Femme BCBG, escorte, non, pute… (130) - histoire érotique

Je tombe de haut, je dialogue avec un joli garçon avec qui j’aurais pu finir la nuit pendant que Livia découvre la bite d’un certain Corentin sur la plage de la commune où elle a sa villa avec vue sur la mer.

• Mais je suis un homme, comment dois-je vous appeler Aphrodite comme chez les Grecques ou Vénus chez les romains ?
• Contentez-vous de Christine, vous êtes sournois vous pourriez être habillé comme un curé.
• Sournois-moi, venez à la messe de 10 heures demain matin vous me verrez dans mes habits de prêtre, ici tout le monde me connaît et le soir je viens boire un verre avant la fermeture et faire une partie de dés avec les traînes tard.
• Comment joue-t-on ?

Il m’explique et j’accepte de jouer.

• Ici on a pour tradition d’intéresser les partis, beaucoup jouent la tourner, je vous propose un strip 421 comme un strip-poker.

Je vois qu’il se fiche de moi, je bats en retraite et il oriente la conversation sur un sujet qui m’interroge.

• Vous avez dit « Corentin a retrouvé Livia », ont-ils une histoire commune ?
• Je vais me coucher, je vous offre votre coca madame, Lionel je mets la tournée que tu as perdue sur ta note.

Nous sortons en saluant le patron et comme de vieux amis Lionel le curé me raccompagne chez Livia.

• Je vais essayer de t’expliquer comment les choses se sont passées au fil des années sans pour autant trahir le secret de la confession, certaines des choses qui se sont passées m’ont été rapportées par des paroissiennes.
• Tu dois en entendre.

J’aime qu’on se tutoie, cela rapproche les gens et je sens que cet homme est quelqu’un de fort, il faut l’être sacrément pour vivre son sacerdoce dans une petite ville qui vit bien souvent en vase clos.

• Livia avait un copain d’enfance qui bavait d’amour pour elle, il s’appelle Corentin tu t’en doute, le garçon faisait de la moto alors la petite s’est mise elle aussi à faire de la moto.
Livia a rencontré Camille et elles sont devenues amies, Camille était lesbienne et a entraîné ton amie vers ces pratiques sexuelles.
• Les condamnes-tu ?
• Si je devais condamner tous les travers de notre société je passerais mon temps à essayer de faire comprendre à mes ouailles que tromper sa femme ou son mari c’est briser le lien du mariage, souvent c’est moi qui les ai mariés je suis ici depuis plusieurs années, je me contente de prier pour leurs âmes le soir avant de me coucher.
Maintenant je suis plus tranquille, ils leur suffisent de dire 2 Pater et ils peuvent venir communier puisque la confession est intérieure maintenant.
Corentin quand il a vu les orientations sexuelles de son amie, a roulé jusque sur les falaises d’Étretat voulant sauter avec sa moto, coup de chance il s’est ouvert de son projet à un copain qui est venu me le dire.
• Tu l’as rencontré, tu l’as dissuadé de sauter car à son âge il avait la vie devant lui.
• Le bon samaritain, j’ai joué ce rôle et depuis j’avais perdu sa trace car il avait quitté la région, tu m’apprends qu’il est de retour et qu’il vient de retrouver Livia, j’ai un seul souci, tu me dis qu’ils ont fait l’amour sur la plage devant toi hors mariage.
• Si tu connaissais ma vie, tes chastes oreilles s’offusqueraient beaucoup plus.
• Je plaisantais Christine, que fais-tu dans la vie.
• Je fais partie d’une organisation qui gère la carrière de jeunes femmes et je tiens avec Valérie mon amie un institut de beauté.
• Je vois, j’ai rencontré Valérie dans ce même bar un soir, nous avons eu une conversation très poussée sur le bien ou le mal, je sais maintenant que tu disais vrai quand tu t’es présenté, mais nous sommes entre amis et non à confesse, comme pour elle, cela restera notre secret.

Nous sommes arrivées devant la maison de Livia.

• Veux-tu monter boire un dernier verre ?
• Non, c’est comme cela que la plupart des adultères qui m’ont été donnés d’entendre ont commencé, « je rentrais de mon travail mon mari étant absent, mon collègue m’a rendu service, en me ramenant avec sa voiture, je lui ai proposé un verre et c’est sur le canapé acheté à crédit que je me suis fait baiser »• Lionel, tu es curé.
• Mais pas moins hommes, j’ai comme toi une libido et comme j’ai accepté mes vœux de chasteté je vais te saluer et retourner écrire mon sermon pour ma messe de 10 heures je te le rappelle, mieux je t’invite à cet office.

Il me fait un baisemain et s’en retourne, aujourd’hui pas de chance, ma maîtresse accepte les sexes masculins et j'en suis réjouie, Lionel à un sexe mais refuse de me le prêter, je me douche et comme à mon habitude la température étant supportable je cale les coussins dans mon dos, m’installant nue sur le canapé.
Je remarque sous l’écran plat qu’il y a un lecteur DVD, une pile est à côté, « Lesbienne en chaleur » « Chatte sur un toit perché » « La gouine et le sexe mâle ».

