Seule à Barcelone : la suite des aventures d'Éva (2° partie)

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Auteur femme.
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Récit libertin : Seule à Barcelone : la suite des aventures d'Éva (2° partie) Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-12-2020 dans la catégorie Plus on est
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Seule à Barcelone : la suite des aventures d'Éva (2° partie)
L’après-midi était bien avancé, une fois ma douche prise, je m’habillais un peu plus chaudement et choisis pour cela une petite robe rouge en laine et mis des bas. Je me photographiais et envoyais un nouveau message à Paul pour le tenir informé de mes aventures.
Au moment d’ouvrir la porte, je découvris un message qui avait été glissé dessous. « Mi querida putita de amor ¿ Nos que veremos esta noche ? » (Ma chère petite pute d’amour, est-ce qu’on va voir ce soir ?) … Ah les coquins, ils avaient de la suite dans les idées. Je retournai le mot et répondis : « ¿Por qué no ? Pero necesito que me sorprende de este ¿ Qué me sugiere ? » (Pourquoi pas? Mais j’ai besoin que tu me surprennes. Que me proposes-tu ?). Je montai ensuite au cinquième étage glisser le mot sur leur porte.

Les ramblas étaient toujours aussi animées. Je décidais de remonter vers la place de la Catalogne. La proximité de la mer donnait une sensation de fraicheur pas désagréable, mais j’avais bien fait de me couvrir… Je pris du bon temps à me promener et à dépenser mes euros si chèrement gagnés. Je profitais de chaque essayage pour envoyer une photo à Paul pour qu’il m’aide à choisir et pour le récompenser de son amour.

La nuit était tombée, je rentrais à l’hôtel chargée de sacs. L’homme de la réception m’interpella et me remit deux enveloppes. La première émanait du couple de français qui m’invitait à leur table ce soir si j’étais disponible. La seconde venait de mon coquin du matin qui revenait déjà à la charge pour me dire qu’il passerait me prendre demain midi. Oh la la j’étais sollicitée !!!! Je ne sais pas si j’allais pouvoir assurer.

En ouvrant ma chambre, je découvris un nouveau message. Mes amants me proposaient plusieurs programmes. A moi de choisir si j’en trouvais un à mon goût.
Je pris mon temps avant de détailler les propositions :« ¿ un paseo en la noche en Barcelona ? »« ¿ una sorpresa en nuestra habitación ? »« ¿ una noche íntima en la piscina después de su cierre ? »« ¿ una sorpresa con amigos ? »« Y en cada caso un regalo para ti, putita francesa !!! Dos hombres esperando por ti. »(Une promenade nocturne à Barcelone ?
Une surprise dans notre chambre ?
Une nuit intime dans la piscine après sa fermeture ?
Une surprise entre amis ?
Et dans chaque cas un cadeau pour toi, la petite pute française !!! Deux hommes qui t’attendent.)
Avais-je envie de les revoir ? Avais-je envie de leurs sexes puissants ? Mon ventre en se contractant répondit à ma place : oui !!! Pour quel programme allais-je opter ? Chacun était attractif… Je décidais de ne pas choisir maintenant. J’allais d’abord passer une soirée « tranquille » avec le couple de français.
Je téléphonais aux français. C’est la femme qui me répondit. Elle fut ravie de ma réponse et me proposa de nous retrouver au bar à 21 heures.
Je montais au cinquième pour glisser ma réponse sous la porte de mes amants :« Sí, quiero dar la bienvenida a ambos. Todavía no he elegido a programa.».
(Oui, je veux vous accueillir tous les deux. Je n’ai pas encore choisi de programme).

Je pris mon iPad et écrivis plus en détail ma journée à Paul. L’écriture m’excita tellement que je ne pus m’empêcher de me caresser jusqu’à la jouissance…
Le temps passait vite. Il était déjà presque l’heure de rejoindre le couple de français. Je décidais de choisir une des robes offertes ce matin et mis des bas noirs. Un maquillage léger. Un rouge à lèvres, rouge vif et me voilà dans l’ascenseur où je pus prendre à la volée une photo pour Paul avant que la porte ne s’ouvre.

