Marathon interrompu

Récit érotique écrit par lelivredejeremie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 53 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de lelivredejeremie ont reçu un total de 164 530 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 1 763 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Marathon interrompu
- J’arrive ! ai-je crié, en sautillant jusqu’à la porte de mon appartement que j’ai ouverte sur mon voisin. ‘’Pile à l’heure, Denis. Et désolé, d’habitude, je cours pour les beaux mecs, mais là…’’
- Je voulais voir par moi-même ton membre rigide… enfin, ton genou immobilisé. La vieille dame du premier avait encore exagéré, je me disais bien qu’on ne place qu’une atèle pour un ligament déchiré. Quant à courir… Un marathon, ça se prépare, gamin.
- Ouaiiis, papa.
C’est un jeu, je le chauffe gentiment, il me casse en retour, juste de la taquinerie. Faute de mieux...
- Hmmm… J’étais précoce, à onze ans, je ne tirais déjà plus tout à fait à sec, ce serait jouable, sauf que si tu étais mon fils, tu serais plus malin.
- Mais je serais moins beau, ai-je soufflé, attendant une réplique cinglante, qui n’est pas venue, il me jette un regard indéchiffrable, avant d’agiter une clé USB.
- En téléchargeant des films, je suis tombé sur Trigger… Détente, en français, tu connais ? L’histoire d’un maigrichon maladroit qui se casse une patte, un voisin sympa vient l’aider pour aller pisser… Non, je rigole, c’est un tueur à gages qui a un bras plâtré, il doit demander l’aide de son petit voisin, un maigrichon très maladroit… Bref, ça te dit ?
Pendant le film, je me suis légèrement redressé en remarquant que le jeune empoté, châtain, yeux clairs, soixante kilos tout mouillé, me ressemble un peu, puis une seconde fois quand les deux personnages se rapprochent, torse nu, avant que la caméra dévie. Frustrant.
- Rocambolesque, et marrant, ai-je admis au générique de fin, mais le mec hyper viril tout en muscles qui fond pour un twink des deux tiers de son âge, et de son poids, côté crédibilité…
- Vraiment ?
- Le truc de proportion. Bon, le contraire, je ne dis pas, le lutin qui craque pour son inverse absolu... Enfin, c’était très cool, merci pour le bon moment, ai-je souri, avant de me pencher pour déposer un bisou sur sa joue… et qu’il tourne le visage vers moi juste avant le contact. ‘’Oh !’’
Mais il ne s’est pas reculé, il a posé une main sur ma nuque, et replacé ses lèvres sur ma bouche, que j’ai entrouverte, pour avancer la pointe de ma langue à la rencontre de la sienne. J’ai poussé un gémissement étouffé, répété lorsque j’ai senti ses doigts se poser juste au-dessus de l’atèle, remonter sous la jambe de mon bermuda ample, et reprendre au-dessus du tissu sa progression le long de ma cuisse, puis sur mon membre qu’il a doucement massé et fait légèrement grandir.
- Oui, Denis, oui… ai-je sobrement murmuré, en détachant les deux boutons de mes doigts fébriles.
- Pas si petit, un sexe de lutin, enfin, c’est en proportion, quoi, pour autant que je puisse juger au toucher.
J’ai soulevé mon bassin et il a fait glisser mon pantacourt jusqu’à mes chevilles.
- Très joli, aussi, quant au goût… Je peux ? Cligne une fois des yeux pour oui et deux pour…
Plongé dans son regard, je n’aurais pas pu prononcer un mot, et là… Ooh… Je me suis abandonné à la caresse de ses lèvres sur ma hampe, et de sa langue sur mon gland décalotté, en écartant lentement les cuisses. Il a légèrement relevé la tête, un bruissement humide, et a repris sa caresse, en passant ses doigts couverts de salive sur mon périnée avant de les presser sur mon sphincter, le franchir, et aller à la recherche de ma prostate, qu’il a longuement massée.
