Fantasme du mois 08.2016

- Par l'auteur HDS Cher Tamis -
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Récit libertin : Fantasme du mois 08.2016 Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-09-2025 dans la catégorie Plus on est
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Fantasme du mois 08.2016
Résumé: Notre couple est solide, nous aimons faire l’amour ensemble, et nous avons quelques fantasmes en commun. Alors, pourquoi nous priver ?
La décision est prise, ma femme et moi avons décidé de découvrir ensemble toutes les facettes de l'univers du libertinage.

Avant d'aller plus loin dans mes récits, je tiens à préciser MA définition du "libertinage" ou ce que je comprends quand j'entends les gens s'exclamer :
– Il/elle est libertin(e) !
Un(e) libertin(e) (pour moi) est quelqu'un qui manifestait son indépendance d'esprit et de corps par rapport aux enseignements, aux codes, que la société et les religions imposent, et qui refuse toute soumission.
On pourrait faire un tas de livres, échanger une centaines d'avis sur ce sujet, mais pas ici.
De mon point de vu, je dis : "Rien n'est affreux en libertinage tant qu'on ne fait que répondre à nos instincts."


Chapitre 01 / 12 Épisode suivant
Avril - Premier contact

Si vous n’avez jamais vécu ça, mesdames, je serais curieux de savoir ce que cela vous inspire ?
Imaginez votre homme en train de sucer une bite. Le propriétaire de ladite bite – Appelons-le Guillaume, puisque c’est son prénom – est allongé sur le dos, nu, sur votre lit conjugal. Que votre mari – en l’occurrence moi, Hamed – est également nu, accroupi près du lit, et met du cœur à l’ouvrage.
Mais ce n’est pas tout. Parce que cette scène, ma douce, tendre chérie la contemple depuis le lit, où elle est tout aussi nue, mais à genoux… Ou plutôt, assise sur le visage de Guillaume, qui lui lèche la chatte avec application, tout en caressant ses fesses de ses deux mains.
Allier ainsi le plaisir d’un bon cunnilingus avec l’excitation d’assister à une fellation homosexuelle, je pense que plus d’une d’entre vous ne serait pas fâchée d’être à la place de Caline. Surtout que ça ne fait que commencer, car si je suce Guillaume, c’est aussi pour le faire bien durcir pour tout à l’heure, quand il va la mettre dans le garage à bite de ma princesse.
Mais n’anticipons pas, goûtons l’instant présent et laissons nous aller à jouir de la situation.
« Jouir », c’est bien le mot d'ordre !
Tandis que la langue de Guillaume explore l'intimité de ma coquine, qui ondule du bassin, elle se cabre de plaisir. Se caresse les seins, elle frissonne et gémit. Cette langue qui s’attarde sur son bouton, puis batifole le long de sa fente, s’immisce entre ses lèvres intimes.
Caline exhale un petit cri lorsque la bouche de Guillaume revient à mon clitoris, l’aspire doucement. Ses mains sur ses fesses se font plus fermes, les retiennent collée à sa bouche tandis qu’il tète et que sa langue se joint à la fête. Elle parvient à peine, à porter un instant d’attention à ma bouche qui suce et lèche le sexe tendu de Guillaume, car happée par sa jouissance. Elle est parcourue de spasmes incontrôlés, elle crie... Elle s’écroule sur le lit, les yeux fermés, la bouche entr’ouverte.
Elle reste ainsi quelques instants, allongée sur le flanc, reprenant ses esprits...
Je viens l’embrasser sur la bouche, caresse son ventre et ses seins. Je parcours son corps de mes mains. Je m’attarde sur son sexe en feu par l’excitation, je remonte sur sa poitrine, son visage.
Elle ouvre les yeux, me sourit. Guillaume est là, tout près. Il caresse ses cuisses, dépose de petits baisers dans son dos et sa nuque. Alors lentement, sans me quitter des yeux, elle change de position pour se trouver à quatre pattes, croupe relevée, jambes légèrement écartées.
Guillaume se redresse à son tour, ses mains caressent son dos, ses fesses. Il se positionne derrière elle et se sert de son sexe raide pour parcourir sa fente de haut en bas, de bas en haut. Son gland se frotte à son bouton à plaisir.

