Seule à Barcelone : la suite des aventures d'Éva (3° et dernière partie)
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Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-01-2021 dans la catégorie Plus on est
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Seule à Barcelone : la suite des aventures d'Éva (3° et dernière partie)
Épuisées, mais contentes, nous retournâmes à l’hôtel les bras chargés. Émilie m’invita dans sa chambre pour essayer nos achats avant de descende au restaurant. Vincent déjà arrivé, nous proposa de descendre manger de suite et de procéder aux essayages après le repas.
Émilie me prit par la main pour m’emmener dans la salle de bains. Une petite douche rapide à deux au cours de laquelle nous nous amusâmes comme deux gamines en nous savonnant et en nous éclaboussant mutuellement. Émilie enfila sa nouvelle robe et me demanda d’essayer la mienne également pour faire une surprise à Vincent. Un coup de peigne. Un rouge à lèvres vif, le préféré de Paul. Vincent fut époustouflé de nous découvrir aussi rayonnantes.
Il nous attrapa par la taille et nous emmena ainsi au restaurant. Dans l’ascenseur, endiablé, il nous pelota. Il avait vite vu l'intérêt de la fermeture à boutons au dos de la robe. Nous n’avons dû notre salut de ne pas nous trouver nues qu’à l’arrivée de clients au 1° étage. Nous riions insouciants tous les trois. Juan était un peu moins présent dans mon esprit.
Le restaurant était déjà bien rempli. Je ressentis une certaine tension à notre arrivée. Vincent pavanait avec ses deux femmes habillées en rouge à chaque bras. Il montra encore davantage sa possession, comme si cela était nécessaire, en descendant ses mains sur nos fesses pour nous faire avancer. Je sentais le rose monter à mes joues.
Le maître d'hôtel nous accompagna à la table que Vincent avait réservée. Comme hier, Vincent s'installa entre nous deux, après nous avoir installées. Il commanda une bouteille de cava le temps de réfléchir à ce que nous allions manger, mais surtout il tenait à ce que nous lui racontions notre après-midi.
- A toi, Éva de commencer.
Je racontais mes aventures avec le beau Juan qui me faisait tourner la tête. Je n'oubliais pas de parler de sa puissante Porsche ainsi que notre passage à la maison de l'amour. Puis, je détaillais les passages les plus croustillants au plus grand plaisir de Vincent dont le sexe que je tenais en main avec Émilie durcissait.
- Et ensuite, qu'avez-vous fait les filles ?
- A toi Émilie, raconte.
Émilie prit un grand plaisir à parler de l'enveloppe que m'avait donnée Juan et de son contenu. Ensuite, elle évoqua notre passage dans la boutique de vêtements de luxe et comment nous étions reparties avec les deux robes que nous portions ce soir sans avoir eu à les payer !!!!
- Quelles belles coquines vous faites. Vous êtes de belles salopes. Je vous adore. Merci Éva d'avoir accompagné Émilie cet après-midi. De mon côté je suis allé faire un tour sur le port. J'adore l'ambiance qui y règne. J'avais pris mon appareil photo et je me suis régalé.
Un serveur vint prendre notre commande. Nous laissâmes Vincent commander pour nous. Avant qu'il reparte, Vincent lui demanda de nous prendre en photo. Il en prit trois ou quatre. Vincent semblait satisfait.
- Des souvenirs pour moi et pour Paul, le pauvre que tu as abandonné…- Ne le plains surtout pas. Il encourage mes escapades. Il est excité par les récits et les images que je lui ramène. Nous prenons énormément de plaisir à nous retrouver. Les retours sont tendres et chauds. Il y a un nom pour exprimer cela, le candaulisme. Je t'assure que nous nous y retrouvons tous les deux.
- Qu'en penses-tu Émilie ? Tu aimerais être à la place d'Éva ? Tu crois que je pourrais accepter de te laisser partir seule ?
- Je trouve qu'Éva est courageuse. J'aurais peut-être un peu peur de mal tomber, mais quand Éva me raconte ses aventures de femme "libre", je me mets à rêver….
L'arrivée des plats interrompit notre discussion. Le choix de Vincent était excellent. Nous allions nous régaler.
- Bon appétit !!!!!
Le repas fut très festif. Émilie et Vincent étaient charmants. Nos mains se baladaient souvent sous la nappe pour notre plus grand plaisir. Notre repas fini, Vincent me proposa de venir dans leur chambre pour finir la soirée.
Vincent était excité. Si je l'avais laissé faire, il m'aurait déshabillé dans l'ascenseur ou dans les couloirs. Ses mains étaient endiablées. Je sentais ma vulve toute mouillée. J'étais aussi terriblement excitée.
Une fois dans la chambre, Vincent passa le premier à la douche. J'en profitais pour envoyer un mot à Paul. Émilie regroupait nos achats de l'après-midi. Dès que Vincent fut sorti, Émilie et moi nous le remplaçâmes. Nous avions besoin de nous rafraîchir. Émilie sortit nos acquisitions pour les essayer, et aussi pour défiler devant Vincent. Je mis un t-shirt échancré et très serré qui avait du mal à contenir mes seins. Je lui assortis une culotte brésilienne toute en dentelle qui me moulait parfaitement les fesses. Émilie opta pour un body noir transparent qui la transcendait. Elle était superbe. Nous éclatâmes de rire en nous regardant dans le miroir. Un petit coup de peigne, un peu de rouge à lèvres. Nous étions prêtes pour surprendre le coquin qui devait nous attendre avec impatience.
Vincent nous attendait, nu, dans un fauteuil. Il avait mis de la musique. Son appareil photo à la main, il nous mitrailla. Notre défilé fut très réussi semble-t-il, vu l'état de son érection. Émilie me prit dans ses bras et nous dansèrent au diapason de la musique. Je l'embrassais tendrement, puis passionnément. Nos langues s'enroulaient. Nos mains nous caressant mutuellement. La peau d'Émilie était toute douce. Je prenais énormément de plaisir à son contact. Vincent nous filmait. Je souriais de le voir tourner autour de nous, son pieu tendu… Il posa l'appareil sur la commode et vint rejoindre notre danse amoureuse. Ses mains se montraient davantage masculines, plus puissantes, très avides. Le mélange de toutes ces sensations me donnait le tournis. Je fermais les yeux. La bouche de Vincent remplaça celle d'Émilie. Sa langue, conquérante, envahit ma bouche. Une main se glissa sous l'élastique de mon tanga et un doigt inquisiteur s'inséra entre mes fesses pour venir caresser mon anus toujours extrêmement sensible aux caresses. Il me provoqua des frissons. Je me cambrais. Ma main attrapa la queue de Vincent. Elle était si longue, si dure, que je sentis ma vulve évacuer un flot de cyprine le long de mes cuisses. Une vague de chaleur envahit mon ventre. Émilie étirait et pinçait mes tétons avec ses doigts. Je gémissais. Je bavais de plaisir. Mes jambes flageolaient. Je perdais pied.
Me reprenant, je me détachais de mes amants pour me mettre à genoux. Je ne pouvais résister plus longtemps; Il me fallait cette queue. Une main malaxait ses bourses, tandis que l'autre tenait fermement le pieu de chair qui s'offrait à moi. Ma bouche se posa délicatement sur le gland déjà violacé. Je l'embrassais, de petits baisers. Je sentais la queue se tendre sous mes doigts. Une petite goutte pré-séminale apparut au bord du méat. Je la recueillis délicatement avec ma langue, puis je gobais le gland entièrement afin d'aspirer la crème qui venait. Mes doigts jouaient avec ses couilles et caressaient son scrotum. Un doigt plus curieux atteignit l'anus de Vincent qui se cambra sous cette intrusion.
Alors, ma langue entreprit de lécher avec concentration le gland de mon amant. La main qui pressait sa queue descendit pour bien décalotter la verge turgescente. Ma bouche avala à nouveau la totalité du gland, pour ensuite, l'enfoncer dans ma gorge. Sa queue était si longue que je ne pus la glisser totalement dans ma gorge. Je m'appliquais alors à la faire coulisser dans mon fourreau. Vincent râlait. Je le sentais se contracter, perdre son équilibre. Heureusement qu'Émilie, plaquée derrière lui, le serrait fort. Ne voulant pas le faire jouir de suite, je sortis la queue de ma gorge. Elle était couverte de ma salive. J'entrepris de la lécher de bas en haut…
Émilie s'accroupit à mon côté. Tenant toujours fermement la queue de son homme, je la lui glissais dans sa bouche. Je gardais toujours ses testicules dans l'autre main. Je rapprochais ma bouche de celle de mon amante pour l'embrasser en même temps. Nous communions notre amour autour du gland mouillé par le mélange de nos salives. Tout à coup, nous éclatâmes de rire et nous nous redressâmes pour embrasser notre amant fragile entre nos mains.
Émilie vint s'allonger sur le lit et me demanda de venir sur elle tête bêche. Son abricot, tout lisse, était trempé. Elle avait un clitoris proéminent. Je pouvais le décalotter et l'aspirer comme je pourrais le faire avec un petit sexe d'homme. Je pris beaucoup de plaisir à le prendre en bouche, à l'aspirer et à le caresser avec ma langue bien tendue. Je m'enivrais à boire la cyprine d'Émilie à la source de sa vulve. Tout mon corps frissonnait.
Pendant ce temps, Émilie ne restait pas inactive. Je pouvais sentir sa langue pénétrer ma chatte et ses dents mordiller mes petites lèvres. J'avais le sexe en feu. En quelques secondes, un énorme orgasme me surprit. J'eus comme une absence. Ce fut la pénétration subite et brutale de la queue de Vincent qui me sortit de ma torpeur.
- Ohhh. Nonnnn. Ouiiiiii. Prends-moi toute entière.
Vincent se mit à me pilonner suffisamment pour que j'atteigne un nouvel orgasme dévastateur.
