Luis

Récit érotique écrit par lelivredejeremie [→ Accès à sa fiche auteur]
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Luis
- Que regardes-tu ? Happy b’day, dear Jeremiah… C’est toi, là, sur la photo ? Et eux, qui est-ce ? a demandé Louis.
- Ma famille d’accueil comme exchange student après le lycée, juillet 2015, à San Diego, Marge et toute sa tribu, son abruti de mari et leurs gnomes dégénérés, Sharon en surpoids, Tom junior avec plus de boutons que de neurones actifs... Elle avait voulu refêter mon anniv’ un mois après, chez eux, d’où le gâteau. Pour les rappels, elle respecte au moins la bonne date.
- Toute la famille… Qui prend la photo, alors ?
- Luis… le jardinier. J’avais dû insister pour qu’il en reçoive une part.
- Je vois le genre, même pas reconnaissante pour ce qu’il faisait pour elle.
Et ce qu’il faisait pour moi, il faut dire…
Maple street, San Diego, juillet 2015
Après un mois, c’est devenu une habitude, assis au bord de la piscine, alors qu’il finit de tondre la pelouse galeuse, caché derrière mes RayBan Wayfarer, je l’observe, et il le sait… Quand il a coupé le moteur, il rentre la tondeuse puis, sans refermer la porte de l’abri de jardin, il s’y adosse et croise les bras, superbe d’arrogance.
Luis est le cliché du caillera de cité, mais en version US, il ne sort pas d’une barre du 93 mais d’un parc à caravanes de banlieue, le survêt’ Fila et les Nike Air Max sont remplacés par un jeans et des sneakers usés, mais sinon, sèchement musclé, la démarche féline, la peau tatouée…
La première fois, il m’avait fixé en retour, sans bouger. À me calculer, en fait. Comme je n’aime pas laisser les gens dans le flou, je m’étais levé de la margelle et, juste en Speedo, tongs aux pieds, je l’avais lentement rejoint pour lui remettre les vingt dollars de Marge, en murmurant lascivement ‘’C’est pas gras pour deux heures de boulot, tu mériterais un supplément’’, avant de pénétrer dans la cabane. Il m’y avait suivi, quasiment collé, et avait soufflé ‘’Offert par qui ?’’. Je lui avais tourné le dos et, en me cambrant, j’avais frotté mes fesses sur le relief encore caché par son jeans rugueux.
Mon maillot descendu sur mes cuisses, une tirette dézippée, un crachat, ce que je savais être une masturbation sommaire, second mollard, et son gland pressé sur ma rondelle… ‘’You want it ?’’
Ça avait été légèrement agressif, comme je l’imaginais dans son ‘trailer park’, à défoncer des trous faciles, bourriner, et se vider en grognant… Sauf qu’il avait tenu longtemps, assez pour me donner un début de plaisir plutôt prometteur.
Ensuite, deux dimanches successifs, je l’ai initié aux préliminaires – ses réticences à me lécher le sphincter ont disparu quand il a découvert que je me rince – et à l’attention à porter à ma prostate.
Aussi, les rituels, c’est fait pour être bousculé, l’odeur de transpi, c’est excitant au début, me faire baiser de dos, ça le peut le faire, mais j’ai eu envie de le voir nu, et me prendre sa bite glorieuse, mais en missionnaire, désormais, parce que bon…
J’étais tellement loin dans mon trip mental, où il me démontait, les jambes sur ses épaules, je n’ai pas remarqué qu’il a approché. ‘’Tu lis quoi, là ? Sinon, j’ai fini… encore juste un détail à fignoler.’’
Je lui ai tendu les billets. ‘’Un Jeune Américain, d’Edmund White, l’histoire d’un garçon qui apprend à vivre son homosexualité… Dis, tu n’as pas envie de piquer une tête ?’’
- Mrs Simpson ne voudrait pas, et je n’ai pas de maillot.
- On est dimanche, ils sont au temple… ai-je dit, sans me lever.
