Friche industrielle 01
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Friche industrielle 01
Friche industrielle 01
L'endroit était extraordinaire, c'était une friche industrielle, un bâtiment incroyable. À l'intérieur les plafonds montaient à cinq ou six mètres. Les murs semblaient être fait en brique et les structures restaient en bon état, je veux dire par là qu'il n'y avait pas de trous dans les murs ni sur les différents niveaux.
L'endroit était oublié, le bâtiment restait là, planté juste derrière un bois, depuis la route on devinait bien qu'il y avait quelque chose mais on ne pouvait pas deviner de quoi il s'agissait. De l'autre côté du bâtiment il y avait une falaise, c'était un reste oublié lui aussi de la mine à ciel ouvert .
Il était difficile de deviner à quoi devait servir ce bâtiment. Il était fermé depuis des années, oublié de tous. Étonnamment il était resté très propre. Il n'y avait pas eu de vandalisme, les fenêtres avaient gardées leurs vitres, c'est vrais que ce n'était pas des vitres fines, c'était du solide. Les fenêtres aux structures métalliques ouvraient et fermaient encore. Là aussi, c'était du solide. Pendant longtemps la mine avait veillé sur cette bâtisse, puis elle avait fini par fermer.
Ce bâtiment, ce monument était resté dans son coin, oublié. Plus personne n'y venait. Par ci, par là quelques gravas, quelques piles de palettes, l'endroit restait étrangement propre. Il y avait trois étage sur la partie la plus haute, c'était l'équivalent de cinq étages sur un immeuble d'habitation.
La façade était impressionnante, magistrale. La porte s'ouvrait encore, elle n'était pas verrouillée. J'arrivais dans un hall d'entrée une ouverture de plusieurs mètres de large, la porte avait disparue, m'invitait à avancer vers la grande salle.
Les salles ses succédaient. Je prenais l'escalier au fond. Au premier étage c'était le même spectacle, sauf que la vue devenait intéressante, elle donnait sur la falaise. On pouvait deviner que s'ils avaient arrêté de creuser c'est parce qu'ils était tombés sur le rocher. Je continuais à l'étage supérieur et avant d'y arriver j'entendais des bruits, des murmures, des gémissements. Il y avait donc quelqu'un.
Je prenais soin de ne pas faire de bruit.
J'arrivais sur le second palier, la porte qui ouvrait sur la salle principale avait disparue, j'avançais, c'était le même spectacle, un endroit propre, et c'est là que je les ai vu. Ils étaient deux, ils étaient nus. Un homme brun était allongé sur le dos, sur une sorte de tapis, il avait les jambes relevés et les chevilles sur les épaules de son camarade, un grand blond qui lui limait vigoureusement le cul avec sa grosse queue.
Il y allait de bon cœur le grand blond, il se retirait complètement, reprenait son souffle puis enfonçait sa queue d'un mouvement rapide et décidé, il l'enfonçait jusqu'à la garde, il frappait fort, il respirait bien à fond et faisait claquer son ventre sur les fesses de son camarade.
C'est lui que j'avais entendu gémir, maintenant il gueulait de plaisir quand le ventre de son partenaire s'écrasait contre ses fesses.
J'étais pétrifié par le spectacle, fasciné, je ne pouvais plus bouger, je n'en avais pas vraiment envie. Ils étaient trop occupés pour me remarquer et ne m'avaient pas vu. Je sentais ma queue qui manifestait, elle tentait de se redresser, et poussait fort contre les barreaux de sa cage.
Je l'avais mise en cage pour découvrir de nouvelles sensations, c'était efficace et je sentais que cette journée serait riche en nouvelles sensations. Je glissais ma main dans mon pantalon et réajustais mon dispositif de chasteté en tirant sur la peau. La pression montait et ce n'était pas vraiment confortables.
Le grand blond gardait sa queue garée bien à fond dans le cul de son partenaire, il appuyait fort, se penchait sur son camarade et le prenait dans ses bras. Ils s'embrassaient passionnément, se serraient l'un contre l'autre, le brun refermait ses jambes dans le dos de son camarade blond et le retenait avec force.
