Éva rejoint son maître à Lyon et fait l'éducation d'Alex (dernière partie)
Récit érotique écrit par Sofie34fr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-12-2020 dans la catégorie Plus on est
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Éva rejoint son maître à Lyon et fait l'éducation d'Alex (dernière partie)
Sept heures, comme hier, le réveil sonne. Yves se lève et va dans la salle de bain. Tout comme moi, Alice ne semble pas prête à se lever. Je me love contre elle. Je l'embrasse dans le cou. Ma main lui caresse délicatement un sein. Alice ronronne. Elle se réveille lentement. Je l'embrasse encore une fois.
- Allez Alice, il faut se lever pour préparer le petit déjeuner. Yves doit préparer ses affaires car il ne repassera pas à l'appartement.
Alice rassemble ses affaires pendant que je prépare le petit déjeuner.
- Si tu veux, je peux te repasser ta robe.
- Non, merci, ce n'est pas la peine. Je vais passer à mon hôtel avant d'aller au séminaire. Je dois également libérer la chambre.
Quand Yves sort de la salle de bain, il prépare sa valise. Alice prend aussitôt sa place.
Le café est prêt. Yves s'assois avec moi.
- Hummm ma soumise. Nous allons nous quitter. Je dois te dire que j'ai adoré nos retrouvailles. Avec Alice, c'était top. Vous m'avez vidé les couilles.
- Tu es trop mignon mon coquin. Je t'ai retrouvé avec plaisir moi aussi. Nous ne devons pas espacer autant nos rencontres. Ta queue me manque !!!
Yves pose sa main sur ma cuisse et embrasse tendrement mon épaule.
- Toi aussi tu me manques. Je te promets de venir vous voir très vite à Montpellier.
- Je te laisse ranger l'appart ? On doit rendre les clés à 11 heures au plus tard.
- Il n'y a pas de problème. Je trainerai juste un peu dans le lit pour conserver ton odeur…
- Et puis, j'ai un rendez-vous au musée pour une visite "très" personnelle. Tu te souviens.
- Oui, Hummmm. Je vois très bien…. Tu me raconteras.
- Bien évidemment. Je te dis tout.
- Au fait, je dois penser à prendre mon billet pour le retour.
- A quelle heure repars-tu ?
- 18 heures. J'arrive à Paris aux environs de 20 heures.
Alice sort de la salle de bain. Elle est nue. Elle enfile sa robe et nous rejoint à table.
- Hummm cela a l'air délicieux. Merci Éva.
Une ambiance un peu morose nous envahit. Nous allons nous quitter… Je décide de changer cela.
- Bon, je voulais vous remercier tous les deux pour les plaisirs et les orgasmes que vous m'avez procurés. Alice, tu as mes coordonnées. J'attends de tes nouvelles. Tu peux venir à Montpellier. Nous ferons du shopping entre filles, voire davantage…
Yves et Alice se lèvent et préparent leurs affaires. Nous nous embrassons tous les trois ensembles. Yves me laisse ses clés.
- Il reste une bouteille au frigo. Tu la ramèneras à Paul.
La porte se referme. Me voilà seule.
Bon, allez, je dois me bouger. J'ouvre la fenêtre. Je range le lit. Je jette à la poubelle tout ce que nous n'avons pas mangé. Je vérifie que mon téléphone et mon iPad sont bien en charge et je vais faire ma toilette.
Me voilà toute propre. Nue, sue le balcon, je prends une dernière tasse de café. Je vois le voisin d'en face qui est toujours fidèle à son poste. Il me fait un signe. Je souris.
Je regarde mon téléphone. J'ai plusieurs messages de Paul et d'Alex. Les deux sont impatients de me voir. Alex me demande à quelle heure je serai à la gare. Paul me demande à quelle heure j'arrive.
Je regarde les horaires. J'ai un train à 15 h 10 qui arrive à 17 h 14. C'est parfait.
Il est 9 heures trente. Si je pars à 10 heures dix, je serai au musée à 10 heures trente. J'envoie un sms à Vincent "Bonjour Vincent. Je pourrai être au musée à 10 heures trente. Est-ce que cela vous convient ? Éva."
Aussitôt, mon téléphone émet un bip. "Je suis ravi de vous revoir Éva. Je vous attends avec impatience. Vincent".
Je préviens Paul de l'heure de mon arrivée, et Alex de l'heure à laquelle je pense arriver à la gare.
Je regarde mes mails et fais un tour sur les sites d'information. Je prépare les affaires que je vais mettre aujourd'hui. Je choisis un chemisier couleur crème en soie et une jupe noire plissée à boutons. Je range mes affaires. Je place la bouteille de Chablis qui reste dans ma valise. Je vérifie la batterie de mon téléphone qui est en charge. Tiens, un message d'Alice "Encore merci ma belle Éva. Je te souhaite un retour agréable. J'espère te revoir très bientôt. Bizzzz. Alice."
Je lui réponds immédiatement "Merci Alice, tu es trop mignonne. J'ai été ravie de te découvrir aussi intimement. A très bientôt. Je compte sur toi. Bises. Éva." J'enregistre son numéro.
Je fais le tour de l'appartement. C'est correct. J'enfile ma robe et mes Louboutin. J'appelle un taxi. Il sera là dans cinq minutes.
Le temps de fermer la porte, de descendre et de mettre les clés dans la boite aux lettres, le taxi est déjà là.
J'envoie un sms à Yves "Bonjour chéri. Je viens de quitter l'appartement. J'ai laissé les clés dans la boite aux lettres. Tu peux avertir le propriétaire. Je suis en route pour le musée… Je t'aime. Ta soumise."
Le trajet est rapide. Me voilà déjà devant l'entrée du musée. Je défais un bouton de ma jupe et un autre de mon chemisier. Je règle le taxi. Je prends ma valise et je descends.
La montée de l'escalier est délicate avec ma valise à la main et ma jupette qui s'envole à cause d'une petite brise friponne. A peine arrivée devant la porte que celle-ci s'ouvre. C'est Vincent.
- Bonjour Éva !!!
Après m'avoir déshabillé d'un regard appréciateur, il se rapproche de moi pour me prendre dans ses bras et m'embrasser.
- Merci d'être venue. Vous êtes magnifiquement sexy, si je peux me permettre…
- Ohhh Vincent. Vous me faites rougir.
- Venez avec moi.
Il prend ma valise et m'ouvre la porte.
- Nous allons laisser votre valise à la consigne.
- Alors, vous repartez déjà ?
- Oui. Toutes les bonnes choses ont une fin. Je dois avouer que votre belle ville m'a laissée une excellente impression et que je reviendrai certainement très vite.
- Suivez-moi. Je vais vous faire une visite "très" privée. Vous en avez envie ?
En disant cela, il m'offre un large sourire et me déshabille à nouveau du regard.