- Denis… Oooh… Juste là, oui, c’est booon…
- Ffe le gouttffe… liquffide ffpré-ffséminal… Touffe-toi, Lucas, fais-toi pflaisir… a-t-il ânonné en remontant ses lèvres jusque mon frein et la couronne de mon gland pour y faire glisser sa langue, en plaçant de son autre main mes doigts à la base de mon sexe.
- Non, pas… ainsi, je voudrais… te sentir en moi, mais dans mon état, s’il te plait, sois…
- Tu veux dire que… tu t’offres ? Oui, je serais doux, bien sûr.
- Mais fort, aussi, ai-je minaudé, en passant la main sur le relief de son entrejambe.
Il l’a prouvé directement en passant un bras sous le pliant de mes genoux et l’autre dans mon dos, pour soulever mon poids-plume, et m’asseoir sur mon lit défait, mon bermuda toujours sur mes chevilles, que j’ai viré en battant des jambes, avant de retirer mon tee-shirt.
- Je n’osais pas espérer, a-t-il soufflé en déboutonnant sa chemise puis, en jouant des orteils sur ses talons pour retirer ses sneakers portés pieds nus, et en ouvrant son pantalon qu’il a abaissé à mi-cuisses, sans me lâcher du regard.
- Vraiment, tu n’osais pas… ? Donc, tu ne portes jamais de boxer ?
Il a souri ‘’J’ai pu avoir un léger espoir, j’avoue…’’, pour complètement dégager ses jambes, et se redresser devant moi.
Je me suis penché, j’ai saisi son sexe lourd, déjà presque raide… ‘’Wow !’’, et j’ai dégagé le gland de son prépuce épais.
- Hm… Déso-pas-déso pour mon état, c’est juste que… je te désire depuis que tu as emménagé dans l’immeuble.
- Depuis… six mois ?
- Ponctués de mecs, de mon âge puis de quelques-uns plus jeunes… qui n’étaient pas toi, que j’ai tous pris de dos pour au moins pouvoir imaginer… Note que là, pour ton genou, ce serait peut-être mieux en cuillère.
- Non ! Je veux te voir me faire l’amour.
Il m’a doucement poussé sur le matelas pour s’agenouiller et relever mes jambes, a murmuré ‘’Je pensais bien que tu n’étais pas le genre de garçon à utiliser le terme… baiser’’ et a glissé la langue entre mes fesses pour ajouter ‘’Tu es ffroffre, v’avais dévà remarqué’’ en agitant deux doigts en l’air.
- Je me suis rincé à la poire, j’avais aussi eu… le léger espoir que… Oooh… C’est… Oooooh… c’est bon, ainsi, oui… Viens… viens me…
- Te faire l’amour, oui, longuement.
J’ai avancé la main pour enrouler mes doigts sur la base de sa queue, et réaliser qu’il n’a enfoncé que la moitié de ses dix-sept centimètres, estimation à vue d’oeil, et limite le passage de son gland sur ma prostate. ‘’Juste… juste là, oui…’’
Son regard dans le mien, qui dit qu’il sait… Mon plaisir qui monte, et finit par plafonner à un niveau presque insupportable, à la sensation qui précède mon éjac’, sans tout à fait l’atteindre.
- Viens, maintenant, plus fort !
- Tu es très… étroit… serré… je ne veux pas venir… avant toi. Dis-moi juste si… je vais trop loin.
Attentif à mes réactions, il a poussé son gland par lents à-coups, toujours plus amples et profonds.
- Aaaaah… Non, ça va, c’est bon… Oui… Oooh… Longue… meeent !
J’ai chassé les pensées parasites sur son âge, la légendaire maturité, et son évidente endurance, pour focaliser mon esprit sur la colonne de chair raide qui alterne la stimulation de ma glande sensible et la possession complète de mon rectum.
