle de bains.
Une fois douchée et apprêtée, je prépare ma tenue du jour et range mes affaires. Jeff me sert un nouveau café que je bois rapidement. C'est l'heure.
Au moment de rejoindre la voiture, à la porte de l'hôtel, je regarde si Jules est dans les parages, mais je ne le vois nulle part. J'aurais bien aimé lui dire au-revoir.
Jeff nous conduit au pavillon. J'espère que je pourrai revoir Alexandra avant de partir. Oui, elle est déjà là à l'accueil. Nous nous embrassons. Elle m'explique que je dois me rendre à la salle "Cerise" où je suis attendue. Quelques personnes sont déjà présentes dont mon animateur Léo qui, dès qu'il m'aperçoit, s'avance vers moi tout sourire.
- Hello Éva. Que tu es en beauté !!! La réunion va commencer d'ici dix minutes. Tu as un buffet si tu veux boire ou manger quelque chose avant que je commence.
Je grignote une viennoiserie accompagnée d'un jus d'orange. Léo ouvre la réunion. Il fait le point sur les enquêtes marketing et remercie tous les participants. Il nous rappelle qu'afin de nous dédommager, comme convenu, un chèque de trois cents euros sera remis à chacun d'entre nous. Une enveloppe portant notre nom nous attend.
J'avais complètement oublié la contrepartie financière à ma participation !!! Pour moi, j'avais juste accepté l'invitation de mon amant et les plaisirs reçus pendant ces quelques jours m'avaient pleinement comblée.
Léo tient absolument à me dire au-revoir. Il espère vivement que nous nous reverrons.
Dans le hall, je revois Alexandra. Nous nous isolons quelques minutes pour nous retrouver toutes les deux. Nous nous promettons de nous revoir. D'ici peu, elle doit venir à Montpellier. Nous nous embrassons tendrement. Je suis ravie. Alexandra a été pour moi une belle rencontre.
De retour dans le hall, Jeff m'appelle. Nous devons y aller.
Maintenant que je suis dans la voiture, j'ai hâte de rentrer à la maison et de retrouver les bras de Paul. J'ai tellement de choses à lui raconter.
Pendant que Jeff se douche, j'endosse ma robe noire. Une robe toute simple à petites bretelles avec un décolleté qui me ma poitrine en valeur et une paire de bas auto-fixant. Je prépare mes Louboutin que je fais briller. Je n'aurai juste qu'à me laver les dents, à passer un coup de brosse, et finir avec une petite touche de rouge et un léger nuage de J'adore pour être prête pour mon amant.
Après sa douche, Jeff semble avoir retrouvé la forme. Il n’a pas arrêté de m’exciter dans la voiture, passant sa main sous ma petite robe et s’amusant avec ma vulve toute épilée.
Le restaurant choisi par mon amant est spécial. Il jouxte un garage automobile.
- Voilà ta surprise. Je sais que tu aimes les belles voitures et les chromes, j'ai tout de suite pensé à toi quand on m'a parlé de ce restaurant.
Je suis réellement surprise, agréablement surprise. Jeff me connait bien.
La salle est aménagée comme dans une voiture, avec des zones aux noms évocateurs : Porsche, Ferrari, Maserati, Lamborghini, Aston Martin, Rolls Royce, ... Les murs sont décorés de références automobiles : photos, trophées, volants, … Le personnel est habillé avec des cotes de mécanicien.
Les clients sont assis dans des sièges de voiture de la marque correspondant à la zone dédiée et, qui sont posés bas, comme si nous étions réellement assis dans la voiture. Pas facile de s’asseoir et, surtout pour une femme, de ne pas montrer sa culotte… quand elle en avait une. Je suis émerveillée par l'ambiance. C'est génial. En revanche, je ne me sens pas trop à l’aise. La lisière de mes bas est apparente... Jeff est tout sourire. Il est tout excité. Il sent mon léger malaise et je crois que c'est cela qui le stimule encore davantage.
- J'ai réservé l'emplacement Ferrari en pensant à toi. Qu'en penses-tu ?
Les sièges sentent le cuir. La table reprend partiellement le tableau de bord de la voiture.
- Je suis subjuguée. Je te remercie mon chéri. Tu me fais une merveilleuse surprise.
Nous sommes assis côte à côte comme dans une voiture. Jeff est ravi. Il n’arrête pas de me caresser les cuisses et je peux apercevoir une bosse suggestive dans son pantalon… Mon sexe est déjà trempé.