Le couple était déjà arrivé. La femme me prit dans ses bras et m’embrassa comme si nous étions de vieilles connaissances. Son mari fit de même, tout en appuyant ses mains sur mes hanches. Un grand sourire illumina son visage pour me faire comprendre qu’il avait bien senti que je ne portais pas de sous-vêtement.
Émilie me prit par la main pour me conduire à la table qui nous avait été réservée. Nous nous assîmes de part et d’autre de Vincent. Émilie était ravissante. Une jolie brune avec un haut transparent. Sa poitrine était partiellement cachée par un superbe boléro en dentelle. Nous fîmes connaissance. Le couple avait décidé de prendre un peu de bon temps loin du stress et de la pression de leurs occupations professionnelles. Je prenais du plaisir à discuter avec eux. Ils étaient simples et respiraient l’amour. Émilie ne fit pas allusion à notre épisode de l’après-midi. Je parlais de moi, de mon couple, de Paul qu’ils ne pourraient qu’apprécier. Vincent me déshabillait du regard. J’en souriais d’aise. Me voyant disponible, il prit l’initiative de poser sa main sur ma cuisse pour me caresser. Émilie semblait en accord avec son époux et m’encouragea d’un battement de cils. Sa caresse se fit plus pressante et plus audacieuse. Un frisson me parcourut lorsque je sentis sa main atteindre ma peau nue au-dessus de la lisière de mon bas. Vincent était pressé de vérifier mon absence de culotte. J’écartais mes cuisses pour lui faciliter l’accès à ma vulve toute trempée d’excitation… En expert, Vincent m’excita le clito et rapidement je me sentis perdre pied et une première vague de plaisir m’emporter. Je fermais les yeux pour profiter pleinement de mon plaisir volé en plein restaurant…Quand je les ouvris, je vis Émilie me sourire. Elle se caressait délicatement un téton également excitée par ma jouissance… La main de Vincent quitta mon sexe pour venir à la rencontre de la bouche d’Émilie qui, ravie, lécha ses doigts avec un plaisir non dissimulé…
Notre complicité bien installée, je posais à mon tour ma main sur la cuisse de Vincent pour vérifier son excitation. Émilie me fixait. C’est alors que je compris qu’elle aussi avait entrepris la même caresse. Nous nous sourîmes. En remontant vers sa braguette, je fus néanmoins surprise de découvrir la main d’Émilie qui branlait délicatement la queue de Vincent sortie de son pantalon. Une bite de belle taille. Je joignis mes doigts à ceux de mon amie pour mieux caresser Vincent qui soupirait d’aise. Émilie et moi nous nous fixions en souriant avec une forte complicité dans cet instant si irréel… Vincent était si excité par la situation qu’il nous surprit toutes les deux en jouissant très vite. Émilie et moi avions nos doigts couverts de sperme et nous nous regardâmes à nouveau intensément en les léchant pour recueillir le délicat nectar pendant que Vincent essayait de garder une certaine contenance en s’essuyant…C’est alors que, la tension retombant, nous nous mimes à rire tous les trois ravis par l’érotisme de la situation.
Nous pouvions commencer à manger…
Tandis que nous faisions davantage connaissance, un garçon m’apporta un pli sur un plateau que je m’empressai d’ouvrir. « Entonces, mi putita. Parece bueno divertido ¿Has elegido para esta noche? » (Et alors, ma petite salope. Tu as l'air de bien t'amuser. Qu'as-tu décidé pour ce soir ?).

Je dus expliquer à mes nouveaux amis ce dont il s’agissait et comment j’en étais arrivée là… Je terminais en présentant les différents programmes proposés à mes deux amants. J’ai dû avouer qu’après une journée aussi mouvementée, je ne me voyais pas ressortir de l’hôtel et que finalement j’allais choisir l’option piscine. Après avoir écrit ma réponse « 23 horas en la piscina » (23 heures à la piscine), je fis signe au serveur de rapporter celle-ci. Émilie et Vincent me firent promettre de leur raconter la soirée ultérieurement.

Le temps passant, je dus quitter mes coquins pour retourner dans ma chambre me préparer.
Il me restait quinze minutes. Je ne devais pas traîner. Après m’être lavé les dents, et envoyé un message à Paul, j’enfilais une simple nuisette sous mon manteau et je descendis directement au sous-sol avec une simple serviette dans mon sac.
Malgré l’heure tardive, le sous-sol était éclairé. La porte de la piscine était fermée. Après avoir tapé à la porte, celle-ci s’ouvrit et je me trouvais face à face avec un de mes amants déjà entièrement nu.
« Buenas noches mis adorable francésa putita. Estábamos deseando verte otra vez » (Bon soir, mon adorable salope de française. Nous avions hâte de te revoir).

