Exhib aux Sables d’Olonne
Récit érotique écrit par Castajl1 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 28 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Castajl1 ont reçu un total de 103 061 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 924 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Exhib aux Sables d’Olonne
Je me prénomme Gaël, tourangeau, cheveux châtains coupés courts, yeux verts, 1,75m pour 63Kg.
En Août 2020, alors que je venais de fêter mes 19 ans, nous décidons avec mon super pote Damien, 18 ans dans quelques jours, très brun, cheveux ondulés mi-longs, le teint méditerranéen, 1,71m, 60Kg, de partir quinze jours aux Sables d’Olonne avec deux proches copines Lisa et Chloé, je dis bien proches copines !
Afin que les choses soient claires, Damien et moi ne sommes pas maqués, nous sommes libres comme l’air et pratiquons tous les deux la bisexualité sans tabou ni retenue et très souvent ensemble, nous sommes par ailleurs versatiles tous les deux.
Nous nous sommes découverts ainsi ensemble à l’âge de 15 et 16 ans au cours d’une soirée chaude et fortement alcoolisée… après avoir dragué chacun une nana, nous avons fini tous à poil et par nous faire des mecs du même âge quand la soirée s’était terminée en partouze géante sur la pelouse, nous étions alors une quinzaine… c’était chez un pote de Damien près de Chenonceau en plein été… un grand bordel à ciel ouvert !
Cette soirée fut certainement une révélation pour nous deux, puisque nous continuons depuis trois ans de pratiquer nos égarements côté mecs ou gonzesses sans préférence… Et je dois avouer que le corps de mon pote n’a plus aucun secret pour moi… et le mien pour lui non plus.
Quant à nos copines Lisa, 18 ans et Chloé 21 ans, nous les avions rencontrées lors d’un mariage il y a six mois, nous avons de suite sympathisé, nous avons même été jusqu’à leur parler de nos orientations bi au cours d’un pot pris tardivement en terrasse d’un bar de Tours, ce qui au départ les avait surprises et dans la foulée nous avaient avoué être toutes deux lesbiennes.
Après ces révélations intimes, nous avions conclu d’un commun accord de nous voir régulièrement en tant qu’amis et relations de loisirs, puisqu’à priori il y avait peu de chance pour qu’il se passe une aventure entre nous.
Il y a deux mois nous avions évoqué avec elles notre projet de partir quelques jours aux Sables d’Olonne en été, c’est donc naturellement que nous leur avons proposé de venir avec nous… En tout bien, tout honneur, il va de soi !
Damien et moi avions bossé tout le mois de Juillet ensemble dans un bar-restaurant de Tours, ce qui nous avait permis de regonfler nos maigres finances.
Les filles en avait fait de même en bossant dans un supermarché toutes les deux de fin Juin à mi-Juillet.
Nous sommes donc partis tous les quatre dans ma Clio remplie à bloc, nous allions camper sous ma grande tente dans un camping naturiste.
Deux bi et deux lesbiennes ??? Un cocktail pas forcément gagnant… On verra bien, nous aimions la difficulté avec Damien !
Je ne détaillerai dans ce récit, que quelques aventures cocasses, car évidemment ces deux semaines ont été chargées (voire déchargées souvent), de notre côté mais aussi du côté de nos charmantes goudous qui venaient pour s’éclater.
Autant je m’étais questionné sur le choix judicieux de partir tous les quatre pendant quinze jours, qu’en fait je dois reconnaître que ce fut des vacances de rêve, ces quinze jours nous ont permis de nous découvrir, nous dévoiler, nous mettre à nu au sens propre comme au figuré !
Nous avions décidé que nos discussions seraient ouvertes et sans tabou, que nous vivrions le plus souvent à poil, que nos ébats et choix sexuels ne devraient pas être un frein à notre vie en commun, c’est ainsi que nous nous sommes découverts un point commun… nous aimions évidemment le nudisme, mais aussi l’exhibitionnisme et tous les quatre étions un brin fétichistes !
La tente, bien que grande n’était pas non plus un palais… Nous vivions dans une certaine promiscuité qui nous convenait parfaitement. Nous vivions donc la plupart du temps en tenues d’Adam et Êve ou alors avec le minimum sur le cul pour notre plus grand plaisir.
J’adorai regarder les abricots bien épilés de nos colocataires le matin au réveil, ainsi que leurs fesses lisses et légèrement rebondies… Un vrai régal !
Bien que lesbiennes, nos deux nanas ne manquaient pas de nous mettre en boite avec nos services trois pièces ou nos petits culs de pédés et rigolaient en voyant nos « quéquettes » à géométrie variable en fonction des heures de la journée…
Elles n’avaient pas non plus, osé comparer la longueur différente de nos zobs et la configuration légèrement différente de nos couilles, elles savaient se tenir !
Malgré tout, le premier mercredi au réveil du matin, nos « colocs » avaient voulu vérifier de visu si les érections matinales des mecs étaient une légende ou pas… Elles n’ont pas été déçues et ont eu la réponse en entrant dans notre coin dortoir, nous étions tous les deux allongés sur le dos et bien raides au réveil !
Arrivant par surprise, elles se sont esclaffées toutes les deux et Lisa nous lanca :
- Whaoouuuu mais c’est donc vrai, les mecs bandent en se réveillant… Quel spectacle !
Je réponds :
- Eh oui ! C’est con pour vous les filles… Vous allez vous priver bêtement de nos bites, elles valent pourtant mieux que vos godes en silicone !
Chloé, ne quittant pas nos membres des yeux me répond :
- Moi je ne suis pas contre pour vous sucer tous les deux mais pas plus !
Il n’en fallait pas plus pour nous mettre du baume au cœur en guise de petit déj ! Nous étions ravis de cette proposition totalement honnête et spontanée !
Lisa rajoute :
- OK les mecs… mais pas plus on est d’accord… et avec du miel et elle part aussitôt chercher un tube de miel posé sur la table de camping.
Les nanas toutes excitées devant nos « godes » en chair (et en os), certes moins gros que leur préféré de 20x5 en silicone rose bonbon… Lisa vint presser le tube et nous enduit nos bites de miel bien coulant qui descend jusqu’à nos couilles, elle en remet en quantité abondante sur nos deux glands bien décalottés… et sans attendre nos deux cochonnes enfournent nos queues goulument !
Lisa suçant la mienne et Chloé celle de Damien… Elle prenait leur petit déjeuner diététique et vitaminé !
Je leur dis enthousiaste :
- Pour des gouines vous pomper bien les bites les filles, il faudra penser à vous reconvertir !!!
Damien renchérit :
- Ce n’est peut-être pas nos queues qui les font mouiller, mais le miel d’acacia… En attendant elles butinent à merveilles nos petites abeilles !
Nos deux lesbiennes en avaient plein la bouche et léchaient tout le miel jusque sur nos couilles rasées de près… Quel réveil !
Après dix minutes de fellations mielleuses, Damien leur dit :
- Bon les filles, il serait bien de changer de partenaire maintenant !
Chloé s’emparant du tube de miel, vient nous emmieller nos teubs toujours droites et bien humides de leur salive.
Le changement d’équipe s’est fait en parfaite synchronisation… Décidemment elles aiment le miel les petites !
En me faisant sucer par Chloé qui avait un super coup de langue, je me demandais si un clito au miel n’était pas envisageable ces prochains jours ?
Chloé nous avoua qu’il y avait bien cinq ans qu’elle n’avait pas fait une gâterie à un mec, quant à Lisa c’était une première.
Les jours s’écoulaient dans l’harmonie, le « lâcher prise », le sexe et les délires.
Parfois les nanas partaient faire des emplettes ou bronzer sur la plage en toute liberté et parfois on décidait de partager nos activités.
L’une des activités fétiches de notre quatuor était d’exhiber nos sexes de façon insolite et furtive en ville ou sur la plage et voir comment les gens réagissaient.
Un jour nous partons faire le marché, Damien et moi en short volontairement très large sans sous-vêtement dessous et un tee-shirt puis Lisa et Chloé en jupes d’été ultra légères, très ras du cul et semi-transparentes et bien sûr sans culotte ni soutif…
Nous leur avions fait remarquer que leur tenue nous foutait la trique, Chloé nous avait alors répondu ironiquement qu’elle n’était pas étonnée, car quand elle la mettait… son gode bandait tout seul sur la table de nuit !
Ce genre de réflexion agrémentait nos journées et nos soirées, un rien nous faisait partir en live.
Nous nous installons ainsi à la terrasse surélevée d’un café près du marché, nous l’avions repérée avec Damien quelques jours auparavant, sa configuration faisait qu’elle surplombait le trottoir plus bas, les passants se trouvant ainsi à la hauteur de nos entrejambes.
Nos nénettes commencent par croiser les jambes bien bronzées, le regard des hommes passant sur le trottoir était significatif, les cuisses et les gambettes de nos demoiselles avaient du succès… mais ce n’était que le début !
Damien et moi entamons notre position d’attente, jambes bien écartées et là immanquablement notre bite où nos couilles s’offraient à la vue furtive des passants, il n’a pas fallu attendre longtemps pour voir les femmes apercevoir nos organes génitaux et aussitôt baisser la tête, d’autres insistantes ne voulaient rien manquer… une, sembla outrée aux côtés de son mari.