Satisfait, Vincent s'amusa à alterner entre ma vulve détrempée de plaisir et la bouche de sa femme avide de sa queue. Émilie et moi ne faisions qu'une, possédée par le pal de notre maître. Nous étions à sa merci. Il continua ainsi pendant un temps indéterminé, puis, le coquin décida de changer d'orifice. Il plaça son gland devant mon anneau et attendit que je m'ouvre à lui. Ainsi, je cambrais mon bassin pour aller au-devant de sa queue. Mon anus s'ouvrit pour accueillir son gland impérial. Le reste de la queue suivit. Vincent me déchirait les entrailles. Nous restâmes immobiles un petit instant avant que je prenne l'initiative de la suite. Je fis onduler mes hanches. Mes mouvements prirent de l'ampleur et mon bassin montait en descendait pour faire coulisser totalement le sexe de mon amant dans mon cul. Émilie avait repris ses caresses buccales. Mon clitoris était brûlant. La chaleur ressentie rayonnait dans mon ventre. La queue de Vincent complétait mon plaisir. J'avais froid et chaud à la fois. Ma tête ballotait dans tous les sens. Je gémissais.
- Ouiiiiii. Encore… Ne vous arrêtez pas. Vous me faites mourir !!!!
A ce moment, Vincent reprit l'initiative et me défonça le cul, comme pour montrer qu'il était le maître du jeu. Je défaillais. Je perdais pied. J'étais envahie de picotements qui s'ajoutaient à l'arrivée de vagues de plus en plus puissantes qui me submergeaient.
- Ouiiiiiiiiiiiiii. Je jouiiiiiiiiiiiis….!!!
Je me crispais au maximum afin de retarder le plus longtemps possible la fin de mon orgasme, et dans l'espoir d'en ressentir d'autres à la suite.
Ma jouissance démonstrative fit craquer Vincent. Je sentis sa queue grossir dans mes entrailles. Il se retira aussitôt pour s'enfoncer dans la bouche avide d'Émilie afin de lui offrir sa semence.
- Rahhhhhh.
Je sentis les soubresauts de son corps tendu et les jets de sperme qu'il expulsait.
Rompue, je me sentais épuisée et sans force.
Vidés, nous roulâmes sur le côté pour reprendre notre souffle.
Nous nous endormîmes ainsi.
La lumière nous réveilla. Il était approximativement 7 heures. Nous profitâmes de l'instant pour nous caresser mutuellement. Le sexe de Vincent était déjà en érection. Émilie et moi, lui rendîmes un premier hommage. Nous nous partageâmes sa semence.
Il fallut bien se lever et passer dans la salle de bains. Émilie me prêta un peignoir pour retourner dans ma chambre. Nous avions convenu de nous retrouver à 8 heures 30 au restaurant pour le petit déjeuner.
Je déambulais dans les couloirs avec une impression de légèreté. Je me sentais épanouie. En ouvrant la porte je découvris une enveloppe par terre. Il s'agissait d'un message de Juan qui me donnait rendez-vous à 11 heures 30 devant l'hôtel. Il proposait de m'emmener faire un tour au Tibidabo. La missive de Juan me déstabilisa. Mon aventure avec Émilie et Vincent m'avait fait oublier Juan que j'avais eu tant de difficultés à quitter hier… Afin de me sortir Juan de la tête, je pris mon téléphone pour appeler Paul. Sa voix m'apaisa.
Le temps passait. J'avais envie d'aller à la piscine. J'enfilais un maillot et une petite robe de plage. Tongs aux pieds, serviette à la main, je quittais ma chambre.
Vincent et Émilie étaient déjà assis à leur table. Nous nous embrassâmes tendrement. J'évoquais mes projets du jour : la piscine après le petit déjeuner, puis mon rendez-vous avec Juan qui m'emmènerait au Tibidabo. J'étais très excitée à l'idée de revoir mon bel amant. Avec un large sourire entendu, Émilie me fit comprendre qu'elle avait bien compris l'emprise que Juan avait sur moi.
- C'est parfait tout ça ma belle. Je t'envie. Vincent va m'emmener au "Pueblo Español", le village situé sur la montagne de Montjuïc. Connaissant mon mari, je pense que nous y ferons beaucoup de photos.
- Je ne vais pas en parler à Paul. Il serait jaloux !!!! Si un jour vous passez par Montpellier, nos maris pourraient échanger leur modèle toute une journée.
- Hummmm. Eva, tu me tentes beaucoup. J'adorerais. Je vais envoyer un message à Paul en ce sens.
Je mangeais léger avant d'aller me baigner. Je pris surtout du café pour me maintenir bien éveillée cette journée encore.
Je laissais mes amis et partis à la piscine. A cette heure de la journée il n'y avait personne. Je pris un transat, enlevais ma robe et mon haut de maillot et m'allongeais pour réchauffer mon corps au soleil.
Le temps s'écoulait. Je piquais une tête et fis une trentaine de longueurs pour me vider l'esprit. Juan occupait trop mes pensées.
Une fois sortie de l'eau, je ne trainais pas et montais rapidement à ma chambre. J'avais une quarantaine de minutes pour me doucher, me laver les cheveux et m'habiller.
Une fois proprette, il me fallut choisir une robe. Émilie avait gardé les robes que nous avions achetées la veille. Je me décidais pour une robe à fines bretelles rouge. Elle était un peu courte, mais je devais être au top pour Juan. Paul me l'avait faite faire par un couturier de Montpellier. Elle me moulait parfaitement, un peu trop peut-être. Impossible de mettre de sous-vêtement.
Je me remémorais les essayages chez le couturier. Un bel homme très séduisant. Pour les essayages, j'étais obligée d'être totalement nue. Si je me changeais dans la cabine, le couturier devait manipuler le tissu pour ajuster les coutures. Je suis sûre qu'il abusait des essayages. Il nous fallut revenir plusieurs fois tant il était perfectionniste, mais surtout très intéressé par mon anatomie qui n'avait plus aucun secret pour lui. Une fois, je vis Paul avec un large sourire quand François attrapa mes mamelles à pleines mains pour bien les positionner puisque je ne portais pas de soutien-gorge. Ce fut un épisode plaisant dont Paul a conservé photos et vidéos. Et, surtout, une robe parfaitement ajustée. Le seul défaut, si cela en est un, la robe a tendance à remonter quand je marche….
L'heure du rendez-vous approchait. J'avais mon cœur qui s'emballait. J'optais pour des chaussures plates car j'imaginais que nous devrions marcher dans le parc. J'appliquais un zeste de J'Adore, puis un rouge bien vif sur mes lèvres. J'étais prête.
Arrivée à la porte de l'hôtel, je vis immédiatement Juan qui m'attendait appuyé contre sa Porsche rutilante. Dès qu'il me vit, un grand sourire illumina son visage et ouvrit ses bras en venant vers moi. Il était trop craquant.
- Hola mi guapa francés. Te ves preciosa con este vestido (Bonjour ma belle française. Tu es magnifique dans cette robe).
- Mi amor, que me alegro de encontrarte (Mon amour, que je suis heureux de t'avoir rencontrée).
Il me serra fort dans ses bras. Mon cœur battait la chamade. Il m'embrassa passionnément. Sa langue fougueuse, son souffle court m'embrasèrent. Lorsque nos bouches se séparèrent, j'eus l'impression que nos regards pénétraient dans notre âme. Nous eûmes un instant de stupeur. Il fallut quelques secondes pour nous sortir de cet état de léthargie. Toujours enlacés, nous éclatâmes de rire.
Juan se reprit le premier et se précipita pour m'ouvrir la portière. Ma robe remonta jusqu'en haut des cuisses, découvrant totalement mon sexe lisse et luisant. Il m'attacha la ceinture de sécurité, fit le tour de la voiture et démarra.
J'étais totalement remuée par notre baiser. Le vrombissement du moteur, au fur et à mesure que Juan changeait de vitesse, me prenait le ventre. Je restais sans voix. Juan restait concentré sur sa conduite. Il profitait de chaque feu tricolore pour me caresser les cuisses et glisser un doit conquérant entre mes lèvres. Mon clitoris, durci d'excitation, en attendait davantage. J'étais frustrée, mais je savais que la suite serait à la hauteur de mes espérances.
Juan m'expliqua que le tibidabo est, avec ses 512 mètres, le pic le plus haut de la Serra de Collserola, qui domine Barcelone. Je m'e aperçus lorsque Juan attaqua la montagne et qu'il fit rugir les chevaux de la Porsche. J'étais plaquée à mon siège. L'effet était extraordinaire. J'adorais les sensations que je ressentais partout dans mon ventre.
Une fois la voiture garée au parking, il me fallut un moment pour retrouver mes esprits. Cela fit beaucoup rire Juan.
Il sortit puis fit le tour de la voiture pour m'ouvrir la portière. Il s'accroupit près de moi. Il posa sa main sur ma cuisse. Il me détacha la ceinture et m'embrassa tendrement. Son baiser m'enivra. Je passais mes bras autour de son cou, comme pour le garder. Sa main remonta et il put constater que ma vulve était trempée. Un doigt s'inséra entre mes lèvres et caressa mon clitoris déjà en feu. Je le sentais dur à l'extrême. Ah le salaud, il savait y faire. Nos bouches toujours soudées, je sentis un orgasme arriver et me submerger. Sa bouche m'empêcha de crier. J'arrivais à peine à articuler- Ahhhhhhhhh Ohhhh Juan, c'est trop bon. ¿Entiendes lo que digo? (Tu comprends ce que je dis ?).
- Sí, mi amor, te amo (Oui, mon amour, je t'aime).
- Juan m'aida à descendre. J'avais les jambes coupées. Il me prit par la taille pour marcher. J'avais posé ma tête contre son épaule. Me voyant sans défense, le coquin profitait de moi. Sa main descendait pour se poser sur mes fesses. J'étais aux anges. Je planais littéralement.
Ce n'est que lorsque nous fûmes entrés dans le parc d'attraction que je retrouvais mes esprits. Juan m'entraina vers le mirador pour découvrir Barcelone sous nos pieds. Tout était magnifique. Il me montra les principales attractions où nous pourrions aller si je le souhaitais : le manège, la grande roue, les montagnes russes, l'avion, l'hôtel Kruger. Cette dernière attraction proposait un parcours effrayant avec des monstres qui surgissaient de nulle part et qui vous poursuivaient !!!
Plus haut, il me désigna une cathédrale. En fait, il s'agissait du Temple du Sacré Cœur. Un édifice catholique monumental de style néogothique, surmonté d’une statue en bronze. Il m'expliqua qu'il y avait un ascenseur qui permettait de monter jusqu’à la partie supérieure de l’édifice, d’où l’on pouvait profiter d’une vue imprenable sur toute la ville.
Enfin, il y a un grand parc magnifiquement arboré. Un endroit parfait pour une escapade amoureuse…Je n'étais pas très chaude pour aller sur les montagnes russes, mais les autres attractions m'attiraient, surtout avec Juan.
