Freddie l'amant (Vacances IV)

- Par l'auteur HDS Minpass -
Récit érotique écrit par Minpass [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Freddie l'amant (Vacances IV) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Freddie l'amant (Vacances IV)
J’aime les femmes et les hommes. J’aime quand une femme me touche, me caresse – prête le temps de quelques instants, une heure, une journée, son attention, son regard, sa tendresse. J’aime être désiré par les femmes. Et pourtant, cela fait maintenant six mois que je n’ai eu de relations charnelles avec l’une de ces merveilleuses créatures. Pourtant je ne me suis pas privé de sexe. Au contraire, depuis mon périple en Grèce avec mon amant – devenu régulier à présent – j’ai démultiplié mes rapports. En à peine une moitié d’année j’ai connu plus d’hommes, caressé et regardé durcir plus de verges, avaler et reçu plus de foutre, qu’en cinq ans de rapports. Et j’en suis satisfait.

Ce matin, alors que la pluie tapote doucement contre la vitre de la chambre, je sens la verge durcissante de mon amant se plaquer une nouvelle fois entre mes fesses. Je souris, mon ventre poussé contre les draps. Sa main se pose sur mes reins. La pénétration n’est pas facile sans lubrifiant. Il ne me prend que par petits à coups, faisant attention, le premier quart seulement de son sexe en moi. Je fais de mon mieux pour me détendre. Il ne tarde pas à jouir cependant – le contacte accentué par le manque de lubri. Son foutre chaud s’étale en moi en cinq jets puissants.

« Ce soir tu fais quoi ? »

Je suis toujours nu. Lui est habillé. Je suis allongé sur mon ventre, au-dessus des draps. Lui se tient près de la porte.

« Ce soir je vois un jeune homme avec un très beau cul. »

« Ah ok. Bon dommage, j’aurais souhaité passer une autre nuit avec toi. »

Il rit et vient s’asseoir près de mois. Il pose une main sur ma fesse droite et la malaxe. Je souris et place une main sur son entre jambe.

« Tu n’arrêtes jamais toi hein ? » Il me sourit

Je ne dis rien mais plutôt défais sa braguette. Sa queue est déjà à moitié raide tandis que je la prends entre mes doigts. Elle finit de durcir contre mon palet. Son gland entre mes lèvres je le tête longuement. Puis je le prends pleinement en bouche. La fellation dure longtemps – entre vas et viens rapides et caresses intentionnées. Comme à son habitude il prend beaucoup plus de temps à jouir pour la deuxième fois. Enfin, je le sens se raidir. Une seconde plus tard et son sperme fait irruption dans ma bouche. Sa main me caresse l’arrière de la tête, l’autre toujours posée sur ma fesse.

« Tu avales toujours, j’adore ça chez toi. »

Je finis de m’essuyer la bouche du dos de ma main droite, « ça m’excite. Et à vraie dire j’en suis venu à aimer le gout. »

Il me sourit. Je garde son sexe, toujours dure entre mes doigts. Je joue avec, la faisant basculer de gauche à droite.

« Bon, je disais donc. Je vois un autre minet ce soir. Mais j’ai un ami qui voudrait te rencontrer. Il y a une petite soirée chez lui ce soir. Tu verras, il va te plaire et son appartement aussi. »

19h

Je me prépare. Je suis un peu nerveux tandis que j’enfile mon string à dentelle blanche. Rencontrer quelqu’un en tête à tête c’est une chose mais flirter en public, je m’y suis pas habitué. J’ai toujours peur de croiser un ami ou pire une amie. Personne de mon entourage ne connaît la réalité de ma vie sexuelle. Mon ex m’a quitté pour un autre mec il y a maintenant presque un an mais depuis mes amis croient que j’enchaine simplement les plans d’un soir.