Je la fixe du regard, mon plus doux regard d’amoureux. Lentement, la bite de Guillaume s’insinue en elle. Je vois, qu'il jubile à chaque millimètre de la pénétration. Il se retire un peu, revient plus profond, sort, rentre. Il prend un rythme auquel ma cochonne répond en se cabrant.
Puis... Ils accordent leurs mouvements. Caline parvient à maintenir son équilibre avec une seule main sur le lit. De l’autre, elle me caresse, ma poitrine, mon ventre. Elle tend sa main vers mon sexe.
Je me déplace pour qu'elle puisse le branler. Elle tient mon membre dans ma main tandis que Guillaume la prend plus fort, il la comble un peu plus à chaque mouvement. Elle tire sur mon sexe, je me déplace à nouveau, me positionne à genoux face à elle. Elle me prends dans sa bouche. En bonne cochonne, Caline me caresse mes couilles quelques instants, puis repose sa main sur le lit pour ne pas tomber.
C’est que Guillaume amplifie ses mouvements. Pendant qu'elle se fais prendre ainsi, je lui caresse ses sensibles seins, augmentant sa jouissance. Des gémissements sont étouffés dans sa gorge par ma bite qu'elle je suce, lèche, aspire.
Elle sens un nouvel orgasme qui se noue, qui se ramasse en boule dans le bas de son ventre, et tout à coup se déploie.
Guillaume jouit aussi.
"Sentir son tressaillement, et sa semence en moi, prolonge mon plaisir, le rend plus complet, comme la note finale d’une symphonie" M'avouera-t-elle plus tard.

Sans sortir de son puits, Guillaume la fait basculer sur le côté, et se colle à son dos, une main sur un sein. Je viens m’allonger devant Caline, pose ma main sur sa joue. Je suis comblé.
Pourtant... Pourtant je ne suis pas encore arrivé jusqu’au bout de mon plaisir. Car je l’aime au-delà de tout, et que rien ne me fait plus plaisir que son plaisir.
___________________

Cette séance de sexe à trois, c’est un peu mon initiative.
Je me souviens qu'à nos débuts – il y a plus d'une quinzaine d’années – nous étions (et nous le sommes toujours) un couple assez fusionnel. Nous aimons être ensemble, tout partager. Bien sûr, chacun était libre d’avoir ses moments à soi, il nous arrivait de sortir séparément, mais quand je suis au bureau ou à une soirée, s’il se produisait quelques micro-évènements ou qu’une conversation devenait intéressante (sexuellement parlant) – ce n’est pas toujours le cas ! – je pensais immédiatement au moment où j'allais en parler à Caline, lorsque nous nous retrouvons, je lui raconte, elle me raconte, ces petits riens insignifiants, ces réflexions qu'on s'était fait.
En matière de sexe, c’est un peu la même chose. Nous faisons souvent l’amour, et depuis notre rencontre nous avons toujours été absolument fidèles l’un à l’autre. Cela ne nous empêche pas d’avoir nos désirs et nos fantasmes, mais nous les partageons. Mon travail me conduit à rencontrer du public, et je lui raconte comment une conversation avec une belle femme m’a excité, comment je bandais en louchant dans son décolleté. Je lui avoue parfois être rentré à la maison encore tout excité, et m'être masturbé en m’imaginant comment cette nana me faisait des avances et comment nous finissont au lit.
L’histoire fait souvent intervenir le mari de la femme, ou une autre femme. De son côté, je rentre tard, ou joue sur l’ordinateur tandis que elle monte se coucher avec un bouquin, il lui arrive de ne pas terminer son chapitre. Elle laisse son esprit vagabonder, ce qui l’amène en général à des scènes érotiques. Elle s’imagine être désirée par un homme, ou plus souvent par un couple, ou deux hommes... Leurs mains parcourant son corps.
Alors je la surprenais parfois entrain de mimer leurs caresses avec ses propres mains, et se donne du plaisir jusqu’à l’orgasme avant de s’endormir.
Nous n'avons aucun secret, alors au matin, elle me racontait les situations excitantes qu'elle s'était imaginée.
C’est ainsi que nous avions remarqué que dans nos fantasmes à tous les deux, revenait le thème d’un trio, avec une femme et deux hommes, ou un homme et deux femmes. Et l’on y trouve aussi des caresses, ainsi que de chaudes scènes de sexe oral, entre hommes ou entre femmes. Ce sont des désirs qui nous animent, l’un comme l’autre. C’est toujours moi qui lui avait propose que nous réalisions ces fantasmes, évidemment en couple.
Mais il y a toujours des craintes :