Les serveurs sont vêtus de combinaison de mécano bleue. Il ne manque que le cambouis, peu approprié en la circonstance, ce que je peux comprendre…- Le seul bémol peut-être, c'est le manque de confort des sièges qui sont fermes et étroits.
- Je te comprends. Les sièges sont authentiques. J'aurais pu choisir une autre marque davantage confortable comme Rolls Royce, mais j'ai pensé que Ferrari te convenait mieux.
- Tu as raison. Tu as réussi à trouver un lieu de fantasme qui m’est cher. J’adore les voitures, les « belles » voitures avec leurs chromes et les mécanos en combinaison avec l’odeur de graisse…. Chacun son truc, moi j’avoue que la mécanique me prend au ventre… Tu te rappelles au garage à Paris (lire le récit : " Mon premier voyage de femme « libre ») ?
- Comment pourrais-je oublier ? Je t'adore.
L’ambiance et le vin finissent par me désinhiber totalement. Jeff s'amuse à remonter ma robe et je ne fais même plus semblant de protester. J'ai remarqué que le serveur vient plus qu’à son tour voir si tout va bien et je peux voir à la bosse de son pantalon que mon anatomie ne lui est plus inconnue… Ma vulve toute lisse et humide doit briller entre mes cuisses découvertes. Mon envie de sexe me fait perdre toute raison. Au dessert, il vient s’accroupir près de moi pour me confirmer que le directeur avait accédé à la demande de mon mari pour une visite complète des ateliers à l’issue du repas. Je rougis tout en se sachant pas quoi lui répondre… Avant de se relever, et avec un regard coquin appuyé, il pose sa main sur ma cuisse et ajoute que je serai totalement satisfaite de du programme. Il va même jusqu'à remonter sa main pour caresser ma peau nue au-dessus du bas.
Son pantalon est déformé par une queue pleine de promesse !!!! Jeff, un large sourire aux lèvres, est radieux. Qu’est-ce que mon coquin a pu programmer ? Enhardi, Jeff titille mon petit bouton tout gonflé et je me sens prête à tout pour faire l’amour. Mon corps tout entier a envie de caresses et d’être possédé. Ma main s’aventura pour vérifier l'état de la queue de Jeff. Elle est tendue comme un arc et gonflée de désir. J’adore le voir ainsi. L’ambiance est électrique et j’adore cela.
- Eh bien Jeff ? Tu es devenu mon mari maintenant ?
- Le garçon m'a bien fait sourire quand il a dit cela. Néanmoins, je dois avouer que cette idée ne me déplairait pas. Paul est un homme chanceux.
- Dis Jeff, pourrais-tu te lever et faire quelques photos pour Paul s'il te plait ?
De bonne grâce, mon amant s'exécute. Il cadre surtout mes jambes dénudées la canaille. Le serveur s'approche.
- Asseyez-vous. Je vais vous prendre tous les deux. Vous êtes un très beau couple.
Lui aussi semble intéressé par mes cuisses !!!!
Le repas terminé, un homme avec une combinaison blanche vient à notre table. Il se présente.
- Je suis Joël, le directeur.
Un bel homme, la quarantaine, qui me fait le baisemain et me complimente pour ma beauté. Le coquin me mate surtout l’entrecuisse !!!!
- Comme convenu, ma chère Éva, si je peux me permettre de vous appeler par votre prénom, je vais vous faire visiter nos ateliers. Jeff m’a averti de votre attirance pour tout ce qui touche la mécanique. Vous ne serez pas déçue. Il me prend la main pour m’aider à sortir du siège dans lequel je suis coincée. Même si je l’avais voulu, je n’aurais pas pu lui montrer davantage de mon anatomie. J’ai dû écarter largement mes cuisses pour sortir du siège. J’étais rouge comme une pivoine.
Je pris quelques minutes pour aller aux toilettes avant de rejoindre Jeff et Joël qui semblent très bien s’entendre.
Joël me prend le bras et la visite peut commencer.
Il m’explique que le garage avait été créé par son père une trentaine d’années auparavant et que lui, à sa succession, avait eu l’idée de développer un concept de détente et de restauration autour des sports mécaniques. La clientèle est plutôt aisée et les affaires marchent bien.
Le premier atelier est consacré aux automobiles courantes, tandis que les suivants sont réservés aux automobiles d’exception m’explique-t-il. C’est là où sont prises en charge les voitures de luxe des clients telles que les Ferrari, Bugatti, Aston-Martin, …, ainsi que les voitures de collection qui appartiennent à la famille.
