Petite balade à Sète pour Éva (3° partie)

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Récit libertin : Petite balade à Sète pour Éva (3° partie) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-02-2021 dans la catégorie Plus on est
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Petite balade à Sète pour Éva (3° partie)
11° Chapitre
Nous voilà au parking pour récupérer la voiture.
Paul a attendu d’avoir démarré le moteur pour venir se blottir contre moi. Ses mains me caressent partout. Ses doigts investissent ma chatte détrempée. Je le sens surexcité. Je lui glisse à l’oreille :- « Tu veux que je raconte toutes les cochonneries qui me sont arrivées aujourd’hui ? » Il marque une pause avant de me répondre : - « Finalement non. Je crois que je préfère que tu gardes tout ça dans un coin de ta tête, si tu peux, et que tu me les racontes de temps en temps quand nous ferons l’amour. Qu’est-ce que tu en penses ? »Un peu frustrée, j'acquiesce.
- « Si tu veux. Je peux quand même te dire que j'ai vécu des choses que je n’aurais jamais pensé qui puisse m’arriver avant aujourd'hui. J’en suis encore toute retournée. »- « Je vois ça !!! » Me dit Paul en portant à sa bouche ses doigts pleins de mouille.
- « Tu es tellement excitée que je vais en profiter pour te faire réaliser un fantasme que j'ai depuis longtemps. Tu vas venir t’assoir sur le levier de vitesse de la voiture qui vibre. »Je ne me fais pas prier. Je veux satisfaire mon chéri qui fait tant pour moi. Je place mes lèvres délicatement sur le pommeau du levier. Paul me guide. En même temps, je sens ses doigts détrempés qui pénètrent mon petit trou. Je ne sais pas s'il va tenir longtemps à ce rythme. Je l’entends souffler comme un phoque. De mon côté, les vibrations du moteur me pénètrent tout le corps. Moi, qui adore les bruits de moteur, la mécanique et les belles voitures, je suis ravie par l'initiative de mon chéri. Les sensations sont décuplées. Je ferme les yeux. Je repense à cet après-midi, à cette canaille de Paolo qui en a bien profité. Jusqu’à me toucher la chatte à quelques centimètres de Paul …Je sens les doigts de Paul dans mon anus qui viennent s’appuyer contre la fine paroi qui sépare mon anus de mon vagin. Les vibrations sont encore plus fortes. Je ne peux pas me retenir de jouir. Je me contracte.
- Ouiiiiiiiiiiiiiii. Je jouiiiiiiiiiiiiis.
Paul me fait sortir du levier, pour rentrer à nouveau. Ses doigts vont et viennent devant derrière. Ce cochon me les fait lécher. Je suis folle ; Je perds tous mes repères.
D’un coup je m’aperçois qu’il est en train de me positionner le levier de vitesse sur mon cul. Il veut m’enculer avec sa voiture : le cochon. Et ça rentre. Et ça bouge et ça vibre. Paul m’embrasse fougueusement. Ses mains pétrissent mes seins. Il tire sur mes tétons. C’en est trop, je jouis à nouveau.
- Ouiiiiiiiiiiiiiii. Je jouiiiiiiiiiiiiis.