Nous, nous en jouions en écartant encore un peu plus, quitte à replacer le matos correctement, certains mecs semblaient apprécier insistant leur regard entre nos cuisses, un mec qui avait tout d’une tantouse avec un short moulant rose et un tee-shirt crop-top jaune poussin laissant apparaître ses abdos bien bronzés, a carrément sorti son smartphone pour nous prendre en photo et nous a fait un mouvement de langue qui voulait tout dire en levant son pouce… Il aurait donné cher pour y glisser sa main ce petit pédé !
Pour compléter notre provoc en public les nanas décident d’écarter leurs jambes en remontant délicatement leur jupette, ainsi la vue pour les passants ne pouvait être plus excitante !
Il n’a pas fallu une minute pour que les mecs soient subjugués par ce spectacle gratuit et insolite, certains n’avaient aucune discrétion pour mater les chattes rasées de nos jeunes goudous, ils s’arrêtaient presque, les femmes ou filles n’étaient pas en reste, à nous quatre nous assurions l’animation, nous avons assuré ce numéro tous les deux à trois jours et toujours avec autant de succès.
Un jour le serveur habituel est venu me voir et discrètement à l’oreille me dit :
- Nous avons bien repéré votre numéro d’exhibitionnisme avec mon patron, mais on vous laisse faire… ça met un peu d’animation et la terrasse du café d’en face ne désemplit pas… et comme c’est le même patron … il n’est pas contre… Ça remplace avantageusement la vue sur l’océan que nous n’avons pas dans cette rue !!!
Nous nous délections tous les quatre de ce petit jeu d’exhibition gratuite et la satisfaction des voyeurs occasionnels, parfois Lisa et Chloé se faisaient une autre terrasse, poussant plus loin la plaisanterie… en se roulant une pelle jambes bien écartées !
Moi et Damien c’est sur la plage que nous aimions bronzer avec nos shorts extra larges, écartant nos cuisses comme il fallait, on attirait autant les regards des femmes que celles des hommes… et c’était bien le but nous concernant, mettre en émoi aussi bien les sens des mecs que ceux des nénettes !
Il fallait parfois contenir nos érections, certains mecs n’hésitant pas à se passer la main sur le paquet de leur maillot de bain pour nous signifier leur approbation.
Un couple gay, tous deux en mini-slips de bain ayant repéré notre entrejambe accueillant, se sont approchés et nous ont dit leur plaisir de vivre ce spectacle d’exhib au milieu de la plage et nous ont demandé s’ils pouvaient prendre un ou deux clichés, ce que nous avons acceptés sans nous faire prier… Nos burnes seront dans leur galerie de portraits…
Le soir au camping, nos voisins devaient nous imaginer en couples hétéros, mais devaient être un peu déboussolés en voyant Lisa et Chloé se rouler une pelle ou se caresser les fesses.
Alors pour les perturber encore un peu plus… certains soirs on se roulait une galoche bien baveuse avec Damien tous les deux la queue à l’air devant la tente.
Nous enduisions aussi nos corps de crème solaire, profitant dans le même temps de pratiquer des caresses très très intimes, mec sur mec, nana sur mec, mec sur nana, nana sur nana dans la plus grande liberté et au vu de tous de préférence, en insistant longuement sur nos entrejambes.
Les nuits sous la tente étaient plutôt chaudes et animées, un soir les filles étaient super excitées, après plus d’une heure de caresses, d’embrassades profondes, de bouffage de clito, elles décidèrent de se goder en nous invitant à profiter de ce moment intime.
Évidemment nous acceptons sans rechigner, nous arrivons dans leur compartiment secret tous les deux à poil la queue bien reposée et impatients de voir l’introduction du gode dans leurs chattes humides.
Elles avaient étalé leur collection de godes, de toutes tailles, toutes formes aux couleurs variées près d’un tube de gel.
Je leur dis :
- Quel attirail !... Pour nous c’est plus simple… On le trimballe avec nous et il est disponible 24h/24 et 7j/7 !
Elles se marrent, mais nous les sentons bien chaudes et excitées, Chloé enduisit de gel un gode couleur chair bien veiné d’environ 15x4, qu’elle présenta devant la chatte de Lisa qui écartait les jambes exagérément, le clito bien malaxé auparavant et grand ouvert, joua avec le gode en lui enfonçant tout juste le bout, puis entre les cuisses en lui doigtant la chatte puis introduisit l’engin en elle, le gode fut avalé d’un seul coup… Quel appétit !
Et Chloé assura des vas et vient de plus en plus rapides et intenses, elle se malaxait les seins vigoureusement en même temps, Damien et moi nous paluchions à leurs côtés, Lisa gémissait de plaisir, Chloé sortant le gode, le prend en bouche et le remis aussitôt dans la chatte de sa copine qui maintenant criait, elle devait ameuter les autres campeurs, la séance de godage dura bien une demi-heure, le clito de Lisa bavait une mousse blanche d’extase que Chloé léchait et avalait au fur et à mesure… Damien éjacula dans ses mains mais son sperme coulait entre ses doigts, moi je pris le même chemin en larguant ma purée sur un tee-shirt que je venais de récupérer… quel chantier et quelle frustration pour nous les mecs, mais aussi quel spectacle voir deux lesbiennes prendre leur pied dans cette chaleur devenue insupportable sous cette tente de toile.
Après que chacun ai repris ses esprits, nous avons dépoté deux bouteilles de Coca bien frais dehors sous les étoiles… Le silence était revenu et les filles sirotaient en se titillant les tétons bien pointus !
Une autre soirée fut mémorable c’est le soir où nous avons fêté l’anniversaire de Damien, nous avions la chance qu’effectivement ces 18 ans tombent durant nos vacances, moi et les filles avions convenu de lui faire un cadeau insolite pour cet anniversaire particulier… sa majorité civile !
Damien avait retenu une table dans une crêperie pour l’événement.
Le dîner dans la crêperie fut bien animé, nos nénettes n’ont pas arrêté de se caresser l’abricot durant tout le repas et nous invitaient à en profiter en nous penchant à tour de rôle sous la table, leurs jupes courtes et pas de culotte facilitait la manœuvre.
Elles nous chauffaient tellement ces petites goudous, qu’on a fini par se masturber discrètement et alors là c’est elles qui passaient la tête sous la table… heureusement nous étions dans un recoin assez protégé des regards… enfin presque car un couple avait découvert notre manège et semblait s’en amuser… Il faut bien que jeunesse se passe.
Bref nous décidons de rentrer au camping vers 23h30 et annonçons à Damien que nous avions un cadeau pour lui.
Surpris et content il prit le paquet que lui tendait Lisa.
- C’est de la part de nous trois, dit-elle.
Damien après nous avoir remercier, commença à ouvrir le paquet rose fushia :
- Une petite culotte de nana en dentelles noires hyper sexy,
- Une paire de bas résille noirs,
- Un porte-jarretelles noir.
Il nous regarde et dit :
- Merci, mais c’est quoi ce délire ?
Moi en rigolant :
- On connaît l’un de tes fantasmes mon petit père, alors tu vas enfiler tout ça histoire de voir comment ça te va, la taille est bonne, les filles s’en sont assurées.
Damien dépité :
- Non mais je rêve, vous voulez me voir en tenue de pute ? Ça craint !!! Bon OK… je m’exécute.
Il part dans le coin des filles se changer et revient rapidement avec sa tenue de nana, ces cheveux ondulés mi-longs s’harmonisaient bien avec sa tenue aguicheuse d’hôtesse de club privé.
Sa petite culotte de dentelles était trop juste pour cacher son paquet, son gland dépassait de la ceinture et la peau de ses couilles débordaient de chaque côtés…par contre son petit cul était parfait dedans hummm, les bas résille sur ces jambes relativement fines et peu poilues lui allaient super bien et bien tendus par le porte-jarretelles... Une vraie petite pute mon Damien.
Chloé lui lance :
- Tu me fais mouiller petite salope, en lui caressant les fesses et l’entrejambe.
Lisa rajoute :
- Mon pauvre Gaël te voilà avec trois gouines ce soir, tu n’as plus qu’à te palucher en solo, elle rigole à en perdre haleine.
Moi entre rire et excitation :
- Cette tenue te va super bien ma poule, j’ai une forte envie de t’enculer là, maintenant… Et je lui mets la main au paquet et l’embrasse fougueusement.
Les filles en pleines excitation et heureuses de leur cadeau viennent lui lécher les seins, lui mettent la main au cul, puis au paquet, et lui roulent une pelle chacune en suivant, la petite culotte de dentelles ne pouvant plus contenir la teub de Damien, elle dépassait maintenant de 7 à 8 cm, le gland bien décalotté.
Je lui demande alors de se foutre à quatre pattes, je sais qu’il adore être pris en levrette ce petit salaud, il me tend son cul de dentelles, les filles lui caressent les cheveux et Lisa lance :
- Allez petite chienne, fais-toi prendre par ton copain qu’on rigole bien… Il n’en peut plus… Regarde-le !
Effectivement, à poil, je bandais comme un taureau au cul de mon pote, j’enfile une capote rapidement que me donne Lisa, je lui déchire la petite culotte avec les dents et la finit à la main, je découvre son anus déjà bien dilaté, ça l’excite ce salaud d’être en gonzesse, il écarte ses cuisses… Son trou est déjà béant et totalement en attente de ma pine, Chloé est allée chercher ton tube de gel et lui tartine le trou en lui mettant un doigt profond, Lisa prend aussi du gel qu’elle vient m’étaler sur ma gaule de 17cm en amorçant une mini branlette, je n’en peux plus…. Je lui rentre mon chibre dans le fion, il crie, il rugit, je m’enfonce en lui progressivement et profondément, ce n’est pas la première fois qu’il la prend dans le cul, il l’a au minimum une fois par semaine ce jeune pédé, mais là, en pute il me met dans une transe pas possible, Lisa m’encourage en me caressant les fesses et Chloé fait des photos sous tous les angles avec son i-phone, elles profitent bien de la situation les coquines !