Tout en avançant, Joël me prend la taille et me fait entrer dans l'atelier qui accueille les voitures de luxe. Il y en a une dizaine. Toutes sont recouvertes de toiles. Au fur et à mesure qu’il me parle, je sens Joël qui se colle davantage contre moi et sa main a tendance à descendre sur mes fesses… - Jeff m’a dit que vous étiez sensible au bruit des moteurs de voitures de sport. Je vais vous en faire découvrir un très caractéristique. Nous allons faire un jeu. Je vais placer un bandeau sur vos yeux. Ce sera à vous de découvrir la marque de l’automobile.
Joël me prend la main et j’avance dans le noir avec précaution sur mes hauts talons. Je l’entends soulever une bâche, ouvrir une portière, puis la refermer. Je l’entends baisser la vitre et me demande de venir me plaquer contre la porte afin de ressentir au maximum les vibrations du moteur. Il m'enlace, sa main sur mes fesses pour me serrer encore davantage, puis il démarre. Le bruit du moteur remplit l’atelier. Je suis toute excitée à l'écoute du vrombissement puissant et profond. Les vibrations traversent tout mon corps. Mon ventre se contracte. Pour accompagner mon émoi, Joël appuie encore plus fermement sur mes fesses et mon pubis, plaqué sur le métal vibrant, me transporte. Les accélérations se font assourdissantes. J’ondule mon bassin contre la portière. Il suffit de quelques instants pour que j’atteigne un orgasme aux sensations nouvelles. Je fais corps avec la voiture. C’est indicible. J’ai les mains plaquées sur le toit de la voiture. Mes jambes flageolent. Joël arrête ses coups d'accélérateur, puis attend quelques secondes avant de m’interroger.
- Avez-vous reconnu la marque de l’automobile ?
Je suis encore toute remuée par l'orgasme qui vient de me submerger. Je suis incapable de mettre en ordre mes idées. Je me mets à bafouiller.
- Heuuu. Non…- Voyons Éva, il s’agit d’une Ferrari, une 250 GT. Un bruit unique et très sensuel. Vous venez d’en avoir une preuve vivante… Il arrête le moteur, ouvre délicatement la portière pour sortir du véhicule. Je suis encore remuée par ce que je viens de vivre. Mes jambes tremblent encore. Me voyant ainsi encore saisie par l'émotion, Joël me prend dans ses bras. Je m'abandonne. Tout ici me chamboule. L'atelier, les odeurs de graisse, les spécimens de collection. Jeff et sa cote de mécano. Celui-ci en profite pour m’embrasser à pleine bouche. Sa langue m'envahit. Ses mains parcourent mon corps à la sensibilité à fleur de peau. Je sens ma vulve trempée et ma cyprine qui coule le long de mes cuisses.
Joël défait mon bandeau pour me faire admirer le véhicule. La Ferrari est magnifique. Il me prend la main pour m’entrainer vers une autre automobile. Il soulève la bâche et ouvre la portière.
- Regardez, Éva, une Excalibur de 1967. Touchez le bois. Touchez et sentez le cuir. Des matériaux uniques.
Émerveillée, Je me penche pour humer les effluves de la merveille. Je caresse, du bout des doigts, les nobles matériaux qui sollicitent mes sens. Je ne prends pas garde, mais ma posture a fait remonter ma robe et découvre totalement mon postérieur. Joël, le coquin, en profite aussitôt pour me caresser les fesses nues à pleines mains.
- Un écrin pour vous Éva !!
Surprise et flattée, je décide de me laisser faire. L’occasion est trop belle. Me cambrant au maximum, je m'offre à Joël. Ses mains expertes me caressent et me fouillent au plus profond de mon intimité. Je ne suis plus maîtresse de moi. Toutes les barrières qui auraient pu me refuser à cet homme sont tombées.
Mon sexe est trempé et les doigts agiles de Joël ne font qu’accentuer mon humidité. Ravi, Joël entreprend de branler mon clitoris, ce qui a pour conséquence de me faire atteindre un nouvel orgasme en quelques secondes seulement. Satisfait, il attend quelques instants avant de me redresser et de me retourner. Joël est grand. Je lui arrive à peine à la poitrine malgré mes talons hauts. Il me prend par les hanches et me soulève comme une plume pour me hisser sur le marchepied du véhicule. Cette fois, je suis juste à sa hauteur. Alors, il m’embrasse à pleine bouche en me pelotant les fesses. Son baiser est impérieux. Sa langue envahit ma bouche. Nos salives se mélangent. La fougue de cet homme me transporte. Je ne suis plus sur terre. Je perds pied. Je me sens devenir une chienne avide de sexe. J'ai perdu toute raison.