Sa main toujours sur mes fesses, nous déambulâmes. Je demandais à Juan de me prendre en photos. Nous fîmes également quelques selfies. Je pris également un malin plaisir à photographier mon amant. Il était trop beau !!!
Nous avions encore une bonne heure avant d'aller manger. Juan m'entraina vers la grande roue. Il n'y avait pas la queue. Juan m'expliqua qu'à cette heure, les touristes mangeaient. Nous pûmes avoir une cabine pour nous tout seuls. Je ne suis pas téméraire et je crois que Paul serait jaloux de me voir ainsi monter sur ces attractions, ce que je lui refuse toujours.
J'étais serrée contre Juan et je profitais de la montée de notre cabine pour découvrir progressivement le panorama. Une fois arrivés tout en haut, je profitais du temps d'arrêt pour me lever et faire quelques photos. La vue était magnifique : la ville, la mer et le ciel bleu au-dessus de nos têtes !!!! Quand la cabine se remit à bouger, alors que j'allais me rasseoir, je m'aperçus que Juan avait sorti la queue de son pantalon. Plutôt que de m'asseoir, je m'accroupis pour la prendre dans ma bouche. J'en avais trop envie. J'eus l'impression que sa queue était encore plus grosse qu'hier. Ses couilles étaient dures.
Je pris délicatement son gland dans ma bouche et le léchai à petits coups de langue. J'avais une main qui tenait fermement son pieu, tandis que l'autre, en coupelle, tenait ses couilles. Juan était tendu. Tandis que ma main branlait sa queue, je tentais d'avaler celle-ci le plus loin possible. Je le branlais avec ma gorge et ma main et je malaxais ses bourses en même temps. J'entendis mon amant grogner. Il tentait de forcer encore davantage ma gorge. Je manquais de m'étouffer. Ahhh le coquin !
Je ne pris pas conscience du temps qui passait et, alors, que nous étions presque revenus à notre point de départ, Juan fit signe à l'employé que nous allions refaire un tour. Je n'avais pas bougé. Je pense que l'employé n'avait aucun doute sur ce que je faisais à mon amant. Je pus donc reprendre ma fellation.
Je profitais du temps imparti pour recommencer mes caresses. Ma langue montait et redescendait le long de la bite raide de mon amant encore recouverte de la salive de ma gorge. Ensuite, je m'appliquais à exciter le gland si sensible chez les hommes. Ma bouche embrassa par petites touches le dessus du gland. J'aspirais avec délectation les gouttes pré-séminales qui perlaient au bord du méat. Ma langue tournait et retournait autour du gland en insistant sur la couronne à la base du gland. Enfin, j'ouvris largement ma bouche pour absorber la totalité du gland et l'astiquer à petits coups de langue. Juan était tendu. Je le sentais proche de l'explosion et m'en régalais d'avance. J'enfonçais alors la queue le plus loin possible afin de la branler avec ma gorge. Mon amant grognait. Aussi, j'accélérais le mouvement et glissais mon majeur dans son cul. Cette dernière action fut décisive.
- Ahhhh. Puta, me estás matando. Rahhhhh (Ahhhh. Salope, tu me tues. Rahhhhh).
Son gland grossit encore et plusieurs jets de sperme envahirent ma bouche. J'eus l'impression que cela ne s'arrêterait jamais. Je m'étouffais. J'eus besoin de plusieurs déglutitions pour avaler toute la crème de mon amant. Je m'en régalais. Je m'appliquais à bien tout lécher. Je ne voulais pas perdre une goutte de son nectar. Une fois satisfaite et rassasiée, je me relevais, puis m'asseoir sue les genoux de Juan face à lui pour l'embrasser. Un baiser passionné et fougueux. Nos langues se mélangèrent. Je me sentis encore mouiller.
Ce fut lorsque l'employé frappa à la vitre de la cabine que nous primes conscience que nous étions redescendus. Nous sortîmes prestement. L'homme nous souriait d'un air bien entendu. Je mis un peu d'ordre dans ma tenue et nous nous dirigeâmes lentement vers le restaurant où Juan avait réservé. Il continua à jouer au guide touristique. Je m'émerveillais du son de sa voix, sans réellement faire attention à tout ce qu'il disait. J'espérais qu'il n'y aurait pas de QCM à la fin de la visite !!!!
Le restaurant n'était pas bondé, contrairement à ce que je craignais. Juan me rappela que nous arrivions au dernier service, le service des autochtones habitués à manger plus tard que les gens du nord, dont je faisais partie, même si à Montpellier, on mangeait déjà beaucoup plus tardivement qu'en Allemagne par exemple.
Nous étions côte à côte, face au panorama. Juan me gâtait.
Juan commanda une Esqueixada, une salade composée de morue dessalée, de thon, de tomates, de poivrons, d’olives et d’oignons. Il choisit ensuite une Sarsuela, un plat composé de poissons de roche, de crustacés, de coquillages, de moules et de calamars frits. Il demanda au serveur son meilleur vin blanc.
Pendant que les plats se préparaient à la cuisine, on nous apporta du pain, de l'aïoli et du "Pa amb tomàquet" (Pain à la tomate) comme mises en bouche et pour accompagner le vin blanc.
Juan était toujours souriant. Il me tenait la main. Il était tendre. Je craquais totalement pour mon amant catalan.
Je dégustais avec plaisir les plats choisis par Juan. Mes papilles pétillaient sous les saveurs gourmandes proposées. Je n'arrivais pas à croire la chance que j'avais. Juan jouaient avec tous mes sens : le goût, l'odorat, l'ouïe, le toucher, la vue. D'hypersexuelle, j'étais devenue hyper-sensorielle grâce à Juan. Tout son être me transportait. J'étais conquise.
Après le café, nous quittâmes le restaurant. Nous déambulèrent dans notre petite promenade digestive. Nos pas nous dirigèrent vers l'église qui dominait le mont Tibidabo. Elle était magnifique. Tandis que je montais les escaliers, Juan me demanda de m'arrêter pour faire quelques photos. Il me fit asseoir sur une marche et me photographia ainsi avec l'église en arrière-plan. J'en profitais pour écarter mes cuisses afin d'exhiber mon sexe. J'étais habituée avec Paul et Juan en fut ravi. Nous continuâmes à monter les marches pour visiter l'intérieur du Sacré-Cœur. J'étais subjuguée par les dorures et tous les ornements. L'intérieur avec ses colonnades était grandiose. Juan me prit la main pour m'entrainer vers l'ascenseur pour monter à la partie supérieure de l'édifice. Juan avait raison. Le panorama était prodigieux. Juan me serrait dans ses bras et m'embrassait. Je fondais. Je fis quelques photos. Nous redescendîmes. L'heure passait et nous n'allions pas tarder à rentrer.
Bras dessus, bras dessous, nous fîmes le tour du parc. Juan m'offrit une coupe de cava. J'étais bien. J'étais trop bien. Je le voyais bien. Je perdais mes repères.
Nous retournâmes à la voiture. Le cœur n'y était plus. Juan essayait de me redonner le sourire.
- Sonríe a mí, mi amor (Sourie-moi, mon amour).
Arrivés à la voiture, juan m'annonça qu'il avait une surprise pour moi. Il sortit du coffre un petit paquet qu'il m'offrit avec un grand sourire.
- Para ti, querida (Pour toi, chérie).
Il s'agissait d'un bel écrin noir aux lettres dorées. Quand je l'ouvris, je découvris un somptueux collier de petites perles fines. Juan était incroyable. C'était le plus beau cadeau que je n'avais jamais reçu. Je me mis à pleurer. Juan m'enlaça et m'embrassa dans le cou, puis sa langue remonta vers mes joues pour lécher mes larmes. Nous restâmes plusieurs minutes sans bouger, puis Juan prit le collier et le mit autour de mon cou.
- Eres maravilloso. Te amo (Tu es magnifique. Je t'aime).
Il m'embrassa à nouveau et me fit monter dans la voiture. Le retour se fut en silence.
Arrivés à l'hôtel, Juan descendit pour m'ouvrir la portière.
- Muchas gracias por este maravilloso día (Merci beaucoup pour cette merveilleuse journée).
Nous nous embrassâmes tendrement et, je me détachais de Juan pour retourner seule à ma chambre.
Je m'allongeais sur le lit et me mis à pleurer. Épuisée par tant de stress, je finis par m'endormir.
Des coups à la porte finirent par me réveiller. Éva, ouvre-moi. C'était Émilie. Je lui ouvris la porte. Émilie entra. Elle comprit aussitôt qu'il y avait un problème. Nous nous allongeâmes sur le lit et je lui avouais tout….
Émilie ne dit rien. Elle m'écouta d'une oreille attentive en secouant la tête par moments. Quand j'eus terminé, j'étais épuisée.
- Bon, je sais ce qu'il te faut pour remonter la pente. Tu vas prendre une bonne douche. Je vais t'aider.
Émilie enleva ma robe et m'entraina dans la salle de bains. Elle ôta la sienne et m'accompagna sous la douche. Elle me savonna et me rinça avec une eau un peu fraîche qui me vivifia. Sans me consulter, elle prit quelques-unes de mes affaires, m'enfila un peignoir. Elle reprit le sien que je lui avais prêté ce matin et m'entraina dans sa chambre.
- Ce soir est notre dernière soirée. Tu me feras le plaisir de faire bonne figure à notre table. J'ai préparé les robes que tu nous as achetées hier. Les voilà. Je t'ai pris une paire de bas et tes Louboutin. Prépare-toi. Vincent doit nous attendre au restaurant.
Je m'exécutais.
Vincent nous attendait assis dans un fauteuil dans le salon attenant l'entrée du restaurant. Il m'embrassa. Il nous attrapa par la taille pour nous emmener à notre table.