Mes vas et vient font crier cette pute de Damien qui remue du cul et n’arrêtes pas de me dire :
- Oui, oh oui, encore, encule-moi à fond pour mes 18 ans… Je t’aime mon Gaël, fais-moi mal…
Après un quart d’heure de limage fournit, je sens la purée arriver, je sors de ses entrailles, je vire la capote et je largue mon jus sur son cul, sur sa petite culotte en lambeaux, sur ses bas en résilles de salope en chaleur, mon sperme sort par saccades, il me vide totalement ce pédé et Lisa qui entreprend de continuer de me purger les couilles en me branlant très fort, je continue d’éjaculer comme rarement ça m’est arrivé… Chloé, elle avait entrepris de rouler une pelle à l’autre enculé dont les fesses étaient maculées de mon sperme dégoulinant !
Je n’en pouvais plus, j’étais vidé, exténué… Mon pote avait mal au cul de s’être fait tringlé, mais il était heureux d’avoir joué la pute en tenue tellement jouissive :
- Merci les filles pour ce cadeau mémorable… Maintenant que je suis majeur et enculé… Euh pardon… et vacciné, je pourrai faire ce que je veux et avec qui je veux ! Dit-il.
Et moi de répondre :
- Comme avant en fait ! En tout cas, je suis content de t’avoir honoré pour tes 18 ans, j’aurai été vexé que tu te sois fait prendre par un autre pour ta majorité mon grand !
Cet anniversaire fut une réussite totale jusqu’au bout de ma pine et jusqu’au fond des entrailles de Damien. Avoir baisé le cul de mon copain devant deux lesbiennes en chaleur je ne pensais pas que ceci m’arriverait un jour.
Les filles satisfaites du spectacle porno-érotico-homo-estival, se roulaient de grosses pelles bien profondes en se doigtant l’abricot, elles mouillaient à fond les salopes.
Damien après m’avoir embrassé longuement en me remerciant est allé se changer, nos corps calmés… Damien faisait péter le Champagne au clair de lune, ma queue avait eu du mal à s’en remettre et le cul de Damien aussi !
Les nanas non totalement satisfaites se lèvent, se re-doigtent la chatte profondément pendant une à deux minutes devant nous et viennent tremper leur doigt bien humide pour remuer les bulles dans nos flûtes… c’était le bouquet final ! Hummmm.
La nuit fut enfin calme et reposante.
Notre séjour arrivait vers sa fin et nous avions encore envie de nous lâcher, Lisa nous propose de terminer en beauté en allant nous éclater dans une boite orientée LGBT et très connue pour ses soirées totalement débridées voire beaucoup plus, évidemment tous les quatre sur le pied de guerre pour ce dernier vendredi soir, Damien et moi étions sûrs de nous faire un mec ou une nana voire un trans… c’est l’avantage d’être bi !
Les filles, elles, voulaient se taper des abricots bien humides en quantité… elles adorent les fruits et surtout les lécher, c’est bon pour l’organisme !!!
Lisa et Chloé étaient superbes, habillées presque à l’identique comme des jumelles, tout de blanc vêtues dans leur jupette hyper courtes façon vintage et leur chemisier dentelles échancré jusqu’au nombril laissant apprécier leurs seins et leur bronzage, elles étaient bandantes et hyper sexy et bien sûr sans petites culottes.
Nous deux avec Damien nous avions revêtu un tee-shirt XXL, nous nagions totalement dedans…il nous arrivait bien en dessous des fesses, mais c’était volontaire, c’est Damien qui avait eu cette idée saugrenue… car si la soirée basculait en culs à l’air, nous pouvions virer nos shorts longs de coton Nike sans soucis d’autant que nous avions laissé nos boxers au camping… évidemment… Damien est souvent imaginatif et pro-actif !
Après avoir réglé notre droit d’entrée auprès d’une hôtesse métisse de 1,80m en soutif jaune bien garni où pointaient vigoureusement ses larges tétons et revêtue d’un paréo créole à la taille et des fesses rebondies, nous arrivons au vestiaire.
L’ambiance est donnée dès l’entrée, puisqu’un écriteau annonce :
« Mesdames et Mesdemoiselles nous vous invitons, sans caractère obligatoire, à déposer vos petites culottes au vestiaire, elles vous seront restituées à la sortie ! »
Chloé regarde le mec du vestiaire en soulevant sa jupette, et présentant sa chatte parfaitement épilée et lui lance en rigolant :
- Moi je ne vous la dépose pas… je l’ai oubliée au camping !
Et Lisa qui, sur la lancée de sa copine, se retourne en soulevant son bout de jupette, montre son cul nu au mec et lui dit :
- Moi c’est pareil… Ça m ‘évitera de l’oublier en partant !
Le mec en boxer noir à paillettes bien moulant et débardeur satiné aussi noir, bien taillé et musclé leur dit en se marrant :
- Super les filles, vous êtes prévoyantes et très sexy, je vous souhaite une excellente soirée !
En entrant dans la première salle, nous sommes agressés par la musique et les projecteurs, à première vue une majorité de nénettes sont là, à 23h45 dans des tenues déjà très allégées, des seins à l’air parfois, sur une plateforme située à 2,50m nous avons une vue imprenable sous les jupes… nous constatons rapidement que beaucoup de petites culottes avaient dû être déposées au vestiaire !!! La pêche aux moules est ouverte, que de chattes à l’air… c’est merveilleux, Lisa et Chloé s’étaient déjà frayé un passage vers la piste de danse, avec Damien nous mations sans réserve ces petits culs se trémousser au son des décibels de techno.
De nombreuses nanas se roulaient des pelles et se palpaient la chatte, bienvenue au royaume des gouines.
Nous poussons vers la seconde salle qui semblait rassembler plus les mecs gay… mais pas que, sur la piste un mec la chemise ouverte, couvert de sueur et le cul à l’air se faisait pomper par un jeune mec d’à peine 20 ans et une femme d’environ 30 ans à genoux, ça devient très chaud ici !
Dans un angle une table basse avec uniquement des mecs qui se paluchaient les braguettes et se roulaient des pelles au milieu des bouteilles d’alcool, en passant je sens une main sur mes fesses, c’était un black…Qui me dit :
- Bonsoir beau gosse, on se revoit tout à l’heure ?
Je lui ai répondu par le même geste et il m’a foutu sa grosse langue dans la bouche, je lui ai cramponné les couilles au travers de son short en lycra, puis il a continué sa route.
Le DJ était en tenue gay SM, lunettes noires, casquette de cuir, harnais et string en cuir noir, super bien moulé de partout, on se serait cru dans un pur club de pédés, deux gogos danseurs uniquement revêtus d’un string-filet blanc avec la ficelle perdue dans la raie du cul, avec nœud papillon et manchettes noirs, que ce soit mecs ou nanas, chacun tout en se trémoussant au son de la sono trop forte, venait leur mettre la main au paquet ou aux fesses…
Damien se faisait draguer par un trentenaire barbu et torse nu, ils se sont éloignés dans un coin et se sont embrassés longuement, puis le mec lui a glissé sa main dans le short long… puis ils ont disparu de ma vue.
Moi je dansais tout en matant, j’ai rapidement kiffé sur une nana de type asiatique, super belle et taillée comme un mannequin, elle se trémoussait merveilleusement, je me suis approché, on s’est regardé et souris, je l’ai invitée au bar, nous avons pris une vodka orange, puis nous avons commencé à nous caresser, elle avait une poitrine quasi inexistante, mais ce corps de rêve, elle se laisse ploter les fesses dans sa robe serrée bleu électrique, que je lui relève lentement pour lui atteindre les fesses… Tiens me dis-je, une qui n’a pas laissé sa petite culotte au vestiaire ! Son string était en dentelle, je le devinais au toucher, je lui glisse un doigt dans le cul… elle ne dit rien… hummm ça devient palpitant, je lui relève le devant de sa robe, elle écarte lentement ses gambettes, je lui glisse avec délicatesse ma main sur sa chatte pour y introduire mon doigt déjà humide… Et là je suis estomaqué avec un mouvement de recul… je m’aperçois que ma belle asiate est un trav, son string contenait en effet une paire de couilles et une queue en demi-érection !
Elle… ou-il, m’enfourna sa langue dans ma bouche et me roula une pelle bien baveuse en me plaquant sa main sur mon short déjà tendu et il m’emmène dans les toilettes des femmes…
Je ne savais plus trop ou j’étais… il me dit :
- Vire ton short que je te suce !... Alors tu es surpris… tu ne pensais pas me découvrir une bite entre les cuisses ?... Tu sais il y a de tout ici… il fallait te méfier avant de partir draguer au hasard… Maintenant vire-moi ton short et tends-moi ta queue !
Je ne me suis pas fait prier, je quitte mon short coton, ma queue est dressée sous mon tee-shirt XXL, je le passe derrière la tête pour lui libérer le terrain, il s’accroupit jambes écartées et me prend la pine en bouche, il m’a sucé pendant 10 à 15 mn, c’était un habitué des teubs, il me suçait aussi les couilles par intermittence à la perfection, à plusieurs reprises des nanas sont rentrées pour aller aux toilettes, en nous regardant admiratives, mais sans les scandaliser pour autant, sauf une femme d’environ 35 ans qui découvre cette superbe pin-up, jambes écartées avec une queue en érection et une paire de burnes entre les jambes qui assurait une fellation sur ma queue de 17 cm, elle se marre et nous dit :
- Vous avez dû vous tromper… les « Hommes » c’est à côté messieurs !