— Si l’un de nous se sentait finalement mal à l’aise, mais dans le feu de l’action, hésite à le dire ? Que toi ou moi, ou nous deux, on se sente piégé dans une situation qui nous déplaît ? Me demande Caline
— Ça serait pas si grave, tu crois pas ? Quand on fait l’amour, il arrive que l’un ou l’autre ne soit pas complètement satisfait, et on n’en fait pas une montagne... Et puis, si on se sent vraiment pas bien, je nous fais confiance pour savoir dire « stop ».
— Et si passer du rêve à la réalité s’avérait une déception ?
— Même dans l’hypothèse où l’expérience tournerait mal, ce serait une chose que nous apprendrions sur nous-mêmes. En cas d’échec, nous saurions que nous n’étions pas faits pour ce genre d’expérience, voilà tout.
— Ce que je veux, me dit-elle, c’est être sûre que notre couple, ne sera pas le sujet mis en cause dans un de ses fantasmes... On n’a pas besoin de ça. C’est pas comme si on s’ennuyait, et qu’on voulait mettre du piquant dans notre couple pour le sauver.
— Je pense que c’est clair dans mon esprit. C’est juste un truc dont on a envie, l’un et l’autre… Et surtout, l’un avec l’autre.
— C'est évident pour moi... Une expérience élaborée ensemble, vécue ensemble, c’est le ciment de notre amour ! Si l’expérience est inhabituelle, ou osée, ce n’en est que mieux. À chaque fois que nous réaliserons une nouvelle expérience, un fantasme... Je conçois que cela est risquée, mais l’idée est que nous prendrions ce risque ensemble. Et si l’expérience est un succès, ce succès serait encore plus brillant quand on l'aura vécu ensemble !
— OK... Mais... Il faut qu’on sélectionne l’homme qui pourra se joindre à nous, dit Caline. Pas n’importe qui, pas un étranger pris au hasard…
— Mais pas un ami ou un collègue trop proche non plus ! Insistais-je.
— Non, et il faut bien sûr qu’il ait l’esprit ouvert. Pas exclusivement hétéro, je veux dire.
— Ah, oui... Et qu’il soit beau, aussi !

___________________

Un jour, Caline me parle d'un certain "Guillaume".