Je n'ose plus bouger. Paul me dégage du levier et me cale sur mon siège. Je suis épuisée. Je regarde la pendule de la voiture. Il n’est que 22 heures 30 …- « Tu es sur que tu ne veux pas aller à l’hôtel … ? J’aurai peut-être une surprise pour toi ! »- « Tout à l’heure mon amour. Tout à l’heure. Prenons notre temps. La nuit, n’est pas finie. Je t’aime de ton mon cœur. »La voiture démarre …

12° Chapitre
Je me pelotonne dans mon siège. Durant le trajet, nous ne parlons pas. Entre chaque changement de vitesse, Paul me regarde tendrement et me caresse. Je l’aime très fort. En même temps mon esprit vagabonde et je ne peux m’empêcher de penser à nouveau à ce qu’il s’est passé et surtout à Paolo. Il me fait perdre mes moyens. Comment j’ai pu me laisser faire ? Il a dit qu’il viendrait peut-être à la boîte de jazz … Est-ce qu’on peut y danser ? Je crois qu’il a dit que oui. S’il m’invite à danser est-ce que je vais accepter ? Est-ce que Paul va vouloir ? Le problème, c’est que je crois que le manège de Paolo l’excite. Je l’ai bien vu. Au restaurant ses yeux n’ont pas cessé de pétiller. Il n’a pas pu manquer de voir le manège de Paolo. Et si je danse avec lui. Qu’est-ce que je fais ? Quelles sont mes limites ? Et habillée comme ça, qu’est-ce que je peux faire ? Non, je ne danserai pas. Tant pis. Et pourtant, j’en ai bien envie. Que faire ?
- « On arrive » Dit Paul qui me sort de mes pensées aussitôt.
Il y a l’air d’y avoir du monde. J’espère que ce ne sera pas trop enfumé. Allez ma fille, souffle un bon coup. On y va. Me dis-je en sortant de la voiture. Paul m’attend, me prend dans ses bras et m’embrasse encore une fois en caressant mes fesses.
- « Attention, doucement. Tu m’as cassé le cul tout à l’heure avec ta voiture. Mon petit trou a besoin de repos. Laisse-le tranquille ».
La boîte est assez spacieuse. Bonne ambiance, pas trop de monde, des tables pour boire un coup.
- « Bonjour, je vois que vous êtes nouveau. Je m’appelle Maria. C’est moi qui vais m’occuper de vous » dit-elle en prenant « mon » Paul par le bras.
- « Je vais vous trouver un petit coin tranquille. Je viendrai vous voir de temps en temps. Installez-vous, je viendrai prendre votre commande dans un petit moment. Les musiciens ne vont pas tarder à jouer. Ils commencent à 23 heures. Vous pourrez même danser. A tout à l’heure ».
Nous nous installons sur une petite banquette ronde. Celle-ci est recouverte de tissu rouge capitonné. Elle est confortable. Je me glisse tout contre mon chéri.
- « Tu as vu, comme elle est venue se frotter contre toi cette Maria. Quelle y revienne ! »Maria virevolte passant d’une table à l’autre. C’est une belle brune, mince, très sexy, avec une belle poitrine. Une jupe courte noire. Un chemisier blanc sans soutien-gorge, avec 2 boutons défaits, qui met en avant sa magnifique poitrine. Je pense qu'il va falloir que je surveille sérieusement "mon" Paul. Je la suis des yeux. Près de la table voisine, elle se baisse pour prendre des verres vides. Je ne peux m’empêcher de glisser mon regard dans son décolleté qui, s'ouvre sous le poids de ses seins, dévoilant largement ses atouts. Du coin de l’œil, je regarde mon Paul qui n’en perd pas une miette.
- « Ne te prive pas mon cochon ! » Je lui glisse à l’oreille.
Il ne répond pas, mais sourit en continuant à la suivre des yeux luis aussi. Une fois perdue au milieu des clients, Paul revient vers moi. Il me caresse tendrement et m’embrasse dans le cou pendant qu’une main se balade sur ma poitrine. Je sens son sexe toujours aussi dur. Je ne sais pas comment il fait. Maria nous surprend dans notre relation amoureuse.
- « Alors les amoureux, qu’est-ce que je vous sers ? »- « Vous nous donnerez un Cuba libre et une Marie Brizard ».
Répond mon chéri.
- « Tu veux nous saouler. Ça fait combien de temps que nous n’avons pas bu ces alcools ? »- « Et oui, ce n’est pas tous les jours que nous faisons la fête ! » me dit-il en souriant.
