Fac, travaux pratiques, travaux dirigés, et leurs effets collatéraux

- Par l'auteur HDS lelivredejeremie -
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Récit libertin : Fac, travaux pratiques, travaux dirigés, et leurs effets collatéraux Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Fac, travaux pratiques, travaux dirigés, et leurs effets collatéraux
- T’as pas joui, a grogné Martial.
- Non, je… Désolé, pour ce que ça vaut, j’ai des trucs en tête…
- … qui t’empêchent d’apprécier ce que je te mets dans le cul ? Quoi ? C’est lié à ta fac à la con ?
- Je suis en plein milieu de mes partiels, et vendredi, je vais me faire descendre en flammes par mon prof de technologie de l’information, je pourrai jamais rattraper mon retard d’étude. Et là, je me disais que ça allait me changer les idées, mais je cale dessus, je me traine déjà trop de crédits résiduels à rattraper…
- Problèmes d’étudiant intello, ça. Moi, je me la prends pas trop… enfin, la tête, hein ! J’ai commencé à me prendre autre chose… ailleurs, hahaha !
Mais qu’il est con ! Un beau con, ceci dit, et un très bon coup, assez que pour évacuer la conv’ sur l’oreiller après l’amour, parfois, ou la baise, plus souvent

Sauf qu’il a peut-être trouvé le secret du bonheur, il tire des petits mecs comme moi - plutôt bien, faut dire - entre ses trois petits boulots. C’est comme ça que je l’ai connu, il y a deux ans.

(***)

Comme un rituel immuable, Max venait de se retirer de mon cul, j’avais léché la dernière goutte qui suintait de son méat, il s’était rhabillé en silence et était reparti sans un mot. J’avais à peine eu le temps d’enfiler mon short lorsque des coups avaient été frappés à la fenêtre entrouverte sur le jardin. À grands pas, j’avais rejoint Martial sur la terrasse.
- Je veux bien tondre le gazon mais l’abri de jardin est fermé.
- Ah ! T’es déjà là ? Oui, attends, j’ouvre, avais-je répondu en prenant la clé d’une main tremblante. Capté par le jardinier, bien ma veine… Après, il devait déjà bien se douter que je suis gay, il y a des regards qui en disent long, surtout ceux que je porte sur lui, torse nu, alors qu’il court derrière la tondeuse… ‘’Euh, Martial, t’étais là depuis longtemps ? T’as vu quoi ?’’
- Trois minutes, donc j’ai tout vu, ton mec qui ne te prépare même pas le cul, la levrette plan-plan… Après, il est mignon, mais pas un trop bon coup, si ?
- Je… peux pas trop comparer… Dis, t’en parles pas, steuplé.
- Tu devrais, les applis de rencontre, ça existe. Et je juge pas, moi aussi, je kiffe les mecs, avait-il murmuré en me poussant doucement dans la remise, ‘’alors si je peux t’aider à… comparer… Surtout que si je suis venu plus tôt, c’est que mon date a annulé’’.
Le temps que je me retourne pour exprimer mon étonnement, il avait ouvert son pantalon de travail sur un sexe à 150% de celui de Max, même au repos, en se tenant les balloches. ‘’Et j’ai les couilles pleines’’.
Mon moi normal aurait pris le temps de lui expliquer que la prostate et les glandes de Cowper participent plus à la production du sperme que ses jolis petits œufs, mais j’étais juste hypnotisé, j’avais posé les doigts sur son prépuce qui laissait émerger un gland épais…
- Oh ! Jérémie, j’en rêve depuis la première tonte du jardin et que je t’ai vu… Maintenant que je suis sûr… avait-il murmuré, avant de me retourner et de me pencher sur la vieille table de jardin, pour ensuite abaisser mon short, s’accroupir derrière moi et poser sa langue sur ma raie.
- Arrête, Martial, c’est pas propre, Max vient de…
- Vérémie, ffi tu le ffens, ve vais te ffaire la même ffose dans une mifnute, m’en fous un pfeu, tu fvois ?
La caresse inconnue, d’une douceur infinie, m’avait fait glisser dans un état second, où je m’étais entendu murmurer ‘’Prends-moi, s’il te plait’’, en cambrant la croupe, sans trop de dignité.
Il avait alors retiré sa langue. ‘’Pas ainsi, non, retourne-toi, assieds-toi sur la table, je veux te voir, et que tu me voies, je suis un beau mec’’. Je n’avais pas relevé la prétention de sa remarque, qu’il avait appliqué son gland sur ma rondelle et, après un échange de clins d’œil, s’était lentement enfoncé en moi.
Douleur, bien sûr, mais lentement remplacée par l’impression d’être rempli, complété… entier ?
Sans avoir chronométré, je pense que les trois minutes de Max ont été triplées par Martial, lent, patient, semblant savourer chaque mouvement de son corps dans le mien autant que j’appréciais les sensations successives que je ressentais, les tremblements erratiques dans mon bassin, puis dans mes cuisses et ma poitrine… mes jambes désespérément serrées sur sa taille… le filet de liquide pré éjaculatoire qui suintait de mon gland… Jusqu’à son chuchotement ‘’Touche-toi, Jérémie, fais-toi plaiz’, je veux te voir jouir…’’