Elle le connais pourtant depuis quelques années. Ils travaillent dans la même entreprise, mais dans un autre service.
Il remplit donc le critère «pas de collègue trop proche». De plus, Guillaume lui plaisait physiquement : grand, les épaules carrées sans faire «Monsieur Muscles», avec un beau visage ovale sous une chevelure brune, il était assurément viril mais sans aucune nuance de machisme dans ses attitudes. Il a comme nous la fin trentaine debut quarantaine, et j’avais eu l’occasion d’apprécier – un peu superficiellement – sa gentillesse et son esprit vif.
J'ai mené mon enquête, et j’ai appris qu’il était célibataire, séparé depuis six mois de son ancienne petite amie. Quelques bons points de plus pour lui : disponibilité, et attiré par les femmes.
Restait le plus délicat :
Serait-il ouvert à une relation telle que nous l’imaginions, c’est-à-dire un véritable triangle de sensualité, qui implique le partage du plaisir, y compris entre hommes ?
Une enquête s’impose.
Caline est alors envoyée en tant que détective. Elle a une copine, "Céline", qui travaille dans le même service que ce Guillaume, et elle n'a pas eu d'effort à se faire prier pour ce faire inviter à un apéro avec les collègues de son service.
Cela se passe dans un bar à vin. Elle s'est mise sur son 31 pour l’occasion, espérant attirer le regard, sans toutefois passer pour une allumeuse.
Jupe courte moulante et chaussures à talons, chemisier en satin, maquillage léger. Un petit diamant à chaque oreille – mon cadeau de la Saint Valentin. Tout comme elle, je sui assez satisfaite de son apparence.
Guillaume, un verre de Bourgogne à la main discutait avec quelques personnes.
En toute bonne coquine, Caline s'est incrustée dans le petit groupe et fait lentement dériver la conversation, de sujets sociétaux, vers les mœurs et en particulier les couples, la fidélité, l’homosexualité, etc...
Guillaume se montre alors très ouvert, acquiesçant lorsqu’une collègue avance que bien la des couples s'affaiblissait, faute de piquant dans leur vie intime. (Bien sûr que ce n'est pas du tout notre cas, à Caline et moi, mais au moins, elle a pu s’assurer que Guillaume n’avait pas des idées trop étroites de ce qu’un couple peut, pouvait, se permettre).
Il confirme également les idées d'une de ses collègues lorsqu’elle affirme que la sexualité de groupe pouvait souder un couple, ce qui déclenche quelques rires gênés et des remarques du style :
«Ah oui ? Tu parles par expérience ?»
Il se réfère, alors, à des articles lus çà ou là dans des magazines.
Caline avait aussi noté que Guillaume ne s’était pas joint aux moqueurs et que son regard s’attardait de longues secondes sur elle, sur ses yeux de miel.
Enfin, il déclare qu’il ne voyait pas en quoi le fait d’avoir une vie de couple devrait empêcher un homme ou une femme de désirer quelqu’un d’autre, éventuellement du même sexe.
On était fixé : ce candidat remplissait tous les critères.

Cet après-midi, je suis allé chercher ma princesse à la sortie du travail, et nous avons attendu que Guillaume sorte à son tour. Caline le troqué look de l’autre soir contre un autre plus sobre :
Un maquillage minimaliste – un trait de noir autour des yeux,
Des baskets en toile,
Un jeans,
Un chemisier blanc léger légèrement ouvert, qui pouvait laisser apercevoir son soutien-gorge blanc.
Avec son tour de poitrine 90C, il y a de quoi envie de plonger plus que les yeux. Presque comme son toutou, je suis sur les talons de ma coquinequi roule des hanches en dirigeant à la rencontre de Guillaume :

—Bonsoir, Guillaume, tu te souviens de moi ? J’étais au bar à vin l’autre soir.
— Oui, bien sûr que je me souviens : Caline... l’amie de Céline ! Et si mes souvenirs sont bons, on a participé à un séminaire, il y a deux ans, sur les systèmes d’information. Tu avais présenté un topo sur la sécurité des données. C’est bien ça ?
— Oui, je suis flattée que tu t’en rappelles aussi précisément.

Elle enchaînai rapidement :

— Je te présente mon mari, Hamed (poignée de main), on a prévu d’ouvrir un «Côte de Nuits» pour la soirée, et j’ai pensé te proposer de venir le partager avec nous !

Il va sans dire qu'une invitation comme celle-ci a de quoi être étonnante.

— Ah oui ? Ben heu… Je sais pas, c’est inattendu... Et cela serait pour quelle occasion ?
— Une occasion de faire connaissance ! Ai-je proposé.
— Très bonne initiative, merci, mais… J’ai pas prévule coup, et je voudrais pas arriver les mains vides.
— Ah merde... Ben alors on le fera un autre jour quand tu aura quelque chose à offrir quand on t'invite par surprise ! Dit Caline avec un joli sourire moqueur.
— Ne t’inquiète pas pour ça, on est pas du genre à se formaliser. Surtout qu’on te capture par surprise, on peut pas t’en vouloir. Rajoute ai-je en montrant toutes mes dents.