Il a capté mon petit défi à la con et, sans regard sur mon maillot que je retire en me tortillant, les yeux dans les miens, il a viré ses sneakers pourris en jouant de la pointe sur les talons, pour poser sur l’herbe roussie ses pieds nus, avec un dépôt noir entre ses longs orteils. Bah, ça disparaitra dans l’eau chlorée, puis avec lui, j’avais tout de même échappé à la crème aigre parfois fréquente sous les prépuces…
Ça m’avait étonné pour un Latino théoriquement catholique, mais après avoir sucé trois ‘seniors’ de la Silver Crest Academy entre-temps, j’avais conclu que la circoncision est un truc culturel aux Etats-Unis, et que ça insensibilise apparemment un peu le gland. Alors que mon désormais ex jouissait en quelques minutes, Dylan, Rob et Maxwell m’avaient limé le rectum bien plus longtemps.
Il a fait une bombe dans la piscine, avant de s’approcher du bord où j’agite mes jambes, écartées.
- Vous êtes bizarres, les Européens… Cools, désinhibés, puis, ce truc, là.
L’étrange fascination des Américains pour les prépuces…
- Tu ne le vois pas trop, comme tu me baises, il se rétracte quand l’érection est complète, sinon ça le fait avec la main.
Il m’a décalotté, amusé, et a donné un coup de langue sur mon gland… ‘’Sweet, and clean… Mais ça va pas le faire, ici, je remonte.’’
Je suis allé m’asseoir sur une chaise-longue de la terrasse, où il m’a rejoint, il s’est agenouillé entre mes jambes et m’a poussé sur le matelas, avant de poser un doigt mouillé sur mon sphincter et de le dépasser, puis un second, à la recherche du faible relief, qu’il a doucement massé un moment. ‘’Now, flip on your hands and knees…’’
- Non, je préfère de face, c’est différent, ai-je minaudé, en taisant ma véritable motivation, profiter bien plus qu’en levrette du passage de la couronne de son gland sur ma prostate. J’ai jeté mes jambes sur sa taille et je l’ai tiré sur moi… En moi. La légère douleur… ‘’Aaaaah, doucement… Oh, comme çaaah… Arrête… juste là… Oooh, c’est booon… Maintenant, bouge lentement.’’
Étonné par le changement de position, il s’est interrompu deux secondes, un sourcil relevé, avant de hausser les épaules, et de reprendre ses mouvements, pour à nouveau s’arrêter, le regard calé sur mon gland qui suinte lentement. ‘’You’re cumming…’’
- Non, c’est… Hmm… juste du… liquide séminal, c’est le premier… Oooh… premier plaisir. Viens.
Il a grogné un ‘’OK’’ qui dit autant qu’il s’en fout, finalement, que son impatience, et a entamé des pénétrations toujours plus profondes… ‘’T’es putain de serré… Han ! mais c’est différent, ouais.’’
J’ai serré les cuisses et noué mes bras sur sa nuque pour coller nos torses et limiter l’amplitude des va-et-vient de son membre en moi, avant de sentir ses lèvres sur les miennes et sa langue qui vient chercher la mienne, dans un baiser sauvage, le premier, signe qu’il s’oublie dans mon corps, alors que je m’abandonne au climax du plaisir qui me foudroie… ‘’Oooh… Luis… Fuck me ! Harder !’’
Il s’est cambré sur ses bras tendus, ses pectoraux bandés, les yeux luisants de désir, sa mâchoire serrée et a gémi ‘’Oooh… Oh my god… Fuck… Fuck… Fuuuck ! Aaaaah…’’ pour m’offrir un sourire vainqueur et lentement se retirer. Sa queue a sauté comme un ressort, en projetant une dernière salve de sperme sur mon pubis, que j’ai découvert, maculé de ma propre semence. ‘’Tu avais joui… sans te toucher…’’
- C’est rare. Et pas grand-chose, à côté de ce que tu m’as mis, ça coule déjà… et ça n’en finit pas… Marge m’a offert un sweat-shirt ‘I love San Diego’ avec une feuille de cannabis stylisée dont elle croit que c’est du ricin de Californie, cette conne, mais ceci… c’est mon plus beau cadeau !