Maria a juste le temps de nous servir avant que l’orchestre se mette à jouer. Après un morceau un peu rapide, l’orchestre se met à jouer « Besame mucho ». Avant que j’ai pu réagir, Paul m’attrape par le bras et m’entraîne sur la piste de danse. Il me serre très fort. Je sens ses mains qui se promènent sur mon corps. J’ai l’impression qu’il veut perforer tous les trous des mailles de ma robe. Hummm je suis bien. Le Cuba libre commence à faire sentir ses effets. Je me laisse bercer dans les bras de mon homme.

La chanson suivante reprend un rythme rapide. Nous revenons sur notre banquette. A peine notre verre fini, Maria nous en apporte un autre. Un autre slow commence. Paul me tire à nouveau pour aller sur la piste de danse. Il se fait plus entreprenant. Il me fait peur. Paolo est arrivé. Je le vois qui nous regarde, qu'il suit les mains de mon chéri qui caressent mon dos, mes reins, mes fesses. Je rougis. Heureusement qu'il fait sombre, ses mains s'aventurent sous ma robe et me font devenir moite et chaude, je me laisse aller, je ne veux pas que cela s'arrête... Comme la salle n’est pas très éclairée, cela me rassure un peu. Je sens sa main sur mes fesses, et son sexe toujours en érection. Sa langue est toujours aussi dure et humide … mon sexe aussi. Puis, la chanson s’arrête, nous revenons à notre place encore tout chauds ... Alors que nous nous asseyons, nous voyons Paolo qui s’approche avec trois verres : - « C’est ma tournée » Dit-il en venant se glisser contre moi. La banquette est petite. Aussi, il glisse un bras derrière mon cou pour se mettre en biais. Je sens à nouveau sa cuisse contre la mienne. Et ses doigts … brûlants. Non, ce n’est pas possible, c’est l’alcool qui me tape dans le sang !
- « Alors, que pensez-vous de notre « Blue Note ? Vous n’en avez pas d’équivalent à Montpellier. D’ailleurs, nombreux sont les clients qui viennent de Montpellier, de Béziers, même de Narbonne et de Carcassonne, c’est vous dire ! Vous avez fait la connaissance de Maria ? »- « Éva, fais attention » Me dit-il sur le ton de la confidence, en me tutoyant pour la première fois et en en profitant pour poser sa main sur ma cuisse.
- « Maria est une dévoreuse d’hommes ». « Allez, à la nôtre ! » Ajoute-t-il en levant son verre.
Le troisième verre commence à m’embrouiller un peu les esprits. Après avoir reposé son verre, Paolo remet sa main sur ma cuisse comme si rien n’était. Presque simultanément, c’est Paul qui fait de même sur mon autre cuisse. Je n’ose plus bouger, les cuisses serrées avec un petit bout de robe qui ne cache pas grand chose !
- « Et qu’est-ce que vous faites demain ? » Nous demande Paolo en terminant son verre.
- « Nous comptons faire un tour sur la côte pour trouver un coin tranquille et y pique-niquer. La météo annonce une belle journée » Répondit Paul.
- « Si vous êtes partants, je vous propose une petite ballade sur mon voilier. Je vous ferai découvrir des coins insoupçonnés et nous jetterons l’ancre dans une crique où vous serez on ne peut plus tranquille car on ne peut y venir que par la mer. Alors qu’en pensez-vous ? »- « Je ne sais pas ».
- « Mais pourquoi Éva ? » Répond Paolo en me regardant avec un air triste. Ça y est, voilà que je perds mes moyens. Je ne sais plus quoi dire. En plus, en me disant cela, je sens la main de Paolo qui se déplace lentement sur ma cuisse. Et Paul qui fait pareil à l’unisson ! Les cochons, les cochons …- « C’est que j’ai peur, voilà. » C’est tout ce que j’ai pu dire.