Mon asiate m’a fait éjaculer dans sa bouche, il a tout avalé et m’a nettoyé le gland à grands coups de langue, je ne pensais pas me faire tailler une pipe ce soir par un trav, c’était une première pour moi et une belle réussite !
On s’est quitté en se roulant une pelle d’enfer, il a rajusté sa robe moulante après avoir remballé son service trois pièce dans ce string trop juste… je l’ai remercié pour ce moment magique, il m’a souri et est parti en me déposant un baiser sur la bouche.
De retour dans l’enfer sonore et les projecteurs surchauffés, je retourne du côtés des goudous… et vois mes deux copines en quatuor avec une femme mûre, la quarantaine et une jolie brune aux cheveux très courts coupés à la garçonne la poitrine à l’air qui se faisait bouffer l’abricot par Chloé accroupie entre ses jambes dont la jupe était tellement relevée que son clito nous apparaissait bien ouvert, écarlate et humide et Lisa roulait une galoche à la femme qui avait bien laissé sa culotte au vestiaire car toutes deux se caressaient les fesses en soulevant la jupette de Lisa et la robe légère de la femme.
Je m’attendais à une soirée chaude et débridée mais pas à un baisodrôme géant !
Évidemment je ne regrettais pas ma venue dans ce lieu de débauche.
Je devais retrouver Damien… je retourne vers le coin des tarlouzes, et le voit danser le short dégagé, le teeshirt trop grand lui couvrant le sexe tout juste, les mecs qui dansent avec lui s’amusent à lui soulever en passant à ses côtés, il bande bien le salaud, l’atmosphère s’était sérieusement échauffée, la plupart des mecs était torse-nus, certains en boxers ou jock-strap et d’autre carrément à poils à se faire sucer les fringues jetées négligemment au sol ou sur les banquettes.
Quelques nanas se faisaient baiser par les gogos danseurs sur les fauteuils de cuir, elles prenaient cher car les mecs avaient de vrais gourdins entre les jambes et semblaient ne jamais débander.
Au centre, un mec aux cheveux blonds vénitiens très bouclés, un bronzage intégral parfait, en string-filet rose à grosses mailles qui laissait deviner sans ambiguïté son appareil génital de belle taille, super efféminé se frottait le sexe ou la raie des fesses sur la barre de pole-dance chromée au rythme de la musique, un petit cul magnifique, une musculature peu prononcée, des cils de nana, légèrement maquillé, une bouche à tailler des pipes… je me le serai bien fait pour mon « quatre heures » ce jeune petit pédé qui ne devait pas avoir plus de 25 ans.
Je n’étais à priori pas tout seul à imaginer ce scénario d’enculage de cette jeune tarlouze, car il y avait un public masculin de tous âges assidu et nombreux avec cependant quelques nénettes bien excitées.
Je fais signe à Damien que je partais, il était près de quatre heure et demi du mat, j’en fais autant du côté du nid de lesbiennes en chaleur, Lisa me dit vouloir rester encore avec Chloé qui venait de changer de partenaire, décidemment elles étaient bien parties nos colocs.
Je retrouve Damien sur le parking en tee-shirt, je lui demande :
- Ben, t’as le cul à l’air, il est où ton short Nike ?
Damien, un peu allumé me répond :
- Je ne sais pas je ne l’ai pas retrouvé, j’ai un peu cherché, ce n’est pas grave on rentre au camp… Mais avant j’ai envie de pisser…
Il se mets à pisser au milieu du parking, un mec au passage lui tapote les fesses en lui signifiant qu’il y avait des toilettes à l’intérieur, puis il revient à la voiture et me dit :
- Je suis vanné, mais putain que c’était bon !.. Je me suis fait mettre par un black avant de partir, il avait un pieu ce con, il m’a dézingué le fion !
Sur ces bonnes paroles et arrivés au camping, nous allons prendre une douche aux sanitaires communs et rentrons nous pieuter, on s’est endormis rapidement.
Sur le coup de six heures, le jour s’était levé, on entend nos goudous adorées arriver en rigolant, elles semblaient bien allumées, on ne réagit pas, elles entrent sous la tente et on perçoit une troisième voix inconnue, elles avaient ramené leur dessert les cochonnes…
Lisa explique qu’elles partagent la tente avec deux mecs gay… Elle est gonflée, nous faire passer pour gays alors que le cul des nanas pouvait nous combler tout autant… Enfin bon…
La troisième goudou était la femme d’une quarantaine d’années rencontrée au club, elles se déshabillent et partent sous les douches toutes les trois.
Quelques minutes passent, elles reviennent ragaillardies, elles rentrent se pieutent à trois, au passage je vois furtivement que l’invitée avait le pubis rasé en ticket de métro…
Elles commencent à se câliner et se satisfaire, on entend les léchouilles, les rires, les paroles intimes du genre :
- « Laisse-toi faire, j’adore ton minou, broute-moi la chatte, ta langue est trop bonne, putain mais tu mouilles ma salope, vous êtes super les filles, j’adore les petites jeunes comme vous… »
Enfin tout pour réveiller nos sens à moitié endormis, je constate… enfin pour être précis… ma raie des fesses constate que Damien bande bien… il me l’avait en effet bien calée dans la raie, je tortille mon petit cul pour lui signaler que je suis moi aussi réveillé…
On profite en se paluchant gentiment de leurs ébats par toile interposée, puis décidons d’entrer dans le baisodrome à gonzesses, elles constatent simplement que nous ne dormons pas, elles s’excusent pour le dérangement, nous présentent Martine qui est en vacances et lesbienne aussi ce qui va de soi !
Un peu enrobée mais très désirable elle nous dit :
- Désolé les gars mais nous on n’est pas très « quéquettes », on cajole surtout les chattes ! et elle rigole.
Moi je lui réponds aussitôt :
- Mais pas de soucis, on respecte votre choix, mais si vous le souhaitez on peut vous goder.
Et toutes les trois ensemble, heureuses de cette proposition inattendue, valident mon idée.
Chloé sort sa collection de godes, sort le gel…
Elles reprennent leurs ébats, et embrassades, se préparent les clitos à grands coups de langues, se doigtent l’entrejambe, les gémissements commencent à s’entendre, Damien prend un gode rose de 14x3 cm et moi celui de 17x4 cm vibrant, la règle du jeu c’est que nos « quéquettes » comme dirait martine n’entrent pas en action… Challenge compliqué à tenir !
Et durant plus de trois-quarts d’heure les godes changeaient de trou, les chattes jouissaient de bonheur, les masturbations battaient leur plein, l’odeur de chattes en chaleur envahissait le compartiment de la chambre de nos goudous, les galoches baveuses succédaient au broutage de cul…
Et nous, nous introduisions les godes au gré du cul de ces dames, en les lubrifiant de nos salives, Martine avait un appétit certain pour le gros gabarit…
Face à cette situation rocambolesque, nos bites étaient à la peine… elles mouillaient, elles bandaient… mais n’avaient pas le droit au trou du bonheur de ces gouines en chaleur.
Lisa nous a donné son portable afin qu’on fasse des clichés de leurs ébats sous tous les angles en nous promettant de nous en envoyer.
Damien et moi avons quand même demandé une faveur à nos avaleuses de godes siliconés, accepteraient-elles qu’on largue notre sperme en file d’attente dans nos burnes sur leurs corps couverts de sueur ?
C’est Martine qui répondit pour le trio de goudous :
- Oui, allez-y les mecs, crachez-nous votre foutre sur nos corps, on vous doit bien ça, on vous a fait un peu souffrir et vous avez assumé avec brio de nous goder à fond ! Et de plus nous n’avons jamais l’occasion de recevoir du jus de mec… Profitons-en !
C’est ainsi que Damien et moi finissions de nous masturber au-dessus de ces trois lesbiennes chaudes comme la braise, nos jus ne tardèrent pas à arriver par grandes saccades sur leurs ventres, leurs fesses, leurs clitos, leurs culs, leurs visages, nos jets blancs s’étalaient sur leurs trois corps bronzés, nos deux glands gouttant de jute reçurent les langues de Martine et Lisa pour nettoyer nos « quéquettes » et Chloé vint nous poser un baiser sur chacune de nos bouches en nous remerciant de nous être prêtés à leur « gouinage ».
Il était bientôt 8 heures du matin, le calme était revenu dans la tente, les draps tachés de mouille et de sperme.
Après un petit déjeuner copieux vers 11 heures, Martine nous quitta en nous roulant à chacun une galoche fougueuse et reconnaissante, elle reprenait la route vers Nevers le lendemain.
Deux jours après, c’était notre tour de plier bagages… Nos deux semaines aux Sables d’Olonne avaient été divines, vivre sans tabous, libres de nos corps et libérés de nos contraintes urbaines, libres de nos sexualités différentes et parfois complémentaires, nous repartons dans ma Clio toutes vitres ouvertes, les filles sans petites culottes et nous les baloches libres sous nos shorts trop grands en direction de la capitale.
Une semaine après notre retour, Lisa m’envoyait des photos de leurs ébats féminins avec gros plans sur les godes et Damien en tenue de pute qui se faisait prendre en levrette la petite culotte de dentelles déchirée entre les cuisses.
