Femme BCBG, escorte, non, pute… (124) - histoire érotique

Pour la première fois j’ai filmé un de mes clients sur une petite vidéo que j’envoie à Marie-Christine, c’est le moins que je puisse faire après qu’elle nous eut sorti des emmerdes ou avec Livia la motarde amie de Valérie nous nous étions mises.
J’ai rencontré par hasard Aliou jeune Sénégalais en recherche de papier définitif et qui essayait de survivre dans la gare de Lyon en baisant toute femme en mal de sexe noir.
Après un quiproquo dont il a fait les frais je l’ai accompagné chez Véronique ancienne hôtesse de l’air et ancienne de mon ex qui en me quittant pour elle m’a entraîné vers ma nouvelle vie.
Il a fait la connaissance de Valériane la maquilleuse et aussi au moment où je les rejoins de Marie-Ange qui peint sur les ongles de nos clientes.
Marie-Ange belle noire aux yeux verts s’amuse avec mon Africain à lui faire peur le menaçant de le manger.
Il subit l’assaut des trois filles depuis que je l’ai laissé avec elles à l’institut car il cherche à se réfugier vers moi quand j’arrive, toujours prompte à me dévêtir je suis nue quand je m’approche de lui et que je lui dis avec la même grosse voix.

• On va te manger Doudou.
• Mais ce sont des folles au secours quelqu’un peut-il me ramener sur les quais de la gare de Lyon.
• Aliou, connais-tu l’histoire des trois missionnaires belges qui vont en Afrique ?
• Oui, quel Africain ignore cette histoire.
• Alors Ngolo, Ngolo.

Et Marie-Ange et moi nous sautons sur Aliou sous le regard amusé dès deux autres filles qui sont entassées sur le canapé une orangeade en main.
Je suis la plus prompte à lui prendre la queue en main pendant que Doudou Marie-Ange le lèche du cou jusqu’au nombril et avec la même voix.

• Tu vois je suis une bonne lionne avec son lionceau, je te nettoie des traces de cyprine que ces deux femelles sur leur canapé ont laissées avant de t’abandonner à Doudou Christine.
• Doudou Christine va te manger la queue, tu vois tu as des ressources tu recommences à bander.
• Vous allez me faire cracher du sang si cela continue, mes bourses sont vides, vous m’avez déjà pompé 6 fois.
• Petit joueur, je connais un garçon qui joue dans des films pornos Tof ayant déchargé 10 fois de suite dans une nuit et encore lui il n’a qu’une couille, tu vois Aliou on est loin du compte.

Aliou est couché sur le tapis, Doudou Marie-Ange s’assoit sur sa figure la chatte à hauteur de sa langue rose que je le vois sortir et enfourner dans le vagin rose lui aussi de notre belle noire pendant que je le pompe un moment avant de l’enjamber et de le faire entrer dans mon vagin rose lui aussi.
Nous nous activons si bien que nous obtenons quelques gouttes de spermes avant qu’il sombre dans un profond sommeil.
Aliou est couché sur le tapis, Doudou Marie-Ange s’assoit sur sa figure la chatte à hauteur de sa langue rose que je le vois sortir et enfourner dans le vagin rose lui aussi de notre belle noire pendant que je le pompe un moment avant de l’enjamber et de le faire entrer dans mon vagin rose lui aussi.
Après la partie de jambes en l’air avec le client qui veut s’en prendre à Marie-Christine, le retour en voiture et l’amusement entre Marie-Ange, Aliou est moi me remet en joie et je m’endors comme un bébé.

• Non, laissez-moi, mes couilles sont vides vous êtes de vraies mantes religieuses.

C’est propos assez sourd dans la nuit malgré que ce soit mon voisin qui les prononce m’intrigue, je suis obligé d’allumer, c’est Marie-Ange et Valériane qui sont venues aux pieds d’Aliou, elles ont tiré le drap et de chaque côté du garçon, sont en train de le sucer en le masturbant, malgré leur bonne volonté, il bande mou.

• Les filles, vous êtes impossibles, laisser récupérer notre copain, il va travailler pour l’organisation comme Adonis respecté le.
• On te connaît Christine, tu veux te le garder pour toi toute seule.
• Foutez-moi le camp, on réglera cela demain.

L’heure de ce lever arrive car les filles doivent se rendre à l'institut plus à l'heure, plus que moi car après les investissements que je fais dans l’organisation je peux me permettre de prendre des libertés de ce côté-là.
Odile en bonne gestionnaire est toujours à l’heure et comme le soir elle est 90 % du temps dans son appartement avec Alain comparer à nous qui allons chez les clients aucune de nous n’aurait la mauvaise idée de critiquer nos retards voire nos absences.
C’est jour-ci il faut ajouter les ouvriers qu’Alain drive pour les travaux et il serait mal venu qu’il trouve porte close.
La soirée suivie de la nuit que je viens de passer chez les filles pourrait me permettre d’avoir du retard mais nous prenons tous les cinq le petit déjeuner ensemble.