- Je… C’est juste que je n’ai pas baisé de la semaine, je voulais… je sais pas… me garder pour toi.
Mouais, c’est mignon, on dira… Enfin, un peu cringe, surtout, mais heureusement, j’ai entendu le moteur de la voiture de Tom devant la maison.
- Et flûte, ils sont rentrés de l’office, rhabille-toi vite ! ai-je glapi, une main en cuillère pour récupérer le flot de son jus qui me coule du cul et, speedo en main, sauter dans la piscine, pour en ressortir plus présentable, au moment où la tribu déboule sur la terrasse.
Elle a toisé le jeune Latino. ‘’Qu’est-ce qui te retient encore ici, Luis ?’’
- On parlait littérature, Marge… ai-je expliqué, en prenant mon livre en main.
- Avec Luis ? Tu arrives décidément à… tirer le meilleur de tout le monde, Jérémie. Qu’est-ce là ? Heun… djoune… American, jamais entendu parler, mais si l’auteur s’appelle White, il me plait déjà.
- Tirer, oui, dans un sens… C’est un roman… d’apprentissage, disons. Mais en version française, sans quoi je vous le prêtais, lui ai-je souri.
- Dommage, oui… Enfin, j’ai pris un gâteau, happy birthday, my dear boy !
- Oh ! Il est superbe, Marge, vous m’avez gâté… Il est grand, on peut en offrir une part à Luis ?
- Mais… eh bien, oui, naturellement, a-t-elle sifflé, avec un sourire faux-cul à crever.
- Jérémie, tu rêves. Je disais, c’est marrant, on a presque le même prénom, on se ressemble ?
- Paaas… vraiment, non, Louis.
- Sinon, il était bon ?
- Hein ?
- Le gâteau, Jérémie.
- Oh, tu sais, les douceurs américaines… trop de crème, ça coule, en s’en fout partout.
- Ma famille d’accueil comme exchange student après le lycée, juillet 2015, à San Diego, Marge et toute sa tribu, son abruti de mari et leurs gnomes dégénérés, Sharon en surpoids, Tom junior avec plus de boutons que de neurones actifs... Elle avait voulu refêter mon anniv’ un mois après, chez eux, d’où le gâteau. Pour les rappels, elle respecte au moins la bonne date.
- Toute la famille… Qui prend la photo, alors ?
- Luis… le jardinier. J’avais dû insister pour qu’il en reçoive une part.
- Je vois le genre, même pas reconnaissante pour ce qu’il faisait pour elle.
Et ce qu’il faisait pour moi, il faut dire…
Maple street, San Diego, juillet 2015
Après un mois, c’est devenu une habitude, assis au bord de la piscine, alors qu’il finit de tondre la pelouse galeuse, caché derrière mes RayBan Wayfarer, je l’observe, et il le sait… Quand il a coupé le moteur, il rentre la tondeuse puis, sans refermer la porte de l’abri de jardin, il s’y adosse et croise les bras, superbe d’arrogance.
Luis est le cliché du caillera de cité, mais en version US, il ne sort pas d’une barre du 93 mais d’un parc à caravanes de banlieue, le survêt’ Fila et les Nike Air Max sont remplacés par un jeans et des sneakers usés, mais sinon, sèchement musclé, la démarche féline, la peau tatouée…
La première fois, il m’avait fixé en retour, sans bouger. À me calculer, en fait. Comme je n’aime pas laisser les gens dans le flou, je m’étais levé de la margelle et, juste en Speedo, tongs aux pieds, je l’avais lentement rejoint pour lui remettre les vingt dollars de Marge, en murmurant lascivement ‘’C’est pas gras pour deux heures de boulot, tu mériterais un supplément’’, avant de pénétrer dans la cabane. Il m’y avait suivi, quasiment collé, et avait soufflé ‘’Offert par qui ?’’. Je lui avais tourné le dos et, en me cambrant, j’avais frotté mes fesses sur le relief encore caché par son jeans rugueux.