Ils râlaient tous les deux maintenant.
C'est dans un moment comme celui-ci que je regrettais d'avoir mis ma queue en cage, je vous jure, là je me tripotais les couilles et je me serais bien branlé. Oh oui, je me serais bien branlé, comme un fou.
Doucement le mec blond se retirait, sa queue sortait complètement du cul de son ami qui semblait retrouver son souffle. Elle était grosse, je me suis pris plus gros dans le cul mais ça ne veut pas dire que c'était facilement. Elle était grosse, longue et bien droite. C'est sans prévenir qu'il la repoussait dans le cul de son amant, il la poussait avec force, d'un mouvement rapide, sans prévenir.
Le brun la recevait en gueulant mais sans pour autant essayer de se dégager. Puis les coups reprenaient, de nouveau mais peut être avec encore plus de force qu'au moment ou j'étais arrivé, ou alors c'était une impression. Les coups étaient également plus rapides. Le grand blond avait un visage concentré, il était décidé. Son camarade faisait une grimace et regardait un peu partout autour de lui. Il grimaçait, il gueulait, il hurlait même et ses cris résonnaient, ce n'était plus des murmures.
C'est là qu'il m'a vu.
Il n'a pas bronché, j'étais tétanisé. J'avais la main dans mon pantalon et je me tripotais les couilles. Je n'étais pas à mon aise, ça tirait, ma queue était en pleine révolte. Le brun me regardait, son regard n'était pas menaçant, je n'avais pas envie de fuir. J'avais juste envie de me branler, à la rigueur de prendre sa place. Je ne bougeais pas.
Les coups devenaient à la fois violents et rapides, c'étaient les deux qui maintenant râlaient, aucun des deux ne voulaient lâcher et si un des deux attendait que l'autre demande grâce pour arrêter, ça semblait sans espoir. Ils étaient tous les deux bien décidés.
Il jouissait, le brun, il jouissait, les cris qu'ils poussaient étaient des cris de plaisir. J'en ai poussé moi aussi dans une telle situation. J'avais vraiment envie de prendre sa place. D’où j'étais je ne pouvais pas voir s'il bandait. Il ne se branlait pas c'est tout ce don d'étais sûr.
Le blond ne fatiguait pas, ou alors il n'en laissait rien paraître, il limait avec une force et une détermination incroyable. Il se retirait maintenant complètement, sa queue ressortait entièrement du cul de son camarade et y revenait aussitôt, pas une seconde de pause, pas un instant d’hésitation.
Il ressortait et il revenait avec une force incroyable. Finalement je me demande si on m'a déjà fait un coup comme ça. En tout cas j'avais de plus en plus envie de prendre sa place. La place du brun je veux dire.
Il me faisait un signe de la main, il me faisait signe d'approcher. Son camarade ne m'avait toujours pas vu, il était concentré sur son affaire.
Au bout d'un long moment son visage à changé, lui aussi s'est mis à grimacer, il râlait de plaisir, et ils gueulaient tous les deux, le blond devait jouir, ses coups étaient saccadés. Toujours violents mais plus saccadés puis il ne bougeait plus. Ils respiraient très fort tous les deux, le blond s'était laissé tombé sur son camarade, il ne se retirait pas encore, ils retrouvaient leur calme.
C'était un moment câlin plein de tendresse qui suivait, je me sentais presque de trop mais le brun m'avait fait signe d'approcher, et si je n'avais pas bougé je ne m'en allait pas non plus. Je les regardais, ma cage était bien ajusté, ne me gênait plus beaucoup. Mais je ne sentais que ça. La pression de ma queue était à son maximum.
Le blond relevait la tête et c'est seulement à ce moment qu'il m'a vu. Il m'a lancé un large sourire, il ma fait signe d'approcher, et là je me suis décidé.
Je me suis approché timidement, j'étais impressionné par ce que je venais de voir.
– Tu veux l'enculer ? Me demandait le blond. Tu peux y aller !
Son camarade me regardait avec un large sourire. Il était toujours sur le dos, il avait laissé retombé ses jambes et en effet il ne bandait pas. Mais il en avait une grosse lui aussi.