- Je vois que Jeff ne m’avait pas menti. Tu es chaude comme la braise.
Joël est passé au tutoiement. Il comprend que je suis maintenant totalement soumise à ses moindres désirs. Excité, il relève brusquement ma robe pour la faire passer au-dessus de ma tête. Mes seins lourds et fermes jaillissent à la lumière de l’atelier. Aussitôt, Joël pétrit mes mamelles, puis gobe mes tétons à pleine bouche. Je me sens défaillir. Mes jambes tremblent. J’ai envie de sexe. J’entreprends de palper l’entrejambe de Joël dont le volume de la bosse ne laisse aucun doute sur la taille de sa queue. Peu habituée aux combinaisons de mécano, c'est Joël qui prend les devants et descend la fermeture à glissière jusqu’en bas, libérant sa queue libre de tout caleçon… Une superbe queue, large, longue, tendue, gonflée et dure. Hummm. J’adore les queues, je sais ça me perdra, mais j’en ai trop envie. Je descends du marchepied et m'accroupis pour la prendre en bouche. Je glisse une main sous ses bourses, tandis que l'autre agrippe fermement sa bite. Je décalotte le gland qui apparait violacé d'excitation. Une perle de semence pointe à son sommet. Je le lape d'un délicat coup de langue, puis j'embrasse et engouffre la tête dure de son pieu dans ma bouche. Ma langue, trempée de salive, s'agite, s'entortille tout autour du gland tandis que j'exerce de multiples succions baveuses et bruyantes, en alternant des pressions douces et plus fortes. Joël gémit sous mes coups de langue.
- Ouiiiiiiii. Encore. Continue. Bouffe-moi la bite.
Tandis que ma main gauche malaxe ses couilles, je commence à branler lentement sa queue de l'autre main. Mes mouvements finissent de décalotter son gland qui grossit davantage dans ma bouche. Le coquin est tendu, prêt à exploser. J’ai son destin dans mes mains.
Quelle sensation de puissance pour une femme !!! Joël s’accroche au rebord du véhicule. Je m’applique à bien lécher sa queue tendue, à descendre jusqu’à ses couilles gonflées et à remonter pour bien le prendre en bouche. Sa verge bien mouillée de salive semble prête pour pénétrer ma gorge. Un grand silence règne dans l'atelier, ce qui rend les gémissements et les bruits de l'amour encore plus forts. Tandis que je commence à enfoncer la queue de mon amant dans ma gorge, ma main droite descend caresser ma vulve et mon clito gonflés. Je m'échine à engloutir son sexe entier, mais sa queue est si longue et si grosse que j’ai des hauts de cœur. Je ne veux pas m'avouer vaincue. J’en ai mal aux mâchoires, mais c’est si bon. Je reprends ma respiration, je déglutis et je crache sur la queue, avant de reprendre ma gorge profonde. Cette fois, j'y arrive. Mon nez s'enfonce dans les poils du pubis de JoëlTrop excité, Joël ne peut se retenir beaucoup plus longtemps. Il se tend. Il râle et me gicle au fond de la gorge.
- Ouiiii. Salope tu me tues !!! RahhhhhhhIl m’inonde de plusieurs jets de son nectar épais. Je jouis aussitôt. Un orgasme profond me tétanise. Il m'est difficile de gérer tout cela en même temps. Je manque de m’étouffer avec la crème qui remplit ma gorge. Une fois celle-ci avalée, je reprends mes esprits. J’entreprends de le finir délicatement, lentement. Avec ma bouche et ma langue, je nettoie sa queue, l’embrasse pour la remercier de m’avoir donné son jus. Joël a déjà joui depuis quelques minutes, mais je m’applique encore et encore à lui rendre hommage. Il faut dire que sa queue reste raide et que j’en profite. Enfin, Joël sort son sexe de ma bouche, me relève et m’embrasse langoureusement, avalant ma salive encore pleine de sa semence. Il me pétrit les mamelles et en pince les tétons à m’en faire mal, et c’est pourtant si bon à la fois….
Revenant à lui, Joël me redonne ma robe pour que je me rhabille. Il me prend à nouveau dans ses bras, insatiable, il me palpe les fesses, puis me glisse à l’oreille.