Après avoir refermé la porte, il m’embrassa à pleine bouche pendant que son compagnon se pressait derrière moi. Je pouvais sentir son souffle saccadé près de mon oreille. Mes deux amants semblaient bien excités !!!
J’enlevai mon manteau pour me glisser dans l’eau avec ma nuisette comme simple vêtement. J’étais persuadée que l’effet de transparence les exciterait encore davantage que si j’étais totalement nue…
Mes deux amants s’étaient assis au bord de la piscine, là où l’eau n’est pas trop profonde. Leurs sexes dressés m’attendaient. Je m’approchais d’eux. Je pris une queue dans chaque main et commençais à les branler doucement. « ¿Entonces mi amantes ? ¿Estabais ansiosos por encontrar de nuevo a su putita francesa? » (Alors mes amants ? Etiez-vous si impatients de retrouver votre petite pute française ?). Puis je commençais à les décalotter délicatement pour lécher leur gland gonflé de désir. Les coquins étaient tendus, prêts à exploser. J’avais leur destin dans mes mains. Quelle sensation de puissance pour une femme !!! Je m’appliquais à bien lécher leur queue tendue, à descendre jusqu’à leurs couilles gonflées et à remonter pour bien les prendre en bouche. L’un après l’autre et avec quelques tentatives, les deux à la fois. Aucun bruit ne venait perturber notre relation. L’un des deux ne put se retenir et me gicla au fond de la gorge. Il m’envoya plusieurs jets de son nectar épais. Une fois ma surprise passée, j’entrepris de le finir délicatement, lentement, avec ma bouche et ma langue, je nettoyais sa queue, l’embrassais pour la remercier de m’avoir donné sa crème. Le second choisit de plonger dans la piscine pour me rejoindre avant d’exploser. Tandis que je continuais à vénérer le sexe du premier qui ne voulait pas débander, le second se colla à moi et m’embrassa dans le cou pendant que ses mains pétrissaient mes mamelles et pinçaient mes tétons durcis d’excitation. Je pouvais sentir son sexe gonflé contre mes fesses. « Me vuelves loco, putita ! » (Tu me rends folle, petite pute !). Toujours aussi surprise par l’érection qui ne semblait pas s’affaiblir, je continuais à me régaler de la queue dressée qui me rendait aussi sublimement hommage. Les mains de mon amant endiablé me pétrissaient totalement. J’écartais les jambes pour lui faciliter l’accès à ma vulve. Ses doigts me fouillaient. Je me laissais emporter par les vagues de plaisir, léchant la queue de l’un pendant que l’autre branlait énergiquement mon clitoris. Un premier orgasme me transperça. Je posais ma tête sur la cuisse de mon amant, sa queue toujours dans ma bouche pour profiter pleinement de cette onde de plaisir qui m’envahissait.

Satisfait, mon amant enfonça brutalement sa queue et m’arracha un cri qui déclencha un second orgasme…. Sans me laisser de répit, alors que derrière mon amant me pilonnait, le second plongea dans l’eau et vint se placer face à moi. Il prit ma tête entre ses mains et m’embrassa fougueusement pendant que son acolyte continuait de me pilonner. Il me prit aux hanches et me souleva pour que je vienne m’empaler sur lui. Son sexe large et bien dur me remplit la chatte. Allégée par la pression de l’eau, il me soulevait et me laisser retomber sur sa queue. Le second, toujours excité m’embrassait dans le cou en me disant des mots crus « ¿Y así, putita, quieres nuestras dos pollas para ti solo? » (Alors, salope, tu veux nos deux bites pour toi toute seule ?). Et je me surpris à répondre sur le même ton. « Cállate y venga con tu polla en mi culo » (Tais-toi et viens mettre ta bite dans mon cul). Le cochon ne se fit pas répéter deux fois, sauf que cette fois, à ma grande surprise, il vint s’inviter dans mon vagin. Les deux queues me défonçaient ensemble dans une double impensable et qui pourtant me transportait littéralement dans un plaisir indescriptible entre la douleur et la jouissance. Je bougeais la tête de droite à gauche en encourageant mes amants à me pilonner « mas fuerte, mas y mas ! » (plus fort, de plus en plus !). Excités par la situation, nous jouirent simultanément. Emportée dans ma jouissance, je sentis de longs jets de foutre chaud dans mon vagin. Les deux cochons se retirèrent. Des fils de sperme nous entourèrent. Mes amants s’amusèrent à les attraper pour me les donner à avaler… Ensuite, ils s’amusèrent à m’embrasser à pleine bouche à tour de rôle, ravis du plaisir intense que nous venions de vivre tous les trois. Nous sortîmes de la piscine épuisés mais heureux. Je portais toujours ma nuisette trempée qui me collait érotiquement à la peau. Ils s’efforcèrent de me l’enlever et de me sécher avec ma serviette. Aucune partie de mon corps ne semblait oubliée. Je prenais beaucoup de plaisir à être ainsi l’objet de leur attention. « Eres muy guapa, putita de amour ! » (Tu es très jolie, petite pute d'amour !). Je remis mon manteau à même la peau et nous nous séparâmes pour rejoindre nos chambres.