Vers 21h je quitte mon studio. La soirée se tient près de Bastille à seulement quatre arrêts de métro. Le trajet est donc rapide et sans incident. Je sors de la cinq et me dirige en direction de l’Hôtel de Ville. Au bout de quelques numéros je me retrouve devant la porte d’un bâtiment Haussmannien. Les deux derniers niveaux ont été réappropriés en loft – visible de l’extérieur par la présence de grandes baies vitrées. Un balcon orné d’une simple balustrade en acier et en verre orne la façade. Je peux y apercevoir plusieurs personnes, clope ou verre à la main, bavardant. Je sonne. La porte s’ouvre sans même qu’on me réponde. Je monte au 5ème.

Une jeune femme m’ouvre. Elle est belle, métisse, vêtu simplement d’une robe légère malgré le froid du mois de février. Elle me sourit et me fait signe d’entrer, se retournant et m’offrant une vue prenante de son fessier. Je sens la frustration et l’excitation monter en moi. D’un coup j’ai très envie d’elle, de la toucher, l’embrasser. Avant que je ne puisse même lui adresser la parole cependant un jeune homme, beau et grand vient la prendre entre ses bras.

« Manon, depuis quand tu ouvres aux inconnus ? » Il rit et l’embrasse, puis se tourne vers moi. Je suis déçu.

« Salut, bienvenue. Puis-je te demander de qui vient ton invitation ? »

« Freddie. Je sais pas si tu connais Georges – en gros c’est lui qui m’a dit que je pouvais venir. »

« Ah ! Je vois je vois. Pendant une seconde j’ai cru que tu matais le beau cul de Manon. » Il rit et donne une claque au fessier que j’admirais tant.

Manon rit et fait mine de s’énerver – « Qu’est-ce que t’es relou ! Et puis moi je le trouve plutôt mignon, ça se trouve ça me plait qu’il me matte le cul. Dommage qu’il soit gay. » Elle me fait un clin d’œil.

« Ah non mais je ne le suis pas. »

« Ah bon ? Bi alors ? »

Je ne réponds pas.

Elle me sourit, « Les amis de Fred et Georges le sont en général. » Son copain rit.

« Excusez moi vous deux mais j’ai plus de verre et c’est une catastrophe – je te laisse avec Manon qui te présentera Freddie. »

Le jeune homme nous quitte aussi précipitamment qu’il nous a rejoint. Mon regard se tourne de nouveau vers Manon qui me sourit toujours.

« En fait j’aime beaucoup regarder deux hommes faire l’amour. Je ne sais pas, c’est l’idée qu’un d’entre eux soit vulnérable, à la merci de l’autre en quelque sorte qui m’excite. »

« Ah oui ? » Je ne sais pas trop quoi dire. A présent je le sais, je n’ai plus aucune chance avec elle – ma promesse de chasteté envers les femmes ne sera donc pas rompue ce soir.

« Oui, je trouve que ça accentue la virilité de l’autre. » Elle reste un instant sans rien dire. « Tu es donc passif ? »

J’ai presque honte à l’admettre, « Oui, c’est ça. »

Elle me sourit à nouveau. « T’as envie de moi là non ? »

La question me surprend. Je ne réponds pas.

« T’aimerais me baiser là je le sens. Ca m’excite un peu de savoir que ce sera plutôt toi qui te fera prendre ce soir. Peut-être que je viendrais vous regarder. »

Je n’ai pas l’opportunité de répondre. Un grand brun – je dirais âgé d’environ 35 ans – se tient devant nous. Il est beau, musclé et se porte avec confiance.

« Freddie je te présente Jean. Et sur ce, je vous laisse. » Manon me lance un dernier sourire puis se retourne et nous quitte, ses fesses caressées par le tissu fin de sa robe.

Freddie est charmant. Il est doté d’une aisance et d’un attrait à la fois physique et charismatique. Nous parlons plus d’une heure. Il me fait faire le tour de propriétaire. Dans la chambre il m’attribue une simple caresse, du bas du dos au haut de mes cuisses. De retour dans le salon il me présente à un groupe d’amis, une main autour de ma taille. Mon malaise disparaît et peu à peu je prends plaisir à sociabiliser.