Ce n’est qu’en arrivant dans le restaurant dont la salle était déjà bien remplie que je pris conscience que j’étais totalement exposée aux regards dans ma robe-nuisette en dentelle… J’eus un temps d’arrêt, très court car Vincent me mit la main aux fesses pour me faire avancer. J’étais rouge de confusion, mais je n’avais pas de possibilité de repli. Je sentais le regard des hommes sur moi. Cette fois que n’avais pas mes lunettes de soleil pour me cacher. Vincent rayonnait, fier d’être jalousé par toute la gente masculine présente… Émilie souriait d’aise face à mon désarroi. Moi qui détestais me faire remarquer, je crois que c’était raté, mais bon… Une fois assise, la vie reprit son cours. Vincent paradait entre nous deux. Émilie avait décidé de perturber le serveur. Sa robe était relevée et chaque fois qu’il venait à notre table, il pouvait avoir une vue imprenable sur sa chatte bien exposée. Émilie me raconta leur visite au village espagnol. Elle avait passé plus de temps déshabillée qu'avec ses vêtements. Vincent l'avait mitraillée. Il avait pris près de 300 photos. Pour la remercier, il l'avait coincée dans un recoin pour la prendre debout. Elle me précisa qu'elle avait senti des coulées de sperme le long de ses cuisses pendant une bonne partie de l'après-midi…Au retour, ils étaient arrêtés chez Desigual et Paul lui avait offert un magnifique chemisier en dentelle.
Émilie fit comprendre à Vincent qu'il fallait éviter de me faire parler de mon après-midi.
- Puisqu'il s'agit de notre dernière soirée, nous n'allons pas être raisonnables. Buvons !!!!
Je noyais mon vague-à-l'âme dans le champagne. La tête me tournait. Emilie riait chaque fois que le serveur s'approchait de notre table. Son rire devint communicatif. La bosse qui déformait le pantalon du garçon excitait mon imagination.
Je pouvais vérifier l’effet que le jeu d'Émilie provoquait chez son mari car ma main était souvent posée sur sa cuisse… Émilie prit un grand plaisir à traverser la salle de restaurant pour se rendre aux toilettes. Vincent et moi purent apprécier l’effet généré par son aller et retour chez les hommes. De mon côté, je pris vraiment conscience de ce que la robe devait donner avec moi. Émilie était superbe dans cette robe. J'étais contente de la lui avoir offerte. Avec un minimum d'attention, nul ne pouvait cependant ignorer son anatomie. Le summum fut quand Émilie se baissa pour ramasser son sac. Sa robe courte remonta et ne cacha rien de son joli petit cul. Je l’admirais car je me voyais bien incapable de faire de même. Vincent avait filmé toute la scène avec son téléphone. Il semblait satisfait de son film.
Émilie tarda à revenir. Il nous fallut attendre une bonne dizaine de minutes encore pour la voir réapparaitre, toute souriante. Sa main posée sur la cuisse de son mari, elle nous expliqua qu'elle était tombée dans une embuscade coquine. Le serveur l'avait suivie aux toilettes et s'était montré si convaincant qu'elle n'avait pas pu lui refuser une petite fellation. Sa queue était large et elle avait eu beaucoup de difficultés à faire entrer son gland dans sa bouche. Quand il a explosé, de puissants jets de sperme avaient envahi sa bouche. Elle n'avait pas pu tout avaler. La quantité était impressionnante. Une fois seule, Émilie avait passé un bon moment à se refaire une beauté. Elle avait même trouvé du sperme dans ses cheveux !!!! Vincent, ravi par l'initiative coquine de sa femme l'embrassa avidement.
Sur ce, Vincent précipita la fin du repas pour nous entrainer dans la chambre.
Notre départ fut finalement plus facile, surtout pour moi. Dans l’ascenseur, Vincent nous remonta nos robes et put nous embrasser et peloter à sa convenance. Le champagne faisait son effet.
Arrivés dans la chambre, Émilie mit de la musique et proposa à Vincent de m’inviter à danser. Une danse sensuelle qui dégénéra vite lorsqu’Émilie commença à se plaquer derrière nous pour nous caresser et nous déshabiller progressivement. Ses mains me possédaient, ses doigts me fouillaient. Vincent m’embrassait à pleine bouche. Je pouvais sentir son sexe dressé, dur et massif contre mon ventre. Un liquide chaud coulait entre mes jambes et Émilie s’en servait pour me lubrifier et me dilater le cul.
Elle fit tomber Vincent en arrière sur le lit afin de s’emparer de sa queue. Elle la lécha de haut en bas, puis de bas en haut. Elle s’amusait à lui gober ses couilles. Vincent se laissait faire. Son gland était cramoisi d’excitation. Une goutte de sperme perla à son extrémité et Émilie me l’offrit. Nous jouâmes ainsi de nombreuses minutes à lécher ce pieu dressé et majestueux. Nos langues s’enroulaient autour de sa tige, se touchaient, nos bouches se disputaient son gland. Nous nous embrassions, tout en jouant avec sa bite. Une véritable danse de l’amour autour de la queue qui allait très prochainement nous perforer et nous offrir son nectar à déguster. Simultanément, les doigts d’Émilie continuaient à me fouiller et à faire des allers et retours dans mes deux orifices. Émilie me demanda de me lever puis me fit asseoir sur la queue de son mari. Ma rondelle assouplie par les multiples pénétrations d’Émilie s’adapta au gland de Vincent et mon cul absorba son pieu sans difficultés. Après quelques secondes de repos pour permettre à ma rondelle de s’élargir naturellement, Émilie me coucha sur son mari, puis releva mes jambes. Cette pose était obscène. J’avais l’impression d’être plus que nue, une position totalement impudique. Vincent commença à bouger et Émilie vint placer sa tête entre mes cuisses pour me lécher le clitoris, ma vulve et la bite de Vincent qui entrait et sortait de mon cul. La sodomie ajoutée aux mouvements experts de la langue d’Émilie me firent atteindre très rapidement un profond orgasme, puissant, dont les vagues successives me transportèrent à un plaisir rarement atteint. Vincent arrêta ses mouvements pour me laisser profiter de ma jouissance et de mes orgasmes à répétition, puis sortit de mon cul. Je me retournai aussitôt pour reprendre sa queue en bouche afin de maintenir son érection optimale avant de proposer à Émilie de prendre sa place afin que je puisse lui rendre la pareille. Elle positionna sa pastille sur le gland toujours dur de son mari et se laissa retomber pour avaler à son tour le pieu de chair. A mon tour je la basculais pour pouvoir lécher son clitoris, sa vulve et la queue de Vincent. Le pouvoir érotique de cette position nouvelle pour moi était immense. J’avais même imaginé une variante. Régulièrement, je sortais la queue de Vincent du cul d’Émilie pour l’avaler, la sucer, la lécher, la pomper avec de la glisser dans le cul d’Émilie. Il n’en fut pas beaucoup pour nous atteignons tous les trois des orgasmes simultanés. Ensuite, je sortis la queue de Vincent du cul d’Émilie. Elle était couverte de nos secrétions et de son sperme. Je m’en délectais. Je léchais sa queue et le cul d’Émilie encore dilaté et d’où ressortait du sperme en quantité. Enfin, je vins me glisser entre Vincent et Émilie pour les embrasser afin de les remercier de ce qu’ils venaient de me faire découvrir et de mes orgasmes qu’ils avaient provoqués. Nous restâmes tous les trois ainsi enlacés pendant une bonne demi-heure, puis je les quittais pour retourner dans ma chambre. Un petit texto à Paul et je me glissais dans mes draps épuisée.
Le lendemain matin, je n’étais pas au mieux de ma forme. Mon séjour à Barcelone se terminait. Je fis monter mon petit déjeuner dans ma chambre. Je rangeais mes affaires et pris une douche un peu fraiche pour me revigorer. J’enfilais une petite robe couleur saumon. C’est avec un petit sourire que je me regardais dans le miroir.
Je passais à la réception pour finaliser mon départ. Je fis appeler un taxi. On me remit trois enveloppes que je glissai dans mon sac.
On m’avertit que le taxi était déjà arrivé et me voilà déjà sur la route de Sants, la gare TGV de Barcelone.
Je regarde nostalgique le paysage défiler. Ces quelques jours sont passés trop vite. Je revois quelques moments de mon séjour. Je me surpris à sourire bêtement. Mon ventre se contractait également à l’évocation de certaines images très explicites. Les moments drôles et les scènes de tendresse avec Juan.
Le chauffeur me sortit de ma torpeur. Nous étions arrivés. J’étais en avance. J’en profitais pour prendre un « cafe con leche ». Les voitures n’étaient pas encore en place. Une fois annoncé, je montais dans le train. Je m’installais tranquille. Il n’y avait pas grand monde. J’envoyais un texto à Paul. « Me voici dans le TGV. Tout va bien. Dans 3 heures, je serai dans tes bras. Je t’aime ».
Ça y est, le tgv est parti. Je sors l’iPad de mon sac et tombe sur les enveloppes remises à la réception.
La première venait de mes amants espagnols.
« Adiós. Muchas gracias por el placer que nos dio. Eres una putita francésa en oro !!! Buen viaje amor. » (Au revoir. Merci beaucoup pour le plaisir que tu nous as donné. Tu es une pute française en or !!! Bon voyage, amour).
La seconde émanait d’Émilie.
« Coucou Éva. C’est avec grand plaisir que nous t’avons connue et avec grande tristesse que nous te voyons partir. Merci pour le plaisir que tu nous as donné. Je serai très ravie de faire connaissance de ton Paul dont tu m’as vanté la fougue !!! On garde le contact car Vincent et moi espérons te revoir. Suivaient son adresse mail et son numéro de téléphone.
J’ouvris la dernière avec appréhension.
« Hola Evita. Cuando leas esta carta ya va en camino a Francia. Quería decirte que me extrañas. Amaba a los maravillosos momentos que pasamos juntos. Ojalá que ellos son más numerosos. Me gustaría que aún más caliente. Prométeme que vuelva pronto. También puedo pasar unos días en su bello país. Te amo fuerte. Juan.» (Bonjour Evita. Quand tu liras cette lettre, tu seras en route pour la France. Je voulais te dire que tu me manques. J’ai adoré les merveilleux moments que nous avons passés ensemble. J’espère qu’ils seront plus nombreux. J’aimerais qu’ils soient encore plus chauds. Promets-moi que tu reviendras bientôt. Je peux aussi passer quelques jours dans ton beau pays. Je t’aime fort. Juan). Suivaient également son adresse mail et son numéro de téléphone.
Une petite larme coula sur ma joue. Juan avait été si tendre, si attentionné et il m’avait donné tant de plaisir. Je m’endormis en pensant aux bons moments passés tous les deux… Je ne savais pas si j'étais capable de le revoir. Je m'étais trop attachée à lui…
Le voyage fut rapide. Le TGV s’approchait de Montpellier. Je rangeais mes enveloppes. Je me refis une petite beauté et me voilà déjà sur le quai dans les bras de Paul que je serrais fort. J’avais envie de lui. J’avais envie de tout lui raconter… Enfin, presque tout, je devais garder mon jardin secret.