- Mais oui Vincent, je suis venue pour cela. Vous avez su attiser ma curiosité.
- Nous allons visiter les salles qui ne sont pas ouvertes au public. Celles-ci recèlent de véritables trésors que peu de personnes ont pu voir.
Vincent m'entraine dans un dédale de couloirs : un vrai labyrinthe. Mes talons claquent sur le carrelage. A chaque porte, il se rapproche davantage. Puis, en me prenant par la taille, il se penche doucement vers moi, comme pour me faire une confidence.
- La salle que nous allons visiter s'appelle l'enfer. Comme dans la plupart des musées, il y a des salles qui recèlent d'œuvres érotiques. A l'entrée, je vous donnerai des gants. Vous pourrez ainsi, sous mon contrôle manipuler certaines pièces si vous le souhaitez.
- Oh Vincent, vous me gâtez.
- C'est avec plaisir, restez bien près de moi.
C'est ainsi que, enlacés, nous continuons d'avancer. Le souffle de Vincent se fait court. A chaque nouvelle porte franchie, sa main descend pour se trouver maintenant sur mes fesses. Quel coquin. Il ne perd pas de temps.
- Enfin, nous voilà. Voici vos gants. J'espère que vous n'aurez pas trop froid dit-il en regardant mes tétons pointer sous mon chemisier. Nous sommes obligés de maintenir un certain niveau de température et d'humidité pour préserver les œuvres. Je suis là pour vous réchauffer si vous en avez besoin.
La salle est grande. Elle est envahie de statues, de tableaux, de bibliothèques et de vitrines. Vincent me présente quelques pièces. Vincent s'approche d'une statue explicite. Une femme, robe relevée, est allongée sur les cuisses d'un homme dont la main levée ne laisse aucun doute sur ce qu'il fait. Les mains de Vincent s'attardent sur le postérieur de la femme.
- Éva, touchez ces fesses. Ce sculpteur est un génie. On peut sentir le grain de la peau de la soumise qui frissonne.
Joignant le geste à la parole, il me prend la main et la garde pour accompagner mes caresses. L'effet est saisissant. Vincent est derrière moi. Je peux sentir son sexe dur contre mes fesses. Je sens son souffle contre ma nuque.
- Qu'en pensez-vous ? C'est troublant, n'est-ce-pas ? Comme cette femme, êtes-vous une adepte de la fessée ?
Nous restons immobiles. La proximité de Vincent associé aux vertus érotiques de cette statue, me chauffent le bas ventre. Mes jambes flageolent.
- Vous devez savoir Vincent que nous les femmes, nous avons et des comportements et des attitudes complexes. Ce que nous aimons un instant, nous pouvons le détester ultérieurement, et réciproquement. Je me souviens d'avoir obtenu de beaux orgasmes lors de fessées appliquées de mains de maître… D'autres fois, je ne ressens que de la douleur.
Vincent s'enhardit. Une main s'empare de mon sein et ses doigts malaxent mes mamelons.
- Humm. Je sens votre trouble. Moi aussi, je ressens une tension électrique. Vous pouvez le constater…
Tout en conservant ma main dans la sienne, Vincent la porte sur sa braguette.
- Ohhh. Voilà qui est prometteur. Vous m'enivrez avec vos belles paroles et vos œuvres érotiques. Hummm, une fessée, pourquoi pas ? Vous sauriez me donner un orgasme si je reviens vous voir ?
- Ce serait avec un très grand plaisir.
Sa main abandonne mon sein pour se faufiler sous ma jupe et palper mes fesses nues.
- Quel cul callipyge !!! Vous me faites perdre la tête Éva.
Me retournant, j'embrasse furtivement Vincent sur la bouche.
- Vous continuez la visite avant que celle-ci ne dérape trop vite ?
Vincent met quelques secondes pour revenir à lui et se reprendre.
- Oh oui. Excusez-moi, je me laisse emporter par votre sensualité. Venez voir par ici. Vous avez des ouvrages rares dans leurs versions originales. Voici les contes des mille et une nuits. Voici un résumé de l'histoire. Le sultan Shahryar, en représailles à la suite de l'infidélité de son épouse, la condamne à mort et, afin d'être certain de ne plus être trompé, il décide de faire exécuter chaque matin la femme qu'il aura épousée la veille. Shéhérazade, la fille du grand vizir, se propose d'épouser le sultan. Aidée de sa sœur, elle raconte chaque nuit au sultan une histoire dont la suite est reportée au lendemain. Le sultan ne peut se résoudre alors à tuer la jeune femme ; il reporte l'exécution de jour en jour afin de connaître la suite du récit commencé la veille. Peu à peu, Shéhérazade gagne la confiance de son mari et finalement, au bout de mille et une nuits, il renonce à la faire exécuter. De multiples versions ont été écrites, dont certaines avec des illustrations érotiques.
Vincent m'entraina vers une table-vitrine où des objets érotiques étaient exposés. Ce sont des godemichets, de toutes tailles, dont certains très impressionnants. Ils ont fabriqués à l'aide de matériaux très différents et ciselés par des artistes.
Vincent ouvre la vitrine et cale la vitre.
- Je vous laisse les toucher. Je veux voir ceux qui vous attirent.
Positionné derrière moi, Vincent me tient les hanches. Je sens le souffle de sa bouche dans son cou. Alors que je tends la main pour attraper un des plus gros spécimens, Vincent glisse une main sous ma jupe pour venir la plaquer sur mon sexe. Ce geste me tétanise. Je me tends. Ma vulve est déjà bien trempée et il ne peut pas l'ignorer. Mes mains caressent délicatement l'olisbos démesuré. Mes gestes semblent exciter Vincent qui m'embrasse maintenant dans le cou. Son souffle est court. Sa gorge est sèche.
- Hummmm. Je vois que vous êtes une connaisseuse. C'est une pièce orientale du XIIème siècle. Elle a défoncé de nombreuses femmes pour leur plus grand plaisir. Je suis sûr que ses dimensions ne vous effraient pas. C'est dommage que je ne puisse vous en faire profiter. J'ai autre chose pour vous satisfaire.
Sa main s'agite et branle mon bouton terriblement excité par le contexte. Son autre main est revenu se glisser sous mon chemisier s'approprier mon sein et étirer mon téton. Je perds pied. Je secoue ma tête dans tous les sens.
- Ouiiiiii. Encore. Aie. Non… Ouiiii. Je viens, je viens….Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Un terrible orgasme m'emporte. Mes jambes me lâchent. Vincent m'enserre fortement pour me maintenir debout. Je repose l'objet dans la vitrine et me retourne pour embrasser Vincent. Ma langue, conquérante, prend possession de sa bouche. Elle s'enroule autour de la sienne et s'amuse à la titiller comme elle le ferait avec son gland. Je décolle ma bouche de la sienne dans un bruit de succion. De la salive coule à la commissure de nos lèvres. Un fil fin relie nos deux bouches. Nous sourions.