Une fois la porte fermée, je m’allongeais sur le lit, épuisée. J’eus juste le temps d’envoyer un sms à Paul avant de fermer les yeux et de m’endormir…
Le lendemain, matin, je fus réveillée par le soleil qui inondait la chambre. J’avais oublié de fermer les rideaux en rentrant hier soir. Il était assez tôt pour moi, mais je ne trainais pas au lit.
Je sortis ma serviette encore mouillée qui était restée dans mon sac. C’est alors que je découvris au milieu de ma nuisette également trempée une enveloppe avec un mot « Mucha gracias putita francesa » (Merci beaucoup la petite pute française) et deux nouveaux billets de 500 euros. Ils étaient fous ! Dire que je n’avais pas encore dépensé ma première prime !!!

Je pris une bonne douche et me séchais les cheveux quand j’entendis frapper à la porte. C’était Émilie qui venait aux nouvelles. Vincent et moi t’attendons au restaurant pour le petit déjeuner. Nous sommes impatients de savoir comment s’est déroulée ta soirée. Elle s’assit et me regarda finir de me préparer. Nullement gênée, je me promenais nue devant elle. J’eus une idée. Tiens, Émilie, prends mon téléphone et tu vas me photographier. Je vais envoyer les photos à Paul. Il sera ravi. Je lui dirai que c'est Émilie qui les a prises.

J’enfilais une petite robe légère et descendis avec Émilie rejoindre Vincent. Un grand et large sourire m’accueillit. Une bosse déformait déjà son pantalon… Pendant notre collation, je dus raconter à force détails ma première rencontre avec mes espagnols, ainsi que ma soirée à la piscine. Je les voyais attentifs, les yeux brillants, les mains sous la table… Cela me faisait rire et m’excitait en même temps.
Alors, dis Vincent, quel est ton programme aujourd’hui ? Oui, ajouta Émilie, j’aimerais bien faire les boutiques avec toi cet après-midi. Vincent doit aller faire un tour au port. Nous convînmes de nous retrouver à 17h30 à la réception de l’hôtel.

Je ne leur avais rien dit de mon histoire avec Juan hier. Il était temps de me préparer. Ainsi je pourrai retrouver Juan après un petit café sur les ramblas. Je choisis la troisième robe en soie naturelle que Juan m’avait choisie hier. Un peu courtette, un peu transparente, mais je me sentais vraiment bien et je décidais de la garder pour faire plaisir à Juan. J’avais un peu de temps pour écrire un long mail à Paul car j’étais un peu en retard dans la transcription de mes aventures et je savais Paul impatient de me lire. Croira-t-il à ce que j’ai vécu depuis mon arrivée à Barcelone ? J’en doute… Moi-même, j’ai du mal à tout réaliser.

Sur les ramblas, derrière mes lunettes noires, j’observais le regard des hommes qui me regardaient. Je me sentais femme, tout à fait bien et totalement épanouie. Je pensais aussi à mes copines qui ne savaient rien de ma double vie et qui étaient étriquées, enfermées dans leur « petite vie » de femme. Quelle désolation !!! Je dois avouer que j’ai moi-même évolué que très récemment grâce à mon Paul et je ne le remercierai jamais assez… Quel bonheur. Il me manque.

Mon « cafe con leche » dégusté, je revins vers l’hôtel car Juan ne devrait pas tarder. Quelle voiture aura-t-il ?? Une Porsche ? Une Audi ? Une BMW ? Une Mercedes ? Un petit air frais soufflait, je sentais mes tétons gonflés qui frottaient contre la soie de ma robe… J’en mouillais d’excitation. Quel enivrement.

Je m’approchais de l’hôtel quand j’entendis un avertisseur. Je me retournais pour apercevoir Juan qui me faisait signe de la main, au volant d’un superbe coupé Porsche. Il se pencha pour m’ouvrir la porte. Je me glissai comme je pus dans sa voiture basse au siège baquet étroit. Il m’embrassa délicatement et me frôla la poitrine en prenant soin d’attacher ma ceinture de sécurité. Il abaissa la capote et démarra vivement. Le bruit du moteur de la Porsche me transperça le ventre. J’adore toutes ces sensations qu’offre une « belle » voiture de sport : le bruit, l’accélération, la vitesse, l’odeur du cuir….