Des souvenirs à mettre dans notre album intime !
En Août 2020, alors que je venais de fêter mes 19 ans, nous décidons avec mon super pote Damien, 18 ans dans quelques jours, très brun, cheveux ondulés mi-longs, le teint méditerranéen, 1,71m, 60Kg, de partir quinze jours aux Sables d’Olonne avec deux proches copines Lisa et Chloé, je dis bien proches copines !
Afin que les choses soient claires, Damien et moi ne sommes pas maqués, nous sommes libres comme l’air et pratiquons tous les deux la bisexualité sans tabou ni retenue et très souvent ensemble, nous sommes par ailleurs versatiles tous les deux.
Nous nous sommes découverts ainsi ensemble à l’âge de 15 et 16 ans au cours d’une soirée chaude et fortement alcoolisée… après avoir dragué chacun une nana, nous avons fini tous à poil et par nous faire des mecs du même âge quand la soirée s’était terminée en partouze géante sur la pelouse, nous étions alors une quinzaine… c’était chez un pote de Damien près de Chenonceau en plein été… un grand bordel à ciel ouvert !
Cette soirée fut certainement une révélation pour nous deux, puisque nous continuons depuis trois ans de pratiquer nos égarements côté mecs ou gonzesses sans préférence… Et je dois avouer que le corps de mon pote n’a plus aucun secret pour moi… et le mien pour lui non plus.
Quant à nos copines Lisa, 18 ans et Chloé 21 ans, nous les avions rencontrées lors d’un mariage il y a six mois, nous avons de suite sympathisé, nous avons même été jusqu’à leur parler de nos orientations bi au cours d’un pot pris tardivement en terrasse d’un bar de Tours, ce qui au départ les avait surprises et dans la foulée nous avaient avoué être toutes deux lesbiennes.
Après ces révélations intimes, nous avions conclu d’un commun accord de nous voir régulièrement en tant qu’amis et relations de loisirs, puisqu’à priori il y avait peu de chance pour qu’il se passe une aventure entre nous.
Il y a deux mois nous avions évoqué avec elles notre projet de partir quelques jours aux Sables d’Olonne en été, c’est donc naturellement que nous leur avons proposé de venir avec nous… En tout bien, tout honneur, il va de soi !
Damien et moi avions bossé tout le mois de Juillet ensemble dans un bar-restaurant de Tours, ce qui nous avait permis de regonfler nos maigres finances.
Les filles en avait fait de même en bossant dans un supermarché toutes les deux de fin Juin à mi-Juillet.
Nous sommes donc partis tous les quatre dans ma Clio remplie à bloc, nous allions camper sous ma grande tente dans un camping naturiste.
Deux bi et deux lesbiennes ??? Un cocktail pas forcément gagnant… On verra bien, nous aimions la difficulté avec Damien !
Je ne détaillerai dans ce récit, que quelques aventures cocasses, car évidemment ces deux semaines ont été chargées (voire déchargées souvent), de notre côté mais aussi du côté de nos charmantes goudous qui venaient pour s’éclater.
Autant je m’étais questionné sur le choix judicieux de partir tous les quatre pendant quinze jours, qu’en fait je dois reconnaître que ce fut des vacances de rêve, ces quinze jours nous ont permis de nous découvrir, nous dévoiler, nous mettre à nu au sens propre comme au figuré !
Nous avions décidé que nos discussions seraient ouvertes et sans tabou, que nous vivrions le plus souvent à poil, que nos ébats et choix sexuels ne devraient pas être un frein à notre vie en commun, c’est ainsi que nous nous sommes découverts un point commun… nous aimions évidemment le nudisme, mais aussi l’exhibitionnisme et tous les quatre étions un brin fétichistes !
La tente, bien que grande n’était pas non plus un palais… Nous vivions dans une certaine promiscuité qui nous convenait parfaitement. Nous vivions donc la plupart du temps en tenues d’Adam et Êve ou alors avec le minimum sur le cul pour notre plus grand plaisir.
J’adorai regarder les abricots bien épilés de nos colocataires le matin au réveil, ainsi que leurs fesses lisses et légèrement rebondies… Un vrai régal !
Bien que lesbiennes, nos deux nanas ne manquaient pas de nous mettre en boite avec nos services trois pièces ou nos petits culs de pédés et rigolaient en voyant nos « quéquettes » à géométrie variable en fonction des heures de la journée…
Elles n’avaient pas non plus, osé comparer la longueur différente de nos zobs et la configuration légèrement différente de nos couilles, elles savaient se tenir !
Malgré tout, le premier mercredi au réveil du matin, nos « colocs » avaient voulu vérifier de visu si les érections matinales des mecs étaient une légende ou pas… Elles n’ont pas été déçues et ont eu la réponse en entrant dans notre coin dortoir, nous étions tous les deux allongés sur le dos et bien raides au réveil !
Arrivant par surprise, elles se sont esclaffées toutes les deux et Lisa nous lanca :
- Whaoouuuu mais c’est donc vrai, les mecs bandent en se réveillant… Quel spectacle !
Je réponds :
- Eh oui ! C’est con pour vous les filles… Vous allez vous priver bêtement de nos bites, elles valent pourtant mieux que vos godes en silicone !
Chloé, ne quittant pas nos membres des yeux me répond :
- Moi je ne suis pas contre pour vous sucer tous les deux mais pas plus !
Il n’en fallait pas plus pour nous mettre du baume au cœur en guise de petit déj ! Nous étions ravis de cette proposition totalement honnête et spontanée !
Lisa rajoute :
- OK les mecs… mais pas plus on est d’accord… et avec du miel et elle part aussitôt chercher un tube de miel posé sur la table de camping.
Les nanas toutes excitées devant nos « godes » en chair (et en os), certes moins gros que leur préféré de 20x5 en silicone rose bonbon… Lisa vint presser le tube et nous enduit nos bites de miel bien coulant qui descend jusqu’à nos couilles, elle en remet en quantité abondante sur nos deux glands bien décalottés… et sans attendre nos deux cochonnes enfournent nos queues goulument !
Lisa suçant la mienne et Chloé celle de Damien… Elle prenait leur petit déjeuner diététique et vitaminé !
Je leur dis enthousiaste :
- Pour des gouines vous pomper bien les bites les filles, il faudra penser à vous reconvertir !!!
Damien renchérit :
- Ce n’est peut-être pas nos queues qui les font mouiller, mais le miel d’acacia… En attendant elles butinent à merveilles nos petites abeilles !
Nos deux lesbiennes en avaient plein la bouche et léchaient tout le miel jusque sur nos couilles rasées de près… Quel réveil !
Après dix minutes de fellations mielleuses, Damien leur dit :
- Bon les filles, il serait bien de changer de partenaire maintenant !
Chloé s’emparant du tube de miel, vient nous emmieller nos teubs toujours droites et bien humides de leur salive.
Le changement d’équipe s’est fait en parfaite synchronisation… Décidemment elles aiment le miel les petites !
En me faisant sucer par Chloé qui avait un super coup de langue, je me demandais si un clito au miel n’était pas envisageable ces prochains jours ?
Chloé nous avoua qu’il y avait bien cinq ans qu’elle n’avait pas fait une gâterie à un mec, quant à Lisa c’était une première.
Les jours s’écoulaient dans l’harmonie, le « lâcher prise », le sexe et les délires.
Parfois les nanas partaient faire des emplettes ou bronzer sur la plage en toute liberté et parfois on décidait de partager nos activités.
L’une des activités fétiches de notre quatuor était d’exhiber nos sexes de façon insolite et furtive en ville ou sur la plage et voir comment les gens réagissaient.
Un jour nous partons faire le marché, Damien et moi en short volontairement très large sans sous-vêtement dessous et un tee-shirt puis Lisa et Chloé en jupes d’été ultra légères, très ras du cul et semi-transparentes et bien sûr sans culotte ni soutif…
Nous leur avions fait remarquer que leur tenue nous foutait la trique, Chloé nous avait alors répondu ironiquement qu’elle n’était pas étonnée, car quand elle la mettait… son gode bandait tout seul sur la table de nuit !
Ce genre de réflexion agrémentait nos journées et nos soirées, un rien nous faisait partir en live.
Nous nous installons ainsi à la terrasse surélevée d’un café près du marché, nous l’avions repérée avec Damien quelques jours auparavant, sa configuration faisait qu’elle surplombait le trottoir plus bas, les passants se trouvant ainsi à la hauteur de nos entrejambes.
Nos nénettes commencent par croiser les jambes bien bronzées, le regard des hommes passant sur le trottoir était significatif, les cuisses et les gambettes de nos demoiselles avaient du succès… mais ce n’était que le début !
Damien et moi entamons notre position d’attente, jambes bien écartées et là immanquablement notre bite où nos couilles s’offraient à la vue furtive des passants, il n’a pas fallu attendre longtemps pour voir les femmes apercevoir nos organes génitaux et aussitôt baisser la tête, d’autres insistantes ne voulaient rien manquer… une, sembla outrée aux côtés de son mari.
Nous, nous en jouions en écartant encore un peu plus, quitte à replacer le matos correctement, certains mecs semblaient apprécier insistant leur regard entre nos cuisses, un mec qui avait tout d’une tantouse avec un short moulant rose et un tee-shirt crop-top jaune poussin laissant apparaître ses abdos bien bronzés, a carrément sorti son smartphone pour nous prendre en photo et nous a fait un mouvement de langue qui voulait tout dire en levant son pouce… Il aurait donné cher pour y glisser sa main ce petit pédé !