Je m'accroupis et entreprend de défaire la ceinture du pantalon pour sortir la queue à l'étroit. Elle sort d'un coup, comme mue par un ressort. Je prends ses bourses dans mes mains gantées de coton. Je les caresse, les malaxe. D'un doigt je titille son anus. Vincent se cambre. Ma bouche s'approche doucement de son gland déjà décalotté. Je souffle délicatement sur le méat qui s'ouvre davantage et laisse perler une goutte pré-séminale que j'aspire délicatement. J'enroule ma langue autour de son gland. Ma bouche l'embrasse. Je le lèche et lui titille le méat à petits coups de langue, puis j'ouvre grand ma bouche pour avaler totalement le gland. Je le garde ainsi, mes lèvres serrées et ma langue joueuse continue d'endiabler Vincent. Ma bouche, toujours fermée, je mordille la base du gland, puis le lèche. J'alterne ainsi à plusieurs reprises avant de sortir sa queue de ma bouche.
Je commence alors à lécher celle-ci de bas en haut Je la recouvre de salive. Elle est dure, grosse, tendue et luisante. Un vrai sucre d'orge bien baveux. Je peux alors avaler lentement la tige dans ma gorge. Une fois entièrement avalée, ma bouche touche mes doigts qui malaxent toujours ses testicules.
Vincent, excité par ma gorge profonde, grogne de plaisir. Il m'attrape la tête avec ses mains et, lentement, il donne le rythme à ma caresse buccale. Il baise ma bouche, délicatement et alterne les va et vient. Je sens son pieu qui grossit encore davantage. Il ne va pas tarder à venir. Ses râles se rapprochent. Il ahane, il gémit…
- Ouiiiiiii, je viens. Ouiiiii…
Et dans une ultime crispation, Vincent laisse fuser plusieurs jets de crème épaisse au fond de ma gorge. Malgré la sensation d'étouffement, je garde sa queue le plus longtemps possible, avant de la sortir pour déglutir et reprendre ma respiration. Du sperme continue à sortir et se répand sur mes doigts.
Une fois remise, je lèche mes doigts, puis regobe le gland pour aspirer la crème qui s'écoule encore. Je reste ainsi quelques minutes à profiter de cette queue que j'ai aimée et qui m'a offert une crème séminale si délicieuse et si abondante.
C'est avec des crampes aux cuisses que je me relève. Vincent m'aide et m'embrasse fougueusement.
- Ouffff. Merci Éva. Tu m'as coupé les jambes. Tu m'as surtout fait jouir comme rarement.
Nous nous rajustons. Je donne un kleenex à Vincent pour qu'il évite de se tacher. Nous nous sourions, heureux du plaisir vécu.
- Je te propose d'aller au restaurant reprendre quelques forces. Quelle est l'heure maxi à laquelle tu dois quitter le musée ?
- 14 heures.
- Ne trainons pas.
- Oui, juste une seconde. J'aimerais photographier ce bel olisbos qui m'a tant impressionné.
Nous voilà maintenant installés au restaurant. Nous sommes assis côte à côté. Vincent pose une main sur ma cuisse. Il commande deux menus du jour et une bouteille de Chablis. Nous bavardons. Sa main me caresse affectueusement. Nous parlons de notre vie personnelle. Nos époux, nos enfants. Vincent a le bon goût de ne pas m'interroger sur les infidélités faites à mon mari. Nous évoquons nos passions. Vincent est cinéphile. Je parle de mon amour pour la musique, les livres et les bandes dessinées.
- Tiens, tu parles de bandes dessinées. Je suis sûr que tu connais Corto Maltese d'Hugo Pratt.
- Oui, j'adore. Pourquoi ?
- Parce que dans quelques semaines nous allons organiser une expo "Corto Maltese". Tu me laisseras tes coordonnées. Je t'enverrai une invitation spéciale pour l'inauguration.
- C'est génial. Je ne sais pas comment te remercier.
- On verra quand tu viendras. J'ai quelques idées, dont une petite fessée, tu te rappelles…?
- Mummmm. J'ai hâte de revenir alors.
- En attendant, si nous nous dépêchons de finir notre repas, je peux te montrer la salle où nous avons stocké le matériel pour l'expo. Ce sera grandiose.
Nous prenons notre café. Il est 13 heures quinze.
- Allons-y.
Vincent m'emmène à nouveau dans un dédale de couloirs. Nous sommes seuls. Il me serre contre lui. Subrepticement, il me pelote les fesses.
- Hummm… Quel fessier callipyge !!! J'adore ton cul ma belle.
- Je vois ça. Et moi, j'adore ta queue. On est quitte !!!!
Nous arrivons enfin dans une immense salle où trônent de multiples décors. J'aperçois un immense Corto Maltese. Il est magnifique. Je ne peux m'empêcher de le photographier. Je retrouve tout l'univers de Corto. J'en ai le tournis.
- C'est superbe. J'ai hâte de voir cette expo. En parlant d'héros de bandes dessinées, j'ai été frustrée de rater l'exposition consacrée à Guido Crepax à Milan. On ne peut évoquer la bande dessinée érotique sans parler de Crepax et de Manara.
- Tu as raison. Voilà un beau thème d'exposition : l'érotisme dans la bande dessinée !!! Ne traîne pas trop ici, garde un peu de suspense pour l'inauguration. Allons dans mon bureau. Je devrais avoir le temps de te montrer la maquette du catalogue.
Nous prenons l'ascenseur et montons à l'étage administratif. Lorsque Vincent ouvre la porte, je suis surprise de découvrir le magnifique panorama qui s'offre à mes yeux.
- C'est beau, n'est-ce pas ?
- Oui, c'est magnifique.
Nous avons une vision époustouflante sur le quartier des confluences. Je reste scotchée contre la vitre. Vincent profite de mon étourdissement pour venir se coller à moi. Je sens son sexe dur contre mes fesses. Ses baisers dans le cou m'enivrent. Une main se faufile sous ma jupe pour se poser sur ma vulve déjà trempée d'excitation. Il sait y faire le salaud. Il m'oblige à me cambrer et à écarter les jambes. Il s'accroupit derrière moi et je sens sa main qui me fouille. Ses doigts stimulent mon bouton et me pénètrent, comme une fourche. Il possède mon périnée. Il agite ses doigts comme le ferait un magicien. Je perds pied. Je m'affole. Je crie, je gémis. Ma tête oscille.
- Oui…. Oui…. Encore !!! Ne t'arrête pas. C'est trop bon. Ouiiii…
Une vague de chaleur m'envahit. Je me crispe. Un puissant orgasme arrive et …. M'emporte.