- « Peur de quoi ?, de qui ? »- « Peur, peur, peur de l’eau. Je n’aime pas trop être sur l’eau. Je préfère la terre ferme ! »- « Ne crains rien. Je suis là. Je connais ce coin de la mer comme ma poche. »- « Alors, c’est d’accord » conclut Paul.
- « A quelle heure et où ? »- « Je viendrai vous prendre à l’hôtel à 11 h. Ne vous occupez de rien. J’amène tout. »- « Allez, pour la peine, viens danser » me glisse à l’oreille Paolo en me prenant la main.
Paolo qui m'invite à danser. Je ne sais si je peux y aller. Paul me regarde avec un grand sourire. Je ne peux qu'accepter et je me lève ... Toutes les questions que je me posais tout à l’heure ont été balayées d’un coup. Et me voilà sur la piste de danse avec Paolo … La tête me tourne : Paolo, l’alcool, …
« Summertime » entonne l’orchestre …Paolo me tient serré contre lui. Je sens son sexe dur comme un bâton contre mon bassin … Je n’ose pas bouger, rien qui puisse être interprété par Paolo. Une main ferme m’oblige à appuyer ma tête contre son épaule.
- « Enfin » me murmure-t-il à mon oreille. Laisse-toi aller ».
Je suis perdue, mes jambes flageolent. J'ai la chair de poule. J’entraperçois Paul qui nous regarde toujours souriant. Ma robe semble faire de l’effet à Paolo également. Je sens ses doigts qui transpercent les trous de mes mailles comme des aiguilles de feu. Tandis que sa main gauche me plaque fermement contre son épaule, sa main droite me caresse partout. Il sait que je suis nue sous ma robe. Il a déjà eu plusieurs occasions de s’en apercevoir et il en joue … Sa main descend jusque au creux de mes reins. Il appuie ses doigts en bas de ma colonne vertébrale ce qui me donne des frissons. Je sens les pointes de mes seins qui durcissent. Je sens mon vagin trempé. Sa jambe s’encastre de plus en plus entre les miennes. Son sexe me fait mal. Je vois à nouveau Paul qui me regarde d'un air bienveillant. J’ai l’impression qu’il se caresse en même temps. Il s’excite à me voir ainsi dans les bras de Paolo. Quel cochon ! Quel cochon !

Enfin, le morceau se termine. Je me relâche pour regagner notre place. Mais Paolo ne relâche pas son étreinte.
- « Encore un peu s’il te plait » souffle-t-il à mon oreille en me donnant en baiser furtif.
Et c’est à ce moment-là que l’orchestre entame « I’m Still Lovin’ You ». Pitié … Où est Paul ? Mais il n’est pas tout seul. Il est avec Maria qui se penche pour lui parler, qui nous regarde et qui s’assoit sur ses genoux. Pendant ce temps, Paolo ne perd pas son temps. Ses mains continuent de m’explorer. Il profite du changement de chanson et de rythme pour changer légèrement de position. Je sens une main qui me caresse toujours les fesses, pendant que l’autre vient glisser entre nous.
Au début, il me titille le bout d’un sein, puis je sens sa main descendre pour atteindre mon sexe trempé. Pitié. Je serre les cuisses. Sans grand résultat pour empêcher l’exploration de Paolo, mais avec de l’effet pour moi. Me contracter me fait monter le plaisir… Paolo le sent bien. Sa main droite explore le sillon de mes fesses, pendant que ses doigts me pénètrent. Je fonds.

- « Tu me fais craquer » Me glisse-t-il à l’oreille.
Aussitôt, je ne sais pas comment il a fait, mais je suis sûre qu’il a sorti sa bite de son pantalon.