(***)

Deux ans plus tard, jusqu’au cou dans mes études que je ne mène pas vraiment de manière optimale, lorsque la conversation post-coïtum avec mes rares fuck-buddies ne suffisent plus à compenser le déficit de plaisir, je contacte Martial, comme ce soir. Il est toujours aussi con, mais encore plus beau depuis qu’il s’est lancé dans la construction, ce qui lui a taillé un corps sec et musclé. C’est à se demander quand il trouve le temps de baiser autant de mecs, mais il met tant de détails à me raconter qu’il n’invente pas… Celui qu’il a pris pendant que le mec sniffait ses baskets, celui qui lui a demandé de lui pisser dessus dans sa baignoire… On en rigole juste, je n’aurais pas plus envie d’explorer ces fétichismes étranges que lui à les pratiquer à nouveau.

- Pour sauver ton examen, tu peux pas le sucer ? a-t-il dit, me tirant de mes souvenirs. ‘’Je dis ça…’’
- Hein ? Qui ?
- Ben, ton prof, là. Faut pas être gay pour apprécier une bonne pipe.
- Mais non, les profs ne font pas ça, il y a le truc d’éthique qui… Attends ! Qu’est-ce que tu as dit ? Tu te prends autre chose ailleurs ? Mais tu es actif, un top !
- Évidemment ! Sauf que… Tu connais le foot fetish ? C’est des mecs qui prennent leur pied à te bouffer les orteils, j’ai été curieux, et c’est bizarrement agréable, puis il a remonté mes jambes en léchant et m’a calé sa langue sur le cul, j’ai trop kiffé ! Sauf qu’avant que je réalise, j’avais son gland sur ma rondelle ! Et là, je me suis dit qu’il ne faut pas mourir con, puis surtout, je réalise enfin ce que ça fait de s’en prendre une bonne, et le plaisir… différent, en plus de l’éjac classique.
- Ah ! OK… mais le rapport avec mon souci ?
- Le gars, il est prof à ton université, du coup, l’éthique, hein…
- Prof de quoi ?
- J’en sais rien, mec, ça me dépasse, tout ça, je l’ai juste vu le logo sur des brochures et des courriers qui trainaient, j’ai pas retenu son nom… Ma taille, en hauteur, là, je veux dire, mince, grisonnant… Je peux te montre son profil sur l’appli, on voit évidemment pas son visage, mais bon… Lui, son pseudo, c’est ‘Turing’… Faute de frappe pour ‘Touring’, je suppose, comme quoi, même vos gros cerveaux…
‘Ou pas’, ai-je pensé… Alan Turing était l’un des précurseurs de l’informatique, gay dans l’Angleterre bien-pensante de l’après-guerre.
- Tiens, voilà, juste des photos de corps, pas fantastique, mais bonne queue…
Voui, le corps, je vois… Une jambe, une cheville… et un petit tatouage trop original que pour être répandu.
Monsieur Lardinois, le prof de mon examen de vendredi… celui qui va me flinguer d’un de ses scuds virtuels… il porte exactement le même tattoo sur la cheville, juste au-dessus des sneakers, qu’il porte toujours sans chaussettes.
- Cool, merci, Martial !
- Putain, Jérémie, chais pas si c’est de me souvenir de lui ou de te voir nu, chuis excité à crever, mais j’ai un gros chantier demain…