- Je jouiiiiiiis…
Vincent laisse passer quelques secondes avant de se relever, de défaire sa ceinture et de me pénétrer d'un coup.
- Ahhhh. Tu es brute.
Il ne m'écoute pas. Il me tient par le ventre, sors sa queue et revient à nouveau. Son bassin vient claquer contre mes fesses.
- Ahhhh. Ouiiiiii. Viens. Baise-moi fort. Continue. Bourre-moi. Montre-moi ce dont tu es capable.
Vincent ne se fait pas prier. Il m'attrape par les hanches et me besogne comme un bucheron.
- Ohhhhh…. Ouiiiiiii. Encore !!! Encore. Vas-y !!!!
Mon amant me défonce littéralement. Je sens son pieu épais qui rentre et qui sort avec brutalité. Je me sens défaillir. C'est trop fort. C'est trop bon.
- Ouiiiii. Encore !!!
Excité comme un bouc, Vincent halète. Il me tape sur les fesses et je sens que l'autre main martyrise mon mamelon.
- Aieeeee !!! Non… Ouiiiii. Encore. Fais-moi mal.
Je crie, je pleure, puis d'un coup, je me tends et aussitôt, un nouvel orgasme me traverse le corps. Je jouis… Il n'en faut pas plus à Vincent pour jouir à son tour. Je sens plusieurs jets de semence me remplir l'utérus. Un nouvel orgasme me transporte….
Éreintés, nous tenons à peine debout. Vincent se retire. Une coulée de sperme s'échappe de mon vagin et s'écrase par terre. Vincent réagit rapidement et me tend quelques Kleenex pour que j'évite de salir ma jupe.
Je m'assois quelques instants pour récupérer. Je plane encore. Le paysage m'époustoufle toujours. Je fais quelques photos. Je propose à Vincent de faire un selfie de nous deux devant le panorama. Il se tient contre moi, une main faufilée sous mon chemisier et qui empoigne un sein. Voilà. Je regarde l'heure. 13 heures cinquante. J'appelle un taxi. J'ai dix minutes pour le rejoindre.
Vincent m'embrasse à nouveau. Un baiser tendre et câlin. Je frissonne. Il me fait de l'effet !!!!
Nous sortons du bureau. Je me refais un peu de beauté dans le miroir de l'ascenseur. Nous voilà déjà en bas. Vincent récupère ma valise et m'accompagne au pied de l'escalier. Le taxi arrive. Il m'embrasse encore une fois.
- L'expo débute dans 5 cinq semaines. Je t'attendrai.
Le taxi démarre. Je regarde mes messages. Il y en a deux de Paul, Trois d'Yves et encore un d'Alice. Je leur réponds avec quelques photos. Au moment de ranger mon téléphone, un bip annonce l'arrivée d'un nouveau message. C'est Alex. Je suis arrivé à la gare. Je t'attends. Je lui réponds que je le rejoindrai d'ici quinze-vingt minutes.
Ouf. Quelle débauche d'énergie !!! Mes pensées divaguent. Je souris en repensant à l'olisbos, et à la belle queue de Vincent… Hummm…
Le chauffeur me sort de mes rêveries.
- Nous sommes arrivés Madame.
Je paie. Une fois dehors, j'appelle Alex. Nous nous retrouvons dans le hall de la gare. Il m'offre un café.
- C'est comme ça que nous nous sommes connus, autour d'un café. Tu te rappelles ?
- Oui. Comment je pourrais oublier.
- Ça c'est bien passé avec Vincent ?
Je lui raconte une version courte de ma visite privée au musée.
- Ah, au fait, j'ai une bonne nouvelle à t'annoncer. Je reviens bientôt. Vincent doit m'inviter pour la prochaine exposition consacrée à Corto Maltese. Si nous ne nous voyons pas d'ici là à Montpellier, on devrait se retrouvera à cette occasion. Si tu as envie de me revoir ????!!!!
- Bien sûr que j'ai envie de te revoir. Tu es une des plus belles personnes que j'ai rencontrées dans ma vie.
Alex pose une main sur ma cuisse dénudée et m'embrasse tendrement.
- Je vais devoir y aller. J'espère que cela se passera bien avec Céline.
- Oui. Elle vient le week-end prochain à Lyon. Nous parlerons de notre avenir.
- Allez, je dois y aller. Mon train ne va plus tarder. Prends soin de toi.
- Toi aussi. Mes amitiés à Paul.
Le TGV entre en gare. Je monte dans ma voiture. Je trouve ma place et place ma valise dans le porte bagage. Alex me fait signe quand le train démarre. Je l'embrasse avec la main.
Dans deux heures je serai à Montpellier. Que de choses à raconter à Paul !!!
Je regarde mes messages. J'en ai un de Vincent qui me remercie et qui me souhaite un bon retour, un de Paul qui attend confirmation de mon heure d'arrivée.
Je réponds à Paul et j'envoie un message à Yves pour lui dire que je suis sur la route du retour, que je le remercie à nouveau de m'avoir invitée à passer ces quelques jours à Lyon avec lui et que j'espère le revoir bientôt.
Je prends mon iPad. J'essaie de reprendre la lecture d'un livre déjà commencé, mais le ronronnement du train m'endort….
Voilà un nouveau chapitre de la vie de femme libre d'Éva. Celui-ci a été écrit à la demande de mon maître parisien, Yves. Celui-ci en a écrit quelques lignes. Comme vous pouvez le deviner, cet épisode lyonnais devrait avoir des suites si vous le souhaitez. N'hésitez pas à m'encourager, à me donner des idées et à me proposer d'écrire votre histoire, vos fantasmes, comme je l'ai déjà fait.
Enfin, merci à ma douce amie Olga T. qui accompagne mon écriture et qui me fait la gentillesse de relire avant publication.
- Allez Alice, il faut se lever pour préparer le petit déjeuner. Yves doit préparer ses affaires car il ne repassera pas à l'appartement.
Alice rassemble ses affaires pendant que je prépare le petit déjeuner.
- Si tu veux, je peux te repasser ta robe.
- Non, merci, ce n'est pas la peine. Je vais passer à mon hôtel avant d'aller au séminaire. Je dois également libérer la chambre.
Quand Yves sort de la salle de bain, il prépare sa valise. Alice prend aussitôt sa place.
Le café est prêt. Yves s'assois avec moi.
- Hummm ma soumise. Nous allons nous quitter. Je dois te dire que j'ai adoré nos retrouvailles. Avec Alice, c'était top. Vous m'avez vidé les couilles.
- Tu es trop mignon mon coquin. Je t'ai retrouvé avec plaisir moi aussi. Nous ne devons pas espacer autant nos rencontres. Ta queue me manque !!!
Yves pose sa main sur ma cuisse et embrasse tendrement mon épaule.
- Toi aussi tu me manques. Je te promets de venir vous voir très vite à Montpellier.