Guillaume nous a suivis dans sa voiture, et moins de vingt minutes plus tard, nous sommes assis au salon, en train de savourer le vin, que j’avais choisi la veille, et ma foi j'ai bien fait, un bon vin.
Un peu de charcuterie, du fromage et quelques amuse-gueules,que ma meuf a préparé pour accompagner la dégustation de ce bon vin...
Le courant est très bien passé entre nous, les hommes. Connaissant les sentiments que Caline a pour cet homme, je suis certain qu'à 99,99%, elle est toute chose devant cet homme et qu'elle n'attend qu’une seule chose, mais elle a réussit à paraître plus naturelle que naturelle.
On s'était mis d'accord avec Caline que je suis le seul à juger s'il était valable de continuer notre aventure, si Guillaume est bien là personne qu'il faut pour l'intégrer dans la réalisation d'un de nos fantasmes. Et comme moi j'avais le "oui" dans mon manche, de même Caline avait à tout moment lors de cette première rencontre de me dire "non" si au final elle n'était plus partante pour pour suivrez cette aventure et bien évidemment sa décision prévalait sur la mienne.Il lui suffisait de me faire juste un signe. Après une petite heure à bavarder tous les trois, en fait de mimiques discrètes, ayant envoyé que des messages d’approbation et d’encouragement, Caline se lance :

— Pour ne rien te cacher, on avait, et on a toujours, un genre de plan, une oetite idée derrière la tête, en t’invitant.
— Ah ? Vas-y, dis-moi tout.
— Eh bien, mon cher et tendre époux et moi, on a eu la même idée de partager nos activités très intimes avec un homme…

Regard un peu déconcerté de Guillaume. Il me regarde, je lui lance un regard approbateur avec un sourire plus que coquin et j’enchaîne :

— … et on a pensé, ou plutôt : c'est Caline qui a pensé à toi !
— Ah bon ? Pour une surprise, c’en est une ! C’est très flatteur, évidemment…
— On te met pas la pression. On se doute que cette approche est peu commune, et tu peux ne pas être attiré ou intéressé. Si tu dis non... Pas de souci, on n’insiste pas et on se vexera pas... Je précise quand même qu’on a fait des tests de dépistage récemment, tout est négatif.

Il rebondit sur cette dernière remarque, comme pour temporiser :

— Je me suis séparé de ma copine, car il y a six mois, elle avait eu une aventure d’un soir dans des circonstances douteuses, et donc pour me rassurer j'ai fait un test qui heureusement était negatif et depuis notre séparation... Comment dire... Mon petit serpent est resté bien au chaud.

Après un petit silence il rajoute :

— Je ne suis pas séparé de ma compagne à cause de cette aventure qu'elle a eu – on était très libres de ce point de vue – mais... Disons, qu'il y a quelques précautions, de nos jours, à prendre quand on s'autorise à vivre une sexualité comme celle que vous voulez vivre... J'estime que notre vie ne doit pas dépendre de nos... Envies... Bref, je me suis fait tester, et je suis resté abstinent depuis, donc pas de souci de ce côté-là.

Un nouveau silence avant de reprendre encore une fois :

— Mais pour en revenir à votre proposition, je sais pas quoi en penser. C’est un peu soudain...
— J'en conviens ! Dis-je.
— Mais comme je l'ai dit... Je très "open", mais j’ai jamais rien fait avec un homme ni avec un couple.
— Une femme, un homme ou un couple... C'est juste le nombre qui change ! Dit ma coquine.
— On en ai pas à notre premier essai... Rassure toi mec ! Dis-je en riant.
— Ne m’en veuillez pas d’hésiter, mais je m’attendais pas à ça. Pour tout avouer, je vous trouve très attirants, l’un comme l’autre, et le couple que vous formez, à première vue est en harmonie... Et je dis pas ça pour vous faire plaisir, ni parce que j’ai bu deux verres de vin (sourires). Mais…

Je le regardai droit dans les yeux, l’air très sérieux :

— Mais ?

Il resta coi quelques longues secondes, nous regarda l’un puis l’autre. Il sourit.

—Non... Rien !