- Jeff avait mille fois raison. Merci Éva, tu es une bonne salope. Tu as passé la première épreuve, nous allons pouvoir reprendre la visite. Tu es sûre de vouloir continuer ?
Toute rouge de confusion, je me surprends à lui répondre un « oui » ferme et décidé.
- Je n'en attendais pas moins de toi !!!
Il me prend alors la main et me fait découvrir les autres automobiles du premier atelier. Une Ferrari rouge rutilante, une Bugatti bleue toute chromée, une Aston-Martin grise fabuleuse. Je me régale à caresser les chromes et le cuir pleine fleur de ces sportives de luxe… Joël me raconte les anecdotes qui caractérisent ces objets de collection, tout en me pelotant sans vergogne.
J'ai du mal à reprendre totalement mes esprits. Je me sens ailleurs, dans un autre monde, comme dans un rêve. J'ai l'impression d'être une autre Éva. Une « schizophrénie » qui m’arrange et facilite l'acceptation de mon comportement.
Le second atelier semble désert. Des bruits métalliques résonnent, mais je ne peux en distinguer l'origine. Je n'en mène pas large. J'avance précautionneusement en me serrant contre Joël… Tout sourire face à mon comportement, il commence à m’expliquer l’objet de cet atelier.
- Comme je te l’ai dit tout à l’heure, ce second atelier est privé. Il accueille nos voitures, des voitures de collection pour la plupart. Elles appartiennent toutes à notre famille, sauf une qui est la propriété de Cédric, le serveur qui s’est occupé de vous pendant le repas. Il possède une Porsche qu’il retape ici.
Nous nous dirigeons en direction des cliquetis… Ceux-ci semblent provenir d'un recoin de l'atelier qui se trouve à une quinzaine de mètres d'où nous nous trouvons.
Je continue d'avancer lentement, quand tout à coup, j’aperçois un mécano dans sa combinaison bleue toute recouverte de cambouis. Je reconnais le dénommé Cédric qui s'applique à bricoler une Porsche noire. Dès qu'il nous aperçoit, il se relève et vient dans notre direction. Je me dis en moi-même qu'il était vraiment un bel homme, et vêtu d’une combinaison de mécano, son charme opérait encore davantage sur moi.
- Alors Éva, comment s’est passé le début de votre visite ?
Je me sentis rougir en bafouillant quelque chose…Il me prend la main pour me montrer le véhicule sur lequel il travaille.
- Voici ma Porsche. C’est une Carrera que j’aie eue pour une bouchée de pain, mais il y a encore du boulot dessus.
L'auto est garée sur une fosse et les cliquetis proviennent du dessous.
Cédric ouvre la portière pour que je puisse m'asseoir à l'intérieur. En m'asseyant, ma robe remonte immanquablement, dévoilant la peau nue en haut de mes bas, ce qui a l’air de plaire à Cédric. Le coquin s'accroupit à mon côté et m'explique les divers appareils présents dans le tableau de bord. Il prend délicatement ma main et l'accompagne en effleurant le tableau de bord.
- Regardez et touchez. Pas de plastique ici, rien que du bois, du cuir et de l'acier poli.
Subjuguée, je caresse délicatement les différentes pièces de l'habitacle : le levier de vitesse, le volant, le siège, …- Qu'en dites-vous Éva ?
- Cela me semble si irréel. Tout ici me semble irréel, en dehors du temps. J'ai l'impression de rêver.
- Non ma belle, vous ne rêvez pas. Tout ceci est bien réel. C'est dommage que ma Porsche ne soit pas en état. J'aurais pris un très grand plaisir à vous emmener faire un tour.
Tout en me parlant, Cédric en profite pour me caresser la jambe. Sa main remonta le long de ma cuisse pour remonter jusqu’à la lisière de mon bas. Je n'ose pas bouger. Toutes ces sensations m'enivrent. Je sens ma gorge sèche et ma respiration s'accélérer. Constatant ma soumission, Cédric continue son investigation et ses doigts atteignent mon sexe humide. Vaincue, j'écarte les cuisses et les doigts de mon mécano s'emparent de ma vulve trempée. Il joue avec mon bouton en érection et pénètre un, puis deux doigts dans ma chatte bouillante. Satisfait, il porte ses doigts couverts de cyprine à sa bouche sans un mot.