– Il ne bande pas, c'est normal, quand il se fait enculer il ne bande pas, moi ça fait pareil. M'expliquait le blond.
Pendant ce temps, le brun me caressait la cuisse et remontait vers mon sexe. Il arrivait à mes couilles, appuyait doucement dessus au travers de mon pantalon, mais pour le moment il ne remarquait rien d'anormal.
– Fais voir comment tu es équipé ! Me disait-il.
Je finissais par ouvrir mon pantalon. Ils ont fait un large sourire quand ils ont vu le dispositif.
– Alors là, je ne risque rien. Dommage, je me la serais bien prise dans le cul. Rajoutait le brun.
– Tu le gardes tout le temps ? Me demandait l'autre.
– Tout le temps, tout le temps … Oui je peux le garder en permanence.
– C'est pas un problème c'est toi qui va te faire enculer. Disait le blond.
– Tu sais j'aime bien aussi, je ne suis pas que passif ! Me faisait remarquer le brun.
Vous vous doutez que je n'avais rien contre cette idée. Mais on avait le temps, mes deux nouveaux camarades reprenaient leur souffle. Il faut dire qu'ils m'avaient donné une belle prestation.
Le brun tirait sur mon pantalon, il voulait me voir à poil, pour lui faire plaisir j'ai laissé tombé le pantalon, j'ai retiré ma chemise, mais c'était juste pour lui faire plaisir. Ce qu'il ne faut pas inventer comme excuse juste histoire de ne pas avoir l'air d'un gros gourmand …
Oui mais c'est vrai quoi, on était trois, les deux autres étaient à poil et le second venait d'enculer le troisième … Mais je me cherche tout de même des excuses.
Ensuite c'était le petit brun qui voulait voir mon truc d'un peu plus près, il m'attrapait les couilles, me tirait vers lui, j'étais donc obligé de suivre, en râlant un peu mais je suivais.
Ensuite il s'amusait avec une satisfaction non dissimulée avec mes couilles, il me les tripotait tant qu'il pouvait. Tant qu'il ne me faisait pas mal je laissais faire et il ne me faisait pas mal … Donc.
Ça avait l'air de lui plaire cette histoire, il ne mettait pas longtemps avant de bander sérieusement. Quand on l'encule il débande mais justement plus personne ne l'enculait. Je lui caressait les couilles avec douceur, son copain le grand blond s'était éloigné et regardait le spectacle. Il ne bandait plus, pour le moment il ne bandait pas.
Allez suce le. Me demandait le blond.
Je me penchais sur son camarade et je m'exécutait. Je prenais sa queue dans la bouche, il en avait une belle. Je savais qu'elle passerait, qu'il faudrait peut être un peu forcer mais j'avais vu pire. Je parlais de mon cul là, je savais qu'elle rentrerait dans mon cul. Et je savais aussi que j'allais aimer.
J'espérais bien qu'il me fasse subir à moi, ce que son copain lui avait fait subir à lui. J'avais pas tout vu, j'avais un peu loupé le début, mais j'avais vu le plus intéressant.
Je prenais sa queue dans la bouche et ses gémissements de plaisir me disaient que je lui faisait du bien. Je la sentais rentrer jusque au fond de ma gorge. Là je brûlais les étapes, c'est vrai qu'ils m'avaient bien chauffé la cervelle ces deux là. J'étais bien excité, et sa queue rentrait dans ma gorge sans difficulté, j'appuyais mon visage sur son ventre, et je lui arrachait des gémissements.
Il décidait de reprendre les chose en main, il appuyait alors sur ma tête et me forçait à avaler sa queue sur toute sa longueur. Il me retenait et je sentais sa queue qui glissait un peu plus profond dans ma gorge.
Quand je forçais pour me dégager il me relâchais, il me laissait alors reprendre mes esprits, tousser, il attendait que je m'y remette et de nouveau il appuyait sur ma tête. Rapidement il me donnait des coups de bassin. J'arrivais encore à encaisser.