Il a murmuré ‘’Jérémie, touche-toi, fais-toi plaisir’’, attirant mon attention sur ma hampe mi-molle, spontanément décalottée, et mon gland luisant du présperme qui fuit en fin filet. J’ai fait coulisser mes doigts, pour très vite éjecter quatre salves de semence sur mon ventre, puis deux autres qui ont coulé sur ma main.
- Tu es si… si beau dans le plaisir… je… je vais jouir, je… Je me retire.
- Non ! Non, reste… Reste et viens en moi…
Il s’est redressé, les bras tendus sur le matelas, ses pectoraux gonflés, les tendons de son cou apparents, les ailes de son nez palpitantes, sa bouche entrouverte… ‘’Ah… Ah… Aaaaah…’’
J’ai jeté les mains sur sa nuque et je l’ai embrassé, sa langue a rejoint la mienne, et c’était encore meilleur que la première fois.
- Quand même, six mois, tout ce temps perdu, c’est bête, ai-je dit, interrompu par mon estomac qui me rappelle que… ‘’Oups, oui, je n’ai pas mangé depuis ce matin, en me disant que peut-être…’’
- Je vais chercher au sushi bar dans la rue, ça te dit ? Une préférence ?
- Anguille fumée, concombre…
- Que des trucs allongés, quoi !
Sans attendre ma réponse, il s’est rhabillé et a filé.
Mes deux jambes maintenant mal assurées, je me suis trainé à la douche, pour lancer l’eau tiède, et j’ai saisi ma poire de lavement, au cas où je pourrais le persuader de jouer le match-retour.
Une serviette sur la taille, j’ai clopiné jusqu’à la porte qu’il tambourine. ‘’Déjà ? Tu peux être rapide.’’
- J’ai croisé la vieille du premier dans l’entrée, je lui ai dit que tu n’es pas plâtré, et elle m’a répondu qu’elle le savait très bien mais qu’elle espérait que je passe te rendre visite. Donc, elle soupçonnait peut-être déjà pour moi, puis pour toi…
- Et, qui sait, pour… nous, maintenant. On pourrait l’inviter à diner à l’occasion, mais pas ce soir…
- Je voulais voir par moi-même ton membre rigide… enfin, ton genou immobilisé. La vieille dame du premier avait encore exagéré, je me disais bien qu’on ne place qu’une atèle pour un ligament déchiré. Quant à courir… Un marathon, ça se prépare, gamin.
- Ouaiiis, papa.
C’est un jeu, je le chauffe gentiment, il me casse en retour, juste de la taquinerie. Faute de mieux...
- Hmmm… J’étais précoce, à onze ans, je ne tirais déjà plus tout à fait à sec, ce serait jouable, sauf que si tu étais mon fils, tu serais plus malin.
- Mais je serais moins beau, ai-je soufflé, attendant une réplique cinglante, qui n’est pas venue, il me jette un regard indéchiffrable, avant d’agiter une clé USB.
- En téléchargeant des films, je suis tombé sur Trigger… Détente, en français, tu connais ? L’histoire d’un maigrichon maladroit qui se casse une patte, un voisin sympa vient l’aider pour aller pisser… Non, je rigole, c’est un tueur à gages qui a un bras plâtré, il doit demander l’aide de son petit voisin, un maigrichon très maladroit… Bref, ça te dit ?
Pendant le film, je me suis légèrement redressé en remarquant que le jeune empoté, châtain, yeux clairs, soixante kilos tout mouillé, me ressemble un peu, puis une seconde fois quand les deux personnages se rapprochent, torse nu, avant que la caméra dévie. Frustrant.
- Rocambolesque, et marrant, ai-je admis au générique de fin, mais le mec hyper viril tout en muscles qui fond pour un twink des deux tiers de son âge, et de son poids, côté crédibilité…
- Vraiment ?