Juan me complimenta « Hola guapa. ¿como estas? Veo que te pones el vestido que había elegido ayer » (Bonjour, ma belle. Comment vas-tu? Je vois que tu portes la robe que j’avais choisie hier).
« Eres sublime » (Tu es magnifique) ajouta-t-il en posant sa main sur ma cuisse découverte. Je rougis au contact de sa main chaude. La robe courte qui était remontée jusqu’au pubis en m’asseyant et la transparence de la soie ne cachait pas grand-chose de mon anatomie. Satisfait, Juan remonta sa main pour écarter les lèvres de mon sexe. Il prit plaisir à découvrir une vulve trempée de désir. « Yo os llevaré en un lugar encantador frente al mar. ¿Te apetece mi guapa francésa? » (Je t’emmène dans un bel endroit sur le front de mer. Est-ce que cela te plait ma jolie française ? Je ne pus que me soumettre à ses désirs… « Todo lo que quieras Juan. Yo estoy sometida a tu voluntad. Te deseo » (Tout ce que tu veux Juan. Je suis soumise à ta volonté. Je te désire).
« Quiero que ames larga e intensamente ! » (Je veux que tu me fasses l'amour longuement et intensément !) ajoutais-je en posant ma main sur sa braguette….

Nous roulâmes une vingtaine de minutes. Nous caressant mutuellement. J’avais dégagé le sexe de Juan de sa braguette afin de lui donner une liberté bien méritée. J’aurais bien aimé le prendre dans ma bouche, mais cela n’était pas possible dans la Porsche. Je crois que c’est le seul inconvénient, si il y en avait un, à trouver. Son gland était gonflé et violet. Je ne pouvais m’empêcher de revenir sur ce qui s’était passé dans la cabine d’essayage et le plaisir que j’avais eu de le prendre dans ma bouche et à boire son nectar, ce qui n’arrangeait rien à mon excitation et à mon humidité intime, au grand plaisir de Juan qui se léchait régulièrement les doigts trempés de ma mouille.… La Porsche était collée à la route dans les virages de la corniche qui surplombait la mer. Enfin, Juan s’arrêta devant une grille magnifique. « Aqui, llegamos ! » (Voilà, nous sommes arrivés).

Il se présenta et la grille s’ouvrit. Nous traversâmes un magnifique parc planté de plantes méditerranéennes, puis, au détour d’un virage, nous tombâmes sur une magnifique construction moderne qui surplombait la mer. C’était comme dans un rêve. Juan se rhabilla, fit le tour de la voiture et vint m’aider à sortir. Une fois débout, il me plaqua contre la Porsche t m’embrassa fougueusement. Je sentais son pieu contre mon ventre, un liquide chaud coulait le long de mes cuisses. Nos respirations étaient courtes. Je pense que Juan était prêt à me prendre là, débout et je ne m’y serais pas opposée….
Nous nous décollâmes et me prit la main pour m’entrainer vers la demeure. « Aquí es la casa del amor ! » (Ici, se trouve la maison de l'amour).
Nous accédâmes à une suite par un escalier extérieur indépendant. Une magnifique terrasse dominait le petit golfe méditerranéen situé plus bas. J’étais subjuguée !!! Comment cela pouvait-il exister ? « Tienes razón, es un paraíso, el paraíso del amor ! » (Tu as raison, c'est un paradis. Le paradis de l'amour). Deux verres et une bouteille de champagne nous attendaient. Juan nous servit « salud » (Santé). « Salud mi ángel francés » (Santé mon ange français) répondit Juan.

Après nous être désaltérés, Juan m’embrassa à pleine bouche. Il était endiablé. Ses mains me palpaient. Ses doigts possédaient profondément tous mes trous. J’étais trempée et j’avais envie qu’il me fasse l’amour, là maintenant. L’excitation et l’empressement de Juan étaient contagieux. Il le sentit bien. D’un mouvement, il fit passer ma robe au-dessus de ma tête. Je me trouvais nue face à lui. Il me fit tourner sur moi-même pour apprécier mes appâts et me complimenta « mi angel frances. Hay una y tuve la oportunidad de encontrarlo. Gracias Dios » (Mon ange français. Tu es unique et j’ai eu la chance de te trouver. Dieu merci). Je rougis du compliment. Quelle chance j’avais de tomber sur un homme aussi séduisant et si délicat. Toujours nue sur la terrasse, je me mis en quête de défaire la braguette de Juan pour prendre en main sa belle queue tendue qui me désirait. Je m’accroupis et commençais à le caresser doucement de mes deux mains. Ma langue jouait avec ses couilles, que je finissais par gober toutes entières dans ma bouche. Juan était tendu comme la corde d’un arc. Délicatement, je le décalottais pour découvrir un gland énorme et violacé. Une goutte de sperme perlait à son extrémité. Tout en le fixant dans ses yeux, Je la léchais avec plaisir et excitation. Sa bite grossit encore gorgée de sang…
Juan me releva et me tourna contre la rambarde. Il écarta mes jambes et me pénétra d’un coup. Instantanément, j’eus mon premier orgasme…. Juan attendit quelques secondes avant de ressortir. J’étais anéantie, je voulais qu’il me baise, qu’il me défonce, qu’il me pilonne… - « Soy tu tema, Hacer conmigo lo que quieras, pero fóllame, fóllame muy fuerte !!! Venga con tu polla en mi culo » (Je suis tienne. Fais de moi ce que tu veux, mais aime-moi, aime-moi très fort !!! Viens mettre ta bite dans mon cul).
- « Dame tu esperma, dame tu crema para beber » (Donne-moi ton sperme, donne-moi ta crème à boire).