- Non, mais je comprends, ai-je répondu, un peu distraitement, en faisant défiler le profil de mon prof toujours un peu supposé.
Je ne crois pas trop au principe de la promotion-canapé, mais quitte à me faire baiser virtuellement à mon partiel, autant y goûter en réel. Surtout que Martial a parlé d’orgasme anal, le mec en question était donc actif, et clairement dominant. Nous nous passions désormais parfois de lubrifiant, pour une relation plus sauvage qui me donnait des stimuli plutôt agréables. Quels que soient les fantasmes de ‘Turing’, je pourrais m’y adapter…
J’ai ramené mon attention sur son profil, pour réfléchir à une tactique d’approche… Si ce n’est pas lui (mais combien de renards argentés ayant des liens avec la fac ont-ils le même dessin sur la cheville ?), je m’assure au moins un bon moment de sexe.
Par contre, si c’est bien lui, il chasse plutôt des jeunes mecs hors-milieu académique, du genre de Martial, et pas la faune du campus, discrétion oblige. Pour avoir une chance de l’intéresser, je devais donc cacher cet élément.
J’ai passé dix minutes à repousser les cuticules et tailler les ongles de mes orteils, pour ajouter deux photos à mon profil sur l’appli, sans évidemment ajouter celle de mon visage, bien qu’il soit improbable qu’en trois mois de cours, il m’ait remarqué au milieu des 300 étudiants de l’auditorium.
Arrivé chez lui, je n’aurais qu’à feindre la surprise et un embarras passager qu’il ignorera forcément avec la perspective de se taper un jeune mec pas trop moche du tout, comme j’ai pu l’entendre assez souvent.
Le lendemain, au partiel, je me cale au premier rang, il ne pourra pas se souvenir de moi… Oui, bon plan !
J’ai ouvert son profil trois fois sur la soirée pour laisser une trace de ma visite supposément intéressée.
À 23h45, j’ai reçu une notification de son passage sur le mien.
‘Ferre l’hameçon, gamin, après, tu n’as plus qu’à mouliner’. Merci, Papy, j’ai retenu le conseil. Même si le brave homme pensait juste aux truites, ou peut-être, potentiellement, aux filles…

‘Approche plutôt directe’, avait dit Martial ? Soit, message…
[Salut, mec. Contact ? Je suis un pote de Martial] Oui, c’est bien, ça.
Un quart d’heure d’attente, puis [OK. Même configuration ?]
[Oui, enfin, doux au début, mais ensuite…] Nooon, pas ainsi, en mode caillera de banlieue, efface ça ! [Ouais, ‘fin, soft au début, chuis serré du Q, mais ensuite… ^^]
[Je le serai]
[D’autres requêtes particulières ?] Non, encore trop poli, retour en arrière… [t’as des kiffs ?]
[Pieds nus dans tes sneakers, c’est tout. Jeudi, 22h, l’adresse, c’est… Tu es beau, tu me plais beaucoup. Je suis impatient]
Il a vraiment un fetish du pied, je m’en doutais un peu… Trop bien i S’il y a une partie de mon corps qui ne m’a jamais posé de problème, c’est ça… Martial me l’a dit il y a y a deux ans ‘’Si tu n’avais pas été parfait de la tête aux pieds, pas sûr que je t’aurais baisé’’, c’est que tout chez moi lui avait plu.