- Le truc de proportion. Bon, le contraire, je ne dis pas, le lutin qui craque pour son inverse absolu... Enfin, c’était très cool, merci pour le bon moment, ai-je souri, avant de me pencher pour déposer un bisou sur sa joue… et qu’il tourne le visage vers moi juste avant le contact. ‘’Oh !’’
Mais il ne s’est pas reculé, il a posé une main sur ma nuque, et replacé ses lèvres sur ma bouche, que j’ai entrouverte, pour avancer la pointe de ma langue à la rencontre de la sienne. J’ai poussé un gémissement étouffé, répété lorsque j’ai senti ses doigts se poser juste au-dessus de l’atèle, remonter sous la jambe de mon bermuda ample, et reprendre au-dessus du tissu sa progression le long de ma cuisse, puis sur mon membre qu’il a doucement massé et fait légèrement grandir.
- Oui, Denis, oui… ai-je sobrement murmuré, en détachant les deux boutons de mes doigts fébriles.
- Pas si petit, un sexe de lutin, enfin, c’est en proportion, quoi, pour autant que je puisse juger au toucher.
J’ai soulevé mon bassin et il a fait glisser mon pantacourt jusqu’à mes chevilles.
- Très joli, aussi, quant au goût… Je peux ? Cligne une fois des yeux pour oui et deux pour…
Plongé dans son regard, je n’aurais pas pu prononcer un mot, et là… Ooh… Je me suis abandonné à la caresse de ses lèvres sur ma hampe, et de sa langue sur mon gland décalotté, en écartant lentement les cuisses. Il a légèrement relevé la tête, un bruissement humide, et a repris sa caresse, en passant ses doigts couverts de salive sur mon périnée avant de les presser sur mon sphincter, le franchir, et aller à la recherche de ma prostate, qu’il a longuement massée.
- Denis… Oooh… Juste là, oui, c’est booon…
- Ffe le gouttffe… liquffide ffpré-ffséminal… Touffe-toi, Lucas, fais-toi pflaisir… a-t-il ânonné en remontant ses lèvres jusque mon frein et la couronne de mon gland pour y faire glisser sa langue, en plaçant de son autre main mes doigts à la base de mon sexe.
- Non, pas… ainsi, je voudrais… te sentir en moi, mais dans mon état, s’il te plait, sois…
- Tu veux dire que… tu t’offres ? Oui, je serais doux, bien sûr.
- Mais fort, aussi, ai-je minaudé, en passant la main sur le relief de son entrejambe.
Il l’a prouvé directement en passant un bras sous le pliant de mes genoux et l’autre dans mon dos, pour soulever mon poids-plume, et m’asseoir sur mon lit défait, mon bermuda toujours sur mes chevilles, que j’ai viré en battant des jambes, avant de retirer mon tee-shirt.
- Je n’osais pas espérer, a-t-il soufflé en déboutonnant sa chemise puis, en jouant des orteils sur ses talons pour retirer ses sneakers portés pieds nus, et en ouvrant son pantalon qu’il a abaissé à mi-cuisses, sans me lâcher du regard.
- Vraiment, tu n’osais pas… ? Donc, tu ne portes jamais de boxer ?
Il a souri ‘’J’ai pu avoir un léger espoir, j’avoue…’’, pour complètement dégager ses jambes, et se redresser devant moi.
Je me suis penché, j’ai saisi son sexe lourd, déjà presque raide… ‘’Wow !’’, et j’ai dégagé le gland de son prépuce épais.
- Hm… Déso-pas-déso pour mon état, c’est juste que… je te désire depuis que tu as emménagé dans l’immeuble.
- Depuis… six mois ?
- Ponctués de mecs, de mon âge puis de quelques-uns plus jeunes… qui n’étaient pas toi, que j’ai tous pris de dos pour au moins pouvoir imaginer… Note que là, pour ton genou, ce serait peut-être mieux en cuillère.
- Non ! Je veux te voir me faire l’amour.