Je savais que j’écrirai à Émilie. Ce sera une autre histoire…
Émilie me prit par la main pour m’emmener dans la salle de bains. Une petite douche rapide à deux au cours de laquelle nous nous amusâmes comme deux gamines en nous savonnant et en nous éclaboussant mutuellement. Émilie enfila sa nouvelle robe et me demanda d’essayer la mienne également pour faire une surprise à Vincent. Un coup de peigne. Un rouge à lèvres vif, le préféré de Paul. Vincent fut époustouflé de nous découvrir aussi rayonnantes.
Il nous attrapa par la taille et nous emmena ainsi au restaurant. Dans l’ascenseur, endiablé, il nous pelota. Il avait vite vu l'intérêt de la fermeture à boutons au dos de la robe. Nous n’avons dû notre salut de ne pas nous trouver nues qu’à l’arrivée de clients au 1° étage. Nous riions insouciants tous les trois. Juan était un peu moins présent dans mon esprit.
Le restaurant était déjà bien rempli. Je ressentis une certaine tension à notre arrivée. Vincent pavanait avec ses deux femmes habillées en rouge à chaque bras. Il montra encore davantage sa possession, comme si cela était nécessaire, en descendant ses mains sur nos fesses pour nous faire avancer. Je sentais le rose monter à mes joues.
Le maître d'hôtel nous accompagna à la table que Vincent avait réservée. Comme hier, Vincent s'installa entre nous deux, après nous avoir installées. Il commanda une bouteille de cava le temps de réfléchir à ce que nous allions manger, mais surtout il tenait à ce que nous lui racontions notre après-midi.
- A toi, Éva de commencer.
Je racontais mes aventures avec le beau Juan qui me faisait tourner la tête. Je n'oubliais pas de parler de sa puissante Porsche ainsi que notre passage à la maison de l'amour. Puis, je détaillais les passages les plus croustillants au plus grand plaisir de Vincent dont le sexe que je tenais en main avec Émilie durcissait.
- Et ensuite, qu'avez-vous fait les filles ?
- A toi Émilie, raconte.
Émilie prit un grand plaisir à parler de l'enveloppe que m'avait donnée Juan et de son contenu. Ensuite, elle évoqua notre passage dans la boutique de vêtements de luxe et comment nous étions reparties avec les deux robes que nous portions ce soir sans avoir eu à les payer !!!!
- Quelles belles coquines vous faites. Vous êtes de belles salopes. Je vous adore. Merci Éva d'avoir accompagné Émilie cet après-midi. De mon côté je suis allé faire un tour sur le port. J'adore l'ambiance qui y règne. J'avais pris mon appareil photo et je me suis régalé.
Un serveur vint prendre notre commande. Nous laissâmes Vincent commander pour nous. Avant qu'il reparte, Vincent lui demanda de nous prendre en photo. Il en prit trois ou quatre. Vincent semblait satisfait.
- Des souvenirs pour moi et pour Paul, le pauvre que tu as abandonné…- Ne le plains surtout pas. Il encourage mes escapades. Il est excité par les récits et les images que je lui ramène. Nous prenons énormément de plaisir à nous retrouver. Les retours sont tendres et chauds. Il y a un nom pour exprimer cela, le candaulisme. Je t'assure que nous nous y retrouvons tous les deux.
- Qu'en penses-tu Émilie ? Tu aimerais être à la place d'Éva ? Tu crois que je pourrais accepter de te laisser partir seule ?
- Je trouve qu'Éva est courageuse. J'aurais peut-être un peu peur de mal tomber, mais quand Éva me raconte ses aventures de femme "libre", je me mets à rêver….
L'arrivée des plats interrompit notre discussion. Le choix de Vincent était excellent. Nous allions nous régaler.
- Bon appétit !!!!!
Le repas fut très festif. Émilie et Vincent étaient charmants. Nos mains se baladaient souvent sous la nappe pour notre plus grand plaisir. Notre repas fini, Vincent me proposa de venir dans leur chambre pour finir la soirée.
Vincent était excité. Si je l'avais laissé faire, il m'aurait déshabillé dans l'ascenseur ou dans les couloirs. Ses mains étaient endiablées. Je sentais ma vulve toute mouillée. J'étais aussi terriblement excitée.
Une fois dans la chambre, Vincent passa le premier à la douche. J'en profitais pour envoyer un mot à Paul. Émilie regroupait nos achats de l'après-midi. Dès que Vincent fut sorti, Émilie et moi nous le remplaçâmes. Nous avions besoin de nous rafraîchir. Émilie sortit nos acquisitions pour les essayer, et aussi pour défiler devant Vincent. Je mis un t-shirt échancré et très serré qui avait du mal à contenir mes seins. Je lui assortis une culotte brésilienne toute en dentelle qui me moulait parfaitement les fesses. Émilie opta pour un body noir transparent qui la transcendait. Elle était superbe. Nous éclatâmes de rire en nous regardant dans le miroir. Un petit coup de peigne, un peu de rouge à lèvres. Nous étions prêtes pour surprendre le coquin qui devait nous attendre avec impatience.
Vincent nous attendait, nu, dans un fauteuil. Il avait mis de la musique. Son appareil photo à la main, il nous mitrailla. Notre défilé fut très réussi semble-t-il, vu l'état de son érection. Émilie me prit dans ses bras et nous dansèrent au diapason de la musique. Je l'embrassais tendrement, puis passionnément. Nos langues s'enroulaient. Nos mains nous caressant mutuellement. La peau d'Émilie était toute douce. Je prenais énormément de plaisir à son contact. Vincent nous filmait. Je souriais de le voir tourner autour de nous, son pieu tendu… Il posa l'appareil sur la commode et vint rejoindre notre danse amoureuse. Ses mains se montraient davantage masculines, plus puissantes, très avides. Le mélange de toutes ces sensations me donnait le tournis. Je fermais les yeux. La bouche de Vincent remplaça celle d'Émilie. Sa langue, conquérante, envahit ma bouche. Une main se glissa sous l'élastique de mon tanga et un doigt inquisiteur s'inséra entre mes fesses pour venir caresser mon anus toujours extrêmement sensible aux caresses. Il me provoqua des frissons. Je me cambrais. Ma main attrapa la queue de Vincent. Elle était si longue, si dure, que je sentis ma vulve évacuer un flot de cyprine le long de mes cuisses. Une vague de chaleur envahit mon ventre. Émilie étirait et pinçait mes tétons avec ses doigts. Je gémissais. Je bavais de plaisir. Mes jambes flageolaient. Je perdais pied.
Me reprenant, je me détachais de mes amants pour me mettre à genoux. Je ne pouvais résister plus longtemps; Il me fallait cette queue. Une main malaxait ses bourses, tandis que l'autre tenait fermement le pieu de chair qui s'offrait à moi. Ma bouche se posa délicatement sur le gland déjà violacé. Je l'embrassais, de petits baisers. Je sentais la queue se tendre sous mes doigts. Une petite goutte pré-séminale apparut au bord du méat. Je la recueillis délicatement avec ma langue, puis je gobais le gland entièrement afin d'aspirer la crème qui venait. Mes doigts jouaient avec ses couilles et caressaient son scrotum. Un doigt plus curieux atteignit l'anus de Vincent qui se cambra sous cette intrusion.
Alors, ma langue entreprit de lécher avec concentration le gland de mon amant. La main qui pressait sa queue descendit pour bien décalotter la verge turgescente. Ma bouche avala à nouveau la totalité du gland, pour ensuite, l'enfoncer dans ma gorge. Sa queue était si longue que je ne pus la glisser totalement dans ma gorge. Je m'appliquais alors à la faire coulisser dans mon fourreau. Vincent râlait. Je le sentais se contracter, perdre son équilibre. Heureusement qu'Émilie, plaquée derrière lui, le serrait fort. Ne voulant pas le faire jouir de suite, je sortis la queue de ma gorge. Elle était couverte de ma salive. J'entrepris de la lécher de bas en haut…
Émilie s'accroupit à mon côté. Tenant toujours fermement la queue de son homme, je la lui glissais dans sa bouche. Je gardais toujours ses testicules dans l'autre main. Je rapprochais ma bouche de celle de mon amante pour l'embrasser en même temps. Nous communions notre amour autour du gland mouillé par le mélange de nos salives. Tout à coup, nous éclatâmes de rire et nous nous redressâmes pour embrasser notre amant fragile entre nos mains.
Émilie vint s'allonger sur le lit et me demanda de venir sur elle tête bêche. Son abricot, tout lisse, était trempé. Elle avait un clitoris proéminent. Je pouvais le décalotter et l'aspirer comme je pourrais le faire avec un petit sexe d'homme. Je pris beaucoup de plaisir à le prendre en bouche, à l'aspirer et à le caresser avec ma langue bien tendue. Je m'enivrais à boire la cyprine d'Émilie à la source de sa vulve. Tout mon corps frissonnait.
Pendant ce temps, Émilie ne restait pas inactive. Je pouvais sentir sa langue pénétrer ma chatte et ses dents mordiller mes petites lèvres. J'avais le sexe en feu. En quelques secondes, un énorme orgasme me surprit. J'eus comme une absence. Ce fut la pénétration subite et brutale de la queue de Vincent qui me sortit de ma torpeur.
- Ohhh. Nonnnn. Ouiiiiii. Prends-moi toute entière.
Vincent se mit à me pilonner suffisamment pour que j'atteigne un nouvel orgasme dévastateur.
Satisfait, Vincent s'amusa à alterner entre ma vulve détrempée de plaisir et la bouche de sa femme avide de sa queue. Émilie et moi ne faisions qu'une, possédée par le pal de notre maître. Nous étions à sa merci. Il continua ainsi pendant un temps indéterminé, puis, le coquin décida de changer d'orifice. Il plaça son gland devant mon anneau et attendit que je m'ouvre à lui. Ainsi, je cambrais mon bassin pour aller au-devant de sa queue. Mon anus s'ouvrit pour accueillir son gland impérial. Le reste de la queue suivit. Vincent me déchirait les entrailles. Nous restâmes immobiles un petit instant avant que je prenne l'initiative de la suite. Je fis onduler mes hanches. Mes mouvements prirent de l'ampleur et mon bassin montait en descendait pour faire coulisser totalement le sexe de mon amant dans mon cul. Émilie avait repris ses caresses buccales. Mon clitoris était brûlant. La chaleur ressentie rayonnait dans mon ventre. La queue de Vincent complétait mon plaisir. J'avais froid et chaud à la fois. Ma tête ballotait dans tous les sens. Je gémissais.