Ce titre m’interroge aussi je le démarre, sans le savoir Livia a regardé ce qui lui est arrivé ce soir, la jeune femme n’aime que les femmes et un jour un homme la rencontre la séduit et arrive à la baiser dans toutes les positions et surtout allant même jusqu’à la sodomie.
Quand je repense à mon parcours et au temps qu’il m’a fallu pour arriver à ma sodomie contre 10 000 € au pays des soviets que je vais rejoindre dans deux jours avec mes petites, je doute que ce soit la première fois que celle qui se dit lesbienne en est bien une et accepte la sodomie.
Ma main naturellement vient au contact de ma chatte, il m’arrive de me caresser devant mes clients les jambes bien écartées comme en ce moment pour les exister, je caresse mon clito qui répond à mes sollicitations.
Je retournerai bien sûr la plage pour voir si Livia a encore le sexe de Corentin au fond de son vagin, mais ressortir la moto seule et m’enliser dans le sable tendre je préfère me faire jouir avec mes doigts qu’avec la selle de la moto.
Il est neuf heures quand j’émerge le dos en compote certes par la balade en moto mais aussi par la dureté du canapé, un bon bain est toujours la solution surtout que j’ai réussi à faire couler ma cyprine qui a même coulé sur le canapé que je dois nettoyer.
J’ai envie de surprendre Lionel mais je sens qu’il m’est impossible de me rendre dans l’église avec la tenue que j’avais hier.
J’ouvre l’armoire de Livia et je trouve des vêtements légèrement plus petit pour moi vu notre différence de taille, mais mieux adaptées à ce lieu et il est moins le quart quand j’entre et m’assoit sur un banc restant vers le fond.
Lionel entre en scène car depuis le décès et l’enterrement de mes parents je dois reconnaître m’être éloignée de ce lieu comme bon nombre des personnes que je connais.
Il y a une cinquantaine de personnes qui suivent l’office, vient le moment du sermon et je rigole car monsieur le curé parle du « bien ou du mal » grand moment de notre soirée d’hier.
Je vais communier ce qui semble interloqué Lionel mais il me tend comme aux autres une hostie.
Il finit sa messe et raccompagne les familles, me faisant signe d’attendre, il me rejoint après être passé par la sacristie, il en sort avec son col dur blanc et son costume de prêtre.

• Christine tous les dimanches je dîne au restaurant du village où une table m’est réservé.
• Acceptes-tu de t’afficher avec une pute ?
• Celui que je sers a bien pardonné à Marie-Madeleine, alors pourquoi moi petit curé de campagne je te jetterais la pierre, on y va ?

C’est le moment ou mon téléphone sonne.

• Oui Livia, vous rejoindre au restaurant, tu es avec Corentin, je suis en chemin je suis moi aussi invité par un homme.

J’écoute sa réponse.

• Oui un homme qui m’a invité, il m’a fait passer une nuit chaude, tu es passé chez toi et tu as vu que j’avais nettoyé ton canapé.

Lionel rigole à mon côté, il voit que je joue et que je réponds à Livia comme si j’avais fait l’amour chez elle la nuit dernière alors que je me suis contenté de me masturber seule comme une âme en peine.

• Bonjours monsieur le curé, je vous conduis à votre table habituelle.
• Non, nous attendons deux amis, je vous présente ma sœur qui est venue de Paris pour le week-end.
• Bonjours madame, vous en avez de la chance d’avoir un frère comme monsieur le curé.
• Assez de flatterie Lucette cette table près de la fenêtre fera l’affaire.

Nous nous installons.

• Quel effet cela te fait d’avoir une sœur cousine de Marie-Madeleine ?
• Chacun porte sa croix, vous êtes la mienne.
• On recommence à se vouvoyer, dommage j’adorais quand tu me tutoyais.
• Les voilà qui arrive, une nouvelle fois je suis sauvé de la tentation.
• Monsieur le curé, votre sœur, il va falloir vous confesser.
• En parlant de confession, tu as communié tout à l’heure, quel curé t’a confessé ?
• J’ai fait les Pater et j’ai rajouté 2 Ave, j’ai regardé le ciel, deux tourterelles sont passées au-dessus de ma tête et j’ai compris que j’étais absous de mes pêchers et que ces colombes me donnaient le droit de communier.
• Christine je t’interdis de rire de ces choses devant moi.
• Qu’est-ce que tu vas faire, tu vas me donner la fessée comme du temps où nous étions enfants, je vais le dire à papa ?
• Salut mince alors.

C’est Livia qui vient de passer la porte tenant par la main Corentin.

• Tu sais avec qui tu es ?
• Lionel un homme galant que j’ai rencontré hier au soir puisque tu m’avais abandonné pour courir le guilledou.
• Corentin, as-tu couru ?
• Oui souvient toi nous avons couru, nous nous sommes baignés et je t’ai fait l’amour caressé par les vagues.
• Livia, es-tu mariée avec Corentin ?
• Non monsieur le curé.
• Alors pour ta pénitence tu me diras 5 Pater et 10 Ave.

Nous nous regardons avec Lionel et nous éclatons de rire laissant nos amis se demander qui se fichent de l’autre…