Il m’a doucement poussé sur le matelas pour s’agenouiller et relever mes jambes, a murmuré ‘’Je pensais bien que tu n’étais pas le genre de garçon à utiliser le terme… baiser’’ et a glissé la langue entre mes fesses pour ajouter ‘’Tu es ffroffre, v’avais dévà remarqué’’ en agitant deux doigts en l’air.
- Je me suis rincé à la poire, j’avais aussi eu… le léger espoir que… Oooh… C’est… Oooooh… c’est bon, ainsi, oui… Viens… viens me…
- Te faire l’amour, oui, longuement.
J’ai avancé la main pour enrouler mes doigts sur la base de sa queue, et réaliser qu’il n’a enfoncé que la moitié de ses dix-sept centimètres, estimation à vue d’oeil, et limite le passage de son gland sur ma prostate. ‘’Juste… juste là, oui…’’
Son regard dans le mien, qui dit qu’il sait… Mon plaisir qui monte, et finit par plafonner à un niveau presque insupportable, à la sensation qui précède mon éjac’, sans tout à fait l’atteindre.
- Viens, maintenant, plus fort !
- Tu es très… étroit… serré… je ne veux pas venir… avant toi. Dis-moi juste si… je vais trop loin.
Attentif à mes réactions, il a poussé son gland par lents à-coups, toujours plus amples et profonds.
- Aaaaah… Non, ça va, c’est bon… Oui… Oooh… Longue… meeent !
J’ai chassé les pensées parasites sur son âge, la légendaire maturité, et son évidente endurance, pour focaliser mon esprit sur la colonne de chair raide qui alterne la stimulation de ma glande sensible et la possession complète de mon rectum.
Il a murmuré ‘’Jérémie, touche-toi, fais-toi plaisir’’, attirant mon attention sur ma hampe mi-molle, spontanément décalottée, et mon gland luisant du présperme qui fuit en fin filet. J’ai fait coulisser mes doigts, pour très vite éjecter quatre salves de semence sur mon ventre, puis deux autres qui ont coulé sur ma main.
- Tu es si… si beau dans le plaisir… je… je vais jouir, je… Je me retire.
- Non ! Non, reste… Reste et viens en moi…
Il s’est redressé, les bras tendus sur le matelas, ses pectoraux gonflés, les tendons de son cou apparents, les ailes de son nez palpitantes, sa bouche entrouverte… ‘’Ah… Ah… Aaaaah…’’
J’ai jeté les mains sur sa nuque et je l’ai embrassé, sa langue a rejoint la mienne, et c’était encore meilleur que la première fois.
- Quand même, six mois, tout ce temps perdu, c’est bête, ai-je dit, interrompu par mon estomac qui me rappelle que… ‘’Oups, oui, je n’ai pas mangé depuis ce matin, en me disant que peut-être…’’
- Je vais chercher au sushi bar dans la rue, ça te dit ? Une préférence ?
- Anguille fumée, concombre…
- Que des trucs allongés, quoi !
Sans attendre ma réponse, il s’est rhabillé et a filé.
Mes deux jambes maintenant mal assurées, je me suis trainé à la douche, pour lancer l’eau tiède, et j’ai saisi ma poire de lavement, au cas où je pourrais le persuader de jouer le match-retour.
Une serviette sur la taille, j’ai clopiné jusqu’à la porte qu’il tambourine. ‘’Déjà ? Tu peux être rapide.’’
- J’ai croisé la vieille du premier dans l’entrée, je lui ai dit que tu n’es pas plâtré, et elle m’a répondu qu’elle le savait très bien mais qu’elle espérait que je passe te rendre visite. Donc, elle soupçonnait peut-être déjà pour moi, puis pour toi…
- Et, qui sait, pour… nous, maintenant. On pourrait l’inviter à diner à l’occasion, mais pas ce soir…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par lelivredejeremie
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