Juan me rendait folle. Il l’avait bien compris. Il me retourna et m’obligea à le prendre en bouche, ce que je fis à m’en faire vomir tellement il enfonçait sa bite au plus profond de ma gorge. Il me releva et me retourna, et à nouveau, me pénétra d’un coup, ce qui eut l’effet instantané de me donner un nouvel orgasme… Mes jambes ne me soutenaient plus. Je criais grâce, mais rien n’y faisait. Juan resta cette fois, mais prit un malin plaisir à me malaxer les mamelles et à me triturer le clitoris à m’en faire mal et à m’en faire jouir encore une fois… Je n’étais plus qu’un sexe entre ses mains. Je ruisselais de mouille. Il se retira pour venir contre ma rondelle. « Si !!! Venga en mi culo » (Oui !!! Viens dans mon cul). Ce qu’il fit, en fait, c’est moi qui, d’une poussée, fit passer son gland pour m’empaler sur sa queue et qui, après une brève période de répit, s’agita pour venir dans mes entrailles « venga, Juan, venga !!! » (Viens, Juan, viens). Et Juan prenait un malin plaisir à se retenir. Il ressortit à nouveau pour m’enfoncer sa queue dans ma bouche. Je l’avalais, le mangeais, le mordillait. Juan me retourna pour aller et venir alternativement dans mon vagin et dans mon cul. Je ne savais plus ou j’étais, où il était et c’était intensément bon. Je ruisselais de plaisir, j’hurlais ma jouissance, j’agitais ma tête dans tous les sens jusqu’au moment où je sentis des jets chauds m’inonder le cul, où j’entendis Juan crier son plaisir et où je lâchais mon dernier orgasme…. Nous reprîmes nos esprits lentement. Juan restait gros et dur dans mon cul. Je le fis délicatement sortir et je m’accroupis pour lécher les dernières coulées de sperme et de secrétions qui recouvraient sa queue que je voulais rendre toute propre et prête à me rebaiser… Je fixais Juan dans les yeux tandis qu’il reprenait vie. Son regard pétillait de malice et il prenait plaisir à rester dans ma gorge. Son sexe ne débandait pas…
Avec regret, il sortit de ma gorge, me releva et m’emporta dans ses bras pour me déposer sur le lit dans la chambre… Il nous resservit du champagne. Sa queue était toujours vigoureuse. Il me retourna sur le ventre et revint s’enfoncer dans mon cul encore rempli de sa crème. Ses coups de butoir m’arrachaient des cris de plaisir. Il rayonnait. Il sortit de mon cul, sa queue toujours dressée, qu’il trempa dans le champagne avant de reconquérir ma bouche. J’en avais mal aux mâchoires à force de le pomper !!! Mais je finis par lui faire lâcher à nouveau sa crème que je gardais dans ma bouche avant de la recracher dans ma flute. Des filaments de sperme flottaient. « salud » (salud) et j’avalais ma mixture avec un large sourire devant un Juan incrédule…. « Gracias, Juan, Muchas Gracias… Hoy, puedo morir… » (Merci, Juan, Merci beaucoup... Aujourd’hui, je peux mourir...). Il vint sur moi et pesa de tout son corps en m’embrassant. Nous finîmes la bouteille de champagne tranquillement et après une douche rafraichissante, Juan me ramena à l’hôtel. Sa main toujours posée sur le haut de ma cuisse. Je me laissais caresser en somnolant. Juan me secoua quand nous arrivâmes à l’hôtel. Il fit le tour de la voiture pour m’aider à sortir. Il me remit une enveloppe " Para tí mi ángel francés " (Pour toi, mon ange français). Il m’embrassa une dernière fois et je franchis la porte de mon hôtel sans me retourner. Je pensais que je ne reverrais plus Juan et je ne préférais pas y penser…
« Éva !! » Quelqu’un m’appelait : Emilie. Je l’avais complètement oubliée. J’étais trop fatiguée pour aller faire les magasins et aussi un peu triste. Le contrecoup du bon temps que je venais de prendre… Je bégayais des excuses à Émilie qui comprit que je n’étais pas disponible et qui m’accompagna dans ma chambre. « Vincent m’a laissée pour aller sur le port. Si cela ne te dérange pas, je viens te tenir compagnie ». Arrivée dans la chambre, j’ôtais ma robe et, nue, m’allongeais sur mon lit et m’endormis rapidement, épuisée. Émilie s’allongea à mon côté, me couvrit et m’accompagna dans mon sommeil.