- Je te laisse ranger l'appart ? On doit rendre les clés à 11 heures au plus tard.
- Il n'y a pas de problème. Je trainerai juste un peu dans le lit pour conserver ton odeur…
- Et puis, j'ai un rendez-vous au musée pour une visite "très" personnelle. Tu te souviens.
- Oui, Hummmm. Je vois très bien…. Tu me raconteras.
- Bien évidemment. Je te dis tout.
- Au fait, je dois penser à prendre mon billet pour le retour.
- A quelle heure repars-tu ?
- 18 heures. J'arrive à Paris aux environs de 20 heures.
Alice sort de la salle de bain. Elle est nue. Elle enfile sa robe et nous rejoint à table.
- Hummm cela a l'air délicieux. Merci Éva.
Une ambiance un peu morose nous envahit. Nous allons nous quitter… Je décide de changer cela.
- Bon, je voulais vous remercier tous les deux pour les plaisirs et les orgasmes que vous m'avez procurés. Alice, tu as mes coordonnées. J'attends de tes nouvelles. Tu peux venir à Montpellier. Nous ferons du shopping entre filles, voire davantage…
Yves et Alice se lèvent et préparent leurs affaires. Nous nous embrassons tous les trois ensembles. Yves me laisse ses clés.
- Il reste une bouteille au frigo. Tu la ramèneras à Paul.
La porte se referme. Me voilà seule.
Bon, allez, je dois me bouger. J'ouvre la fenêtre. Je range le lit. Je jette à la poubelle tout ce que nous n'avons pas mangé. Je vérifie que mon téléphone et mon iPad sont bien en charge et je vais faire ma toilette.
Me voilà toute propre. Nue, sue le balcon, je prends une dernière tasse de café. Je vois le voisin d'en face qui est toujours fidèle à son poste. Il me fait un signe. Je souris.
Je regarde mon téléphone. J'ai plusieurs messages de Paul et d'Alex. Les deux sont impatients de me voir. Alex me demande à quelle heure je serai à la gare. Paul me demande à quelle heure j'arrive.
Je regarde les horaires. J'ai un train à 15 h 10 qui arrive à 17 h 14. C'est parfait.
Il est 9 heures trente. Si je pars à 10 heures dix, je serai au musée à 10 heures trente. J'envoie un sms à Vincent "Bonjour Vincent. Je pourrai être au musée à 10 heures trente. Est-ce que cela vous convient ? Éva."
Aussitôt, mon téléphone émet un bip. "Je suis ravi de vous revoir Éva. Je vous attends avec impatience. Vincent".
Je préviens Paul de l'heure de mon arrivée, et Alex de l'heure à laquelle je pense arriver à la gare.
Je regarde mes mails et fais un tour sur les sites d'information. Je prépare les affaires que je vais mettre aujourd'hui. Je choisis un chemisier couleur crème en soie et une jupe noire plissée à boutons. Je range mes affaires. Je place la bouteille de Chablis qui reste dans ma valise. Je vérifie la batterie de mon téléphone qui est en charge. Tiens, un message d'Alice "Encore merci ma belle Éva. Je te souhaite un retour agréable. J'espère te revoir très bientôt. Bizzzz. Alice."
Je lui réponds immédiatement "Merci Alice, tu es trop mignonne. J'ai été ravie de te découvrir aussi intimement. A très bientôt. Je compte sur toi. Bises. Éva." J'enregistre son numéro.
Je fais le tour de l'appartement. C'est correct. J'enfile ma robe et mes Louboutin. J'appelle un taxi. Il sera là dans cinq minutes.
Le temps de fermer la porte, de descendre et de mettre les clés dans la boite aux lettres, le taxi est déjà là.
J'envoie un sms à Yves "Bonjour chéri. Je viens de quitter l'appartement. J'ai laissé les clés dans la boite aux lettres. Tu peux avertir le propriétaire. Je suis en route pour le musée… Je t'aime. Ta soumise."
Le trajet est rapide. Me voilà déjà devant l'entrée du musée. Je défais un bouton de ma jupe et un autre de mon chemisier. Je règle le taxi. Je prends ma valise et je descends.
La montée de l'escalier est délicate avec ma valise à la main et ma jupette qui s'envole à cause d'une petite brise friponne. A peine arrivée devant la porte que celle-ci s'ouvre. C'est Vincent.
- Bonjour Éva !!!
Après m'avoir déshabillé d'un regard appréciateur, il se rapproche de moi pour me prendre dans ses bras et m'embrasser.
- Merci d'être venue. Vous êtes magnifiquement sexy, si je peux me permettre…
- Ohhh Vincent. Vous me faites rougir.
- Venez avec moi.
Il prend ma valise et m'ouvre la porte.
- Nous allons laisser votre valise à la consigne.
- Alors, vous repartez déjà ?
- Oui. Toutes les bonnes choses ont une fin. Je dois avouer que votre belle ville m'a laissée une excellente impression et que je reviendrai certainement très vite.
- Suivez-moi. Je vais vous faire une visite "très" privée. Vous en avez envie ?
En disant cela, il m'offre un large sourire et me déshabille à nouveau du regard.
- Mais oui Vincent, je suis venue pour cela. Vous avez su attiser ma curiosité.
- Nous allons visiter les salles qui ne sont pas ouvertes au public. Celles-ci recèlent de véritables trésors que peu de personnes ont pu voir.
Vincent m'entraine dans un dédale de couloirs : un vrai labyrinthe. Mes talons claquent sur le carrelage. A chaque porte, il se rapproche davantage. Puis, en me prenant par la taille, il se penche doucement vers moi, comme pour me faire une confidence.
- La salle que nous allons visiter s'appelle l'enfer. Comme dans la plupart des musées, il y a des salles qui recèlent d'œuvres érotiques. A l'entrée, je vous donnerai des gants. Vous pourrez ainsi, sous mon contrôle manipuler certaines pièces si vous le souhaitez.
- Oh Vincent, vous me gâtez.
- C'est avec plaisir, restez bien près de moi.
C'est ainsi que, enlacés, nous continuons d'avancer. Le souffle de Vincent se fait court. A chaque nouvelle porte franchie, sa main descend pour se trouver maintenant sur mes fesses. Quel coquin. Il ne perd pas de temps.
- Enfin, nous voilà. Voici vos gants. J'espère que vous n'aurez pas trop froid dit-il en regardant mes tétons pointer sous mon chemisier. Nous sommes obligés de maintenir un certain niveau de température et d'humidité pour préserver les œuvres. Je suis là pour vous réchauffer si vous en avez besoin.
La salle est grande. Elle est envahie de statues, de tableaux, de bibliothèques et de vitrines. Vincent me présente quelques pièces. Vincent s'approche d'une statue explicite. Une femme, robe relevée, est allongée sur les cuisses d'un homme dont la main levée ne laisse aucun doute sur ce qu'il fait. Les mains de Vincent s'attardent sur le postérieur de la femme.