Pour compléter notre provoc en public les nanas décident d’écarter leurs jambes en remontant délicatement leur jupette, ainsi la vue pour les passants ne pouvait être plus excitante !
Il n’a pas fallu une minute pour que les mecs soient subjugués par ce spectacle gratuit et insolite, certains n’avaient aucune discrétion pour mater les chattes rasées de nos jeunes goudous, ils s’arrêtaient presque, les femmes ou filles n’étaient pas en reste, à nous quatre nous assurions l’animation, nous avons assuré ce numéro tous les deux à trois jours et toujours avec autant de succès.
Un jour le serveur habituel est venu me voir et discrètement à l’oreille me dit :
- Nous avons bien repéré votre numéro d’exhibitionnisme avec mon patron, mais on vous laisse faire… ça met un peu d’animation et la terrasse du café d’en face ne désemplit pas… et comme c’est le même patron … il n’est pas contre… Ça remplace avantageusement la vue sur l’océan que nous n’avons pas dans cette rue !!!
Nous nous délections tous les quatre de ce petit jeu d’exhibition gratuite et la satisfaction des voyeurs occasionnels, parfois Lisa et Chloé se faisaient une autre terrasse, poussant plus loin la plaisanterie… en se roulant une pelle jambes bien écartées !
Moi et Damien c’est sur la plage que nous aimions bronzer avec nos shorts extra larges, écartant nos cuisses comme il fallait, on attirait autant les regards des femmes que celles des hommes… et c’était bien le but nous concernant, mettre en émoi aussi bien les sens des mecs que ceux des nénettes !
Il fallait parfois contenir nos érections, certains mecs n’hésitant pas à se passer la main sur le paquet de leur maillot de bain pour nous signifier leur approbation.
Un couple gay, tous deux en mini-slips de bain ayant repéré notre entrejambe accueillant, se sont approchés et nous ont dit leur plaisir de vivre ce spectacle d’exhib au milieu de la plage et nous ont demandé s’ils pouvaient prendre un ou deux clichés, ce que nous avons acceptés sans nous faire prier… Nos burnes seront dans leur galerie de portraits…
Le soir au camping, nos voisins devaient nous imaginer en couples hétéros, mais devaient être un peu déboussolés en voyant Lisa et Chloé se rouler une pelle ou se caresser les fesses.
Alors pour les perturber encore un peu plus… certains soirs on se roulait une galoche bien baveuse avec Damien tous les deux la queue à l’air devant la tente.
Nous enduisions aussi nos corps de crème solaire, profitant dans le même temps de pratiquer des caresses très très intimes, mec sur mec, nana sur mec, mec sur nana, nana sur nana dans la plus grande liberté et au vu de tous de préférence, en insistant longuement sur nos entrejambes.
Les nuits sous la tente étaient plutôt chaudes et animées, un soir les filles étaient super excitées, après plus d’une heure de caresses, d’embrassades profondes, de bouffage de clito, elles décidèrent de se goder en nous invitant à profiter de ce moment intime.
Évidemment nous acceptons sans rechigner, nous arrivons dans leur compartiment secret tous les deux à poil la queue bien reposée et impatients de voir l’introduction du gode dans leurs chattes humides.
Elles avaient étalé leur collection de godes, de toutes tailles, toutes formes aux couleurs variées près d’un tube de gel.
Je leur dis :
- Quel attirail !... Pour nous c’est plus simple… On le trimballe avec nous et il est disponible 24h/24 et 7j/7 !
Elles se marrent, mais nous les sentons bien chaudes et excitées, Chloé enduisit de gel un gode couleur chair bien veiné d’environ 15x4, qu’elle présenta devant la chatte de Lisa qui écartait les jambes exagérément, le clito bien malaxé auparavant et grand ouvert, joua avec le gode en lui enfonçant tout juste le bout, puis entre les cuisses en lui doigtant la chatte puis introduisit l’engin en elle, le gode fut avalé d’un seul coup… Quel appétit !
Et Chloé assura des vas et vient de plus en plus rapides et intenses, elle se malaxait les seins vigoureusement en même temps, Damien et moi nous paluchions à leurs côtés, Lisa gémissait de plaisir, Chloé sortant le gode, le prend en bouche et le remis aussitôt dans la chatte de sa copine qui maintenant criait, elle devait ameuter les autres campeurs, la séance de godage dura bien une demi-heure, le clito de Lisa bavait une mousse blanche d’extase que Chloé léchait et avalait au fur et à mesure… Damien éjacula dans ses mains mais son sperme coulait entre ses doigts, moi je pris le même chemin en larguant ma purée sur un tee-shirt que je venais de récupérer… quel chantier et quelle frustration pour nous les mecs, mais aussi quel spectacle voir deux lesbiennes prendre leur pied dans cette chaleur devenue insupportable sous cette tente de toile.
Après que chacun ai repris ses esprits, nous avons dépoté deux bouteilles de Coca bien frais dehors sous les étoiles… Le silence était revenu et les filles sirotaient en se titillant les tétons bien pointus !
Une autre soirée fut mémorable c’est le soir où nous avons fêté l’anniversaire de Damien, nous avions la chance qu’effectivement ces 18 ans tombent durant nos vacances, moi et les filles avions convenu de lui faire un cadeau insolite pour cet anniversaire particulier… sa majorité civile !
Damien avait retenu une table dans une crêperie pour l’événement.
Le dîner dans la crêperie fut bien animé, nos nénettes n’ont pas arrêté de se caresser l’abricot durant tout le repas et nous invitaient à en profiter en nous penchant à tour de rôle sous la table, leurs jupes courtes et pas de culotte facilitait la manœuvre.
Elles nous chauffaient tellement ces petites goudous, qu’on a fini par se masturber discrètement et alors là c’est elles qui passaient la tête sous la table… heureusement nous étions dans un recoin assez protégé des regards… enfin presque car un couple avait découvert notre manège et semblait s’en amuser… Il faut bien que jeunesse se passe.
Bref nous décidons de rentrer au camping vers 23h30 et annonçons à Damien que nous avions un cadeau pour lui.
Surpris et content il prit le paquet que lui tendait Lisa.
- C’est de la part de nous trois, dit-elle.
Damien après nous avoir remercier, commença à ouvrir le paquet rose fushia :
- Une petite culotte de nana en dentelles noires hyper sexy,
- Une paire de bas résille noirs,
- Un porte-jarretelles noir.
Il nous regarde et dit :
- Merci, mais c’est quoi ce délire ?
Moi en rigolant :
- On connaît l’un de tes fantasmes mon petit père, alors tu vas enfiler tout ça histoire de voir comment ça te va, la taille est bonne, les filles s’en sont assurées.
Damien dépité :
- Non mais je rêve, vous voulez me voir en tenue de pute ? Ça craint !!! Bon OK… je m’exécute.
Il part dans le coin des filles se changer et revient rapidement avec sa tenue de nana, ces cheveux ondulés mi-longs s’harmonisaient bien avec sa tenue aguicheuse d’hôtesse de club privé.
Sa petite culotte de dentelles était trop juste pour cacher son paquet, son gland dépassait de la ceinture et la peau de ses couilles débordaient de chaque côtés…par contre son petit cul était parfait dedans hummm, les bas résille sur ces jambes relativement fines et peu poilues lui allaient super bien et bien tendus par le porte-jarretelles... Une vraie petite pute mon Damien.
Chloé lui lance :
- Tu me fais mouiller petite salope, en lui caressant les fesses et l’entrejambe.
Lisa rajoute :
- Mon pauvre Gaël te voilà avec trois gouines ce soir, tu n’as plus qu’à te palucher en solo, elle rigole à en perdre haleine.
Moi entre rire et excitation :
- Cette tenue te va super bien ma poule, j’ai une forte envie de t’enculer là, maintenant… Et je lui mets la main au paquet et l’embrasse fougueusement.
Les filles en pleines excitation et heureuses de leur cadeau viennent lui lécher les seins, lui mettent la main au cul, puis au paquet, et lui roulent une pelle chacune en suivant, la petite culotte de dentelles ne pouvant plus contenir la teub de Damien, elle dépassait maintenant de 7 à 8 cm, le gland bien décalotté.
Je lui demande alors de se foutre à quatre pattes, je sais qu’il adore être pris en levrette ce petit salaud, il me tend son cul de dentelles, les filles lui caressent les cheveux et Lisa lance :
- Allez petite chienne, fais-toi prendre par ton copain qu’on rigole bien… Il n’en peut plus… Regarde-le !
Effectivement, à poil, je bandais comme un taureau au cul de mon pote, j’enfile une capote rapidement que me donne Lisa, je lui déchire la petite culotte avec les dents et la finit à la main, je découvre son anus déjà bien dilaté, ça l’excite ce salaud d’être en gonzesse, il écarte ses cuisses… Son trou est déjà béant et totalement en attente de ma pine, Chloé est allée chercher ton tube de gel et lui tartine le trou en lui mettant un doigt profond, Lisa prend aussi du gel qu’elle vient m’étaler sur ma gaule de 17cm en amorçant une mini branlette, je n’en peux plus…. Je lui rentre mon chibre dans le fion, il crie, il rugit, je m’enfonce en lui progressivement et profondément, ce n’est pas la première fois qu’il la prend dans le cul, il l’a au minimum une fois par semaine ce jeune pédé, mais là, en pute il me met dans une transe pas possible, Lisa m’encourage en me caressant les fesses et Chloé fait des photos sous tous les angles avec son i-phone, elles profitent bien de la situation les coquines !