Elle était bonne sa queue, et je n'attendait que le moment ou il déciderait de me la glisser dans le cul.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
L'endroit était extraordinaire, c'était une friche industrielle, un bâtiment incroyable. À l'intérieur les plafonds montaient à cinq ou six mètres. Les murs semblaient être fait en brique et les structures restaient en bon état, je veux dire par là qu'il n'y avait pas de trous dans les murs ni sur les différents niveaux.
L'endroit était oublié, le bâtiment restait là, planté juste derrière un bois, depuis la route on devinait bien qu'il y avait quelque chose mais on ne pouvait pas deviner de quoi il s'agissait. De l'autre côté du bâtiment il y avait une falaise, c'était un reste oublié lui aussi de la mine à ciel ouvert .
Il était difficile de deviner à quoi devait servir ce bâtiment. Il était fermé depuis des années, oublié de tous. Étonnamment il était resté très propre. Il n'y avait pas eu de vandalisme, les fenêtres avaient gardées leurs vitres, c'est vrais que ce n'était pas des vitres fines, c'était du solide. Les fenêtres aux structures métalliques ouvraient et fermaient encore. Là aussi, c'était du solide. Pendant longtemps la mine avait veillé sur cette bâtisse, puis elle avait fini par fermer.
Ce bâtiment, ce monument était resté dans son coin, oublié. Plus personne n'y venait. Par ci, par là quelques gravas, quelques piles de palettes, l'endroit restait étrangement propre. Il y avait trois étage sur la partie la plus haute, c'était l'équivalent de cinq étages sur un immeuble d'habitation.
La façade était impressionnante, magistrale. La porte s'ouvrait encore, elle n'était pas verrouillée. J'arrivais dans un hall d'entrée une ouverture de plusieurs mètres de large, la porte avait disparue, m'invitait à avancer vers la grande salle.
Les salles ses succédaient. Je prenais l'escalier au fond. Au premier étage c'était le même spectacle, sauf que la vue devenait intéressante, elle donnait sur la falaise. On pouvait deviner que s'ils avaient arrêté de creuser c'est parce qu'ils était tombés sur le rocher. Je continuais à l'étage supérieur et avant d'y arriver j'entendais des bruits, des murmures, des gémissements. Il y avait donc quelqu'un.
Je prenais soin de ne pas faire de bruit.
J'arrivais sur le second palier, la porte qui ouvrait sur la salle principale avait disparue, j'avançais, c'était le même spectacle, un endroit propre, et c'est là que je les ai vu. Ils étaient deux, ils étaient nus. Un homme brun était allongé sur le dos, sur une sorte de tapis, il avait les jambes relevés et les chevilles sur les épaules de son camarade, un grand blond qui lui limait vigoureusement le cul avec sa grosse queue.
Il y allait de bon cœur le grand blond, il se retirait complètement, reprenait son souffle puis enfonçait sa queue d'un mouvement rapide et décidé, il l'enfonçait jusqu'à la garde, il frappait fort, il respirait bien à fond et faisait claquer son ventre sur les fesses de son camarade.
C'est lui que j'avais entendu gémir, maintenant il gueulait de plaisir quand le ventre de son partenaire s'écrasait contre ses fesses.
J'étais pétrifié par le spectacle, fasciné, je ne pouvais plus bouger, je n'en avais pas vraiment envie. Ils étaient trop occupés pour me remarquer et ne m'avaient pas vu. Je sentais ma queue qui manifestait, elle tentait de se redresser, et poussait fort contre les barreaux de sa cage.
Je l'avais mise en cage pour découvrir de nouvelles sensations, c'était efficace et je sentais que cette journée serait riche en nouvelles sensations. Je glissais ma main dans mon pantalon et réajustais mon dispositif de chasteté en tirant sur la peau. La pression montait et ce n'était pas vraiment confortables.
Le grand blond gardait sa queue garée bien à fond dans le cul de son partenaire, il appuyait fort, se penchait sur son camarade et le prenait dans ses bras. Ils s'embrassaient passionnément, se serraient l'un contre l'autre, le brun refermait ses jambes dans le dos de son camarade blond et le retenait avec force.