Un peu plus tard, je fus délicatement tirée de mon sommeil par des caresses légères. Émilie, nue également, parcourait délicatement ma peau avec ses mains douces. Cet exercice mi-caresse, mi-massage, me redonnèrent de l’énergie. Je pris du temps pour sortir progressivement de mon ensommeillement… Tandis que je pivotais pour me lever, Émilie me rattrapa et m’embrassa. Son baiser était doux et impérieux à la fois. J’étais troublée. Face à mon étonnement et mes interrogations, Émilie m’embrassa à nouveau davantage passionnément cette fois. Je me surpris à mouiller excitée par les caresses et les baisers d’Emilie. Ne voulant pas aller plus loin pour cette fois, Émilie m’aida à me lever du lit et me choisit une robe. Tiens, je suis sûre qu’elle t’ira parfaitement. Vincent ne me contredira pas. C’était une robe que Paul m’avait achetée et que je n’avais pas encore osée mettre car elle était composée de parties en dentelles qui me dénudaient trop à mon goût… Mais, après tout, après ce que je venais de vivre… Je ne pus me résoudre à m’opposer à Émilie et j’enfilais la robe et pris une paire de bas dim-up noirs. Devant le miroir, je faillis la retirer car les dentelles ne laissaient planer aucun doute sur l’absence de sous-vêtements, même si on ne voyait rien. Comme une bande transparente descendait de chaque côté du vêtement, la dentelle de mes bas était bien visible. Emilie me demanda mon téléphone pour faire quelques clichés pour Paul. Émilie enfila sa robe également et sortit aussi une paire de dim-up de son sac main. Voilà. Nous sommes à égalité dit-elle en soulevant le bas de sa robe et en me montrant ses fesses. Au moment de partir, Émilie me montra l'enveloppe qui était restée sur la table de chevet sur laquelle on pouvait lire " Para mi ángel francés" (Pour toi, mon ange français). Je l'avais complètement oubliée. A l'intérieur, je trouvais un gentil mot de Juan qui me demandait de l'excuser de n'avoir pas eu le temps de repasser à la boutique pour me faire un cadeau comme il l'avait prévu. Il m'encourageait donc à y aller et que le patron était prévenu. Je montrais le carton à Émilie à qui je dus traduire le message. Elle me réclama également des explications.
- Je t'en parlerai en chemin.

Je pris un léger manteau car la température baissait en fin d’après-midi. Émilie choisit un gilet dans ma garde-robe et me prit la main. Nous voilà parties errer dans Barcelone. Émilie me tenait par le bras. Nous primes un chocolat « con churos », et requinqués, nous allâmes faire quelques boutiques « entre filles ». Émilie me changeait les idées et c’est ce dont j’avais besoin maintenant. Mon vague-à-l’âme s’évacuait progressivement grâce à sa bonne humeur.

Nous n’avions pas d’idée précise de ce que nous recherchions : des chaussures, des robes, un petit haut, … Émilie jouait à m’exhiber. Elle ouvrait volontiers le rideau de la cabine quand j’étais dénudée, elle soulevait ma robe pour me caresser les fesses. Je ne sais pas pourquoi, mais j’étais moins réactive que lorsque mon Paul faisait de même. Nous nous amusions comme des petites folles. Émilie est entrée dans un magasin de chaussures uniquement par ce que c’était un vendeur qui le tenait. Elle voulait essayer plusieurs modèles dans le but de lui exposer son sexe pour étudier son trouble… J’aimais son insouciance. C’est étonnant car je ne sais pas si j’aurais osé et pourtant… Nous finîmes quand même par acheter des petites choses toujours utiles. Émilie tomba amoureuse d’une petite robe-nuisette noire avec de le dentelle. Elle me demanda de l’accompagner dans la cabine. Elle avait pris 2 tailles. La première lui tombait parfaitement bien. Sa poitrine était superbe. Elle entreprit d’enlever ma robe. Elle tenait absolument à ce que je l’essaye aussi car elle était persuadée qu’elle irait mieux sur moi que sur elle. Selon moi, elle avait tort. Elle affirmait le contraire. Je me sentais trop dénudée. Une nuisette, oui, une robe… Émilie se plaça derrière moi face au miroir. Nous étions très belles toutes les deux. Finalement elle avait raison, même si ma morale (???) m’empêchait d’imaginer de pouvoir mettre cette robe en public.