Mes vas et vient font crier cette pute de Damien qui remue du cul et n’arrêtes pas de me dire :
- Oui, oh oui, encore, encule-moi à fond pour mes 18 ans… Je t’aime mon Gaël, fais-moi mal…
Après un quart d’heure de limage fournit, je sens la purée arriver, je sors de ses entrailles, je vire la capote et je largue mon jus sur son cul, sur sa petite culotte en lambeaux, sur ses bas en résilles de salope en chaleur, mon sperme sort par saccades, il me vide totalement ce pédé et Lisa qui entreprend de continuer de me purger les couilles en me branlant très fort, je continue d’éjaculer comme rarement ça m’est arrivé… Chloé, elle avait entrepris de rouler une pelle à l’autre enculé dont les fesses étaient maculées de mon sperme dégoulinant !
Je n’en pouvais plus, j’étais vidé, exténué… Mon pote avait mal au cul de s’être fait tringlé, mais il était heureux d’avoir joué la pute en tenue tellement jouissive :
- Merci les filles pour ce cadeau mémorable… Maintenant que je suis majeur et enculé… Euh pardon… et vacciné, je pourrai faire ce que je veux et avec qui je veux ! Dit-il.
Et moi de répondre :
- Comme avant en fait ! En tout cas, je suis content de t’avoir honoré pour tes 18 ans, j’aurai été vexé que tu te sois fait prendre par un autre pour ta majorité mon grand !
Cet anniversaire fut une réussite totale jusqu’au bout de ma pine et jusqu’au fond des entrailles de Damien. Avoir baisé le cul de mon copain devant deux lesbiennes en chaleur je ne pensais pas que ceci m’arriverait un jour.
Les filles satisfaites du spectacle porno-érotico-homo-estival, se roulaient de grosses pelles bien profondes en se doigtant l’abricot, elles mouillaient à fond les salopes.
Damien après m’avoir embrassé longuement en me remerciant est allé se changer, nos corps calmés… Damien faisait péter le Champagne au clair de lune, ma queue avait eu du mal à s’en remettre et le cul de Damien aussi !
Les nanas non totalement satisfaites se lèvent, se re-doigtent la chatte profondément pendant une à deux minutes devant nous et viennent tremper leur doigt bien humide pour remuer les bulles dans nos flûtes… c’était le bouquet final ! Hummmm.
La nuit fut enfin calme et reposante.
Notre séjour arrivait vers sa fin et nous avions encore envie de nous lâcher, Lisa nous propose de terminer en beauté en allant nous éclater dans une boite orientée LGBT et très connue pour ses soirées totalement débridées voire beaucoup plus, évidemment tous les quatre sur le pied de guerre pour ce dernier vendredi soir, Damien et moi étions sûrs de nous faire un mec ou une nana voire un trans… c’est l’avantage d’être bi !
Les filles, elles, voulaient se taper des abricots bien humides en quantité… elles adorent les fruits et surtout les lécher, c’est bon pour l’organisme !!!
Lisa et Chloé étaient superbes, habillées presque à l’identique comme des jumelles, tout de blanc vêtues dans leur jupette hyper courtes façon vintage et leur chemisier dentelles échancré jusqu’au nombril laissant apprécier leurs seins et leur bronzage, elles étaient bandantes et hyper sexy et bien sûr sans petites culottes.
Nous deux avec Damien nous avions revêtu un tee-shirt XXL, nous nagions totalement dedans…il nous arrivait bien en dessous des fesses, mais c’était volontaire, c’est Damien qui avait eu cette idée saugrenue… car si la soirée basculait en culs à l’air, nous pouvions virer nos shorts longs de coton Nike sans soucis d’autant que nous avions laissé nos boxers au camping… évidemment… Damien est souvent imaginatif et pro-actif !
Après avoir réglé notre droit d’entrée auprès d’une hôtesse métisse de 1,80m en soutif jaune bien garni où pointaient vigoureusement ses larges tétons et revêtue d’un paréo créole à la taille et des fesses rebondies, nous arrivons au vestiaire.
L’ambiance est donnée dès l’entrée, puisqu’un écriteau annonce :
« Mesdames et Mesdemoiselles nous vous invitons, sans caractère obligatoire, à déposer vos petites culottes au vestiaire, elles vous seront restituées à la sortie ! »
Chloé regarde le mec du vestiaire en soulevant sa jupette, et présentant sa chatte parfaitement épilée et lui lance en rigolant :
- Moi je ne vous la dépose pas… je l’ai oubliée au camping !
Et Lisa qui, sur la lancée de sa copine, se retourne en soulevant son bout de jupette, montre son cul nu au mec et lui dit :
- Moi c’est pareil… Ça m ‘évitera de l’oublier en partant !
Le mec en boxer noir à paillettes bien moulant et débardeur satiné aussi noir, bien taillé et musclé leur dit en se marrant :
- Super les filles, vous êtes prévoyantes et très sexy, je vous souhaite une excellente soirée !
En entrant dans la première salle, nous sommes agressés par la musique et les projecteurs, à première vue une majorité de nénettes sont là, à 23h45 dans des tenues déjà très allégées, des seins à l’air parfois, sur une plateforme située à 2,50m nous avons une vue imprenable sous les jupes… nous constatons rapidement que beaucoup de petites culottes avaient dû être déposées au vestiaire !!! La pêche aux moules est ouverte, que de chattes à l’air… c’est merveilleux, Lisa et Chloé s’étaient déjà frayé un passage vers la piste de danse, avec Damien nous mations sans réserve ces petits culs se trémousser au son des décibels de techno.
De nombreuses nanas se roulaient des pelles et se palpaient la chatte, bienvenue au royaume des gouines.
Nous poussons vers la seconde salle qui semblait rassembler plus les mecs gay… mais pas que, sur la piste un mec la chemise ouverte, couvert de sueur et le cul à l’air se faisait pomper par un jeune mec d’à peine 20 ans et une femme d’environ 30 ans à genoux, ça devient très chaud ici !
Dans un angle une table basse avec uniquement des mecs qui se paluchaient les braguettes et se roulaient des pelles au milieu des bouteilles d’alcool, en passant je sens une main sur mes fesses, c’était un black…Qui me dit :
- Bonsoir beau gosse, on se revoit tout à l’heure ?
Je lui ai répondu par le même geste et il m’a foutu sa grosse langue dans la bouche, je lui ai cramponné les couilles au travers de son short en lycra, puis il a continué sa route.
Le DJ était en tenue gay SM, lunettes noires, casquette de cuir, harnais et string en cuir noir, super bien moulé de partout, on se serait cru dans un pur club de pédés, deux gogos danseurs uniquement revêtus d’un string-filet blanc avec la ficelle perdue dans la raie du cul, avec nœud papillon et manchettes noirs, que ce soit mecs ou nanas, chacun tout en se trémoussant au son de la sono trop forte, venait leur mettre la main au paquet ou aux fesses…
Damien se faisait draguer par un trentenaire barbu et torse nu, ils se sont éloignés dans un coin et se sont embrassés longuement, puis le mec lui a glissé sa main dans le short long… puis ils ont disparu de ma vue.
Moi je dansais tout en matant, j’ai rapidement kiffé sur une nana de type asiatique, super belle et taillée comme un mannequin, elle se trémoussait merveilleusement, je me suis approché, on s’est regardé et souris, je l’ai invitée au bar, nous avons pris une vodka orange, puis nous avons commencé à nous caresser, elle avait une poitrine quasi inexistante, mais ce corps de rêve, elle se laisse ploter les fesses dans sa robe serrée bleu électrique, que je lui relève lentement pour lui atteindre les fesses… Tiens me dis-je, une qui n’a pas laissé sa petite culotte au vestiaire ! Son string était en dentelle, je le devinais au toucher, je lui glisse un doigt dans le cul… elle ne dit rien… hummm ça devient palpitant, je lui relève le devant de sa robe, elle écarte lentement ses gambettes, je lui glisse avec délicatesse ma main sur sa chatte pour y introduire mon doigt déjà humide… Et là je suis estomaqué avec un mouvement de recul… je m’aperçois que ma belle asiate est un trav, son string contenait en effet une paire de couilles et une queue en demi-érection !
Elle… ou-il, m’enfourna sa langue dans ma bouche et me roula une pelle bien baveuse en me plaquant sa main sur mon short déjà tendu et il m’emmène dans les toilettes des femmes…
Je ne savais plus trop ou j’étais… il me dit :
- Vire ton short que je te suce !... Alors tu es surpris… tu ne pensais pas me découvrir une bite entre les cuisses ?... Tu sais il y a de tout ici… il fallait te méfier avant de partir draguer au hasard… Maintenant vire-moi ton short et tends-moi ta queue !
Je ne me suis pas fait prier, je quitte mon short coton, ma queue est dressée sous mon tee-shirt XXL, je le passe derrière la tête pour lui libérer le terrain, il s’accroupit jambes écartées et me prend la pine en bouche, il m’a sucé pendant 10 à 15 mn, c’était un habitué des teubs, il me suçait aussi les couilles par intermittence à la perfection, à plusieurs reprises des nanas sont rentrées pour aller aux toilettes, en nous regardant admiratives, mais sans les scandaliser pour autant, sauf une femme d’environ 35 ans qui découvre cette superbe pin-up, jambes écartées avec une queue en érection et une paire de burnes entre les jambes qui assurait une fellation sur ma queue de 17 cm, elle se marre et nous dit :
- Vous avez dû vous tromper… les « Hommes » c’est à côté messieurs !