• Allo, oui c’est Christine, si vous avez du boulot sur Paris les soirs prochains jusqu’à ce week-end, appelez en priorité Véronique, Marie-Ange et Valériane, elles ont le feu aux fesses et j’ai peur qu’elles ne mettent le feu dans leur logement.
Oui bien sur, à partir de lundi matin black-out avant mardi pour qu’elles se reposent avant notre départ pour Moscou.
Vous avez eu Igor, il a tout préparé, il sera là à notre arrivée, parfait Valérie m’avait dit que le voyage serait une réussite pour les filles, vous appelez mes trois vampires dans la journée, vous aviez déjà un contrat et alliez appeler dans l’heure Valériane.
• Merci Christine, des contrats jusqu’à dimanche, tu nous gattes.
• Non, c’est moi que tu gattes, les voire partir jusqu’à la semaine prochaine quel soulagement.
• Tu nous repousses, dommage cette nuit était la dernière ou nos petites chattes auraient été à ta disposition, nous trouverons des mecs plus virils que toi mon joli black.
• Quand je dis cela Marie-Ange c’est manière de parler, quand vous reviendrez j’aurais toujours plaisirs à vous honorer mais une par soirée.
• Encore dommage, les clients un par un mais nous, demande à Christine c’est les trois ou personnes.
• Les filles arrêtées vous cherchez vraiment à me le traumatiser, après vous pleurerez d’avoir perdu sa belle bite.

C’est sympa de trouver des contrats pour mes amies qui vont remplir leur bas de laine, mais que vais-je faire d’Aliou jusqu’à dimanche, le laisser seul quelque part me semblent risquer, avec le peu de reculent que j’ai avec lui.
Il pourra enlever les herbes folles qui sont dans mon jardin même si le notaire d’Illy a encore mes clefs jusqu’à la signature finale, la manière dont les vendeurs se sont empressés d’accepter mes 50 000 € de baisse montre qu’ils sont pris à la gorge.
Un pavillon de ce type dans un quartier et une ville comme la nôtre, à des frais fixes, type impôts locaux et taxes foncières, qui ont vite fait de mettre des héritiers sur la paille, ajoutez les 20 000 € en cas de dédit après signature du compromis et je les vois mal laisser tomber la vente.

• Aliou on y va, les filles à tout à l’heure j’arrive, le temps de récupérer ma voiture.

Hier en rentrant je l’ai laissé à l’endroit habituel ou je sais trouver de la place, nous passons devant le sex-shop me rappelant mes débuts pas si lointains dans ma nouvelle vie chaque fois que je surveillais puis que je sautais celle que je prenais pour une voleuse de mari.
Dans la nuit une affiche m’a échappé ou elle a été mise ce matin, le rideau est ouvert mais il est marqué « Magasin à vendre ».

• Il y a longtemps que j’attends votre visite, vous m’avez manqué.
• Vous vendez, je vous ai mis en faillite en brillant par mon absence.
• Non, j’ai racheté un autre sex-shop à Royan car ma copine a besoin de l’air iodé de la côte, voilà ce qui arrive quand on fume comme un pompier.
• Je connais la boutique, nous y sommes allées cet été pendant nos vacances avec mes copines, vous connaissez monsieur Albert.
• Monsieur Albert, le propriétaire actuel m’a parlé de lui, il m’a demandé si je le connaissais dans le milieu parisien, j’ai voulu être à la page et je lui ai répondu que oui, vous le connaissez qui est-il ?
• Nous verrons cela après, combien demandez-vous pour votre boutique ?

Il me donne un chiffre fort raisonnable surtout avec un logement de quatre pièces dans ce quartier de Paris.

• Vous mettez à notre disposition vos livres de comptes comme prévu dans une transaction commerciale.
• Mon comptable mettra tout à votre disposition
• Si nous achetons votre boutique avec une amie, au moment de signer nous ferez-vous une remise de 5 % pour savoir qui est monsieur Albert.
• À ce qu’il m’a dit c’est un ponte dans notre milieu, cela vaut bien une remise, à Royan il semble connu et cela m’évitera de faire un impair.
• C’est sûr, l’un de vos collègues à Bordeaux lui a manqué de respect 6 mois après il fermait boutique.
• J’ai assez de souci avec ma copine comme cela, inutile de m’en créer d’autres.
• J’appelle mon amie, surtout réservez-moi la vente.
• J’ai déjà des clients sur le coup.
• Aliou va dans une cabine regarder un X pendant que j’appelle mes amies Fabienne et Illy je te les ferais connaître.
• Si ce sont les mêmes que les trois que nous venons de quitter si vous avez un travail à me faire faire monsieur, je préfère travailler que d’aller regarder un film qui va encore me faire bander et pour l’instant c’est pavillon bas.

Le patron lui montre des godes qui sont encore dans des cartons à mettre en rayons et de films montrent des filles dans toutes les positions toutes plus osés les unes que les autres.
Dire que Johnny Biroute risque de m’appeler pour tourner le premier des cinq films que j’ai acceptés avec lui, après dans ces cartons ce sera mon premier DVD qu’il faudra mettre dans les rayons où une chatte baise pour faire tomber le méchant chat de gouttière.

• Allo Fabienne, tu es libre, peux-tu venir à l’institut je t’emmènerais voir un magasin qui pourrait être intéressant pour vous.
Christian a été chez une cliente hier au soir et je l’attends.
• Tu ignores quand il va rentrer, tu es jalouse de son retard.
• Tu es bête, tu m’as mieux éduqué que cela, dans notre logement Christian a acheté un coussin pour toutou où je dois me lover quand je suis méchante.
• Je t’attends.

Je fais quelques pas.

• Allo Illy.

Je rentre dans la boutique.

• Je vais revenir avec mon amie, je vais jusqu’à l’institut ou je travaille, Aliou tu restes ici ou tu viens retrouver tes belles salopes, monsieur les connaît du moins certaines, il leur a vendu des guêpières.
• Je reste là.

C’est un cri du cœur…