- Éva, touchez ces fesses. Ce sculpteur est un génie. On peut sentir le grain de la peau de la soumise qui frissonne.
Joignant le geste à la parole, il me prend la main et la garde pour accompagner mes caresses. L'effet est saisissant. Vincent est derrière moi. Je peux sentir son sexe dur contre mes fesses. Je sens son souffle contre ma nuque.
- Qu'en pensez-vous ? C'est troublant, n'est-ce-pas ? Comme cette femme, êtes-vous une adepte de la fessée ?
Nous restons immobiles. La proximité de Vincent associé aux vertus érotiques de cette statue, me chauffent le bas ventre. Mes jambes flageolent.
- Vous devez savoir Vincent que nous les femmes, nous avons et des comportements et des attitudes complexes. Ce que nous aimons un instant, nous pouvons le détester ultérieurement, et réciproquement. Je me souviens d'avoir obtenu de beaux orgasmes lors de fessées appliquées de mains de maître… D'autres fois, je ne ressens que de la douleur.
Vincent s'enhardit. Une main s'empare de mon sein et ses doigts malaxent mes mamelons.
- Humm. Je sens votre trouble. Moi aussi, je ressens une tension électrique. Vous pouvez le constater…
Tout en conservant ma main dans la sienne, Vincent la porte sur sa braguette.
- Ohhh. Voilà qui est prometteur. Vous m'enivrez avec vos belles paroles et vos œuvres érotiques. Hummm, une fessée, pourquoi pas ? Vous sauriez me donner un orgasme si je reviens vous voir ?
- Ce serait avec un très grand plaisir.
Sa main abandonne mon sein pour se faufiler sous ma jupe et palper mes fesses nues.
- Quel cul callipyge !!! Vous me faites perdre la tête Éva.
Me retournant, j'embrasse furtivement Vincent sur la bouche.
- Vous continuez la visite avant que celle-ci ne dérape trop vite ?
Vincent met quelques secondes pour revenir à lui et se reprendre.
- Oh oui. Excusez-moi, je me laisse emporter par votre sensualité. Venez voir par ici. Vous avez des ouvrages rares dans leurs versions originales. Voici les contes des mille et une nuits. Voici un résumé de l'histoire. Le sultan Shahryar, en représailles à la suite de l'infidélité de son épouse, la condamne à mort et, afin d'être certain de ne plus être trompé, il décide de faire exécuter chaque matin la femme qu'il aura épousée la veille. Shéhérazade, la fille du grand vizir, se propose d'épouser le sultan. Aidée de sa sœur, elle raconte chaque nuit au sultan une histoire dont la suite est reportée au lendemain. Le sultan ne peut se résoudre alors à tuer la jeune femme ; il reporte l'exécution de jour en jour afin de connaître la suite du récit commencé la veille. Peu à peu, Shéhérazade gagne la confiance de son mari et finalement, au bout de mille et une nuits, il renonce à la faire exécuter. De multiples versions ont été écrites, dont certaines avec des illustrations érotiques.
Vincent m'entraina vers une table-vitrine où des objets érotiques étaient exposés. Ce sont des godemichets, de toutes tailles, dont certains très impressionnants. Ils ont fabriqués à l'aide de matériaux très différents et ciselés par des artistes.
Vincent ouvre la vitrine et cale la vitre.
- Je vous laisse les toucher. Je veux voir ceux qui vous attirent.
Positionné derrière moi, Vincent me tient les hanches. Je sens le souffle de sa bouche dans son cou. Alors que je tends la main pour attraper un des plus gros spécimens, Vincent glisse une main sous ma jupe pour venir la plaquer sur mon sexe. Ce geste me tétanise. Je me tends. Ma vulve est déjà bien trempée et il ne peut pas l'ignorer. Mes mains caressent délicatement l'olisbos démesuré. Mes gestes semblent exciter Vincent qui m'embrasse maintenant dans le cou. Son souffle est court. Sa gorge est sèche.
- Hummmm. Je vois que vous êtes une connaisseuse. C'est une pièce orientale du XIIème siècle. Elle a défoncé de nombreuses femmes pour leur plus grand plaisir. Je suis sûr que ses dimensions ne vous effraient pas. C'est dommage que je ne puisse vous en faire profiter. J'ai autre chose pour vous satisfaire.
Sa main s'agite et branle mon bouton terriblement excité par le contexte. Son autre main est revenu se glisser sous mon chemisier s'approprier mon sein et étirer mon téton. Je perds pied. Je secoue ma tête dans tous les sens.
- Ouiiiiii. Encore. Aie. Non… Ouiiii. Je viens, je viens….Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Un terrible orgasme m'emporte. Mes jambes me lâchent. Vincent m'enserre fortement pour me maintenir debout. Je repose l'objet dans la vitrine et me retourne pour embrasser Vincent. Ma langue, conquérante, prend possession de sa bouche. Elle s'enroule autour de la sienne et s'amuse à la titiller comme elle le ferait avec son gland. Je décolle ma bouche de la sienne dans un bruit de succion. De la salive coule à la commissure de nos lèvres. Un fil fin relie nos deux bouches. Nous sourions.
Je m'accroupis et entreprend de défaire la ceinture du pantalon pour sortir la queue à l'étroit. Elle sort d'un coup, comme mue par un ressort. Je prends ses bourses dans mes mains gantées de coton. Je les caresse, les malaxe. D'un doigt je titille son anus. Vincent se cambre. Ma bouche s'approche doucement de son gland déjà décalotté. Je souffle délicatement sur le méat qui s'ouvre davantage et laisse perler une goutte pré-séminale que j'aspire délicatement. J'enroule ma langue autour de son gland. Ma bouche l'embrasse. Je le lèche et lui titille le méat à petits coups de langue, puis j'ouvre grand ma bouche pour avaler totalement le gland. Je le garde ainsi, mes lèvres serrées et ma langue joueuse continue d'endiabler Vincent. Ma bouche, toujours fermée, je mordille la base du gland, puis le lèche. J'alterne ainsi à plusieurs reprises avant de sortir sa queue de ma bouche.
Je commence alors à lécher celle-ci de bas en haut Je la recouvre de salive. Elle est dure, grosse, tendue et luisante. Un vrai sucre d'orge bien baveux. Je peux alors avaler lentement la tige dans ma gorge. Une fois entièrement avalée, ma bouche touche mes doigts qui malaxent toujours ses testicules.