La soirée dure jusqu’au petit matin. Enfin, alors que les derniers invités quittent l’appartement, je me retrouve seul avec Freddie.

« Tu te déshabilles ? » Freddie sourit. Il s’est retourné vers moi après avoir fermé la porte. Le trac est revenu – le fait de me retrouver en seul à seul surement. Mais j’obéis. Mon jean tombe et ainsi mon hôte peut admirer ma lingerie. Il ne se déshabille pas mais sort simplement son sexe de sa braguette. Elle est à demi dure – longue et épaisse.

« Allez, mets toi à genoux. »

Sa verge est chaude entre mes doigts. Je la branle un peu puis elle glisse sans peine entre mes lèvres. Sans même devoir téter je la sens durcir. Peu à peu je m’avance, puis recule, lentement d’abord. Freddie soupire sous l’emprise de ma bouche. Il ne tarde pas à bander à fond et la fellation devient plus rapide, une de mes mains tenant ses boules, les malaxant.

Alors que son pénis est pleinement raide et que je le suce à fond, j’entends derrière moi le doux tapotement de pieds nus sur le plancher. Alarmé je me retourne, le sexe de Freddie se retrouvant à l’air libre de nouveau. Manon nous observe, un sourire aux lèvres. Elle porte toujours sa robe légère.

« Surtout ne t’arrête pas. »

Je sens la main de Freddie qui, doucement mais fermement me retourne vers lui. L’autre me tend à nouveau son sexe.

« Allez, fait ce pour quoi tu es là. »

Je reprends son sexe en bouche, à la fois gêné et excité par la présence féminine de cette créature que je désire tant, mais le sais, ne pourrais jamais toucher.

La fellation devient plus rythmée à présent, plus dynamique. Manon se déshabille en nous regardant, venant se placer à côté de nous sur le canapé. Du coin du regard je peux apercevoir son corps lisse et sombre. Enfin, Freddie se lasse de ma bouche. Je me lève et il me pousse vers un meuble sur lequel il me cambre. Mes yeux restent fixés sur Manon qui me sourit, se caressant d’une main, à moitié allongée sur le sofa. Ses seins, lourds et fermes pointent vers moi, ses cuisses écartées, sa main glissée entre elles. Freddie me baise longuement. Il m’a lubrifié et est entré sans peine, commençant rapidement les coups de hanches. Je prends mon plaisir, mon regard toujours verrouillé à celui de Manon.

Alors que je sens que Freddie s’approche de l’orgasme, il se retire et se dirige vers la belle nue. Enlevant la capote qu’il s’était enfilé, il la prend sans attendre, se plaçant entre ses cuisses, sa peau dorée dans la lumière tamisée. Je contemple ce spectacle, à présent me caressant, debout. Manon jouit rapidement. Il sait ce qu’elle aime et je sens ma frustration, mais également mon excitation faire irruption. C’est à mon tour de prendre mon pied, mon foutre s’étalant sur le sol. Les deux amants – visiblement le petit ami de Manon n’étant pas exclusif – continuent de longs moments leurs ébats, en missionnaire, puis levrette. Enfin, Freddie, se retirant d’elle, et prenant en main son sexe massif, jouit, son sperme s’étalant sur le dos et fesses de la belle brune. Elle a tendue une main sous elle pour lui caresser les boules, récompensant ce beau mal de son effort. La mienne est bien plus moindre, une petite caresse rapide de sa part alors qu’elle se lève. A vrai dire je ne m’attendais même pas à cette attention.

Georges trouvera sans doute cette anecdote très amusante.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Le pied intégral ;)
Se faire prendre devant une femme que l'on désire ... un fantasme puissant et bandant en tout cas. Que j'aimerais bien le réaliser !



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