- Oh-hooo ! a dit ‘Turing’ en ouvrant la porte, définitivement mon prof de technologie de l’informatique, que je reconnais immédiatement, même si, comme je l’ai supposé, vu le nombre d’étudiants, l’inverse n’est probablement pas vrai…
- Ça veut dire que ça te plait, mec ?
Il a eu un sourire cryptique en me faisant entrer, avant de m’inciter, la main sur ma taille, à remonter un couloir jusqu’à sa chambre, et d’y brandir son smartphone. ‘’C’est la seconde fois que vous m’appelez ‘mec’, monsieur Thiébaut, est-ce une manière de s’adresser à un professeur ?’’
Eh flûûûte, il m’a reconnu, mon beau plan tombe à l’eau…
- Je suis désolé, monsieur, je ne voulais pas…
- Pas quoi ? Si l’on utilise cette application, c’est que l’on souhaite justement quelque chose.
La mort dans l’âme, je lui ai expliqué mon raisonnement un peu tordu, selon lequel il ne me reconnaitrait pas. Puis j’ai évoqué ma relation de deux ans avec Martial.
- Intéressant… C’est un peu le mode de programmation des IA interactives, qui adaptent leur dialogue à celui de leur interlocuteur. Aurais-tu suivi mon cours avec un peu plus d’attention que la moyenne de vos camarades ?
- Je suppose que vous souhaitez que je parte ?
- Tu plaisantes, euh… Jérémie, c’est cela ? Indépendamment de ce que ton cerveau produira lors de l’examen de demain, le reste de ton corps m’a suffisamment intéressé pour que tu sois ici ce soir, a-t-il dit, en me poussant doucement sur le lit.
- Et là, je me…
- D’abord tes sneakers, puis tes vêtements, en remontant le corps, je te prie.
‘Logique’, ai-je pensé en posant mes pieds nus sur le sol, pour retirer d’un geste mon jean et mon boxer, ‘et conforme à la plus que supposition de son fétichisme’. J’avais le tee-shirt sur la tête lorsqu’il a saisi mon pied gauche pour délicatement en sucer les orteils, un a un… ‘Méthodique et peut-être un peu obsessionnel du rituel qui… Ben oui, sa bouche qui remonte lentement mon mollet, prévisible, et maintenant l’intérieur de ma cuisse, pour… Ooooh !’
La langue qui glisse sur mon sphincter, je connais, Martial est ce qu’il est mais… Pourtant, là, on passe un niveau ! La sienne s’est appliquée à détendre ma rosette et à la saliver plus qu’elle ne l’a jamais été.
Avec une attention tout aussi rarement connue à mes réactions, il m’a lentement pénétré, par mouvements lents et progressifs, que j’ai accueillis les yeux fermés, avant de les rouvrir sur son regard perçant.
- Tu es serré, Jérémie… Étonnant si tu connais ce queutard Martial depuis deux ans, puis surement d’autres mecs rencontrés sur l’appli…
- C’est rare, les hommes plus âgés se méfient, peur de se faire piéger ou je ne sais quoi, ai-je bobardé.
- Trop beau pour être vrai, je peux les comprendre, surtout d’aussi mignons… N’empêche, un garçon comme toi, quel gâchis, a-t-il murmuré en se retirant lentement, avant de revenir s’enfoncer d’un seul coup.
- Aaah !
- Doux au début, mais ensuite… C’est ce que tu as dit.
Il s’est à nouveau retiré doucement, avant de revenir, plus brusquement, mais la proportion de douleur et de plaisir commençait déjà à s’inverser.
- Tu aimes ?
- C’est nou… aaah ! nouveau, mais oui, ai-je gémi, en serrant les mollets sur sa taille.
Il a alterné les impulsions délicieusement violentes, et de longs passages lents de son sexe épais dans mon corps, transformant mes grognements de douleur en gémissements de plaisir.
- Tu ne dois pas simuler, a-t-il soufflé, en se redressant légèrement.
- Je ne… oooh… simule pas, je… Re… regardez, ça coule tout seul, j’ai jamais eu ça ! ai-je menti.
- Presque vierge, du moins de sensations, ça flatte outrageusement mon égo. Puis-je pousser l’arrogance à jouir en toi ?
- Oui… Enfin, non, encore un peu, s’il vous plait, ai-je mendié en agitant le poing sur mon sexe.