Ils râlaient tous les deux maintenant.
C'est dans un moment comme celui-ci que je regrettais d'avoir mis ma queue en cage, je vous jure, là je me tripotais les couilles et je me serais bien branlé. Oh oui, je me serais bien branlé, comme un fou.
Doucement le mec blond se retirait, sa queue sortait complètement du cul de son ami qui semblait retrouver son souffle. Elle était grosse, je me suis pris plus gros dans le cul mais ça ne veut pas dire que c'était facilement. Elle était grosse, longue et bien droite. C'est sans prévenir qu'il la repoussait dans le cul de son amant, il la poussait avec force, d'un mouvement rapide, sans prévenir.
Le brun la recevait en gueulant mais sans pour autant essayer de se dégager. Puis les coups reprenaient, de nouveau mais peut être avec encore plus de force qu'au moment ou j'étais arrivé, ou alors c'était une impression. Les coups étaient également plus rapides. Le grand blond avait un visage concentré, il était décidé. Son camarade faisait une grimace et regardait un peu partout autour de lui. Il grimaçait, il gueulait, il hurlait même et ses cris résonnaient, ce n'était plus des murmures.
C'est là qu'il m'a vu.
Il n'a pas bronché, j'étais tétanisé. J'avais la main dans mon pantalon et je me tripotais les couilles. Je n'étais pas à mon aise, ça tirait, ma queue était en pleine révolte. Le brun me regardait, son regard n'était pas menaçant, je n'avais pas envie de fuir. J'avais juste envie de me branler, à la rigueur de prendre sa place. Je ne bougeais pas.
Les coups devenaient à la fois violents et rapides, c'étaient les deux qui maintenant râlaient, aucun des deux ne voulaient lâcher et si un des deux attendait que l'autre demande grâce pour arrêter, ça semblait sans espoir. Ils étaient tous les deux bien décidés.
Il jouissait, le brun, il jouissait, les cris qu'ils poussaient étaient des cris de plaisir. J'en ai poussé moi aussi dans une telle situation. J'avais vraiment envie de prendre sa place. D’où j'étais je ne pouvais pas voir s'il bandait. Il ne se branlait pas c'est tout ce don d'étais sûr.
Le blond ne fatiguait pas, ou alors il n'en laissait rien paraître, il limait avec une force et une détermination incroyable. Il se retirait maintenant complètement, sa queue ressortait entièrement du cul de son camarade et y revenait aussitôt, pas une seconde de pause, pas un instant d’hésitation.
Il ressortait et il revenait avec une force incroyable. Finalement je me demande si on m'a déjà fait un coup comme ça. En tout cas j'avais de plus en plus envie de prendre sa place. La place du brun je veux dire.
Il me faisait un signe de la main, il me faisait signe d'approcher. Son camarade ne m'avait toujours pas vu, il était concentré sur son affaire.
Au bout d'un long moment son visage à changé, lui aussi s'est mis à grimacer, il râlait de plaisir, et ils gueulaient tous les deux, le blond devait jouir, ses coups étaient saccadés. Toujours violents mais plus saccadés puis il ne bougeait plus. Ils respiraient très fort tous les deux, le blond s'était laissé tombé sur son camarade, il ne se retirait pas encore, ils retrouvaient leur calme.
C'était un moment câlin plein de tendresse qui suivait, je me sentais presque de trop mais le brun m'avait fait signe d'approcher, et si je n'avais pas bougé je ne m'en allait pas non plus. Je les regardais, ma cage était bien ajusté, ne me gênait plus beaucoup. Mais je ne sentais que ça. La pression de ma queue était à son maximum.
Le blond relevait la tête et c'est seulement à ce moment qu'il m'a vu. Il m'a lancé un large sourire, il ma fait signe d'approcher, et là je me suis décidé.
Je me suis approché timidement, j'étais impressionné par ce que je venais de voir.
– Tu veux l'enculer ? Me demandait le blond. Tu peux y aller !
Son camarade me regardait avec un large sourire. Il était toujours sur le dos, il avait laissé retombé ses jambes et en effet il ne bandait pas. Mais il en avait une grosse lui aussi.