Je me sens rougir. En réponse, Cédric me gratifie de son plus beau sourire, si craquant, avant de reposer ses mains sur mon corps et de remonter jusqu’à mes seins qu’il pétrit avec un plaisir non dissimulé. Excité, Cédric fait passer ma robe par-dessus la tête avec un geste brusque qui m’effraie et m’excite à la fois. Me voilà nue, sans défense, face au mécanicien à la respiration saccadée. Après m'avoir caressé de son regard appréciateur, il bascule le siège, puis vient poser sa bouche sur mes tétons durcis de désir.
- Alors, elle vous plait ?
Sans attendre ma réponse, sa bouche remonte jusqu'à la mienne et m’embrasse à pleine bouche pendant que ses mains pleines de graisse pétrissent mes mamelles.
Je suis excitée comme jamais je crois je l’avais été. Mon fantasme se réalise à nouveau (lire le récit : " Mon premier voyage de femme « libre »). Je ne suis pas la seule à être excitée car Cédric a une sacrée bosse qui déforme sa combinaison. Il me fait pivoter et glisse sa tête entre mes cuisses. Je suis totalement à sa merci. Ma vulve trempée, mon clito tout gonflé menace d’exploser à tout instant. Sa langue adroite m’électrise. Un nouvel orgasme m’emporte en quelques secondes…. Satisfait, Cédric relève sa tête et me regarde avec un sourire ravi.
Il se relève, me redresse et me sort du véhicule.
- Venez.
Entièrement nue, vêtue de mes seuls bas noirs, je le suis à l'avant de l'automobile. Il m’aide à avancer les jambes écartées à cause de la fosse avant de me faire me cambrer et appuyer les mains sur le capot.
Cédric est derrière moi. Il approche sa bouche de mon oreille pour me dire.
- Vous savez que vous êtes diablement indécente, ainsi, les cuisses écartées… Imaginez qu'un mécanicien vous surprenne par-dessous. Qu'est-ce qu'il verrait ?
Instinctivement, je tente de refermer mes cuisses, mais la position empêchait tout mouvement. Tous les sens à l'éveil, je prends conscience que les cliquetis provenant de la fosse avaient cessé. Je m'aperçois que je suis piégée. Sentir le mécanicien, derrière moi, aussi excité, avec son souffle court et sa queue dure contre mes fesses me trouble. Je craque. J’abdique. Mes dernières résistances tombent.
Effectivement, quelle belle vue le mécanicien doit avoir. Et moi qui mouille comme une folle. Et cette queue de Cédric contre mes fesses. Je suis perdue. Je lâche totalement prise. Je n'ai qu'une envie, c'est de baiser, là, maintenant, sans plus attendre.
- Ouiiiii. Baisez-moi. Je suis toute à vous.
Je sens le souffle de Cédric, son sexe raide contre mes fesses. L'odeur de la graisse est maintenant omniprésente dans mon cerveau. Je me sens défaillir. Mon ventre se contracte. J'ai peur et j'ai envie. Je bouillonne. Je ne suis plus qu'un sexe à fleur de peau. Je suis électrique…Cédric me caresse les mamelles. Il me pince les tétons : une douleur intense et forte sexuellement à la fois.
Cédric toujours plaqué contre moi, s'empare de mes hanches. Ma peau est maculée de graisse… Je ferme les yeux. Je suis troublée. Je suis perdue. Je suis emportée par une multitude des sensations…Cédric a défait sa combinaison. Je sens son sexe qui s'appuie derrière mon dos. Il me parait immense. Je recommence à paniquer. Des mains caressent mes jambes. Le mécano en-dessous doit bien en profiter. Ses mains fermes m'immobilisent. Hummm cela m'excite encore davantage de savoir qu'un voyeur me mate et me maîtrise. Je serais prête à m'offrir à lui comme à Paris… Je me souviens.
Cédric me force à me plaquer sur le capot de la voiture. Je suis écartelée, impudique, indécente, vulnérable. Je sens ses mains qui me palpent, qui malaxent mon cul. Mon corps est presque totalement couvert de graisse… Ses doigts me fouillent et investissent mon cul, tandis que sa queue caresse ma vulve.
Et puis, d'un coup, il me pénètre sans ménagement. J'ai l'impression que sa queue va me déchirer. Elle me parait énorme … Je suis plaquée sur le capot. Les mains accrochées à mes hanches, Cédric me laboure brutalement. Sa bite me défonce. Je la sens qui bute au fond de mon vagin. Ses coups de butoir me font chavirer. Je crie. Je gémis. Je pleure.
- Ouiiiii. Encore…. Oui… Plus fort.