Vincent, excité par ma gorge profonde, grogne de plaisir. Il m'attrape la tête avec ses mains et, lentement, il donne le rythme à ma caresse buccale. Il baise ma bouche, délicatement et alterne les va et vient. Je sens son pieu qui grossit encore davantage. Il ne va pas tarder à venir. Ses râles se rapprochent. Il ahane, il gémit…
- Ouiiiiiii, je viens. Ouiiiii…
Et dans une ultime crispation, Vincent laisse fuser plusieurs jets de crème épaisse au fond de ma gorge. Malgré la sensation d'étouffement, je garde sa queue le plus longtemps possible, avant de la sortir pour déglutir et reprendre ma respiration. Du sperme continue à sortir et se répand sur mes doigts.
Une fois remise, je lèche mes doigts, puis regobe le gland pour aspirer la crème qui s'écoule encore. Je reste ainsi quelques minutes à profiter de cette queue que j'ai aimée et qui m'a offert une crème séminale si délicieuse et si abondante.
C'est avec des crampes aux cuisses que je me relève. Vincent m'aide et m'embrasse fougueusement.
- Ouffff. Merci Éva. Tu m'as coupé les jambes. Tu m'as surtout fait jouir comme rarement.
Nous nous rajustons. Je donne un kleenex à Vincent pour qu'il évite de se tacher. Nous nous sourions, heureux du plaisir vécu.
- Je te propose d'aller au restaurant reprendre quelques forces. Quelle est l'heure maxi à laquelle tu dois quitter le musée ?
- 14 heures.
- Ne trainons pas.
- Oui, juste une seconde. J'aimerais photographier ce bel olisbos qui m'a tant impressionné.
Nous voilà maintenant installés au restaurant. Nous sommes assis côte à côté. Vincent pose une main sur ma cuisse. Il commande deux menus du jour et une bouteille de Chablis. Nous bavardons. Sa main me caresse affectueusement. Nous parlons de notre vie personnelle. Nos époux, nos enfants. Vincent a le bon goût de ne pas m'interroger sur les infidélités faites à mon mari. Nous évoquons nos passions. Vincent est cinéphile. Je parle de mon amour pour la musique, les livres et les bandes dessinées.
- Tiens, tu parles de bandes dessinées. Je suis sûr que tu connais Corto Maltese d'Hugo Pratt.
- Oui, j'adore. Pourquoi ?
- Parce que dans quelques semaines nous allons organiser une expo "Corto Maltese". Tu me laisseras tes coordonnées. Je t'enverrai une invitation spéciale pour l'inauguration.
- C'est génial. Je ne sais pas comment te remercier.
- On verra quand tu viendras. J'ai quelques idées, dont une petite fessée, tu te rappelles…?
- Mummmm. J'ai hâte de revenir alors.
- En attendant, si nous nous dépêchons de finir notre repas, je peux te montrer la salle où nous avons stocké le matériel pour l'expo. Ce sera grandiose.
Nous prenons notre café. Il est 13 heures quinze.
- Allons-y.
Vincent m'emmène à nouveau dans un dédale de couloirs. Nous sommes seuls. Il me serre contre lui. Subrepticement, il me pelote les fesses.
- Hummm… Quel fessier callipyge !!! J'adore ton cul ma belle.
- Je vois ça. Et moi, j'adore ta queue. On est quitte !!!!
Nous arrivons enfin dans une immense salle où trônent de multiples décors. J'aperçois un immense Corto Maltese. Il est magnifique. Je ne peux m'empêcher de le photographier. Je retrouve tout l'univers de Corto. J'en ai le tournis.
- C'est superbe. J'ai hâte de voir cette expo. En parlant d'héros de bandes dessinées, j'ai été frustrée de rater l'exposition consacrée à Guido Crepax à Milan. On ne peut évoquer la bande dessinée érotique sans parler de Crepax et de Manara.
- Tu as raison. Voilà un beau thème d'exposition : l'érotisme dans la bande dessinée !!! Ne traîne pas trop ici, garde un peu de suspense pour l'inauguration. Allons dans mon bureau. Je devrais avoir le temps de te montrer la maquette du catalogue.
Nous prenons l'ascenseur et montons à l'étage administratif. Lorsque Vincent ouvre la porte, je suis surprise de découvrir le magnifique panorama qui s'offre à mes yeux.
- C'est beau, n'est-ce pas ?
- Oui, c'est magnifique.
Nous avons une vision époustouflante sur le quartier des confluences. Je reste scotchée contre la vitre. Vincent profite de mon étourdissement pour venir se coller à moi. Je sens son sexe dur contre mes fesses. Ses baisers dans le cou m'enivrent. Une main se faufile sous ma jupe pour se poser sur ma vulve déjà trempée d'excitation. Il sait y faire le salaud. Il m'oblige à me cambrer et à écarter les jambes. Il s'accroupit derrière moi et je sens sa main qui me fouille. Ses doigts stimulent mon bouton et me pénètrent, comme une fourche. Il possède mon périnée. Il agite ses doigts comme le ferait un magicien. Je perds pied. Je m'affole. Je crie, je gémis. Ma tête oscille.
- Oui…. Oui…. Encore !!! Ne t'arrête pas. C'est trop bon. Ouiiii…
Une vague de chaleur m'envahit. Je me crispe. Un puissant orgasme arrive et …. M'emporte.
- Je jouiiiiiiis…
Vincent laisse passer quelques secondes avant de se relever, de défaire sa ceinture et de me pénétrer d'un coup.
- Ahhhh. Tu es brute.
Il ne m'écoute pas. Il me tient par le ventre, sors sa queue et revient à nouveau. Son bassin vient claquer contre mes fesses.
- Ahhhh. Ouiiiiii. Viens. Baise-moi fort. Continue. Bourre-moi. Montre-moi ce dont tu es capable.
Vincent ne se fait pas prier. Il m'attrape par les hanches et me besogne comme un bucheron.
- Ohhhhh…. Ouiiiiiii. Encore !!! Encore. Vas-y !!!!
Mon amant me défonce littéralement. Je sens son pieu épais qui rentre et qui sort avec brutalité. Je me sens défaillir. C'est trop fort. C'est trop bon.
- Ouiiiii. Encore !!!
Excité comme un bouc, Vincent halète. Il me tape sur les fesses et je sens que l'autre main martyrise mon mamelon.
- Aieeeee !!! Non… Ouiiiii. Encore. Fais-moi mal.
Je crie, je pleure, puis d'un coup, je me tends et aussitôt, un nouvel orgasme me traverse le corps. Je jouis… Il n'en faut pas plus à Vincent pour jouir à son tour. Je sens plusieurs jets de semence me remplir l'utérus. Un nouvel orgasme me transporte….
Éreintés, nous tenons à peine debout. Vincent se retire. Une coulée de sperme s'échappe de mon vagin et s'écrase par terre. Vincent réagit rapidement et me tend quelques Kleenex pour que j'évite de salir ma jupe.