- Ouiiiiii. Encore… Ne vous arrêtez pas. Vous me faites mourir !!!!
A ce moment, Vincent reprit l'initiative et me défonça le cul, comme pour montrer qu'il était le maître du jeu. Je défaillais. Je perdais pied. J'étais envahie de picotements qui s'ajoutaient à l'arrivée de vagues de plus en plus puissantes qui me submergeaient.
- Ouiiiiiiiiiiiiii. Je jouiiiiiiiiiiiis….!!!
Je me crispais au maximum afin de retarder le plus longtemps possible la fin de mon orgasme, et dans l'espoir d'en ressentir d'autres à la suite.
Ma jouissance démonstrative fit craquer Vincent. Je sentis sa queue grossir dans mes entrailles. Il se retira aussitôt pour s'enfoncer dans la bouche avide d'Émilie afin de lui offrir sa semence.
- Rahhhhhh.
Je sentis les soubresauts de son corps tendu et les jets de sperme qu'il expulsait.
Rompue, je me sentais épuisée et sans force.
Vidés, nous roulâmes sur le côté pour reprendre notre souffle.
Nous nous endormîmes ainsi.
La lumière nous réveilla. Il était approximativement 7 heures. Nous profitâmes de l'instant pour nous caresser mutuellement. Le sexe de Vincent était déjà en érection. Émilie et moi, lui rendîmes un premier hommage. Nous nous partageâmes sa semence.
Il fallut bien se lever et passer dans la salle de bains. Émilie me prêta un peignoir pour retourner dans ma chambre. Nous avions convenu de nous retrouver à 8 heures 30 au restaurant pour le petit déjeuner.
Je déambulais dans les couloirs avec une impression de légèreté. Je me sentais épanouie. En ouvrant la porte je découvris une enveloppe par terre. Il s'agissait d'un message de Juan qui me donnait rendez-vous à 11 heures 30 devant l'hôtel. Il proposait de m'emmener faire un tour au Tibidabo. La missive de Juan me déstabilisa. Mon aventure avec Émilie et Vincent m'avait fait oublier Juan que j'avais eu tant de difficultés à quitter hier… Afin de me sortir Juan de la tête, je pris mon téléphone pour appeler Paul. Sa voix m'apaisa.
Le temps passait. J'avais envie d'aller à la piscine. J'enfilais un maillot et une petite robe de plage. Tongs aux pieds, serviette à la main, je quittais ma chambre.
Vincent et Émilie étaient déjà assis à leur table. Nous nous embrassâmes tendrement. J'évoquais mes projets du jour : la piscine après le petit déjeuner, puis mon rendez-vous avec Juan qui m'emmènerait au Tibidabo. J'étais très excitée à l'idée de revoir mon bel amant. Avec un large sourire entendu, Émilie me fit comprendre qu'elle avait bien compris l'emprise que Juan avait sur moi.
- C'est parfait tout ça ma belle. Je t'envie. Vincent va m'emmener au "Pueblo Español", le village situé sur la montagne de Montjuïc. Connaissant mon mari, je pense que nous y ferons beaucoup de photos.
- Je ne vais pas en parler à Paul. Il serait jaloux !!!! Si un jour vous passez par Montpellier, nos maris pourraient échanger leur modèle toute une journée.
- Hummmm. Eva, tu me tentes beaucoup. J'adorerais. Je vais envoyer un message à Paul en ce sens.
Je mangeais léger avant d'aller me baigner. Je pris surtout du café pour me maintenir bien éveillée cette journée encore.
Je laissais mes amis et partis à la piscine. A cette heure de la journée il n'y avait personne. Je pris un transat, enlevais ma robe et mon haut de maillot et m'allongeais pour réchauffer mon corps au soleil.
Le temps s'écoulait. Je piquais une tête et fis une trentaine de longueurs pour me vider l'esprit. Juan occupait trop mes pensées.
Une fois sortie de l'eau, je ne trainais pas et montais rapidement à ma chambre. J'avais une quarantaine de minutes pour me doucher, me laver les cheveux et m'habiller.
Une fois proprette, il me fallut choisir une robe. Émilie avait gardé les robes que nous avions achetées la veille. Je me décidais pour une robe à fines bretelles rouge. Elle était un peu courte, mais je devais être au top pour Juan. Paul me l'avait faite faire par un couturier de Montpellier. Elle me moulait parfaitement, un peu trop peut-être. Impossible de mettre de sous-vêtement.
Je me remémorais les essayages chez le couturier. Un bel homme très séduisant. Pour les essayages, j'étais obligée d'être totalement nue. Si je me changeais dans la cabine, le couturier devait manipuler le tissu pour ajuster les coutures. Je suis sûre qu'il abusait des essayages. Il nous fallut revenir plusieurs fois tant il était perfectionniste, mais surtout très intéressé par mon anatomie qui n'avait plus aucun secret pour lui. Une fois, je vis Paul avec un large sourire quand François attrapa mes mamelles à pleines mains pour bien les positionner puisque je ne portais pas de soutien-gorge. Ce fut un épisode plaisant dont Paul a conservé photos et vidéos. Et, surtout, une robe parfaitement ajustée. Le seul défaut, si cela en est un, la robe a tendance à remonter quand je marche….
L'heure du rendez-vous approchait. J'avais mon cœur qui s'emballait. J'optais pour des chaussures plates car j'imaginais que nous devrions marcher dans le parc. J'appliquais un zeste de J'Adore, puis un rouge bien vif sur mes lèvres. J'étais prête.
Arrivée à la porte de l'hôtel, je vis immédiatement Juan qui m'attendait appuyé contre sa Porsche rutilante. Dès qu'il me vit, un grand sourire illumina son visage et ouvrit ses bras en venant vers moi. Il était trop craquant.
- Hola mi guapa francés. Te ves preciosa con este vestido (Bonjour ma belle française. Tu es magnifique dans cette robe).
- Mi amor, que me alegro de encontrarte (Mon amour, que je suis heureux de t'avoir rencontrée).
Il me serra fort dans ses bras. Mon cœur battait la chamade. Il m'embrassa passionnément. Sa langue fougueuse, son souffle court m'embrasèrent. Lorsque nos bouches se séparèrent, j'eus l'impression que nos regards pénétraient dans notre âme. Nous eûmes un instant de stupeur. Il fallut quelques secondes pour nous sortir de cet état de léthargie. Toujours enlacés, nous éclatâmes de rire.
Juan se reprit le premier et se précipita pour m'ouvrir la portière. Ma robe remonta jusqu'en haut des cuisses, découvrant totalement mon sexe lisse et luisant. Il m'attacha la ceinture de sécurité, fit le tour de la voiture et démarra.
J'étais totalement remuée par notre baiser. Le vrombissement du moteur, au fur et à mesure que Juan changeait de vitesse, me prenait le ventre. Je restais sans voix. Juan restait concentré sur sa conduite. Il profitait de chaque feu tricolore pour me caresser les cuisses et glisser un doit conquérant entre mes lèvres. Mon clitoris, durci d'excitation, en attendait davantage. J'étais frustrée, mais je savais que la suite serait à la hauteur de mes espérances.
Juan m'expliqua que le tibidabo est, avec ses 512 mètres, le pic le plus haut de la Serra de Collserola, qui domine Barcelone. Je m'e aperçus lorsque Juan attaqua la montagne et qu'il fit rugir les chevaux de la Porsche. J'étais plaquée à mon siège. L'effet était extraordinaire. J'adorais les sensations que je ressentais partout dans mon ventre.
Une fois la voiture garée au parking, il me fallut un moment pour retrouver mes esprits. Cela fit beaucoup rire Juan.
Il sortit puis fit le tour de la voiture pour m'ouvrir la portière. Il s'accroupit près de moi. Il posa sa main sur ma cuisse. Il me détacha la ceinture et m'embrassa tendrement. Son baiser m'enivra. Je passais mes bras autour de son cou, comme pour le garder. Sa main remonta et il put constater que ma vulve était trempée. Un doigt s'inséra entre mes lèvres et caressa mon clitoris déjà en feu. Je le sentais dur à l'extrême. Ah le salaud, il savait y faire. Nos bouches toujours soudées, je sentis un orgasme arriver et me submerger. Sa bouche m'empêcha de crier. J'arrivais à peine à articuler- Ahhhhhhhhh Ohhhh Juan, c'est trop bon. ¿Entiendes lo que digo? (Tu comprends ce que je dis ?).
- Sí, mi amor, te amo (Oui, mon amour, je t'aime).
- Juan m'aida à descendre. J'avais les jambes coupées. Il me prit par la taille pour marcher. J'avais posé ma tête contre son épaule. Me voyant sans défense, le coquin profitait de moi. Sa main descendait pour se poser sur mes fesses. J'étais aux anges. Je planais littéralement.
Ce n'est que lorsque nous fûmes entrés dans le parc d'attraction que je retrouvais mes esprits. Juan m'entraina vers le mirador pour découvrir Barcelone sous nos pieds. Tout était magnifique. Il me montra les principales attractions où nous pourrions aller si je le souhaitais : le manège, la grande roue, les montagnes russes, l'avion, l'hôtel Kruger. Cette dernière attraction proposait un parcours effrayant avec des monstres qui surgissaient de nulle part et qui vous poursuivaient !!!
Plus haut, il me désigna une cathédrale. En fait, il s'agissait du Temple du Sacré Cœur. Un édifice catholique monumental de style néogothique, surmonté d’une statue en bronze. Il m'expliqua qu'il y avait un ascenseur qui permettait de monter jusqu’à la partie supérieure de l’édifice, d’où l’on pouvait profiter d’une vue imprenable sur toute la ville.
Enfin, il y a un grand parc magnifiquement arboré. Un endroit parfait pour une escapade amoureuse…Je n'étais pas très chaude pour aller sur les montagnes russes, mais les autres attractions m'attiraient, surtout avec Juan.
Sa main toujours sur mes fesses, nous déambulâmes. Je demandais à Juan de me prendre en photos. Nous fîmes également quelques selfies. Je pris également un malin plaisir à photographier mon amant. Il était trop beau !!!