Je sens ma tête qui part dans tous les sens. Je perds pied. Un puissant orgasme m'emporte. J'hurle ma jouissance qui résonne dans l’atelier.
- Ouiiiiiiiiiiii. Je jouiiiiiiis !!!!!
Satisfait, Cédric arrête ses mouvements. Son pieu est toujours gonflé à bloc dans ma chatte. Il me laisse quelques instants pour que je reprenne vie, puis se retire pour placer son gland devant mon œillet.
- Nonnnnn. Pas par là. Tu es trop gros !!!!
Cédric ne m'écoute plus. Il pousse et, assoupli par les précédentes investigations, mon sphincter s'ouvre facilement et le gland de mon amant rentre dans mes entrailles. Une fois la porte franchie, Cédric attend que je prenne l'initiative. Je patiente quelques secondes avant d'entamer des ondulations du bassin. Petit à petit, la queue de mon mécano s'enfonce dans mon fondement. Je suis surprise de sentir son pubis toucher mes fesses. Son pieu est tout entier dans mon cul. Je ne bouge plus. Cédric attend quelques instants avant de se mouvoir dans mon étroit fourreau. Il commence doucement ses va-et-vient. Sa queue a dompté mon cul qui d'ajuste à elle. Progressivement, Cédric accélère ses allers et retours. Il me casse le cul le salaud.
- Aieeeeeeee. Tu me déchires.
Cédric ralentit le rythme, puis sort pour venir m'enfiler la chatte.
- Ouiiiiiiiiii. Vas-y. Comme ça. Baise-moi fort. T'es qu'une tarlouze !!!
Cédric, excité par mes paroles me pilonne brutalement.
- Ouiiiiiiiiiii. Encore. Plus fort !!!
Ah le salaud. Un nouvel orgasme m'emporte.
- Ahhhhh. Je jouiiiiiiiiiis. Ouiiiiiiiiiii.
Aussitôt ma jouissance passée, Cédric quitte mon vagin pour revenir d'un coup dans mon cul.
- Aie. Tu veux me tuer salopard !!!
Sourd à mes cris, Cédric me défonce l'anus. Néanmoins, sa queue lubrifiée par ma cyprine coulisse plus facilement dans mes entrailles déjà précédemment investies. Je sens une bête derrière moi. Un bûcheron qui ahane et qui enchaîne les coups de boutoirs. Je sens son pubis qui claque sur mes fesses et ses couilles qui cognent sur ma vulve à chaque poussée.
- Nonnnn. Ouiiiiii. Encore !!!! Encule-moi à fond.
Mon ventre se crispe. Je frissonne. Ma peau se hérisse. Ce mécano qui me défonce le cul va encore me faire jouir. Quel salaud. Mes muscles se contractent soudainement et des spasmes incontrôlables m'agitent. Je ne peux résister davantage et un nouvel orgasme me dévaste.
- Ouiiiiiiiiiii. Je jouiiiiiiiis.
La contraction de mes muscles a eu pour effet de serrer la bite de mon amant qui n'a pu résister.
- Rahhhhhhhhh. Ouiiiiiiiiiiiiii.
Je sens plusieurs jets chauds qui m'inondent le cul.
Cédric, épuisé, se laisse aller sur mon dos, sa queue toujours aussi grosse au fond de mes entrailles. Après quelques secondes, mon amant retrouve ses esprits. Il m'embrasse dans le cou et sort délicatement de mon cul. Il me relève et me présente son sexe dressé à sucer. Des effluves diverses émanent de sa tige. Je ne fais pas prier pour lui rendre le plaisir qu’il vient de me donner. Et puis, j'adore la bite. C'est moins point faible, et une belle queue comme celle de Cédric, je ne peux pas l'ignorer. Je la lèche, la gobe avec des bruits de succion indécents qui s’amplifient dans l’atelier. Du sperme continue à couler. Je m'en enivre. Sa bite est raide. Il ne débande donc jamais !!!! Cédric reprend sa verge et se l'astique avec vigueur pour atteindre un nouvel orgasme.
- Rahhhhh.
Il enfonce sa queue dans ma bouche juste avant d'éjaculer. Plusieurs jets de sa crème atteignent le fond de ma gorge. Je déglutis et avale ce nouveau présent. Son sperme est légèrement salé. Je lèche sa queue encore et encore pour bien la nettoyer de toute trace de semence.