Mon maillot descendu sur mes cuisses, une tirette dézippée, un crachat, ce que je savais être une masturbation sommaire, second mollard, et son gland pressé sur ma rondelle… ‘’You want it ?’’
Ça avait été légèrement agressif, comme je l’imaginais dans son ‘trailer park’, à défoncer des trous faciles, bourriner, et se vider en grognant… Sauf qu’il avait tenu longtemps, assez pour me donner un début de plaisir plutôt prometteur.
Ensuite, deux dimanches successifs, je l’ai initié aux préliminaires – ses réticences à me lécher le sphincter ont disparu quand il a découvert que je me rince – et à l’attention à porter à ma prostate.
Aussi, les rituels, c’est fait pour être bousculé, l’odeur de transpi, c’est excitant au début, me faire baiser de dos, ça le peut le faire, mais j’ai eu envie de le voir nu, et me prendre sa bite glorieuse, mais en missionnaire, désormais, parce que bon…
J’étais tellement loin dans mon trip mental, où il me démontait, les jambes sur ses épaules, je n’ai pas remarqué qu’il a approché. ‘’Tu lis quoi, là ? Sinon, j’ai fini… encore juste un détail à fignoler.’’
Je lui ai tendu les billets. ‘’Un Jeune Américain, d’Edmund White, l’histoire d’un garçon qui apprend à vivre son homosexualité… Dis, tu n’as pas envie de piquer une tête ?’’
- Mrs Simpson ne voudrait pas, et je n’ai pas de maillot.
- On est dimanche, ils sont au temple… ai-je dit, sans me lever.
Il a capté mon petit défi à la con et, sans regard sur mon maillot que je retire en me tortillant, les yeux dans les miens, il a viré ses sneakers pourris en jouant de la pointe sur les talons, pour poser sur l’herbe roussie ses pieds nus, avec un dépôt noir entre ses longs orteils. Bah, ça disparaitra dans l’eau chlorée, puis avec lui, j’avais tout de même échappé à la crème aigre parfois fréquente sous les prépuces…
Ça m’avait étonné pour un Latino théoriquement catholique, mais après avoir sucé trois ‘seniors’ de la Silver Crest Academy entre-temps, j’avais conclu que la circoncision est un truc culturel aux Etats-Unis, et que ça insensibilise apparemment un peu le gland. Alors que mon désormais ex jouissait en quelques minutes, Dylan, Rob et Maxwell m’avaient limé le rectum bien plus longtemps.
Il a fait une bombe dans la piscine, avant de s’approcher du bord où j’agite mes jambes, écartées.
- Vous êtes bizarres, les Européens… Cools, désinhibés, puis, ce truc, là.
L’étrange fascination des Américains pour les prépuces…
- Tu ne le vois pas trop, comme tu me baises, il se rétracte quand l’érection est complète, sinon ça le fait avec la main.
Il m’a décalotté, amusé, et a donné un coup de langue sur mon gland… ‘’Sweet, and clean… Mais ça va pas le faire, ici, je remonte.’’
Je suis allé m’asseoir sur une chaise-longue de la terrasse, où il m’a rejoint, il s’est agenouillé entre mes jambes et m’a poussé sur le matelas, avant de poser un doigt mouillé sur mon sphincter et de le dépasser, puis un second, à la recherche du faible relief, qu’il a doucement massé un moment. ‘’Now, flip on your hands and knees…’’
- Non, je préfère de face, c’est différent, ai-je minaudé, en taisant ma véritable motivation, profiter bien plus qu’en levrette du passage de la couronne de son gland sur ma prostate. J’ai jeté mes jambes sur sa taille et je l’ai tiré sur moi… En moi. La légère douleur… ‘’Aaaaah, doucement… Oh, comme çaaah… Arrête… juste là… Oooh, c’est booon… Maintenant, bouge lentement.’’