Il a réussi à la glisser contre mon ventre. Mais comment a-t-il fait ? Je n’ai rien vu venir. Et avec tous ces gens autour de nous. Heureusement que la piste de danse est peu éclairée. Je perds pied. Je tente de me décoller de mon cavalier, mais celui-ci ne veut rien savoir. Je suis prisonnière. Je regarde affolée mon Paul qui est toujours en pleine discussion avec Maria. Devant cette nouvelle donne, Paolo, me serre à nouveau fort contre lui, bassin contre bassin. Son sexe dur me fait mal ! En dansant, il bouge son bassin et se cambre. Je sens alors ses couilles aussi dures que sa queue venir se frotter contre mon clitoris. Je chancèle … C’est Paolo qui me retient. A ce moment, je repense à la première fois quand Paul m’avait amené dans une boite à Paris. Avec cette même robe d’ailleurs. Je repense au pompier qui m’avait invité à danser. Il était tellement grand et son sexe tellement long que je sentais son gland entre mes seins. J’avais une envie irrésistible de prendre son gland dans ma bouche. Je n’avais qu’à pencher la tête. C’était trop tôt. Je n’avais pas osé. Maintenant, je m’en sentirais capable. Paolo me fait encore plus d’effet que ce pompier barraqué. Mais son sexe est plus bas. Je ne peux pas le sucer. J’en ai pourtant tellement envie.
Comment peut-on aimer son mari comme j’aime mon Paul et avoir des idées cochonnes dans la tête ? Je suis trempée. Heureusement que Paolo n’est pas plus petit, sinon, je suis sure qu’il m’aurait baisé là sur la piste et je n’aurais rien pu faire … au contraire …Et à nouveau son déhanchement, les frottements de son gland contre mon ventre et ses couilles. Je n’en peux plus. Je ferme les yeux, Paolo choisit se moment pour m’embrasser. Un baiser profond. Sa langue est longue, chaude, humide. Nos dents s’entrechoquent … Je n'ose plus bouger. Je suis tétanisée. Que va dire Paul ? Je me contracte, et je jouis là sur la piste avec un Paolo qui me serre très fort... Je me mords les lèvres pour ne pas crier ma jouissance. Je me sens partie, comme dans un rêve. Très rapidement les mouvements de Paolo me sortent de ma torpeur. Qu’est-ce qu’il fait ? Non. Il ne va pas jouir ? Pas ici, pas maintenant ? Pas sur moi ?
C’est alors que je sens Paolo qui se tend d’un coup et aussitôt je sens des giclées répétées sur mon ventre. Oh le cochon. Il a joui là, sur mon ventre au milieu de tout ces gens. Je crois qu’il est encore plus cochon que Paul. Ça, il ne me l’a encore jamais fait ! Et maintenant, moi, comment je vais faire ? Paolo, se rhabille rapidement. Il faut dire qu’on était synchro car le morceau de musique se termine et les danseurs rejoignent leur table.
Je laisse Paolo en plan et me dirige vers les toilettes. Je ne peux pas revenir à notre table comme ça. Une fois la porte des toilettes fermée, je me regarde dans la glace. J’ai une mine à la fois fatiguée et à la fois, j’ai un visage épanoui. C’est drôle comme impression. C’est comme dans ma tête. Tout est confus. Je soulève ma robe pour voir les dégâts. J’ai du sperme jusque sur les seins. Quel dommage, je me dis en souriant. Mes doigts recueillent la précieuse semence que je porte au visage pour en connaître l’odeur. Hum … Je ne peux m’empêcher de glisser mes doigts dans ma bouche en repensant à une foultitude d’images à la fois : mon pompier, Carole ma voisine et Paolo. J’aurais bien aimé le prendre dans ma bouche et le boire jusqu’à la dernière goutte. Quelle cochonne je fais. Me voilà gourmande de … sperme. Éva, qu’es-tu devenue ? En disant cela, je recueille tout le sperme que je peux sur mon ventre pour le boire …. En même temps, ma main gauche ne peut s’empêcher de serrer mon clitoris tout dur d’excitation. Une fois la dégustation terminée, il faut maintenant que je m’occupe de ma robe. C’est drôle de me voir nue dans cet espace.