– Il ne bande pas, c'est normal, quand il se fait enculer il ne bande pas, moi ça fait pareil. M'expliquait le blond.
Pendant ce temps, le brun me caressait la cuisse et remontait vers mon sexe. Il arrivait à mes couilles, appuyait doucement dessus au travers de mon pantalon, mais pour le moment il ne remarquait rien d'anormal.
– Fais voir comment tu es équipé ! Me disait-il.
Je finissais par ouvrir mon pantalon. Ils ont fait un large sourire quand ils ont vu le dispositif.
– Alors là, je ne risque rien. Dommage, je me la serais bien prise dans le cul. Rajoutait le brun.
– Tu le gardes tout le temps ? Me demandait l'autre.
– Tout le temps, tout le temps … Oui je peux le garder en permanence.
– C'est pas un problème c'est toi qui va te faire enculer. Disait le blond.
– Tu sais j'aime bien aussi, je ne suis pas que passif ! Me faisait remarquer le brun.
Vous vous doutez que je n'avais rien contre cette idée. Mais on avait le temps, mes deux nouveaux camarades reprenaient leur souffle. Il faut dire qu'ils m'avaient donné une belle prestation.
Le brun tirait sur mon pantalon, il voulait me voir à poil, pour lui faire plaisir j'ai laissé tombé le pantalon, j'ai retiré ma chemise, mais c'était juste pour lui faire plaisir. Ce qu'il ne faut pas inventer comme excuse juste histoire de ne pas avoir l'air d'un gros gourmand …
Oui mais c'est vrai quoi, on était trois, les deux autres étaient à poil et le second venait d'enculer le troisième … Mais je me cherche tout de même des excuses.
Ensuite c'était le petit brun qui voulait voir mon truc d'un peu plus près, il m'attrapait les couilles, me tirait vers lui, j'étais donc obligé de suivre, en râlant un peu mais je suivais.
Ensuite il s'amusait avec une satisfaction non dissimulée avec mes couilles, il me les tripotait tant qu'il pouvait. Tant qu'il ne me faisait pas mal je laissais faire et il ne me faisait pas mal … Donc.
Ça avait l'air de lui plaire cette histoire, il ne mettait pas longtemps avant de bander sérieusement. Quand on l'encule il débande mais justement plus personne ne l'enculait. Je lui caressait les couilles avec douceur, son copain le grand blond s'était éloigné et regardait le spectacle. Il ne bandait plus, pour le moment il ne bandait pas.
Allez suce le. Me demandait le blond.
Je me penchais sur son camarade et je m'exécutait. Je prenais sa queue dans la bouche, il en avait une belle. Je savais qu'elle passerait, qu'il faudrait peut être un peu forcer mais j'avais vu pire. Je parlais de mon cul là, je savais qu'elle rentrerait dans mon cul. Et je savais aussi que j'allais aimer.
J'espérais bien qu'il me fasse subir à moi, ce que son copain lui avait fait subir à lui. J'avais pas tout vu, j'avais un peu loupé le début, mais j'avais vu le plus intéressant.
Je prenais sa queue dans la bouche et ses gémissements de plaisir me disaient que je lui faisait du bien. Je la sentais rentrer jusque au fond de ma gorge. Là je brûlais les étapes, c'est vrai qu'ils m'avaient bien chauffé la cervelle ces deux là. J'étais bien excité, et sa queue rentrait dans ma gorge sans difficulté, j'appuyais mon visage sur son ventre, et je lui arrachait des gémissements.
Il décidait de reprendre les chose en main, il appuyait alors sur ma tête et me forçait à avaler sa queue sur toute sa longueur. Il me retenait et je sentais sa queue qui glissait un peu plus profond dans ma gorge.
Quand je forçais pour me dégager il me relâchais, il me laissait alors reprendre mes esprits, tousser, il attendait que je m'y remette et de nouveau il appuyait sur ma tête. Rapidement il me donnait des coups de bassin. J'arrivais encore à encaisser.
Elle était bonne sa queue, et je n'attendait que le moment ou il déciderait de me la glisser dans le cul.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
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