Je m'assois quelques instants pour récupérer. Je plane encore. Le paysage m'époustoufle toujours. Je fais quelques photos. Je propose à Vincent de faire un selfie de nous deux devant le panorama. Il se tient contre moi, une main faufilée sous mon chemisier et qui empoigne un sein. Voilà. Je regarde l'heure. 13 heures cinquante. J'appelle un taxi. J'ai dix minutes pour le rejoindre.
Vincent m'embrasse à nouveau. Un baiser tendre et câlin. Je frissonne. Il me fait de l'effet !!!!
Nous sortons du bureau. Je me refais un peu de beauté dans le miroir de l'ascenseur. Nous voilà déjà en bas. Vincent récupère ma valise et m'accompagne au pied de l'escalier. Le taxi arrive. Il m'embrasse encore une fois.
- L'expo débute dans 5 cinq semaines. Je t'attendrai.
Le taxi démarre. Je regarde mes messages. Il y en a deux de Paul, Trois d'Yves et encore un d'Alice. Je leur réponds avec quelques photos. Au moment de ranger mon téléphone, un bip annonce l'arrivée d'un nouveau message. C'est Alex. Je suis arrivé à la gare. Je t'attends. Je lui réponds que je le rejoindrai d'ici quinze-vingt minutes.
Ouf. Quelle débauche d'énergie !!! Mes pensées divaguent. Je souris en repensant à l'olisbos, et à la belle queue de Vincent… Hummm…
Le chauffeur me sort de mes rêveries.
- Nous sommes arrivés Madame.
Je paie. Une fois dehors, j'appelle Alex. Nous nous retrouvons dans le hall de la gare. Il m'offre un café.
- C'est comme ça que nous nous sommes connus, autour d'un café. Tu te rappelles ?
- Oui. Comment je pourrais oublier.
- Ça c'est bien passé avec Vincent ?
Je lui raconte une version courte de ma visite privée au musée.
- Ah, au fait, j'ai une bonne nouvelle à t'annoncer. Je reviens bientôt. Vincent doit m'inviter pour la prochaine exposition consacrée à Corto Maltese. Si nous ne nous voyons pas d'ici là à Montpellier, on devrait se retrouvera à cette occasion. Si tu as envie de me revoir ????!!!!
- Bien sûr que j'ai envie de te revoir. Tu es une des plus belles personnes que j'ai rencontrées dans ma vie.
Alex pose une main sur ma cuisse dénudée et m'embrasse tendrement.
- Je vais devoir y aller. J'espère que cela se passera bien avec Céline.
- Oui. Elle vient le week-end prochain à Lyon. Nous parlerons de notre avenir.
- Allez, je dois y aller. Mon train ne va plus tarder. Prends soin de toi.
- Toi aussi. Mes amitiés à Paul.
Le TGV entre en gare. Je monte dans ma voiture. Je trouve ma place et place ma valise dans le porte bagage. Alex me fait signe quand le train démarre. Je l'embrasse avec la main.
Dans deux heures je serai à Montpellier. Que de choses à raconter à Paul !!!
Je regarde mes messages. J'en ai un de Vincent qui me remercie et qui me souhaite un bon retour, un de Paul qui attend confirmation de mon heure d'arrivée.
Je réponds à Paul et j'envoie un message à Yves pour lui dire que je suis sur la route du retour, que je le remercie à nouveau de m'avoir invitée à passer ces quelques jours à Lyon avec lui et que j'espère le revoir bientôt.
Je prends mon iPad. J'essaie de reprendre la lecture d'un livre déjà commencé, mais le ronronnement du train m'endort….
Voilà un nouveau chapitre de la vie de femme libre d'Éva. Celui-ci a été écrit à la demande de mon maître parisien, Yves. Celui-ci en a écrit quelques lignes. Comme vous pouvez le deviner, cet épisode lyonnais devrait avoir des suites si vous le souhaitez. N'hésitez pas à m'encourager, à me donner des idées et à me proposer d'écrire votre histoire, vos fantasmes, comme je l'ai déjà fait.
Enfin, merci à ma douce amie Olga T. qui accompagne mon écriture et qui me fait la gentillesse de relire avant publication.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Effectivement on peut aimer plusieurs personnes Olga en est 1 exemple.
Mais de là à dire ça à son amant il y a 1 marge.
Après chacun son point de vu.
Question libérée si je pouvais je le serai bien plus.
Mais de là à dire ça à son amant il y a 1 marge.
Après chacun son point de vu.
Question libérée si je pouvais je le serai bien plus.
Chère So, tu me fais rougir pour un exercice bien agréable de relecture, je dirai un
privilège qui me permet de découvrir en avant-première.
Par expérience et par similitude, je dirai que l'amour d'Eva, avec un grand A, c'est
évidemment Paul, qui lui permet de vivre tout cela
privilège qui me permet de découvrir en avant-première.
Par expérience et par similitude, je dirai que l'amour d'Eva, avec un grand A, c'est
évidemment Paul, qui lui permet de vivre tout cela
Je reconnais bien la ma charmante et vicieuse Soumise...!! dire qu'elle aime le sexe est un
euphémisme, elle ne l'aime pas, elle l'adore, et je peux vous le confirmer !!
Très belle histoire où l'on imagine parfaitement cette coquine profiter de la vie. Bravo au
talent de l'auteur et à son imagination pas tout à fait imaginaire........!
Bisesssssssssss
euphémisme, elle ne l'aime pas, elle l'adore, et je peux vous le confirmer !!
Très belle histoire où l'on imagine parfaitement cette coquine profiter de la vie. Bravo au
talent de l'auteur et à son imagination pas tout à fait imaginaire........!
Bisesssssssssss
Réponse à la lectrice qui a écrit : "Donc Paul la laisse libre de baiser et elle le
trahit en disant je t’aime à Yves. Bravo quel respect de sa part."
Non, ma belle, pas du tout. Le seul amour d’Éva est Paul. On peut aimer différemment. On
peut aimer plusieurs personnes à la fois. Eva vit avec Paul. Elle aime Yves, comme elle
aime d'autres amants (voir le prochain récit). Si on ne comprend pas cela, on ne peut pas
se libérer.
Merci pour votre message. Sofie34fr
trahit en disant je t’aime à Yves. Bravo quel respect de sa part."
Non, ma belle, pas du tout. Le seul amour d’Éva est Paul. On peut aimer différemment. On
peut aimer plusieurs personnes à la fois. Eva vit avec Paul. Elle aime Yves, comme elle
aime d'autres amants (voir le prochain récit). Si on ne comprend pas cela, on ne peut pas
se libérer.
Merci pour votre message. Sofie34fr
Donc Paul la laisse libre de baiser et elle le trahit en disant je t’aime à Yves.
Bravo quel respect de sa part.
Bravo quel respect de sa part.
Oh vous ne pouvez avoir mieux comme conseillère attitrée pour ce genre de publication.