Je prends du papier pour essuyer ce que je peux. Ça va. Il y a moins de dégâts que ce que j’aurais pensé.
Après un petit pissou, un peu d'eau fraiche sur mon visage, je vais pouvoir retourner à notre table. Qu’est-ce que je suis rouge !

Paul est seul quand j’arrive à la table. Je le vois sourire. Il me prend délicatement dans ses bras pour me dire « je t’aime » simplement. Il ne perd pas le nord. Il glisse quand même ses doigts dans mon sexe pour connaître mon état d’excitation. Celui-ci à l’air de lui convenir. « Je t’aime » répéta-t-il à nouveau.
- « Viens, on va y aller car il nous reste des choses à faire ! »Il reste des choses à faire ? Il veut me baiser maintenant ? Mais je n’en peux plus !

Au moment de payer, Paolo nous rejoint avec Maria.
- « Ne vous inquiétez pas pour ça. C’est réglé. J’ai un compte ici avec Maria. »Les derniers mots de Paolo m’ont interpellée. Qu’a-t-il voulu dire ? Sont-ils ensembles ? Je me suis sentie bête d’être jalouse à cet instant. C’est sûr, Maria est mieux foutue que moi et plus jeune, et ses seins …Paolo ajoute - « J’aurais un service à vous demander. Je suis à pied. Est-ce que vous pouvez me ramener à la maison ? »- « Bien sûr » répondit Paul. « Avec plaisir. Simplement, il faudra se serrer un peu car ma voiture est une commerciale et n'a que deux places. Allons-y. Au revoir Maria. A bientôt »Maria nous embrasse comme si nous nous connaissions depuis toujours.
Aucune parole ne fut prononcée jusqu’à la voiture. Chacun avait certainement son cerveau rempli d’images et d’idées entremêlées. Arrivés à la voiture, Paul ouvre la porte côté passager et demande à Paolo de s'assoir. Il devra me prendre sur ses genoux. Ben voyons !!!
- « Non, pas comme cela, mais de biais. Voilà. Je vais attacher la ceinture. Voilà vous êtes bien ? »- « Oui, c’est parfait » dit Paolo. « Et puis, je n’en demandais pas tant … »- « Et toi, ça va ? » me dit Paolo.
- « Oui, mais je ne voudrais pas vous écraser » Je lui réponds en le vouvoyant. Je ne sais pas pourquoi, mais, je n’arrive pas à le tutoyer. Il m'intimide.
Je n’osais pas trop bouger non plus. Ma robe était remontée jusqu’en haut des cuisses. J’étais indécente.
- « Voilà, je vais te prendre contre moi. Pose ta tête contre mon épaule. »- « Oui, comme ça tu seras bien. Tu peux allonger tes jambes et les poser sur mes cuises. Tu es une vraie Reine mon cœur ! Qui ? comme toi ? »Nous voilà partis. Paolo est bien installé. Une main contre mon sein avec ses doigts qui me titille le mamelon. La seconde qui me caresse délicatement mon sexe tout lisse et toujours trempé.
Paul, lui, en profite pour me caresser les jambes. Finalement, je pourrais être plus mal. Je ferme les yeux, la tête appuyée contre l’épaule de Paolo et encore toute engourdie de désir. Seul point d’inconfort. Le sexe durci de Paolo que je sens à nouveau contre mes fesses ! Sentant cette bosse, je me love encore davantage contre lui et je glisse ma main sous sa chemise pour caresser son torse.

J’entends Paolo et Paul qui discutent pendant que je me laisse bercer.
- « Ce n’est pas très loin. Tu vas voir. » dit Paolo. « D’ailleurs c’est bien dommage, car en aussi bonne compagnie, j’irais jusqu’au bout du monde » dit-il en riant.