Cédric me relève et m'enlace. Je me perds dans ses bras, mes sens envoûtés par l'odeur qu'il dégage, un mélange de virilité, de cambouis, de sueur, de sperme… J'adore. Il m'embrasse à pleine bouche, d'un baiser langoureux et tendre.
- Éva, vous avez été merveilleuse. Vous êtes l'Amour incarnéNe sachant pas quoi répondre, je lui offre mon plus beau sourire. Je comprends difficilement ce compliment. Pour moi, c'est normal. Nous sommes des adultes et nous aimons nous faire du bien.
Cédric m'emmena vers les douches où je peux me doucher. J'en ai bien besoin. Je suis couverte de graisse. Mes bas sont filés. Je prends une longue douche chaude bienvenue. A la sortie de celle-ci, je retrouve Cédric qui m'attend avec une serviette pour m'essuyer, puis, qui m'aide à remettre ma robe.
Je retrouve Jeff dans le restaurant. Le directeur partage sa table autour d'un verre de vin. Un large sourire à la bouche, il me serre dans ses bras.
- Allez ma belle. Nous rentrons.
Assise dans la voiture, je ne dis rien. Je déroule dans ma tête tout le film que je viens de vivre, aux sensations qui me prennent encore au ventre avec les vibrations de la Ferrari, aux orgasmes puissants qui m’ont dévastés avant de m'endormir.
Nous sommes le lendemain. Jeff se lève le premier.
- Éva, il est 7 heures 30. Nous devons rendre la chambre ce matin. Il faut regrouper nos affaires et prendre notre petit-déjeuner. Je te rappelle que nous avons rendez-vous à 10 heures au pavillon pour la clôture de l'animation.
Je n'ai pas de souvenirs de ce qui s'est passé depuis notre départ du restaurant jusqu'à ce que Jeff me réveille ce matin. Je traîne un peu au lit. J'essaie de reconstituer ma journée d'hier. Elle était si remplie. L'odeur du café me sort du lit. Jeff est encore dans la salle de bains. Je me sers une tasse et, nue, je sors sur la terrasse. Encore une journée bien ensoleillée. Jeff me rejoint. Il est déjà habillé. Il est rasé de près. Hummm il sent bon. Il m'enlace. Dans ses bras, je frissonne.
- Comment vas-tu ce matin ?
- Je vais très bien. Je te remercie pour tout ce que tu fais pour moi. Tu es adorable.
Je termine mon café et me dirige vers la salle de bains.
Une fois douchée et apprêtée, je prépare ma tenue du jour et range mes affaires. Jeff me sert un nouveau café que je bois rapidement. C'est l'heure.
Au moment de rejoindre la voiture, à la porte de l'hôtel, je regarde si Jules est dans les parages, mais je ne le vois nulle part. J'aurais bien aimé lui dire au-revoir.
Jeff nous conduit au pavillon. J'espère que je pourrai revoir Alexandra avant de partir. Oui, elle est déjà là à l'accueil. Nous nous embrassons. Elle m'explique que je dois me rendre à la salle "Cerise" où je suis attendue. Quelques personnes sont déjà présentes dont mon animateur Léo qui, dès qu'il m'aperçoit, s'avance vers moi tout sourire.
- Hello Éva. Que tu es en beauté !!! La réunion va commencer d'ici dix minutes. Tu as un buffet si tu veux boire ou manger quelque chose avant que je commence.
Je grignote une viennoiserie accompagnée d'un jus d'orange. Léo ouvre la réunion. Il fait le point sur les enquêtes marketing et remercie tous les participants. Il nous rappelle qu'afin de nous dédommager, comme convenu, un chèque de trois cents euros sera remis à chacun d'entre nous. Une enveloppe portant notre nom nous attend.
J'avais complètement oublié la contrepartie financière à ma participation !!! Pour moi, j'avais juste accepté l'invitation de mon amant et les plaisirs reçus pendant ces quelques jours m'avaient pleinement comblée.
Léo tient absolument à me dire au-revoir. Il espère vivement que nous nous reverrons.
Dans le hall, je revois Alexandra. Nous nous isolons quelques minutes pour nous retrouver toutes les deux. Nous nous promettons de nous revoir. D'ici peu, elle doit venir à Montpellier. Nous nous embrassons tendrement. Je suis ravie. Alexandra a été pour moi une belle rencontre.
De retour dans le hall, Jeff m'appelle. Nous devons y aller.
Maintenant que je suis dans la voiture, j'ai hâte de rentrer à la maison et de retrouver les bras de Paul. J'ai tellement de choses à lui raconter.
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