Le reste a suivi naturellement.
Caline s'est levée, se penche sur Guillaume pour poser ses lèvres sur les siennes. Elle commence à le déshabiller pendant que je quitte mon siège pour me poster derrière ma cochonne, je lui ouvre son chemisier, dégrafe la ceinture de mon jeans tout en l’embrassant dans le cou.
Nous la caressons, l’embrassant partout tandis que les vêtements, un à un, tombaient à terre.
Caline offre son corps à nos caresses, à nos baisers. Elle ne sait plus où poser ses mains, sa bouche.
Elle se saisie de nos bites qu'elle stimule avec de douces caresses comme pour mieux les découvrir. Caline connaît assez bien verge mais pas encore celle de notre invité.
Le sexe encore inconnue de Guillaume, est un peu moins long que la mienne, mais un peu plus épaisse et de forme un peu plus arquée.
Elle nous avoura, plus tard, d'avoir été émue de voir que ses deux hommes n’ont pas hésité avant de se caresser aussi l’un l’autre.
Pour moi aussi, je suis surpris sur le coup puisque Guillaume nous avait avouer plus tôt qu'il n'avait aucune expérience de jeux de sexe à trois.
Le sentir me saisir la banane, sentir ses mains courir mon corps m'a étonné mais aucunement dégouté.
Étant convaincu que 99% des hommes fantasment sur les parties de jambe en l'air à 3, 75% des ses hommes (3/4) ne sont pas pour "encourager" les attouchements entre eux. Même si cette situation est un fantasme pour ce bel homme, une fois en situation, il aurait très bien pu reculer.
Même si Guillaume avait ouvertement parlé de la bisexualité comme d’une pratique normale, il y a parfois du chemin entre la théorie et la pratique. Manifestement, le chemin n’a pas été si long. Et la fête des corps a continué dans la chambre.
Après avoir joui avec Guillaume, Caline reste immobile un moment. Guillaume se sépare de son corps, se redresse. Ma salope se tourne vers lui en souriant pour le remercier de l'avoir bien fait jouir et je sais qu’il a aussi pris son plaisir.
Guillaume se dirige vers moi... Surpris et amusé, je le vois prendre en main mon sexe encore dur. Approche sa bouche et se met à me sucer... Guillaume me prodigue une véritable bonne pipe. Il joue de la langue et des lèvres, alterne les passages lents et les allers-retours rapides. Je siffle de plaisir, ferme les yeux. Il aspire ma bite, puis la lèche de bas en haut. Il fait tourner sa langue sur le gland.
Finalement, Guillaume prend tout le sexe dans sa bouche et va et vient sur la hampe. J'explose, je crie et j'éjacule dans la bouche de Guillaume, qui a ralentit la cadence, tout en gardant le sexe en bouche.

Asséchés que nous étions, nous nous sommes affalés le lit où nous venons de jouir si fort, je me dis que nous avons eu mille fois raison de tenter l’expérience.
Guillaume a sucé sa première bite, et je lui ai jouis dans la bouche.
Quant à Caline, elle a pu vivre son fantasme de prendre son pied avec le beau Guillaume.

À chaque fois que nous vivons un de nos fantasmes, c'est à chaque fois au-delà de ce que je m’imaginais, de ce que nous nous imaginions, et bien sûr, et surtout, car, ce, ces moments ont été partagé, vécu par et avec la merveilleuse, la plus belle âme que mon cœur a eu la chance de croiser, qui n'est autre que la coquine Caline !
Après un bien rapide passage sous la douche, je raccompagne Guillaume.
Et... Conformément à ce que nous avions convenu avec ma charmante épouse, je ne lui ai pas immédiatement proposé qu’on se revoit : nous le déciderons ensemble après avoir pèser les pours et les contres de cette soirée. Personnellement, je sais déjà que je voterai "pour", et que... Quelque chose me dit que l’ensemble du corps électoral sera unanime.


À la prochaine... Et merci de me lire, me suivre et d'apprécier notre voyage libertin.

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Texte coquin : Fantasme du mois 08.2016
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