- « Le ciel semble chargé. J’ai peur qu’il y ait un orage » reprit Paul. « Tu penses qu’il fera beau malgré tout pour demain. »- « Ne t’inquiète pas. A cette époque c’est toujours comme ça. Demain, il fera un beau soleil pour notre croisière. »- « Éva, Éva. Réveille-toi. Paolo est arrivé. »J’ouvre les yeux. Je me suis endormie. La main de Paolo est toujours contre mon sexe et mon sein est toujours prisonnier de son autre main. Paul défait la ceinture pour que je puisse me dégager. Pendant que Paul fait le tour de la voiture, Paolo m’effleure les lèvres d’un baiser humide. Hum … Tandis que je me soulève pour le laisser sortir, Paolo en profite pour me caresser les fesses.
- « Dors bien. Sois en forme pour demain. »- « Allez, bonne nuit Paul. Merci pour tout » ajoute Paolo avant de disparaître dans la nuit.

Paul m’installa confortablement, attache ma ceinture et vérifie que mon sexe était toujours humide.
- « Je t’aime mon cœur. Tu as été formidable ce soir. »- « A moi maintenant » ajoute-t-il en démarrant sur les chapeaux de roue. »
Durant le trajet, je me rapproche de mon Paul. La Picasso nous éloigne trop l’un de l’autre. A cette fin, je me suis allongée pour poser ma tête contre sa cuisse. Je peux même sentir une bosse dans son pantalon qui me gêne. Je me suis endormie en repensant à tout ce que je venais de vivre.
Nous arrivons à l’hôtel assez rapidement, mais il est déjà près d’une heure du matin !


13° Chapitre : Retour à l'hôtel
Nous réclamons notre clé auprès d’une réceptionniste endormie. Rapidement, nous rejoignons notre chambre. Après avoir enlevé ma robe pull, j'enfile la nuisette noire que Paul m'a apportée. Paul est fatigué, mais je suis bien réveillée : - « Viens voir sur le balcon la vue que nous avons cette nuit. Le ciel est bien chargé. Nous aurons droit à l’orage. »Quand Paul me rejoint, je lui déboutonne, puis retire sa chemise : Paul se retrouve torse nu. La pluie commence à tomber. Ma nuisette est rapidement trempée. Elle colle à ma peau. Nous nous embrassons dans un baiser passionné d’amour et de tout ce que nous avons vécu aujourd’hui. Une journée dont on se souviendra longtemps : Sète, Ville d’Amour. Je peux sentir l'érection de mon mari contre mon ventre. Aussitôt, je déboutonne sa braguette pour libérer le sexe de mon homme à l'étroit dans son boxer. Avec envie, je prends à pleines mains sa queue bien raide. Paul se raidit sous mes caresses. Je ne peux me retenir et je m'accroupis pour la prendre en bouche. Quel pied de sucer mon chéri ainsi sous la pluie face au canal !
Quelques éclairs zèbrent le ciel. L'orage annoncé arrive. La vue est magnifique, mais je suis un peu craintive par temps d'orage. Paul me relève et me retourne contre la rambarde. Et là, il me pénètre brutalement.
Mon sexe est trempé : une vraie fontaine d’amour. Je suis quasi nue face à la rue : ma nuisette trempée est plus indécente qu’autre chose. Mon chéri m’excite à pincer mes mamelons durcis par la fraîcheur de la pluie. Rapidement, je sens son gland gonfler, sa respiration s'accélérer, puis ses couilles se vider dans mon utérus. Le tonnerre gronde. Nous ne traînons pas sur le balcon. Nous rentrons dans la chambre pour nous sécher et nous nous coucher enfin. Il est 2 h 15 !
A peine allongés, nous entendons du bruit du côté de la porte. Paul prend une serviette pour se couvrir et va voir ce qu'il se passe. Une splendide brune lui apparaît paniquée : - « Bonsoir, je suis Carole. Je suis seule. J’avais prévenu Éva que s'il y avait de l’orage, je viendrais me mettre à l’abri dans votre chambre. Vous voulez bien ? ».