Nous avions encore une bonne heure avant d'aller manger. Juan m'entraina vers la grande roue. Il n'y avait pas la queue. Juan m'expliqua qu'à cette heure, les touristes mangeaient. Nous pûmes avoir une cabine pour nous tout seuls. Je ne suis pas téméraire et je crois que Paul serait jaloux de me voir ainsi monter sur ces attractions, ce que je lui refuse toujours.
J'étais serrée contre Juan et je profitais de la montée de notre cabine pour découvrir progressivement le panorama. Une fois arrivés tout en haut, je profitais du temps d'arrêt pour me lever et faire quelques photos. La vue était magnifique : la ville, la mer et le ciel bleu au-dessus de nos têtes !!!! Quand la cabine se remit à bouger, alors que j'allais me rasseoir, je m'aperçus que Juan avait sorti la queue de son pantalon. Plutôt que de m'asseoir, je m'accroupis pour la prendre dans ma bouche. J'en avais trop envie. J'eus l'impression que sa queue était encore plus grosse qu'hier. Ses couilles étaient dures.
Je pris délicatement son gland dans ma bouche et le léchai à petits coups de langue. J'avais une main qui tenait fermement son pieu, tandis que l'autre, en coupelle, tenait ses couilles. Juan était tendu. Tandis que ma main branlait sa queue, je tentais d'avaler celle-ci le plus loin possible. Je le branlais avec ma gorge et ma main et je malaxais ses bourses en même temps. J'entendis mon amant grogner. Il tentait de forcer encore davantage ma gorge. Je manquais de m'étouffer. Ahhh le coquin !
Je ne pris pas conscience du temps qui passait et, alors, que nous étions presque revenus à notre point de départ, Juan fit signe à l'employé que nous allions refaire un tour. Je n'avais pas bougé. Je pense que l'employé n'avait aucun doute sur ce que je faisais à mon amant. Je pus donc reprendre ma fellation.
Je profitais du temps imparti pour recommencer mes caresses. Ma langue montait et redescendait le long de la bite raide de mon amant encore recouverte de la salive de ma gorge. Ensuite, je m'appliquais à exciter le gland si sensible chez les hommes. Ma bouche embrassa par petites touches le dessus du gland. J'aspirais avec délectation les gouttes pré-séminales qui perlaient au bord du méat. Ma langue tournait et retournait autour du gland en insistant sur la couronne à la base du gland. Enfin, j'ouvris largement ma bouche pour absorber la totalité du gland et l'astiquer à petits coups de langue. Juan était tendu. Je le sentais proche de l'explosion et m'en régalais d'avance. J'enfonçais alors la queue le plus loin possible afin de la branler avec ma gorge. Mon amant grognait. Aussi, j'accélérais le mouvement et glissais mon majeur dans son cul. Cette dernière action fut décisive.
- Ahhhh. Puta, me estás matando. Rahhhhh (Ahhhh. Salope, tu me tues. Rahhhhh).
Son gland grossit encore et plusieurs jets de sperme envahirent ma bouche. J'eus l'impression que cela ne s'arrêterait jamais. Je m'étouffais. J'eus besoin de plusieurs déglutitions pour avaler toute la crème de mon amant. Je m'en régalais. Je m'appliquais à bien tout lécher. Je ne voulais pas perdre une goutte de son nectar. Une fois satisfaite et rassasiée, je me relevais, puis m'asseoir sue les genoux de Juan face à lui pour l'embrasser. Un baiser passionné et fougueux. Nos langues se mélangèrent. Je me sentis encore mouiller.
Ce fut lorsque l'employé frappa à la vitre de la cabine que nous primes conscience que nous étions redescendus. Nous sortîmes prestement. L'homme nous souriait d'un air bien entendu. Je mis un peu d'ordre dans ma tenue et nous nous dirigeâmes lentement vers le restaurant où Juan avait réservé. Il continua à jouer au guide touristique. Je m'émerveillais du son de sa voix, sans réellement faire attention à tout ce qu'il disait. J'espérais qu'il n'y aurait pas de QCM à la fin de la visite !!!!
Le restaurant n'était pas bondé, contrairement à ce que je craignais. Juan me rappela que nous arrivions au dernier service, le service des autochtones habitués à manger plus tard que les gens du nord, dont je faisais partie, même si à Montpellier, on mangeait déjà beaucoup plus tardivement qu'en Allemagne par exemple.
Nous étions côte à côte, face au panorama. Juan me gâtait.
Juan commanda une Esqueixada, une salade composée de morue dessalée, de thon, de tomates, de poivrons, d’olives et d’oignons. Il choisit ensuite une Sarsuela, un plat composé de poissons de roche, de crustacés, de coquillages, de moules et de calamars frits. Il demanda au serveur son meilleur vin blanc.
Pendant que les plats se préparaient à la cuisine, on nous apporta du pain, de l'aïoli et du "Pa amb tomàquet" (Pain à la tomate) comme mises en bouche et pour accompagner le vin blanc.
Juan était toujours souriant. Il me tenait la main. Il était tendre. Je craquais totalement pour mon amant catalan.
Je dégustais avec plaisir les plats choisis par Juan. Mes papilles pétillaient sous les saveurs gourmandes proposées. Je n'arrivais pas à croire la chance que j'avais. Juan jouaient avec tous mes sens : le goût, l'odorat, l'ouïe, le toucher, la vue. D'hypersexuelle, j'étais devenue hyper-sensorielle grâce à Juan. Tout son être me transportait. J'étais conquise.
Après le café, nous quittâmes le restaurant. Nous déambulèrent dans notre petite promenade digestive. Nos pas nous dirigèrent vers l'église qui dominait le mont Tibidabo. Elle était magnifique. Tandis que je montais les escaliers, Juan me demanda de m'arrêter pour faire quelques photos. Il me fit asseoir sur une marche et me photographia ainsi avec l'église en arrière-plan. J'en profitais pour écarter mes cuisses afin d'exhiber mon sexe. J'étais habituée avec Paul et Juan en fut ravi. Nous continuâmes à monter les marches pour visiter l'intérieur du Sacré-Cœur. J'étais subjuguée par les dorures et tous les ornements. L'intérieur avec ses colonnades était grandiose. Juan me prit la main pour m'entrainer vers l'ascenseur pour monter à la partie supérieure de l'édifice. Juan avait raison. Le panorama était prodigieux. Juan me serrait dans ses bras et m'embrassait. Je fondais. Je fis quelques photos. Nous redescendîmes. L'heure passait et nous n'allions pas tarder à rentrer.
Bras dessus, bras dessous, nous fîmes le tour du parc. Juan m'offrit une coupe de cava. J'étais bien. J'étais trop bien. Je le voyais bien. Je perdais mes repères.
Nous retournâmes à la voiture. Le cœur n'y était plus. Juan essayait de me redonner le sourire.
- Sonríe a mí, mi amor (Sourie-moi, mon amour).
Arrivés à la voiture, juan m'annonça qu'il avait une surprise pour moi. Il sortit du coffre un petit paquet qu'il m'offrit avec un grand sourire.
- Para ti, querida (Pour toi, chérie).
Il s'agissait d'un bel écrin noir aux lettres dorées. Quand je l'ouvris, je découvris un somptueux collier de petites perles fines. Juan était incroyable. C'était le plus beau cadeau que je n'avais jamais reçu. Je me mis à pleurer. Juan m'enlaça et m'embrassa dans le cou, puis sa langue remonta vers mes joues pour lécher mes larmes. Nous restâmes plusieurs minutes sans bouger, puis Juan prit le collier et le mit autour de mon cou.
- Eres maravilloso. Te amo (Tu es magnifique. Je t'aime).
Il m'embrassa à nouveau et me fit monter dans la voiture. Le retour se fut en silence.
Arrivés à l'hôtel, Juan descendit pour m'ouvrir la portière.
- Muchas gracias por este maravilloso día (Merci beaucoup pour cette merveilleuse journée).
Nous nous embrassâmes tendrement et, je me détachais de Juan pour retourner seule à ma chambre.
Je m'allongeais sur le lit et me mis à pleurer. Épuisée par tant de stress, je finis par m'endormir.
Des coups à la porte finirent par me réveiller. Éva, ouvre-moi. C'était Émilie. Je lui ouvris la porte. Émilie entra. Elle comprit aussitôt qu'il y avait un problème. Nous nous allongeâmes sur le lit et je lui avouais tout….
Émilie ne dit rien. Elle m'écouta d'une oreille attentive en secouant la tête par moments. Quand j'eus terminé, j'étais épuisée.
- Bon, je sais ce qu'il te faut pour remonter la pente. Tu vas prendre une bonne douche. Je vais t'aider.
Émilie enleva ma robe et m'entraina dans la salle de bains. Elle ôta la sienne et m'accompagna sous la douche. Elle me savonna et me rinça avec une eau un peu fraîche qui me vivifia. Sans me consulter, elle prit quelques-unes de mes affaires, m'enfila un peignoir. Elle reprit le sien que je lui avais prêté ce matin et m'entraina dans sa chambre.
- Ce soir est notre dernière soirée. Tu me feras le plaisir de faire bonne figure à notre table. J'ai préparé les robes que tu nous as achetées hier. Les voilà. Je t'ai pris une paire de bas et tes Louboutin. Prépare-toi. Vincent doit nous attendre au restaurant.
Je m'exécutais.
Vincent nous attendait assis dans un fauteuil dans le salon attenant l'entrée du restaurant. Il m'embrassa. Il nous attrapa par la taille pour nous emmener à notre table.
Ce n’est qu’en arrivant dans le restaurant dont la salle était déjà bien remplie que je pris conscience que j’étais totalement exposée aux regards dans ma robe-nuisette en dentelle… J’eus un temps d’arrêt, très court car Vincent me mit la main aux fesses pour me faire avancer. J’étais rouge de confusion, mais je n’avais pas de possibilité de repli. Je sentais le regard des hommes sur moi. Cette fois que n’avais pas mes lunettes de soleil pour me cacher. Vincent rayonnait, fier d’être jalousé par toute la gente masculine présente… Émilie souriait d’aise face à mon désarroi. Moi qui détestais me faire remarquer, je crois que c’était raté, mais bon… Une fois assise, la vie reprit son cours. Vincent paradait entre nous deux. Émilie avait décidé de perturber le serveur. Sa robe était relevée et chaque fois qu’il venait à notre table, il pouvait avoir une vue imprenable sur sa chatte bien exposée. Émilie me raconta leur visite au village espagnol. Elle avait passé plus de temps déshabillée qu'avec ses vêtements. Vincent l'avait mitraillée. Il avait pris près de 300 photos. Pour la remercier, il l'avait coincée dans un recoin pour la prendre debout. Elle me précisa qu'elle avait senti des coulées de sperme le long de ses cuisses pendant une bonne partie de l'après-midi…Au retour, ils étaient arrêtés chez Desigual et Paul lui avait offert un magnifique chemisier en dentelle.