- Vraiment, presque aucun autre mec ? Je suis surpris, d’autant qu’en étant inscrit sur l’appli, puis en étant à la fac… a-t-il dit, en s’essuyant le gland d‘une lingette hygiénique.
- C’est Martial qui l’a fait, il dit que je suis trop timide, et pas assez assertif, et à l’université, tout se raconte trop vite, ai-je murmuré, en en utilisant une quatrième pour éponger ma semence qui macule mon corps du pubis aux clavicules.
- Dis-moi, tu éjacules toujours autant ?
- Non, je ne comprends pas, même avec Martial… ai-je gémi, avec l’air le plus innocent possible sur le visage.
- Hmmm… j’ai peut-être une explication, a-t-il suggéré, sur un ton faussement badin, mais sans pouvoir se départir de son arrogance de mâle alpha, Martial a une hampe plus fine pour un gland épais, ce qui n’a pas beaucoup d’effet au fond d’un rectum, je suis plus épais sur la longueur, ça t’a essoré la prostate.
- En tout cas, c’était très différent, côté sensations… ai-je admis, modestement, en me disant que son égo était surtout gonflé par sa propre fierté.
- Pour en revenir à tes statistiques, je veux dire celles de séduction de mecs, c’est étonnant, dans chaque promo, j’observe les étudiants. Dans la tienne, j’ai une certitude absolue pour Vercheval, Michiels, Louys… Duysens est clairement une grosse passive… Par contre, toi, tu contrôles très bien ton langage corporel, tu es discret.
- J’espère que ça durera, monsieur.
- Comme moi j’espère que tu ne parleras pas de ce soir…

(***)

‘Merci pour l’info, Monsieur, mais j’étais au courant’ ai-je pensé en pénétrant dans l’auditorium, et en saluant d’un sourire le trio d’étudiants gays qu’il était si fier d’avoir repérés, et qui auraient certainement aimé être à ma place, aussi pass’ que moi, et avec qui j’avais échangé un sexe finalement décevant.

Par curiosité, je me suis placé à côté du quatrième, Duysens, en jetant à mon gros condisciple des clins d’œil d’encouragement, ce dont il m’a remercié ensuite en insistant pour m’offrir un verre, et m’imposer une drague lourdingue blindée d’allusions, puis d’incitations de plus en plus claires à… euh… ‘découvrir le plaisir entre garçons’. S’il savait…
L’expérience, dont j’ai très vite su que je ne la répèterais jamais avec lui, m’a permis de pratiquer la technique de notre prof, l’alternance de coups de bite agressifs et de passages plus lents, ce qu’il m’a permis d’honorer son corps trop flasque d’une dizaine de minutes de pénétration, pas mal pour une première fois comme actif. Et aussi, lorsque j’ai vu la quantité de ma semence que son anus palpitant restituait, de réaliser que ma prostate a décidément une faculté de récupération assez satisfaisante.

Monsieur Lardinois m’a explosé d’un 4/20 à l’examen, pas de sentiments ! Sauf qu’il m’accorde des cours particuliers de rattrapage certains soirs, où il consacre une heure à remplir mon cerveau de notions de technologie de l’information en jouant avec mes orteils pendant qu’il parle, en les suçant alors que je réponds à ses questions, avant de combler autre chose…

J’ai aussi découvert un effet collatéral inattendu à ce qu’il peut m’apprendre lors de mes échanges avec Martial, j’enroule trois doigts à la base de son sexe lorsqu’il me possède, ainsi le passage de son gland se concentre sur ma prostate, pour un plaisir augmenté. Il jouit bien un peu plus vite, mais il a toujours été endurant, et le plaisir qu’il voit qu’il me donne compense suffisamment. L’égo des mecs…

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