- Bien sûr, rentrez vite. Nous venons juste de nous mettre au lit. Venez rejoindre Éva dans notre lit. Ici, vous ne craindrez rien ».
Effectivement, la nuit a été sage, même si Carole semblait très agitée, se tournant et se retournant.

Le matin, vers 9 heures, Paul se lève et laisse les filles dormir. Elles sont enlacées. Avant de sortir de la chambre, il prend quelques photos de la scène si érotique à ses yeux. Une situation inimaginable. Éva dans les bras d'une fille !!! Que lui arrive-t-il ? Paul descend au bar de l'hôtel pour prendre un café afin de se réveiller. L’idée de laisser les deux femmes seules dans le lit l’excite. Curieux, il ne peut résister et remonte rapidement, puis ouvre la porte silencieusement. Il découvre alors Carole, la tête en bas, en train de me lécher ! Paul reste abasourdi par cette vision. Il s'immobilise près de la porte pour épier les femmes. Il pense à sortir son téléphone pour filmer les ébats saphiques. Mais, n'y tenant plus, sans bruit, il pénètre dans la chambre et retire ses vêtements avant de s'approcher du lit. Alors qu'il s'allonge, Carole lui happe sa queue et s'applique à la lécher. Paul surpris, n'esquisse aucun geste. Il se laisse faire. Un vrai régal de léchouilles. Carole est une vraie suceuse de première, gourmande à souhait.

Je ne bouge pas. Je fais semblant de dormir. J’ai pourtant ouvert les yeux quand Paul s'est levé, mais, avec Carole lovée dans mes bras, je n’ai pas osé bouger. Moi, dans les bras d'une femme ? Qu'allait penser Paul ? Il en avait été de même quand j’avais vu la porte s'entrouvrir et Paul nous regarder. Non, non, non !!!! Je n'acceptais pas cette situation. Ce n'était pas moi qui étais là dans ce lit. Ce n'était qu'un rêve. Et quand Carole avait attrapé la queue de "MON" Paul pour la sucer ! Je refusais de le voir. Je n’ai réagi que lorsque Paul sortit de la bouche de Carole pour s'enfoncer dans ma chatte brûlante.
- Ouiiiiiiiiiiiii. Baise-moi !!!
Excité par cette expérience jusqu'alors inconnue, Paul se déchaîne. Il pilonne sa femme, tandis que Carole lui lèche les couilles et son anus. Plein d'images envahissent l'esprit de Paul, embarqué par ce trio imprévu. Alors, il sort sa bite pour la glisser dans la bouche suave de Carole, ravie de l'aubaine et qui la pompe à force succions, excitée par les effluves d'Éva qui la recouvre. Paul joue ainsi, alternant le vagin de sa femme et la bouche de son amante. Submergé par son excitation, Paul profite de sa queue détrempée pour approcher son gland de ma rosette pour m'enculer. L'anus s'ouvre aisément et laisse entrer la bite de Paul qui s'enfonce jusqu'à la garde, satisfait de sentir son pubis taper contre les fesses de sa femme. Il me défonce sans retenue. Parfois, il sort totalement avant de revenir s'enfoncer entièrement. Il aime voir le cul de sa femme qui reste ouvert chaque fois qu'il en sort. Carole a pris en main le bouton de son amante qu'elle agite fermement. Je crie, hurle. Ma tête va dans tous les sens. Paul alterne et pénètre sa femme par ses deux trous. La bouche de Carole reçoit aussi la visite de la queue de Paul, totalement déchaîné. Après quelques minutes de cette débauche de sexe, Paul ne peut plus se retenir et vient jouir dans la bouche de Carole. Il lâche plusieurs giclées de sperme bien épais. Une éjaculation si abondante que Carole éprouve des difficultés à déglutir et à tout avaler. Pendant que Carole s'applique à garder la queue de Paul en bouche pour déguster les dernières gouttes de semence, Paul m’embrasse fougueusement.

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