Mon asiate m’a fait éjaculer dans sa bouche, il a tout avalé et m’a nettoyé le gland à grands coups de langue, je ne pensais pas me faire tailler une pipe ce soir par un trav, c’était une première pour moi et une belle réussite !
On s’est quitté en se roulant une pelle d’enfer, il a rajusté sa robe moulante après avoir remballé son service trois pièce dans ce string trop juste… je l’ai remercié pour ce moment magique, il m’a souri et est parti en me déposant un baiser sur la bouche.
De retour dans l’enfer sonore et les projecteurs surchauffés, je retourne du côtés des goudous… et vois mes deux copines en quatuor avec une femme mûre, la quarantaine et une jolie brune aux cheveux très courts coupés à la garçonne la poitrine à l’air qui se faisait bouffer l’abricot par Chloé accroupie entre ses jambes dont la jupe était tellement relevée que son clito nous apparaissait bien ouvert, écarlate et humide et Lisa roulait une galoche à la femme qui avait bien laissé sa culotte au vestiaire car toutes deux se caressaient les fesses en soulevant la jupette de Lisa et la robe légère de la femme.
Je m’attendais à une soirée chaude et débridée mais pas à un baisodrôme géant !
Évidemment je ne regrettais pas ma venue dans ce lieu de débauche.
Je devais retrouver Damien… je retourne vers le coin des tarlouzes, et le voit danser le short dégagé, le teeshirt trop grand lui couvrant le sexe tout juste, les mecs qui dansent avec lui s’amusent à lui soulever en passant à ses côtés, il bande bien le salaud, l’atmosphère s’était sérieusement échauffée, la plupart des mecs était torse-nus, certains en boxers ou jock-strap et d’autre carrément à poils à se faire sucer les fringues jetées négligemment au sol ou sur les banquettes.
Quelques nanas se faisaient baiser par les gogos danseurs sur les fauteuils de cuir, elles prenaient cher car les mecs avaient de vrais gourdins entre les jambes et semblaient ne jamais débander.
Au centre, un mec aux cheveux blonds vénitiens très bouclés, un bronzage intégral parfait, en string-filet rose à grosses mailles qui laissait deviner sans ambiguïté son appareil génital de belle taille, super efféminé se frottait le sexe ou la raie des fesses sur la barre de pole-dance chromée au rythme de la musique, un petit cul magnifique, une musculature peu prononcée, des cils de nana, légèrement maquillé, une bouche à tailler des pipes… je me le serai bien fait pour mon « quatre heures » ce jeune petit pédé qui ne devait pas avoir plus de 25 ans.
Je n’étais à priori pas tout seul à imaginer ce scénario d’enculage de cette jeune tarlouze, car il y avait un public masculin de tous âges assidu et nombreux avec cependant quelques nénettes bien excitées.
Je fais signe à Damien que je partais, il était près de quatre heure et demi du mat, j’en fais autant du côté du nid de lesbiennes en chaleur, Lisa me dit vouloir rester encore avec Chloé qui venait de changer de partenaire, décidemment elles étaient bien parties nos colocs.
Je retrouve Damien sur le parking en tee-shirt, je lui demande :
- Ben, t’as le cul à l’air, il est où ton short Nike ?
Damien, un peu allumé me répond :
- Je ne sais pas je ne l’ai pas retrouvé, j’ai un peu cherché, ce n’est pas grave on rentre au camp… Mais avant j’ai envie de pisser…
Il se mets à pisser au milieu du parking, un mec au passage lui tapote les fesses en lui signifiant qu’il y avait des toilettes à l’intérieur, puis il revient à la voiture et me dit :
- Je suis vanné, mais putain que c’était bon !.. Je me suis fait mettre par un black avant de partir, il avait un pieu ce con, il m’a dézingué le fion !
Sur ces bonnes paroles et arrivés au camping, nous allons prendre une douche aux sanitaires communs et rentrons nous pieuter, on s’est endormis rapidement.
Sur le coup de six heures, le jour s’était levé, on entend nos goudous adorées arriver en rigolant, elles semblaient bien allumées, on ne réagit pas, elles entrent sous la tente et on perçoit une troisième voix inconnue, elles avaient ramené leur dessert les cochonnes…
Lisa explique qu’elles partagent la tente avec deux mecs gay… Elle est gonflée, nous faire passer pour gays alors que le cul des nanas pouvait nous combler tout autant… Enfin bon…
La troisième goudou était la femme d’une quarantaine d’années rencontrée au club, elles se déshabillent et partent sous les douches toutes les trois.
Quelques minutes passent, elles reviennent ragaillardies, elles rentrent se pieutent à trois, au passage je vois furtivement que l’invitée avait le pubis rasé en ticket de métro…
Elles commencent à se câliner et se satisfaire, on entend les léchouilles, les rires, les paroles intimes du genre :
- « Laisse-toi faire, j’adore ton minou, broute-moi la chatte, ta langue est trop bonne, putain mais tu mouilles ma salope, vous êtes super les filles, j’adore les petites jeunes comme vous… »
Enfin tout pour réveiller nos sens à moitié endormis, je constate… enfin pour être précis… ma raie des fesses constate que Damien bande bien… il me l’avait en effet bien calée dans la raie, je tortille mon petit cul pour lui signaler que je suis moi aussi réveillé…
On profite en se paluchant gentiment de leurs ébats par toile interposée, puis décidons d’entrer dans le baisodrome à gonzesses, elles constatent simplement que nous ne dormons pas, elles s’excusent pour le dérangement, nous présentent Martine qui est en vacances et lesbienne aussi ce qui va de soi !
Un peu enrobée mais très désirable elle nous dit :
- Désolé les gars mais nous on n’est pas très « quéquettes », on cajole surtout les chattes ! et elle rigole.
Moi je lui réponds aussitôt :
- Mais pas de soucis, on respecte votre choix, mais si vous le souhaitez on peut vous goder.
Et toutes les trois ensemble, heureuses de cette proposition inattendue, valident mon idée.
Chloé sort sa collection de godes, sort le gel…
Elles reprennent leurs ébats, et embrassades, se préparent les clitos à grands coups de langues, se doigtent l’entrejambe, les gémissements commencent à s’entendre, Damien prend un gode rose de 14x3 cm et moi celui de 17x4 cm vibrant, la règle du jeu c’est que nos « quéquettes » comme dirait martine n’entrent pas en action… Challenge compliqué à tenir !
Et durant plus de trois-quarts d’heure les godes changeaient de trou, les chattes jouissaient de bonheur, les masturbations battaient leur plein, l’odeur de chattes en chaleur envahissait le compartiment de la chambre de nos goudous, les galoches baveuses succédaient au broutage de cul…
Et nous, nous introduisions les godes au gré du cul de ces dames, en les lubrifiant de nos salives, Martine avait un appétit certain pour le gros gabarit…
Face à cette situation rocambolesque, nos bites étaient à la peine… elles mouillaient, elles bandaient… mais n’avaient pas le droit au trou du bonheur de ces gouines en chaleur.
Lisa nous a donné son portable afin qu’on fasse des clichés de leurs ébats sous tous les angles en nous promettant de nous en envoyer.
Damien et moi avons quand même demandé une faveur à nos avaleuses de godes siliconés, accepteraient-elles qu’on largue notre sperme en file d’attente dans nos burnes sur leurs corps couverts de sueur ?
C’est Martine qui répondit pour le trio de goudous :
- Oui, allez-y les mecs, crachez-nous votre foutre sur nos corps, on vous doit bien ça, on vous a fait un peu souffrir et vous avez assumé avec brio de nous goder à fond ! Et de plus nous n’avons jamais l’occasion de recevoir du jus de mec… Profitons-en !
C’est ainsi que Damien et moi finissions de nous masturber au-dessus de ces trois lesbiennes chaudes comme la braise, nos jus ne tardèrent pas à arriver par grandes saccades sur leurs ventres, leurs fesses, leurs clitos, leurs culs, leurs visages, nos jets blancs s’étalaient sur leurs trois corps bronzés, nos deux glands gouttant de jute reçurent les langues de Martine et Lisa pour nettoyer nos « quéquettes » et Chloé vint nous poser un baiser sur chacune de nos bouches en nous remerciant de nous être prêtés à leur « gouinage ».
Il était bientôt 8 heures du matin, le calme était revenu dans la tente, les draps tachés de mouille et de sperme.
Après un petit déjeuner copieux vers 11 heures, Martine nous quitta en nous roulant à chacun une galoche fougueuse et reconnaissante, elle reprenait la route vers Nevers le lendemain.
Deux jours après, c’était notre tour de plier bagages… Nos deux semaines aux Sables d’Olonne avaient été divines, vivre sans tabous, libres de nos corps et libérés de nos contraintes urbaines, libres de nos sexualités différentes et parfois complémentaires, nous repartons dans ma Clio toutes vitres ouvertes, les filles sans petites culottes et nous les baloches libres sous nos shorts trop grands en direction de la capitale.
Une semaine après notre retour, Lisa m’envoyait des photos de leurs ébats féminins avec gros plans sur les godes et Damien en tenue de pute qui se faisait prendre en levrette la petite culotte de dentelles déchirée entre les cuisses.
Des souvenirs à mettre dans notre album intime !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Castajl1
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
merci pour cette superbe histoire , superbement écrite .
Superbe histoire. Bien écrit et ce qui est rare : sans fautes d’orthographe ! Bravo. Benoît