Étonné par le changement de position, il s’est interrompu deux secondes, un sourcil relevé, avant de hausser les épaules, et de reprendre ses mouvements, pour à nouveau s’arrêter, le regard calé sur mon gland qui suinte lentement. ‘’You’re cumming…’’
- Non, c’est… Hmm… juste du… liquide séminal, c’est le premier… Oooh… premier plaisir. Viens.
Il a grogné un ‘’OK’’ qui dit autant qu’il s’en fout, finalement, que son impatience, et a entamé des pénétrations toujours plus profondes… ‘’T’es putain de serré… Han ! mais c’est différent, ouais.’’
J’ai serré les cuisses et noué mes bras sur sa nuque pour coller nos torses et limiter l’amplitude des va-et-vient de son membre en moi, avant de sentir ses lèvres sur les miennes et sa langue qui vient chercher la mienne, dans un baiser sauvage, le premier, signe qu’il s’oublie dans mon corps, alors que je m’abandonne au climax du plaisir qui me foudroie… ‘’Oooh… Luis… Fuck me ! Harder !’’
Il s’est cambré sur ses bras tendus, ses pectoraux bandés, les yeux luisants de désir, sa mâchoire serrée et a gémi ‘’Oooh… Oh my god… Fuck… Fuck… Fuuuck ! Aaaaah…’’ pour m’offrir un sourire vainqueur et lentement se retirer. Sa queue a sauté comme un ressort, en projetant une dernière salve de sperme sur mon pubis, que j’ai découvert, maculé de ma propre semence. ‘’Tu avais joui… sans te toucher…’’
- C’est rare. Et pas grand-chose, à côté de ce que tu m’as mis, ça coule déjà… et ça n’en finit pas… Marge m’a offert un sweat-shirt ‘I love San Diego’ avec une feuille de cannabis stylisée dont elle croit que c’est du ricin de Californie, cette conne, mais ceci… c’est mon plus beau cadeau !
- Je… C’est juste que je n’ai pas baisé de la semaine, je voulais… je sais pas… me garder pour toi.
Mouais, c’est mignon, on dira… Enfin, un peu cringe, surtout, mais heureusement, j’ai entendu le moteur de la voiture de Tom devant la maison.
- Et flûte, ils sont rentrés de l’office, rhabille-toi vite ! ai-je glapi, une main en cuillère pour récupérer le flot de son jus qui me coule du cul et, speedo en main, sauter dans la piscine, pour en ressortir plus présentable, au moment où la tribu déboule sur la terrasse.
Elle a toisé le jeune Latino. ‘’Qu’est-ce qui te retient encore ici, Luis ?’’
- On parlait littérature, Marge… ai-je expliqué, en prenant mon livre en main.
- Avec Luis ? Tu arrives décidément à… tirer le meilleur de tout le monde, Jérémie. Qu’est-ce là ? Heun… djoune… American, jamais entendu parler, mais si l’auteur s’appelle White, il me plait déjà.
- Tirer, oui, dans un sens… C’est un roman… d’apprentissage, disons. Mais en version française, sans quoi je vous le prêtais, lui ai-je souri.
- Dommage, oui… Enfin, j’ai pris un gâteau, happy birthday, my dear boy !
- Oh ! Il est superbe, Marge, vous m’avez gâté… Il est grand, on peut en offrir une part à Luis ?
- Mais… eh bien, oui, naturellement, a-t-elle sifflé, avec un sourire faux-cul à crever.
- Jérémie, tu rêves. Je disais, c’est marrant, on a presque le même prénom, on se ressemble ?
- Paaas… vraiment, non, Louis.
- Sinon, il était bon ?
- Hein ?
- Le gâteau, Jérémie.
- Oh, tu sais, les douceurs américaines… trop de crème, ça coule, en s’en fout partout.
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