Elle se colla contre moi. Je pouvais sentir ses seins généreux peser contre mon dos. Son souffle devenait court. Elle m’embrassa dans le cou… Tous mes repères s’effondraient… Entre mes cuisses, un liquide chaud coulait. Émilie compris bien le changement qui s’opérait en moi. Ses doigts experts me firent atteindre un orgasme en quelques secondes…Les robes étaient affichées à 180 euros pièce. Émilie hésitait. Elle n’avait jamais mis autant d’argent dans un vêtement. Nous nous rhabillâmes. Je décidais de lui offrir. Je n’avais presque pas touché aux « indemnités » dont m’avaient généreusement gratifié mes coquins d’espagnols. Surprise, Émilie me sauta au cou et m’embrassa à) pleine bouche. Je me sentais rougir comme jamais….
Nous trouvâmes d’autres petites folies. Émilie m’offrit quelques pièces en retour de mon cadeau.
- Au fait Éva, ne devrais-tu pas passer à la boutique de ton ami Juan ?
- Oui, tu as raison. J'avais totalement oublié. Ce n'est pas très loin.

Je trouvais rapidement le magasin. Émilie était émerveillée par les modèles qui étaient exposés en vitrine. A peine entrées, le patron me reconnut.
- Hola guapa, ¿cómo estás? Hoy me llevaste una mujer muy hermosa. (Bonjour ma jolie, comment vas-tu ? Tu m’as amenée une très belle femme aujourd’hui.
- Muchas gracias mi amigo (Merci beaucoup mon ami).

Le patron m'expliqua que Juan l'avait prévenu de ma venue et que je pouvais choisir ce que je voulais. Émilie était folle.
- Quelle chance tu as !!!!
Nous fîmes le tour du magasin accompagné de son propriétaire. Je tombais amoureuse d'une robe rouge en soie. Elle était décolletée et boutonnée au dos. Par chance, elle était disponible en 40 et 42.
- Elle te plairait ?
- Oui, elle est magnifique, mais il est hors de question que je craque, Vincent me tuerait !!!!
- Viens, nous allons l'essayer.
Nous entrâmes toutes les deux dans la cabine d'essayage et nous nous retrouvâmes nues face à face. Émilie me prit dans ses bras et m'embrassa. Sa langue impérieuse prit possession de ma bouche et s'enroula autour de ma langue. Nos salives abondantes s'emmêlaient. Alors que nos lèvres se séparèrent avec un léger bruit de succion et qu'un mince fil de salive nous unissait encore, j'aperçus la queue du patron qui pointait entre les rideaux de la cabine.
Je montrais l'engin dressé à Émilie qui éclata de rire. Je lui fis "chut" avec mon doigt et me mis à genoux pour honorer ce cadeau impromptu. Je gardais le souvenir de cette belle longue queue. Mes mains attrapèrent ses couilles pour les caresser pendant que ma langue s'occupait du gland. Je le léchais comme je le ferais avec une glace. Je prenais plaisir à le sucer, à le gober, à le mordiller. Émilie, son visage tout près du mien, m'observait, comme hypnotisée par le spectacle que je lui offrais. Je lui souriais, puis lui tendis la queue pour qu'elle en profite elle aussi. Toutes les deux nous nous échangeâmes la verge tendue dont le gland était devenu violacé. Soumis à cet exercice, notre homme ne put se retenir longtemps. Nous le sentîmes se crisper "Ahhhh Puta madre…" (Ahhhh putain de sa mère), puis jouir. De puissants jets de sperme giclèrent sur nos visages. Après avoir méticuleusement nettoyé notre hôte, nous primes un moment pour nous lécher mutuellement et recueillir sa semence. Émilie prit des kleenex de son sac et nous nous nettoyâmes. Nous nous redressâmes et Émilie m'embrassa avec ferveur puis me sourit pour sceller notre complicité. Nous prîmes quelques photos avant de terminer notre essayage. Nous étions superbes. Deux jumelles, même si Émilie était un peu plus jeune et un peu plus mince.

Nous sortîmes de la cabine pour faire quelques pas dans le magasin. Que la soie était agréable à porter à même la peau.

Nous retournâmes nous changer. Émilie était toute affolée.
- Tu te rends compte, 450 euros la robe. C'est pas possible.
- T'inquiète. Mes amants m'ont gâtée.
- Tomo los dos (je prends les deux).

Me préparant à payer, le patron m'arrêta.
- No, no. juan paga uno, ofrezco el otro (Non, non, Juan en paie une et moi, j'offre la seconde).

Trop contente, Émilie embrassa le patron sur la bouche pour le remercier.

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Texte coquin : Seule à Barcelone : la suite des aventures d'Éva (2° partie)
Histoire sexe : Une rose rouge
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