Émilie fit comprendre à Vincent qu'il fallait éviter de me faire parler de mon après-midi.
- Puisqu'il s'agit de notre dernière soirée, nous n'allons pas être raisonnables. Buvons !!!!
Je noyais mon vague-à-l'âme dans le champagne. La tête me tournait. Emilie riait chaque fois que le serveur s'approchait de notre table. Son rire devint communicatif. La bosse qui déformait le pantalon du garçon excitait mon imagination.
Je pouvais vérifier l’effet que le jeu d'Émilie provoquait chez son mari car ma main était souvent posée sur sa cuisse… Émilie prit un grand plaisir à traverser la salle de restaurant pour se rendre aux toilettes. Vincent et moi purent apprécier l’effet généré par son aller et retour chez les hommes. De mon côté, je pris vraiment conscience de ce que la robe devait donner avec moi. Émilie était superbe dans cette robe. J'étais contente de la lui avoir offerte. Avec un minimum d'attention, nul ne pouvait cependant ignorer son anatomie. Le summum fut quand Émilie se baissa pour ramasser son sac. Sa robe courte remonta et ne cacha rien de son joli petit cul. Je l’admirais car je me voyais bien incapable de faire de même. Vincent avait filmé toute la scène avec son téléphone. Il semblait satisfait de son film.
Émilie tarda à revenir. Il nous fallut attendre une bonne dizaine de minutes encore pour la voir réapparaitre, toute souriante. Sa main posée sur la cuisse de son mari, elle nous expliqua qu'elle était tombée dans une embuscade coquine. Le serveur l'avait suivie aux toilettes et s'était montré si convaincant qu'elle n'avait pas pu lui refuser une petite fellation. Sa queue était large et elle avait eu beaucoup de difficultés à faire entrer son gland dans sa bouche. Quand il a explosé, de puissants jets de sperme avaient envahi sa bouche. Elle n'avait pas pu tout avaler. La quantité était impressionnante. Une fois seule, Émilie avait passé un bon moment à se refaire une beauté. Elle avait même trouvé du sperme dans ses cheveux !!!! Vincent, ravi par l'initiative coquine de sa femme l'embrassa avidement.
Sur ce, Vincent précipita la fin du repas pour nous entrainer dans la chambre.
Notre départ fut finalement plus facile, surtout pour moi. Dans l’ascenseur, Vincent nous remonta nos robes et put nous embrasser et peloter à sa convenance. Le champagne faisait son effet.
Arrivés dans la chambre, Émilie mit de la musique et proposa à Vincent de m’inviter à danser. Une danse sensuelle qui dégénéra vite lorsqu’Émilie commença à se plaquer derrière nous pour nous caresser et nous déshabiller progressivement. Ses mains me possédaient, ses doigts me fouillaient. Vincent m’embrassait à pleine bouche. Je pouvais sentir son sexe dressé, dur et massif contre mon ventre. Un liquide chaud coulait entre mes jambes et Émilie s’en servait pour me lubrifier et me dilater le cul.
Elle fit tomber Vincent en arrière sur le lit afin de s’emparer de sa queue. Elle la lécha de haut en bas, puis de bas en haut. Elle s’amusait à lui gober ses couilles. Vincent se laissait faire. Son gland était cramoisi d’excitation. Une goutte de sperme perla à son extrémité et Émilie me l’offrit. Nous jouâmes ainsi de nombreuses minutes à lécher ce pieu dressé et majestueux. Nos langues s’enroulaient autour de sa tige, se touchaient, nos bouches se disputaient son gland. Nous nous embrassions, tout en jouant avec sa bite. Une véritable danse de l’amour autour de la queue qui allait très prochainement nous perforer et nous offrir son nectar à déguster. Simultanément, les doigts d’Émilie continuaient à me fouiller et à faire des allers et retours dans mes deux orifices. Émilie me demanda de me lever puis me fit asseoir sur la queue de son mari. Ma rondelle assouplie par les multiples pénétrations d’Émilie s’adapta au gland de Vincent et mon cul absorba son pieu sans difficultés. Après quelques secondes de repos pour permettre à ma rondelle de s’élargir naturellement, Émilie me coucha sur son mari, puis releva mes jambes. Cette pose était obscène. J’avais l’impression d’être plus que nue, une position totalement impudique. Vincent commença à bouger et Émilie vint placer sa tête entre mes cuisses pour me lécher le clitoris, ma vulve et la bite de Vincent qui entrait et sortait de mon cul. La sodomie ajoutée aux mouvements experts de la langue d’Émilie me firent atteindre très rapidement un profond orgasme, puissant, dont les vagues successives me transportèrent à un plaisir rarement atteint. Vincent arrêta ses mouvements pour me laisser profiter de ma jouissance et de mes orgasmes à répétition, puis sortit de mon cul. Je me retournai aussitôt pour reprendre sa queue en bouche afin de maintenir son érection optimale avant de proposer à Émilie de prendre sa place afin que je puisse lui rendre la pareille. Elle positionna sa pastille sur le gland toujours dur de son mari et se laissa retomber pour avaler à son tour le pieu de chair. A mon tour je la basculais pour pouvoir lécher son clitoris, sa vulve et la queue de Vincent. Le pouvoir érotique de cette position nouvelle pour moi était immense. J’avais même imaginé une variante. Régulièrement, je sortais la queue de Vincent du cul d’Émilie pour l’avaler, la sucer, la lécher, la pomper avec de la glisser dans le cul d’Émilie. Il n’en fut pas beaucoup pour nous atteignons tous les trois des orgasmes simultanés. Ensuite, je sortis la queue de Vincent du cul d’Émilie. Elle était couverte de nos secrétions et de son sperme. Je m’en délectais. Je léchais sa queue et le cul d’Émilie encore dilaté et d’où ressortait du sperme en quantité. Enfin, je vins me glisser entre Vincent et Émilie pour les embrasser afin de les remercier de ce qu’ils venaient de me faire découvrir et de mes orgasmes qu’ils avaient provoqués. Nous restâmes tous les trois ainsi enlacés pendant une bonne demi-heure, puis je les quittais pour retourner dans ma chambre. Un petit texto à Paul et je me glissais dans mes draps épuisée.
Le lendemain matin, je n’étais pas au mieux de ma forme. Mon séjour à Barcelone se terminait. Je fis monter mon petit déjeuner dans ma chambre. Je rangeais mes affaires et pris une douche un peu fraiche pour me revigorer. J’enfilais une petite robe couleur saumon. C’est avec un petit sourire que je me regardais dans le miroir.
Je passais à la réception pour finaliser mon départ. Je fis appeler un taxi. On me remit trois enveloppes que je glissai dans mon sac.
On m’avertit que le taxi était déjà arrivé et me voilà déjà sur la route de Sants, la gare TGV de Barcelone.
Je regarde nostalgique le paysage défiler. Ces quelques jours sont passés trop vite. Je revois quelques moments de mon séjour. Je me surpris à sourire bêtement. Mon ventre se contractait également à l’évocation de certaines images très explicites. Les moments drôles et les scènes de tendresse avec Juan.
Le chauffeur me sortit de ma torpeur. Nous étions arrivés. J’étais en avance. J’en profitais pour prendre un « cafe con leche ». Les voitures n’étaient pas encore en place. Une fois annoncé, je montais dans le train. Je m’installais tranquille. Il n’y avait pas grand monde. J’envoyais un texto à Paul. « Me voici dans le TGV. Tout va bien. Dans 3 heures, je serai dans tes bras. Je t’aime ».
Ça y est, le tgv est parti. Je sors l’iPad de mon sac et tombe sur les enveloppes remises à la réception.
La première venait de mes amants espagnols.
« Adiós. Muchas gracias por el placer que nos dio. Eres una putita francésa en oro !!! Buen viaje amor. » (Au revoir. Merci beaucoup pour le plaisir que tu nous as donné. Tu es une pute française en or !!! Bon voyage, amour).
La seconde émanait d’Émilie.
« Coucou Éva. C’est avec grand plaisir que nous t’avons connue et avec grande tristesse que nous te voyons partir. Merci pour le plaisir que tu nous as donné. Je serai très ravie de faire connaissance de ton Paul dont tu m’as vanté la fougue !!! On garde le contact car Vincent et moi espérons te revoir. Suivaient son adresse mail et son numéro de téléphone.
J’ouvris la dernière avec appréhension.
« Hola Evita. Cuando leas esta carta ya va en camino a Francia. Quería decirte que me extrañas. Amaba a los maravillosos momentos que pasamos juntos. Ojalá que ellos son más numerosos. Me gustaría que aún más caliente. Prométeme que vuelva pronto. También puedo pasar unos días en su bello país. Te amo fuerte. Juan.» (Bonjour Evita. Quand tu liras cette lettre, tu seras en route pour la France. Je voulais te dire que tu me manques. J’ai adoré les merveilleux moments que nous avons passés ensemble. J’espère qu’ils seront plus nombreux. J’aimerais qu’ils soient encore plus chauds. Promets-moi que tu reviendras bientôt. Je peux aussi passer quelques jours dans ton beau pays. Je t’aime fort. Juan). Suivaient également son adresse mail et son numéro de téléphone.
Une petite larme coula sur ma joue. Juan avait été si tendre, si attentionné et il m’avait donné tant de plaisir. Je m’endormis en pensant aux bons moments passés tous les deux… Je ne savais pas si j'étais capable de le revoir. Je m'étais trop attachée à lui…
Le voyage fut rapide. Le TGV s’approchait de Montpellier. Je rangeais mes enveloppes. Je me refis une petite beauté et me voilà déjà sur le quai dans les bras de Paul que je serrais fort. J’avais envie de lui. J’avais envie de tout lui raconter… Enfin, presque tout, je devais garder mon jardin secret.
Je savais que j’écrirai à Émilie. Ce sera une autre histoire…
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